• Val-de-Reuil (27) - Eure - Normandie - France - 23/10/2011 - aux environs de 04 h 45

     

    Normandie - France - Ovnis

    Val-de-Reuil (27)

     

    Mise à jour de la carte le 20/05/2023

    Les Apparitions Ovnis et les Manifestations Surnaturelles et lignes de Ley – Go

     

    [Val-de-Reuil/habitants : 398 (15.3 hab/km2) en 1968 - 12 969 (500,0 hab/km2) en 2013 - 12 910 (497,7 hab/km2) en 2019 - Commune/Ville Nouvelle, denses ou de densité intermédiaire, et au climat océanique dégradé - Superficie : 26.61 km2]

     

    Val-de-Reuil (27)

     le passage de la clairière
     
    Fascé d'or et de sable de huit pièces à la bande d'argent brochant sur le tout.

     

    Val-de-Reuil (27) - Eure - Normandie - France - 23/10/2011 - aux environs de 04 h 45

     

     

    Le dimanche matin du 23 octobre 2011 vers 04 h 45 les deux témoins reviennent d’une soirée chez des amis. A la sortie de Val-de-Reuil ils roulent sur la route des Falaises (D6154) en direction de l’Est. Au moment de s’engager à droite vers le sud sur la chaussée des berges ils aperçoivent une lumière très inhabituelle au Sud Est "beaucoup plus basse qu’une étoile, à distance des nuages".

    Ils décident de s’arrêter juste avant d’entrer dans le lotissement ou demeure l’un d’eux et observent le phénomène. En observant plus précisément le phénomène qui se situe maintenant au-dessus d’eux, ils se rendent compte que ce qui ressemblait de loin à une étoile a plutôt la forme d’un triangle composé à chaque angle de "puits de lumière qui tiraient sur le bleu".

    Entre les lumières, les témoins observent un "mince fil bleu" qui défini un triangle.

    Toujours selon le témoin principal, il y a tout autour du triangle une sorte de fumée rouge assez floue, diffuse, un peu comme des fumigènes. Le phénomène est entièrement silencieux et semble plus gros que la pleine lune.

    L’observation va durer environ une demi-heure et voyant que le phénomène ne bouge pas ils décident de partir.

     01 : "J’étais sur la route dimanche matin aux alentours de 4 h 45 lorsque j’ai pu constater un phénomène particulier dans le ciel sur ma gauche. Ce phénomène était si particulier que j’ai décidé de m’arrêter sur le bas côté afin de pouvoir l’observer davantage. J’avais le sentiment d’assister à un phénomène complètement inhabituel dans le sens où ce que je voyais ne ressemblait à rien d’existant.

    Il s’agissait d’un objet dans le ciel qui restait immobile. L’objet me semblait ne pas être très haut dans le ciel et malgré les couleurs ressemblantes à des avions, les motifs en étaient différents. Je me suis donc concentrée afin de pouvoir mieux observer cet objet.

    J’ai vu des triangles bleus apparaître sur cet objet par intermittence avec de temps à autre des points rouges diffus apparaître. ".

    J’étais très intéressée par ce que j’étais en train de voir. Évinçant après observation complètement l’idée d’un avion habituel, je me suis faite la réflexion qu’il s’agissait, soit d’un prototype militaire, soit d’un OVNI. Suite à 3⁄4 d’heure d’observation avec mon ami, nous avons décidé de rejoindre notre domicile.

    Aux vues de ce que nous avons pu ensemble observer je ne crois pas à la manifestation due au passage d’une météorite ni aux retombées d’un satellite puisque l’objet était immobile."

    02 : "Donc on prenait cette route-là, pour rentrer. On venait de passer la soirée chez des amis, et à un moment donné en s’engageant sur cette route, on a déjà vu une lumière au loin qui nous a interpellé un petit peu, parce que c’était beaucoup plus bas qu’une étoile. On aurait pu penser que c’était une étoile mais dans le ciel c’était beaucoup plus bas, c’était à hauteur, à distance des nuages donc tout de suite on a commencé, à regarder.

    Et puis en approchant et en arrivant juste avant les lotissements on a décidé de s’arrêter, car ce qu’on voyait était complètement inhabituel et donc en s’arrêtant et en observant plus particulièrement, on a pu se rendre compte que ce qui ressemblait de loin à une étoile n’en était pas du tout une, puisque ça avait une forme triangulaire et que donc à chaque coin du triangle, on pouvait voir un faisceau de lumière, je dirais qui tirait sur le bleu, alors ce qui était étonnant, parce que de loin on voyait pas de bleu, on voyait qu’une étoile, c’est en regardant plus particulièrement, en s’arrêtant et en regardant ce qu’il y avait dans le ciel, on voyait trois lumières qui tiraient sur le bleu.

    Entre ces trois lumières là on voyait un mince fil qui définissait le triangle, un mince fil de lumière qui tirait sur le bleu aussi et qui limitait bien le triangle, comme on aurait pu voir des néons entre les trois lumières plus conséquentes, ça délimitait bien cette forme triangulaire.

    Également en se concentrant et en regardant bien ce qu’il y avait dans le ciel, tout autour de ce triangle bleu, on voyait comme une sorte de fumée rouge comme des fumigènes, enfin une fumée assez floue tout autour de ce triangle bleu.

    Donc on a observé ça pendant un moment que j’estime à une bonne demi-heure et puis voyant que ce triangle était statique, donc je précise que ça ne faisait aucun bruit et que ça restait là, on n’allait pas observer pendant trois heures, on a décidé alors de partir tout en se disant que c’était quand même quelque chose de tout à fait inhabituel et assez extraordinaire.

    Étant en-dessous du phénomène, je pense que c’était la base, que ce qu’on a vu c’était le dessous, après je suis à peu près sûre qu’il y avait du solide et donc qu' il pouvait y avoir quelque chose au-dessus d’une autre forme qu’on n’aurait pas pu définir dans un ciel noir. Là, je suis vraiment sûre que c’était la base, c’est à dire que le phénomène n’avait peut-être pas une forme triangulaire mais c’était la base du phénomène qui était triangulaire, puisque vraiment on voyait la chose d’en dessous. Après, s’il y avait quelque chose au-dessus d’une autre forme en matière solide, on aurait pas pu dans la nuit le distinguer de façon certaine, tout ce qui est sûr c’est qu’il y avait ce triangle de lumière avec les puits/les faisceaux de lumière qui n’irradiaient pas dans le ciel, c’était vraiment des lumières comme des spots en fait et avec des faisceaux qui auraient pu faire comme des néons de loin et c’était vraiment la base, peut-être de quelque chose qu’on n’aurait pas pu distinguer dans le noir." 02 Témoins. Source : Géipan.

     

    Val-de-Reuil (27) - Le Menhir de la Basse-Crémonville

     

     

    Le menhir de la Basse-Crémonville est un bloc de calcaire sénonien de 3,30 m de haut sur une largeur moyenne de 1,90 m et une épaisseur de 0,70 m. À la partie supérieure et à 0,50 m du sommet, du côté opposé à la route, on remarque une cavité carrée mesurant 0,20 m de côté et 0,05 m de profondeur. Une cassure est également visible à 1 m du sol, conséquence du transfert du mégalithe en 1866.   

    Le monument date du Néolithique. Il est mentionné pour la première fois en 1842 lorsque les travaux de terrassement de la route qui le longe attirent l’attention sur lui : « Auprès de la ferme de la Basse-Crémonville, hameau de Saint-Étienne-du-Vauvray, que ce chemin traverse, chacun connaissait bien une grosse pierre, plus haute que large, dont le calcaire, détaché de la côte supérieure, s’élevait en pointe. […] Une fouille pratiquée au pied a permis de constater qu’il se terminait en pointe irrégulière à 1,25 m au-dessous de la surface du sol, et qu’aucun objet ne s’y trouvait renfermé. Il n’est remarquable que par sa direction parallèle à la vallée et par une ouverture peu profonde en forme de parallélogramme qu’on observe à son sommet ». Les gens du pays confirment ce que pensent les historiens au vu de cette niche, elle avait dû abriter une statuette d’un saint chrétien préservant ainsi le mégalithe de la destruction.

    La poursuite des travaux d’excavation de la route réserve une surprise aux ouvriers quand ils creusent sous un énorme bloc de calcaire et dégagent de nombreux ossements humains. Quand ils font part de leur découverte quelques jours après, des fouilles supplémentaires sont engagées pour dégager la partie du tombeau qui n’a pas été détruite par les terrassiers. Elles mettent au jour une construction circulaire d’environ 4,50 m de diamètre et composée de trois niveaux superposés de 0,40 m de haut chacun. Sur chacun de ces niveaux, des squelettes sont retrouvés : « Chacun des corps, dont la tête était appuyée sur une pierre aplatie, placée contre la pierre circulaire, avait les pieds au centre du cercle ; leurs bras étaient allongés près du corps qui remplissait la cavité ». Des moellons assemblés sans maçonnerie séparaient les cadavres entre eux. Des pierres de 0,15 m d’épaisseur assuraient la séparation entre les niveaux intermédiaires. Un pavage de calcaire composait le sol du tombeau. Le dernier niveau était recouvert d’une espèce de voûte de moellons, elle-même recouverte de l’énorme bloc de calcaire dont les dimensions étaient toutefois inférieures à celles du tombeau. Celui-ci avait donc une hauteur de 1,65 m entre le sol et la pierre qui le recouvrait. Seuls trois squelettes sont retrouvés intacts mais l’examen méticuleux de leurs restes ne révèle la présence d’aucun objet métallique. On ne retrouve qu’un fragment informe d’un vase de terre grossière et une espèce de hachette.

    Cette découverte relance l’intérêt pour le menhir. Sa proximité avec une telle sépulture pourrait en effet suggérer un lien entre les deux.    

    Le mégalithe occupe la place où était enfouie la sépulture néolithique. Il est maintenant classé au titre des monuments historiques par arrêté du 27 juin 1927.

     

    Les Sacrifices

    Toute l’histoire antique et les découvertes archéologiques signalent ces temples sacrificiels où les animaux et les êtres humains étaient immolés (et momifiés) en oblation à des dieux sangsues et sanguinaires, comme au Temple de Palmyre en Syrie (voué au dieu Baal), au Temple de Jérusalem avec les Hébreux, en Égypte Antique ou comme chez les Mayas et les Aztèques précolombiens qu'ils considéraient comme des offrandes de nourriture destinées aux dieux (de même en Amérique du Nord, avec les Indiens Cahokias ou les Indiens Pawnees ; ce qui a été attesté pour ces derniers, et officiellement interdit par les autorités au 19ème siècle). 

    Ces actes inhumains (sous couvert de religion), sont encore pratiqués par les Musulmans intégristes ou par les Thugs aux Indes, où la coutume de l'incinération des cadavres est une réminiscence de ces pratiques sacrificielles ancestrales.

    « il offrit un sacrifice et versa une libation au sommet de la montagne, mit en place sept plus sept calices cultuels qu'il empila sur leur support de jonc, de cèdre et de myrte … [les dieux] humèrent l'odeur délicieuse et s'abattirent comme des mouches sur le sacrificateur ».

    [Utnapishtim (version sumérienne de Noé) rappela à Gilgamesh qu'au sortir de l'arche - L’Épopée de Gilgamesh]

     

    La Nécromancie

     Ces autels de dévotion aux divinités du ciel (égyptiennes/gréco-romaines) ou de la nature (esprits) sont la raison première de tous les Castrum Templum, de toutes les époques, les grottes préhistoriques ornées, les mastabas, les Castrum Romanumes, les fanum, les obbidum, les clairières sacrées, les éperons barrés celtiques, les enceintes de pierres dressées, les cénotes amérindiens, les hypogées, les tumulus/nécropoles, destinés aux goules parasitaires/mânes nécrophages, ou âmes vagabondes, immanentes du Wood, Wide Web (réseau fongique interconnecté de la forêt) qui se nourrissent des effluves des mourants et se repaissent de leurs charognes, en décomposition.

    Ces Castrum Templum révèlent la pratique animiste/chamanique de la nécromancie (noir/pouvoirs ténébreux), ou divination par les morts (qui servent d'appâts aux esprits), favorisant ainsi la transe possessive, par les entités éthérées métamorphes (ou noosphères), des mages occultistes, dont ils deviennent les obligés, jusqu'à leur fin (faim) dernière.

     

     

     

    Géolocalisation des Sabbats 

    Aux environs de Vassy (14), le village de Jean-le-Blanc (14), Beaumont-le-Roger (27), le mont Bonnet Vire (14), les rochers de Clécy (14), la butte Brimbal entre Sourdeval (50) et Tinchebray (61), la mare de Bouillon (50), dans la forêt de Néhou (50), à Méautis (50), aux bois d'Etenclin (50), aux bois de Lithaire (50), forêt de Barnavast (50), dans la contrée du Theil (50), dans la contrée de Saussemesnil (50), le mont Margantin (61), Gaillefontaine (76), à Bully-la-Fosse (76), à Aliermont (76), au Mesnil-Esnard (76), à Londinière (76), à Fréauville (76), à Pont-Angot (61), sur la Dives vers Vicques (27), à Louviers (27), à Gisors (27), à Tosny (27), à Saint-André et Saint-Georges-de-Bohon (50), le mont Etenclin près de la Haye-du-Puits (50), Montchauvet (14)

    Sources : Le Tenneur René - Magie Sorcellerie et fantastique en Normandie -1979.

    Extrait du Catalogue de Normandie - France - Ovnis : Seine-Maritime (76), Orne (61), Manche (50), Calvados (14)
     
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