• L’Abécédaire des Voleurs de Corps - Lettres T - U - V - W - X - Y - Z

     

    Centre d'accueil de Stonehenge - près de Stonehenge - Wiltshire - Royaume-Uni - 30/06/2024

    Ce crop-circles, qui est apparu le dimanche 30 juin 2024, près du centre d'accueil de Stonehenge, associé à un ancien monticule funéraire rond apparaissant en vert, nous signale la date d'un rendez-vous astronomique, celle de la Nouvelle Lune, du vendredi 05/07/2024. 

    Les 5 bras de l'étoile, et ses 5 articulations sinueuses de demis disques et de disques, du centre de l'étoile à l'extrémité de ses bras, figurent le nombre des 5 jours (marqués par la série de chiffres en rouge, 1, 2, 3, 4, 5), après le 30/06/2024 jusqu'au 05/07/2024.

    Le profil de ces bras reproduit, en trompe-l'oeil, les contours schématisés des côtes maritimes de l'Angleterre et de la Normandie (soulignés en bleu foncé), figurant, ainsi, la Mer/Fleuve de la Manche (le bras du Channel = le Canal).

    L'ancien monticule funéraire rond apparaissant en vert, est entouré des traces laissées par les roues des engins agricoles, ce qui suggère, à la fois, une représentation de la Terre, entourée de son atmosphère (cerclée en bleu ciel), et de son bouclier naturel électromagnétique (cerclé en violet), et la Nouvelle Lune du 05/07/2024 (cerclée en noir) ; cette double représentation est un procédé classique dit des mots-valises comme le liard (lion + léopard = liard), ou des figures-valises, le lion léopardé, ou le léopard lionné propres à l'héraldique (rappelons que le Royaume-Uni demeure une colonie historique de la Normandie, d'où la présence des léopards normands dans ses Armes).

    Quel serait le message inclusif d'une telle représentation ?

    Par association d'idées, ce land-art, sonnera à l'évidence, pour certains, comme un avertissement, soulignant, le risque potentiel des éjections coronales solaires (d'où la figure de l'étoile dynamique et de ses bras ondés = fleuves/courants/canaux) qui affectent souvent la Terre, en neutralisant son bouclier magnétique, qui la protège ordinairement des rayonnements nocifs extérieurs. Guillaume Chevallier - le 01/07/2024.

     

    « Il y aura des signes dans le soleil, dans la lune et dans les étoiles.

    Et sur la terre, il y aura de l'angoisse chez les nations ; car les puissances des cieux seront ébranlées.» 

    [Luc 21- 25 - 26]

     

    L’Abécédaire des Voleurs de Corps - Lettres T - U - V - W - X - Y - Z

    Bellator

    Guillaume Chevallier

     

     Comme l'a si pertinemment signalé René Le Tenneur [cf. Magie, Sorcellerie et Fantastique en Normandie des premiers hommes à nos jours - 1979] les manifestations paranormales et les apparitions des créatures, dites surnaturelles, perdurent depuis des temps immémoriaux, jusqu'à notre époque moderne.

    Puisqu'en effet, ils n'ont pas disparu, ni avec la révolution industrielle, ni après l'avènement du numérique :

    Les fées, dames blanches, lavandières, sirènes, garwall, garous, varous ou wargus, lycanthropes, hommes-loups, bonhommes blancs, revenants, fantômes, rongeurs d'os, lémuriens, stryges, bierres, goules, laitices, milloraines, fouines, chabrettes, taranes, huards, bigornes, succubes, incubes, satyres, nymphes, hommes-papillons et hommes en noir aux yeux de zombies, horlas, simulacres, répliquants, substituts, drôles, korrigans, goublins ou gobelins, lutins et lubins ou hommes rouges, jacquets, follets, gnomes, petits-gris, génies, et apparitions ou manifestations dites religieuses, etc. ; ces créatures étranges venues d'ailleurs sont toujours observées ou photographiées dans notre environnement, où elles prennent occasionnellement possession de nos demeures, de nos âmes et de nos corps, et tous ceux qui en ont fait des féeries ou des diableries, ou aujourd'hui des alienneries, se méprennent sur la nature réelle, de ces êtres poly-métamorphiques, qui ne sont, à proprement parler, ni terrestres ou extraterrestres mais ultra-terrestres, comme John A. Keel aimait à les qualifier. [cf. : La Prophétie des Ombres - 1975].

    Les Voleurs de corps

     L’existence en la croyance universelle des vampires qui se nourrissent du sang, ou principe vital, de leurs victimes et celle des zombies ou, morts-vivants qui se relèvent de leurs tombes, ou qui restent enfermés dans leurs cercueil après avoir vainement gratter le couvercle, sont les marques de la prise de possession des corps vivants ou défunts par les entités psychique métamorphes nommées par les anciens sous différentes appellations ou dénominations (noosphères, daïmons, djinns, goules, mânes, spectres, esprits-frappeurs, élémentaux, dames-blanches, fées-mélusines, vouivres, stryges, givres, sirènes, incubes, succubes, hennequins (hennequins = petits diables, dont certains sont décrits comme des êtres d'une difformité étrange, nains grêles dont la tête est enflée et grosse comme une tonne = petits gris / shorts-Grey), farfs, loups-garous (lycanthropie), les ulfarks (les guerriers-loups), les berserkers (es guerriers-ours), les svinfylkingars (les guerriers-sangliers), qui sont les berserksgangrs (les guerriersfauves), etc., ce sont les voleurs de corps (les body snatchers).

    Ces métamorphes/transformistes apparaissent aussi comme polymorphes (voir les divinités polymorphes mi-animal/mi-humaines des hiéroglyphes antiques) lorsqu’ils se métamorphosent en humains, en animaux, en créatures chimériques (shorts-Grey) ou en sphères de plasma (noosphères) identifiés par les modernes comme des ovnis ou des extraterrestres.

    Il leur arrive souvent de chasser leurs victimes en meutes, s’ils sont parfois grégaires, la plupart sont individualistes, sédentaires et territoriaux, attachés à une terre, à un domaine, à un lieu, un site, un monument, ou à un écosystème naturel, comme un bois ou une forêt, qu’ils contrôlent, surveillent et y traquent les intrus qui ont le malheur de les importuner.

    La mémoire traditionnelle

    Les anciens, en guise d’avertissements, nous ont transmis un nombre incalculable de récits et de témoignages illustrant leurs compétences surnaturelles servant leurs prédations, et dont les ignorants-impéritieux frivolets ont rangé dans le registre de la superstition, de la croyance, des mythes, des contes et légendes, en voici quelques exemples.

    En Neustrie, il y a des expressions consacrées pour signifier qu'une personne a été contaminée ou inséminée par un poly-Métamorphe, « il court le garou (ou le warou) dans la lande ! », « il a le diable au corps ! ».

    Les contacts, les rencontres rapprochées et les communications avec les représentants de l'autre monde ont impacté notre histoire, en se différenciant formellement dirigeant et orientant la doxa culturelle dominante.

    Au cours des périodes préhistoriques et antiques, ce fut les croyances religieuses aux dieux, puis le temps des terreurs superstitieuses de la magie des sorciers et des sorcières, époque de l'anti-démonologie, qui a connu son paroxysme hystérique, avec la Réforme, au XVIIe siècle, à laquelle a succédé l'illusionnisme de l'ésotérisme kabbalistique et le culte de l'occultisme hermétique, propre à la Renaissance, allumant les lueurs crépusculaires de la Révolution, dont le magnétisme, le spiritisme, le magico-chamanisme du New-Age/Para-Science, et, pour finir, l'extratologie-éthérée ufologique, sont les ultimes reflets aveuglants et illusionnistes.

    Au delà de ces apparences, et avant de se dissimuler sous les formes fictives des petits diablotins-lutins des petits gris, des Men-In-Black, et autres entités des rencontres rapprochées des ovnis modernes, les représentants Métamorphes de l'autre monde, ont manifestement pris un malin-plaisir à adopter les panoplies, aussi variées que trompeuses, des êtres soi-disant divins, angéliques et démoniaques.

    L'analyse structurelle, la corrélation formelle et l'étude statistique des phénomènes de hantise, de possession démoniaque, ou d'apparition diabolique, ou même faussement mariale, le démontrent abondamment.

    En effet, les occurrences manifestées, les emprises psychologiques et physiques, sont structurellement identiques, et les parallèles sont d'une évidence indiscutable chez les témoins/expérienceurs, les abductions-visites en chambre/rapts et visites nocturnes démoniaques, les paralysies temporaires/immobilisations mystérieuses, les communications télépathiques/voix intérieures, les implants, marques/épines-aiguilles cicatrices, les lieux ovnigènes/lieux hantés, les apparitions lumineuses ovnis/manifestations lumineuses diaboliques, les portails multidimensionnels/voyages hors du temps présent, les transports géographiques/déplacements surnaturels, les rapports sexuels des RR7 +/ rapports charnels avec les succubes et les incubes, les hybridations alien-humain/enfants du diable, les extraterrestres polymorphes/créatures métamorphes démoniaques, les crop-circles/cercles des fées, les traces et objets matériels/empreintes et apports surnaturels, les mutilations de bétail/sacrifices mutilations d'animaux, etc. comme l'illustrent suffisamment les descriptifs et la cartographie des apparitions ufologiques et des manifestations surnaturelles, constatés en Normandie, et ailleurs où plus de 50 % des sites ovnigènes sont géolocalisés sur les clusters des phénomènes surnaturels.

    Thaon (14) - Calvados - Normandie - France - 15/09/1954 - 08 h 00 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

     

     

     

    Mercredi 15 septembre 1954, à 08:00, d'après le rapport de Lecière, un correspondant de presse à Carpiquet (Calvados), un témoin voit pendant 2 mn un point de lumière blanche apparaît dans le ciel et augmente rapidement de taille, révélant une forme ovale et une brillance inhabituelle.

    Le témoin niera avoir eu une hallucination, et une observation similaire est faite à Thaon (Calvados). 01 Témoin. Source :"Des objets inhabituels observés au-dessus de la Normandie", Franc-Tireur, Paris, 16 septembre 1954

    Thaon (14) - La Pierre Touneresse

     



    A Thaon, au Champ de la Truye, autour de la Pierre Tourneresse, on voyait une truie avec ses treize porcelets et leur ronde infernale faisait tourner la pierre mégalithique.
    Source : Prosper Le Blanc, Étude sur le Symbolisme des Druides.

    Thaon (14) - Les Grosses Devises - La Pierre Tourneresse

    Les Grosses Devises sont des menhirs situés sur la limite communale entre Thaon et Colomby-sur-Thaon, en France, dans le département du Calvados. En 1912, le Dr Raoul Doranlo, membre de la Société préhistorique française signale pour la première fois une Pierre à légendes sur la commune de Thaon, la Pierre Tourniresse, ainsi que quatre autres pierres à proximité appelées par les paysans : les Grosses Devises. Plusieurs lames de silex taillé, des racloirs et des grattoirs ont été découverts aux alentours. Ces pierres ont bien été identifiées comme des menhirs authentiques. La Pierre Tourniresse qui, d'après la légende, pivotait sur elle-même, a désormais disparu. Par contre, il demeure deux pierres dressées au milieu des champs cultivés, exactement sur la limite entre les communes de Thaon et de Colomby-sur-Thaon facilement reconnaissables. La première de ces pierres, la plus à l'est, a une forme de colonne incurvée, elle mesure 1,30 m de hauteur, 0,65 m de largeur à la base pour une épaisseur de 0,40 m. La seconde, située à 800 m vers le nord-ouest, a une forme de triangle et mesure environ 1,50 m de hauteur avec une largeur maximale de 0,85 m et 0,30 m d'épaisseur. Elles sont en calcaire et comportent toutes les deux de nombreuses cupules. Elles sont situées de part et d'autre de l'ancien chemin des pèlerins qui allait de Cairon à Douvres-la-Délivrande.

    Le terme devise vient du latin divisio et désigne une borne en pierre en limite de propriété. Le Dr Doranlo fit remarquer que les monuments mégalithiques de la plaine de Caen affectent le plus souvent des dimensions très réduites. Beaucoup ont été morcelées par les cultivateurs pour en faire des devises, parfois elles ont été enfouies, brisées, renversées ou enlevées.

    Thaon (14) - Les Grosses Devises - La Pierre Tourneresse 

     

     

    Les Grosses Devises se trouvent à moins de 3 km exactement entre le menhir de la Demoiselle de Bracqueville et la Pierre Tourneresse à Cairon.

    [Depuis les époques les plus reculées de la préhistoire, l'office des devins, mages, spirites, voyants, qui perpétuent le culte ancestral des morts, est de consulter les esprits, avec l'édification de temples voués à la pratique animiste/chamanique de la nécromancie, de la transe médiumnique possessive des occultistes par les entités éthérées métamorphes, goules parasitaires et mânes nécrophages, ou âmes (noosphères) vagabondes immanentes, qui parodient les esprits des morts tout en se repaissent des effluves des corps vivants ou en décomposition. NFO].

    Juillet 1874 - Le réchauffement climatique - La comète n'est pas étrangère aux grandes chaleurs que nous subissons. En 1811, une comète fut visible, et les chaleurs et la sécheresse furent telles qu'un grand nombre de rivière tarirent, en 1846, nouvelle comète, nouvelle sécheresse, l'eau devint tellement rare dans certains endroits que des bestiaux périrent de soif. En 1811 comme en 1846, le vin fut abondant et d'une qualité supérieure, on espère qu'il en sera de même en 1874, aussi les cours des vins sont-ils en baisse de 10 fr. par hectolitre. A Marseille, le thermomètre a marqué, à l'ombre, 40 degrés, à Paris, au soleil, 44 degrés. De nombreux cas d'insolation sont signalés.

    Juillet 1874  -  La comète - Selon les prévisions des astronomes, la comète découverte par M. Coggia, de Marseille, le 17 avril dernier, n'aura tout son éclat que vers le 15 juillet, mais actuellement, grâce à la pureté momentanée de l'atmosphère, elle brille merveilleusement chaque soir, au-dessous de l'étoile polaire, comme une étoile de troisième grandeur. Sa traînée est très apparente à l’œil nu. [USHC].

    [La conception des étoiles filantes, des comètes, des aurores polaires, des lueurs célestes inhabituelles, etc. diffère pour les Anciens de celle des Modernes, qui les appelaient des Météores (= esprits de lumières célestes) et qui les identifiaient à des entités spirituelles et non à des objets matériels ou phénomènes physiques. NFO].

    Juin 1892 - Arrestation d’un voleur de crin  - Constant Lelièvre, 51 ans, au Locheur, a été arrêté au moment ou il tentait, de vendre du crin coupé la nuit à la queue de 16 chevaux qui  étaient au piquet, sur le territoire de la commune de Thaon. Lelièvre nie être l'auteur du vol de Fontaine-Etoupefour, mais il avoue qu'au mois de mai 1891, il a coupé la queue de trois ou quatre chevaux qui étaient dans les champs, à Saint-Germain-la-Blanche-Herbe, près Caen.   (Source : Le Bonhomme Normand).

    [Le crin des chevaux sert à confectionner des amulettes-magiques - NFO].

     

    Théville - La Fourquette de Théville (50) - Manche - Normandie - France - 02/03/1976 - entre 20 h 10 et 20 h 25 (1) / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

    Le témoin Mr. Levéziel J. a 19 ans et vit chez ses parents à « L’Emprisonerie » près de Quettehou. Récit du témoin : Il est 20 h 10,  je pars à la réunion, arrivé en haut de la côte du « Vaa » je vois l’objet partir vers Théville et s’immobiliser de nouveau à l’aplomb du lieu-dit « La Fourquette de Théville », durée du déplacement : 20 s (environ 1710 km/h), plus je me rapproche de la « Fourquette », plus ma radio grésille, j’arrive à la « Fourquette » je suis presque sous l’objet, il stationne à environ 500 m de hauteur, il est très grand, immense, peut-être 150 m de long, auparavant, j’ai toujours vu un croissant, et symétriquement à celui-ci partent de longs traits très fins de la même couleur que celle du croissant (traits non visibles avant).

    L’objet n’éclaire pas le sol, je descends de voiture pour alerter du monde dans un café proche, quand tout à coup, l’objet part vers le N-O et disparait en 5 secondes, cela sans aucun bruit. Il est 20 h 25. 01 Témoin. Source : Enquête de Jean Legras. LDLN n° 173.

    Théville - La Rue de Sauxtour - lieu-dit « Gris-pré » (50) - Manche - Normandie - France - 02/03/1976 - de 20 h 45 à 21 h 30 (2) / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    « Mr. Mahaut perçoit des battements derrière la nuque, à la hauteur du cervelet battements forts et douloureux, à son retour sa femme le trouve le regard fixe et l’air bizarre.»

    [Théville (50) - 02/03/1976]

     

    l'Horlogerie Céleste

     

    20 h 45, Mr. Mahaut Alexandre muni d’une lampe torche se prépare à changer de place les chèvres qu’il fait paître dans un champ isolé au milieu d’un site très bocageux et boisé. Il fait nuit, nous sommes le 2 mars 1976.

    Soudain, la chèvre qu’il tient à la chaine, tire sur celle-ci, agite ses oreilles et semble avoir peur, ainsi d’ailleurs que les autres. Mr. Mahaut surpris par cette réaction éteint sa lampe, pensant à un rôdeur ou encore à un animal, il y a du chevreuil dans cette région préservée des routes.

    A peine avait-il éteint sa lampe qu’une très forte détonation se fait entendre, sèche, brève, et quasi simultanément le témoin perçoit une odeur d’huile brûlée, nauséabonde qui se dissipe doucement, toujours à ce moment, il entend un léger sifflement, comme une baudruche qui se dégonfle, ce sifflement devenu audible juste après le claquement bref et puissant demeurera constant, et ne variera jamais en intensité durant toute l’observation de l’objet qui va durer de 20 h 45 à 21 h 30, trois quart d’heure et quand Mr. Mahaut s’en va, l’objet est toujours là.

    Donc, le témoin, le premier moment de surprise passé part s’enquérir sur ce qu’il vient d’entendre derrière lui, il décide donc de traverser le bois dans la direction supposée, mais il fait seulement quelques mètres, car sans lumière (pour éviter d’être repéré) il s’empêtre dans les broussailles.

    Il redescend dans le chemin car l’endroit où se situe le bruit est en contre-haut, pour éviter les broussailles il remonte le bois, mais en longeant une haie qui borde un champ, soudain il aperçoit une lumière au travers des arbres, se dirigeant vers elle en suivant la haie du champ le témoin se trouve tout-à-coup en face d’un objet, cet objet se trouve de l’autre côté du champ à environ 10 m au-dessus du grand hêtre, haut environ de 15 m, dans la direction Nord / Nord-Est.

    Au même instant Mr. Mahaut perçoit des battements derrière la nuque, à la hauteur du cervelet battements forts et douloureux, Mr. Mahaut dit n’avoir jamais ressenti cela auparavant.

    Certaines personnes soumises à un électro-encéphalogramme subissaient ce genre de douleur. Ces battements durèrent ¼ d’heure. Tout d’abord, le témoin fut fasciné par la beauté de ce spectacle sans cesse il répéta qu’il n’avait jamais rien vu d’aussi beau. L’objet qu’il voit est à 100 m de lui et à 25 ou 30 m d’altitude, cela ressemble à un réfrigérateur de 5 m x 5 m x 5 m environ deux bandes noires d’environ 50 cm de large apparaissent verticalement Et de chaque côté de la façade ; Le témoin n’a jamais vu l’arrière de l’objet ni le dessus. De chaque côté à environ 15 cm du bord de la façade, commençant à 30 cm de la corniche et s’arrêtant à la hauteur de la bande noire, se trouvaient une trentaine de petits orifices circulaires de quelques cm de diamètre, de chaque orifice sortait une sorte de flamme d’un bleu électrique et d’une longueur constante d’environ 30 cm inclinée à 45° vers le sol, le sifflement paraissait venir de ces sortes de tuyères. L’objet n’a jamais varié en altitude, mais par contre n’a jamais cessé d’opérer un mouvement d’horlogerie. Ce mouvement s’effectuait suivant un ½ hexagone en marquant un bref temps de va et vient rythmer comme un mouvement d’arrêt sur chaque côté.

    Le témoin s’est déplacé le long de la haie sur une vingtaine de mètres afin de mieux observer l’objet.

    Vers 21 h 30 le témoin est rentré chez lui, il avait peur que l’on s’inquiète de son absence prolongée. A son retour sa femme le trouve le regard fixe et l’air bizarre, interrogé, il raconta son aventure. Depuis Mr. Mahaut ne ressent rien de particulier sa montre fonctionne bien. Aucune trace n’a été relevée aussi bien au sol, qu’au sommet de l’arbre sur les branches. A noter la proximité de l’aérodrome civil et militaire de Maupertus.

    01 Témoin. Source : Enquête de Mr. Jean Legras. LDLN n° 173.

     

    « Mr. Mahaut perçoit des battements derrière la nuque, à la hauteur du cervelet battements forts et douloureux, à son retour sa femme le trouve le regard fixe et l’air bizarre.»

    [Théville (50) - 02/03/1976]

     

    Affiche Ufologique

    Normandie - France - Ovnis

     

    Le Theil

    Longtemps connu pour avoir été une terre de puissants sorciers. 

    Les sorciers et leurs maléfices auraient perturbé la vie du Theil et de ses habitants pendant près de deux siècles de 1700 à 1900. Voici l’un des témoignages existants : 

    « Mon grand-père racontait qu’un jour, il avait été veiller pendant une nuit le corps d’un homme venant de décéder. A plusieurs reprises pendant la nuit, un gros papillon était venu dans la chambre du mort pour éteindre la lampe, à tel point que mon grand-père avait fini par partir en se disant : puisque c’est ainsi, il se gardera bien tout seul. Le papillon était en fait envoyé par les sorciers pour faire fuir les humains. Ainsi, les sorciers pouvaient venir prendre le corps du mort, le remplacer dans le cercueil par des cailloux, et aller enterrer le cadavre dans le bois de Barnavast (là où étaient enterrés les sorciers) »

    Le témoin se souvient que le fils du sorcier (l’homme décédé) avait été surpris en train de tenter d’assister à la messe avec en guise de missel sous le bras, le « Petit Albert », livre réputé pour la magie… 

    Dans le bois de Barnavast, outre les sorciers, on trouve aussi la fontaine Saint-Clair.

    Chaque troisième dimanche de juillet, un pèlerinage y est organisé, toujours populaire aujourd’hui : les eaux de la fontaine sont réputées guérir les affections oculaires. Source : Cotentin unique par Nature.

    La Fontaine aux Fées

     

    La fontaine aux fées est un circuit de randonnée situé sur la commune de Théville en Manche (50)

    La balade du Theil vous emmène au pays des fées et des légendes. La commune de Théville possède de nombreuses sources et rus. L'est est très présente dans les croyances populaires tantôt destructrices, purificatrices et guérisseuses. Nos cours d'eau sont habités par des fées et des gobelins farceurs. Source : Sentiers en France.

    Thiberville (27) - Eure - Normandie - France - 10/06/1975 - 00 h 15  / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

     

     

    Mr. Joël Bouland rentrait à son logis vers 00 h 15, arrêta son véhicule devant son habitation et en sortit. C’est alors qu’il se trouva face à un disque de couleur orange et de grande envergure qui surplombait de quelques mètres la cime des arbres voisins.

    Ce disque était en rotation permanente et trainait derrière lui une forme noire que le témoin n’a pu discerner distinctement étant donnée la forte lumière de la forme orangée.

    Mais il put observer ce phénomène pendant une trentaine de minute puisque l’objet était immobile à 80 m de lui. Pendant cette observation Mr. Bouland remarqua que les chiens et les moutons qui sont près de son logis se mirent à aboyer et à bêler de façon curieuse. De la même manière que quelques jours a 09uparavant comme il l’avait déjà noté.

    Il reprit alors son automobile et alla à la gendarmerie. Quand il demanda aux Gendarmes de regarder le ciel, il s’aperçut que «  l’engin » avait abandonné sa position initiale pour être sud - sud-est. Il revint à son point d’observation et revit le disque lumineux à la place précédente. Le phénomène avait bougé en 45 minutes.

    Et le lendemain matin, lorsque Mr. Bouland voulut faire démarrer son véhicule, il se trouva sans phare et sans batterie, tout le circuit électrique avait brûlé.

    Un autre habitant de Thiberville (observateur avisé qui avait vu Lindbergh au-dessus de Thiberville durant sa traversée de l’Atlantique) a remarqué la curieuse phosphorescence du ciel vers 22 h. Il en a même fait immédiatement la comparaison avec l’aurore boréale qu’il avait aperçu en 1936 (et que l’on prétend être un signe de mauvais augure,  ou annonciateur de guerre).

    A la Gendarmerie, on garde le mutisme le plus complet tout en admettant qu’un homme est venu faire constater au Gendarme de veille la présence d’une étrange étoile orangée.

    Et puis il y a le témoignage d’une femme qui a remarqué entre 22 h et 24 h que les lampadaires de la route d’Orbec s’étaient brusquement éteints.

    Les stations météorologiques de Saint - Gastien - des - Bois (14), d’Évreux (27) et la station Radar Civile d’Évreux ont affirmé qu’aucun phénomène n’avait été détecté par leurs services dans la nuit du lundi 09 au mardi 10/06/1975. 02 Témoins. Source : Le Pays D’Auge du 12/06/1975.

    La Thomassière - Lonlay-l'Abbaye (61) - Le  Tombeau du Chef

     

     

     

    Sarcophage en granit de la Thomassière, situé au Champ du Cercueil et appelé tombeau du chef, il est celui de Bömer alias Baudemagus Roi du Royaume de Gorre, qui périt de mort violente sous les coups de trois seigneurs du voisinage, et où il aurait agoni pendant trois jours. il a des vertus miraculeuses, selon les légendes locales. 

    Sources : Publications de René Bansard et de Georges Bertin, hagiographie et légende arthurienne, université de Caen (14).

    Tilly-la-Campagne (14) - Mutilation d’animaux

    Juillet 1894 - Mutilation d’animaux - Le sieur Émile Siquot, demeurant à St-Charles-de-Percy, a déjà eu plusieurs fois des animaux mutilés. Ces jours ci, une de ses vaches a eu la queue coupée à 20 cent, de la naissance. 

    — Les gendarmes de Caen, en tournée, ont arrêté deux individus qui étaient occupés à couper les queues de chevaux appartenant à M. Garnier, cultivateur à Tilly-la-Campagne. L'un des chevaux avait le bâton de la queue coupé et perdait beaucoup de sang. (Source : Le Bonhomme Normand).

    [Les mutilations sont de l'ordre des sacrifices propitiatoires, des pratiques incantatoires et évocatoires magico-occultistes du sadisme-masochisme, lié au rite du baptême du sang. NFO].

    Thury-Harcourt (14)

    Janvier 1843 - Nouvelles locales -  Indépendamment de sept ou huit arbres qu'il a renversés sur le Grand-Cours, l'ouragan de la semaine dernière a fait tomber un des pilastres de la grille du Collège royal, du côté du parc, et roulé, en les détachant, quelques-unes des larges plaques de zinc qui se trouvent sur la toiture du cabinet d'histoire naturelle.

    Il serait impossible d'énumérer toutes les réparations auxquelles a donné lieu cette tempête, et tous les ravages qu'elle a causés !

    Ces jours derniers, pendant les orages qui ont passé sur nos contrées, le tonnerre est tombé au milieu de la route de Condé à Harcourt, presqu'à la tête du cheval d'un voiturier, mais sans causer aucun accident. La violence du vent a culbuté et déraciné même bon nombre d'arbres fruitiers et forestiers.

    La foudre est tombée mardi dernier, à Fontenay-le-Pesnel, elle a renversé et brisé en éclats un arbre situé vis-à-vis l'auberge du sieur Hodan, dont plusieurs vitres ont été réduites en poussière au même moment. (source : L’Indicateur de Bayeux).

    (1) Tilly-sur-Seulles (14) - Calvados - Normandie - France - 08/08/2014 - vers 14 h 40  / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

    Observation dans le ciel de plusieurs formes noires semblant tomber en flottant : observation probable de débris légers et disparates portés par le vent.

     Le mercredi 8 aout 2014 vers 14h40 plusieurs personnes observent dans le ciel dégagé le déplacement de nombreuses formes noires qui semblent flotter et tomber.

    Un des témoins a le temps de prendre des photographies et deux vidéos des objets qui apparaissent par moment effilochés. L'observation durera 5 minutes sans qu'aucun bruit particulier ne soit entendu.

    Un seul témoignage est recueilli.

    Ce témoignage est d’une très bonne consistance : précis et accompagné de documents photographiques et vidéo, mais venant d’un témoin unique.

    Compte tenu des éléments objectifs présentés par le rapport d'enquête, et en particulier le déplacement des PANs dans le sens général du vent ainsi que leur aspect, il est très probable que ces objets ne sont que des débris provenant d’un ballon ayant éclaté en vol ou plus probablement de débris de combustion d’un feu à proximité.

    Nous pouvons conclure que ce cas est à classer en « B » comme observation probable de débris légers et disparates portés par le vent.

    Plusieurs Témoins. Source : Geipan.

    (2) Tilly-sur-Seulles (14) - Calvados - Normandie - France - juillet 1972 - entre 05 h 30 et 06 h 05  / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

    (3) Tilly-sur-Seulles (14) - Calvados - Normandie - France - 07/07/1901 - vers 19 h - jusqu'à fin juillet  / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

    Fatima avant l'heure

    Les 7, 8, 9 juillet 1901, un peu avant le coucher du soleil, et sporadiquement jusqu'à fin juillet 1901, de très nombreuses personnes observent une anomalie solaire qui projette une myriade de sphères lumineuses multicolores et de différentes dimensions (barils, ballons, noix, etc.) dont certaines produisent de la fumée noire en s'écrasant, qui virevoltent, se posent au sol, sur les arbres, les maisons et même les personnes, avant de s'évanouir instantanément, dont la taille diminuaient au fur et mesure qu'elles s'approchaient du sol, ainsi que des barres noires, formant des compositions diverses.

    Ces phénomènes, changement de couleur du ciel, ces sphères évanescentes et insaisissables, semblent émaner du soleil qui présente de nombreuses anomalies, auréole rose, changement de couleur, bouillonnement, giration sur lui-même, etc. Nombreux Témoins. Source : Gibert Cornu - LDLN n° 205.

    Apparitions Polymorphes

    En 1896, le 18 mars, et souvent depuis lors, la Vierge, y apparut dans un arbre, au champ Lepetit. De nombreuses personnes en témoignèrent, des mystiques eurent des extases et réussirent des guérisons. On accourut de toutes parts et beaucoup furent convaincus.

    Une Dame J. M., sous la foi du serment, déclara et écrivit : quelque chose s(enroulait autour de l'arbre en prenant la forme d'une statue recouverte d'un voile léger ; la figure est animée, les yeux sont flamboyants, le rire ironique ; tout l'ensemble de la physionomie effrayante à voir ; la Dame interrogea l'apparition :

    Qui êtes-vous ? et j'entends une voix très distincte me répondre : Légion.

    Au même moment, je vois un croissant qui se forme à la hauteur des pieds et dans ce croissant une multitude de têtes plus ou moins grimaçantes. Mais vous êtes donc des démons ?

    Et pourquoi prenez-vous cette forme ? Pour tromper la crédulité publique. Que voulez-vous ? Des hommages.

    Source : Le Tenneur René - Magie Sorcellerie et fantastique en Normandie -1979. La revue du monde invisible, 1898-1899.

    L'étoile du berger

    Avril 1896 - Les apparitions - La mère Tourneur, ménagère à Mesnil-Patry, se dit un soir : « Faut qu'j'aille vais par mé même c'que nos vait à çu Tilly-là ».

    Elle se rend donc au champ des apparitions, où elle prit l'étoile du berger pour la sainte Vierge.

    Aussi, très convaincue, arrachât-elle, avant de partir une branche à l'arbre miraculeux.

    En revenant, la brave femme s'arrêta de place en place pour prendre quelque réconfortant qui puisse lui redonner des jambes pour arriver chez elle.

    Ce fut le contraire qui se produisit, naturellement.... A la cinquième station, la mère Tourneur ne tenait plus debout. « Nom dé zou ! qu'elle se dit.... Chest pas dé Dieu possible... Chest pas la bonne sainte Vierge que j'ai vue... Chest putôt l'diable ».

    Et elle jeta la branche qu'elle avait cueillie, sans se douter que la faiblesse de ses jambes provenait non de ce qu'elle avait vu, mais de ce qu'elle avait bu. (source B. N.)

    Notre Dame de Tilly

    La Vierge Marie serait apparue entre 1896 et 1903  à Marie Martel.

    Celle-ci aurait eu plusieurs apparitions et reçu plusieurs messages (La Vierge est principalement apparue à Marie Martel. La jeune femme aurait eu plus de 300 visions et aurait reçu des messages, dont les Mystères du Rosaire, et des prophéties : "Tilly sera un grand Lourdes et Lourdes un petit Tilly".  Source : ICI).

    Une chapelle du Très Saint Rosaire fut donc construite en 1897 et les pèlerins affluèrent de toute part, de plus en plus nombreux, notamment pour la fête de l’assomption le 15 août.

    Ce lieu reste un mystère et contrairement à Lourdes, toutes ces apparitions ne furent jamais officialisées par l’église catholique.

    Une chapelle a été reconstruite en 1953  et aujourd’hui encore même si la foule est moins importante,  ce lieu reste très fréquenté. Source : Tilly-sur-Seulles.

    Mars 1852  - Le sectaire de la MiséricordeNos lecteurs se rappellent que, il y a quelques années, une sorte dé secte ( soit disant religieuse ) s'établit à Tilly-sur-Seulles, sous les auspices d'un certain Michel Vintras, et prit le titre D'œuvre de la Miséricorde.

    Après avoir purgé une condamnation correctionnelle pour escroquerie, le prophète Vintras est allé porté ses pénales hors de notre département. Mais la maison qu'il avait fondée à Tilly, renfermait toujours quelques fervents adeptes de sa doctrine, qui s'y livraient, à ce qu'il parait, à des exercices beaucoup moins inoffensifs pour la morale que des dissertations philosophiques.

    Hier matin, la justice se transporta, de très bonne heure, à Tilly, précédée par la gendarmerie, et elle fit cerner l'établissement des « Sectaires de la Miséricorde ».

    Les habitants du lieu, réveillés en sursaut, eurent beau protester, il leur fallut obéir aux mandats d'amener lancés contre eux, et suivre à Caen M. le commissaire central , qui avait été chargé de mettre ces mandats à exécution. Le résultat de cette razzia a été le dépôt provisoire à l'Hôtel-dieu de trois prêtres interdits et d'un laïque, et l'envoi temporaire dans le couvent de la Charité de quatre jeunes prêtresses auxquelles, sans nul doute, il devrait être beaucoup pardonné !....

    L'heureuse issue de cette expédition, conduite avec autant de vigueur que d'intelligence, a produit le meilleur effet sur notre population, qui se montre impitoyable pour tous les jongleurs, et surtout pour ceux qui osent mêler de certaines pratiques religieuses à leurs détestables orgies.

    A quatre heures du soir, précédées et suivies d'une foule énorme, les deux voitures arrêtées arrivaient en ville, sous l'escorte de la gendarmerie. Tous les ornements et images religieux trouvés dans la maison de Tilly ont été saisis par M. le commissaire central, et ce fonctionnaire a mis sous les scellés les objets qu'il ne lui a pas été possible d'emporter. (source : L’Indicateur de Bayeux)

    Janvier 1873 - L'Ouragan de dimanche  - Les prédictions de nos astronomes qui nous ont annoncé les tempêtes pour la dernière dizaine de janvier s'accomplissent.

    Un véritable ouragan s'est déchaîné dimanche au soir sur nôtre pays.

    Accompagné d'une pluie torrentielle, il a duré près de trente-six heures, torturant les arbres, faisant voler les ardoises, ébranlant les cheminées et retournant avec une prestesse de prestidigitateur les parapluies qui s'aventuraient dans les rues.

    Dans la soirée de dimanche, il a pris des proportions inquiétantes. Le vent mugissait d'une manière effroyable et menaçait d'enfoncer les fenêtres sous sa violence. Ces rafales étaient  accompagnées de grêle, d'éclairs et de tonnerre.

    Cet orage nous est également Signalé de Bayeux, de Lisieux, de Rouen, de Paris, etc...... A Paris surtout, sa violence a été extrême, la foudre a frappé plusieurs personnes, des passants et jusqu'à des voitures ont été renversés, des toitures enlevées, les spectacles interrompus même à l'Odéon, il y a eu un moment de panique indescriptible.

    Aux portes de Caen, la force de l'ouragan a brisé le calvaire de St-Pierre à un mètre du sol,  sur la route de Bayeux, un cabriolet a été enlevé et les voyageurs jetés sur le sol, la foudre est tombée sur divers points.

    A Tilly-sur-Seulles, l'ouragan à enlevé la toiture de l'église, renversé les murs, bouleversé les étables, déraciné les pommiers, une pierre énorme a été enlevée par le vent et transportée à plus de cinquante mètres. L'ouragan s'est dirigé vers le midi.

     

     

    Avril 1896 - Les apparitions En raison de l'importance que prennent ces faits, nous croyons devoir résumer, en quelques lignes, ce que nous avons déjà publié.

    — C'est le 18 mars, en récitant le chapelet en commun, que la vision miraculeuse est apparue à une élève de l'école des filles dirigée par des religieuses de Coutances. Non seulement les enfants, mais aussi les religieuses auraient été attirées par des lueurs surnaturelles. Néanmoins, les religieuses engagèrent les enfants à n'en rien dire. Pourquoi ? — Le bruit de cette vision se répandit cependant et parvint aux oreilles du curé de Tilly qui se contenta de prescrire aux religieuses de redoubler de prières.

    Les vacances de Pâques étant venues, les enfants s'en allèrent, mais l'apparition ne resta pas pour cela inactive. Le mercredi saint, elle s'adresse à Louise Polinière, grosse et vigoureuse fillette de 14 ans, en service chez une dame Travers, Louise Polinière cueillait de herbe pour les lapins quand elle se sentit attirée vers le champ de M. Lepetit. Elle s'agenouilla, dit son chapelet et aperçut l'apparition que, depuis, elle a revue et d’autres personnes aussi, notamment, Mmes Le jamtel, de Tournebu, Patry et Duvey, MM. Yon, lieutenant de pompiers, Arcade Noël, journalier, et Damoiseau, coiffeur à Caen, rue Saint-Jean. A celui-ci on avait demandé : « Si vous voyiez la sainte Vierge, qu'est-ce que vous feriez ? » — « Ah ! ma foi, répondit-il, je la saluerais. » A peine a-t-il dit cela, qu'il pâlit, se trouble, tire sa casquette et salue profondément. Il affirme depuis avoir vu, à ce moment précis, une grande clarté éblouissante dans la, direction du champ de l'apparition. — Quant à M. Lepetit, propriétaire du champ où a lieu la vision, homme très pieux, il a en vain regardé, mais il n'a encore rien vu. 

    Voilà pour le passé, au présent, maintenant. Depuis dix jours, les visions ont pris une forme plus accentuée. L'un de nos plus honorables concitoyens, M. René Boisard, négociant à Caen, homme de conviction, sans fanatisme, a été deux jours à Tilly. Le second soir, au dîner de l'hôtel Morel, auquel assistait M. Martine, boucher à Caen, qui n'a rien vu, il racontait que dans la journée, étant seul dans le champ, il avait vu, adossée à un arbre, une lueur blanchâtre, ayant la forme d'une femme mince, serrée à la ceinture par un ruban bleu. A différentes reprises, il avait détourné les yeux  de cette apparition, et, à chaque fois qu'il y reportasses regards, il la voyait très distinctement, mais sans éprouver cette émotion qu'un sincère croyant doit ressentir en présence d'une manifestation céleste.

    —M. Auguste Térond, voyageur de commerce, habitant Guéron, qui se trouvait au dîner, dit : « Monsieur, le récit sincère que vous venez de faire me décide, je ne suis pas religieux, mais ce soir j'irai voir ». M. Térond était sur le champ d'avoine depuis une heure, entouré de nombreuses personnes. Il allait se retirer sans avoir rien vu, lorsqu'il étendit le bras en s'écriant : « La voilà, la voyez-vous! c'est la Vierge ! elle est grande, son diadème est d'or avec perles jaunes et rouges », et comme ses voisins, qui ne voyaient rien, lui disaient : « Puisque vous la voyez, parlez lui ? » Il répondait : « Je ne puis pas ! » et il tombait à genoux sur la terre boueuse, pleurant, sanglotant et gémissant. Cette vision est apparue de neuf heures à minuit à M. Térond, mais à lui seul.

    Lundi dernier, une femme, de Torteval voit la Vierge et est prise d'une attaque de nerfs, il faut quatre personnes pour l'enlever. Le vendredi soir, Jean Madeleine, 50 ans, garde chez M. de Broglie, était à Tilly, priant, agenouillé au pied de l’arbre. Il aperçoit la Vierge, immédiatement un tremblement nerveux l'agite, ses traits se contractent, sa figure devient terreuse, il est en proie à une violente terreur. La crise passée, il déclare que la Vierge lui a parlé et que le lendemain, l'après-midi, il fera connaître le résultat de sa conversation avec la mère de Dieu.

    Le lendemain, arrivé auprès de l'arbre, les mêmes phénomènes nerveux se produisent, une sueur abondante lui coule sur la figure et alors, avec le ton d'un prédicateur, il s'écrie : « Vierge Immaculée, ô ma bonne Mère, je souffre. Vous m'avez choisi entre tous pour accomplir une mission, vous m'avez dit : Annoncez à mon peuple que je souffre, car je suis encore tachée du sang de mon fils et pour l'effacer, il faut prier ».  A ce moment, il se retourne vers l'assistance et crie d'une voix forte : « Peuple, priez, priez ! » il fut obéit immédiatement. Ensuite, il continue sur un ton déclamatoire : « Vous m'avez dit aussi, bonne Mère, que j'avais également deux taches du sang de votre Fils.

    Peuple, priez, priez ! » L'émotion est à son comble parmi les pieux fidèles. Jean Madeleine reprend ses sens petit à petit, la foule l'entoure et alors une chose incroyable se passe. « Regardez mon oeil, regardez mon coté » et  quelques-uns constatent la présence de deux taches rouges. Immédiatement le visionnaire se rend au presbytère pour y faire sa déclaration, où des centaines sont déjà enregistrées. Une demi-heure après, il reparaît sur le champ et donne une deuxième séance qui a eu autant de succès que la première. Le prince de Broglie va, assure-t-on, faire une situation exceptionnelle à ce garde qui est favorisé des confidences de la Ste Vierge et qui est tacheté du sang de Notre-Seigneur Jésus-Christ.

    Samedi, M. Delarbre, conseiller d'arrondissement de Troarn, a vu une Vierge très bien dessinée et Mme Le Jamtel, qui l'accompagnait, a vu la forme d'une chapelle.

    Cela veut dire que, sous peu, comme en Vendée, l'apparition demandera, en ce lieu, l'érection d'une chapelle qui deviendra miraculeuse. En attendant, on dépose des fleurs et de modestes souvenirs au pied de l'arbre sacré, et on fait ripaille dans le champ qui fut d'avoine, puis, en espérant l'apparition, on allume des cierges et on chante des cantiques. Louise Poliniêre voit toujours, mais sa vision s'est augmentée : a Vierge tient un enfant sur son bras.

    Mardi dernier, jour du conseil de révision, la Vierge s'est encore montrée, et si les membres du conseil et les conscrits ne l'ont pas vue, c'est qu'ils n'étaient pas en état de voir.

    Au dire de quelques personnes, des miracles se seraient encore produits : une fille de 21 ans, rabougrie, à demi idiote, marchant avec peine, avait été amenée par sa mère, qui habite Lingèvres. Tout à coup, la Vierge apparut et la jeune fille se mit à marcher, soutenue de chaque main, il est vrai, et fait ainsi deux cents mètres au milieu de la foule étonnée. Puis c'est un individu d'Audrieu qui a vu la vision au moment où il blasphémait. Du coup, il s'est converti.

    Mais ces visions produisent un singulier effet sur la plupart des voyants : les uns s'évanouissent et sont pris d'une terreur folle, il faut les relever. Les autres tombent à genoux, couverts de sueurs et gardent le lit à la suite.

    Voici les faits, nous les donnons pour ce qu'ils valent. Ces visions viennent-elles de la terre ? viennent-elles « du ciel ou de l'enfer ? » comme le dit « la Croix ». Ce n'est pas à nous, de trancher cet étrange interrogant, mais au clergé qui parait, jusqu'à ce jour, avoir accueilli ces visions avec une très grande réserve. Quoi qu'il en soit, c'est un joli coup de commerce pour les voitures, le chemin de fer et surtout pour les commerçants, car, en bonne mère, la Vierge de Tilly ne fait pas passer le goût du pain à ses visiteurs. Au contraire, ils sortent du champ d'avoine avec un besoin de se restaurer, qui doit faire l'affaire des gargotiers de l'endroit. Le nombre des visiteurs est innombrable.

    Dimanche, on en a compté plus de 4 000. Pour se rendre à Tilly, il y a le chemin de fer qu'on prend jusqu'à Audrieu, distant de cinq kilomètres. En outre, MM. Primois et Lépicier ont organisé des services quotidiens de voitures publiques. Pendant plusieurs soirs, des étudiants se sont rendus à Tilly en chantant sur l'air : « A Ménilmontant » : « La Vierge a paru seule... à Tilly-sur-Seulles... » (source, le  Bonhomme Normand).

     

     

    Avril 1896 - L’apparition de Tilly - Pendant que le propriétaire de la demoiselle Couesdon, avec l'assistance de messieurs les huissiers, force sa locataire à aller faire ses révélations sous d'autres toits, M. Lepetit, le propriétaire du champ d'avoine où apparaît la Vierge de Tilly, a fait placer un poteau blanc dans son champ avec ces mots : « Ici, on ne blasphème pas... » Ah! mais...           Malheur aussi à celui qui se permet une innocente plaisanterie, il est immédiatement expulsé, quelquefois rudement. 

    Toute la semaine, la Vierge est apparue. Mais, en éclipse capricieuse, elle ne se montré qu'à ses amis. L'un d'eux, un cultivateur qui hersait dans un champ voisin, a vu un matin la Vierge, haute de deux mètres, se promenant en robe bleue. Il est tombé à genoux et, d'émotion, a gardé le lit toute la journée. Les autorités du pays se sont aussi rendues sur les lieux. Le chef de la municipalité, lui, a cru apercevoir une petite lueur, mais un conseiller, moins myope, a vu distinctement la Vierge couronnée d'un diadème auquel il manquait une perle du côté gauche. Et si vous dites à cet illuminé qu'il était « ébéloui », il vous menace de vous passer son sabre à travers le corps. Au point ou en sont les choses, il est à craindre que des rixes n'éclatent entre les croyants et les incrédules. 

    Aujourd'hui, c'est par des centaines de personnes que le champ est visité. Ce sont de longues processions venant de tous les points du département. Les apparitions se produisent maintenant le soir. La petite vachère, dont certains membres de sa famille auraient été « possédés », est accroupie dans un fossé. Quand elle pressent que la Vierge va lui apparaître elle donne l'ordre aux assistants de s'agenouiller et d'entonner des chants sacrés. Puis quand elle voit, elle croise les mains et s'écrie : « Je vous vois !... Bonne sainte Vierge, que voulez-vous ?... Est-ce une chapelle, une église ? »         Hommes et femmes écarquillent les yeux. C'est alors un spectacle indescriptible, car on entend des femmes crier et tomber en syncope sur la terre délayée par la pluie. 

    La Vierge avait dit à la vachère, cause de tout ce remue-ménage, qu'elle parlerait à sa dix-huitième apparition. La dix-huitième est passée et la Vierge n'a pas causé. C'est dans un champ d'avoine, derrière un four à chaux, au-dessus d'un arbre, que la vision se produit. Aussi chaque croyant a-t-il emporté une brindille de cet arbre sacré qui est aujourd'hui complètement émondé. Comme il fallait s'y attendre, cette nouvelle Vierge a déjà fait des miracles : un sceptique, atteint d'une douleur à la  jambe, a été guéri en  se   frictionnant avec de l’écorce de l'arbre à la Vierge, et un enfant de 18 mois, ankylosé depuis sa naissance, s'est mis soudain à marcher. Le clergé, qui a fait jusque-là la sourde oreille, commence à se remuer et à rechercher d'où vient cette étrange vision qui pourrait bien être produite par ces sortes de phosphorescences qui s'échappent à de certains moments des fours à chaux. 

    A Paris, la demoiselle Couesdon a recommencé ses conversations journalières avec l'ange Gabriel. Elle a annoncé la chute du Ministère Bourgeois pour la fin du mois de Marie. 

    Un qui ne doit pas croire aux choses surnaturelles, c'est le Père Ernest, l'un des organisateurs de la grande fête de la Trappe. Le jeudi saint, on l'a surpris dans une maison galante, à Alençon. La police a dû le protéger contre la foule qui voulait infliger au galant Père une correction méritée, qui lui aurait, à tout jamais, enlevé l'envie de recommencer. (source, le Bonhomme Normand).

     

    Avril 1896 - Les apparitions - Cette semaine, la foule a continué d'affluer à TilIy-sur-Seulles. Le champ où ont lieu les visions offre maintenant un aspect assez curieux. Les abords en sont encombrés de marchands d'objets de piété, de cierges, et de vivres de toutes sortes. 

    Dimanche il y a eu environ 3 000 visiteurs. Il y avait même une marchande de cantiques remplaçant le marchand de chansons des foires populaires. Au bout du champ est une haie de grands arbres et de cépées, longée d'un fossé. Un de ces arbres est dépouillé de son écorce jusqu'après de deux mètres de hauteur : c'est l'arbre miraculeux, celui près duquel la Vierge se montre le plus souvent. Devant l'arbre, une certaine étendue de terrain est entourée de ronces artificielles. C'est dans cet espace que se met la petite visionnaire Louise Polinière et souvent le journalier Arcade Noël, qui vient presque tous les jours, mais, il fuit ceux qui veulent l'interroger sur ses visions et les malaises qui les ont suivies. 

    Au fond du fosse, brûlent devant l'arbre des cierges et des bougies, des bouquets sont suspendus dans les branches des arbustes voisins, autour de la clôture sont rangés les plus ardents croyants, qui chantent des hymnes et des cantiques et psalmodient de temps en temps : « Notre-Dame de Tilly, priez pour nous ». Quand la petite Louise Polinière et une autre fillette de l’école des Sœurs sont là, elles disent : « Notre-Dame de Tilly, priez pour nous. — Notre-Dame de Tilly, apparaissez aux incrédules. — Notre-Dame de Tilly, voulez vous qu'on vous bâtisse une chapelle ? — Notre-Dame de Tilly, faites connaître vos volontés ». 

    Mais la Vierge reste muette. (source : le Bonhomme Normand).

    Mai 1896 - Les dernières nouvelles - Là Vierge se montre de moins en moins. Les curieux l'imitent et diminuent chaque jour. L'évêque se fait envoyer, chaque soir, le compte rendu de ce qui s'est passé à Tilly dans la journée. 

    Un miracle un vrai, cette fois, s'est produit dimanche à Tilly. La liste municipale, dite des Incrédules, est restée sur le carreau. Ce sont les croyants qui ont passé. Parmi les anciens conseillers élus cinq avaient vu la Vierge, un nouveau était dans le même cas. Si les six autres n'ont rien vu, leurs femmes ont vu pour eux. Parmi les élus se trouve le patron de la  petite Louise Polinière. La Vierge lui devait bien cela. 

    L'autre jour, la dame du Tertre, demeurant à Caen, s'était rendue à Tilly pour voir si elle verrait quelque chose. Pendant qu'elle avait les yeux fixés sur l'arbre, on lui a enlevé, comme par miracle, son porte-monnaie contenant 70 fr. et une bague en diamants qu'elle estime à 300 fr. (source, le Bonhomme Normand)

    Mai 1896 - Les dernières nouvelles - Là Vierge se montre de moins en moins. Les curieux l'imitent et diminuent chaque jour. L'évêque se fait envoyer, chaque soir, le compte rendu de ce qui s'est passé à Tilly dans la journée. 

    Un miracle un vrai, cette fois, s'est produit dimanche à Tilly. La liste municipale, dite des Incrédules, est restée sur le carreau. Ce sont les croyants qui ont passé. Parmi les anciens conseillers élus cinq avaient vu la Vierge, un nouveau était dans le même cas. Si les six autres n'ont rien vu, leurs femmes ont vu pour eux. Parmi les élus se trouve le patron de la  petite Louise Polinière. La Vierge lui devait bien cela. 

    L'autre jour, la dame du Tertre, demeurant à Caen, s'était rendue à Tilly pour voir si elle verrait quelque chose. Pendant qu'elle avait les yeux fixés sur l'arbre, on lui a enlevé, comme par miracle, son porte-monnaie contenant 70 fr. et une bague en diamants qu'elle estime à 300 fr. (source, le Bonhomme Normand)

    Mai 1896 - A Tilly ! - Ce nouveau lieu de pèlerinage est en baisse, il y a eu, cette semaine, encore moins de monde que les précédentes. On cherche toujours d'où peut venir cette vision visible pour très peu. Un correspondant de la Croix, qui doit être un membre du clergé, car il connaît les sermons de saint Bernard par cœur, écrit : « Les faits dont Tilly est le théâtre ne sont pas de l'ordre naturel, ils me paraissent provenir d'une cause supérieure, être dus à une intervention soit divine, soit diabolique ». Ce correspondant ne croit pas au diable. Il a raison, car Satan n'a certes rien à gagner à cette recrudescence de foi plus étonnante encore que la vision elle-même. 

    Le champ Lepetit est toujours surveillé par des « triquards » qui insultent et frappent même ceux qui mettent en doutent les effets miraculeux de la vision. Jeudi soir, un visiteur a encore reçu un violent coup de canne sur la tête. Quelques jours auparavant, deux cents personnes menaçaient un officier ministériel qui soutenait que la petite infirme de Lingèvres ne marchait pas mieux que par le passé. Ce qui est exact, un prêtre, mêlé indirectement à cette bagarre, l'a reconnu depuis.

    Tous les autres soi-disant miracles : sont à l'avenant. Ce n'est pas vraiment la peine de se déranger pour ne rien voir et pour être insultés et frappés par les imbéciles qui se sont faits les « thuriféraires » de cette vision imaginaire. Les gendarmes ont dû s'en mêler, mais les habitants de Tilly voient avec peine leur intervention, car ils redoutent toujours que, par ordre supérieur, ils n'arrêtent la vision. (source, le Bonhomme Normand)

    Juin 1896 - Tilly-les-Visions - Les personnes qui viennent maintenant à Tilly sont presque toutes étrangères au pays. Le prestige est beaucoup moins grand depuis que le

    mois de mai est passé, sans que la Vierge ait parlé autrement que par des signes de tête. 

    Vendredi, très peu de visiteurs. La Polinière est seule dans l'enceinte réservée aux visionnaires. Après quelques cantiques, elle aperçoit la Vierge, puis elle s'en va. 

    Samedi, même répétition. Dimanche, dans l'après-midi, le garde du prince de Broglie donne trois représentations. Mêmes phénomènes que précédemment, c’est-à-dire tremblement nerveux, sueur, figure contractée, etc... Le soir, environ cent personnes. La Polinière reste seulement quelques minutes et disparaît sans avoir vu. La chose n'est pas étonnante, car une douzaine de pochards faisaient un tel tapage que véritablement, la Vierge ne pouvait se présenter. L'un chantait Magnificat, l'autre, Laudate, et un troisième : « J'ai perdu mon innocence ». 

    Lundi soir, une jeune fille de Paris, âgée de 14 ans, déclare voir la Vierge. Mardi, représentation habituelle. (Source  : Le Bonhomme Normand).

    Juin 1896 - Tilly-les-Visions - Les personnes qui viennent maintenant à Tilly sont presque toutes étrangères au pays. Le prestige est beaucoup moins grand depuis mois de mai est passé, sans que la Vierge ait parlé autrement que par des signes de tête. 

    Vendredi, très peu de visiteurs. La Polinière est seule dans l'enceinte réservée aux visionnaires. Après quelques cantiques, elle aperçoit la Vierge, puis elle s'en va. 

    Samedi, même répétition. Dimanche, dans l'après-midi, le garde du prince de Broglie donne trois représentations. Mêmes phénomènes que précédemment, c’est-à-dire tremblement nerveux, sueur, figure contractée, etc... Le soir, environ cent personnes. La Polinière reste seulement quelques minutes et disparaît sans avoir vu. La chose n'est pas étonnante, car une douzaine de pochards faisaient un tel tapage que véritablement, la Vierge ne pouvait se présenter. L'un chantait Magnificat, l'autre, Laudate, et un troisième : « J'ai perdu mon innocence ». 

    Lundi soir, une jeune fille de Paris, âgée de 14 ans, déclare voir la Vierge. Mardi, représentation habituelle. (Source  : Le Bonhomme Normand)

    Juillet 1896 - Une épidémieDécidément, c'est une épidémie, car nous lisons dans le « Moniteur du Calvados » : « Un jeune employé du lycée de Caen est tombé tout à coup en extase, tout comme s'il se trouvait à Tilly. La Vierge lui est apparue ; il l'a cru du moins. 

    Un médecin de l'établissement présent, pour voir si la vision était objective ou subjective, a mis quelque chose devant les yeux de l’enfant, mais ce dernier s'est hâté d'écarter l'objet qui l'empêchait de voir ». 

    — Si le mal se propage et gagne les pions, les professeurs et le haut personnel de notre lycée, il faut s'attendre à voir le proviseur tomber en extase et voir, sous la forme de la Vierge, la charmante devineresse de pensées du cirque Lenka, dont il a dû garder un profond souvenir. (Source  : Le Bonhomme Normand)

    Juillet 1896 - Une épidémie - Décidément, c'est une épidémie, car nous lisons dans le « Moniteur du Calvados » : « Un jeune employé du lycée de Caen est tombé tout à coup en extase, tout comme s'il se trouvait à Tilly. La Vierge lui est apparue ; il l'a cru du moins. 

    Un médecin de l'établissement présent, pour voir si la vision était objective ou subjective, a mis quelque chose devant les yeux de l’enfant, mais ce dernier s'est hâté d'écarter l'objet qui l'empêchait de voir ». 

    — Si le mal se propage et gagne les pions, les professeurs et le haut personnel de notre lycée, il faut s'attendre à voir le proviseur tomber en extase et voir, sous la forme de la Vierge, la charmante devineresse de pensées du cirque Lenka, dont il a dû garder un profond souvenir. (Source  : Le Bonhomme Normand)

    Juillet 1896 - Toujours Tilly - Selon le désir du chanoine Brettes, des fouilles sont faites, en ce moment, au pied de l'arbre miraculeux, mais on n'a encore rien découvert. 

    Une statue de la Vierge a été envoyée de Paris pour être érigée dans le champ des miracles. Cette cérémonie a été remise à plus tard. En attendant, la paroisse de Tilly a été consacrée dimanche au Sacré-Cœur de Jésus. Le sermon a été fait par un prêtre de Paris, qui a déclaré que Tilly pouvait être classé parmi les lieux de pèlerinages recommandés. 

    A Tilly, les étrangers sont de plus en plus nombreux, quelques-uns y sont installés en permanence et mènent le mouvement en faveur de Marie Martel, la population reste toujours très sceptique en ce qui concerne cette voyante. C'est la Polinière qui a les préférences des Tillois. (Source  : Le Bonhomme Normand).

    Juillet 1896 - Tilly-les-blagues - L'abbé Gombault et le chanoine Brettes, qui sont déjà venus à Tilly, doivent y revenir, s'ils n'y sont déjà. Le chanoine vient pour présider aux fouilles qu'on doit faire à l'endroit de la vision, dans le fossé où la Polinière, la Laisné et la Martel ont remué le sol avec leurs ongles et avec leurs dents, au dire des personnes qui croient, dur comme fer, aux simagrées de ces demi folles. 

    Quant à l'abbé Gombault, sa mission serait plus délicate : il s'agirait de convertir l'une des voyantes, qui a, en ce moment, paraît-il, un cas des plus intéressants sur la conscience. (Source  : Le Bonhomme Normand).

    Octobre 1896 - Tilly et le mauvaise tempsMieux que les discours, les éléments ont raison de la crédulité humaine.

    Par ces temps de chien, on ne voyait pas un chat, certains jours, à Tilly, excepté le dimanche, jour de promenade. Les visionnaires du dehors étaient rares aussi, et laissaient le champ libre à la Polinière et à la Martel.

    Une Bayeusaine est revenue cependant pour voir la Vierge qui lui était précédemment apparue, cette fois, elle lui a demandé la construction d'une chapelle. S'il faut en croire Marie Martel, la Vierge de Tilly est capricieuse, elle ne se montre pas ou se tient à distance quand il y a, dans l'assistance, des visages qui ne lui plaisent pas. (Source  : Le Bonhomme Normand)

    Janvier 1897 - De plus en plus fort - Nous avons annoncé que le comte Legonidec était mort à la suite d'un refroidissement attrapé sur le champ miraculeux de Tilly. La famille du défunt a fait brûler de nombreux cierges devant la niche de la Notre-Dame-de-Tilly. Rien à dire, toutes les croyances sont respectables. 

    Mais il parait que Louise Polinière aurait été invitée à demander à l'apparition la place exacte que défunt Legonidec occupe dans l'autre monde. La Polinière est tombée en extase et a posé la question à la Vierge qui lui serait apparue en souriant, ayant à sa gauche une religieuse et à sa droite le comte Legonidec, couronné de roses et couvert d'un vaste manteau blanc. La Polinière aurait même déclaré que cette apparition lui aurait fait « une fiée poux », car le comte a paru s'avancer vers elle. 

    Quel beau sujet de Furetage, si le respect des morts ne nous arrêtait pas ! (source, le Bonhomme Normand).

    Janvier 1897 - Comme on arrive au ridicule - Une constatation qui n'a pas encore été faite, c'est la façon dont les visions du champ de Tilly ont grossi depuis huit mois. Au début, c'était un nuage, puis la vision a pris du corps, elle s'est affublée de robes roses et bleues, elle s'est décorée de banderoles, ornée de diamants. Ennuyée de se montrer seule, la Vierge de Tilly a ensuite fait appel aux archanges et aux séraphins. Après, c'a été les tableaux du chemin de la Croix, avec le Christ et ses bourreaux. Là ne doit pas s'arrêter la progression, car, ces jours-ci, la Polinière a vu de nouveau M. Legonidec, mort récemment d'un refroidissement attrapé sur le champ de Tilly, apparaître derrière la Vierge. Il était encore couronné de roses et couvert d'un manteau bleu. Au milieu de son extase, la Polinière, qui ne paraît pas pour la dépense, s'est écriée, en tendant les mains et en se traînant dans la boue dont elle avait plein le nez : « Bonne mère ! bonne mère ! emmenez-mé avec moussieu l'Gonidec ! ».

    Au début des apparitions, les voyantes se contentaient de prier, puis elles sont insensiblement arrivées à faire la causette avec les apparitions. Enfin, la veille de Noël, Louise Polinière s'est mise à chanter un cantique que lui soufflait sa « bonne et sainte mère. » Allons, à quand la grosse caisse ? (source, le Bonhomme Normand)

    Février 1897 - Tilloiseries - Malgré la neige et le mauvais temps, il y a encore quelques curieux sur le champ des apparitions. La Polinière y vient tous les deux jours. Elle rit, elle chante, elle pleure et mange de la terre du champ Lepetit qui est, paraît-il, un tonique fortifiant, car la grosse fille est loin de maigrir. 

    Quant à Marie Martel, elle se fait de plus en plus rare. Lorsqu'elle vient au champ, c'est en carriole, d'où elle ne descend que pour faire quelques pas et tomber toujours en extase, volontairement ou non, devant la boutique du même marchand de bibelots, qui en profite pour faire son petit commerce. (source, le Bonhomme Normand).

    Janvier 1898 - Ça ne va plus - Les visiteurs du champ miraculeux de Tilly deviennent de plus en plus rares. La foi s'en va et les clients aussi. Les voyants eux-mêmes commencent à  douter. Les uns ferment boutique, les autres passent leurs affaires à d'autres thuriféraires. Pour secouer le zèle des curieux, une circulaire abracadabrante vient de paraître. En  somme, la vierge de M. Lepetit n'est pas contente. Elie ne veut plus de basilique, et si l'indifférence continue elle menace d'enlever Marie Martel au ciel  et d'emmener Louise Polinière loin de ces lieux où la croyance est de si courte durée.

    Quant à Marie Martel qui avait promis, pour la fin de 1897, les plus grandes catastrophes, elle ne sait plus quoi répondre quand on lui demande ce qu'elle voulait dire. Les choses en sont arrivées à un point que le Moniteur du Calvados lui-même en est aujourd'hui à dire : « Les gens sérieux s'éloignent de plus en plus du champ Lepetit où ils n'ont plus rien à faire. S'il y a eu des phénomènes curieux à étudier, le temps en est passé. La religion n'a plus rien à voir avec les fumisteries qui se passent maintenant. ». Il y a longtemps que nous avons dit cela. (source, le Bonhomme Normand).

    Décembre 1898 - Reprise des séances tilloises -  La société de la Vierge dans l’œil a recommencé ses représentations merveilleuses sur le champ des miracles de Tilly. 

    Le 8 décembre, à l'occasion de la fêté de la Conception, il y a eu une séance extraordinaire avec projections célestes. La figure de Marie Martel a été éclairée à giorno, et les  assistants ont vu, dans les « châsses » de cette fille hystérique : oeil droit, une forme indécise garnie d'une ceinture bleue, oeil gauche, la Vierge de Tilly telle qu'elle est gravée sur  les médailles frappées en son honneur. 

    Cette nouvelle série de visions coïncide avec la mise en mouvement d'un service d'automobiles sur routes desservant la région tilloise. Mais, pour que ces représentations miraculeuses puissent être suivies, un vrai miracle est indispensable : faire monter les côtes aux trains Scott, sans qu'il soit besoin de pousser à la roue. (source, le Bonhomme Normand).

    Novembre 189  - Tout lasse, tout passe  - Une lectrice du Bonhomme nous demande ce que deviennent les visions de Tilly.

    C'est en dégringolade, comme tout ce qui s'appuie sur la bêtise humaine. Il y a encore une dizaine, de visiteurs étrangers qui viennent à Tilly, principalement au moment des fêtes de la Vierge, voilà tout.

    La vision ne se montre plus à Marie Martel. Elle lui tient toujours « le crachoir », non pas sous l'orme miraculeux, mais dans une pièce à côté.

    Le bruit a couru que le curé de Tilly avait été suspendu de ses fonctions de doyen à la suite de certain voyage à Lourdes et remplacé par le curé de Fontenay. Ce bruit ne parait pas fondé. Mais ce qu'il y a de certain, c'est que M. l'abbé Marquet, supérieur du grand séminaire, a été remplacé non pour raison de santé, mais parce qu'il a laissé dire sans protester, dans l'Écho du Merveilleux, qu'il avait été guéri miraculeusement par Notre-Dame de Tilly. Il circule même, à ce sujet, une amusante histoire de chasuble que nous raconterons un jour.

    On a fort remarqué que Mg Amette est venu dans les environs de Tilly présider de petites fêtes religieuses, mais qu'il s'est bien gardé de faire une entrée sensationnelle dans le bourg miraculeux.

    On n'y voit pas non plus l'ombre d'une soutane. Quand le curé a besoin d'assistants, il est obligé de s'adresser aux moines de Mondaye.

    Mg Amette est un prélat trop convaincu pour ne pas comprendre que de pareilles momeries font plus de mal que de bien à la religion (source, le Bonhomme Normand).

     

    Août 1901 - Ballons et vessies  -  Avec la belle saison et le retour des baigneurs sur notre littoral, il fallait s'attendre à voir se produire quelque phénomène nouveau sur cette terre féconde de merveilleux de Tilly-sur Seulles pour attirer les étrangers. En remplacement des visions de Marie Martel; quelque peu démodées, on a vu une myriade de petits ballons multicolores voltigeant devant le soleil, qui s'est mis de la fête en tournoyant avec l'entrain d'un soleil de feu d'artifice. Ce phénomène, présage de terribles catastrophes, au dire des visionnaires, est attesté par plusieurs témoins, y compris le curé de Tilly, dont la crédulité intéressée n'a pas encore reçu l'approbation de Monseigneur l'évêque de Bayeux.

    Mais, pour ne pas laisser tomber dans l'oubli Marie Martel et sa vierge, on raconte leur dernier miracle : Un aubergiste de l'endroit, Henri Morel, était atteint d'un mal de vessie. Son médecin, le Dr. Vauquelin, lui avait dit qu'il faudrait lui faire une opération pour laquelle il demanderait l'assistance de l'un de ses confrères de Caen. Entre temps, l'aubergiste consulta Marie Martel, et lorsque les médecins se présentèrent, ils durent rengainer leurs bistouris. Le malade était guéri grâce à l'introduction d'un petit morceau de bois de l'arbre miraculeux au pied duquel Marie Martel s'est tant roulée et a roulé tant de gens. Les deux docteurs crièrent au miracle ! Il n'y avait pas de quoi, cependant, car ces histoires de ballons et de vessies n'ont rien d'extraordinaire dans un pays où on les prend si facilement pour des lanternes. (Source : Le Bonhomme Normand).

    Août 1901 - Tilly et ses miracles - La vierge de Marie Martel, représentée par le Sacré-Cœur, lui a annoncé de grandes calamités. On signale sur nos côtes des quantités de marsouins qui détruisent les poissons et, dans les jardins, des myriades de chenilles qui hachent les légumes. Est-ce le début des calamités annoncées.         (Source : Le Bonhomme Normand). 

    Septembre 1901 - Le revers de la médaille  - Nous avons raconté que le sieur Henri Morel, hôtelier à Tilly-sur-Seulles, avait été guéri d'un mal de vessie par l'intercession de Marie Martel et l'application d'un morceau du bois de l'arbre du champ Lepetit dans lequel ont eu lieu les apparitions.

    Nous n'inventons rien, car Henri Morel a raconté sa guérison miraculeuse dans une longue lettre adressée à Monseigneur l'évêque de Bayeux, aussi incrédule que nous en cette circonstance. Mais il paraît qu'aujourd'hui la vessie de ce bon monsieur Morel fonctionne de plus en plus difficilement et qu'il y a avoir, de nouveau, recours à Marie Martel et à son morceau de bois.

    L'infortuné malade attend ce second miracle avec une vive anxiété, car, s'il ne se produisait pas, les médecins devraient l'opérer.

    Comme on le voit, toutes les médailles ont leur revers, même celle de Tilly-les-Miracles. (Source : Le Bonhomme Normand).

    Janvier 1903  -  Au théâtre de Tilly - Les Spectateurs qui se sont, sur lettre d'invitation, rendus à la dernière représentation du théâtre des miracles de Tilly on été volés. La vierge du champ Lepetit ne s'est pas montrée. Elle boude Marie Martel.

    Par ce temps de « traite des blanches », elle trouve sans doute que sa protégée pousse un peu loin l'ingénuité en courant les champs, malgré ses 28 ans, les cheveux sur le dos et les jupes au-dessus des chevilles, comme une petite fillette de douze ans au plus. . (Source : Le Bonhomme Normand) 

    Mai 1903  -  A Tilly - Dimanche dernier, grande réunion à Tilly-les-Miracles. On avait annoncé des miracles, notamment la guérison de l'aveugle dont nous avons parlé, il n'y a eu aucune guérison, la Vierge prétendant que i'on n'avait pas prié avec assez de ferveur, sans doute à cause de la pluie.

    La chaleur religieuse de Marie Martel était telle que ses vêtements séchaient à mesure, disent les visionnaires.         (Source : Le Bonhomme Normand)

    Septembre 1903 -  Marie Martel, d’après le R. P. Lesserteur  -  « Je vous salue, Marie, pleine de grâces, de piété et de pureté, soyez bénie entre toutes les filles, car le Sacré-Cœur est avec vous, ainsi que le curé Guéroult et le restaurateur Morel... ».

    Voici à peu près en quels termes s'exprime le R. P. Lesserteur, auteur de la biographie de la voyante de Tilly, qu'il nous parait ne voir qu'avec les yeux de la foi.. Marie Martel est mieux connue de ses contemporains. Née à Cristot, en 1872, elle fut nourrie avec du lait de vache non baptisé et du chocolat du Bonhomme normand.

    Ses premières années se passèrent avec peu d'éclat. Elle sortit de l'école sans avoir son brevet supérieur, puis se livra à la couture et aux amusements de son âge et de son sexe. Marie Martel n'avait rien d'une sainte jusqu'au jour où elle apprit que les enfants de l'école de Tilly avaient aperçu, à travers les arbres dû champ du bienheureux Lepetit, quelque chose qui ressemblait à une image d'Épinal. Marie Martel y courut. Là où les enfants n'avaient vu qu'une enluminure, elle prétendit voir une femme d'une beauté céleste dont les pieds foulaient une banderole blanche sur laquelle était écrit : « Je suis l'Immaculée! ».

    — La première vision remonte à 1896. Il y a sept ans ! et Tilly, grâce à une habile réclame, est toujours visité par des pauvres d'esprit et par des malades ne sachant à quel saint se vouer. Cependant, le nombre des visiteurs est de moins en moins grand. Est-ce parce que Marie Martel n'est pas en odeur de sainteté auprès des évêques et des archevêques ?

    Mgr Amélie ne peut pas la sentir et l'archevêque de Toulouse vient d'interdire de lire l'opuscule où le R. P. Lesserteur fait un ange de l'ex-couturière de Cristot. (Source : Le Bonhomme Normand).

    Avril 1904 - Un juge de paix dans l’embarras  - C'est celui du canton de Tilly-sur-Seulles. Personne ne veut le loger. Il est allé frapper à toutes les portes ; il s'est adressé à son amie Marie Martel pour la prier de demander à sa Vierge de faire un miracle en sa faveur. Elle a fait la sourde oreille. 

    Toutes les portes sont restées closes. Ce nouveau juge errant est venu se réfugier à Caen, d'où il se rend tous les quinze jours à Tilly pour tenir audience. Seulement, dans la crainte de manquer le train, il les écourta. Si on lui écourtait aussi son traitement, ne serait-ce pas justice ? (Source :Le Bonhomme Normand).

    Novembre 1904 - Le fils du prophète  -   Le médecin en chef de l'hôpital français, à Londres, M. Achille Vintras, vient de mourir à Brighton dans une maison de santé qu'il avait fondée. Le docteur Vintras n'était autre que le fils du fameux Vintras, le voyant de Tilly-sur-Seulles, qui avait inventé les apparitions bien avant la Martel. (Source  : Le Bonhomme Normand).

    Octobre 1909 -  Les saintes villas -  Nous avons dit que le champ des Miracles de Tilly-sur-Seulles avait été acheté par une dame Coetloquet, pour le prix de 500 080 fr. La somme a été versée et les formalités judiciaires accomplies. D'autres achats ont été aussi faits en cet endroit par des croyants ou des spéculateurs. Toutes les maisons du hameau de Saint-Pierre, voisines du champ Lepetit, ont été achetées à prix d'or et sur leurs ruines se sont élevées des villas auxquelles on a donné les noms de tous les saints du Paradis. 

    C'est ainsi que l'usine à papier illustrée, par les orgies da Vintras et de ses adeptes, après avoir été purifiée par le curé de la paroisse, a été baptisée du nom de villa Saint-Benoît. Il  n'y a pas encore de villa Ste Marie Martel, mais cela viendra, certainement. (Source : Le Bonhomme Normand).

    Février 1913  -  La secousse sismique  -  La secousse sismique a été ressentie fortement dans la région de Tilly. Dans le bourg même, plusieurs personnes, réveillées en sursaut se  dressèrent effarées dans leur lit qui leur semblait soulevé de terre et elles entendirent comme une explosion.  

    Octobre 1913  -  La mort de la voyante  -  On annonce la mort de Mme Marie Martel, la célèbre voyante de Tilly, qui eut à son heure de célébrité et qui était tombé dans l'oubli  depuis plusieurs années. Âgé de 42 ans, elle vivait chez Mme Veuve Émile Henry, propriétaire. On se rappelle, au temps de prétendues apparitions, Marie Martel eut le don de faire  venir à Tilly des foules innombrables. [USHC].

    Mars 1842 -  On nous écrit  - A la date du 9 mars : La nuit qui vient de s'écouler n'a été qu'une longue tempête. Depuis dix heures du soir jusqu'au lever du jour, les vents d'ouest, sud-ouest ont soufflé avec une impétuosité inouïe. La fureur de l’ouragan était telle que des parties de toits se détachaient à chaque instant et allaient au loin achever de se briser sur les pavés de nos rues.

    On redoute fort d'apprendre quelles sinistres maritimes ont eu lieu. Puissent les bateaux pêcheurs de nos côtes n'avoir pas été assaillis en mer, avant leur retour, par le déchaînement subit de cet orage épouvantable ! Puisse-t-on n'avoir à enregistrer aucuns de ces désastres trop fréquents qui accompagnent la vie aventureuse de ces pauvres pêcheurs.

    On apprend que le vent a fait dans la commune d'Allemagne des ravages considérables, plusieurs maisons sont lézardées. d'autres, et c'est le plus grand nombre, ont perdu leurs couvertures, les grues servant à l'exploitation des carrières ont été brisées et leurs débris semés dans la campagne.

    A Caen, plusieurs arbres de nos promenades publiques ont été renversés, sur le Cours-la-Reine, quatre platanes gisent déracinés, sur le grand cours, trois ormes antiques, l'orgueil de cette belle promenade, ont été brisés en éclats à la naissance des premières branches, et leurs fûts gigantesques ont été lancés jusque dans la rivière qui paraît près de déborder.

    — Nous lisons à ce sujet dans le « Haro » : Cette nuit de mercredi à jeudi, une violente tempête a éclaté sur notre ville et aux environs. Dès hier au soir, le vent, le tonnerre et les éclairs présageaient une mauvaise nuit. Ce matin, nos rues étaient jonchés de tuiles, d'ardoises, de carreaux, de persiennes, de tabatières, etc… Sur les deux cours, plusieurs arbres ont cédé sous la violence du vent. Il en est deux surtout sur le grand cours que leur age et leur force semblaient devoir protéger, et qui ont été déracinés. La toiture de la caserne de Vaucelles a, dit-on, beaucoup souffert, la rose des vents qui se trouve au-dessus du pavillon de l'Hôtel-de-Ville, a été inclinée, une maison en construction sur la hauteur du calvaire de Vaucelles a été enlevée.

    —Le courrier d'Alençon a couru de grands dangers dans la ville de Falaise, où les tuiles tombaient comme grêle, a la sortie de la ville, un hêtre déraciné a failli tuer les chevaux.

    Sur la route de Caen à Tilly, plusieurs maisons, dont le toit est en chaume, ont été découvertes entièrement, et la toiture portée à une certaine distance. Un grand nombre de pommiers sont déracinés ou brisés.

    A Bretteville, une maison s'est presque écroulée, et un enfant, nous dit-on, serait dangereusement blessé par les débris.

    La guérite de la place du Sépulcre a été renversée, nous dit-on, et transportée à une assez grande distance, nous n'avons pu vérifier le fait.

    Nous craignons d'apprendre de plus grands sinistres, nous redoutons surtout les nouvelles maritimes. (Source  : L’indicateur de Bayeux).

    Mai 1927 - Les méfaits de l'orage -  Avec les premières chaleurs sont arrivés les premiers orages. D'une façon générale, ces pluies violentes ont fait le plus grand bien aux cultures mais certains accidents, causés par la foudre sont à déplorer :

    À Fierville-les-Parcs, canton de Blangy-le-Château, un bœuf et une vache prête à vêler, appartenant M. Goulley, ont été tués.

    De même à Fontenay-le-Pesnel ou une vache, à M. Pieplu, a été foudroyée.

    Tout près de là, à Tilly-sur-seulles, le fluide est tombé sur le bureau de poste, interrompant les communications téléphoniques.

    A Argences, il est tombé en 20 minutes 41 millimètres d'eau ce qui, de mémoire d'homme, ne s'était jamais vu. Aussi, par suite de l'insuffisance des égouts, les rues ont-elles été un  moment transformées en torrents et de nombreux rez-de-chaussée inondés.

    Enfin, à Pont-l'Évêque, un poteau télégraphique, route de Lisieux, a été sectionné par la foudre qui est également tombée sur le garage Even, rue d'Alençon, où les dégâts ont été  purement matériels. [Un siècle d'histoire du Calvados].

    [Les épisodes orageux, le phénomène de la foudre, ouragans, tempêtes, ou les aurores polaires et les lueurs célestes inhabituelles, accompagnent généralement l'émergence des Portes Induites/Vortex/Pontifex/Portex/ Puits à énergie potentielle. NFO].

    Géolocalisation des Sabbats 

    Aux environs de Vassy (14), le village de Jean-le-Blanc (14), Beaumont-le-Roger (27), le mont Bonnet Vire (14), les rochers de Clécy (14), la butte Brimbal entre Sourdeval (50) et Tinchebray (61), la mare de Bouillon (50), dans la forêt de Néhou (50), à Méautis (50), aux bois d'Etenclin (50), aux bois de Lithaire (50), forêt de Barnavast (50), dans la contrée du Theil (50), dans la contrée de Saussemesnil (50), le mont Margantin (61), Gaillefontaine (76), à Bully-la-Fosse (76), à Aliermont (76), au Mesnil-Esnard (76), à Londinière (76), à Fréauville (76), à Pont-Angot (61), sur la Dives vers Vicques (27), à Louviers (27), à Gisors (27), à Tosny (27), à Saint-André et Saint-Georges-de-Bohon (50), le mont Etenclin près de la Haye-du-Puits (50), Montchauvet (14)

    Sources : Le Tenneur René - Magie Sorcellerie et fantastique en Normandie -1979.

    Tinchebray (61) - Orne - Normandie - France - 22/09/2012 - 22 h 20 / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

    Un soir ma voiture tombe en panne a 19 h 10 dans l'orne a Flers comme je n'ai pas de téléphone portable je ne peux pas prévenir ma compagne que je serrais en retard.

    Alors je me dis qu'il n’y a que quelques kilomètres et qu’une personne me prendra en stop pour rentrer à Tinchebray.

    A 3 kilomètres de chez moi il était 22 h 20 j’entends un drôle de bruit je me dis c'est quoi cette voiture qui fait un bruit bizarre je regarde derrière puis devant rien pas de voiture alors je lève les yeux vers le haut et la je vois derrière les nuages des lumières qui tournaient sur rond autour d'une seule fixe au milieu.

    Tout à coup, elles se mettent à tourner de plus en plus vite, et elles s’arrêtent brutalement.

    Au début je me suis dis c'est un luminaire de boite de nuit mais il n’y a pas de boite de nuit dans les parages et d’autant que ces luminaires sont silencieux.

    Au bout de 10 minutes plus rien, ni bruit ni lumière.

    Je ne flippe pas pour rien mais là, seul dans le noir, mon cœur c'est mis à battre, comme si j’avais fait les kilomètres en courant.

    Arrivé chez moi, je n'ai rien dis à ma compagne par crainte qu’elle me croit sous le coup dérangé, et je ne lui ai dit que le lendemain, car je ne pouvais pas garder ça pour moi tout seul. Depuis quand je sors le soir, j’observe toujours le ciel. Lulu. 01 Témoin. Source : Grépi.

     

    Extrait du Catalogue de Normandie - France - Ovnis : Seine-Maritime (76), Orne (61), Manche (50), Calvados (14)
     
    Vous pouvez nous aider à vous informer sur les ingérences des ovnis en nous communiquant les nouvelles ou les anciennes observations de Normandie (témoignages ou presse) à ufo.genpi@gmail.com ou en les publiant publiquement. Merci d’avance.
     
    Torchamp (61) - Le Pâtre-Sorcier

    Vers 1870, vivait dans la région de Bagnoles-de-l'Orne (61) un pâtre-sorcier nommé Bridonne qui allait de village en village, toujours accompagné de sa louve, Finette, que l'on craignait tous les deux. Toutes les poules de la contrée moururent inexplicablement. On pensa aussitôt au sorcier Bridonne qui se trouvait à Ceaucé (61). Plusieurs paysans courageux se mirent à l'affût : un soir, l'un deux aperçut dans le cimetière de Torchamp une forme noire et un loup qui grattait la terre sur une tombe fraîche. Le paysan n'hésita pas et lâcha ses deux coups de fusil. Tout disparut dans la nuit. On revit plus ni Bridonne ni sa louve ; l'épidémie cessa. A quelques temps de là, des bûcherons trouvèrent dans une cabane des bois du mont Margantin, un cadavre méconnaissable, devenu noir et sec comme une momie. On pensa qu'il s'agissait du sorcier Bridonne.

    Source : Revue de Bagnoles de-l'Orne, N° 162, 1938.

    Torchamp (61) - Orne - Normandie - France - 09/03/2007 - dans la soirée  / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

    Le 9 mars 2007, des objets volants insolites sont observés au dessus du domicile d'un habitant de Torchamp. Légèrement paniqué, Monsieur Alain X. fait appel à la gendarmerie qui envoi une patrouille.

    Les gendarmes ne peuvent malheureusement pas identifier l'objet et reconnaissent en savoir aussi peu que le témoin.

    Le témoin principal partage alors son expérience avec quelques membres de sa famille dont un cousin d'Alençon. Deux jours plus tard, son cousin [probablement en recherche d'un objet similaire] aperçoit effectivement des objets insolites au dessus d'Alençon. Il songe à sortir son appareil photo et prend 60 clichés. 01 Témoin. Source : Grépi. Ovni61 - Orne.

    Torchamp (61) - Le Pâtre-Sorcier

    Vers 1870, vivait dans la région de Bagnoles-de-l'Orne (61) un pâtre-sorcier nommé Bridonne qui allait de village en village, toujours accompagné de sa louve, Finette, que l'on craignait tous les deux. Toutes les poules de la contrée moururent inexplicablement. On pensa aussitôt au sorcier Bridonne qui se trouvait à Ceaucé (61). Plusieurs paysans courageux se mirent à l'affût : un soir, l'un deux aperçut dans le cimetière de Torchamp une forme noire et un loup qui grattait la terre sur une tombe fraîche. Le paysan n'hésita pas et lâcha ses deux coups de fusil. Tout disparut dans la nuit. On revit plus ni Bridonne ni sa louve ; l'épidémie cessa. A quelques temps de là, des bûcherons trouvèrent dans une cabane des bois du mont Margantin, un cadavre méconnaissable, devenu noir et sec comme une momie. On pensa qu'il s'agissait du sorcier Bridonne.

    Source : Revue de Bagnoles-de-l'Orne, N° 162, 1938.

    Tordouet (14) - Calvados - Normandie - France - 27/09/2008 - entre 18 h 30 et 19 h / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

     

    Tournai-sur-Dive (61) - Orne - Normandie - France - Août 2003 - presque minuit / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

     

     

     

    Août 2003, dans un petit village de campagne qui se nomme Tournai-sur-Dive, pas loin de Argentan et de Trun :


    " Il est pratiquement minuit, je suis chez mes parents, j'étais dans le salon et décide de monter les escaliers pour aller dans ma chambre, comme d'habitude ma fenêtre est toujours ouverte le soir, afin que je puisse tout le temps regarder l'horizon et surtout le ciel étoilé, je remarque à l'horizon quelque chose de lumineux qui attire fortement mon attention, je vois une point lumineux assez intense qui prend de l'altitude et qui en perd assez régulièrement, l'objet en question montait et descendait d'une manière rectiligne et assez lentement, j'ai donc pris le temps de regarder le spectacle au moins pendant 1-2 min. 

    Je décide d'appeler mon frangin, il déboule dans ma chambre regarde le phénomène, moi j'étais comme un gosse content de la trouvaille qu'il avait remarqué, malheureusement mon frère me dit :" cela doit être un avion ou un hélicoptère ", je lui ai ai rien dis de peur qu'il soit surpris de ma réaction, il s'en va tranquillement dans sa chambre, et moi je reste devant le spectacle en train de bien analyser, ce qui m'a paru étrange c'est le fait qu'il n'y eu aucun bruit car on aurait dû entendre quelque chose au loin.

    A ce moment je me suis dis mentalement que je paierais très cher pour que je puisse voir un tel OVNI de plus près, je fus très attiré par tous ces phénomènes depuis déjà assez bien longtemps et j'en n'avais jamais vu un avec exactitude.


    C'est alors que au loin je remarque qu'il n'y a plus la même intensité de lumière l'objet semble se déplacer en direction de la maison de mes parents " Mon dieu ! "; je décide donc de sortir par la porte d'entrée, je regarde au ciel directement, il n'y a rien à première vue, jusqu'à que je vois l'objet arriver, c'est un objet triangulaire avec sur chaque sommet des lumières rouges/jaunes ; l'objet n'émanait plus sa vive lumière que je voyais a l'horizon, je pouvais voir parfaitement les contours de l'objet car le ciel dégagé + étoilé avec une pleine lune me permettait cette description ; je dirais qu'il était à 100 m de distance au dessus de moi, il est passé avec une extrême lenteur et encore mieux sans aucun bruit, je fus plus que ravi de voir en extase cet objet !

    Mon souhait fut réalisé, j'ai senti une drôle d'impression, l'impression que l'on me saluait du haut de cette machine, j'ai ressenti également le non-besoin d'aller chercher mes parents ou mon frère, d'ailleurs je ne sais pas trop pourquoi ?

    j'ai regardé cet ovni jusqu'à sa disparition à l'horizon, il continuait son bout de chemin toujours aussi lent de manière rectiligne, j'étais aux anges d'avoir vécu une telle chose, je pense que cela m'a rendu encore plus curieux et cela a profondément changé ma vision personnelle sur toutes choses".

    Je pense que tout cela s'est passé sur environ une période de 10 min, je tiens à dire que j'étais très sobre à ce moment, aucune substance ingurgitée rien ; depuis je suis de plus en plus passionné par beaucoup de sujets qui touchent à ce genre de phénomènes.

    Pour la description de l'aéronef, que dire ?

    Cet objet de l'horizon à chez moi a fait 10 km en 15 s, selon moi. Temps dégagé, presque aucun nuage, ciel étoilé, pleine lune, en toute honnêteté, je n'ai vu que les contours d'un gros triangle rempli de noir avec un rythme de lumières à chaque extrémité des sommets de ce triangle (jaunes/rouges : lumières alternatives) et je commence à douter de ces couleurs, maintenant, cela fait 3 ans, et je pense que j'ai dû oublié pas mal de détails à mon grand regret.

    La 1ère localisation de l'objet est dans la région de Chambois, connue dans l'histoire de la 2nde guerre, nommé le Couloir de la Mort, et à 3-4 km de chez moi existe une carrière.

    Ce qui me disait que cet aéronef n'était pas de technologie humaine : sa forme triangulaire, son extrême lenteur, son avancement sans perte d'altitude, rectiligne parfaite, et surtout aucun bruit de moteur, rien ; j'entendais seulement une chose le vent qui soufflait légèrement, c'était indescriptible, et émouvant, d'ailleurs, ça me manque beaucoup, j'ai été peiné de voir l'aéronef partir au loin et du fait aussi que j'en ai plus revu, par contre cela est un registre totalement différent, j'ai fait de très nombreux rêves ou projections astrales sur ce genre d'entité.

    Le vœu que j'ai formulé dans mon esprit aurait été capté, perçu ou ressenti, je pense par ces entités ont répondu à mon souhait de voir un de ces " OVNI " plus près, car le fait se réalise juste après, coïncidence ? Je ne pense pas.

    Pour exprimer plus en détail, j'ai ressenti une présence, quand cet objet est passé en dessus de moi, pas une présence qui dérange plutôt une présence rassurante ; je crois qu'ils m'ont fait ressentir que nous étions pas seul, loin de là.

    Moi je l'ai plus perçu comme : " nous te saluons, voila on est au dessus de toi, n'aies pas peur " ;  c'était très émouvant, car à l'époque il me fallait une preuve concrète, voire matérielle de ces phénomènes, je l'ai eu, et je leur en suis très reconnaissant. Eloeüs. 02 Témoins. Source : Space OVNI - Le forum du site OVNI - Infos : Ufologie, Astronomie, Technologies, Energies, Aviation.

    Tournai-sur-Dive (14) - Pierre Levée de Montmilcent

     

     

    La Pierre au Bordeu, ou Pierre du Bordeu ou encore Pierre levée de Montmilcent, est un menhir situé à Tournai-sur-Dive, dans le département français de l'Orne.   Le menhir est un bloc de grès de 3,30 m de hauteur. Source : Wikipédia. 

    Torchamp (61) - Orne - Normandie - France - 09/03/2007 - dans la soirée / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

    Le 9 mars 2007, des objets volants insolites sont observés au dessus du domicile d'un habitant de Torchamp. Légèrement paniqué, Monsieur Alain X. fait appel à la gendarmerie qui envoi une patrouille.

    Les gendarmes ne peuvent malheureusement pas identifier l'objet et reconnaissent en savoir aussi peu que le témoin.

    Le témoin principal partage alors son expérience avec quelques membres de sa famille dont un cousin d'Alençon. Deux jours plus tard, son cousin [probablement en recherche d'un objet similaire] aperçoit effectivement des objets insolites au dessus d'Alençon. Il songe à sortir son appareil photo et prend 60 clichés. 01 Témoin. Source : Grépi. Ovni61 - Orne.

    Torchamp (61) - Le Pâtre-Sorcier

    Vers 1870, vivait dans la région de Bagnoles-de-l'Orne (61) un pâtre-sorcier nommé Bridonne qui allait de village en village, toujours accompagné de sa louve, Finette, que l'on craignait tous les deux. Toutes les poules de la contrée moururent inexplicablement. On pensa aussitôt au sorcier Bridonne qui se trouvait à Ceaucé (61). Plusieurs paysans courageux se mirent à l'affût : un soir, l'un deux aperçut dans le cimetière de Torchamp une forme noire et un loup qui grattait la terre sur une tombe fraîche. Le paysan n'hésita pas et lâcha ses deux coups de fusil. Tout disparut dans la nuit. On revit plus ni Bridonne ni sa louve ; l'épidémie cessa. A quelques temps de là, des bûcherons trouvèrent dans une cabane des bois du mont Margantin, un cadavre méconnaissable, devenu noir et sec comme une momie. On pensa qu'il s'agissait du sorcier Bridonne.

    Source : Revue de Bagnoles-de-l'Orne, N° 162, 1938.

    Touffréville (14)

    (141) Touffréville - interconnexion surnaturelle/ovnigène : 02/6/33.33%

    Mutilaion mortelle - Décembre 1885 - Ignoble vengeance - Une jument d'un an, appartenant au sieur Amédée Dudouit, demeurant à Touffréville, a été tuée à coups de couteau, dans la nuit. On croit à un acte de vengeance dont les auteurs sont recherchés. [Un siècle d'histoire du Calvados].

    [Les mutilations relèvent de la catégorie des sacrifices propitiatoires, des pratiques incantatoires et évocatoires magico-occultistes du sadisme-masochisme, lié au rite du baptême du sang. NFO].

    Juin 1898 - Disparition - Le sieur Louis Godard, cultivateur à Touffréville, est disparu de son domicile depuis le 23 mai dernier. (Source  : Le Bonhomme Normand).

    [Les disparitions inquiétantes de personne sont mortelles dans 29 % des cas, provisoires dans 30 % des cas et continuelles ou définitives dans 41 % des cas. La concordance territoriale entre les épicentres des apparitions des ovnis et les disparitions inquiétantes accrédite la thèse de l’ingérence parasitaires des exogènes-polymorphes comme principaux acteurs de ces disparitions, de même que le factuel des états somnambuliques des personnes disparues/retrouvées et qui montrent les symptômes identiques de désorientation, d’amnésie, de perturbation psychique, de missing time, etc. des RR4 ou des phénomènes dits des abductions ufologiques. NFO].

    Tourlaville (50) - Manche - Normandie - France - 06/05/2012 - vers 23 h 16 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

     

     

    Le témoin (titulaire d'une Licence), 56 ans, Inspecteur des Douanes : Mon domicile est à proximité de la mer de la Manche. Orienté NNNE.. Vers 23 h 16 le 6/05, comme souvent, j'observe la mer de ma terrasse.
    et je suis très habitué aux mouvements de navires, aéronefs, feux de position etc.

    Le phénomène décrit constitue une première depuis 27 ans.
    Apparaissent au dessus de la toiture d'une maison éloignée de 70 m, située en contre-bas latéral NE de la mienne, 4 points lumineux oranges forts , dans un positionnement correspondant aux angles d'un parallélépipède non rectangle. Suivis d'un 5ème séparé.

    Secteur de provenance au début de la visualisation : Dans l'axe approximatif de Brighton GB.

    Semblant se diriger parallèlement à la côte du Cotentin. Vitesse d'apparence constante, compte tenu du rapprochement face à ma vision. Trajectoire d'apparence horizontale. Les points se sont rapprochés en fin de parcours, ce qui sous-tendrait un virage final.

    Élévation et distance, inconnues, mais estimables. Si la distance se situe à 15/20 km : Parcours d'une trentaine de km dans le laps de temps. Élévation 1500 m. D'où vitesse élevée.
     C'est en fait très subjectif, selon la distance du lieu de visualisation (à 400 m en retrait de la mer, altitude 27 m) et du trajet des points lumineux.

     Vu en début à l’œil nu, puis suivi aux jumelles sur lesquelles je me suis précipité. Rien d'autre à voir que les tâches oranges, très vives.

     La course a semblé s'infléchir dans la phase finale vers le NO ou N. Celle-ci repérable selon le positionnement d'une planète (ou satellite ?) actuellement très visible depuis plusieurs jours.

     Pas de son spécifique type hélico ou avion.

    Le phénomène a semblé s'éteindre en altitude plutôt que disparaître par éloignement. 01 Témoin. Source : Géipan.

    Les Pierres Couplées

    Les Pierres Couplées, appelées aussi Pierres Encouplées, étaient une allée couverte située à Tourlaville, dans le département français de la Manche, en Normandie. L'édifice, classé au titre des monuments historiques en 1887, fut détruit en 1890 pour construire une redoute militaire.   C'est le monument mégalithique le plus anciennement mentionné pour le département de la Manche : Gilles-Pierre de Chantereyne le mentionne dans un manuscrit consacré à l'histoire de Cherbourg daté de 1773. Les fouilles réalisées cette même année entrainent la destruction partielle du monument à son extrémité est et la disparition de toutes les tables de couverture sauf une. Vers 1830, L. Ragonde parvient à éviter la destruction du monument par des carriers.

    L'édifice fait l’objet d’un classement comme cromlech au titre des monuments historiques en 1887 à la demande du commandant Jouan. En mars 1890, le génie militaire construit à peu de distance une redoute pour surveiller la rade de Cherbourg et détruit le monument dont les pierres furent récupérées dans la construction de l'édifice.   L'allée mesurait 15 m de longueur. Elle était orientée est-ouest. Sa largeur variait de 1,10 m à 3,50 m côté est, avec une moyenne à 2,50 m. Léon Coutil en dressa un plan en 1895. L'allée comportait alors huit orthostates côté nord et cinq côté est, mais elle en aurait comporté initialement quatorze de chaque côté. Une dalle de 1,40 m de longueur placée verticalement côté est pourrait avoir servi de fermeture. La seule table de couverture qui demeurait après les fouilles de 1773 mesurait 2 m sur 1,10 m. Toutes les dalles étaient en arkose.
    Lors de sa destruction, deux haches polies de couleur noirâtre furent découvertes par les ouvriers. Sources : Wikipédia.

    Tourretot (76) - Cany-Barville (76) - Criquetot-l'Esneval (76) -  Seine-Maritime - Normandie - France - 21/08/2015 - vers 17 h / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

     

    Mise à jour de la carte le 17/03/2023

    Les Apparitions Ovnis et les Manifestations Surnaturelles et lignes de Ley – Go

    Criquetot-l'Esneval : avion de tourisme, OVNI ou météorite ? Le mystère du crash s'éclaircit

    Que s'est-il passé vendredi dernier vers 17 heures dans les environs de Criquetot-l'Esneval ? Plusieurs habitants ont sollicité gendarmes et sapeurs-pompiers, indiquant avoir observé une « boule de feu » dans le ciel.

    Trois témoignages concordants sur les lieux et horaires de passage du phénomène et donc pris au sérieux par les forces de l'ordre. Quelques minutes plus tard, une salariée de l'Intermarché de Criquetot-l'Esneval racontait avoir entendu une « déflagration »« On avait l'impression qu'un engin rasait le toit du supermarché ». À Turretot, deux personnes expliquaient avoir vu un avion de tourisme en difficulté. « Il volait à basse altitude. Ce qui nous a choqués le plus, c'est qu'il ne faisait aucun bruit. À aucun moment nous n'avons entendu le moteur redémarrer », indiquaient les deux hommes au moment de leur arrivée au centre d'incendie et de secours de Criquetot-l'Esneval.

    Recherches sur terre et dans les airs

    Une caserne transformée en quartier général afin de piloter les opérations de reconnaissance menées sur terre par les gendarmes, assistés des agriculteurs locaux, et, dans les airs, par Dragon 76. Pendant trois heures, l'hélicoptère a balayé un large périmètre entre Vergetot, Turretot, Saint-Sauveur d'Emalleville et Criquetot-l'Esneval, pour s'élargir ensuite du côté d'Écrainville, lieu supposé du crash. Attendant un appel radio, une trentaine de sapeurs-pompiers se tenaient prêts à intervenir. En vain, aucune fumée n'était constatée dans le secteur tandis que l'aéroport de Deauville indiquait aux militaires ne pas avoir perdu d'appareil en vol. Même son de cloche du côté des aéro-clubs des environs.

    Les recherches étaient suspendues dans la soirée pour être finalement arrêtées le lendemain. S'agissait-il d'une météorite ou d'un OVNI ? Observé à plusieurs endroits dans un même secteur, cet étrange objet volant ne sera jamais identifié. Une enquête a été ouverte par la Gendarmerie. Elle est toujours en cours. Les militaires s'orientent vers un tir de fusée de détresse qui arrivait à expiration. « Un phénomène constaté le même soir du côté de Cany-Barville. C'est l'hypothèse la plus probable », confie une source proche de l'enquête.

    Source : Plusieurs Témoins - Courrier Cauchois du 28/08/2015.

    (1) Tosny (27) - Eure - Normandie - France - 05/11/1990  / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     Sources : https://www.youtube.com/@woouuhtv3419 - (42) Reconstitution en vidéo des témoignages du 5 Novembre 1990 – UFOmania Documentaires OVNI - YouTube

     

    (2) Tosny (27) - Eure - Normandie - France - 15/05/1973 - 03 h 10  / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

    Le témoin Echivard J. P. est en Promenade en voiture, il met en route son transistor et n'obtient que des sifflements. Il aperçoit alors à 400 m une lueur au-dessus des arbres. Il observe alors un objet lenticulaire d'aspect métallique de couleur blanc-jaune lumineux mais non éblouissant. L'objet suit une trajectoire rectiligne d'abord à vitesse lente, puis plus rapide, disparition en s’estompant progressivement. 01 Témoin. Source : LDLN, n° 259 / 260. 

    Touffréville (14) - Mutilaion mortelle

    Décembre 1885 - Ignoble vengeance - Une jument d'un an, appartenant au sieur Amédée Dudouit, demeurant à Touffréville, a été tuée à coups de couteau, dans la nuit. On croit à un acte de vengeance dont les auteurs sont recherchés. [Un siècle d'histoire du Calvados].

    Juin 1898 - Disparition - Le sieur Louis Godard, cultivateur à Touffréville, est disparu de son domicile depuis le 23 mai dernier. (Source  : Le Bonhomme Normand)  

    Tourville-la-Rivière (76) - Seine-Maritime - Normandie - France - 08/02/2004 - à environ 18 h 35  / foyer surnaturel /ovnigène (cluster) 

    Un Crash de Rien !

     

     

    Dimanche 8 février 2004, à environ 18h35, je sors accompagné de ma petite amie du complexe cinématographique de Grand-Quevilly (76) où nous sommes allés voir "la planète bleue". Nous nous dirigeons vers l'A13 Rouen/Paris en direction de notre domicile.

    Arrivés sur les hauteurs de Tourville-la-Rivière, nous avons vu descendre légèrement en diagonale à assez vive allure un objet dégageant une lumière interne bleue avec quelques effets rouges pour finir par disparaître derrière la forêt dans les clairières de Criquebeuf-sur-Seine.

    Nous avons aussitôt contourné la forêt pour voir ce qu'il s'y passait derrière, au pire, fumée provenant d'un crash de je ne sais quoi ou au mieux, je laisse faire marcher votre imagination. Mais rien de tout ça !

    Après un tel impact de par la vitesse à laquelle l'objet descendait, je pense que ça aurait dû faire du bruit, de la fumée, bref quelque chose, mais, à ma grande déception, la seule chose qu'il nous reste depuis cet évènement, c'est le doute total sur ce que nous avons vu.

    Je pense simplement que ce que nous avons vu ce soir-là, est extrêmement étrange et je tenais simplement à en faire le récit afin peut-être, avec un peu de chance, rassembler d'autres témoins à ce su

    jet. Stéphane (France). 02 Témoins. Source : Grépi.

    Tourville-la-Rivière (76) - L'If Magique


    XVIIé siècle : A Tourville, on parlait d'un if dont l'ombrage magique faisait perdre à l'imprudent qui s'y reposait toute possibilité de retrouver son chemin et même tout désir de le poursuivre. Il s'endormait sans retour, sauf si un passant, ayant mis au préalable sa veste à l'envers, le réveillait.

    Tourville -sur -Sienne (50) - Transformisme au XIXe siècle

    Au milieu du XIXe siècle, le sieur Douville, fermier du Haut-Manoir, voyant ses bêtes mourir anormalement, ses récoltes pourrir, ses arbres se dessécher, comprit qu'il était victime d'un sorcier ; le sieur Douville savait qu'un sorcier pouvait revêtir la forme d'un animal mais conserver son poids initial, ayant remarqué un chat noir inconnu, il scia le barreau d'une échelle aux 3/4, après plusieurs soirs d'attente, le fermier vit le chat grimper à l'échelle, le barreau céda et l'animal tomba lourdement : Douville lui écrasa la tête d'un coup de talon et stupéfait, il vit qu'en s'écoulant le sang laissait réapparaître la forme première : c'était celle d'un sorcier de Gratot (50) nommé Lecoq qui, tout le monde le savait, voulait le ruiner afin d'obtenir à bon compte la ferme du Haut-Manoir (50).

     Source : A. Marquez Le Bouais Jan 1899.

    Toutainvillle (27)  - Eure - Normandie - France - 05/04/1976 - 22 h 30 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster) 

     

     

    Pêche Nocturne d'une Noosphère

     

    Le témoin, Mr.  Cunière J. , prenait l'air quand il a aperçu, pendant 04 mn, à 200 m, une boule rouge (estimée par le témoin avoir un diamètre de 30 m) se déplaçant en ligne droite d'Ouest-Est, à vitesse lente, sans bruit, au-dessus du plan d'eau de Toutainville, vers le nord.

    Elle avait la grosseur de la pleine lune, elle a disparu en clignotant. 01 Témoin. Source : LDLN n° 236.

    Triqueville (27) Eure - Normandie - France - 12-20?/07/2006 - aux alentours de minuit  / foyer surnaturel /ovnigène (cluster) 
     
     

    Témoignage bien tardif car mon observation date de l'été 2006 (ciel dégagé et étoiles visibles) mais il demeure toujours inexpliqué pour moi.

    Un soir alors qu'il fait nuit noir, aux alentours de minuit, je suis couché sur un lit à l'étage dans une maison de vacances et je regarde par le vasistas (orienté sud sud-ouest). Mon attention est tout de suite captée par ce qui me semble être 3 étoiles plus lumineuses que les autres, formant donc un triangle qui me semble être équilatéral. Au bout de 10 à 20 secondes d'observation à ma grande surprise chaque point lumineux se met à bouger, accélérer et partir chacun dans une direction différente jusqu'à ne plus être visible de ma fenêtre d'observation. La trajectoire de l'ensemble me paraissait contrôlée.

    J'ai donc vu ce triangle s'agrandir de manière régulière (je veux dire par là que chaque lumière est partie dans une direction opposée, en respectant globalement la formation observée) et disparaitre. La durée entre le début du déplacement et la disparition de mon champ de vision n'est plus très nette dans mon souvenir mais il doit s'agir de 2-3 secondes maximum.

    Ce que je peux dire c'est que cet évènement m'a marqué, je n'en ai parlé qu'à ma femme et à 2 ou 3 personnes. Je suis passionné d'aviation, je ne connais aucun engin capable de faire ça, accélérer si vite depuis une formation immobile dans le ciel. Je n'ai aucune photo du phénomène, à l'époque pas de smartphone et ça s'est passé trop vite. J'espère surtout par ce témoignage pouvoir y trouver une explication qui m'échappe ou d'autres personnes qui ont vu exactement la même chose.
     
    Je certifie sur l'honneur l'exactitude des renseignements communiqués et l'authenticité des documents fournis. Je ne sais pas identifier ce phénomène merci à l'avance pour vos réponses. Cordialement akmotte. Source : Les Mystères des Ovnis.
     
    Troarn (14)
     

    Juillet 1861  -  La comète  -   A mesure que la comète, espèce de fusée stellaire, s'avance dans sa trajectoire hélicoïde pour s'en aller se perdre dans l'infini de l'espace, sa queue change de direction. C'est ainsi que, dans les premiers jours de son apparition, cette queue s'en allait de nord-nord-ouest à sud-sud-est. Aujourd'hui, elle a pris la direction du Sud, comme si, en tournant sur sa trajectoire, elle devait toujours avoir la tête du noyau tournée vers le soleil. ( L’Ordre et la Liberté ).

    [La conception des étoiles filantes, des comètes, des aurores polaires, des lueurs célestes inhabituelles, etc. diffère pour les Anciens de celle des Modernes, qui les appelaient des Météores (= esprits de lumières célestes) et qui les identifiaient à des entités spirituelles et non à des objets matériels ou phénomènes physiques. NFO]. 

    Novembre 1869 - Fait divers - On remarquait la semaine dernière, dans le jardin de M. Valdompierre, maître d'hôtel à Troarn, un singulier effet de végétation. C'était un poirier de  sucré vert, à haute tige, déjà ancien et d'une certaine étendue, qui était littéralement couvert de fleurs d'une belle conformation, ainsi qu'on les voit au mois de mai. Quand nous l'avons vu, une partie des pétales jonchait le sol, et le fruit entrait dans la période de sa formation.  [Un siècle d'histoire du Calvados].

    Août 1871  -  Fait divers  - Un singulier phénomène de végétation se fait remarquer en ce moment, dans le jardin de M. Lamare, ouvrier, demeurant à Troarn. Un pommier nain, jeune, frais et vigoureux, est couvert de pommes de reinette grise parvenues à leur maturité. A côté du fruit et sur toutes les branches, on voit un grand nombre de fleurs parfaitement écloses comme à l'époque de la floraison, ainsi que beaucoup de bourgeons à fleurs qui s'ouvrent chaque jour aux rayons du soleil. Quelques esprits superstitieux, en voyant ce phénomène curieux et extraordinaire, prétendent que cette végétation intempestive est un signe de mortalité qui doit arriver chez lui dans l'année.  [Un siècle d'histoire du Calvados].

    [L'émergence des Portes Induites/Vortex/Pontifex/Portex/ Puits à énergie potentielle, génèrent des mutations singulières. NFO].

    Octobre 1871  -  Fait divers  - Dans la nuit de vendredi à samedi, un malfaiteur resté inconnu, s'est introduit dans une pièce en herbe, située à Troarn, où se trouvait au pâturage un bœuf appartenant au sieur Bissonnet, demeurant en ce bourg, et s'est livré envers cet animal à des voies de fait tellement violentes qu'il est dans un état de souffrance qui donne des craintes sérieuses. On suppose que cet acte de sauvage brutalité et le résultat d’une basse vengeance.  [Un siècle d'histoire du Calvados].

    [Les mutilations relèvent de la catégorie des sacrifices propitiatoires, des pratiques incantatoires et évocatoires magico-occultistes du sadisme-masochisme, lié au rite du baptême du sang. NFO].

    Février 1872  -  Fait divers  - La Normandie a eu dimanche soir le spectacle d'une aurore boréale, ou pour dire plus exactement, d'une aurore polaire. A six heures, après avoir passé par leurs phases ordinaires de mobilité et d’éclat divers, deux colonnes éblouissantes, sillonnées de traits de feu jaune et pourpre, se sont réunies au zénith, pour y former une couronne, dont l’aspect a semblé donner raison à ceux qui soutiennent cette opinion, que ce météore est dû à la matière magnétique qui s’enflamme comme de la limaille de fer.

    On eut dit qu'un obus gigantesque venait d’éclater à des espaces incommensurables, allait couvrir la terre de ses débris.

    Puis les pluies du météore, obéissant au mouvement de rotation de l'atmosphère qui les entraînait prirent des nuances plus sombres, et finirent par disparaître, pour ne plus laisser dans le nord qu'un immense rideau de pourpre, qu'à minuit et demi, avait entièrement disparu.

    Comme de juste, ce phénomène météorologue a donné lieu aux commentaires les  plus étranges, car une croyance populaire veut que le retour de ce, phénomène soit

    l’annonce d'un événement important. C’est signe de mort, disaient les un. C'est signe de sang, c'est signe de revanche, disaient les autres. A l'avenir de prononcer.  [Un siècle d'histoire du Calvados].

    [La conception des étoiles filantes, des comètes, des aurores polaires, des lueurs célestes inhabituelles, etc. diffère pour les Anciens de celle des Modernes, qui les appelaient des Météores (= esprits de lumières célestes) et qui les identifiaient à des entités spirituelles et non à des objets matériels ou phénomènes physiques. NFO]. 

    Octobre 1903 -  Enterrements à rebours  -   Est-il vrai qu'un curé du canton de Troarn se refuse à laisser enterrer les morts suivant les anciens usages, c'est-à-dire les pieds au levant et la tête au couchant ? Ce curé ne croit probablement pas à la résurrection et n'est pas ferré sur les rites catholiques, car, dernièrement encore, il a fait retourner un cercueil, malgré la volonté de la famille et les murmures des assistants. (Source : Le Bonhomme Normand).

    [Les pratiques rituelles inversées sont la signature des adeptes de l'autre monde, appelés les contraires. NFO].

    Troarn, ancienne abbaye Saint-Martin 1048

    L'histoire de cette abbaye ne s'arrête pas à cette façade. En effet, un très beau sarcophage a été découvert dans les ruines de l'abbaye. Il s'agit d'un sarcophage datée d’avant le milieu du XIème siècle. finement sculptée, on pense qu'il s'agirait du tombeau de Hugues Ier de Montgommeri, apparenté au fondateur de l’établissement canonial qui a précédé la création de l’abbaye bénédictine. [Pigani.net]

     du Buisson (14) - Calvados - Normandie - France - 28/08/2013 - entre 14 h 50 et 14 h 54

    L’inscription est la suivante (transcription et traduction d'après Maylis Baylé, source Mondes Normands) :

    + CVM ILLE M SVMMVS M RERV(m) M OPIFEX [I]NT(er) M MUNDA(ne) / CVNDI/CIONIS EXORDIA SAPIENCIA P(er)LVST(R)AVIT M VII [M I]DVS M F(e)B(ruarii) OBIIT HVGO MIL(es) R(egis) [A]NTE ATRIVM HOC REQVIEVIT HVGO MILES RICARDI REG[IS] NORMANDORVM / IVSSIO FACTA EST

    "Alors que parmi tous les bienfaits de la condition terrestre, le Créateur Souverain de Toutes Choses l’avait comblé du don de sagesse, Hugues, chevalier du roi, mourut le 7 des ides de février. Devant ce porche a reposé Hugues, chevalier de Richard, roi des Normands, dont l’ordre a été accompli".

    Trois-Monts (14)

    Juillet 1912  -  Les petits bénéfices  -  Jules François, 21 ans, grand valet chez M. Wilfrid Férault, 61 ans, cultivateur, à Trois-mont, est accusé par se dernier d'avoir arraché le crin de la queue de ses chevaux, lui causant un préjudice qu'il évalue à 1000 francs.

    Me Maurice Dupont, défenseur de M. François dit que le chiffre d'évaluation est exagéré, et qu'en fait François n'apprit que pour 1,50 à 2 francs de poils à des chevaux qui les  perdaient ayant la gale.

    Me Dupont insiste sur le fait que les grands valets, de par la coutume du pays, ont droit aux raclures, aux peignures des chevaux qu'ils soignent : c'est leur petit bénéfice. D'autre part, François, qui venait de la Manche, a fait la toilette des percherons de M. Férault comme sans doute, dit-il, on leur coupe les crins plus s'ils étaient des chevaux de la Manche, où ras. Enfin l'avocat demande l'indulgence pour un jeune homme qui va partir au régiment et qui n'a pas d'antécédents.

    Mais, le tribunal, en raison de la gravité du préjudice, se montre sévère et condamne François à quatre mois de prison avec sursis et 25 francs d'amende. [USHC].  

    [Le crin des chevaux sert à confectionner des amulettes-magiques NFO].

    (1) Trouville-sur-Mer (14) - Calvados - Normandie - France - 24/05/2014 - vers  00 h 30 / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

    Il faisait nuit, vers 0 h 30, j’étais avec un ami quand tout-à-coup, par la fenêtre, nous avons vu l’apparition d’une grosse boule rouge couleur feu qui se déplaçait à très grande vitesse, et quelques secondes plus tard (environ 5 secondes), plus rien. Julius. 02 Témoins. Source : Ovni-France.

    (2) Trouville-sur-Mer (14) - Calvados - Normandie - France - 17/07/2010 - 03 h 30 / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

    17/07/2010 - Trouville-sur-Mer - Calvados - Normandie - France - 03 h 30

    Voila je n'ai moi même assisté à aucune observation d'ovni jusqu'à aujourd'hui, mais mon petit frère de 18 ans m'en a fait la confidence.

    Il me raconte avoir l'habitude de fumer une cigarette à la fenêtre de sa chambre lorsqu'il rentre de soirée avec ses amis. Dans la nuit du 16 au 17 juillet 2010 vers 03h30 du matin, il me dit apercevoir une lumière blanche qui venait de derrière sa chambre, plus éblouissante qu'un lampadaire, c'est ce qui l'a choqué.

    En se penchant et en observant le ciel, un ovni de forme triangulaire ayant un feu de couleur rouge a chaque extrémité et un feu de couleur blanche au milieu passer au dessus de sa tête à une hauteur très basse à ses dires (dans les 100 ou 200 m).

    Cet ovni se serait déplacé à une vitesse assez lente pendant une certaine distance avant de disparaître à une vitesse incompréhensible.

    Je fais se témoignage en son nom car lui a été très effrayé par cette vision et ne veut en parler que le moins possible.

    Je précise que le lieu de l'observation (chez mes parents) se situe à Trouville-sur-Mer, dans le Calvados, en Basse Normandie. 01 Témoin. Source : Les Mystères des Ovnis - Forum.

    (3) Trouville-sur-Mer (14) - Calvados - Normandie - France - 11/10/1966 - de 06 h à 06 h 15 / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

     Lundi, à 17 h 30, Mr. Henri Huve se rendit à son colombier, rue du Manoir à Trouville, afin de lâcher, comme à l'accoutumée, ses pigeons-voyageurs pour la volée du soir qui dure 30 minutes.

    A la nuit, 08 pigeons manquaient à l'appel, et d'autres se mêlaient à son effectif. Mardi 11 octobre, très tôt, à 05 h 40, lorsqu'il faisait encore nuit, il décida de venir recevoir ses oiseaux manquants.

    En attente, fouillant du regard les alentours, le ciel couvert d'étoiles, à o6 h, mon regard se porta ver le nord-ouest où je vis come une étoile filante venir de la mer, mais assez haute.

    Puis cet objet lumineux se mit en pallier (à l'horizontale) et s'achemina vers le sud-est, très doucement, à une altitude de 55 à 700 m, environ. Parfois il semblait faire dur sur-place et je dus régler ma vue sur les étoiles et la lune, sous laquelle il passa, cette dernière brillant d'un quartier à sa base et vers l'est.

    Cet objet me sembla scintiller de lumière en circonférence, puis il se mit à décrire des mouvement de gauche à droite. Il allait disparaitre lorsque Mr. Fernand Gauthier, demeurant à la Cité d'Urgence de Trouville, sortait de chez lui. Je l'appelais et il constata la présence de l'objet lumineux et mobile. S'enfonçant plus à l'est, ce dernier s'estompa et disparut complétement, sans avoir laissé entendre aucun bruit. Il était 06 h 15.

     02 Témoins. Source : Ouest-France, du 12/10/1966.

    Les Amoureux

    Notre-Dame de Pitié est une chapelle discrète, au 34 rue de la chapelle. Elle aurait été construite à la fin du XVIe siècle par Guillaume Croix, fils de pêcheurs, pour remercier la Vierge de lui avoir permis d’épouser contre l’avis de ses proches la noble Marie de Surtainville, promise à un gentilhomme normand. Et aurait été reconstruite par les descendants des amoureux. Source : Balades mystérieuse sur des lieux de légendes.

    (1) Trun (61) - Orne - Normandie - France - 30/07/2013 - vers 23 h 30 / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

    A Trun, le 30 juillet vers 23h30,nous étions un groupe de 7 personnes dans notre quartier à discuter et a observer le ciel ! Et nous avons été scotchés par différents phénomènes dans le ciel dont cet objet très lumineux qui traversé le ciel au-dessus de nos têtes. Nous nous sommes posés mille et une question en se demandant ce que cela pouvait - être ?

    Nous avons tous pensé à la même chose mais sans suite, nous sommes allées nous coucher, mais pensant toujours à ce phénomène ! J’ai même réussi à le prendre en photo. Les jours ont passé et nous apprenons que la même chose a été vue dans le ciel aiglon. Donc, on n’est pas fous, nous avons bien vu quelque chose d’étrange cette nuit là. 07 Témoins. Source : Le Réveil Normand du 03/09/2013.

    (2) Trun (61) - Orne - Normandie - France - 06/09/1988 - 23 h / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

    Trun (61) - 06/09/1988 - 23 h 

    Le Témoin Observé

     Un premier témoin circulant en voiture observe 1 objet en forme de tonneau avec des ailerons qui survole la route à vive allure. L'objet dépasse la voiture puis fait demi-tour pour stationner au-dessus de celle-ci. Le témoin est effrayé et éteint ses phares, ce qui semble provoquer le départ de l'objet.

    Celui-ci a une taille estimée entre 10 à 15 m d'envergure et de couleur orange. Il se déplace sans bruit.

    01 Témoin. Source : OVNI 61 - Orne.

    Le Menhir de Trun

     

     

    Menhir de 4 mètres de long, encastré dans le mur de l'église. Un plaque dit que c'était un lieu de culte druidique et que la tour a été restaurée par les Templiers au XIIème siècle. Sources : Mégalithes du Monde. Féeric - Les Lieux Magiques.

    Trungy (14)

    (1) Juillet 1858 - Une disparition -  Une fille âgée de 33 ans, la nommée Aimée Pigny, atteinte d'épilepsie et d'aliénation mentale, a quitté furtivement la commune de Trungy, canton de Balleroy, arrondissement de Bayeux, le 26 juin dernier, et, depuis cette époque, sa famille n'a pu découvrir le lieu où elle s'est retirée.

    Prière de communiquer à la préfecture, bureau du secrétariat, les renseignements qu'on pourrait recueillir sur cette malade, vêtue, au moment de sa disparition, d'une jupe verte, d'un bonnet plissé, et chaussée de sabots. Elle a emporté un paquet d'effets et un parapluie. (Source : L’Indicateur de Bayeux)

    (2) Mars 1895 -  Noyée  -  La semaine dernière, on a retrouvé dans l'Aure, près de Trungy, le cadavre d'une vieille mendiante de Guéron, la femme Harel, qui était disparue depuis quelque temps. On croit qu'elle a perdu l'équilibre et s'est noyée en traversant l'Aure sur un tronc d'arbre qui servait de pont. (Source  : Le Bonhomme Normand).

    [Les disparitions inquiétantes de personne sont mortelles dans 29 % des cas, provisoires dans 30 % des cas et continuelles ou définitives dans 41 % des cas. La concordance territoriale entre les épicentres des apparitions des ovnis et les disparitions inquiétantes accrédite la thèse de l’ingérence parasitaires des exogènes-polymorphes comme principaux acteurs de ces disparitions, de même que le factuel des états somnambuliques des personnes disparues/retrouvées et qui montrent les symptômes identiques de désorientation, d’amnésie, de perturbation psychique, de missing time, etc. des RR4 ou des phénomènes dits des abductions ufologiques. NFO].

    [Traditionnellement, nombres de disparitions inquiétantes et définitives de personne s’expliquent par le passage de l’horizon des événements d’une Porte Induite par les puits à énergie potentielle et dont les orages, tempêtes, ouragans sont les manifestations tangibles les plus couramment rencontrées - NFO].

    (3) Février 1903  -  Stupides vengeances  -  Un lâche malfaiteur a coupé, la nuit, dans un herbage, une des pattes d'une génisse amouillante, valant 450 fr. et appartenant  au sieur Albert Dubosq, propriétaire-cultivateur à Trungy, canton de Balleroy.

    — Dans la sapinière du sieur Robine, maire de Rouvres, canton de Bretteville-sur-Laize, des inconnus ont coupé bêtement, à ras du sol, plusieurs sapins. Ce fait cause au sieur Robine un préjudice d'une quarantaine de francs. (Source : Le Bonhomme Normand).

    [La tradition explique les comportements débordants, antisociaux, ou agressifs, sadiques par les phénomènes de hantises ou de possession liés au parasitage psychique exercé par des éthérés noosphériques. NFO].

    [De même que les comportements inhumains ou morbides. NFO].

    [Les mutilations relèvent de la catégorie des sacrifices propitiatoires, des pratiques incantatoires et évocatoires magico-occultistes du sadisme-masochisme. NFO].

    Urville-Nacqueville (50) - Manche - Normandie - France - 23/07/2012 - vers 21 h 30 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster) 

     

    Je rentrais à Cherbourg en voiture lorsque sur une petite route près de la mer je vis passer à quelques mètres au-dessus de moi trois lumières en triangle. Elles m'ont d'abord dépassé lentement avant d'accélérer très brusquement en direction de la mer, jusqu'à disparaitre de ma vue.

    Je ne suis pas du genre à croire à ces choses-là, mais quand ça vous arrive, ça fait bizarre.

    Je cherche d'autres personnes ayant apercevoir ces lumières, ce soir-là. Merci d'avance. JPL. 01 Témoin. Source : Ovni-France.

    Vacognes-Neuilly (14) - Calvados - Normandie - France - 21/04/1974 - dans la soirée

    Comme les géoglyphes présents sur notre planète, ou les Crop-Circles, les traces laissées au sol par les ovnis apparaissent également comme des supports directs de communication d'origine exogène, la rencontre rapprochée du 22 avril 1974, à Vacognes-Neuilly (14), où un ovni est apparu au-dessus d'un rond de sorcière (cercle de fées formé d'un anneau d'herbe plus foncée), associé à la présence abondante de mycélium dans le sol, anormalement sec et durci, en est un bon exemple.

     

    Le Pronobum !  

    La Lune de Pâques - Ouverture du Portail de l'Équinoxe

    Dans la soirée du 21 avril 1974, plusieurs témoins ont observé le passage aérien d’une sphère ovoïde très lumineuse de plusieurs mètres qui les a survolés à basse altitude, ce qui les a fortement impressionnés, et dans la nuit suivante, les résidents d’une caravane avaient été alertés par les aboiements anormaux de leur chien.

    Le lendemain des traces inattendues au sol, environnées d'un brouillard bleu, sont découvertes, lundi 22 avril 1974, jour de la Nouvelle Lune, qui suit la pleine lune de l'équinoxe de Printemps fixant le dimanche de la Fête de Pâques au 14 avril 1974.

    Ces deux traces annulaires, sous la forme d'une herbe calcinée et noircie, ont donc été découvertes, suite au survol d'un objet ovoïde lumineux.

    Le Croissant de Lune !

     

    La première empreinte au sol, dans l’herbage du verger de pommiers exploité par Mr. Lemazurier, avait 50 cm d'épaisseur et quatre mètres de diamètre, tandis que la seconde, d’un diamètre de huit mètres, dans l’herbage de son voisin Mr Langlois, ne laissait apparaître qu’un demi cercle, en forme de Croissant de Lune (à titre d'enquerre astronomique), et s’arrêtant au niveau d’une haie d’épines, qui ne se prolongeait pas sur la voie vicinale, longeant cette haie, où aucune marque particulière n'était visible.

    Le Saigneur des Anneaux !

    L'apparition de ces traces, reliée à l’observation d'une sphère ovoïde très lumineuse, qui a survolé à basse altitude le site, la soirée du 21/04/1974, (Ovoïde ou Oeuf de Pâques = enquerre formelle), confirme ce que les Anciens appelaient les Portes Induites, dont l'ouverture est conditionnée par les conjonctions astronomiques, telle celle du Temps de la Fête de Pâques, dont le nom même dérive de pasaḣ renvoyant au Passage. Plusieurs Témoins. Source : Ouest-France du 25/04/1974 - Enquête et Photos Génpi.

     

    Val d'Arry (14)

    Juillet 1867 - Le malin -  Missy semble actuellement soumis à la domination d'un génie malfaisant.

    Le jeudi précédent, un enfant de 20 mois, Léon Taillebosq, était tombé dans un lavoir, d'où, 2 minutes après on retirait son corps inanimé.

    Le même jour, où la veille, les gendarmes de Villers avaient conduit à la prison de Caen trois enfants, originaire de Missy, qui, depuis deux mois, ne vivaient que du fruit de leur maraudages.

    Les artichauts, les canards et les cerises, étaient surtout l'objet de leurs soustractions. Ils avaient aussi volé du pain, un couteau et de l'argent, dans une maison dont la maîtresse était sortie un instant. [USHC].

    Juin 1892 -  Arrestation d’un voleur de crin - Constant Lelièvre, 51 ans, au Locheur, a été arrêté au moment ou il tentait, de vendre du crin coupé la nuit à la queue de 16 chevaux qui étaient au piquet, sur le territoire de la commune de Thaon. Lelièvre nie être l'auteur du vol de Fontaine-Etoupefour, mais il avoue qu'au mois de mai 1891, il a coupé la queue de trois ou quatre chevaux qui étaient dans les champs, à Saint-Germain-la-Blanche-Herbe, près Caen.   (Source  : Le Bonhomme Normand).

    Val-Ferrand (50) - Contrôlé par le Varou

    En 1770, au Val-Ferrand, près de Gréville (50), M. de Rikmé fut assassiné en plein jour, à coups de hache, ainsi que son meunier. Un valet de ferme des Vertbois, nommé Gliauminot, fut soupçonné et avoua plus tard avoir été témoin du crime, sans dénoncer personne.

    Ayant été excommunié par contumace, il avait été réveillé une nuit par quelque chose de lourd qui s'était abattu sur ses épaules ; il dut, malgré lui, se lever, s'habiller et sortir ; il se mit à courir sans pouvoir ni s'arrêter, ni se diriger ; il passa au travers de routes, de ronciers, cinglé à chaque carrefour, par un bras invisible, et de vigoureux coups de fouet.

    C'est ainsi qu'un matin, rentrant chez lui, brisé, les mains ensanglantées, il avait rencontré un camarade qui, comprenant qu'il revenait de porter le varou, l'avait dénoncé.

    Source : Jean Fleury, Littérature orale de la Basse Normandie.

    (1) Valognes (50) - Manche - Normandie - France - 19/08/2020 - 23 h 08 / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

    Hier soir (19/08/2020) à Valognes, dans la Manche (50), à 23 h 08, j'ai vu un truc passer très rapidement d'est en ouest vitesse très supérieure à un avion de ligne aucun bruit, forme triangulaire aplatie (taille très importante) et lumière orangée très diffuse sur le pourtour ce qui m'a permis de distinguer la forme, la lumière était très faible, et m'a donné l'impression d'une traînée ionique. L'altitude, pas facile, disons autour de 2 ou 3000 m, pas facile à évaluer vu le manque de repère. L’envergure était autour de  100 m, mais peut être plus. Pas eu le temps de prendre une photo tellement ça a été rapide. Patrick Rivaux. 01 Témoin. Source : Facebook.com/groups.

    (2) Valognes (50) - Manche - Normandie - France - 07/11/1999 - 01 h 37 / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

    Dans la nuit de samedi à dimanche (6 et 7 novembre 1999), nous sommes rentrés tardivement de chez des amis. Il était 1h37, et je suis sorti pour le chien.

    J'ai vu apparaître, venant d'une direction nord-ouest, une lueur aux contours mal définis, de couleur verte et bleue très métallisée. Sur le coup j'ai pensé à un avion, mais vu le scintillement extrêmement brutal et vif, j'ai compris ma méprise.

    L'engin se déplaçait assez lentement et j'ai pensé qu'il allait disparaître comme un avion peut le faire. Brutalement, l'engin s'est immobilisé et a continué à disperser des lueurs très scintillantes vertes et bleues (peu de jaune). Il faisait 3 à 4 fois la taille de Vénus.

    J'ai pris des jumelles pour mieux voir, mais il est difficile de rester immobile. Toutefois, à un moment donné, l'engin s'est mis sur la tranche et les lueurs n'étaient plus que d'un côté. Petit à petit, l'engin a rapetissé, ce qui peut laisser supposer qu'il s'éloignait. Je l'ai donc observé une bonne heure.

    Les conditions météorologiques étaient bonnes puisque j'ai pu observer un ciel très étoilé. Ce ciel et ses étoiles ont pu me conforter dans l'observation du phénomène dont le scintillement n'était pas comparable à une étoile ou à un avion.

    Dimanche matin j'ai pris une boussole, et comme j'avais pris des repères dans le paysage, je puis affirmer que l'engin était à 160°.

    Je vous saurais gré de me faire savoir si d'autres personnes, cette nuit là, ont observé le même phénomène. Merci. Jean-Paul (Valognes).

    01 Témoin. Source : Grépi.

    Valognes (50) - La Bucaille / Bilocatrice  

     En 1699, Marie Benoist, dite La Bucaille, était  née à Cherbourg (50) en 1658 ; elle devint la maîtresse d'un Cordelier débauché, le frère Saulnier, alors desservant l'Hermitage de Bas, au pied de l'actuelle Montagne du Roule.

    Marie Benoist se livra à des manifestations insolites, elle eut des extases, entra dans des convulsions ; elle se disait en relations avec les puissances célestes mais aussi avec les forces diaboliques : elle prophétisa, on la consulta sur les mystères de l'au-delà, on lui amena des malades qu'elle dit guérir miraculeusement.

    Elle devint, une sainte pour beaucoup, une sorcière pour quelques-uns dont l'abbé Pâte, curé de Cherbourg, et un savant médecin de ses amis, M. de Quetteville, craignant, semble-t-il, l'influence de ces sceptiques,  pour éviter le scandale, avait précédemment déplacé le Cordelier Saulnier.

    L'affaire prit alors de l'importance ; les huguenots, les jansénistes, s'en mêlèrent ; les Cordeliers défendirent Saulnier, mais la Bucaille en prison, en l'accusant à nouveau de sortilège, d'avoir eu commerce avec le Diable et d'avoir fait pacte avec lui.

    Un écolier de 12 ans, Thomas Darras, qui étudiait avec un Cordelier déclara avoir rencontré Marie Bucaille à l'Hermitage de Bas, depuis qu'elle était en prison. Une autre apparition de la prisonnière fut signalée par la nommée Anne Feuillie, que la Bucaille avait guérie quelques mois auparavant ; elle attesta l'avoir vue récemment auprès de son lit ; elle et sa mère avaient eu leurs draps et couvertures retirés plusieurs fois par des mains invisibles.

    Marie Bucaille ne niait pas son don d'ubiquité ; elle disait que son bon ange prenait sa place dans sa prison pendant ses absences ; et qu'elle était accoutumée à voir la Diable et avait commercé avec lui dès sa plus tendre jeunesse.

    Un prêtre, l'abbé Bidois rapporta qu'elle avait été vue au sabbat de Saint-Lin (79).

    Reconnue coupable d'inceste spirituel, de maléfices, blasphèmes, prophéties, opérations de magie diabolique, invocations de fantômes. Ayant fait appel au jugement, le 30 septembre 1699, le parlement de Rouen rendait son arrêt : la notion de sacrilège était écartée et elle ne fut plus coupable que de crime d'imposture, séductions, impiétés, abus et scandale public. Marie Bucaille était condamnée à faire amende honorable, comme fausse dévote.

    Elle mourut, dit-on, au château du maréchal de Bellefonds, l'un de ses partisans, qui l'accueillit après son bannissement du Royaume, à l'ile de Jersey.

    Source : De Saint-André, Lettres au sujet de la magie.

    Villons-les-Buissons (14) - Calvados - Normandie - France - 07/04/1973 - nuit / foyer surnaturel /ovnigène (cluster) 

     

     

     Villy-Bocage (14)

     

     Il s’agit d’un bloc imposant de schiste mesurant environ 3 mètres de haut et 2 mètres de large. Son épaisseur moindre lui donne l’aspect d’une aiguillequand il est vu de profil. L'élément -laye ou lée qui qualifie un grand nombre de mégalithes est issu du gallo-roman *LEVATA, participe passé de LEVARE > lever et signifie donc « pierre levée » ou LATA « large », d'où le sens de « large pierre ». [Wikipédia]

    Juin 1887 - Les fortes chaleurs -  Les fortes chaleurs que nous subissons ne sont rien auprès de celles que nos pères eurent à supporter. Ainsi, en 1803, la Normandie vit s'écouler une période de quatre-vingt-quinze jours sans pluie. En 1811, année de la fameuse comète, les rivières tarirent dans plusieurs départements. En 1844, nouvelles chaleurs, le thermomètre resta stationnaire entre 50 et 60 degrés. Dans quelques départements, les bestiaux périrent faute d'eau. En 1859, 1860, 1869 et 1874, le thermomètre monta à 38 degrés. L'année dernière, il y eut 20 degrés  au mois d'octobre, température exceptionnelle pour la saison. [Un siècle d'histoire du Calvados]

    Yerville (76) - Seine-Maritime - Normandie - France - 30/08/1998 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster) 

     

     

    Un couple roulant sur l'A29 a vu " deux sphères rouges et un rectangle massif allant du nord au sud à une vitesse moyenne. "

    02 Témoins. Source : Le Mystère des Ovnis.

    Ymare (76) - Seine-Maritime - Normandie - France - 22/10/2008 - 07 h 50 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster) 

     

     

    Ma fille de 15 ans était dans le bus pour le lycée, départ de Pitres (27) vers Franqueville - Saint - Pierre (76), et sur la route de Route, D95, entre Ymare et Quérvreville - la - Poterie, installée contre la fenêtre, elle observait le ciel lorsqu’elle aperçut 3 boules orangées, fixes, alignées à l’horizontale, au bout de quelques instants, l’une d’elle s’est mise à clignoter et a disparue, puis ce fut au tour de la deuxième, et la troisième sans clignoter, s’est dirigée vers le haut très rapidement. La couleur orange vif des boules est passé à l’orange moins intense avant de disparaitre. 01 Témoins. Source : Les Mystères des Ovnis.

    La Tombe du Druide

     

    Située à la limite d'Ymare et Alizay, cette pierre en forme de dolmen d'origine préhistorique semble avoir des vertus thérapeutiques contre les rhumatismes lorsque l'on passe dessous.   Sur ce monument qui date de la préhistoire, une croix a par la suite été gravée vers le IVe siècle. Il suffirait de passer dessous pour être guéri d’un mal de dos. Elle aurait aussi le pouvoir de guérir des morsures de chiens enragés. Une autre légende raconte que lorsque l’on a touché à la table ou à la croix, on est certain de revenir mourir dans son pays. Enfin, il se dit que sous cette table, le seigneur de Rouville aurait dissimulé une épée en or. À ce jour personne n’a encore jamais rien trouvé ! Source : Wikipédia - Regarder Maintenant - 76actu.

    Yport (76) - Woman-In-Black 

    Vers 1905, une femme habillée de noir apparaissait à Yport, poursuivant les passants attardés. La gendarmerie de Fécamp enquêta sans résultat.

    Source : Marie Chevallier, Revue des Traditions Populaires, T. XX.

    Yvetot (76) - Seine-Maritime - Normandie - France - 05/11/1990 / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     Sources : https://www.youtube.com/@woouuhtv3419 - (42) Reconstitution en vidéo des témoignages du 5 Novembre 1990 – UFOmania Documentaires OVNI - YouTube

     

    Yvetot (76) - Seine-Maritime - Normandie - 30/07/1981 / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     Objet Fixe

     

    Jeudi 30 juillet 1981, à Yvetot, Seine Maritime, deux témoins devant leur habitation aperçoivent un phénomène lumineux dans le ciel. Ils appellent aussitôt leurs voisines et la gendarmerie. Tous constatent la présence à très basse altitude d'un objet circulaire de couleur claire, d'environ 30 ou 40 cm de diamètre. Cet objet fixe sera observé durant une heure puis les gendarmes feront la même observation dans une autre commune. Aucune trace ne sera relevée sur le sol ou sur les habitations environnantes et aucun fait particulier concernant l'attitude des animaux du secteur n'a été porté à la connaissance des gendarmes. Plusieurs Témoins. Source : RRO. 

     

    Juin 1890 -  Chenilles, criquets et grenouilles  - Dans notre région, les chenilles ont dévasté une grande partie des pommiers. -  En Algérie, les criquets ont fait leur réapparition. Les  dégâts sont considérables. - A Yvetot (Seine-Inférieure), une pluie de grenouilles s'est abattue sur une partis de la ville. C'est par milliers que l'on comptait ces batraciens sur les chemins. [USHC].

     

    Le Roi d'Yvetot

    Mai 1813

     

    Il était un roi d’Yvetot
    Peu connu dans l’histoire ;
    Se levant tard, se couchant tôt,
    Dormant fort bien sans gloire,
    Et couronné par Jeanneton
    D’un simple bonnet de coton,
    Dit-on.
    Oh ! oh ! oh ! oh ! ah ! ah ! ah ! ah !

     
    Quel bon petit roi c’était là !
    La, la.

    Il faisait ses quatre repas
    Dans son palais de chaume,
    Et sur un âne, pas à pas,
    Parcourait son royaume.
    Joyeux, simple et croyant le bien,
    Pour toute garde il n’avait rien
    Qu’un chien.
    Oh ! oh ! oh ! oh ! ah ! ah ! ah ! ah
    Quel bon petit roi c’était là !
    La, la.

    Il n’avait de goût onéreux
    Qu’une soif un peu vive ;
    Mais en rendant son peuple heureux,
    Il faut bien qu’un roi vive.
    Lui-même, à table et sans suppôt,
    Sur chaque muid levait un pot
    D’impôt.
    Oh ! oh !oh !oh ! ah ! ah ! ah ! ah !
    Quel bon petit roi c’était là !
    La, la.

    Aux filles de bonnes maisons
    Comme il avait su plaire,
    Ses sujets avaient cent raisons
    De le nommer leur père
    D’ailleurs il ne levait de ban
    Que pour tirer quatre fois l’an
    Au blanc.
    Oh ! oh ! oh ! oh ! ah ! ah ! ah ! ah !
    Quel bon petit roi c’était là !
    La, la.

    Il n’agrandit point ses états,
    Fut un voisin commode,
    Et, modèle des potentats,
    Prit le plaisir pour code.
    Ce n’est que lorsqu’il expira
    Que le peuple qui l’enterra
    Pleura.
    Oh ! oh ! oh ! oh ! ah ! ah ! ah ! ah !
    Quel bon petit roi c’était là !
    La, la.

    On conserve encor le portrait
    De ce digne et bon prince ;
    C’est l’enseigne d’un cabaret
    Fameux dans la province.
    Les jours de fête, bien souvent,
    La foule s’écrie en buvant
    Devant :
    Oh ! oh ! oh ! oh ! ah ! ah ! ah ! ah !
    Quel bon petit roi c’était là !
    La, la.

    Pierre-Jean de Béranger

     

    Une légende fait remonter la création du royaume à l’an 536, sous le règne de Chilpéric 1er, qui, dans un geste vengeur, aurait tué un seigneur d’Yvetot nommé Gautier.

    En réparation, il aurait été obligé d’affranchir les héritiers de ce seigneur de tous droits, hommage et redevances envers la couronne de France.

    Le Roi d'Yvetot possédait de nombreux privilèges : possession franche de la terre, exemption de foi, d’hommage, de servitude d’ost et de toute imposition ; il a également droit de justice (haute et basse), de battre monnaie, droit sur les boissons (exclusivement réservé ailleurs au roi de France). Source : Le Royaume d'Yvetot - Cercle d’Actions et d’Études Normandes.

    Valcanville (50) - Les Viages

    A l'exemple de Saint-Mathurin qui guérit la princesse romaine Théodore, fille de l'empereur Maximien, qui était possédée du démon, Saint-Firmin est l'objet de viages à Valcanville, siège d'une commanderie du Temple, pour calmer les énervements diaboliques, raison pour laquelle on l'appelle Saint Frémi.

    Source : Dr. Jean Fournée, Parlers et traditions populaires de Normandie, 1978.

    Vacognes-Neuilly (14) - Calvados - Normandie - France - 21/04/1974 - dans la soirée / foyer surnaturel /ovnigène (cluster) 

    Comme les géoglyphes présents sur notre planète, ou les Crop-Circles, les traces laissées au sol par les ovnis apparaissent également comme des supports directs de communication d'origine exogène, la rencontre rapprochée du 22 avril 1974, à Vacognes-Neuilly (14), où un ovni est apparu au-dessus d'un rond de sorcière (cercle de fées formé

    d'un anneau d'herbe plus foncée), associé à la présence abondante de mycélium dans le sol, anormalement sec et durci, en est un bon exemple.

    Le Pronobum !  

    La Lune de Pâques - Ouverture du Portail de l'Équinoxe

    Dans la soirée du 21 avril 1974, plusieurs témoins ont observé le passage aérien d’une sphère ovoïde très lumineuse de plusieurs mètres qui les a survolés à basse altitude, ce qui les a fortement impressionnés, et dans la nuit suivante, les résidents d’une caravane avaient été alertés par les aboiements anormaux de leur chien.

    Le lendemain des traces inattendues au sol, environnées d'un brouillard bleu, sont découvertes, lundi 22 avril 1974, jour de la Nouvelle Lune, qui suit la pleine lune de l'équinoxe de Printemps fixant le dimanche de la Fête de Pâques au 14 avril 1974.

    Ces deux traces annulaires, sous la forme d'une herbe calcinée et noircie, ont donc été découvertes, suite au survol d'un objet ovoïde lumineux.

    Le Croissant de Lune !

     

    La première empreinte au sol, dans l’herbage du verger de pommiers exploité par Mr. Lemazurier, avait 50 cm d'épaisseur et quatre mètres de diamètre, tandis que la seconde, d’un diamètre de huit mètres, dans l’herbage de son voisin Mr Langlois, ne laissait apparaître qu’un demi cercle, en forme de Croissant de Lune (à titre d'enquerre astronomique), et s’arrêtant au niveau d’une haie d’épines, qui ne se prolongeait pas sur la voie vicinale, longeant cette haie, où aucune marque particulière n'était visible.

    Le Saigneur des Anneaux !

    L'apparition de ces traces, reliée à l’observation d'une sphère ovoïde très lumineuse, qui a survolé à basse altitude le site, la soirée du 21/04/1974, (Ovoïde ou Oeuf de Pâques = enquerre formelle), confirme ce que les Anciens appelaient les Portes Induites, dont l'ouverture est conditionnée par les conjonctions astronomiques, telle celle du Temps de la Fête de Pâques, dont le nom même dérive de pasaḣ renvoyant au Passage. Plusieurs Témoins. Source : Ouest-France du 25/04/1974 - Enquête &et Photos Génpi.

    Val-de-Reuil (27) - Eure - Normandie - France - 23/10/2011 - aux environs de 04 h 45 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster) 

     

     

    Le dimanche matin du 23 octobre 2011 vers 04 h 45 les deux témoins reviennent d’une soirée chez des amis. A la sortie de Val-de-Reuil ils roulent sur la route des Falaises (D6154) en direction de l’Est. Au moment de s’engager à droite vers le sud sur la chaussée des berges ils aperçoivent une lumière très inhabituelle au Sud Est "beaucoup plus basse qu’une étoile, à distance des nuages".

    Ils décident de s’arrêter juste avant d’entrer dans le lotissement ou demeure l’un d’eux et observent le phénomène. En observant plus précisément le phénomène qui se situe maintenant au-dessus d’eux, ils se rendent compte que ce qui ressemblait de loin à une étoile a plutôt la forme d’un triangle composé à chaque angle de "puits de lumière qui tiraient sur le bleu".

    Entre les lumières, les témoins observent un "mince fil bleu" qui défini un triangle.

    Toujours selon le témoin principal, il y a tout autour du triangle une sorte de fumée rouge assez floue, diffuse, un peu comme des fumigènes. Le phénomène est entièrement silencieux et semble plus gros que la pleine lune.

    L’observation va durer environ une demi-heure et voyant que le phénomène ne bouge pas ils décident de partir.

     01 : "J’étais sur la route dimanche matin aux alentours de 4 h 45 lorsque j’ai pu constater un phénomène particulier dans le ciel sur ma gauche. Ce phénomène était si particulier que j’ai décidé de m’arrêter sur le bas côté afin de pouvoir l’observer davantage. J’avais le sentiment d’assister à un phénomène complètement inhabituel dans le sens où ce que je voyais ne ressemblait à rien d’existant.

    Il s’agissait d’un objet dans le ciel qui restait immobile. L’objet me semblait ne pas être très haut dans le ciel et malgré les couleurs ressemblantes à des avions, les motifs en étaient différents. Je me suis donc concentrée afin de pouvoir mieux observer cet objet.

    J’ai vu des triangles bleus apparaître sur cet objet par intermittence avec de temps à autre des points rouges diffus apparaître. ".

    J’étais très intéressée par ce que j’étais en train de voir. Évinçant après observation complètement l’idée d’un avion habituel, je me suis faite la réflexion qu’il s’agissait, soit d’un prototype militaire, soit d’un OVNI. Suite à 3⁄4 d’heure d’observation avec mon ami, nous avons décidé de rejoindre notre domicile.

    Aux vues de ce que nous avons pu ensemble observer je ne crois pas à la manifestation due au passage d’une météorite ni aux retombées d’un satellite puisque l’objet était immobile."

    02 : "Donc on prenait cette route-là, pour rentrer. On venait de passer la soirée chez des amis, et à un moment donné en s’engageant sur cette route, on a déjà vu une lumière au loin qui nous a interpellé un petit peu, parce que c’était beaucoup plus bas qu’une étoile. On aurait pu penser que c’était une étoile mais dans le ciel c’était beaucoup plus bas, c’était à hauteur, à distance des nuages donc tout de suite on a commencé, à regarder.

    Et puis en approchant et en arrivant juste avant les lotissements on a décidé de s’arrêter, car ce qu’on voyait était complètement inhabituel et donc en s’arrêtant et en observant plus particulièrement, on a pu se rendre compte que ce qui ressemblait de loin à une étoile n’en était pas du tout une, puisque ça avait une forme triangulaire et que donc à chaque coin du triangle, on pouvait voir un faisceau de lumière, je dirais qui tirait sur le bleu, alors ce qui était étonnant, parce que de loin on voyait pas de bleu, on voyait qu’une étoile, c’est en regardant plus particulièrement, en s’arrêtant et en regardant ce qu’il y avait dans le ciel, on voyait trois lumières qui tiraient sur le bleu.

    Entre ces trois lumières là on voyait un mince fil qui définissait le triangle, un mince fil de lumière qui tirait sur le bleu aussi et qui limitait bien le triangle, comme on aurait pu voir des néons entre les trois lumières plus conséquentes, ça délimitait bien cette forme triangulaire.

    Également en se concentrant et en regardant bien ce qu’il y avait dans le ciel, tout autour de ce triangle bleu, on voyait comme une sorte de fumée rouge comme des fumigènes, enfin une fumée assez floue tout autour de ce triangle bleu.

    Donc on a observé ça pendant un moment que j’estime à une bonne demi-heure et puis voyant que ce triangle était statique, donc je précise que ça ne faisait aucun bruit et que ça restait là, on n’allait pas observer pendant trois heures, on a décidé alors de partir tout en se disant que c’était quand même quelque chose de tout à fait inhabituel et assez extraordinaire.

    Étant en-dessous du phénomène, je pense que c’était la base, que ce qu’on a vu c’était le dessous, après je suis à peu près sûre qu’il y avait du solide et donc qu' il pouvait y avoir quelque chose au-dessus d’une autre forme qu’on n’aurait pas pu définir dans un ciel noir. Là, je suis vraiment sûre que c’était la base, c’est à dire que le phénomène n’avait peut-être pas une forme triangulaire mais c’était la base du phénomène qui était triangulaire, puisque vraiment on voyait la chose d’en dessous. Après, s’il y avait quelque chose au-dessus d’une autre forme en matière solide, on aurait pas pu dans la nuit le distinguer de façon certaine, tout ce qui est sûr c’est qu’il y avait ce triangle de lumière avec les puits/les faisceaux de lumière qui n’irradiaient pas dans le ciel, c’était vraiment des lumières comme des spots en fait et avec des faisceaux qui auraient pu faire comme des néons de loin et c’était vraiment la base, peut-être de quelque chose qu’on n’aurait pas pu distinguer dans le noir." 02 Témoins. Source : Géipan.

    Val-de-Reuil (27) - Le Menhir de la Basse-Crémonville

     

     

    Le menhir de la Basse-Crémonville est un bloc de calcaire sénonien de 3,30 m de haut sur une largeur moyenne de 1,90 m et une épaisseur de 0,70 m. À la partie supérieure et à 0,50 m du sommet, du côté opposé à la route, on remarque une cavité carrée mesurant 0,20 m de côté et 0,05 m de profondeur. Une cassure est également visible à 1 m du sol, conséquence du transfert du mégalithe en 1866.   

    Le monument date du Néolithique. Il est mentionné pour la première fois en 1842 lorsque les travaux de terrassement de la route qui le longe attirent l’attention sur lui : « Auprès de la ferme de la Basse-Crémonville, hameau de Saint-Étienne-du-Vauvray, que ce chemin traverse, chacun connaissait bien une grosse pierre, plus haute que large, dont le calcaire, détaché de la côte supérieure, s’élevait en pointe. […] Une fouille pratiquée au pied a permis de constater qu’il se terminait en pointe irrégulière à 1,25 m au-dessous de la surface du sol, et qu’aucun objet ne s’y trouvait renfermé. Il n’est remarquable que par sa direction parallèle à la vallée et par une ouverture peu profonde en forme de parallélogramme qu’on observe à son sommet ». Les gens du pays confirment ce que pensent les historiens au vu de cette niche, elle avait dû abriter une statuette d’un saint chrétien préservant ainsi le mégalithe de la destruction.

    La poursuite des travaux d’excavation de la route réserve une surprise aux ouvriers quand ils creusent sous un énorme bloc de calcaire et dégagent de nombreux ossements humains. Quand ils font part de leur découverte quelques jours après, des fouilles supplémentaires sont engagées pour dégager la partie du tombeau qui n’a pas été détruite par les terrassiers. Elles mettent au jour une construction circulaire d’environ 4,50 m de diamètre et composée de trois niveaux superposés de 0,40 m de haut chacun. Sur chacun de ces niveaux, des squelettes sont retrouvés : « Chacun des corps, dont la tête était appuyée sur une pierre aplatie, placée contre la pierre circulaire, avait les pieds au centre du cercle ; leurs bras étaient allongés près du corps qui remplissait la cavité ». Des moellons assemblés sans maçonnerie séparaient les cadavres entre eux. Des pierres de 0,15 m d’épaisseur assuraient la séparation entre les niveaux intermédiaires. Un pavage de calcaire composait le sol du tombeau. Le dernier niveau était recouvert d’une espèce de voûte de moellons, elle-même recouverte de l’énorme bloc de calcaire dont les dimensions étaient toutefois inférieures à celles du tombeau. Celui-ci avait donc une hauteur de 1,65 m entre le sol et la pierre qui le recouvrait. Seuls trois squelettes sont retrouvés intacts mais l’examen méticuleux de leurs restes ne révèle la présence d’aucun objet métallique. On ne retrouve qu’un fragment informe d’un vase de terre grossière et une espèce de hachette.

    Cette découverte relance l’intérêt pour le menhir. Sa proximité avec une telle sépulture pourrait en effet suggérer un lien entre les deux.    

    Le mégalithe occupe la place où était enfouie la sépulture néolithique. Il est maintenant classé au titre des monuments historiques par arrêté du 27 juin 1927.

    Les Sacrifices

    Toute l’histoire antique et les découvertes archéologiques signalent ces temples sacrificiels où les animaux et les êtres humains étaient immolés (et momifiés) en oblation à des dieux sangsues et sanguinaires, comme au Temple de Palmyre en Syrie (voué au dieu Baal), au Temple de Jérusalem avec les Hébreux, en Égypte Antique ou comme chez les Mayas et les Aztèques précolombiens qu'ils considéraient comme des offrandes de nourriture destinées aux dieux (de même en Amérique du Nord, avec les Indiens Cahokias ou les Indiens Pawnees ; ce qui a été attesté pour ces derniers, et officiellement interdit par les autorités au 19ème siècle). 

    Ces actes inhumains (sous couvert de religion), sont encore pratiqués par les Musulmans intégristes ou par les Thugs aux Indes, où la coutume de l'incinération des cadavres est une réminiscence de ces pratiques sacrificielles ancestrales.

    « il offrit un sacrifice et versa une libation au sommet de la montagne, mit en place sept plus sept calices cultuels qu'il empila sur leur support de jonc, de cèdre et de myrte … [les dieux] humèrent l'odeur délicieuse et s'abattirent comme des mouches sur le sacrificateur ».

    [Utnapishtim (version sumérienne de Noé) rappela à Gilgamesh qu'au sortir de l'arche - L’Épopée de Gilgamesh]

    La Nécromancie

     Ces autels de dévotion aux divinités du ciel (égyptiennes/gréco-romaines) ou de la nature (esprits) sont la raison première de tous les Castrum Templum, de toutes les époques, les grottes préhistoriques ornées, les mastabas, les Castrum Romanumes, les fanum, les obbidum, les clairières sacrées, les éperons barrés celtiques, les enceintes de pierres dressées, les cénotes amérindiens, les hypogées, les tumulus/nécropoles, destinés aux goules parasitaires/mânes nécrophages, ou âmes vagabondes, immanentes du Wood, Wide Web (réseau fongique interconnecté de la forêt) qui se nourrissent des effluves des mourants et se repaissent de leurs charognes, en décomposition.

    Ces Castrum Templum révèlent la pratique animiste/chamanique de la nécromancie (noir/pouvoirs ténébreux), ou divination par les morts (qui servent d'appâts aux esprits), favorisant ainsi la transe possessive, par les entités éthérées métamorphes (ou noosphères), des mages occultistes, dont ils deviennent les obligés, jusqu'à leur fin (faim) dernière.

     

     

    Le Home-Varaville (14) - Calvados - Normandie - France - décembre 1977 - avant la Fête de Noël - 07 h 50

    L'épicycle

     

    L'épicycle

     

    Melle Chantal Vanecke, 17 ans, étudiante, attendait le bus de 07 h 55 pour se rendre à son C. E. T., lorsque, sans raison précise, elle leva la tête en direction de la mer, elle aperçut alors dans le ciel, située environ à 45 ° au-dessus de l’horizon, une sphère lumineuse rouge dont la taille apparente était supérieure à celle de la pleine lune (pleine lune + son halo), cet objet était animé de deux mouvements, il se déplaçait d’Ouest en Est sur le front de mer en direction de Cabourg dans un mouvement spiralé, tout en formant des grands cercles, concrétisés par une légère trainée de fumée blanche.

    Melle Chantal Vanecke, a préalablement observé le même phénomène depuis son C. E. T., à Cabourg, en compagnie de plusieurs de ses camarades, au mois de mars 1977, toujours en direction de la mer, dont la taille apparente était plus modeste. 01 Témoin. Source : Enquête Génpi.

    Extrait du Catalogue de Normandie - France - Ovnis : Seine-Maritime (76), Orne (61), Manche (50), Calvados (14)
     

     Varaville (14) - Crime Rituel / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

    Réfléchir ! ...

     Photo : Laurent Dubus

    Réfléchir ! ... à l'Arc-en-Ciel !

    Photo : Laurent Dubus

     Le "Coquillage" !

     Photo : Anonyme

    En novembre 1960, Camille Anne, 45 ans, dit Œil de Verre, pêcheur de coques, habitant Varaville (14), fut retrouvé mort, nu, sur le bord d'une crevasse remplie d'eau (trou de bombe de la dernière guerre). Son visage était défiguré par une énorme plaies du nez au menton, d'autres blessures se voyaient sur le thorax. Une ceinture noire lui serrait la taille. Découverte étrange : la veste, le bleu de travail, le chandail bleu du mort étaient soigneusement retournés. On trouva à côté deux peignes ébréchés et un bout de corde. Anne vivait dans un blockhaus de 1944, en compagnie de plusieurs hommes et femmes, où il se passait des choses étranges en rapport avec le Diable et la magie noire ; après avoir sacrifié un homme, on retourne ses vêtements afin d'annihiler sa personnalité ; la corde symbolise le sexe, les deux peignes le cerveau de la victime : en jetant ces objets au fond de l'eau, le sorcier a voulu détruire complètement l'âme du sacrifié, au cours de ce crime rituel, des vêtements retournés (rituel des vêtements retournés dont les abductés ufologiques sont les victimes).

    [Les pratiques rituelles inversées sont la signature des adeptes de l'autre monde, appelés les contraires. NFO].

    Source : Journal : L'Aurore du 21/11/1960.

    Janvier 1874 - Disparition - Dimanche 3 de ce mois, vers 5 heures du soir, le sieur Philibert Poubel, pêcheur à Varaville, canton de Troarn quitta son domicile pour se rendre à la pêche dans la Dives. Comme il avait l'habitude de s'absenter un jour ou deux, il avait emporté sa nourriture, et depuis il n'est pas rentré chez lui. On retrouva dans la Dives la barque de Poubel, ses agrès et ses aliments, quant à lui, on n'en a retrouvé aucune trace. On présume qu'il est tombé accidentellement à l'eau et qu'il s'est noyé. Quoi qu'il en soit, on n'a pas retrouvé son cadavre, malgré les recherches auxquelles on s'est livré pour le découvrir. [MSH].

    [Les disparitions inquiétantes de personne sont mortelles dans 29 % des cas, provisoires dans 30 % des cas et continuelles ou définitives dans 41 % des cas. La concordance territoriale entre les épicentres des apparitions des ovnis et les disparitions inquiétantes accrédite la thèse de l’ingérence parasitaires des exogènes-polymorphes comme principaux acteurs de ces disparitions, de même que le factuel des états somnambuliques des personnes disparues/retrouvées et qui montrent les symptômes identiques de désorientation, d’amnésie, de perturbation psychique, de missing time, etc. des RR4 ou des phénomènes dits des abductions ufologiques. NFO].

    [Selon l’apport traditionnel nombres de disparitions inquiétantes et définitives de personne s’expliquent par le passage de l’horizon des événements d’une Porte Induite par les puits à énergie potentielle et dont les orages, tempêtes, ouragans sont les manifestations tangibles les plus couramment rencontrées - NFO].

    Juillet 1890 - Mutilation d’animaux - On nous signale de Varaville un fait odieux. Depuis 15 jours, soixante bœufs et vaches, appartenant à plusieurs herbagers, ont eu la queue  coupée par des malfaiteurs restés inconnus. On ignore si cette mutilation a eu pour mobile le vol ou la vengeance. (source, le Bonhomme Normand).

    [Les mutilations relèvent de la catégorie des sacrifices propitiatoires, des pratiques incantatoires et évocatoires magico-occultistes du sadisme-masochisme, lié au rite du baptême du sang. NFO].

    Février 1897 -  Curiosité exploitée  - Un cétacé de 7 m. 53 de long, et de 4 m. 20 de large a été capturé au Home par le sieur Dubosq et remorqué à Riva-Bella : son poids approximatif est de 5 000 kilos. Il a été exposé dimanche sous une tente. Des milliers de curieux sont venus le voir, et beaucoup ont fait la grimace en apprenant qu'il fallait payer 0,50 centimes, alors qu'ils comptaient l'admirer gratis. Ce cétacé n'est pas une baleine, c'est un hyperodon, poisson de la famille des dauphins, qui habite les mers du Nord et ne vient que très accidentellement échouer sur nos côtes. (source, le Bonhomme Normand).

    Varengeville-sur-Mer (76) - L'Église déplacée

    Dans la première moitié du XIIe siècle les habitants Varengeville-sur-Mer avaient décidé de bâtir leur église au milieu de l'agglomération. Les travaux commencèrent mais chaque nuit tout ce qui avait été construit se retrouvait transporté par le Diable au bord de la falaise. Et c'est là que l'église fut bâtie.

     Source : Abbé Cochet, Répertoire archéologique de la Seine-Inférieure.

    Vassy - Le Bas de Cagny (14) - Calvados - Normandie - France - 04/01/2016 - 06 h 30  / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

    Survol 


    Marquage

     

    L'unique témoin de cette rencontre rapprochée ufologique est Romain de la Marre (pseudonyme), étudiant en Droit, âgé de 24 ans, qui regagnait de nuit, par la D512, au volant de son véhicule, son université de Rennes (35), située à environ 160 km, partant de Condé-sur-Noireau (14), en ce début d'année 2016, à environ 6 km de sa résidence.

    A la sortie de l'agglomération de St Germain de Crioult (14), en zone rurale, il aperçoit les spots lumineux d'une structure immense en forme de soucoupe (sic) qui masquait l'horizon ouest de la route qu'il empruntait.

    Intrigué, il rangea son véhicule sur le bas-côté de la route et stoppa son moteur, avant de sortir pour prendre une série de photographie avec son téléphone portable (malheureusement il commit l'erreur de les effacer sous prétexte qu'elles étaient inutilisables).

    Il distingua sous l'objet de couleur métallique situé à 150 m, stationnaire et silencieux, un grand tourbillon en colonne montante formé de flocons de neige qui tombait en une formidable tempête à ce moment-là.

    Puis au bout de quelques minutes d'observation il remonta dans son véhicule, redémarra et reprit la route vers Rennes (35), en passant sous l'objet immense, qu'il distingua dans ses rétroviseurs s'éloignant. Il ne connu ni temps-manquant, ni de perte de conscience.

    Pour autant, il fut par la suite la victime de phénomènes de harcèlement du genre visite-en-chambre, hantise, Poltergeist, et présenta à plusieurs reprises des marques rouges apparues sur son épiderme.

    L'affût, le camouflage, et le leurre

    La rencontre rapprochée dont a été victime Romain de la Marre (pseudonyme) est exemplaire car révélatrice de la stratégie de chasse de l'affût, reposant sur :

    . le camouflage : l'ovni de teinte terne se dissimule dans l'obscurité épaisse et le silence opaque d'une tempête de neige nocturne 

    . le leurre : les spots lumineux blancs qui barrent l'horizon visuel de l'automobiliste l'incitant à stopper son véhicule

    Cette technique de chasse à l'affût est typique de celle du poisson-grenouille :

    Lorsqu’une proie s’approche, le poisson-grenouille agite le leurre qu’il possède sur la tête !

    La durée moyenne de l'attaque d'un poisson-grenouille équivaut à 6 millièmes de seconde. Très doué en camouflage, ce poisson se confond facilement avec les coraux. Ainsi, avant d’attaquer, il préfère attendre sa proie sans se faire repérer.

    Enfin, lorsqu’une proie s’approche, le poisson-grenouille agite le leurre qu’il possède sur la tête, avant de se jeter sur sa victime. Curieusement, cet animal est capable de manger des poissons aussi gros que lui. Le poisson-grenouille a une technique de chasse infaillible | Brut. 01 Témoin. Source : Enquête Ufo-Génpi.

    Vassy (14) - Sabbat 

    XVIIe siècle : dans les environs de Vassy (14) on vit un sabbat en plein jour, un dimanche pendant la grand-messe ; il était présidé par le Diable, sous la forme d'un noir avec un énorme appendice caudal.

    Source : Le Tenneur René - Magie Sorcellerie et fantastique en Normandie -1979.

    Vauville  (14)  

    Mai 1948 - Une brute - M. Orleach, cultivateur à Vauville, très surpris de la perte successive de quatre veaux, a découvert finalement que ceux-ci avaient succombé à la suite des mauvais traitements que leur avait infligés un de ses ouvriers nommé Sebert Albert, âgé de 27 ans.

    Le préjudice causé est d’environ 30 000 francs. Le commis a été écroué. (Source  : Le Bonhomme Libre).

    Le Vivier - L' Hôpital - Vassy (14) - Hantise
     
    XXe siècle : Au Vivier, sur la paroisse de Vassy (14), près de l'ancien manoir Templier de Courval, dit l'Hôpital, des lueurs anormales apparaissent et on entend des gémissements, des sanglots. 
    Source : Le Tenneur René - Magie Sorcellerie et fantastique en Normandie - 1979.
     
     
    Bures (14)

     le khronos - le Kairos - le kosmos
     
    D'or à la bande d'argent componée de gueules, accompagnée de 6 tourteaux de gueules posés en orles, 3 en chef et 3 en pointe.
      
     
     La Commanderie des Templiers de Courval
     
     
     
     
    Les Chevaliers du Temple vécurent dans cette Commanderie jusqu’en 1308. La légende raconte que lorsque la nuit et la brume tombent sur la vallée, des lueurs semblant descendre du ciel apparaissent.
     
    D’étranges silhouettes de chevaliers chevauchant leurs montures feraient également leur apparition.
     
    On raconte qu’un jour, un cercueil de pierre blanche fut découvert sous un arbre dans le plant de la ferme qu’entourait l’oratoire de la chapelle Notre-Dame : on y découvrit un superbe chevalier, sa lourde épée gisait à ses côtés, comme autrefois. Tout fut remis en place et la fosse fut comblée. L’âme de ce cavalier d’un autre temps errerait encore aujourd’hui les lieux.

     Source : la Voix - Le Bocage, du 22/02/2016.

    Castrum Templum
     
    Présence d'un éperon barré celtique (180 m), jouxtant la Commanderie Templière de Courval.

    Géolocalisation des Sabbats 

    Aux environs de Vassy (14), le village de Jean-le-Blanc (14), Beaumont-le-Roger (27), le mont Bonnet Vire (14), les rochers de Clécy (14), la butte Brimbal entre Sourdeval (50) et Tinchebray (61), la mare de Bouillon (50), dans la forêt de Néhou (50), à Méautis (50), aux bois d'Etenclin (50), aux bois de Lithaire (50), forêt de Barnavast (50), dans la contrée du Theil (50), dans la contrée de Saussemesnil (50), le mont Margantin (61), Gaillefontaine (76), à Bully-la-Fosse (76), à Aliermont (76), au Mesnil-Esnard (76), à Londinière (76), à Fréauville (76), à Pont-Angot (61), sur la Dives vers Vicques (27), à Louviers (27), à Gisors (27), à Tosny (27), à Saint-André et Saint-Georges-de-Bohon (50), le mont Etenclin près de la Haye-du-Puits (50), Montchauvet (14)

    Sources : Le Tenneur René - Magie Sorcellerie et fantastique en Normandie -1979.

    Vasteville (50) - Les Empreintes du Diable

    Vers 1800, on procédait, dans l'église de Vasteville à l'exorcisme d'une jeune possédée ; selon le rite, le prêtre commanda au Diable de se retirer, celui-ci refusa, n'acceptant d'obéir qu'à un homme à la vie irréprochable. 

     

    On appela un autre prêtre qui, bizarrement, se récusa. Un vieux curé se décida et dit la formule. Je ne t'obéirais pas, dit le Diable, tu n'es pas irréprochable.

     

    On fit venir d'autres ecclésiastiques, en vain. On pensa soudain à un tout jeune prêtre, resté sans emploi à cause de son humble origine.

     

    On réussit à le décider, et, timidement, il vint prononcer les mots rituels. On vit alors la jeune possédée s'agiter, comme une proie à de vives souffrances, et le démon confessa, par sa bouche, qu'il était forcé d'obéir. Il jeta à terre la jeune fille et s'enfuit avec un grand cri ; en s'échappant il s'agrippa au linteau de la porte et on montra longtemps l'empreinte des cinq doigts diaboliques sur le granit enfumé qui bordait une porte maintenant condamnée.

     

    Source : Jean Fleury, Littérature orale de la Basse-Normandie.

    Vernon (27) - Eure - Normandie - France - 23/08/1954 - vers 01 h / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

     

    Le témoin a découvert un gigantesque cigare vertical, immobile et silencieux, apparemment stationné au-dessus de la rive nord du fleuve à 300 m d'altitude environ. Le témoin contemple cet étonnant spectacle depuis un moment lorsque soudain, du bas du cigare, surgit une espèce d'objet en forme de disque horizontal qui d'abord tomba en chute libre, puis ralentit et soudain bascula et fonça horizontalement à travers le fleuve dans sa direction et devenait très lumineux. Pendant un temps très court il put voir ce disque de face. Il était entouré d'un halo de vive luminosité.

    Quelques minutes après qu'il eut disparu derrière le témoin vers le sud-ouest à une prodigieuse vitesse, un second objet semblable au premier se détacha comme lui de l'extrémité inférieure du cigare et manœuvra de même.

    Un troisième lui succéda, puis un quatrième.

    Il y eut alors un intervalle un peu plus long et enfin un cinquième disque se détacha du cigare toujours immobile.

    Celui-ci se laissa tomber beaucoup plus bas que les précédents jusqu'au ras du nouveau pont où il s'immobilisa en oscillant légèrement.

    Le témoin put alors voir très nettement sa forme circulaire et sa luminosité rouge, plus intense au centre, atténuée sur les bords et le halo ardent qui l'entourait.

    Après quelques secondes d'immobilité il bascula comme les quatre premiers et démarra lui aussi en flèche, mais vers le nord où il se perdit dans le lointain en prenant de l'altitude.

    Pendant ce temps la luminosité du cigare avait disparu et le gigantesque objet qui avait peut être 100 m de long s'était fondu dans les ténèbres.

    Le spectacle avait duré trois quarts d'heure environ.


    Le témoin en informa le commissariat de police le lendemain matin, on lui répondit que deux agents, au cours de leur ronde vers une heure du matin, avaient vu le même phénomène. Un ingénieur militaire, sur la RN 181, l'aurait vu aussi. 04 Témoins. Source : Le livre noir des Soucoupes volantes -Durrant Henri -1970

    Les miracles de Saint-Adjutor

     

    La Seine à Vernon

    La Seine

    Adjutor est le fils du seigneur Jean, Comte de Vernon, et de Rosamonde de Blaru. Il naît vers 1070, ce qui en fait un contemporain de Guillaume le Conquérant. Son éducation est confiée à un abbé, Bernard, qu'il vénérera toute sa vie.

    En 1095 Adjutor part pour la croisade avec une compagnie de deux cents hommes. Les croisés arrivent en Terre Sainte. Mais un jour, près d'Antioche, Adjutor et sa troupe tombent dans une embuscade où les attendent quinze cents Infidèles.

    Ils sont coincés. Adjutor prie alors Sainte Madeleine et fait voeu de donner le relais de chasse qu'il a au bord de la Seine au monastère de Tyron-au-Perche. Un monastère qu'il connaît bien puisqu'il y a passé son enfance avec l'abbé Bernard. Il promet aussi qu'il fera bâtir une chapelle à sainte Madeleine près de cette maison. Aussitôt, une tempête affreuse mêlée de tonnerre et d'éclairs se déchaîne et sème l'épouvante dans les rangs des Sarrazins. Saint-Adjutor en profite pour lancer une contre-offensive qui écrase les Maures.

    Pendant dix-sept ans il poursuit la croisade qui le mène jusque sur le tombeau du Christ. Mais un jour, raconte la légende, sans doute pour l'éprouver, Dieu le laisse tomber entre les mains des Infidèles aux environs de Jérusalem. "On l'enferra d'horribles chaînes d'une grosseur tout-à-fait extraordinaire. Mais bientôt, irrités par son calme et son courage, ses geôliers doublèrent ses fers déjà si pesants et le plongèrent dans une prison plus étroite et plus obscure."

    C'est encore la prière qui va le tirer de cette situation désespérée. "Une nuit, comme il reposait, arriva le secours d'en haut. Il vit Sainte Madeleine à sa droite et à sa gauche saint Bernard qui le prirent et l'enlevèrent, chargé de ses fers et manotes, sans toutefois en être lié comme il était auparavant, puis, d'un cours extrêmement vite, en une seule nuit, des quartiers de Jérusalem le transportèrent près de Vernon-sur-Seine, en sa maison de chasse." 

    Revenu au pays, Adjutor tient parole. Et se met à vivre en moine dans la chapelle qu'il fait édifier à Pressagny. C'est là qu'il réalise de nombreux miracles, aidant les pauvres et soignant les malades.

    Cependant le plus célèbre de ces miracles est celui qu'il accomplit en calmant un tourbillon de la Seine qui avait causé le naufrage de nombreux bateaux.

    Avec l'archevêque venu lui prêter main-forte, et après la messe du Saint-Esprit célébrée dans la chapelle de la Madeleine, notre saint s'embarque et met le cap sur le tourbillon.

    Arrivés au bord du gouffre, l'archevêque y jette de l'eau bénite et fait le signe de croix. Saint-Adjutor, de son côté, y lance les chaînes qui le liaient pendant sa captivité. Miracle : le gouffre se remplit, les eaux se calment. Depuis ce miracle, Saint-Adjutor est le patron des mariniers.

    On prête encore beaucoup d'autres miracles à Saint Adjutor.

    De son vivant, il en aurait réalisé un des plus impressionnants : pendant le siège de Vernon, alors que la ville était encerclée par un feu provoqué par l'ennemi, saint Adjutor s'adressa aux flammes et leur demanda de retourner d'où elles venaient.

    Obéissantes, les flammes se jetèrent sur les assaillants et les obligèrent à lever le siège.

    Une autre fois, saint Adjutor aurait délivré Vernon de la peste.

    Après sa mort le 30 avril 1131 dans sa chapelle de Pressagny, où sa mère et lui sont enterrés, Saint Adjutor a continué à être vénéré et à faire de nombreux miracles. Sur son tombeau les aveugles recouvrent la vue, les malformés se redressent, les sourds entendent, les langues coupées repoussent, les paralytiques guérissent, les possédés sont délivrés, les femmes stériles deviennent fécondes.

    C'est pourquoi on peut encore aujourd'hui invoquer Saint Adjutor pour toutes sortes de maux. Sa fête est fixée le 30 avril. Source : Ville de Vernon.

    Verson (14)

    Août 1842  - Nouvelles locales -  Depuis huit jours, sous une influence atmosphérique dont la cause est inconnue, il s'est développé dans la plante de colza une espèce de chenille noire [tenthrèdes, dont les ravages dessinent des formes géormétiques à la manière des crop-circles NFO] qui cause les plus grands ravages. Ce fléau est, dit-on, presque général dans la plaine de Caen, dans plusieurs contrées, la dévastation causée par cet insecte est telle que quelques cultivateurs ont pris le parti de semer une seconde fois. Le temps est favorable à cette opération de laquelle on espère de bons résultats.

    Dans les champs où le ravage n'est pas encore considérable, on prétend que l'on arrêterait le mal en se servant de la chaux on poudre. Différents cultivateurs emploient ce moyen.

    Il y a six ou sept ans, le même insecte occasionna dans la plante des ravages semblables. De fortes pluies survinrent à temps pour le détruire et sauver une partie de la plante. On espère que la grosse pluie versée sur tout le pays par l'orage de la nuit dernière aura un effet salutaire contre cette plaie de l'agriculture. (source : L’Indicateur de Bayeux).

    [Le Grand Esprit tentaculaire de la nature (Wood Wide Web, le réseau internet de la forêt) communique avec l'espèce humaine au travers des Crop-Circles, élaborés à partir du langage universel des symboles  (après les ronds de sorcières et les cercles de fées). NFO].

    Juin 1892 - Un faux sorcier - Paul Lebreton, 59 ans, cordonnier à Verson, près Caen, se faisait passer pour sorcier. Bien des naïfs le croyaient et avaient recours à sa science diabolique, qu'il faisait bel et bien payer. 

    Entre autres faits, citons les suivants : un jour, la vache d'un cultivateur du pays est prise de la danse de Saint-Guy. On court chercher le sorcier. Il a à peine approché la bête, qu'elle devient douce comme un agneau. L'explication de ce phénomène, c'est que le sorcier avait piqué une épingle dans la queue de la vache, qui redevint paisible lorsqu'elle en fut débarrassée. 

    Dernièrement, un sieur Frilay, demeurant à Fontaine-Etoupefour, desséchait de peur en entendant, la nuit, des coups sourds frappés à la porte de sa chambre. « Ce sont des malins esprits », lui dit Lebreton. Donnez-moi 17 fr. et faites dire deux messes, ça cessera. 

    En effet, a partir du jour où Lebreton empocha les 17 fr, on n'entendit plus de bruit. Mais on s'est tant moqué de Frilay qu'il a fini par porter plainte. Le parquet à poursuivi le soi-disant sorcier et l'a l'ait condamner à un mois de prison pour escroquerie.(Source  : Le Bonhomme Normand).

    Ver-sur-Mer (14)

    Février 1930  -  On retrouve le barométographe de Byrd -  Les gendarmes d’Ouistreham, poursuivant une enquête à Lion sur-Mer, apprirent qu'un pécheur, le nommé Jules Létot, possédait à son domicile des instruments de précision provenant de l'avion « América » du commandant Byrd.

    Ils trouvèrent chez lui en effet le barométographe de l'illustre aviateur. Létot a déclaré qu'il l'avait trouvé dans la mer recouvert d'une enveloppe de caoutchouc. L'appareil a été déposé au greffe du Tribuual de Caen. (Source : L’Indicateur de Bayeux).

    [Un barographe enregistre l'émergence d'une zone à haute pression atmosphérique ou/et à basse pression atmosphérique et des puits à énergie potentielle ou portex sur-ufologique - NFO].

     

    Equipage de l'America

     

    L'America ou l'histoire de la première liaison aéropostale entre les USA et la France en 1927

    Le 29 juin 1927, à bord du Fokker AMERICA, les aviateurs américains, Byrd, Acosta, Balchen et Noville décollaient de Rooseveltfield (New York) pour assurer la 1ère liaison aéropostale officielle entre les USA & la France.

    En mars 1927, le commandant Richard E. Byrd, premier homme à voler au-dessus du pôle Nord (en 1926) annonça son souhait de franchir l’Atlantique en un vol ininterrompu. 

    Byrd choisit le monoplan Fokker C-2, pour sa similitude avec le Fokker F.VII utilisé lors de son vol en Arctique. Le tri-moteur fut baptisé America. 

    Anthony Fokker, le concepteur de l’avion lui suggéra de prendre pour co-pilote Bernt Balchen, un pilote d’essai norvégien de la compagnie Fokker. 

    Tôt le matin du 29 juin, l’America s’envola du Roosevelt Field a New York, direction Paris, avec à son bord : le commandant Richard E. Byrd, Bert Acosta et Bernt Balchen comme seconds pilotes, et le lieutenant George O. Noville, ingénieur de vol et opérateur radio. La météo s’avèra particulièrement défavorable à l’expédition. 

    Après le survol des côtes de Nouvelle Angleterre, le brouillard aux abords des côtes françaises empêcha toute visibilité du sol. La pluie tombant à torrent ne permit pas aux aviateurs d’apercevoir les signaux lumineux des champs d’aviation. 

    Aveuglé, noyé, perdu sous les trombes d’eau, Byrd renonça à atterrir au Bourget et demanda par T. S. F. qu’on lui indique un terrain d’atterrissage en dehors de Paris, l’avion n’ayant plus que trois heures d’essence… 

    Les aviateurs, perdus dans la brume, se guidèrent sur le phare du Havre- leur intention étant de suivre l’estuaire de la Seine. 

    Ayant aperçu la lumière du phare de Ver-sur-Mer, ils volèrent droit dans sa direction et amerrirent à 2h32 à 200 m. du rivage. Le choc fut assez violent et le train d’atterrissage se disloqua. Les 4 aviateurs prirent place sur un radeau en caoutchouc et gagnèrent la rive. 

    Le commandant Byrd et ses compagnons à bout de forces décidèrent d’aller demander secours dans la localité et prirent ensemble le chemin du phare à la porte duquel ils frappèrent : le gardien M. Lescop leur offrit l’hospitalité pour la nuit. 

    Avant son départ, la poste américaine avait confié à Byrd un sac de 70 kg de courriers : 300 lettres furent sauvées de la noyade et furent oblitérées à la poste de Ver-sur-mer. 

    La première liaison aéropostale transatlantique fut donc réalisée sur la ligne New-York/Ver-sur-mer. 

    Le musée America Gold Beach de la commune relate cette épopée. [Mairie de Ver-sur-Mer (14)].

    Les recommandations de Byrd

    Caen, 1er juillet. - Ce matin, au moment de monter dans sa chambre, le commandant Byrd eut une défaillance vite surmontée.
    Avant de s'endormir, il fit des recommandations minutieuses au sujet de son avion et fit placer près de lui une petite cassette à laquelle, il semble attacher une grande importance, ainsi que les plans officiels dont il était chargé.

    Une Américaine en villégiature à Ver-sur-Mer, a servi d'interprète au commandant Byrd. Celui-ci aurait déclaré avoir navigué constamment dans la brume et cherché les phares pour prendre l'estuaire de la Seine.

    La montre des aviateurs retrouvée, est arrêtée à 2 heures. On a sauvé la plus grande partie des documents du bord. [USHC].

     Juillet 1929 -  Petite Amérique -   On lit dans « Excelsior » : Le commandant Byrd vient de baptiser du nom de Ver-sur-Mer une petite île de la baie des Baleines, sur laquelle ont été  établis les campements de la Petite Amérique, en souvenir de la petite plage normande sur laquelle, il y a deux ans, Byrd et ses compagnons avaient pris contact avec l'Europe, après  leur traversée de l'Atlantique. [USHC].

     [L'émergence des Portes Induites/Vortex/Pontifex/Portex/ Puits à énergie potentielle, s’accompagnent souvent de turbulences électro-magnétiques qui désorientent les aviateurs. NFO].

    Richard Evelyn Byrd 

    (Winchester, 25 octobre 1888 - Boston, 11 mars 1957)

     

    Richard Evelyn Byrd (Winchester, 25 octobre 1888 - Boston, 11 mars 1957) est un explorateur polaire et aviateur américain de l'US Navy ayant le grade de contre-amiral.

    L’opération Highjump (OpHjp), officiellement dénommée The United States Navy Antarctic Developments Program, 1946-47, était une opération américaine organisée par l'amiral Richard Byrd en Antarctique et placée sous le commandement de Richard Cruzen. Elle fut lancée le 26 août 1946 et dura jusqu'en 1947. Cet impressionnant déploiement de forces fit appel à 5 000 hommes, 13 navires et 26 avions.

    L'objectif principal de cette opération était l'exploration de l'Antarctique. Cependant, d'autres projets furent menés parallèlement à cela, notamment :

    • réaliser quelques tests et des expériences sur le matériel et sur la psychologie des soldats sous conditions glaciales,
    • créer quelques bases pour établir la souveraineté des États-Unis,
    • en général, explorer la région,
    • dresser des cartes géographiques de cette région,
    • expérimenter de nouvelles armes,
    • développer de nouvelles technologies.

    Tous ces objectifs avaient leur importance, mais la raison principale était d'établir la souveraineté des États-Unis ; en effet, à cette époque, la guerre froide en était à ses débuts et le traité sur l’Antarctique n'existait pas encore. [Wikipédia] - [Selon la rumeur ufologique, l’opération Highjump aurait eu pour objectif de neutraliser une base secrète des Nazis établie en Antartique, disposant d'une tehnologie alien - NFO].

    Janvier 1934 - Le gardien de phare de Ver-sur-Mer meurt électrocuté - M. Lescop, le gardien de phare de Ver-sur-Mer, qui eut sa photo sur tous les journaux de France et d’Amérique il y a sept ans parce que c’est lui qui avait accueilli après leur amerrissage sur les côtes normandes l’aviateur Byrd et ses compagnons qui venaient de traverser l’Atlantique à bord de « l’América », a trouvé la mort dans des circonstances particulièrement tragiques.

    Gardien du phare de Ver-sur-Mer, M. Lescop qui y habitait avec sa femme et sa jeune fille en assurait également l’entretien. Il avait été chargé il y a quelques jours de repeindre le pylône extérieur installé dans la cour du phare et pour exécuter ce travail avait pris la précaution de couper le courant à haute tension qui passe dans les fils soutenus par ce pylône.

    Son travail achevé M. Lescop pénétrant à l’intérieur du phare ouvrit la porte du poste d’alimentation du radio phare pour manœuvrer les interrupteurs qu’il avait fermés quelque temps auparavant. Que se passa-t-il exactement à ce moment ?

    L’enquête n’a pas encore permis de le découvrir. M. Lescop tomba en avant et vint appuyer de tout son poids sur un des fils partant de ces interrupteurs et dans lesquels passe un courant d’environ 15 000 volts.

    La mort du malheureux fut instantanée. Lorsque peu de temps après sa femme et sa fille le trouvant dans cette position le dégagèrent, il avait cessé de vivre. [USHC].

    Ce que fut le raid de « I'America »

    Parti le 29 juin, à 10 h. 24 (heure Paris), du champ d'aviation de Roosevelt Field, près de New-York, « l’Amcrica » emmenait quatre passagers : le commandant Richard Byrd, aujourd'hui amiral, le lieutenant George Noville, le pilote Bert Acosta, qui, deux mois plus tôt, avait battu le record du monde de durée sans escale par 50 heures 11' 25", et le mécanicien suédois Balchen [Norvégien -NFO].

    L'avion navigua dans la brume pendant la plus grande partie de son survol de l'Atlantique. Vers 20 h. 30, le 30 juin, il atteignait les côtes françaises au Cap Finisterre et piquait vers Le Bourget où il était impatiemment attendu.

    " Nos instruments de précision, expliqua Byrd plus tard, avaient jusqu'alors fonctionné normalement et nous pensions arriver au Bourget sans encombre lorsqu'à notre grand étonnement, nous nous retrouvâmes brusquement près de la mer alors que nous pensions l'avoir laissée derrière nous depuis longtemps. L'aiguille de notre compas avait dévié ». Dans la pluie et dans le brouillard opaque, l'avion erra plusieurs heures couvrant un long circuit durant lequel il survola Caen, où il fut identifié et où des feux furent vainement allumés au champ de Cormelles pour lui indiquer la possibilité d'atterrir, et probablement aussi Paris.

    A 4 h. du matin, les réservoirs de « l'America » étaient vides et Byrd, apercevant la faible lueur d'un phare, donnait l'ordre d'amerrir. L'équipage lança une fusée et Balchen, qui pilotait à ce moment, coupa les gaz. Par bonheur l'avion n'était qu'à 300 mètres du littoral et la mer était presque basse. A l'aide de canots pneumatiques, Byrd et ses compagnons gagnèrent la côte. Peu après, des pêcheurs allant relever leurs filets découvraient sur la plage Byrd et Noville. Dans le même temps, Balchen et Acosta. se présentaient au phare de Ver, où ils étaient réconfortés et pourvus de vêlements secs, cependant que le commandant de « l'America » et son second recevaient l'hospitalité du Maire de la localité, M. Coeffier.

    Une véritable foule se rua le lendemain à Ver. Après avoir été fêtés par la population du village, il y eut réception officielle à la salle des fêtes, discours et musique ! l'équipage de « l'America » recevait à Caen l'hospitalité de M. Hélitas, préfet du Calvados. [USHC].

    Les recommandations de Byrd

    Caen, 1er juillet. - Ce matin, au moment de monter dans sa chambre, le commandant Byrd eut une défaillance vite surmontée.
    Avant de s'endormir, il fit des recommandations minutieuses au sujet de son avion et fit placer près de lui une petite cassette à laquelle, il semble attacher une grande importance, ainsi que les plans officiels dont il était chargé.

    Une Américaine en villégiature à Ver-sur-Mer, a servi d'interprète au commandant Byrd. Celui-ci aurait déclaré avoir navigué constamment dans la brume et cherché les phares pour prendre l'estuaire de la Seine.

    La montre des aviateurs retrouvée, est arrêtée à 2 heures. On a sauvé la plus grande partie des documents du bord. [USHC].

    [L'émergence des Portes Induites/Vortex/Pontifex/Portex/ Puits à énergie potentielle, s’accompagnent souvent de turbulences électro-magnétiques qui désorientent les aviateurs. NFO].

    Octobre 1938  -  Est-ce un bolide ? -  On a signalé qu'un météore est apparu dans le ciel dimanche soir, vers 20 h. 30, et qu'il a été vu dans toute la région de l'Ouest, de Nantes à Quimper .

    Le même phénomène a été constaté en Basse-Normandie, où on aurait observé à l'heure indiquée, une grande lueur bleuâtre vers le sud, accompagnée d'une traînée lumineuse traversant le ciel de nord-ouest en sud-ouest. Une détonation se serait fait entendre au même moment.

    Il ne peut être question, à notre avis, que d'un bolide, en raison de la rapidité avec laquelle ce météore a parcouru sa trajectoire. La parole est aux astronomes. (Source  : Le Moniteur du Calvados).

    [La conception des étoiles filantes, des comètes, des aurores polaires, des lueurs célestes inhabituelles, etc. diffère pour les Anciens de celle des Modernes, qui les appelaient des Météores (= esprits de lumières célestes) et qui les identifiaient à des entités spirituelles et non à des objets matériels ou phénomènes physiques. NFO]. 

    [Saints et Saintes en Calvados]

    Frédéric Pluquet raconte la légende : "Saint Gerbold vivait dans le septième siècle ; il demeurait en Angleterre, chez un riche seigneur, lorsqu'il lui arriva précisément la même aventure qu'à Joseph chez Putiphar. Son maître irrité lui fit attacher une meule de moulin au cou et le fit jeter à la mer. Aussitôt la pierre devint légere comme du liège ; la corde se détacha, et le saint, placé sur sa meule, vogua paisiblement vers les côtes du Bessin. Il aborda à Ver, dans la saison la plus rigoureuse de l'année, et la verdure et les fleurs naquirent de tous côtés sous ses pas ; c'est depuis ce temps que ce lieu a été appelé Ver. Le saint s'établit à Crépon, sur les bords du ruisseau de Provence, où il se construisit un petit ermitage. Sa sainteté, et surtout ses miracles le firent nommer à l'évêché de Bayeux. Lorsqu'il en prit possession, les rues par où il passa se trouvèrent miraculeusement jonchée des fleurs les plus rares et les plus odorantes. Malgré tout ce luxe de miracles, les Bayeusains ne tardèrent pas à se dégoûter de leur évêque et le chassèrent ignominieusement. Saint Gerbold jeta de dépit son anneau pastoral dans la mer, en disant qu'il ne reviendrait dans son diocèse que lorsqu'il l'aurait retrouvé. Pendant son absence, les habitants de Bayeux furent affligés de lienterie et d'hémorroïdes ; ils ne tardèrent pas à reconnaître leur faute, et envoyèrent prier saint Gerbold de revenir parmi eux. Il eut pitié de leurs maux, retrouva son anneau pastoral dans le corps d'un poisson qu'on servait sur sa table, revint à Bayeux, et la maladie cessa. Les gens de la campagne appellent encore les Bayeusains clichards ou foireux, et c'est à cette vieille tradition que Pathelin fait allusion dans la farce de ce nom.

    Marthe Moricet ajoute : "Rabelais, lui, essaie de rattacher à l'histoire de Gargantua la tradition des foireux ou des clichards de Bayeux. Il raconte que Gargantua s'en vint au Pays d'Auge pour y goûter le cidre tant vanté. Mais il en but tant que la diarrhée le prit. "Et quand il fut à Bayeulx, il fut forcé qu'il se destachast ses chausses à la martingale : et déclicqua en sorte et manière qu'il couvrit toute la ville de cidre qu'il avait beu, en telle manière que les rues ne sont pas encore bien nettes ; et pour ceste cause, on les appelle les foyreux de Bayeulx". Tous ces textes fournissent - notons au passage ce nouveau cas - un exemple d'interférences entre une tradition orale et des écrits qui s'en inspirent. A noter encore qu'il existait, à Ver-sur-Mer, voici un siècle environ une autre croyance traditionnelle relative à Saint-Gerbold. Près de la chapelle du saint, poussait une herbe qui rendait invisible celui qui la cueillait" (Jules Lecoeur, Esquisses... T.1).

    [Récits et Contes des Veillées Normandes de Marthe Moricet (1963)].

    La légende de saint Gerbold : La légende de saint Gerbold ne vaut la peine d'être racontée que pour expliquer la manière dont le saint évêque est évoqué, surtout dans les bas-reliefs anciens où on le voit accompagné d'une roue. Il serait venu d'Angleterre où il avait été condamné à cause des mensonges d'une femme dont il aurait repoussé les avances. - On reconnaît ici le passage du récit biblique où Joseph, fils de Jacob, est emprisonné à cause des calomnies de la femme de Putiphar, - (le bas d'un vitrail de l'église reproduit ce thème). Condamné à être noyé, on l'attacha à une meule de moulin... qui flotta - Gerbold est un nom saxon, comme nous l'avons expliqué ; il vint donc, lui ou ses aïeux, de la Saxe, et par la mer. Miraculeusement, il arrive sur sa meule à Ver - le saint de Ver ne pouvait en avoir moins fait que son voisin de Reviers (dont la vie est moins fantaisiste : saint Vigor = Vigh Hard). Quand il monte la hauteur, tout refleurit sur son passage, d'où le nom de Mont-Fleury. Et on explique que Ver vient du mot latin Ver qui veut dire printemps. Malheureusement pour la démonstration, Ver vient de verne, nom d'un arbre, l'aune. Gerbold va à Crépon (plus connu au Moyen-âge que Ver) où il est remarqué puis choisi comme évêque de Bayeux - ce qu'il était vraiment en 687-689. Mais les commandements de Dieu sont exigeants, et on n'aime pas qu'un évêque les rappelle avec trop d'insistance. Bousculé, indigné, Gerbold s'embarque à Ver, jette dans la mer son anneau pastoral et déclare qu'il ne reviendra pas avant que les habitants l'aient repêché. Malheurs sur malheurs pour les habitants du Bessin punis. Et là, les trouvères en rajoutent à plaisir et un peu vulgairement... (passons). On recherche, on retrouve l'anneau et Gerbold revient acclamé - enfin ! - par tous. On ne nie pas que le Seigneur puisse faire tous les miracles, mais que ceux-ci aient eu lieu à Ver, c'est une autre chose!..."

    in Histoire de Ver-sur-Mer par l'abbé Jean Marie, éditions Charles Corlet 1995.

    Chapelle Saint Gerbold : Il n'en reste rien aujourd'hui mais Arcisse de Caumont (Statistiques Monumentales Tome III ‑ 1857) pense qu'elle se trouvait à 2 km de l'église, près d'un cimetière. La légende prétend qu'elle fut bâtie là où St Gerbold futur évêque de Bayeux, débarqua d’Angleterre après une navigation miraculeuse sur une meule de pierre. Voici ce que nous dit Jules Yard : "Un gracieux récit, glané dans la vie de Saint Gerbold, nous le montre, traversant miraculeusement la Manche, sur la meule d'un moulin, qu'une haine jalouse lui avait imposée, en vue d'un inéluctable trépas. Ayant abordé sur une plage neustrienne, il s’aventure dans la campagne ravagée par l'hiver. Malgré la mauvaise saison, les fleurs et la verdure se seraient épanouies sous ses pas, charmants souvenirs perpétués par les appellations de "Val Fleury" et de "Mont Fleury", colline que domine actuellement un phare très important au triple éclat de lumière. Le nom latin de printemps anticipé (VER) a marqué pour les siècles le village de Ver..."

    En 1495 une bulle pontificale de Rodrigo Borgia plus connu sous le nom de Alexandre VI fut émise en faveur des habitants de Ver. C'est sur le lieu où St Gerbold érigea sa cabane d'ermite que fut construite la chapelle que nous évoquions plus haut. Tous venaient là invoquer le Saint ermite évêque à propos du salut éternel, bien entendu, mais surtout lorsque la "dyssentrie tenaillait les entrailles". On vénérait aussi la "pierre flottante" appelée "le perron de Saint Gerbold".

    Par bulle pontificale, Alexandre VI accorda le 20 novembre 1495, une indulgence “ à perpétuité, de 100 ans aux personnes visitant la chapelle", également dédiée à Saint-Martin, le premier jour de fête après Pâques.... On attribue aux calvinistes la disparition de la Chapelle et du Perron de Saint-Gerbold. A Ver, accolée aux terres de l'église, on trouve enfin la grange aux dîmes, perçues jadis au profit du Chapitre de la Cathédrale de Bayeux.” [In Églises et chapelles du Bessin].

    Octobre 1900 - Découverte numismatique -  Il y a quelques jours, une femme, qui traversait la plage de Ver, aperçut dans l'infractuosité d'un rocher, une lueur métallique. Ayant regardé ce qui produisait cet effet de lumière, elle constata qu'il était produit par une rondelle de cuivre jaune.

    Elle la ramassa avec soin, la nettoya et la communiqua à un  numismate de la contrée. Celui -ci reconnut que la médaille de cuivre était une médaille (grand bronze) et très bien conservée, de l'empereur Trajan, et qu'elle avait dû être perdue par un Romain qui parcourait la plage. [USHC].

    Victot-Pontfol (14)

    Mars 1946 -   Dans les « oubliettes » du château  - Plus simplement dans les caves du château de Victot-Pontfol, on a découvert, en creusant un trou pour des travaux, les ossements d’un petit squelette d’enfant. La question est de savoir à quelle date, à quelle époque même remonte cette inhumation clandestine, sinon criminelle.

    Le Parquet de Pont-l’Evêque s’occupe de cette énigme macabre. (Source : Le Bonhomme Libre).

    Viessoix (14) - Calvados - Normandie - France - 08/12/2009 - entre 07 h 20 et 07 h 30 / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

    Le mardi 08 décembre 2009 entre 07 h 20 et 07 h 30, au volant de mon bus scolaire, j’ai aperçu dans le ciel pendant environ 10 à 20 secondes une boule lumineuse qui se déplaçait horizontalement, plus rapide qu’un avion ou un satellite mais bien plus lentement qu’une étoile filante puis elle s’est dilatée, formant un anneau de brouillard lumineux scintillant, d’où s’est détaché trois points plus lumineux qui s’en éloignaient. Puis plus rien, si ce n’est un nuage bleuté résiduel que j’ai aperçu. 01 Témoin. Source : Géipan.

     

     Viessoix (14) - La Croix aux Lièvres


    La légende raconte que, jadis, des lièvres aux allures bien étranges se regroupaient autour de cette croix, pour y jouer et y converser, comme des humains. Ce carrefour devint l’effroi de toute la contrée. Un téméraire aurait décidé de se rendre sur les lieux afin de constater la véracité de ladite légende : armé de son fusil, il assista au rassemblement de ces lièvres. Transi de peur et d’effroi, il rentra chez lui. Plus tard, une croix fut construite à ce carrefour pour empêcher ces créatures d’y revenir…
    Source : la Voix - Le Bocage, du 22/02/2016.

    Vieux-la-Romaine (14)

    Plan simplifié d'Aregenua (Vieux 14)

     Chef-lieu/capitale des gaulois Viducasses, Aregenua (nom gaulois : au-dessus de l’embouchure)

     

    Un sanctuaire gallo-romain dans lequel fut retrouvé un autel à Vénus et à Mars. Ce temple est sous l’actuelle église Notre-Dame. C’est un cas assez rare de continuité entre un lieu de culte païen et un lieu de culte chrétien. [Wikipédia].

    Fabrique  par moulage des petits anneaux en alliage cuivreux comme ex voto par destination. [MSH - Mondes].

    Septembre 1892 - La peur des sorciers - Dernièrement, une montre avec sa chaîne était volée chez M. Joimel, boulanger et débitant à Vieux. M. Joimel ne savait qui soupçonner.  Mercredi matin, il déclara devant une dizaine de personnes qu'il allait à Caen consulter un sorcier qui lui ferait retrouver sa montre. Il partit en effet, mais n'alla consulter personne. 

    Quelles ne furent pas sa surprise et sa joie de retrouver montre et chaîne sur une planche qui lui sert tous les jours à mettre du pain. Pendant l'absence de M. Joimel, elles avaient été rapportées là par le voleur qui avait sans doute eu peur des sorciers. (Source : Le Bonhomme Normand).

    [Depuis les époques les plus reculées de la préhistoire, l'office des devins, mages, spirites, voyants, qui perpétuent le culte ancestral des morts, est de consulter les esprits, avec l'édification de temples voués à la pratique animiste/chamanique de la nécromancie, de la transe médiumnique possessive des occultistes par les entités éthérées métamorphes, goules parasitaires et mânes nécrophages, ou âmes (noosphères) vagabondes immanentes, qui parodient les esprits des morts tout en se repaissent des effluves des corps vivants ou en décomposition. NFO].

    Villers-Bocage - 10 km sur la route Vire - Caen (14) - Calvados - Normandie - France - 24/01/1974 - vers 21 h 30 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster) 

     

     

    Mr. André Leraitre, directeur-adjoint du C. E. S.  Guérinière II, a aperçu, à 21 h 30 , à 100 m au-dessus de la route de Vire - Caen et depuis 10 km avant Villers et jusqu'à la sortie de cette ville, un engin silencieux et pratiquement immobile avec des feux rouges très importants et une sorte de flash vert régulier. 01 Témoin. Source : Ouest-France du des 30 et 31/01/1974.

    (1) Villers-sur-Mer (14) - Calvados - Normandie - France - août 1967 - 22 h 30 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster) 

     

     

    Objet lumineux de couleur rouge, sur la mer, bas sur l’horizon N. - O. Diamètre apparent 1 m parfois caché par les nuages. D’abord immobile, puis changement de teinte rouge – jaune, puis rouge – verdâtre. Le point lumineux comme, ce à se déplacer vers le N. - E., montant et descendant parfois pour disparaître dans un nuage.

    01 Témoin. Source : Rapport de Mr. Ranson - LDLN - Contact Lecteurs - 1969.

     

     
    (2) Villers-sur-Mer (14) - Disparition de Jean-Claude B.

    Jean-Claude B., 59 ans, originaire de Saint-Désir de Lisieux (14), a disparu le samedi 22 aout 2015 sur les falaises des Vaches Noires (14). Il avait pour habitude venir en moto sur cette côte, et d'y faire des expéditions à la recherche de fossiles, dont il était collectionneur.

    Source : Pays d'Auge, 27/08/2015.
     

    [Les disparitions inquiétantes de personne sont mortelles dans 29 % des cas, provisoires dans 30 % des cas et continuelles ou définitives dans 41 % des cas. La concordance territoriale entre les épicentres des apparitions des ovnis et les disparitions inquiétantes accrédite la thèse de l’ingérence parasitaires des exogènes-polymorphes comme principaux acteurs de ces disparitions, de même que le factuel des états somnambuliques des personnes disparues/retrouvées et qui montrent les symptômes identiques de désorientation, d’amnésie, de perturbation psychique, de missing time, etc. des RR4 ou des phénomènes dits des abductions ufologiques. NFO].

    [Selon l’apport traditionnel nombres de disparitions inquiétantes et définitives de personne s’expliquent par le passage de l’horizon des événements d’une Porte Induite par les puits à énergie potentielle et dont les orages, tempêtes, ouragans sont les manifestations tangibles les plus couramment rencontrées - NFO].

     
    Villedieu-les-Bailleul (61) -  Les Bailleul

    Tout près de l'église de la commanderie des chevaliers Hospitaliers, dans un vallon, se trouve un trou, dans les rochers de carrière, où se retirait un monstrueux serpent.

    On lui présentait les prémices des moissons et le lait le plus pur des troupeaux pour calmer sa fureur, et cependant il exigeait encore, à certaine époque, des offrandes bien plus funestes : on devait lui livrer une jeune fille qu'il traînait dans son antre où il la dévorait.

    Le vallon était alors rempli d'eau, et le dragon se promenait à la surface en vomissant des flammes qui laissaient après lui un long sillage de feu ; quelque fois, il parcourait la campagne avec un grand bruit et se rendait à Exmes (61), à Fontaine (61) ou à Bière (61), où il exerçait ses ravages. A son retour, on entendait de loin résonner ses bruyantes écailles, et chacun rentrait effrayé dans sa demeure.

    Enfin, ayant dévoré une demoiselle de l'ancienne et noble famille des Bailleul, qui a donné deux rois à l'Écosse, lorsque cette demoiselle allait voir les frères de la commanderie de Villedieu, un monsieur de Bailleul, fort comme Satan, résolut d'affranchir le pays d'un tel monstre et se prépara à soutenir une attaque à outrance contre lui.

    Il se couvrit d'une armure de fer-blanc sur tous les points ainsi que son cheval, et, bardé jusqu'aux dents, il s'avança vers le monstre si redouté. Il nageait fièrement sur l'eau quand le monstre le découvrit et vint se jeter sur lui avec une grande fureur. Le chevalier soutint le choc et porta sur son ennemi des coups tellement sûrs que sa perte devint certaine.

    Mais le monstre, dans l'excès de sa rage, vomit tant de flammes que le chevalier en fut suffoqué. Pour comble de malheur, son cheval étant venu à se détourner, les crins de sa queue, qu'on avait point entourée de fer-blanc comme tout le reste du corps, s'enflammèrent en un moment, et l'animal et celui qu'il portait furent consumés intérieurement.

    Le monstre expira sur leurs restes, et les habitants de Villedieu, sauvés par cet héroïque dévouement, ajournèrent le nom de leur libérateur à celui de leur commune.

    Source : Histoires et légendes de la Normandie mystérieuse, Sand.

    Villons-les-Buissons (14) - Calvados - Normandie - France - 07/04/1973 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster) 

     

    Catalogue Photovnis

    Normandie - France - Ovnis

    1973

     

    07/04/1973

     Villons - les - Buissons (Calvados 14)

     

    Source : Génpi - 02 Témoins

    Villy-Bocage (14)  

    Il s’agit d’un bloc imposant de schiste mesurant environ 3 mètres de haut et 2 mètres de large. Son épaisseur moindre lui donne l’aspect d’une aiguillequand il est vu de profil. L'élément -laye ou lée qui qualifie un grand nombre de mégalithes est issu du gallo-roman *LEVATA, participe passé de LEVARE > lever et signifie donc « pierre levée » ou LATA « large », d'où le sens de « large pierre ». [Wikipédia].

    [Depuis les époques les plus reculées de la préhistoire, l'office des devins, mages, spirites, voyants, qui perpétuent le culte ancestral des morts, est de consulter les esprits, avec l'édification de temples voués à la pratique animiste/chamanique de la nécromancie, de la transe médiumnique possessive des occultistes par les entités éthérées métamorphes, goules parasitaires et mânes nécrophages, ou âmes (noosphères) vagabondes immanentes, qui parodient les esprits des morts tout en se repaissent des effluves des corps vivants ou en décomposition. NFO].

    Juin 1887 - Les fortes chaleursLes fortes chaleurs que nous subissons ne sont rien auprès de celles que nos pères eurent à supporter. Ainsi, en 1803, la Normandie vit s'écouler une période de quatre-vingt-quinze jours sans pluie. En 1811, année de la fameuse comète, les rivières tarirent dans plusieurs départements. En 1844, nouvelles chaleurs, le thermomètre resta stationnaire entre 50 et 60 degrés. Dans quelques départements, les bestiaux périrent faute d'eau. En 1859, 1860, 1869 et 1874, le thermomètre monta à 38 degrés. L'année dernière, il y eut 20 degrés  au mois d'octobre, température exceptionnelle pour la saison. [Un siècle d'histoire du Calvados].

     

     Vimont (14)

     

    Vire (14)  - Calvados - Normandie - France - 11/01/1974 - vers 22 h / foyer surnaturel /ovnigène (cluster) 

     

    Deux personnes aperçoivent une boule orange lumineuse stationnaire dans le ciel. Quelques instants plus tard la dite boule « tombe » vers le sol et disparait cachée par un bosquet. 02 Témoins. Source : Patryck Lefebvre GIREO.

     

    Coiffe de Vire

                                                                         

    Géolocalisation des Sabbats / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    Aux environs de Vassy (14), le village de Jean-le-Blanc (14), Beaumont-le-Roger (27), le mont Bonnet Vire (14), les rochers de Clécy (14), la butte Brimbal entre Sourdeval (50) et Tinchebray (61), la mare de Bouillon (50), dans la forêt de Néhou (50), à Méautis (50), aux bois d'Etenclin (50), aux bois de Lithaire (50), forêt de Barnavast (50), dans la contrée du Theil (50), dans la contrée de Saussemesnil (50), le mont Margantin (61), Gaillefontaine (76), à Bully-la-Fosse (76), à Aliermont (76), au Mesnil-Esnard (76), à Londinière (76), à Fréauville (76), à Pont-Angot (61), sur la Dives vers Vicques (27), à Louviers (27), à Gisors (27), à Tosny (27), à Saint-André et Saint-Georges-de-Bohon (50), le mont Etenclin près de la Haye-du-Puits (50), Montchauvet (14)

    Sources : Le Tenneur René - Magie Sorcellerie et fantastique en Normandie -1979.

    L’Arme d’Invasion Massive

    Extraits : Les Prédateurs, expliquant dans le détail comment ces Créatures Inorganiques et Symbiotiques et Noosphériques se développent et se nourrissent à partir des Émotions de la Psyché Humaine ou Animale, et pourquoi les extinctions de masse, les guerres d'extermination et conflits sanglants et catastrophes meurtrières, les génocides, les holocaustes, et les tueries, les mutilations les immolations et les sacrifices rituels sont générés par des Êtres réellement Diaboliques.

    La conscience de l'homme se trouve violée en permanence par des incursions étrangères d'énergie appelé être inorganique, ressenties comme changements humoraux plus ou moins puissants, cette entité obscure est capable de substituer sa conscience à la nôtre, pour exacerber le pire [et] se nourrir de ses effets funestes.

    Ils agissent sur un homme normal lors même qu'il croit agir de sa propre volonté. L'homme, conscient de la présence furtive de l'énergie étrangère, la capte, mais conserve sa propre volonté. 

    C'est l'ensemble de notre monde qui serait infecté, déconnecté de sa source créatrice et manipulé [et] oppressé aliéné, immergé dans un enfer terrestre [par des] esprits maudits et sombres [qui ont aussi à leur disposition des armes de destruction massive capables de provoquer des dérèglements du fragile équilibre géo tectonique climatique]

    La création s'articule autour de la prédation et du parasitisme. Les comportements et les consciences sont investis par la peur et l'instinct de survie. Ce n'est ni l'homme, ni la nature qu'il faut remettre en cause, c'est un symbiote étranger qui aurait infecté notre esprit et qui manipulerait la réalité de façon à ce qu'elle devienne un enfer.

    Ces démons dévoreurs de mondes en perdition nous amènent à réfléchir sur l'hypothèse selon laquelle l'âme humaine serait réellement parasitée, elle serait ainsi manipulée par une puissance dissimulée et mystérieuse qui se révèlerait être notre malédiction. Ces entités parasites nous ont infiltrés et ont conféré à notre esprit son côté routinier, répétitif, maniaque, peureux, avide, violent, et calculateur [et qui] sont les coupables de notre aliénation existentielle. [c'est d'ailleurs pour les combattre que la Très Sainte Inquisition Apostolique et Romaine a été créée avant d'en être à son tour la victime]

    Ce sont des prédateurs extraterrestres appelés parfois Tricksters, Lézards, Démon ou Arkontaï en Grec. Les Toltèques les décrivent comme des créatures lourdes, ténébreuses et fuyantes. Les noms les plus communs qu'on leurs attribue sont Créatures de l'Ombre, Simulacres (esprits malins menteurs et tricheurs, les truffeurs/trufer = tromper et se moquer, railler).

    Ce sont eux qui on poussé l'humanité à montrer une plus grande propension à des comportements agressifs, territoriaux, impérialistes, froids, forçant l'homme à vivre toujours dans la crainte d'une agression, ou d'une menace.

    Ce sont là les traits de caractère (de ces parasites) qu'ils auraient donné à l'homme imitant ainsi sa force conquérante et carnassière d'expansion territoriale ainsi que sa doctrine génocidaire de l'élimination du moins apte.

    La psyché humaine est donc parasitée, et cette invasion est avant tout de nature mentale et psychique, il se peut que nous soyons également agressés sur le plan physique.

    Ces entités prédatrices sont connues pour enlever parfois les âmes la nuit  [elles] provoquent un état de panique mortelle qui paralyse le corps, puis ils apparaissent par trois, la tactique habituelle de ces ombres fuyantes est tout d'abord de paralyser et ensuite d'infiltrer le mental du sujet humain. C'est une des descriptions précises des kidnappings modernes, par paralysie du sommeil  des extraterrestres. [les abductions par les pseudos occupants des ovnis par le biais des missing times et des Mmissing Spaces]

    Les hommes des temps anciens s’étaient aperçus que s’ils opposaient à l'esprit des parasites [par] leur vide mental une sorte de silence de l'esprit, cette implantation étrangère disparaissait après de longues années d'efforts et de contrôles, ce qui confirmait, l’origine extérieure de cette intrusion. L'entité dissimulée, le pire prédateur de l'univers, nous prête, à notre insu, sa conscience pour nous faire faire des actes destinés à exacerber notre auto contemplation, qui va générer nos sursauts énergétiques dont se nourrira l'entité.

    En d'autres termes, la prise de conscience qu'un esprit étranger puisse opérer une mainmise en notre mental ne devient parfaitement claire et certaine que lorsque cet intrusion a été repérée, démasquée puis expulsée.

    Pour faire face à l'immense complexité de l'intrusion, la clarté et la concentration constituent des atouts indispensables. La résistance humaine à leurs intrusions dépend de l'attitude intérieure et de la discipline mentale c'est la sobriété du Guerrier. [du Propugnator (celui qui défend, soutient, et protège), du combattant, du bellator, du résistant et du chevalier]

    Les traits de caractère humains attribués à cette déviation, par une implantation étrangère, sont l'envie, la convoitise, la jalousie, la haine, la vanité et l'arrogance sont considérées comme les caractéristiques principales de l'infection [infestation contamination ou possession]

    [ cf. https://novusordoseclorum.1fr1.net/t3714-enquete-sur-les-enlevements-extraterrestres ]

     

     
     

    La Structure Nomade des Ovnis - Le Triangle du Diable

    Mise à jour de la carte au 21/06/2024

     

    Les Apparitions Ovnis et les Manifestations Surnaturelles et lignes de Ley – Go

     
     
    Extrait du Catalogue de Normandie - France - Ovnis : Seine-Maritime (76), Orne (61), Manche (50), Calvados (14)
     
    Vous pouvez nous aider à vous informer sur les ingérences des ovnis en nous communiquant les nouvelles ou les anciennes observations de Normandie (témoignages ou presse) à ufo.genpi@gmail.com ou en les publiant publiquement. Merci d’avance.
     
     

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    Pour en savoir plus

    Les Apparitions des Ovnis et les Manifestations Surnaturelles

      Les 75 ans des Ovnis en Normandie

     

     


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