• L’Abécédaire des Voleurs de Corps - Lettre B

     

     

     

    « Dans la province de Langres, un noble seigneur descend sans doute d'une race de vipères. Son trisaïeul rencontra en effet, au plus profond d'un bois, une belle femme portant de riches habits. Il ne resta pas insensible à sa beauté et l'épousa. Un jour cependant, on la vit en train d'onduler dans son bain sous la forme d'un serpent. Accusée par son mari et surprise alors qu'elle se baignait, elle disparut pour toujours » .

    [Les Croisements Polymorphiques - Geoffroy d'Auxerre - XIIème siècle]

     

    L’Abécédaire des Voleurs de Corps - Lettre B

     Bellator

    Guillaume Chevallier

     

     Comme l'a si pertinemment signalé René Le Tenneur [cf. Magie, Sorcellerie et Fantastique en Normandie des premiers hommes à nos jours - 1979] les manifestations paranormales et les apparitions des créatures, dites surnaturelles, perdurent depuis des temps immémoriaux, jusqu'à notre époque moderne.

    Puisqu'en effet, ils n'ont pas disparu, ni avec la révolution industrielle, ni après l'avènement du numérique :

    Les fées, dames blanches, lavandières, sirènes, garwall, garous, varous ou wargus, lycanthropes, hommes-loups, bonhommes blancs, revenants, fantômes, rongeurs d'os, lémuriens, stryges, bierres, goules, laitices, milloraines, fouines, chabrettes, taranes, huards, bigornes, succubes, incubes, satyres, nymphes, hommes-papillons et hommes en noir aux yeux de zombies, horlas, simulacres, répliquants, substituts, drôles, korrigans, goublins ou gobelins, lutins et lubins ou hommes rouges, jacquets, follets, gnomes, petits-gris, génies, et apparitions ou manifestations dites religieuses, etc. ; ces créatures étranges venues d'ailleurs sont toujours observées ou photographiées dans notre environnement, où elles prennent occasionnellement possession de nos demeures, de nos âmes et de nos corps, et tous ceux qui en ont fait des féeries ou des diableries, ou aujourd'hui des alienneries, se méprennent sur la nature réelle, de ces êtres poly-métamorphiques, qui ne sont, à proprement parler, ni terrestres ou extraterrestres mais ultra-terrestres, comme John A. Keel aimait à les qualifier. [cf. : La Prophétie des Ombres - 1975].

    Les Voleurs de corps

     L’existence en la croyance universelle des vampires qui se nourrissent du sang, ou principe vital, de leurs victimes et celle des zombies ou, morts-vivants qui se relèvent de leurs tombes, ou qui restent enfermés dans leurs cercueil après avoir vainement gratter le couvercle, sont les marques de la prise de possession des corps vivants ou défunts par les entités psychique métamorphes nommées par les anciens sous différentes appellations ou dénominations (noosphères, daïmons, djinns, goules, mânes, spectres, esprits-frappeurs, élémentaux, dames-blanches, fées-mélusines, vouivres, stryges, givres, sirènes, incubes, succubes, hennequins (hennequins = petits diables, dont certains sont décrits comme des êtres d'une difformité étrange, nains grêles dont la tête est enflée et grosse comme une tonne = petits gris / shorts-Grey), farfs, loups-garous (lycanthropie), les ulfarks (les guerriers-loups), les berserkers (es guerriers-ours), les svinfylkingars (les guerriers-sangliers), qui sont les berserksgangrs (les guerriersfauves), etc., ce sont les voleurs de corps (les body snatchers).

    Ces métamorphes/transformistes apparaissent aussi comme polymorphes (voir les divinités polymorphes mi-animal/mi-humaines des hiéroglyphes antiques) lorsqu’ils se métamorphosent en humains, en animaux, en créatures chimériques (shorts-Grey) ou en sphères de plasma (noosphères) identifiés par les modernes comme des ovnis ou des extraterrestres.

    Il leur arrive souvent de chasser leurs victimes en meutes, s’ils sont parfois grégaires, la plupart sont individualistes, sédentaires et territoriaux, attachés à une terre, à un domaine, à un lieu, un site, un monument, ou à un écosystème naturel, comme un bois ou une forêt, qu’ils contrôlent, surveillent et y traquent les intrus qui ont le malheur de les importuner.

    La mémoire traditionnelle

    Les anciens, en guise d’avertissements, nous ont transmis un nombre incalculable de récits et de témoignages illustrant leurs compétences surnaturelles servant leurs prédations, et dont les ignorants-impéritieux frivolets ont rangé dans le registre de la superstition, de la croyance, des mythes, des contes et légendes, en voici quelques exemples.

    En Neustrie, il y a des expressions consacrées pour signifier qu'une personne a été contaminée ou inséminée par un poly-Métamorphe, « il court le garou (ou le warou) dans la lande ! », « il a le diable au corps ! ».

    Les contacts, les rencontres rapprochées et les communications avec les représentants de l'autre monde ont impacté notre histoire, en se différenciant formellement dirigeant et orientant la doxa culturelle dominante.

    Au cours des périodes préhistoriques et antiques, ce fut les croyances religieuses aux dieux, puis le temps des terreurs superstitieuses de la magie des sorciers et des sorcières, époque de l'anti-démonologie, qui a connu son paroxysme hystérique, avec la Réforme, au XVIIe siècle, à laquelle a succédé l'illusionnisme de l'ésotérisme kabbalistique et le culte de l'occultisme hermétique, propre à la Renaissance, allumant les lueurs crépusculaires de la Révolution, dont le magnétisme, le spiritisme, le magico-chamanisme du New-Age/Para-Science, et, pour finir, l'extratologie-éthérée ufologique, sont les ultimes reflets aveuglants et illusionnistes.

    Au delà de ces apparences, et avant de se dissimuler sous les formes fictives des petits diablotins-lutins des petits gris, des Men-In-Black, et autres entités des rencontres rapprochées des ovnis modernes, les représentants Métamorphes de l'autre monde, ont manifestement pris un malin-plaisir à adopter les panoplies, aussi variées que trompeuses, des êtres soi-disant divins, angéliques et démoniaques.

    L'analyse structurelle, la corrélation formelle et l'étude statistique des phénomènes de hantise, de possession démoniaque, ou d'apparition diabolique, ou même faussement mariale, le démontrent abondamment.

    En effet, les occurrences manifestées, les emprises psychologiques et physiques, sont structurellement identiques, et les parallèles sont d'une évidence indiscutable chez les témoins/expérienceurs, les abductions-visites en chambre/rapts et visites nocturnes démoniaques, les paralysies temporaires/immobilisations mystérieuses, les communications télépathiques/voix intérieures, les implants, marques/épines-aiguilles cicatrices, les lieux ovnigènes/lieux hantés, les apparitions lumineuses ovnis/manifestations lumineuses diaboliques, les portails multidimensionnels/voyages hors du temps présent, les transports géographiques/déplacements surnaturels, les rapports sexuels des RR7 +/ rapports charnels avec les succubes et les incubes, les hybridations alien-humain/enfants du diable, les extraterrestres polymorphes/créatures métamorphes démoniaques, les crop-circles/cercles des fées, les traces et objets matériels/empreintes et apports surnaturels, les mutilations de bétail/sacrifices mutilations d'animaux, etc. comme l'illustrent suffisamment les descriptifs et la cartographie des apparitions ufologiques et des manifestations surnaturelles, constatés en Normandie, et ailleurs où plus de 50 % des sites ovnigènes sont géolocalisés sur les clusters des phénomènes surnaturels.

    Barbeville (14)

    Janvier 1891 - Mutilation d’animaux domestiques - Un individu inconnu s'est introduit mercredi dans un herbage du sieur Hurel, cultivateur à Barbeville, et a mutilé 12 veaux : Perte, 58 fr. [USHC].

    [Les mutilations relèvent de la catégorie des sacrifices propitiatoires, des pratiques incantatoires et évocatoires magico-occultistes du sadisme-masochisme, lié au rite du baptême du sang, d'où la pratique de l'égorgement de certains rites religieux ou idéologiques. NFO]. 

    Janvier 1896 -  Attention. - Le ministre vient d'ordonner que les auteurs d'acte de cruauté ou de mauvais traitements excessifs envers les animaux, soient rigoureusement poursuivis, ainsi que les personnes qui se servant de chien pour faire traîner leurs camions. (Source : Le Bonhomme Normand)

    Bacqueville (27) - Eure - Normandie - France - 25/04/1975 - 04/01/1994 - vers 23 h 50 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

     

     

    Un témoin de Lyons-la-Forêt (27) a réalisé une observation, le 3 juillet 2007, vers 23 h, ressemblant à celle du 4 janvier 1994 de Bacqueville (27). Cependant, la description n’est pas identique. Les deux observations sont donc indépendantes l’une de l’autre, et ce d’autant plus que ce témoin n’était âgé que de 3 ans lors du cas de Bacqueville (27).

    Témoignage du 4 janvier 1994 de Bacqueville (27) : Dans la nuit du mardi 4 janvier 1994 vers 23 heures 50, je me trouvais à mon domicile, assis dans le salon et regardais un film à la télévision. Mon regard fut attiré par une lueur jaunâtre très forte, à l’extérieur dans le ciel, à environ 250 m de mon habitation. Je vis cette lueur par la porte-fenêtre de mon salon.

    Cette lumière jaunâtre grossissait dans le ciel. Je me suis levé, dirigé près de cette fenêtre et j'ai regardé.

    J'ai aperçu un engin lumineux de forme conique avec des bandes horizontales de plusieurs couleurs : bleu, vert, rouge, jaune. Cet objet tournait sur lui-même, je ne peux préciser le sens. À mon avis, il me semble que cela était en suspension dans la direction du Nord-Ouest au-dessus du château de Bonnemare à une distance approximative de deux cent cinquante mètres.

    J'ai alors éteint mon poste de télévision et à cet instant, l'engin a reculé vivement à une vitesse phénoménale pour ne revenir qu'une boule jaune pendant deux secondes. Puis cela est revenu vers la maison lentement, pour grossir jusqu'à ce que je distingue à nouveau les striures du pourtour.

     Je sais que ce soir là, l'objet se trouvait sous la couche de nuages. Il y avait du vent cette nuit-là. L'engin dans ses déplacements était toujours légèrement penché. Paniqué je suis monté dans la chambre mais je l'apercevais toujours par la lucarne.

    Je me suis donc couché sans réveiller ma femme, et dans le noir de l'obscurité j'ai entendu des mouvements sur le sol à l'extérieur, et pendant un court instant j'ai eu devant les yeux des flashs d'une régularité parfaite composés de trois parties de cercle coupé de couleur blanc. D'autre part, ma chienne à grogné et s'est cachée sous la couverture, ce qui n'est pas dans son habitude.

    J'ai senti des sensations de contractions musculaires dans les jambes et le bas du dos. Je vous fournis un croquis de l'engin aperçu. Pour moi, il ne peut s'agir ni d'un phénomène météorologique, ni d'un avion, ni d'un satellite ou de que ce soit. Je me tient à la disposition des autorités compétentes en la matière pour d'éventuels renseignements complémentaires.

    Une Dame de Bacqueville a aperçu à la même heure une lumière en déplacement dans le ciel mais n'y a pas prêté attention pensant à un avion.

    Les cinq membres d’une même famille de Tonville - en - Barrois (55) affirment avoir observé un ovni durant une dizaine de minutes, durant la nuit de lundi à mardi.selon Mr. et Mme Michel Lopez, leur chambre à se coucher peu après minuit. Ils affirment avoir alerté leurs trois enfants pour observer, durant une bonne dizaine de minutes, posé à une cinquantaine de mètre de la maison, un engin circulaire surmonté d’un dôme transparent et derrière lequel ils ont distingué trois silhouettes de forte stature. Ensuite l’ovni aurait disparu dans le ciel en émettant un sifflement. Deux voisins du village ont, pour la plupart indiqué avoir remarqué une lumière inhabituelle à la même heure que celle signalée par la famille Lopez. Des gendarmes, accompagnés de spécialistes, se sont rendus sur les lieux et ont constaté la présence sur le sol d’une marque inexplicable.

    01Témoin. Source : P. V. G.

    (1) Bagnoles-de-l’Orne (61) - Orne - Normandie - France - 31/05/2015 - minuit  / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    « Bonsoir, j'habite à Bagnoles-de-L'orne. Il est minuit et je vois dans le ciel des centaines de points lumineux blancs et rouges, qui flashent et se déplacent à grande vitesse au-dessus de chez moi. Ce n'est pas une blague. Je regarde le ciel tous les soirs mais je n'ai jamais vu ça. Les points ont la taille d'un demi millimètre, mais ceux de couleur orange paraissent un peu plus gros. Grâce au clair de lune, il me semble distinguer de la fumée. Leur altitude doit être assez élevée. Ils se déplacent seuls ou en groupe très rapidement. J'ai du mal à les suivre du regard. Certains points disparaissent puis réapparaissent cinq secondes plus tard. Les points blancs sont constamment en mouvement, tournent et virent à toute vitesse. Les points orange, eux, restent sur place puis, d'un coup, traversent le ciel. Voilà ce que j'observe actuellement. C'est très surprenant. Malheureusement, des nuages s'approchent et je ne verrais plus rien dans quelques minutes. Gaël ». 01 Témoin. Source : Grépi.

    Le Pays de Lancelot du Lac

    (2) Bagnoles-de-l’Orne (61) Selon la légende locale, les origines de l'activité thermale datent du Moyen-Âge. Le seigneur médiéval Hugues de Tessé, sentant que son cheval Rapide atteint la fin de sa vie, décide de l'abandonner dans la forêt d'Andaine. Il est stupéfait quand l'animal revient quelques heures plus tard, fort et totalement revitalisé. Sans aucun ressentiment, Rapide emmène son maître vers les eaux de Bagnoles où, après avoir bu, il est lui aussi rajeuni. 

    (3) Bagnoles-de-l’Orne (61) 

    Dans un autre conte, il est rapporté qu'un très vieux moine franciscain, qui lui aussi a pris les eaux de Bagnoles, retrouve une étonnante vigueur et saute entre les plus hautes roches situées au-dessus de la ville. Ces roches s'appellent toujours « le Saut du Capucin ». Les légendes arthuriennes sont une autre facette de cet endroit, puisque Bagnoles et ses environs auraient servi de prototype au pays de Lancelot du Lac de Chrétien de Troyes qui aurait séjourné à la cour d'Aliénor d'Aquitaine en son château de Domfront. Les sites arthuriens sont repris dans plusieurs documents et livres. Cf. Publications de René Bansard et de Georges Bertin, hagiographie et légende arthurienne, université de Caen (14). Au Pays de Lancelot.

    (1) Baie du Mont Saint-Michel (50) - Visites en Chambre du Horla - / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 

    Guy de Maupassant naquit en 1850 au château de Miromesnil, près de Tourville-sur-Arques (76). Il était le filleul de Gustave Flaubert qui l'initia au surnaturel qui le fascinait.

    Dans son roman autobiographique Le Horla, relatant l'emprise progressive d'une créature inorganique sur sa victime, Guy de Maupassant conte sa visite du Mont Saint-Michel (Mont-Tombe) en compagnie d'un moine qui lui rapporte les histoires fantastiques relatives à ce lieu :

    les gens du pays, ceux du Mont, prétendent qu'on entend parler la nuit dans les sables, puis qu'on entend bêler deux chèvres ; les pêcheurs attardés jurent avoir rencontré, rôdant sur les dunes, entre deux marées, un vieux berger, dont on on ne voit jamais le tête couverte de son manteau, et qu'il conduit, en marchant devant eux, un bouc à figure d'homme et une chèvre à figure de femme, tous deux avec de longs cheveux blancs et parlant sans cesse, se querellant dans une langue inconnue, puis cessant soudain de crier pour bêler de toute leur force.

    [La Baie du Mont Saint-Michel est devenue un site consacré à la dispersion  des cendres funéraires par drone aérien depuis mai 2019]

    Guy de Maupassant constata que son verre d'eau, préparé pour la nuit, se retrouvait vide le lendemain sans qu'il ait bu. Essayant de comprendre, il fit une expérience : un soir, il remplit des verres d'eau et de lait, les enveloppa de mousseline blanche, puis s'enduisit les lèvres, la barbe, les mains, avec de la mine de plomb pour laisser des traces s'il se levait inconsciemment la nuit pour boire ; le lendemain matin, il retrouva les verres vides, sans aucune trace noire sur la mousseline, il concluait :

    je suis certain maintenant qu'il existe près de moi un être invisible qui se nourrit de lait et d'eau, qui habite comme moi, sous mon toit.

    Quelques mois plus tard, les visions de Guy de Maupassant s'intensifièrent ; l'être invisible, Le Horla, le gouvernait complètement. Le pauvre Maupassant, atteint de paralysie générale, mourut en 1893.

    Source : Dr. Jean Lacassagne, Guy de Maupassant et son mal, Album du Crocodile, 1951.

    (2) Baie du Mont Saint Michel  (Manche 50) - 22 août 2012 - à 22 h 50 - / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 

    22 août 2012, à 22 h 50, une lumière rouge étrange est observée et filmée dans le ciel de la baie du Mont Saint Michel, et en Bretagne en Ille et Vilaine, deux phénomènes observés le même soir : lumière blanche intense, se déplaçant vers le bas et disparaissant soudainement. (pas d'image), et une lumière rouge apparaissant de la même façon, faisant des mouvements de haut en bas. Source : ource : Le Blog de Christian Macé - 02 Témoins. 

    Balandon (50) - A Bicyclette  / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    Dans la ferme des époux Galopin, se produisirent en octobre 1935, des événements insolites. De nombreux objets disparaissaient mystérieusement et un jour on trouva la baratte démontée toute seule. Mais il y eut pire.

    Le petit commis, André Simon, âgé de 14 ans, voulant prendre son vélo, s'aperçut qu'une roue était détachée alors qu'il n'y avait pas touché ; il courut prévenir son patron et, quand il revint, l'autre roue était à son tour sortie de la bicyclette. Un voisin, Mr. Bourdais, voulut remonter l'engin mais les écrous lui filèrent sous le nez et il s'enfuit. Le fermier fit alors placer les restes du vélo dans la pièce commune afin de pouvoir les surveiller, mais pendant que Mme Galopin et le jeune commis lavaient la vaisselle, ils virent tout d'un coup les roues reprendre leur place.

    Une autre fois, le petit commis, tenant la lanterne de sa bicyclette, entendit un sifflement et, malgré ses efforts, la lanterne lui échappa et tomba à terre.

    Un jour, le jeune André ne put sortir du cellier : une force invisible le retenait à l'intérieur : son patron eut toutes les peines du monde à l'en sortit : il se sentit tout électricité. La porte de ce cellier refusait de se tenir ouverte malgré les mesures prises pour la fermier ; j'avais le dos tourné, la pièce de bois s'en allait et la porte se refermait.

    D'autres choses bizarres furent encore constatées. Un dimanche midi, le commis s'apprêtait à couper du pain, quand le couteau tomba à terre ; en voulant le ramasser, André trouva à sa place la clé de la maison disparue depuis trois semaines. Peu de temps après, pendant que l'enfant enlevait les empêtres aux moutons, le chien se mit à hurler et il se produisait un incroyable coup de vent qui fit faire à l'animal un bond énorme ; les empêtres des moutons s'étaient détachées toutes seules. Depuis ce temps-là, le chien de garde n'aboya plus jamais.

    Tous ces phénomènes étranges amenèrent la gendarmerie à enquêter, mais sans aucun résultat.

    Source : Le Tenneur René - Magie Sorcellerie et fantastique en Normandie - 1979.

    Balleroy (14)

    Février 1885 -Tempêtes Une tempête s'est fait sentir dans notre région. Dimanche dernier dans l’après-midi, vers 3 heures, une légère secousse, attribuée à un petit tremblement de terre, s'est fait sentir à Caen. L'oscillation n'a duré que deux ou trois secondes. Elle a été précédée d'un bruit assez semblable à celui que ferait une voiture lourdement chargée passant sur le pavé. 

    A Balleroy et à Vaubabon, des secousses ont été également ressenties. A Littry, un sieur L..., demeurant sur le bord de la route de Balleroy, près la gare, a été secoué d'une façon telle  qu'il a perdu l'équilibre et est tombé sur le plancher. 

    Dimanche aussi, entre 4 heures 1/2 et 5 heures, et à 10 minutes d'intervalle, deux secousses de tremblement de terre ont été ressenties à Villers-Bocage. Un bruit souterrain, ressemblant à celui que produirait une charrette pesamment chargée et lancée au galop dans la rue, a été facilement perçu en même temps que les piles d'assiettes, et les fenêtres étaient ébranlées. 

    Dans la nuit, la maison du sieur Charles Alexandre Lepetit, journalier à Mesnil-Auzouf, s'est effondrée sous la violence du vent. Le sieur Lepetit, fort heureusement, n'était pas chez lui. [USHC].

    [Les puits à énergie potentielle (orages, tempêtes, ouragans), inondations, raz-de-marée, tremblements de terre, éboulements, incendies, catatrophes naturelles sont les manifestations tangibles attribuées aux 4 Vivants du Tétramorphes par les occultistes - NFO].

    Octobre 1895 - Un tueur de sorciers - L'Avenir du Bessin en raconte une bien bonne. Ces jours-ci, du côté de Balleroy, une servante de ferme rentrait le soir tout émue, en disant  qu'elle venait de voir, sur le haut bord d'un fossé, un revenant blanc appuyé le long d'un arbre. La patron remit à son second valet un fusil chargé à blanc en lui donnant l'ordre d'aller tirer sur le revenant.

    Le domestique y va et, tout tremblant, crie : « Qui vive ! » Ne recevant pas de réponse, il tire et le revenant tombe, pendant que le valet se sauve, si convaincu d'avoir tué un sorcier qu'il est allé, le lendemain, le déclarer à la gendarmerie. 

    On a eu beau lui dire depuis que c'était un bonhomme en paille, le pauvre niais croit toujours avoir tué un sorcier et tremble chaque fois qu'il voit les gendarmes, pensant qu'ils viennent pour l'arrêter. (source, le Bonhomme Normand).

    Baillolet (76) - Seine-Maritime - Normandie - 16/10/1954 - à la nuit tombante / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    Le samedi 16 octobre 1954. A la nuit tombante, à Baillolet (France, Normandie), le docteur Robert, qui traverse ce village en voiture, voit quatre objets à environ 300 m d'altitude, volant lentement en formation.

    Soudain, l'un d'eux tombe au sol, avec un mouvement de feuille morte, à 10 m du témoin, qui voit une silhouette d'environ 1,20 m de haut se mouvoir dans la lumière de l'objet, puis tout devient noir.

    Quelque temps plus tard les phares se rallument, d'eux-mêmes, et le témoin voit le phénomène s'envoler vers le nord. 01 Témoin. Source : Paris-Presse du 19 octobre 1954.

    Balleroy (14) - La Dame Blanche de Balleroy 

    A la sortie de Ballreroy (14), le spectre d'une jeune femme de même pas 20 ans apparaît régulièrement aux automobilistes par nuit pluvieuse ; faisant du stop, la jeune femme, tout de blanc vêtue, est prise à bord et demande à être conduite chez elle, au hameau voisin, situé dans la forêt de Cerisy, pour retrouver sa mère. Au moment de traverser le dernier carrefour de Balleroy, la jeune femme succombe à la panique puis s'évapore.

    Le croisement de l'embranchement est connu pour sa dangerosité, et c'est là même que la jeune femme perdit la vie violemment en 1960, dans un accident de la route, percutée de plein fouet par un chauffard qui lui grilla la priorité.

    Source : Le livre des Dames blanches - Stéphanie Del Regno - 2017.

    [L'émergence des Portes Induites/Vortex/Pontifex/Portex/ Puits à énergie potentielle, s’accompagnent souvent d’apports de personnages ou d'objets singuliers NFO].

    Bailly-en-Rivière (76) - Les Bucranes

    La nuit du 11 août 2020, deux chevaux ont été blessés au niveau du crâne. Examinés par un vétérinaire leur état n'a pas été jugé préoccupant.

    Source : Actu. fr/Normandie/Dieppe.

     Banneville-la-Campagne (14)

    Mai 1876 - Mutilation -  Jeudi la nuit, un malfaiteur, resté inconnu, s'est introduit dans une pièce en herbe, située près de la ferme de M. Jules Desloges, propriétaire à Banneville, et, à l'aide d'un instrument tranchant, il a brisé la jambe d'un cheval, estimé 800 fr. On attribue cette coupable action à un acte de basse vengeance. La justice informe. [USHC]. 

    Novembre 1891 - Les voleurs de chevaux -  Dans la nuit de lundi à mardi, on a volé, dans un herbage de Banneville-la-Campagne, un poulain de 6 mois, appartenant au sieur de Ste-Marie, cultivateur. En voici le signalement : bai-brun, balzane postérieure gauche, tête étoile. Il a au poitrail une cicatrice apparente plus prononcée, à gauche. Valeur, 600 francs. [USHC].

    [Les mutilations relèvent de la catégorie des sacrifices propitiatoires, des pratiques incantatoires et évocatoires magico-occultistes du sadisme-masochisme, lié au rite du baptême du sang. NFO].

    Banneville-sur-Ajon (14) - Viviane M.

    (1) Banneville-sur-Ajon (14) - Viviane M. , 60 ans, n’a plus donné de ses nouvelles. La dernière fois où cette sexagénaire a été vue, c’était le jeudi 12 juillet 2018, à son domicile de Banneville-sur-Ajon, une commune située entre Évrecy et Villers Bocage.

    C’est plus précisément dans la matinée, que cette femme a dû quitter son domicile à pied et sans son portable. 

     Source : Liberté le Bonhomme-Libre, du 17/07/2018.

    [Les disparitions inquiétantes de personne sont mortelles dans 29 % des cas, provisoires dans 30 % des cas et continuelles ou définitives dans 41 % des cas. La concordance territoriale entre les épicentres des apparitions des ovnis et les disparitions inquiétantes accrédite la thèse de l’ingérence parasitaires des exogènes-polymorphes comme principaux acteurs de ces disparitions, de même que le factuel des états somnambuliques des personnes disparues/retrouvées et qui montrent les symptômes identiques de désorientation, d’amnésie, de perturbation psychique, de missing time, etc. des RR4 ou des phénomènes dits des abductions ufologiques. NFO].

    (2) Banneville-sur-Ajon (14) - La chapelle Saint-Clair

    L'eau de la fontaine de la chapelle Saint-Clair a la réputation de guérir les aveugles. [La Voix - Le Bocage du 22/02/2016 - Laura Baudiee].

    Banville (14)

    Juillet 1842 - Nouvelles locales -  Il paraît que les abondantes pluies versées, depuis quelques jours, sur notre plaine, ont détruit en très grande partie, ces myriades de petites chenilles noires qui ravageaient tous les colzas et les menaçaient même, dans quelques contrées, d'une dévastation complète.

    Aussi nos cultivateurs qui, dans la crainte d'être obligés de semer une seconde fois, avaient fermé leurs magasins de graines au commerce, commencent-ils à les lui rouvrir.

    La plus grande partie de cette plante précieuse est sauvée et presque partout elle présente le plus magnifique développement. Il est assez remarquable qu'aucune pièce de terre plantée en colza, quelque petite qu'on la suppose, n'a été dévorée entièrement par les insectes dont nous parlons, et qu'ils se sont contentés, au contraire, d'y marquer leur funeste passage en les dépouillant partiellement, tantôt de deux sillons en deux sillons, tantôt en losange, en écharpe, en zig-zag, tantôt en y laissant juste au milieu, un grand vide quasi circulaire. Tout le monde a pu vérifier ce fait, que nous avons nous-même été a portée de constater, sur une vaste étendue de terrain. (source : L’Indicateur de Bayeux).

    [Le Grand Esprit tentaculaire de la nature (Wood Wide Web, le réseau internet de la forêt) communique avec l'espèce humaine au travers des Crop-Circles, élaborés à partir du langage universel des symboles  (après les ronds de sorcières et les cercles de fées). NFO].

    Banvou (61) - Pluies de Pierres

    Vers 1880, à Banvou (61), hameau du Plessis, des pierres lancées avec fracas s'abattirent, chaque nuit, dans la chambre de deux garçons, qui avaient hérité de leur tante, Mlle D., à condition de faire dire des messes à son intention, dont ils ne s'acquittèrent pas, dans les trois semaines suivant son décès. Chose étrange, ils constatèrent que les pierres, au lieu de briser les vitres, faisaient emporte-pièces, laissant des trous dont le nombre correspondait au nombre de messes promises. Perdant le sommeil, les deux parjures allèrent trouver le curé, les messes furent dites et le calme revint.

    Source : Bulletin Société Historique et Archéologique de l'Orne, 3è tr. 1954.

    [L'émergence des Portes Induites/Vortex/Pontifex/Portex/ Puits à énergie potentielle, s’accompagnent souvent d’apports de personnages ou d'objets singuliers NFO].

    Banneville-sur-Ajon (14) - Viviane M.

    Viviane M. , 60 ans, n’a plus donné de ses nouvelles. La dernière fois où cette sexagénaire a été vue, c’était le jeudi 12 juillet 2018, à son domicile de Banneville-sur-Ajon, une commune située entre Évrecy et Villers Bocage.

    C’est plus précisément dans la matinée, que cette femme a dû quitter son domicile à pied et sans son portable. 

     Source : Liberté le Bonhomme-Libre, du 17/07/2018. 

     Barbery (14)

    Octobre 1901 - Singulière disparition - La veuve Debons, fruitière à Croisilles, près Harcourt, avait envoyé son domestique, Louis Maçon, mener un cheval à la foire d'Argences. Il devait remettre l'animal à un cultivateur chargé de le vendre. Maçon coucha le soir chez un parent de sa patronne, à Barbery.

    Le lendemain, à cinq heures, Maçon partait avec le cheval. Depuis, on n'a plus entendu parler ni de l'un ni de l'autre. La personne chargée de vendre le cheval ne s'étant pas rendue à Argences. On ne sait si Maçon l’y a conduit. (Source : Le Bonhomme Normand). [USHC].

    [Les disparitions inquiétantes de personne sont mortelles dans 29 % des cas, provisoires dans 30 % des cas et continuelles ou définitives dans 41 % des cas. La concordance territoriale entre les épicentres des apparitions des ovnis et les disparitions inquiétantes accrédite la thèse de l’ingérence parasitaires des exogènes-polymorphes comme principaux acteurs de ces disparitions, de même que le factuel des états somnambuliques des personnes disparues/retrouvées et qui montrent les symptômes identiques de désorientation, d’amnésie, de perturbation psychique, de missing time, etc. des RR4 ou des phénomènes dits des abductions ufologiques. NFO].

    [Selon l’apport traditionnel nombres de disparitions inquiétantes et définitives de personne s’expliquent par le passage de l’horizon des événements d’une Porte Induite par les puits à énergie potentielle et dont les orages, tempêtes, ouragans sont les manifestations tangibles les plus couramment rencontrées - NFO].

    La Pierre Tournante, appelée aussi Pierre du Camp Bérot ou Pierre de Cambero, est un menhir situé au lieu-dit « Planche à la Housse » au « Champ Bérot » sur la commune de Fresney-le-Puceux dans le département du Calvados.

    Le menhir est couché, partiellement enterré, en plein champ à l'orée de la forêt de Cinglais. C'est un poudingue très délabré de forme pyramidale qui mesure près de 2,70 m de longueur et 1 m de hauteur à l'extrémité la plus haute.

    Selon la tradition, la pierre tourne sur elle-même chaque année, durant la nuit de Noël.

    « Une des personnes les plus âgées du pays a lu jadis un roman intitulé La Rose de Fresney, dans lequel on raconte qu'un moine de l'abbaye de Barbery, nommé don Bernard, aurait attendu le diable sur la Pierre de Cambero, la nuit de Noël, afin qu'elle le transportât à Rome, pour y lire l'Évangile à la messe de minuit. Le moine et la pierre aurait fait le voyage et, depuis cette époque, tous les ans, à la même heure de la nuit de Noël, la pierre tournerait ? ». [Wikipédia].

    [Depuis les époques les plus reculées de la préhistoire, l'office des devins, mages, spirites, voyants, qui perpétuent le culte ancestral des morts, est de consulter les esprits, avec l'édification de temples voués à la pratique animiste/chamanique de la nécromancie, de la transe médiumnique possessive des occultistes par les entités éthérées métamorphes, goules parasitaires et mânes nécrophages, ou âmes (noosphères) vagabondes immanentes, qui parodient les esprits des morts tout en se repaissent des effluves des corps vivants ou en décomposition. NFO].

    Janvier 1867 - Découverte extraordinaire - Ces jours derniers, dans la forêt de Cinglais, (Calvados), des bûcherons étant occupés à faire des abattis d'arbres ont trouvé, au milieu d'un buisson touffu et d'une épaisseur extraordinaire le squelette d'un cheval et de son cavalier, près duquel gisait une longue lance toute rongée de rouille.

    À la structure de la bête et de l'homme, on a cru reconnaître (car les Cosaques ont occupé le pays) que c'était un Cosaque et sa monture, et il y a tout lieu de penser que, comme le buisson est situé au bas d'une élévation de terrain, ce cavalier aura été blessé en fuyant et qu'il sera tombé avec son cheval au milieu du buisson, duquel, dans sa course effrénée et vu l'élévation du terrain qui le masquait, il n'avait pu se préserver, et que tous les deux avaient trouvé la mort en cet endroit, ne pouvant en sortir, malgré les efforts du chevaL [USHC].

    [L'émergence des Portes Induites/Vortex/Pontifex/Portex/ Puits à énergie potentielle, s’accompagnent souvent d’apports de personnages ou d'objets singuliers NFO].

     

    Notre Dame de Barbery (14) - XIIe


    La légende affirme qu’un tunnel souterrain relierait certain bâtiments de l
    ’abbaye Notre Dame de Barbery fut fondée au XIIe siècle par la famille seigneuriale des Marmion, 18e fills du monastère de Savigny, et par là même appartient à l’ordre de Cîteaux. [Wikipédia].

    Barentin (76) - 18/06/1976 - 21 h 30 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    Vendredi 18 juin 1976, vers 21 h 30, à Barentin (Seine-Maritime), 02 personnes observent dans le ciel un phénomène lumineux en forme de cigare et d'une grande longueur, volant à basse altitude et à une vitesse régulière selon une trajectoire NE-SO, Aucun bruit ne sera entendu.

    02 Témoins. Source : https://rr0.org/time/1/9/7/6/06/

    (1) Barfleur (50) - La Blanche Nef

    La Blanche-Nef est un navire qui fit naufrage au large du Cotentin, le 25 novembre 1120 (date généralement citée, alors qu'il y a des arguments en faveur du 24 novembre 1119) avec pas moins de 140 hauts barons et dix-huit dames de haute naissance, filles, sœurs, nièces ou épouses de rois et de comtes à son bord, parmi lesquels l’héritier du trône d'Angleterre, le prince Guillaume Adelin, fils du roi Henri Ier Beauclerc.

    Comme le roi  s’embarquait à Barfleur, un marin de Normandie, Thomas, fils d’Étienne, vint le trouver et lui dit : « Mon père a servi le vôtre sur mer toute sa vie ; c’est lui qui l’a porté sur son vaisseau en Angleterre, quand votre père y est allé pour combattre Harold. Seigneur roi. Accordez-moi en fief le même office ; j’ai pour votre royal service un vaisseau bien équipé que l’on appelle la Blanche-Nef » .

    Le roi répondit : « J’ai choisi le navire sur lequel je passerai, mais je vous confie volontiers mes fils Guillaume et Richard, et tout leur cortège ». Par l’ordre du roi, s’embarquèrent sur la Blanche-Nef près de trois cents personnes.

    Toute la brillante jeunesse se préparait joyeusement au voyage. Elle fit donner du vin aux cinquante rameurs et chassa avec dérision les prêtres qui voulurent bénir le vaisseau. La nuit venue, les jeunes princes pressèrent le patron Thomas de faire force de rames pour rattraper le vaisseau du roi déjà bien loin. Afin de couper au plus court, le patron prit par le ras de Barfleur (aujourd’hui signalé par le phare de Gatteville), bordé d'écueils à fleur d’eau.

    La Blanche-Nef ayant heurté violemment l’un de ces écueils, elle s’entrouvrit et coula. Seuls deux hommes réussirent à s'accrocher à la grande vergue, le boucher du bord, un Rouennais du nom de Bérold et le jeune Godefroi, fils de Gilbert de l'Aigle.

    Ils aperçurent un homme dans l’eau, le pilote Thomas, qui leur demanda : « Qu’est devenu le fils du roi ? »« Il n’a point reparu, ni lui, ni son frère, ni aucun des leurs », répondirent-ils. « Malheur à moi ! » s’écria Thomas, et il se laissa couler plutôt que devoir faire face au roi.

    Pendant la glaciale nuit qui suivit, Godefroi de l'Aigle succomba à l'hypothermie et finit par lâcher la vergue pour se noyer. Protégé du froid car vêtu d'épaisses couches de fourrures, son compagnon Bérold fut recueilli le lendemain par des pêcheurs pour raconter le désastre.

    On dit que ce fut un enfant qui annonça la sinistre nouvelle au roi Henri qui, aux premiers mots qu’il entendit, tomba à terre comme foudroyé. Depuis ce jour, jamais plus on ne le vit sourire.

    Selon la légende locale qui alimente l'imaginaire, ce naufrage aurait englouti un fabuleux trésor à quelques milles de Barfleur. Source : Wikipédia.

    (2) Barfleur (50) - L' Évacueur de Peste Jehan Le François 

    1627 : copies de deux procès criminels, l'un fait à Jehan Le François opérateur, accusé d'envoyer la peste, à qui il voulait, et d'attenter à la pudicité des femmes ; envoyé par arrêt du Parlement de Rouen sans absoudre ni condamner. 

    Évacueurs et esventeurs, opéraient par conjurations ou par des formules, aussi bien pour guérir la peste que pour l'envoyer. L'opérateur Jehan Le François pouvait faire apparaître le Diable (Maître Perrin), et de le faire voir sous telle forme particulière ou moins effrayante comme celle d'un insecte scarabée noir ou celle d'un escargot. Il pouvait obliger les plus belles filles à coucher avec lui, ou trouver les trésors cachés. Il fit élever en l'air une lourde table ou des personnes, ou de charmer une balle pour qu'elle atteigne sa cible à coup sûr. Il fut arrêté à Barfleur après avoir voulu faire disparaître une mystérieuse caisse bardée de fer. L'inventaire de cette caisse révéla qu'elle contenait des livres de secrets médicaux, de nombreux produits bizarres, et dans, dissimulée dans le couvercle, une peinture sur papier représentant des démons, des esprits malins et des silhouettes humaines, et aussi deux morceaux de parchemin sur lesquels étaient rédigés des conjurations, enjoignant à la Peste (Dame Perette) de quitter le corps d'un pestiféré afin de contaminer  un autre.

    Source : Lenglet-Dufresnoy, Extrait du Recueil de dissertation sur les apparitions.

    Barnavast (50) - Le Crapaud /Maître d'école-maître sorcier / Prédation

    La ferme des Grandes Portes à Barnavast fut un jour ensorcelée : les vaches tarissaient, les bœufs se vidaient, les chevaux ne mangeaient plus, la volaille mourait. Et un matin, on trouva le fils de la maison dans un clos, à quatre pattes comme un bestiau, enquéraudé (envoûté).

    Maître Charles, le fermier, partit aussitôt pour Saint-Lô (50) consulter un désensorceleur réputé qui procéda à la recherche du j'teux d'sorts, avec au rituel impliquant le miroir magique ; miroir sur lequel est apparu, comme sur un écran l'image animée de deux  chorchis (sorciers) en compagnie de Polyte Deshaies, dit Le Crapaud, qui était, à l'époque, l'un des plus grands sorciers connus en Cotentin, qui exerça d'abord ses talents dans la région de La Haye-du-Puits, Portail, Saint-Sauveur-le-Vicomte. Vers 1820, il était maître d'école-maître sorcier dans le nord de la presqu'ile, au Val-de-Saire. On dit que là, rassemblant d'autres sorciers dans la forêt de Barnavast, il présidait des sabbats dignes de ceux du XVIIe siècle.

    Source : Fr. Lemonnier-Gruhier, Conférence de la Sté Archéologique et d'Histoire de la Manche, 7 mai 1951.

    (1) Barneville-Carteret (50) - 02/12/1973 - vers 05 h 30 à 06 h 05+ Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    Un Ovni pris au Filet

    Les deux témoins un père et son fils, le père Georges Jean et le fils Noël, avaient tendus des lignes depuis plusieurs jours. En allant les relever ce matin là ils observent une grosse lumière qui se révèle à la hauteur de la plage sur le sable. Pendant leur descente vers le rivage elle ne bouge pas.

    "Tout d'abord nous avons pensé qu'il s'agissait d'une voiture. Mais une voiture a deux feux et nous n'en percevions qu'un. Nous avons également pensé à des trafiquants et nous n'osions pas descendre sur la plage.".

    Le père se décide et chacun des deux témoins va vers ses lignes. Le fils voit la lumière en plein dans ses lignes, il la comparera à une fenêtre jaune.

    Il va vite chercher son père. Il lui a demandé de venir et lui explique que cette lumière était au cœur des filets. Ils vont alors vers elle en braquant leurs lampes devant eux. Cette dernière ne bouge toujours pas.

    Peu rassurés les deux témoins préfèrent partir pour revenir plus tard. Ils éteignent leurs lampe et remontent jusqu'à leurs mobylettes.

    Avant de partir Ils voient la lumière jaune se tourner vers eux puis vers les dunes en envoyant un rayon, enfin elle s'éteint.

    Puis apparait une petite boule bleu vert au-dessus du lieu ou se trouvait l'objet, cette dernière s'envole vers 6 heure 05. Depuis cette vision le père à toujours refusé de revenir sur cette plage.

    A noter après enquête de J. Vallée il semblerait que des " éléments extérieurs" ont essayé de détourner le cas.

    En effet, tout d'abord il y a eu vraisemblablement un contact radar à 6 h 10 (se déplaçant du Sud-Ouest au nord-est) au niveau de Carteret. Il y aurait eu aussi un deuxième écho en direction des "passes de l'ouest". Les renseignements furent difficiles à obtenir en raison d'instructions spéciales données aux radaristes.

    Il semble que non seulement la gendarmerie, mais aussi la sécurité du territoire a enquêté sur les lieux.

    Le 7 du même mois une tenue complète de plongée sous marine fut retrouvée abandonnée sur une plage non loin du lieu de l'observation. Détail étrange cette dernière possédait un appareil de détection de la radio-activité. L'ensemble des textes trouvés dessus étant en langue anglaise.

    Cette nuit là il est à noter qu'un accident se produisit à bord d'un chalutier qui se trouvait sur la trajectoire de départ de l'objet. Son appareil de navigation fut soudainement perturbé du coup le navire se brisa contre des écueils et coula.

    Enfin un radio amateur constata un trou de propagation important sur les réceptions des émissions provenant d'Angleterre exactement à 6 h 10. 

    La même nuit, il se produisit donc sur la côte un accident curieux. Le chalutier Archipel qui se trouvait près des brisants d'Urville juste à l'ouest de Cherbourg et sur la trajectoire de l'objet, perdit son chemin, à la suite, semble-t-il, d'une perturbation de son appareil Decca-Navigator, et d'une  déviation de compas le bateau heurta les rochers et sombra. 02 Témoins. Source : L.D.L.N. 132 et 133 - JacquesVallée - Le Collège invisible.- Michel Figuet et Jean - Louis Ruchon - Le premier dossier complet des rencontres rapprochées en France - 1979   - Scribd. OVNI en France.

    (2) Barneville-Carteret - dans la Manche au large de Barneville-Carteret (50) - 1974 - / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 

    Barneville - Carteret (50) - 1974

    Témoignage d’un Pêcheur Professionnel

    J’étais en train de pêcher au large de Barneville - Carteret, lorsque soudain la mer s’est ouverte, comme une bouche, d’où est sorti un engin qui est parti à toute vitesse dans l’atmosphère, sans aucun bruit, et sans que l’eau ruisselle sur sa Coque. 01 Témoin. Source : Jean-Claude Bourret - France Inter - Anews Securite Eclairages - Agora Médias -YouTube - 22/03/2021.

    (3) Carteret (50) - Le Tombeau du Diable  + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 

    Barbey d'Aurevilly a situé au bas de la falaise de Carteret, au pied de la vieille église Saint-Germain (dont on voit encore les ruines), l'atterrissage de Saint-Germain d'Ecosse. C'est là qu'il aurait terrassé le serpendiabolique en lui passant son étole autour du cou. Directement sous le phare se trouverait encore la Grotte du Dragon dont les parois, marquées de plaques rougeâtres, seraient les traces du sang de l'animal diabolique. On appelait aussi cette grotte Le Tombeau du Diable et on disait qu'il y revenait.

    Source : Chamoine J. Toussaint, Carteret dans la vie et l'œuvre de Barbey d'Aurevilly.

    (4) Carteret (50) - Les Mielles - / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 

    Au début du XXe siècle, la veille d'un malheur, on voyait, le soir, parcourant les mielles (les dunes de sables) un homme étrange monté sur un cheval noir que personne n'avait jamais pu approcher.

    Source : Le Tenneur René - Magie Sorcellerie et fantastique en Normandie.

    Baron-sur-Odon (14)

    Le complexe cultuel de Baron-sur-Odon

    Le complexe cultuel gallo-romain de Baron-sur-Odon se situe à une dizaine de kilomètres au sud-ouest de Caen, sur le flanc occidental de la ligne de crête séparant la Plaine céréalière de Caen, à l’est, et le Massif armoricain, à l’ouest. Mise à au jour d'une multitude de vestiges de l’âge du Bronze et de l’architecture emblématique d'un monument décagonal long de 40 m, constitué de trois enceintes concentriques, délimitant une aire centrale à ciel ouvert. Au sud est adossé un bâtiment formé de quatre pièces. Hormis sa forme originale, l’utilisation de petits anneaux en alliage cuivreux comme ex voto par destination, participe à la singularité de ce lieu. [MSH Mondes]

     

     

    Borne du chemin Haussé (voie romaine) dit du Duc-Guillaume

     

    Les nombreux vestiges gallo-romains attestent d’une occupation humaine organisée sur la commune de Baron-sur-Odon.

    La commune est bordée par une voie romaine importante reliant le Cotentin à l'Orléanais passant par Vieux, cité des Viducasses. Cette voie romaine est connue sous le nom de chemin Haussé, entre la Bruyère et la Croix des Filandriers au niveau de la cote 112. C'est une voie romaine identifiée à l'une des voies figurant sur la table de Peutinger. Ce chemin est également connu sous le nom de chemin du Duc-Guillaume, en souvenir du duc de Normandie, parti de Falaise et qui l’aurait emprunté en faisant ferrer ses chevaux à l'envers pour tromper ses poursuivants. Ce stratagème expliciterait l’origine du nom donné à la croix des Filandriers qui rappellerait la ruse de Guillaume le Conquérant « filant derrière ». [Wikipédia].

    [Depuis les époques les plus reculées de la préhistoire, l'office des devins, mages, spirites, voyants, qui perpétuent le culte ancestral des morts, est de consulter les esprits, avec l'édification de temples voués à la pratique animiste/chamanique de la nécromancie, de la transe médiumnique possessive des occultistes par les entités éthérées métamorphes, goules parasitaires et mânes nécrophages, ou âmes (noosphères) vagabondes immanentes, qui parodient les esprits des morts tout en se repaissent des effluves des corps vivants ou en décomposition. NFO].

    Basly (14)

    Mai 1890 -  Le voleur de crins de cheval - Pierre Thorigay, 16 ans, se disant domestique, demeurant à Caen, s'en allait le soir dans les champs et coupait le crin de la queue des chevaux mis au piquet. Ce vol était pour Thorigay d'un très petit produit, mais dépréciait considérablement la valeur des chevaux ainsi privés de leur plus bel ornement. Les sieurs Friand, de Rots, Duhomme, de Basly et Grenier ont été les victimes de ce misérable. Le tribunal l'a condamné à trois mois de prison. [USHC]. 

    [Le crin des chevaux sert à confectionner des amulettes-magiques - NFO].

    [Les mutilations relèvent de la catégorie des sacrifices propitiatoires, des pratiques incantatoires et évocatoires magico-occultistes du sadisme-masochisme, lié au rite du baptême du sang. NFO].

    Basseneville (14)

    Novembre 1949 - Les caprices de la nature  -  Il y a quelques jours des lilas ont fleuri dans le jardin de notre excellente dépositaire Mme Vve Laperrelle, à Basseneville. Du lilas à la saison des chrysanthèmes, le fait ne méritait-il pas d'être signalé ? Il est vrai que la Vallée d'Auge n'a jamais cessé d'être un paradis terrestre ! ( Le Bonhomme Libre ).

    [L'émergence des Portes Induites/Vortex/Pontifex/Portex/ Puits à énergie potentielle, génèrent des mutations singulières. NFO].

    (1) Bayeux (14) - La Dame d'Aprigny - / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 

    XVIIe siècle : La Dame d'Aprigny, âme blanche qui vous poursuit la nuit, sévissait dans un chemin creux devenu la rue Saint-Quentin : l'imprudent qui l'approchait devait danser avec elle, sous peine d'être jeté dans un inextricable buisson d'épine. 

    Source : Tondriau et Villeneuve - Dictionnaire du Diable.

    (2) Bayeux (14) - 06/12/2015 - de 02 h 10 à 02 h 40 / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 

     

    Le Guet-Apens !

     

    Nous étions sur la route en rentrant d’une soirée, il 02 h 10 du matin le 06 décembre 2015, je conduisais et mon copain était le passager. Il m’a fait observer de loin des boules lumineuses qui tournaient entre elles en cercle dans le ciel.

    Je lui ai dit que ce devait être les lumières d’une boîte de nuit. Nous n’avons pas quitté des yeux ces lumières et quand nous sommes arrivés à un rond point, nous avons constaté que ces lumières étaient en réalité au-dessus d’une usine (laiterie-agro-alimentaire - Saint - Martin - des Entrées).

    Nous avons pris la sortie, pour prendre la quatre voie (N 13) direction Cherbourg (50), à ce moment-là, les lumières nous ont suivis, puis rattrapés, pour se mettre devant la voiture, en se déplaçant sans arrêt du côté passager au côté conducteur.

    De peur j’ai ralenti, et cette chose aussi, on se sentait menacés, en danger, et j’étais en pleine panique, sachant que ma fille de 02 ans dormait à l’arrière de la voiture.

    Nous avons pris alors la sortie pour rentrer dans Bayeux, et ces lumières nous ont suivis.

    Tantôt, elles formaient un cercle et tantôt elles formaient un trapèze.

    Nous avons récupéré la N 13, un peu plus loin en direction de notre domicile.

    Ce fut la dernière fois que nous les avons vues.

    Nous avons vécu 30 minutes de peur et le sentiment d’être pourchassés.

    Nous essayons de trouver des témoignages de cette nuit sur Internet, mais rien, pourtant nous avons croisé 02 voitures, pendant l’observation de ce phénomène, et malheureusement trop paniqués nous n’avons pas pu le filmer. Lilabelya. 02 Témoins. Source : Ovni-France

    Mon conjoint et moi-même, nous avons vécu une expérience exceptionnelle, mais très traumatisante sur le moment. Nous rentrions à 02 h du matin d’une soirée (sobre), la nuit du 05 au 06 décembre 2015.

    Mon conjoint scrutait le ciel, comme à son habitude, et il vit au loin des lumières sphériques qui tournaient sur elles-mêmes en formant un grand cercle. Je lui dis que c’était sûrement la projection d’une boîte de nuit.

    Nous avons continué notre chemin sur les routes de campagne, et nous nous sommes rapprochés de Bayeux, avec toujours en vue ces lumières qui évoluaient dans le ciel ; Arrivés à un rond point, nous nous les avons vues au-dessus d’une usine, le cercle qu’elles formaient était aussi gros que cette usine. La peur a commencé à m’envahir, je craignais de passer à proximité d’elles au moment de regagner la 4 voies (Caen Cherbourg).

    Nous avons donc emprunté la voie expresse, et c’est à ce moment-là que tout a commencé.

    Ces lumières nous ont alors rattrapés pour se placer devant notre voiture et au-dessus pour tourbillonner et aller sans arrêt du conducteur au côté du passager. Nous n’avons croisé que deux voitures pendant l’observation de ce phénomène, mais dès que les phares de ces voitures se rapprochaient, le phénomène disparaissait pour réapparaitre après le passage de ces voitures. J’ai réduis ma vitesse de 110 km/h à 70 km/h pour m’arrêter, mais mon conjoint m’en a dissuadé (compte-tenu que ces lumières tourbillonnaient toujours au-dessus de notre voiture) et me persuada de rejoindre Bayeux à la première sortie.

    Lorsque nous avons pris la première sortie vers le centre de Bayeux, ces boules de lumières se situaient sur le côté gauche de notre voiture et se tenaient un peu plus loin, nous avions vraiment le sentiment d’être pourchassés par elles.

    Cependant nous avons dû reprendre la quatre voie, avec toujours ces boules de lumières nous accompagnant.

    J’ai foncé pied au plancher sans plus me retourner et seul mon conjoint a pu observer la suite.

    En prenant la sortie de la 4 voie, en direction de notre village, je l’ai questionné sur la présence de ces lumières, pour ma rassurer il me dit qu’elles ne nous poursuivaient plus.

    En fait, 10 minutes plus tard, arrivé à notre domicile, il m’avoua qu’il avait vu en réalité ces lumières arrêter leur mouvement de va et vient pour nous rattraper à la vitesse de l’éclair.

    Personnellement, j’ai vu en dernière fois ces lumières au-dessus d’un champ à environ 5 minutes de chez nous.

    Précisons que nous n’avons pas utilisé notre portable pour filmer ou photographier ces boules lumineuses craignant une éventuelle réaction indésirable de leur part. Malgré nos recherches sur le Net nous n’avons pu trouvé d’autres témoignages sur la manifestation de ce phénomène cette nuit-là. Lilabelya. 02 Témoins. Source : Parlons-Ovni.

    (3) Saint Manvieux

    Manvieu serait né à Bayeux, au numéro 13 de la rue Franche dans une famille chrétienne et aisée. Ses parents l'auraient envoyé en Angleterre, dans le Royaume de Kent, pour y apprendre les sciences humaines. À son retour dans le Bessin, il aurait tenté de convertir les habitants au christianisme mais, face au peu de succès de son entreprise, se serait retiré avec trois compagnons pour vivre dans la solitude et la pratique de la mortification et de la pénitence.

    Répondant à un appel divin, il aurait quitté son exil pour revenir à Bayeux. Alors qu'un convoi mortuaire passait devant la maison de son père, il aurait redonné vie au défunt, gagnant ainsi l'estime de la population. Il aurait alors procédé à des guérisons miraculeuses de malades. Devenu évêque vers 470, il aurait assumé sa charge humblement, faisant pénitence et jeûnant jusqu'à quarante jours d'affilée2, ce qui aurait fait dire de cet évêque qu'il avait été bon au commencement, meilleur au milieu et très bon à la fin.

    Il serait mort le 28 mai 480 et aurait été enterré en l'église Saint-Exupère de Bayeux, au pied du mur méridional, entre l'autel et la tour (l'église Saint-Exupère actuelle est postérieure à ces observations). [Wikipédia].

    Juillet 1842 - Nouvelles locales - Il paraît que les abondantes pluies versées, depuis quelques jours, sur notre plaine, ont détruit en très grande partie, ces myriades de petites chenilles noires qui ravageaient tous les colzas et les menaçaient même, dans quelques contrées, d'une dévastation complète.

    Aussi nos cultivateurs qui, dans la crainte d'être obligés de semer une seconde fois, avaient fermé leurs magasins de graines au commerce, commencent-ils à les lui rouvrir.

    La plus grande partie de cette plante précieuse est sauvée et presque partout elle présente le plus magnifique développement. Il est assez remarquable qu'aucune pièce de terre  plantée en colza, quelque petite qu'on la suppose, n'a été dévorée entièrement par les insectes dont nous parlons, et qu'ils se sont contentés, au contraire, d'y marquer leur funeste passage en les dépouillant partiellement, tantôt de deux sillons en deux sillons, tantôt en losange, en écharpe, en zig-zag, tantôt en y laissant juste au milieu, un grand vide quasi circulaire. Tout le monde a pu vérifier ce fait, que nous avons nous-même été a portée de constater, sur une vaste étendue de terrain. (source : L’Indicateur de Bayeux).

    Août 1842   - Nouvelles locales  -   Depuis huit jours, sous une influence atmosphérique dont la cause est inconnue, il s'est développé dans la plante de colza une espèce de chenille noire qui cause les plus grands ravages. Ce fléau est, dit-on, presque général dans la plaine de Caen, dans plusieurs contrées, la dévastation causée par cet insecte est telle que quelques cultivateurs ont pris le parti de semer une seconde fois. Le temps est favorable à cette opération de laquelle on espère de bons résultats.

    Dans les champs où le ravage n'est pas encore considérable, on prétend que l'on arrêterait le mal en se servant de la chaux on poudre. Différents cultivateurs emploient ce moyen.

    Il y a six ou sept ans, le même insecte occasionna dans la plante des ravages semblables. De fortes pluies survinrent à temps pour le détruire et sauver une partie de la plante.         On espère que la grosse pluie versée sur tout le pays par l'orage de la nuit dernière aura un effet salutaire contre cette plaie de l'agriculture. (source : L’Indicateur de Bayeux).

    Janvier 1842 - Nouvelles locales - Le sieur Lerebours, guérisseur, empirique.... et officier de santé de par diplôme authentique, a été arrêté jeudi dernier par la gendarmerie et déposé à la maison d'arrêt de notre ville. Cet individu dont le nom jouit dans notre contrée, d'une fâcheuse célébrité et dont' tous les comptes ne sont pas, à ce qu'il paraît, finis de régler envers la justice, est sous le coup d'une prévention grave d'homicide par imprudence, sur la personne d'une femme de la commune du Vernay, morte en couches, il y a quinze  jours, et dont la justice vient de faire exhumer le cadavre. 

    Le sieur Lerebours était déjà sous le coup d'une condamnation correctionnelle de huit mois du prison, que le tribunal venait de lui infliger pour dénonciation calomnieuse envers un gendarme. Il avait porté appel de ce jugement devant la Cour. (Source  : L’indicateur de Bayeux).

    Octobre 1842 - Nouvelles locales -   Presque tous les journaux rapportent des phénomènes de végétation plus ou moins extraordinaires, à l'époque avancée de la saison où nous sommes. Il existe en ce moment dans un jardin de notre ville un pommier qui est couvert de fleurs. (source : L’Indicateur de Bayeux).

    Mars 1843   -  Nouvelles locales  - Dans la soirée de vendredi dernier, et plusieurs soirs de suite, entre huit et neuf heures, chacun a pu apercevoir à l'horizon un météore lumineux dont l'éclat lacté s'avivait graduellement à mesure que s'obscurcissait le ciel. C'était une clarté boréale s'étendant de l'est-nord-est à l'ouest-sud-ouest, dans un développement de 40 à 45 degrés. Sa forme était celle d'une arc-en-ciel, sa couleur, une teinte blanchâtre affectant, pendant quelques instants, des tons légèrement cuivrés. 

    Après 85 minutes de durée, elle ne laissait plus dans le ciel qu'une vague et incertaine lueur qui s'est éteinte subitement. 

    Inutile de dire que dans notre ville, comme ailleurs, les suppositions et appréhensions de tout genre ont marché vite, à l'occasion de cet accident météorologique, dont les savants du bureau des longitudes de Paris nous donneront sans doute la prochaine explication. (source : L’Indicateur de Bayeux).

    Octobre 1843  -  Nouvelles locales  -  En Basse-Normandie, l'existence de phénomènes de la nature, que depuis le commencement de l'automne ils se sont multipliés autour de nous. Beaucoup d'arbres d'espèces diverses se sont parés d'un second feuillage, et dans plusieurs communes du Pays-d'Auge, voire même sur la route de Caen à Lisieux, on remarque en ce moment certains pommiers tout couverts de fleurs parmi d'autres qui menacent de se rompre sous le poids des fruits maintenant à peu près murs dont, par extraordinaire, ils sont surchargés cette année jusqu'à l'extrémité des branches les plus frêles et les plus délicates en apparence. (source : L’Indicateur de Bayeux).

    Mai 1844   -  Nouvelles locales  -   Le mois d'avril a déployé, cette année, toutes les magnificences du printemps. Il serait difficile de citer un mois de mai qui nous eût favorisés jusqu'alors d'une température aussi belle et aussi constante. Tout annonce que l'année sera riche en fruits et précoce.

    A ce sujet, il ne sera pas hors de propos de faire remarquer à nos lecteurs que nous rencontrons précisément, en 1844, la grande période lunaire de 1825 (19 ans), époque d'abondance et de haute température.

    Les tables astronomiques les plus exactes montrent qu'après une période de 223 mois lunaires, ce qui correspond à peu près à 19 années solaires ou civiles, le soleil, la lune et la terre se retrouvent exactement dans les mêmes situations angulaires relatives ; cette période était connue des anciens astronomes : ils l'appelaient saros/cercle (Période de 6 585 jours, 18 ans et 10 ou 11 jours, 7h43, permettant de prédire le retour des éclipses. NFO). Ils s'en servaient pour prédire en général, assez bien, les éclipses de soleil et de lune ; et il leur suffisait de transporter tous les phénomènes, observés pendant une période entière de 19 ans, sur les jours de même dénomination des périodes suivantes. Ceux qui admettent une puissante influence de la lune sur notre atmosphère assimilent les flux et reflux aériens aux flux et reflux de la mer. Ils croient que les marées de l'Océan se reproduisent dans le même ordre et précisément avec les mêmes valeurs, après une période de 19 ans. Ils doivent donc supposer que les marées de l'atmosphère suivent aussi cette loi.

    Or, comme, d'après ce système, ces dernières marées sont la cause première, la cause principale des variations nombreuses qu'éprouve l'air dont nous sommes entourés, ils se trouvent inévitablement amenés à cette conséquence, que, chaque 19 ans, les saisons se représentent dans un ordre régulier et avec les mêmes traits caractéristiques. (source : L’Indicateur de Bayeux).

    Août 1844 -  Nouvelles locales -  On a pu voir ces jours derniers à l'œil nu, dans la direction de l'Orient, la comète découverte par M. Meauvais.

    La queue parait avoir une longueur d'un demi-pied ; son éclat est assez faible. Autour de la comète était un cercle semblable aux cercles qui encadrent quelquefois la lune, lorsque le temps est sur le point de changer. (source : L’Indicateur de Bayeux).

    Juin 1845  -   Nouvelles nationales  -  La comète observée par M. Arago est visible à l'œil nu, depuis quelques jours sur notre côte.

    La direction dans laquelle elle paraît, son peu d'élévation sur l'horizon et l'heure à laquelle elle montre sa plus vive lumière sont probablement les causes qui ont empêché qu'elle ait été remarquée de la ville.

    On la voit dans l'Ouest de onze heures à minuit : sa queue qui est dans une position horizontale est considérable, et n'offre pas la même lumière dans toute son étendue. (source : L’Indicateur de Bayeux).

    Juillet 1845 - Nouvelles Locales -  Nous voyons dans une pétition qui vient d'être adressée au gouvernement sur le danger des inhumations précipitées, qu'en 1844, en moins de sept mois, quatre personnes dont le décès avait été constaté, sont revenues à la vie au moment où l'on allait les inhumer, et qu'en 1845, en moins de huit mois, six résurrections pareilles ont eu lieu.

    L'auteur de la pétition, M. Leguern, continue en ces termes : « Depuis 1833, il y a eu, à ma connaissance seulement, quarante six cas d'enterrement plus ou moins précipités, auxquels je le répète, le hasard a le plus souvent mis empêchement. Vingt-et-un individus se sont réveillés d'eux-mêmes au moment où on allait les porter en terre, neuf par suite des soins que leur prodigua une trop rare tendresse, quatre par suite de la chute du cercueil, deux par suite de la suffocation dans le cercueil, trois par suite des piqûres faites en épinglant le linceul, sept, y compris le fils d'un employé des contributions directes du département de la Seine, par suite de retards non calculés dans la cérémonie des funérailles. Et le décès de tous ces citoyens avait été officiellement constaté ! » . (source : L’Indicateur de Bayeux).

    Juin 1846  - Nouvelles locales - Un jeune homme de l'un des cantons de notre arrondissement a été trouvé le long d'un chemin dans un état horrible de mutilation, il avait les deux oreilles coupées, une forte contusion à la mâchoire inférieure et le bras gauche fracturé.

    Interrogé sur les causes de ces blessures, il a prétendu être tombé de sa voiture et que la roue passant près de sa tête l'avait essorillé. On lui a objecté l'impossibilité matérielle du fait, il a persisté dans son récit. Suivant une version plus accréditée, un propriétaire des environs l'ayant surpris avec sa femme en criminelle conversation, l'aurait défiguré pour satisfaire son ressentiment. (source : L’Indicateur de Bayeux).

    Octobre 1847 - Nouvelles locales -  Dimanche dernier entre neuf et dix heures du soir, l'horizon était bordé de nuages noirs et épais au-dessus d'eux, une lueur rouge foncé s'étendait du nord à l'ouest, sur une grande largeur, laissant entrevoir les étoiles comme à travers un voile. On eût dit du reflet d'un immense et violent incendie.

    Ce phénomène, qui répandait une lueur sinistre dura une demi heure environ et s'éteignit par degrés.

    Il a été observé à Bayeux, à 8 heures et demie dit l’ « Écho Bayeusain ».

    Les pêcheurs français qui étaient à la mer en tirèrent le présage de mauvais temps, ils se hâtèrent de regagner le port, et en effet le vent souffla jusqu'au jour avec violence et par rafales, en même temps que la pluie tombai à torrents.

    Les marins se rappellent avoir remarqué un semblable fait, il y a quatre ou cinq ans. (source : Journal de Honfleur). 

    [La conception éclipses des étoiles filantes, des comètes, des aurores polaires, des lueurs célestes inhabituelles, des éclipses, etc. diffère pour les Anciens de celle des Modernes, qui les appelaient des Météores (= esprits de lumières célestes) et qui les identifiaient à des entités spirituelles et non à des objets matériels ou phénomènes physiques. NFO].

    Septembre 1852   -  Nouvelles locales.   -   Plusieurs savants ont émis l'idée que les grandes chaleurs que nous avons éprouvées cet été, présageaient l'avènement prochain d'une comète.

    Cette idée vient de se réaliser, M. Westphal, de Gœtin, a découvert, le 24 juillet, une comète à un degré 3/4 de l'étoile des Poissons. Le 27, cette même comète a été aperçue à l'observatoire d'Altona, immédiatement après le coucher de la Lune, mais elle n'a pu être observée qu'au moment où le crépuscule commençait. Le même jour, elle a été également observée par M. Runker, à Hambourg. (source : L’Indicateur de Bayeux).

    Janvier 1853  - Le temps qu’il fait  -   La température a été tellement douce pendant la durée du mois de décembre, que partout la végétation avance comme au mois d'avril.

    A Caen, on peut voir en ce moment dans un jardin de cette ville un pécher dont les rameaux portent un certain nombre de fleurs du développement le plus parfait.

    A Bayeux, un jardinier a récolté, ces jours-ci, une certaine quantité d'asperges.

    Dans l'Ain, disent les journaux de cette contrée, les poiriers sont avancés à tel point, qu'une infinité de ces arbres sont chargés de fruits d'un volume égal à celui d'un noyau de cerise. (Source : L’Indicateur de Bayeux).

    Janvier 1853  -  Le temps qu’il fait  -   Un journal de Caen signale « quelques framboises aussi mures, aussi appétissantes que celles qu'on recueille dans l'été » provenant des cultures de M. Chausse-Blanche, jardinier, à Caen. Nous en avons vu quelques-unes du même genre, et au même degré de maturité dans un jardin particulier de notre ville. (Source : L’Indicateur de Bayeux).

    Avril 1853   -  Violente secousse de tremblement de terre  -  Vendredi soir, quelques minutes, avant onze heures, on a ressenti, dans Bayeux, une assez violente secousse de tremblement de terre. Ce mouvement, accompagné d'un bruit sourd assez semblable au roulement de voitures pesamment chargées, a eu lien dans la direction du N.-O. au S.-E. Le ciel était calme et clair, parsemé de brillantes étoiles.

    Les oscillations, qui ont duré environ 12 à 15 secondes, ont été constatées dans la plupart des habitations de la ville, par un léger dérangement de meubles, par le mouvement et le bruit de cristaux de vaisselle et même de quelques sonnettes. Ce phénomène, très rare dans notre pays, parait s'être manifesté dans toute la contrée, et sur une assez grande étendue. Les journaux de Caen en font aussi mention, dans des conditions identiques. Il parait s'être fait sentir sur la route de Paris à Lisieux et au-delà. On n'a pas appris qu'il en soit résulté d'accidents.

    A ce sujet, un correspondant digne de foi nous écrit de Hottot-les-Bagnes, à la date du 2 avril :

    « Un tremblement de terre a eu lieu la nuit dernière, sur les 10 heures et demie du soir environ. Il n'est pas de famille dont les meubles, les lits, n'aient été fortement ébranlés pendant près d'une minute. Les personnes qui étaient debout, avaient peine à se soutenir, et ont été partout saisies de la plus grande frayeur. Moi-même, à moitié endormi, j'ai cru, en me réveillant, qu'on ouvrait mes contrevents, sans connaître la cause de l'ébranlement considérable qui avait lieu. »

    D'autres contrées de la Normandie ont ressenti cette secousse avec beaucoup plus d'intensité que la nôtre. Le Journal de Coutances nous apprend que des toitures ont été brisées dans la ville, des cheminées renversées, des pierres détachées des murailles. Dans la cathédrale, ajoute ce journal, une longue fissuré s'aperçoit à la voûte d'une des nefs latérales, du côté du nord, des pièces de marbre du grand autel sont disjointes, et à l'extérieur plusieurs clochetons ont perdu leurs pierres de couronnement.

    On dit qu'à l'est de Coutances le sol, en différents endroits, offre des crevasses de plusieurs mètres de longueur.

    L'oscillation se faisait sentir de l'ouest à l'est, et si les dégâts, en définitive, n'ont pas été grands, ce spectacle nouveau et menaçant n'en avait pas moins jeté l'alarme de tous les côtés. Cependant, au moment de la plus forte anxiété, le temps était calme. Une foule de personnes, qui ne comptaient, plus sur la sécurité de leurs maisons, ont passé le reste de la nuit à se promener sur les boulevards, à la clarté des étoiles.

    Outre cette première secousse, qui a troublé si violemment le repos de la ville, trois ou quatre, autres, mais plus légères, ont encore été remarquées vers deux, trois et quatre heures. (Source : L’Indicateur de Bayeux).

    Janvier 1856  -  Nouvelles locales  -   Lundi, vers cinq heures d'après-midi, les habitants de Bayeux et des environs ont été surpris par l'apparition subite d'un globe de feu qui, en éclatant dans l'air, a projeté une assez vive lumière. Ce phénomène qui se manifeste très rarement dans nos contrées, a été l'objet d'une foule de commentaires que nous nous garderons bien de relever, la plupart étaient d'une force trop naïve.

    Ce météore a été d'ailleurs aperçu aussi à Rouen, au Havre et à Caen, ainsi que le constatent les journaux de ces localités. (Source : L’Indicateur de Bayeux).

    Septembre 1856 - On lit dans le Journal - Les astronomes attendent, cette année, pendant l'automne où nous entrons, le retour et l'apparition de la fameuse comète de 1556 , dite comète de Charles-Quint, qui n'a pas été vue depuis trois siècles. En 1556, elle coïncida avec une récolte en vin d'une qualité remarquable.

    Espérons qu'elle manifestera cette année sa présence et son influence par un phénomène aussi agréable. On sait qu'à la suite de l'apparition de la petite comète de 1811, le vin fut aussi d'une qualité supérieure. (Source : L’Indicateur de Bayeux).

    [La conception des étoiles filantes, des comètes, des aurores polaires, des lueurs célestes inhabituelles, etc. diffère pour les Anciens de celle des Modernes, qui les appelaient des Météores (= esprits de lumières célestes) et qui les identifiaient à des entités spirituelles et non à des objets matériels ou phénomènes physiques. NFO]. 

    Mars 1858  - Une blessure à la Joue - Samedi dernier, vers les dix heures du soir, Léopold Hébert, jeune homme laborieux et complètement inoffensif, rentrait chez ses parents, domiciliés rue Laitière, dans la cour du n° 13. A peine a-t-il fait quelques pas dans cette cour, qu'il se sent atteint à la joue droite d'une forte cuisson, provenant d'une substance corrosive qui lui a été lancée par une fenêtre, à l'aide d'une seringue.

    Ses vêtements, dans leur partie supérieure, sont brûlés a différents endroits, et malgré ce dommage, le pauvre enfant s'estime encore bien heureux d'avoir eu les yeux sauvegardés.

    La justice informe : de graves soupçons planent sur un individu qui n'échappera pas, il faut l'espérer, à ses investigations. (Source : : L’Indicateur de Bayeux).

    [Les mutilations relèvent de la catégorie des sacrifices propitiatoires, des pratiques incantatoires et évocatoires magico-occultistes du sadisme-masochisme, lié au rite du baptême du sang, d'où la pratique de l'égorgement de certains rites fanatiques, religieux ou idéologiques. NFO]. 

    Septembre 1858   -  La comète  -   La comète signalée à Nantes et à Paimbœuf ces jours derniers a été observée hier soir à Bayeux, vers huit heures, dans la direction de l'ouest, environ 10° nord. Elle pouvait avoir, à cette heure, une hauteur du 15° au-dessus de l'horizon, et quoique visible à l'œil nu, elle n'a jusqu' à présent que peu d’éclat.

    Cette comète, découverte par M. Douati, n'a aucune analogie avec les autres comètes qui ont été observées dans les temps historiques.

    En tout cas, ajoute-l-il, ce n'est pas la célèbre comète de Charles Quint, dont le retour attendu, en vertu d'hypothèses, purement gratuites, a tant effrayé le public dans ces dernières années. (source : L’Indicateur de Bayeux).

    Juillet 1861   -  La comète  -   A mesure que la comète, espèce de fusée stellaire, s'avance dans sa trajectoire hélicoïde pour s'en aller se perdre dans l'infini de l'espace, sa queue change de direction. C'est ainsi que, dans les premiers jours de son apparition, cette queue s'en allait de nord-nord-ouest à sud-sud-est. Aujourd'hui, elle a pris la direction du Sud, comme si, en tournant sur sa trajectoire, elle devait toujours avoir la tête du noyau tournée vers le soleil. ( L’Ordre et la Liberté ).

    Novembre 1862  -   Phénomène Météorologique  -   Jeudi soir, vers 6 heures moins un quart, un météore lumineux, de la grosseur apparente d'une bombe, a éclairé toute la région comprise entre la Délivrande et Bayeux.

    A Creully, au moment du passage de ce globe de feu, quelques personnes prétendent avoir ressenti une sorte de secousse. Le météore, depuis sa naissance jusqu'à sa chute dans la direction de Bayeux, a duré environ vingt secondes. Le ciel était très-pur, le vent du sud-est presque nul, une petite gelée blanche commençait à se faire sentir. Le baromètre marquait 756 millimètres, très peu au-dessous du variable, avec une tendance à monter. Il se pourrait que ce phénomène fût une sorte de contre-coup des perturbations atmosphériques et souterraines qui viennent de se manifester dans le midi de la France, à Nîmes, par un tremblement de terre ; à Marseille et à Cette, par des raz-de-marée et de violentes tempêtes. (l’Ordre et la Liberté).

    Décembre 1862  - Les suites du phénomène météorologique - Le météore dont nous parlions samedi a été vu au Havre comme à Caen, à Creully et à Bayeux.

    Le Journal du Havre rapporte qu'un globe de feu d'un volume assez considérable a été observé jeudi soir, vers six heures, courant dans l'espace du Nord au Sud, avec une vitesse extrême et paraissant très élevé au-dessus de l'horizon. Ce météore, qu'un grand nombre de personnes ont vu au Havre, et qui jetait une clarté surprenante, a été visible presqu'à la même heure à Rouen, comme l'atteste le Nouvelliste.

    Tout porte à croire que ce bolide si lumineux est venu achever sa course dans les environs de Bayeux. Dans cette dernière région, en effet, il paraissait assez près de la terre, et nous n'apprenons pas qu'il ait été vu dans le département de la Manche. (l’Ordre et la Liberté).

    Juin 1883 -   La mâchoire miraculeuse. – On nous communique une lettre curieuse de M. le curé de Saint-Laurent, de Bayeux. De cette lettre, il résulte qu'autrefois l'église Saint-Laurent possédait la mâchoire miraculeuse de saint Etienne, et que cette mâchoire n'avait qu'une, dent. Voici, du reste, d'après les registres paroissiaux, l'un des miracles opérés par cette dent miraculeuse :

    « Le traiziesme jour d'octobre, moy-soubsigné, curé de Saint-Martin de Bayeux, mo suis transporté en la maison de honneste fille, Françoise Lhonoroy, de la paroisse de St-Mâlo, où j'ay trouvé lad. fille couchée malade, depuis trois seumaines, laquelle avoit perdu la parolle, la vue et estoit demeurée de tous les membres sans les pouvoir remuer... Et portant dans mes mains un certain os de la mâchoire de St-Estienne, premier martir, dans lequel il y a encor une dent, je me suis approché du lict afin de lui faire baiser lad relique, laquelle lui appliquant sur les yeux, les lèvres et les mains en disant : « Sancte Stéphane, ora pro ca ».

    « Aussitôt, elle a eu les yeux, clairvoyant et un parfait mouvement de la parole et de tout son corps, assurant toutte la compagnie qui ostoit bien de six a sept personnes qu'elle ne sentoit plus aucun mal et qu'elle se voulloit se lever, lequel miracle jateste estre véritable pour obliger à l'advenir, les catholiques à avoir pour les reliques tout lerespect qu'elles méritent. »

    Mais. malheureusement, toujours d'après la lettre de M. le curé de Saint-Laurent, cette précieuse mâchoire, qui rendrait de si grands services aujourd'hui, est perdue. Celui qui l'aurait trouvée est prié de la rapporter à M. le curé de Saint-Laurent. Il y aura... indulgence ! [USHC].

    Décembre 1885 -Vengeance - Une agression nocturne a eu lieu samedi, route de Vaux, contre le fils Fermine, habitant le clos St-Nicolas, à Bayeux, par deux individus qui, sans mot dire, l'ont assommé à coups de bâton, et l'ont laissé à demi mort sur la route. La même nuit, une pouliche appartenant au sieur Fermine a été tuée à coups de couteau dans un herbage.[USHC].

    [Les mutilations relèvent de la catégorie des sacrifices propitiatoires, des pratiques incantatoires et évocatoires magico-occultistes du sadisme-masochisme, lié au rite du baptême du sang, d'où la pratique de l'égorgement de certains rites fanatiques, religieux ou idéologiques. NFO]. 

    Juin 1890 - Chenilles, criquets et grenouilles - Dans notre région, les chenilles ont dévasté une grande partie des pommiers. — En Algérie, les criquets ont fait leur réapparition. Les dégâts sont considérables. — A Yvetot (Seine-Inférieure), une pluie de grenouilles s'est abattue sur une partis de la ville. C'est par milliers que l'on comptait ces batraciens sur les chemins. [USHC].

    Juillet 1891 - Vilain voisinage - Depuis 60 ans, deux vieilles filles, nommées Le Blanc, habitaient une pièce du 2e étage près du pont Saint-Jean, à Bayeux. On vient de les expulser de leur logement. Un huissier et deux recors étaient chargés de cette sale besogne. On ne peut s'imaginer les odeurs infectes qui sortaient de ce tas d'ordures, véritable foyer de putréfaction. Des bouquets fanés ramassés dans les cimetières et dans la ville depuis plus de 25 ans, des os, des chiffons, de la ferraille, plus de cent paires de vieilles chaussures, savates, bottines usées, composaient ce mobilier où la vermine circulait librement. Deux banneaux ont à peine suffi pour enlever ces débris, sans compter ce qui a été enlevé par les chiffonniers. (source B-N).

    Juillet 1893 - Orages -  Mardi l'après-midi, un orage d'une grande violence s'est déclaré sur notre région. A Caen et environs, pluie, vent et tonnerre. A 3 heures du matin, la foudre est tombée place Singer sur les ateliers de M. Margellé, fabricant de pain d'église. Une cheminée de six mètres a été coupée et est tombée sur les ateliers dont les ouvriers étaient absents. Mme Margellé a cru voir comme un pigeon blanc passant devant ses yeux.

    Une heure après le tonnerre tombait sur le clocher d’Allemagne et, par contre-coup causait des dégâts à la maison de M. Boivenel, de plus l’enseigne du restaurant Lecomte, soutenue par une tige en fer, était brisée. 

    A Luc, elle est tombée sur le clocher sans occasionner de dégâts appréciables.

    A Bayeux, le tonnerre est tombé sur une maison située, rue des Bouchers et occupée par M. du Boscq de Beaumont. La foudre a frappée sur le bord de la toiture, enlevant une cinquantaine d’ardoises et faisant un trou d’un mètre de diamètre environ, elle a suivi le tuyau de la gouttière et est allée se perdre dans un puisard établi au pied.

    A Crocy, la foudre est tombée sur un bâtiment qui a été complètement brûlé. (Source B.N.)

    Novembre 1895 -  Un bolide  - Lundi soir, vers neuf heures, les nombreuses personnes qui se trouvaient sur le champ de foire, à Bayeux, ont pu apercevoir une boule de feu, paraissant assez grosse, qui est passée au-dessus de cette ville, dans la direction du Sud au Nord, et s'est éteinte au bout de quelques instants.  (Source  : Le Bonhomme Normand).

    Février 1900 - Disparition d’un facteur -  Le sieur Richard Le Révérend, facteur rural à Bayeux, parti lundi matin pour faire sa tournée habituelle, n'a pas reparu. 

    Il s'est présenté au château d'Etréham et y a remis le courrier, depuis ce moment, on a perdu sa trace. Le Révérend avait l'habitude de traverser la rivière sur une passerelle faite de deux planches vermoulues. On a constaté qu'une d'elles était rompue, on suppose qu'elle s'est brisée sous le poids du facteur et que celui-ci, tombé dans l'eau, s'est noyé. (Source : Le Bonhomme Normand). 

    Mai 1901 - Stupide vengeance - Un cheval de 1 200 fr., appartenant au sieur Merry, loueur de voitures à Bayeux, était à l'herbe dans un herbage. Pendant la nuit, des malfaiteurs lui ont cassé une jambe à coups de pierres. II a fallu abattre la pauvre bête. (Source : Le Bonhomme Normand).

    Octobre 1928   -   Singulière invasion  -   Jeudi dernier, une invasion de moustiques verts, qui s'est fait sentir jusqu'à Caen, s'est abattue sur Bayeux, gênant même la circulation des piétons, obligés de se préserver les yeux. Par bonheur, les premières pluies ont mis en déroute ces indésirables cousins. [USHC].

    Juillet 1929 - Vache phénomène - On a vu samedi et dimanche, sur la place Saint-Patrice à Bayeux, une vache phénomène à cinq pattes, ayant deux paires de mamelles et deux intestins. Cette bête curieuse, de race normande, est âgé de 5 ans et pèse 600 kilos. [USHC].

    Décembre 1937 - Un fut de cidre éclate blessant grièvement un employé - M. Armand Blanchet, demeurant à Bayeux, employé au service de M. Quinin, rue de la Cuve, était occupé à laver un fût de cidre, lorsque, tout à coup, sans que l'on sache pour quelle raison, le tonneau éclata. Banchet, sérieusement atteint par les éclats de bois, fut transporté aussitôt à l'hôpital de Bayeux. Le docteur Jeanne a constaté une fracture du bassin, qui obligera le blessé à observer un très long repos. (Source : Le Moniteur du Calvados).

    Novembre 1938  -  Était-ce une aurore boréale ? -  Mercredi soir, entre 20 h. et 22 h. 30, plusieurs personnes se trouvant au lieu dit « Clos Saint-Nicolas », à la sortie de la ville, furent les témoins du phénomène atmosphérique suivant : une lueur d'abord rose rougeâtre embrasa le ciel dans la direction de la campagne, puis elle passa au rouge vif. 

    Cette lueur ressemblait fortement à celle de l'aurore boréale remarquée un soir, au début de cette année. La teinte rouge s'effaça et fit place à un reflet blanchâtre qui disparut à son tour. 

    Quelques instants après, le même phénomène recommençait. Cela dura pendant plus de deux heures. Il est vraisemblable que ce fût là une petite aurore boréale. (Source  : Le Moniteur du Calvados). 

    [Les épisodes orageux, le phénomène de la foudre, ouragans, tempêtes, les typhons, vortex, les lueurs célestes inhabituelles, les aurores polaires, accompagnent généralement l'émergence des Portes Induites/Vortex/Pontifex/Portex/ Puits à énergie potentielle. NFO].

     

    Bazenville (14)  

    Juillet 1842 - Nouvelles locales - Il paraît que les abondantes pluies versées, depuis quelques jours, sur notre plaine, ont détruit en très grande partie, ces myriades de petites chenilles noires qui ravageaient tous les colzas et les menaçaient même, dans quelques contrées, d'une dévastation complète.

    Aussi nos cultivateurs qui, dans la crainte d'être obligés de semer une seconde fois, avaient fermé leurs magasins de graines au commerce, commencent-ils à les lui rouvrir.

    La plus grande partie de cette plante précieuse est sauvée et presque partout elle présente le plus magnifique développement. Il est assez remarquable qu'aucune pièce de terre plantée en colza, quelque petite qu'on la suppose, n'a été dévorée entièrement par les insectes dont nous parlons, et qu'ils se sont contentés, au contraire, d'y marquer leur funeste passage en les dépouillant partiellement, tantôt de deux sillons en deux sillons, tantôt en losange, en écharpe, en zig-zag, tantôt en y laissant juste au milieu, un grand vide quasi circulaire. Tout le monde a pu vérifier ce fait, que nous avons nous-même été a portée de constater, sur une vaste étendue de terrain. (source : L’Indicateur de Bayeux).

    [Le Grand Esprit tentaculaire de la nature (Wood Wide Web, le réseau internet de la forêt) communique avec l'espèce humaine au travers des Crop-Circles, élaborés à partir du langage universel des symboles  (après les ronds de sorcières et les cercles de fées). NFO].

    Beaufour-Druval (14)  

    Octobre 1900 - Disparitions - Charles Leblanc, 15 ans, né à Cresseveuille, près Dozulè, avait été placé par sa famille, comme domestique, à Druval, canton de Cambremer.

    Cet enfant a quitté sa place voilà quelques jours, on ne sait pas encore ce qu'il est devenu.

    — Henri Briard, 18 ans, qui habitait chez ses parents à Beuzeval-sur-Mer, a disparu depuis plusieurs jours sans que l’on sache où il est allé. (Source  : Le Bonhomme Normand).

    [Les disparitions inquiétantes de personne sont mortelles dans 29 % des cas, provisoires dans 30 % des cas et continuelles ou définitives dans 41 % des cas. La concordance territoriale entre les épicentres des apparitions des ovnis et les disparitions inquiétantes accrédite la thèse de l’ingérence parasitaires des exogènes-polymorphes comme principaux acteurs de ces disparitions, de même que le factuel des états somnambuliques des personnes disparues/retrouvées et qui montrent les symptômes identiques de désorientation, d’amnésie, de perturbation psychique, de missing time, etc. des RR4 ou des phénomènes dits des abductions ufologiques. NFO].

    [Certaines disparitions définitives seraient imputables au franchissement de l’horizon des événements d’une Porte Induite ou puits à énergie potentielle, NFO].

    Juin 1912  -  Porc phénomène  -  Ces jours derniers M. Joubin, cultivateur à Druval, a eu la surprise de découvrir parmi une portée de huit porcelets un phénomène qui n'a d'ailleurs pas de resté longtemps vivant. Il avait une trompe d'éléphant, avec une trompe au milieu de la tête.  [USHC].

    Beauquay (14) - Calvados - Normandie - France - 11/10/1954 - à l'aube / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    Paralysie du Bétail

    Un étrange phénomène a été signalé à Beauquay. Au lever du jour, se rendant dans un herbage pour traire ses vaches, Mme Barbey, cultivatrice, avait son attention attirée par une lueur rougeâtre rayonnant d’un pré voisin. Soudain un « disque » dont la couleur passa à l’oranger, s’éleva en rasant les arbres. La même observation aurait été faite par deux autres habitants de la localité, MM Lamour et Caillot.

    Une lueur rouge étrange a éclairé la campagne.

    Parmi trois témoins, le paysan a bientôt vu une grande forme lumineuse imprécise rougeoyante à la basse altitude, qui a traversé le ciel à une certaine vitesse mais pas à une vitesse très rapide. Les ombres des haies tournaient en fonction de la lumière de l'engin qui se déplaçait au-dessus. Le silence était complet.

    Les témoins ont dit plus tard que l'objet était à l'altitude des cimes des arbres. Les vaches ont été prise de panique et ont couru en tous sens, y compris celle que le paysan trayait.

    Après que l'objet soit parti, le paysan a décidé que son travail devait être fait de toute façon, et a voulu reprendre la traite de la vache. Mais l'animal n'a libéré aucun lait. D'autres paysans ont tenté de traire l'animal, en vain. C'est seulement le jour suivant que la vache a finalement accepté de livrer son lait. 03 Témoins. Source : Le Bonhomme–Libre du 22 octobre 1954. Mystérieux Objets Célestes - Aimé Michel -1958.

    [Pour les adeptes du chamanisme et de l’animisme, les bovins sont les avatars de la vache céleste/Voie Lactée des Anciens. NFO].

    (1) Beaumont-Hague (50) - Manche - Normandie - France - fin 1975 - vers 03 h / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    [Fin de l'année 1975, un Engin Ovoïde Volant Non-Identifié muni de Hublots a stationné au-dessus de l'Usine Nucléaire de Cherbourg ce qui est le plus ancien cas connu de la connexion Ovni/Nucléaire en France Métropolitaine avec celui de 1973 de la Hague (50) :

    CHERBOURG (Fin 1975). Samedi vers trois heures, alors qu'il travaillait à sa fournée de pain et jetait un coup d’œil par une fenêtre de l'atelier, M. Roger Baudry, 44 ans, boulanger à Beaumont-Hague (Manche) n'en crut pas ses yeux

    Au-dessus de l'usine de fabrication de plutonium, destiné aux têtes chercheuses des missiles armant les sous-marins à propulsion nucléaire de la force de dissuasion nationale, se tenait, immobile, un " ovni " rougeoyant, ayant la forme d'une montgolfière, muni de hublots aux couleurs changeantes.

    Fort intrigué et surpris par ce " spectacle ", M. Baudry, croyant être l'objet d'une illusion d'optique, appela son employé, M. Jean-Paul Hirard, 20 ans, et sortit de son lit son épouse pour venir regarder cette troublante apparition.

    Ces trois personnes, après avoir observé le phénomène, en ont conclu qu'il s'agissait d'une apparition de soucoupe volante et en ont informé la gendarmerie qui a ouvert une enquête.

    L'ovni , après être resté immobile pendant dix minutes, est parti à grande vitesse vers le Nord-Est.

    Il y a deux ans (1973), un autre ovni volant au-dessus du C.E.A. de La Hague avait été aperçu par trois pêcheurs à pied de Barneville-Carteret. Quelques jours après, la gendarmerie maritime enquêtait sur des combinaisons anti-radioactives qui avaient été retrouvées sur la plage. - A.P.]

    03 Témoins. Sources : Journal belge Le Peuple, La Meuse ou La dernière Heure - https://www.forum-ovni-ufologie.com/t12848-ovni-au-dessus-d-une-centrale-nucleaire-cherbourg]

    (2) Beaumont-Hague (50)  - La Demoiselle de Gruchy

    La demoiselle de Gruchy est une jeune fille qui sait prendre l'apparence de toutes sortes d'animaux. On peut la rencontrer en belette, gros chien ou levrette, toujours impitoyable et cruelle.

    Elle attire les jeunes hommes chez elle et une fois lassée, elle les transforme en animaux ou en plantes. Sans pitié envers ceux qui lui résistent, elle les éventre et fait sécher leurs intestins sur les haies d'aubépine.

    Son pouvoir lui vient, dit-on, d’une peau magique ou d’une grossière en crin ou en poil de chèvre. Ce talisman la rend invincible. Un matin , surprise au lit, elle ne peut revêtir son talisman et se laisse arrêter sans résistance. Gruchy est un hameau de Gréville-Hague (50). Source : Wikimanche.

    (3) Beaumont-Hague (50) - Les Goubelins et les Lutins

    Le goublin du Fal-Ferrand, à Gréville (50), apparaissait ordinairement sous la forme d'un lièvre familier. Il venait se chauffer au feu pendant qu'on cuisait le soir la chaudronnée de pommes de terre. Il assistait à la fabrication du pain, et, à chaque cuisson, on lui faisait une galette qu'on lui mettait en dehors de la fenêtre. Si l'on l'oubliait, on en avait pour quinze jours de tapage dans la maison. Ceci se passait il y a environ soixante ans.

    Le lutin du fort d'Omonville-la-Rogue (50) était encore plus familier, mais il était aussi plus espiègle.

    C'était parfois un mouton blanc; d'autrefois [sic] un petit chien qui se couchait sur la jupe de la jeune fille de la maison et se faisait traîner. La nuit, on l'entendait tourner le rouet, laver la vaisselle. Dans la cour, c'était souvent un veau que l'on voyait apparaître à l'improviste.

    D'autres fois, c'était un lièvre qui s'amusait tout à coup à partir au galop avec du feu sous le ventre. Parfois c'était un gros chien noir qui faisait sa ronde le soir en grondant. La jeune fille s'était prise d'amitié pour lui ; il s'amusait à lui jouer toutes sortes de tours plaisants. Elle voyait à terre un peloton de fil, par exemple, elle le ramassait en se reprochant sa négligence; tout à coup le peloton de fil éclatait de rire dans ses mains et sautait à terre.

    C'était le goublin qui s'ébattait. Chez les Fleury de Jobourg, le goublin prenait ordinairement la forme d'un lièvre familier qui se laissait caresser comme un chat. Source : Wikimanche.

    (4) Beaumont-Hague (50) - La Demoiselle de Tonneville

    De nos jours, on trouve sur les cartes le nom d'un lieu-dit proche du bourg de Tonneville (50), L'Étang de Percy. Aujourd'hui asséché, le terrain aurait longtemps accueilli un étang, au milieu des landes qui couvraient une commune non encore urbanisée, à l'habitat dispersé. Et selon une légende locale, ce plan d'eau aurait été l'ultime sépulture de plusieurs voyageurs perdus, jetés là par les maléfices d'une Dame Blanche. 

    Ce fantôme serait celui d'une noble du XIIIe siècle, Blanche de Percy, aussi belle que dominatrice. Seule héritière des terres à la mort de ses parents, elle vit seule, éconduisant tout prétendant, et étudie la magie noire. Lorsque la possession d'une lande est contestée entre la paroisse de Tonneville et celle de Flottemanville, la châtelaine la réclame, déclarant : « Si, après ma mort, j'avais un pied dans le ciel, et l'autre dans l'enfer, je retirerais le premier pour avoir toute la lande à moi. »

    A l'heure de sa mort, elle refuse les sacrements du prêtre et ne rétracte pas ses mots quant à la possession de la lande. Et, lors de son enterrement, le cercueil devient si lourd, qu'il est impossible de le sortir, malgré tous les efforts faits, au point qu'on décide de l'inhumer à l'endroit même, à l'entrée de la cour. Depuis, en accord avec sa déclaration, elle hante la lande et s'attaque aux promeneurs nocturnes.

    Et lorsqu'en 1949, on a fait des travaux à l'emplacement du manoir démoli, on a retrouvé une tombe sans inscription, sous le seuil du pressoir, là où la légende situe depuis plusieurs siècles, la sépulture de la demoiselle de Tonneville. 

    Avec le développement de l'automobile, les légendes d'autostoppeuse fantomatiques se sont multipliées le long des routes normandes.

    Si vous voyagez dans ces parages isolés, un soir d’automne sans lune, après une rude journée, quelque peu fatigué ou la tête un peu lourde, après un repas bien arrosé et que vous apercevez la Dame Blanche, ne vous laissez pas tenter, passez votre chemin même si votre « bon cœur » vous incite à recueillir cette créature énigmatique et mystérieuse près de vous, ne vous arrêtez pas, l’aventure serait trop risquée ,à moins que vous ne vouliez vraiment connaître le fin mot de cette légende qui remonte aux temps les plus lointains. Source : Wikimanche.

     

    Tumili et Menhirs et Pierres Tournantes (Toc et Toquillon) de la Hague 

    En 1962, les premiers travaux de construction du centre de retraitement des déchets nucléaires de la Hague a nécessité la fouille du groupe d’une dizaine de tumuli sur la lande de Jobourg, signalés ci-dessus par De Gerville au début du XIXe siècle et probablement « fouillés » par lui.   En fait, il en existait encore 10 en novembre 1961, trois d’entre eux fortement ébranlés par l’occupant allemand, trois autres fouillés antérieurement, les trois derniers apparemment intacts. Les diamètres de ces tumuli variaient de 9 à 17 m et leur hauteur de 0,3 à 2,10 m.   

    Un seul tumulus put être fouillé entre novembre 1961 et mars 1962, le mauvais temps ne laissant aux fouilleurs que…13 jours. C’est R. Lemière, directeur de la Société Nationale des Sciences de Cherbourg, qui mena ces fouilles et en publia un rapport (comprenant un plan) le 19 septembre 1962, en collaboration avec M. Bogard.. Les conclusions de ce rapport mettaient en relief l’existence de fossés et de talus antérieurs à ces tumuli (un camp protohistorique assez vaste existait entre Jobourg et le Hague-Dick), et confirmaient la datation dont nous parlions ci-dessus.  rès peu de matériel (essentiellement des éclats de silex) fut collecté. La structure interne laissait apparaitre des murettes dont le rôle n’a pu être clairement établi. Il ne fallut pas plus de quelques minutes aux bulldozers pour rayer de la carte ces témoins vieux de près de 3000 ans.

    Ces structures sont tout-à-fait comparables aux tumulus bretons, datés du Bronze ancien, encore que leur richesse soit moindre (rareté du matériel lithique, pauvreté des structures internes, absence d’armes susceptibles d’être examinés…) mais encore aurait-il fallu des fouilles complètes et plus nombreuses pour réellement pouvoir comparer. Pour les spécialistes, les tumuli bretons, normands, anglais forment un ensemble cohérent. Source : Les Mégalithes de la Manche.

    (5) Beaumont-Hague (50) - L'Invasion des Profanateurs de Sépultures

    Selon une légende urbaine, la profanation des sites mortuaires préhistoriques de la Hague-Beaumont et de Flammanville, par l'implantation des usines nucléaires, serait la raison de la malédiction qui frapperait la France, depuis les années 1960, et à l'origine du déclin de sa civilisation et de la perte de son rayonnement spirituel dans le Monde. Source : Ufo-Génpi.

    [Depuis les époques les plus reculées de la préhistoire, l'office des devins, mages, spirites, voyants, qui perpétuent le culte ancestral des morts, est de consulter les esprits, avec l'édification de temples voués à la pratique animiste/chamanique de la nécromancie, de la transe médiumnique possessive des occultistes par les entités éthérées métamorphes, goules parasitaires et mânes nécrophages, ou âmes (noosphères) vagabondes immanentes, qui parodient les esprits des morts tout en se repaissent des effluves des corps vivants ou en décomposition. NFO].

    [Les entités éthérées métamorphes, goules parasitaires et mânes nécrophages, ou âmes (noosphères) vagabondes immanentes, parodient les esprits des morts tout en se repaissent des effluves des corps vivants ou en décomposition. NFO].

    (1) Beaumont-le-Roger (27) - Le Mutilé+ Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique  

    Dans la nuit du vendredi 28 au samedi 29 août 2020, un cheval a été mutilé et entaillé, par de mystérieux inconnus, dans l'Eure (27).

    Source : francebleu.fr/infos.

    [Les mutilations sont la marque des sacrifices propitiatoires, des pratiques incantatoires et évocatoires magico-occultistes du sadisme-masochisme, lié au rite du baptême du sang luciférien. NFO].

    [La tradition explique les comportements débordants, antisociaux, ou agressifs, sadiques par les phénomènes de hantises ou de possession liés au parasitage psychique exercé par des éthérés noosphériques. NFO].

    (2) Beaumont-le-Roger (27) - une nuit du mois d'août 1996/1997 - / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique  

    J'ai fait deux observations, la première date d'il y a 4 ou 5 ans (1996 ou 1997), au mois d'août, je regardais les étoiles à l'abri de la pollution lumineuse des villes, perdu dans un champ de blé moissonné de Normandie (près de Beaumont-le-Roger, dans l'Eure), j'étais allongé sur un ballot de paille à observer le ciel, à l'attente d'étoiles filantes (je n'avais pas de montre).

    A un moment une étoile (taille standard, couleur blanche et très lumineuse) se coupa en 2 (ou se dédoubla), puis les 2 parties se mirent à descendre en vrille (orientation plein ouest, direction vers le bas, à peu près 70° pour la hauteur de l'étoile d'origine par rapport au sol, 30 cm de longueur de bras pour la totalité du déplacement), puis les deux parties se sont immobilisées (durée plus ou moins 2 secondes) et ont disparu en un éclair, chacune de leur côté (par la suite j'ai pensé à la forme de l'ADN pour décrire la trajectoire en vrille). Le phénomène a eu une durée de plus ou moins 10 secondes (de mémoire), mais j'avais repéré l'étoile longtemps avant le phénomène, sûrement à cause de sa luminosité.

    Pendant la durée de l'immobilisation il y eut un silence qui m'a paru surnaturel.

    La 2ème observation date d'il y a 3 semaines (juillet 2001), près de Perpignan (AFPA de Rivesaltes), il était 15 h (à peu près) et en levant les yeux j'ai vu un truc qui ressemble à une soucoupe volante (genre comme les cookies des amateurs de SF).

    De couleur totalement noire, à un angle de 45° de hauteur par rapport à l'endroit d'où je me trouvais, sa taille était de 2 cm (à longueur de bras) sa trajectoire était plein nord et sa vitesse très lente (durée de l'observation plus ou moins 5 mn). Moi j'étais orienté vers l'est (à noter qu'il y a un aéroport pas très loin). Seb. Sébastien (Eure - France). 01 Témoin. Source : Grépi.

    Beauvain (61) 09/10/1954 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    En soirée, le témoin est en bicyclette en direction de Rânes lorsque près de l'étang de Lande-Forêt il est survolé par un objet lumineux qui rase la cime des arbres à grande vitesse L'objet était une sphère jetant des flammes. Son diamètre était de 4 mètres. Une protubérance se trouvait au sommet de la sphère. Elle fut observée pendant une dizaine de seconde. 01 Témoin. Source : Les Ovnis en France.

    M. Christian Couette, fils d'un plombier de Téssé-la-Madeleine, roulait à bicyclette endirection de Rânes lorsque, près de l'étang de Lande-Forêt, sur la comme de Beauvain, il fut dépassé ar un étrange engin lumineux qui, à une grande vitesse, rasait la cime des arbres. L'engin d'environ 4 mètres de diamètre, avait la forme d'une boule de feu bombée sur le dessous. Il a pu être observé unedizaine de secondes. Source : L'Echo-Républicain du mardi 12/10/1954 - Catalogue 54 : Jean Sider - Jonathan Giné et Anne Joigneaux. [voir : Rânes (61) - 09/10/1954].

    Bellengreville (14)

    Juin 1906  -  Disparition  Depuis quelques jours, Mme Françoise Perrine, femme Prempain, 32 ans, ménagère à Bellengreville, a quitté le domicile conjugal, laissant son mari avec ses cinq enfants en bas âge ; elle n'a pas reparu depuis. On ignore ce qu'elle est devenue. [USHC].

     

    [Les disparitions inquiétantes de personne sont mortelles dans 29 % des cas, provisoires dans 30 % des cas et continuelles ou définitives dans 41 % des cas. La concordance territoriale entre les épicentres des apparitions des ovnis et les disparitions inquiétantes accrédite la thèse de l’ingérence parasitaires des exogènes-polymorphes comme principaux acteurs de ces disparitions, de même que le factuel des états somnambuliques des personnes disparues/retrouvées et qui montrent les symptômes identiques de désorientation, d’amnésie, de perturbation psychique, de missing time, etc. des RR4 ou des phénomènes dits des abductions ufologiques. NFO].

    Belfonds (61) - Le Foal

    Dimanche 13 septembre 2020, un poulain, Le Foal, un mâle de quatre mois, a été blessé dans un champ, avec une blessure à la tête et également une entaille au rectum, probablement entre 01 h et 07 h du matin.

    Source : ouest-france.fr.

    Bellême (61) - fin des années 1970 probablement 1978 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    L'observation se situe aux alentours de Bellême à la fin des années soixante dix, en 1978 probablement. Une personne a aperçu un objet circulaire de couleur orange qui survolait son véhicule. L'objet semblait de grande envergure et se déplaçait très lentement, sans aucun bruit et à basse altitude. 01 Témoin. Source : Photovni.

     

     Bellou (14)

    Janvier 1895 - Veau phénomène - Une vache appartenant à M. Heutrais, propriétaire à Bellou, a mis bas un veau à deux têtes bien formées et bien séparées, un seul poitrail, deux pattes de devant et quatre pattes de derrière. Ce veau est mort, sa mère aussi. (Source  : Le Bonhomme Normand).

    (1) Benerville-sur-Mer (14) - Le Sans-Papier  / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    Porté disparu le mercredi 18 juillet 2018, à Benerville-sur-Mer, un ressortissant égyptien a été retrouvé sain et sauf, vers 17 heures, le même jour, au poste de secours de la plage de Deauville (14). L'homme dont les papiers d'identité avaient été laissés sur la plage de Benerville, tout comme son téléphone portable, semblait alors simplement, chercher ses effets personnels sur la plage, indique le commissaire de police de Deauville.

    Mercredi 18 juillet, au matin, les vêtements et les papiers d'identité d'un homme de nationalité égyptienne ont été retrouvés sur la plage de Benerville-sur-Mer. Les sauveteurs du poste de  secours de Benerville ont prévenu, vers 14 h, le Cross de Jobourg (50) qui a à son tour mis en alerte les services SNSMS (Société Nationale de Sauvetage en Mer), déclenchant ainsi un important dispositif de recherche en mer, du nord de Trouville (14) jusqu'aux falaises des Vaches Noires, situées au sud de Villers-sur-Mer (14).

    Deux vedettes de la SNSM et cinq zodiacs, provenant des postes de secours de proximité de Benerville ont sillonné les côtes durant deux heures. En vain. Les services de police et de gendarmerie poursuivent actuellement les recherches sur terre. Les recherches en mer ont duré deux heures, si la personne s'est baignée, ce dont nous ne sommes même pas sûrs, elle a pu vivre six heures dans l'eau, le délai a donc été largement dépassé. C'est un cas bizarre, indique l'officier de permanence du Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvegarde en mer (Cross) de Jobourg.

    Source : Normandie-actu, du 19/07/2018.

    [Les disparitions inquiétantes de personne sont mortelles dans 29 % des cas, provisoires dans 30 % des cas et continuelles ou définitives dans 41 % des cas. La concordance territoriale entre les épicentres des apparitions des ovnis et les disparitions inquiétantes accrédite la thèse de l’ingérence parasitaires des exogènes-polymorphes comme principaux acteurs de ces disparitions, de même que le factuel des états somnambuliques des personnes disparues/retrouvées et qui montrent les symptômes identiques de désorientation, d’amnésie, de perturbation psychique, de missing time, etc. des RR4 ou des phénomènes dits des abductions ufologiques. NFO].

    [Selon l’apport traditionnel nombres de disparitions inquiétantes et définitives de personne s’expliquent par le passage de l’horizon des événements d’une Porte Induite ou puits à énergie potentielle, et dont les orages, tempêtes, ouragans sont les manifestations tangibles les plus couramment rencontrées - NFO].

    (2) Benerville-sur-Mer (14) - 04/08/1974 - vers 19 h 35 / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 

     

    Melle Laurence R. (45 ans je suis employée communale dans la région parisienne) : C'était le samedi 4 août 1974, à 23 ans, alors que je passais mes dernières vacances au bord de la mer à Bénerville - sur - mer, à 2,5 Km de Deauville. Depuis le début de la soirée, j'avais envie d'aller me promener sur la plage. Vers 19 h 35,  je vis un rayon jaune pâle venant de Caen. Cette observation fut confirmée par un article du journal "Ouest-France" qui recoupe mon témoignage et celui d'autres témoins situés à Caen ayant aperçu des formations d'ovnis vers 19 h  25 allant de Caen vers la mer. 01 Témoin. Source : http://dossiers.secrets.free.fr/ovni/francais.html

    (3) Benerville-sur-Mer (14)

    Octobre 1868   -  Un phénomène  -   Un curieux phénomène s'est produit mercredi, vers minuit. Les quelques personnes qui, à cette heure avancée, se donnaient le plaisir de la promenade, ont aperçu dans l'espace un magnifique météore qui apparaissant dans la direction de l'est est allé disparaître derrière les hauteurs du bois de Rocques.

    Sa forme était celle d'un globe de transparence blanche, traînant à sa suite une longue bande d'un rouge étincelant, illuminant le paysage comme une vive lumière électrique.

    La marche peu rapide de ce bolide a permis à ceux qui l'ont aperçu d'admirer son éclat.

    Son passage est signalé dans plusieurs villes. À Caen son passage n'a été annoncé par aucun bruit, tandis qu'à Rouen, on a entendu une forte détonation. [Un siècle d'histoire du Calvados].

    [La conception des Anciens, des étoiles filantes, des comètes, des aurores polaires, des lueurs célestes inhabituelles, etc. diffère de celle des Modernes, qui les appelaient des Météores (= esprits de lumières célestes) et qui les identifiaient à des entités spirituelles et non à des objets matériels ou phénomènes physiques. NFO]. 

    Octobre 1868  -  La mer  -  Dans la nuit de mardi à mercredi, la mer de la Manche avait une phosphorescence comme on ne lui en voit pas aux plus fortes chaleurs de l'été. Les bateaux en marche paraissaient naviguer au milieu d'une véritable mer de feu. [Un siècle d'histoire du Calvados].

    (1) Bénouville (14) - Calvados - Normandie - France - Pegasus Bridge - année 2000 / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 

    Observation datant de l'an 2000, du frère et de la belle-sœur, de Jérôme G., du fameux ovni en forme de triangle noir avec ses lumières (grand comme un terrain de football) vu à Pegasus Bridge (Normandie Pont de Bénouville - Ranville). Ce type d'engin, en forme de triangle, est observé, photographié et filmé par les équipes de vigie depuis des années dans ce secteur : cf. les blogs Ufo-Génpi ou de Normandie - France – Ovnis.

    02 Témoins. Source : Mab Den Le fils de l'Homme.

     

     

    (2) Bénouville - La situation du château de Bénouville, se singularise dans une ancienne boucle du fleuve Orne, où les animaux sauvages (ragondins et sangliers), se regroupent (les nuits les plus claires de la pleine Lune), ainsi que les apparitions des ovnis, dont les trajectoires se croisent singulièrement au-dessus de son parc forestier de 15 hectares. [NFO].

     

    Mars 1851   -   Une découverte   -   Ces jours derniers, en la commune de Bénouville (à 8 kilomètres environ de Caen), parmi des terres fraîchement remuées, il a été trouvé une pièce de monnaie de cuivre d'une belle conservation et fort rare, un futins Coesar, Cette pièce, — qui date de plus de 19 siècles, —  appartient à M. le curé du village et a pris place dans la collection où ce numismate distingué conserve précieusement divers objets d'origine romaine découverts par lui ou sur ses indications dans la même commune. (source : L’Indicateur de Bayeux);

    Juin 1881  - La comète - Une comète est en ce moment visible. Les superstitieux voient à tort dans l'apparition de cet astre un présage de calamité publique. Les comètes sont un monde en feu, comme l'a été autrefois la terre. La queue de la comète actuelle est de plusieurs millions de lieus. Elle est très éloignée de la terre, et sa marche est vertigineuse. [USHC].

    [La conception des étoiles filantes, des comètes, des aurores polaires, des lueurs célestes inhabituelles, etc. diffère pour les Anciens de celle des Modernes, qui les appelaient des Météores (= esprits de lumières célestes) et qui les identifiaient à des entités spirituelles et non à des objets matériels ou phénomènes physiques. NFO].

    Bény-Bocage (14)

    Mai 1901 - Mutilation d'arbres  - Un individu resté inconnu a coupé 300 jeunes pommiers, à environ 80 centimètres du sol, dans une pépinière appartenant au sieur Alexandre Murie, propriétaire à Bèny-Bocage. (Source : Le Bonhomme Normand).

    [Les mutilations relèvent de la catégorie des sacrifices propitiatoires, des pratiques incantatoires et évocatoires magico-occultistes du sadisme-masochisme, lié au rite du baptême du sang, d'où la pratique de l'égorgement de certains rites fanatiques, religieux ou idéologiques. NFO]. 

    (1) Bernay (27) - 08/11/1979 - de 19 h 30 à 19 h 50 / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 

    Le conducteur d’un train de marchandise allant de Bernay (27) à Lisieux (14), Mr. Malassigne, 33 ans, Agent SNCF, a son attention attirée par un phénomène lumineux. Ils observent assez éloigné (à 2km et à une altitude de 1000 m) un objet lumineux de couleur rouge ayant la forme d’une boule de la grosseur approximative de la pleine lune qui descend sur une trajectoire verticale à vitesse lente. Un halo entoure l’objet. Elle laisse au cours de sa descente une sorte de trainée grisâtre qui disparaît presque immédiatement. Le conducteur ralentit alors son train pour mieux observer. Arrivée à environ une centaine de m du sol l’objet s’éteint progressivement et il ne reste plus alors qu’un point brillant de la taille d’une balle de tennis de table qui continue sa descente. Le second chauffeur confirme l’observation. 02 Témoins. Source :  LDLN 263 /264.

    (2) Bernay (27) - L'Entaillé - / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 

    Eure (27) : secteur de Bernay, dans la nuit du vendredi 28 au samedi 29 août 2020, un cheval a été attaqué, son corps a été entaillé.

    Source : paris-normandie.fr/actualites.

     Bernesq (14)

    Octobre 1874  - Éclipse -  Le 10, il y aura une éclipse partielle de soleil, visible dans le Calvados. [USHC].

    Juillet 1887 -       Une cloche.  -       L'église de Bernesq possédait une curieuse cloche portant la date de 1412. Cette cloche était brisée et devait être remplacée.

    Nous apprenons avec plaisir, qu'elle a été achetée par M. l'abbé Reverony, vicaire général du diocèse, et qu'elle sera conservée comme objet d'antiquité.   [USHC].

    Mars 1904 -  Vengeances stupides - Un malfaiteur s'est introduit, la nuit, dans la ferme de la dame Levavasseur, à Quétiéville, près Mézidon. Avec un couteau, il a fait une blessure de dix centimètres à la cuisse d'une jument valant plus de 3 000 francs.

    La nuit suivante, le même triste individu est encore entré dans l'écurie et a lâché la jument dans un herbage, après l'avoir blessée de nouveau. Plainte a été portée contre l'auteur de ce lâche attentat qu'on croit connaître.

    — Un nommé Paul Leliévre, 38 ans, journalier à Bernesq, près Trévières, voulant se venger du sieur Yon, son beau-père, lui avait mutilé cinq vaches. Le tribunal de Bayeux vient de le condamner à 8 mois de prison et à 500 francs d'amende. (Source : Le Bonhomme Normand). 

    Bernières-le-Patry (14)

    Août 1904 - Éclipse - Les astronomes annoncent une éclipse de soleil pour le 30 août prochain. Elle ne durera que 4 minutes. 

    Dans notre région, l'astre paraîtra mince comme un croissant de lune. On prédit aussi une grande chaleur pour ce jour-là. Nous verrons bien. (Source : Le Bonhomme Normand). 

    Janvier 1903 -Tremblement de terre -   La semaine dernière, dans la matinée de mercredi, un tremblement de terre , qui a duré quatre secondes environ, a été vivement ressenti à Vassy, Bernières-le-Patry et dans les environs.  (Source : Le Bonhomme Normand).

    Juillet 1899 -  Vengeance ou stupidité

    Un malfaiteur inconnu a pénétré dans un herbage, à Ouistreham, appartenant à M. Moisson, propriétaire à Caen, et a coupé la queue à l'un de ses bœufs. 

    — On a mutilé pour 15 fr. d'arbres à M. Adrien Liais, propriétaire à Hérouville-Saint-Clair, près Caen. 

    — On a mutilé une vache au sieur Albert Legrain, propriétaire à Bernières-le-Patry, près Vassy. (Source : Le Bonhomme Normand).

    [Les profanations et les mutilations sont des pratiques sacrificielles des occultistes nécromanciens - NFO].

    [La tradition explique les comportements débordants, antisociaux, ou agressifs, sadiques par les phénomènes de hantises ou de possession liés au parasitage psychique exercé par des éthérés noosphériques. NFO].

    [De même que les comportements inhumains, ou morbides. NFO].

    Bernières-sur-Mer (14)

    Les crop-circles des chenilles noires

    Juillet 1842 - Nouvelles locales -  Il paraît que les abondantes pluies versées, depuis quelques jours, sur notre plaine, ont détruit en très grande partie, ces myriades de petites chenilles noires qui ravageaient tous les colzas et les menaçaient même, dans quelques contrées, d'une dévastation complète.

    Aussi nos cultivateurs qui, dans la crainte d'être obligés de semer une seconde fois, avaient fermé leurs magasins de graines au commerce, commencent-ils à les lui rouvrir.

    La plus grande partie de cette plante précieuse est sauvée et presque partout elle présente le plus magnifique développement. Il est assez remarquable qu'aucune pièce de terre plantée en colza, quelque petite qu'on la suppose, n'a été dévorée entièrement par les insectes dont nous parlons, et qu'ils se sont contentés, au contraire, d'y marquer leur funeste passage en les dépouillant partiellement, tantôt de deux sillons, tantôt en losange, en écharpe, en zig-zag, tantôt en y laissant juste au milieu, un grand vide quasi circulaire. Tout le monde a pu vérifier ce fait, que nous avons nous-même été a portée de constater, sur une vaste étendue de terrain. (source : L’Indicateur de Bayeux).

    Octobre 1843   -   Nouvelles locale   -  En Basse-Normandie, l'existence de phénomènes de la nature, que depuis le commencement de l'automne ils se sont multipliés autour de nous.  Beaucoup d'arbres d'espèces diverses se sont parés d'un second feuillage, et dans plusieurs communes du Pays-d'Auge, voire même sur la route de Caen à Lisieux, on remarque en ce moment certains pommiers tout couverts de fleurs parmi d'autres qui menacent de se rompre sous le poids des fruits maintenant à peu près murs dont, par extraordinaire, ils sont surchargés cette année jusqu'à l'extrémité des branches les plus frêles et les plus délicates en apparence. (source : L’Indicateur de Bayeux).

    [Le Grand Esprit tentaculaire de la nature (Wood Wide Web, le réseau internet de la forêt) communique avec l'espèce humaine au travers des Crop-Circles, élaborés à partir du langage universel des symboles  (après les ronds de sorcières et les cercles de fées). NFO].

    Novembre 1844 - Nouvelles locales -  Des phénomènes de végétation, que beaucoup de gens regardent comme l'indice certain d'un hiver rigoureux, se font remarquer cette année dans le midi de la France. Non seulement des poiriers et des amandiers sont en pleine floraison dans plusieurs localités des environs, mais on voit des fleurs de lilas aussi belles et aussi parfumées qu'au mois d'avril. (source : L’Indicateur de Bayeux).

    [L'émergence des Portes Induites/Vortex/Pontifex/Portex/ Puits à énergie potentielle, génèrent des mutations singulières. NFO].

    Juin 1847 -   Nouvelles locales  -  Malgré les conseils sans cesse répétés, il se trouve encore des personnes qui, en temps d'orage, vont chercher abri sous quelques arbres, elles en sont  toujours victimes.

    On assure cependant que le hêtre n'est jamais frappé de la foudre, et même qu'il l'éloigne. Les naturels de l'Amérique septentrionale ont, dit on, l'habitude de se réfugier sous cet arbre et il n'y a pas d'exemple qu'ils aient jamais été atteints.

    Ce phénomène est digne de fixer, l'attention des observateurs. C'est un fait, facile à vérifier et qu'en tout, cas on doit faire connaître surtout aux habitants des campagnes. ( source : Journal  de Honfleur).

    Octobre 1847 -  Nouvelles locales - Dimanche dernier entre neuf et dix heures du soir, l'horizon était bordé de nuages noirs et épais au-dessus d'eux, une lueur rouge foncé s'étendait du nord à l'ouest, sur une grande largeur, laissant entrevoir les étoiles comme à travers un voile. On eût dit du reflet d'un immense et violent incendie.

    Ce phénomène, qui répandait une lueur sinistre dura une demi heure environ et s'éteignit par degrés.

    Il a été observé à Bayeux, à 8 heures et demie dit l’ « Écho Bayeusain ».

    Les pêcheurs français qui étaient à la mer en tirèrent le présage de mauvais temps, ils se hâtèrent de regagner le port, et en effet le vent souffla jusqu'au jour avec violence et par rafales, en même temps que la pluie tombai à torrents.

    Les marins se rappellent avoir remarqué un semblable fait, il y a quatre ou cinq ans. (source : Journal de Honfleur).

    Novembre 1848  -  Une aurore boréale -   Vendredi soir, une aurore boréale a attiré l'attention des habitants. Le ciel qui était entièrement couvert de nuages, devint tout-à-coup d'un rouge feu et présenta un spectacle fort rare dans nos contrées. Quelques personnes croyaient à un incendie, mais bientôt elles furent désabusées, ce phénomène dura a peu près vingt minutes. (source : L’Indicateur de Bayeux).

    Juin 1850  -  Nouvelles locales  -  Le météore du 3 juin que nous avons mentionné dans notre dernier numéro, a été vu dans toutes les villes, ou pour mieux dire dans toutes les contrées à l'ouest, au nord et à l'est, de Paris, dans un rayon de 40 à 50 lieues, à la même heure et sous la même forme.  (Source :   Le Journal de Honfleur). 

    Octobre 1859  - Une aurore boréale - Samedi soir, on a observé, vers huit heures et demie, dans la direction du nord-ouest, sur les côtes de la Seine-Inférieure, du Calvados et de la Manche une aurore boréale. Elle a commencé par des rayons blanchâtres, qui se sont confondus en une masse orangée, d'une clarté assez vive. Ce spectacle a duré environ cinq minutes. (Source : Le journal de Honfleur).

    Octobre 1868  - Un phénomène - Un curieux phénomène s'est produit mercredi, vers minuit. Les quelques personnes qui, à cette heure avancée, se donnaient le plaisir de la  promenade, ont aperçu dans l'espace un magnifique météore qui apparaissant dans la direction de l'est est allé disparaître derrière les hauteurs du bois de Rocques.

    Sa forme était celle d'un globe de transparence blanche, traînant à sa suite une longue bande d'un rouge étincelant, illuminant le paysage comme une vive lumière électrique.

    La marche peu rapide de ce bolide a permis à ceux qui l'ont aperçu d'admirer son éclat.

    Son passage est signalé dans plusieurs villes. À Caen son passage n'a été annoncé par aucun bruit, tandis qu'à Rouen, on a entendu une forte détonation; [USHC].

    Janvier 1938 - L’aurore boréale d’hier a été particulièrement brillante - Hier soir, vers 19 h. 15, nos compatriotes furent vivement intrigués par l'apparition dans le ciel de grandes bandes rougeâtres qu'ils prirent tout d'abord pour les reflets d’un incendie lointain. Leur erreur fut de courte durée. Le développement du phénomène sur tout l'hémisphère nord ne permit plus d'hésitation. Nous nous trouvions en présence d'une immense aurore boréale.

    On voyait dans le ciel de grandes plaques lumineuses, disposées en ellipses dont les grands axes convergeaient vers le pôle magnétique. Ces plaques, d'un rouge sombre, s'étendaient principalement dans la partie du ciel comprise entre 45° et 90° de hauteur. Elles paraissaient plus particulièrement denses dans les régions nord-ouest et nord-est, probablement par un effet de perspection.

    Les bandes lumineuses ne se prolongeaient pas jusqu'à l'horizon, elles se déployaient autour d'un demi-cercle ayant pour centre le Nord magnétique. Ce demi-cercle n'était pas par  lui-même très brillant, il était cependant signalé par une luminosité vague diffuse, dont la teinte, très variable, s'apparentait généralement aux couleurs centrales du spectre solaire, le Lieu, le vert et le jaune.

    Les rayons lumineux qui s'étendaient en éventail autour du demi-cercle, avaient généralement une longueur de 5 à 6 degrés. Ils conservaient constamment la couleur rouge sang, mais étaient cependant traversés de temps à autre par des bandes blanchâtres très lumineuses.

    De prime-abord on eut pu supposer que l'on se trouvait en présence de nuages colorés. Mais la vision distincte des étoiles à travers les plaques rougeatres démontrait nettement que l'on se trouvât en présence d'un phénomène optique survenant dans une atmosphère très pure.

    L'aurore produisait une luminosité générale comparable à celle d'un faible clair de lune. Théoriquement la nuit eut dû être très obscure. L'aurore boréale justifiait pleinement le nom que fut ont donné ses premiers observateurs dans les siècles passés.

    Le phénomène n’était pas continu. A plusieurs reprises, spécialement vers 20 h. 15, il s'est presque complètement évanoui. Lorsqu’il a reparu, on a pu constater que les lueurs rouges se déplaçaient progressivement vers le zénith. A partir de 21 h. 15, elles ne furent plus visibles que par intermittence à l’horizon.

    Les aurores boréales ont pour siège la haute atmosphère, à une altitude qui dépasse parfois 200 kilomètres. De tout temps, on les a considérées comme des phénomènes magnétiques, à cause de leur influence sur la boussole et de leur localisation autour du Nord magnétique, sans pouvoir d'ailleurs en fournir une explication. Actuellement, on expliquerait leur origine par un bombardement des particules de la haute atmosphère par des électrons provenant du Soleil.

    Les phénomènes de ce genre sont très fréquents dans les régions polaires, ils sont au contraire très rarement visibles dans nos régions. La dernière observation faite dans le Calvados remonte au 9 septembre 1898. Encore convient-il d'observer que l'aurore boréale de 1898 fut très inférieure en grandeur et en beauté au magnifique phénomène qui s'est manifesté le 25 janvier 1938. (Source : Le Moniteur du Calvados).

    Octobre 1938  -   Est-ce un bolide ? -   On a signalé qu'un météore est apparu dans le ciel dimanche soir, vers 20 h. 30, et qu'il a été vu dans toute la région de l'Ouest, de Nantes à Quimper .

    Le même phénomène a été constaté en Basse-Normandie, où on aurait observé à l'heure indiquée, une grande lueur bleuâtre vers le sud, accompagnée d'une traînée lumineuse traversant le ciel de nord-ouest en sud-ouest. Une détonation se serait fait entendre au même moment.

    Il ne peut être question, à notre avis, que d'un bolide, en raison de la rapidité avec laquelle ce météore a parcouru sa trajectoire. La parole est aux astronomes. (Source  : Le Moniteur du Calvados).

    [Les épisodes orageux, le phénomène de la foudre, ouragans, tempêtes, ou les aurores polaires et les lueurs célestes inhabituelles, accompagnent généralement l'émergence des Portes Induites/Vortex/Pontifex/Portex/ Puits à énergie potentielle. NFO].

    Betteville (76) - 23/02/2018 - à la tombée de la nuit / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    Le 23 février 2018, à la nuit tombée, un ovni bleuâtre a été filmé au-dessus de Betteville  (Seine-Maritime), en Normandie.

    Le témoin, connu sous le pseudonyme de « Noam Titi », raconte ce qu'il a vu :

    « L'objet restait fixe à un moment puis s'est rapproché brusquement 10 secondes après avant la prise de vidéo. Il commence vert puis finit blanc dans la vidéo ! » Noam Titi. 01 Témoin. Source : Christian Macé.

    Beuzeville (27) - Du Balai 

    Mandement de Jehan de Rosel, lieutenant général du bailli de Cotentin, au vicomte de Carentan, du 09 juillet 1459 : rechercher et appréhender à Beuzeville, Jehanne La Verrière, soupçonnée d'avoir commis plusieurs cas de crimes d'hérésie et d'avoir chevaucher le balai.

    Source : Bibliothèque Nationale, Mss. Fr. 26086, Pièce 7295.

    Beuzeville-la-Guérard (76) - octobre - novembre 1954 - à la nuit tombante environ 19 h 30 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    Entretien du 04/09/1984 :  Témoins : Mme Micheline Deschamps et sa mère (déciédée) et des voisins (décédés).

    Nous revenions ma mère et moi ; de faire des achats à Ourville - en - Caux et nous nous dirigions vers Thiouville. Nous montions une côte ( lieu-dit : Les Arbres Hauts) à pied en tenant nos bicyclettes à la main, à la nuit tombante environ vers 19 h 30.

    Soudain notre attention fût attirée par une lumière vive sur le côté gauche. La lumière était violente et semblait faire des à-coups. Elle éclairait le dessous d’un objet d’apparence métallique terne (pantone 410 U).

    Je ne voyais pas le haut de l’objet qui était caché par le feuillage des arbres. L’objet émettait une lumière violente ainsi qu’un sifflement aigu et gênant.

    L’objet s’est déplacé parallèlement à nous et est sorti du rideau d’arbres, nous l’observions maintenant entièrement.

    Il avait la forme d’un abat-jour et il a pris la direction de Cliponville assez rapidement, nous distinguions alors dans le ciel une masse sombre avec des lumières.

    Il s’est éloigné et n’avons plus vu qu’un point lumineux puis plus rien.

    Nous sommes remontées sur nos bicyclettes en nous empressant de rentrer, nous n’avions nullement envie de revoir l’objet.

    L’objet se déplaçait très rapidement à une vitesse régulière dans la direction Nord-Sud.

    Il était de la taille d’une automobile et se trouvait environ à six mètres du sol et à dix mètres des témoins, qui n’ont rien ressenti physiquement, et leur observation a duré environ cinq minutes. Plusieurs Témoins. Source : Enquête de Christian Soudet. LDLN n° 235.

    La Voie Romaine

    A l’époque romaine, le site est traversé par la voie de Lillebonne à Boulogne par Grainville. Bosevilla est mentionné à la fin du XIIème siècle. Le village jouit d’une église dès le XIème siècle. Au Moyen Âge, la terre de Beuzeville est un fief de haubert. Des premiers seigneurs subsistent le qualificatif Guérard, accolé au nom du village. Entre le XIVème et XVIème siècles, le territoire est détenu par différentes familles alliées, qui deviennent propriétaires par union ou par héritage : les familles de Canouville en 1397, de Mares dans le courant du XVème siècle, de Quenouville en 1503, Deschamps dans le courant du XVIème siècle, puis Leroux vers le milieu du XVIIème siècle. Le village est aujourd’hui un bourg agricole. Source : Côte d'Albâtre.

    (1) Bierville (76) - 24/10/1987 - 22 h 51 / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 

    Veillée Ufologique du 24/10/1987 - Délégation LDLN de Seine - Maritime (76)

    Site : Bierville -Durée de 21 h à 2 h - 10 participants.

    Résultat : 22 h 51 apparition d’un point orangé qui fait des pirouettes dans le ciel sans aucun bruit. Durée de l’observation environ 2 minutes en plusieurs apparitions. Traversée du ciel du N. O. à E.  en moins de 3 secondes puis s’éteint vers le sol. Aucune explication cohérente.

    10 Témoins. Source : LDLN n° 285-286.

    Si nous n'avions rien observé ce 04 avril, aucun commentaire n'aurait été fait sur un fait qui s'est produit 03 jours plus tôt à 23 h 30 dans ce même site.

    En effet, un collègue de travail, habitant Bierville m'avait signalé avoir vu le 1er avril une boule blanche assez importante.

    Cette boule remontait en pente douce un angle de  20 à 30 degrés. Elle était apparue au-dessus du toit de la maison de son voisin (08 m de hauteur ; elle émit 03 ou 04 flashs à 02 secondes d'intervalle avant de s'éteindre comme une ampoule. 01 Témoin. Source : Cercle LDLN de Seine-Maritime.  LDLN n ° 239.

    (2) Bierville (76) - Les Chasseurs d'Ovnis + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 

    De Forges - les  - Eaux à Pierrval (76)

    21 h 45 : Le vendredi 04 avril, je regardais la télévision lorsque le téléphone sonne. Un ami ufologue de notre groupe, Charles, habitant Forges - les - Eaux, m'annonce qu'avec sa femme, ses trois de ses enfants et une amie, ils observent une forme qui oscille à basse altitude.

    A la jumelle, cela ressemblait à une assiette renversée avec un genre d'antenne sur le dessus. (Nous avons retrouvé dans nos archives une photo qui fut prise à Rouen, le 05 mars 1954, d'un objet similaire) - Note ufo-Génpi : cette photo de Rouen, prise soi-diant par un pilote de chasse, le 5 mars 1954, ou le 12 mars 1954, ou 1957, est un resucé des photos de Mac-Minville, prises le 11 mai 1950 ; toutes ces hotographies sont des montages des Sévices d'Etat Secrets qui, depuis toujours, accéditent dans la coulisse avec le divulgation publique ce genre de faux (et avec la fuite volontaire de faux rappots secrets), la thèse supposant des vaisseaux extraterrestres conventionnels, visiteurs de notre planête, afin de dissimuler une réalité occultée.

    Charles : " A 21 h 35, en ouvrant les volets de ma chambre, j'aperçus à hauteur des arbres une grosse boule orangée qui se déplaçait, descendait et remontait très lentement. Cette boule se trouvait à 242° ouest, 20 à 25° de hauteur angulaire.

    J'ai donc pris mes jumelles, au-début, je ne voyais qu'une boule se balançant, mais au bout de 02 à 03 minutes, cette boule s'est penchée et, là, à ma grande surprise, j'ai vu nettement une forme de "soucoupe" ; je n'aime pas employé ce terme, mais c'est exactement ce que j'ai vu, une soucoupe avec à son sommet une antenne.

    J'ai donc appelé ma femme et mes enfants pour qu'ils me disent ce qu'ils voyaient. C'était la même chose. A 21 h 45, je me suis décidé à appeler le responsable régional de LDLN.

    Celui-ci, n'était pas étonné de mon appel, car lui aussi à ce moment-là observait une boule dans le ciel.

    Nous avons pris rendez-vous pour observer ces phénomènes.

    Je suis parti avec mes deux fils. Pendant quelques kilomètres j'observais, légèrement sur ma droite cette "chose" mais avant d'arriver à Buchy, celle-ci s'est déplacée et seuls mes enfants pouvaient la voir.

    Nous avons perdu la trace de l'ovni et sommes arrivés au rendez-vous fixé avec mon ami ufologue."

    22 h10 : Rencontre avec Charles et ses deux fils. Nous quittons la RN 25 et nous nous enfonçons de 500 mètres dans la campagne pour être tranquilles.

    De là, nous observons tout d'abord une toute petite boule blanche qui parcourt les airs à très basse altitude (environ 25 °) sans clignoter, sans changer d'éclat, sans bruit, en tout durant une bonne minute.

    Nous apercevons une série de flashs lumineux, blancs de grande envergure venant de l'autre côté de la RN 88. En même temps, nous voyons une boule rouge au-dessus d'un bosquet. Après nous être assurés que ces flashs n'émanent pas de phares de voitures (ceux-ci sont trop petits par rapport au rayon de ce flash), nous partons en direction du lieu où se situe cette boule, traversons la nationale et nous nous arrêtons, feux éteints, pour attendre un nouvel éclair, et nous diriger vers lui.  Celui-ci ne tarde pas, il ne semble pas loin. Nous remontons en voiture, parcourons encore 700 m et stoppons près d'un château d'eau.

    Au bout de quelques secondes, nous apercevons un engin assez important qui s'envole de derrière le château d'eau en prenant la direction de l'est.

    A la jumelle, cet engin, à relativement peu de distance de nous (moins de 100 m) nous parait énorme, d'aspect solide, sans halo mais habillé de 02 grosses lumières blanches à l'avant, 02 oranges vers l'arrière, et une sorte de gyrophare en bout dont la luminosité augmente et diminue sans arrêt et très lentement.

    Cet objet disparaît après avoir fait un cercle de 180 degrés, d'ouest où a débuté l'observation, en est où elle s'est terminée.

    Nous sommes retournés ensuite à notre premier poste d'observation. Plus rien n'a été observé, la boule rouge avait bel et bien disparu et plus aucun flash ne fut émis.

    Nous sommes retournés dès le lendemain sur les lieux. A priori, il n'y a pas eu d'atterrissage, aucune trace n'ayant été trouvée dans l'immense plaine autour du château d'eau.

    Si nous n'avions rien observé ce 04 avril, aucun commentaire n'aurait été fait sur un fait qui s'est produit 03 jours plus tôt à 23 h 30 dans ce même site.

    En effet, un collègue de travail, habitant Bierville m'avait signalé avoir vu le 1er avril une boule blanche assez importante.

    Cette boule remontait en pente douce un angle de  20 à 30 degrés. Elle était apparue au-dessus du toit de la maison de son voisin (08 m de hauteur ; elle émit 03 ou 04 flashs à 02 secondes d'intervalle avant de s'éteindre comme une ampoule. 07 Témoins. Source : Cercle LDLN de Seine-Maritime.  LDLN n ° 239.

    (1) Biéville-Beuville (14) - Calvados - Normandie - France - 21/10/1954 - aux environs de 21 h + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 

    Les Ovnis et les V1 en Normandie

     

     

    Les Ovnis et les V1 en Normandie

    Mr. Jeanne, cultivateur, adjoint au Maire de Beuville, celui-ci, ainsi que plusieurs de ses administrés a entendu aux environs de 21 h un bruit anormal qui lui rappela le son très caractéristique des V1, ces fusées meurtrières que l’Allemagne à l’agonie envoyait pour bombarder l’Angleterre où ils provoquèrent de grosses pertes et qui sillonnaient le ciel de Normandie, lors de la bataille du Débarquement.

    Mr. Jeanne en a gardé un souvenir très précis.

    La fille de Mr. Jeanne, Melle Maud, 17 ans, sortit aussitôt et aperçu une boule blanche qui disparaissait à l’horizon en direction d’Epron. Notons enfin qu’un peu après, selon les déclarations de Mr. Jeanne, celui-ci aperçut un avion à réaction normalement éclairé survolant Épron.

    Faut-il relier cet événement aux autres observations d'engins insolites réalisées à Éperon et à Caen, le même jour et vers 21 h, concomitante au survol d'avions à réaction. Plusieurs Témoins. Source : Ouest-France des 23 et 24/10/1954.

    (2) Biéville-Beuville (14) - Calvados - Normandie - France - 13/08/1978 - entre 21 h 45 et 22 h 30 + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 

    Entre 21 h 45 et 22 h 30 une famille a observé une lumière jaune dix fois plus brillante qu’une étoile se déplaçant du S/E au N/O.

    Plusieurs Témoins. Source : L’Éveil de Pont-Audemer du 17/08/1979.

     Les Pierres Branlantes
     
    Les Pierres Branlantes sont un monument mégalithique situé à l'extrémité de la rue des Deux Pierres, à l'est de la commune de Biéville-Beuville dans le département du Calvados. Le monument 1,90 x 3,50 x 0,50 et 1,95 x 3,35 x 0,47,
    Matériaux Calcaire Bathonien, est constitué de deux grosses pierres posées en angle droit comportant plus de 60 cupules. Elles pourraient être les vestiges d'un dolmen partiellement détruit dont la table aurait disparu. Le mégalithe dit "les Pierres Branlantes" fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 24 mai 1958.

    Des fouilles récentes dans la ville ont permis de retrouver à proximité un autre dolmen et de découvrir une allée sépulcrale de la fin du néolithique. D'après la légende, les pierres s'agiteraient lorsque les douze coups de minuit ou de midi sonnent à l'église de la paroisse. Comme pour de nombreuses autres pierres remarquables, on a raconté que des trésors y étaient enfouis et on y a remué le sol sans succès. On raconte aussi que le mégalithe renfermerait une petite caverne nommée la chambre aux fées. Les Pierres Branlantes doivent leur nom à une légende indiquant que ces mégalithes s'agitent lorsque sonnent l'angélus et les douze coups de minuit.
     

    L'allée sépulcrale Biéville-Beuville

     Les Pierres Branlantes ou Tremblantes à Cupules de Beuville (14)

     

    [Depuis les époques les plus reculées de la préhistoire, l'office des devins, mages, spirites, voyants, qui perpétuent le culte ancestral des morts, est de consulter les esprits, avec l'édification de temples voués à la pratique animiste/chamanique de la nécromancie, de la transe médiumnique possessive des occultistes par les entités éthérées métamorphes, goules parasitaires et mânes nécrophages, ou âmes (noosphères) vagabondes immanentes, qui parodient les esprits des morts tout en se repaissent des effluves des corps vivants ou en décomposition. NFO].

    Biéville-Quétiéville (14) 

    Mars 1904 - Vengeances stupides - Un malfaiteur s'est introduit, la nuit, dans la ferme de la dame Levavasseur, à Quétiéville, près Mézidon. Avec un couteau, il a fait une blessure de dix centimètres à la cuisse d'une jument valant plus de 3 000 francs.

    La nuit suivante, le même triste individu est encore entré dans l'écurie et a lâché la jument dans un herbage, après l'avoir blessée de nouveau. Plainte a été portée contre l'auteur de ce lâche attentat qu'on croit connaître.

    Un nommé Paul Leliévre, 38 ans, journalier à Bernesq, près Trévières, voulant se venger du sieur Yon, son beau-père, lui avait mutilé cinq vaches. Le tribunal de Bayeux vient de le  condamner à 8 mois de prison et à 500 francs d'amende. (Source : Le Bonhomme Normand).

    [La tradition explique les comportements débordants, antisociaux, ou agressifs, sadiques par les phénomènes de hantises ou de possession liés au parasitage psychique exercé par des éthérés noosphériques. NFO].

    Blainville-Crevon (76) - 05/03/1974 - 21 h / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    Le témoin circule en voiture entre Rouen et Boissay. Juste après la côte de Blainville il aperçoit à travers les buissons bordant la route une boule verte extrêmement lumineuse. Il ralentit. La boule s'ovalise tout en lançant des étincelles orange. 01 Témoin. Source : Ils ont rencontré des extra-terrestres - Pacaut René  -1978.

    (1) Blainville-sur-Orne (14) - Calvados - Normandie - France - 16/11/1978 - vers 02 h / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    Mme Louisette C. (68 ans) venant de Caen, circulant en voiture le long du canal de Caen à Ouistreham, en compagnie de son petit-fils R. C. (22 ans) aperçoit une sphère lumineuse rouge à la hauteur du bois du parc du château de Bénouville, son petit-fils lui demande alors de revenir en arrière pour l'observer, et voient alors tous les deux un gros phare de lumière qui balaient les environs plongés dans la brume dans leur direction. Peu rassurés ils continuent leur route.

    Sensiblement à la même heure, toujours sur la même route, la D515, Mme Louisette C., le 16/11/1978, seule au volant de sa voiture, alors que le ciel est couvert, observe deux lumières clignotantes blanches plus grosses que les étoiles moyennes, qui clignotaient de façon synchrone, d'abord fixe au-dessus d'Hérouville - Saint - Clair, puis en mouvement et qui paraissent l'accompagner sur environ 10 km, sur la route de Blainville-sur-Orne  jusqu'à Bénouville.

    02 Témoins. Source : Enquête Génpi.

    (2) Blainville-sur-Orne (14) - Calvados - Normandie - France - 08/11/1978 - vers 02 h / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    Un Phare dans la Nuit !

    Mme Louisette C. (68 ans) venant de Caen, circulant en voiture le long du canal de Caen à Ouistreham, en compagnie de son petit-fils R. C. (22 ans) aperçoit une sphère lumineuse rouge à la hauteur du bois du parc du château de Bénouville, son petit-fils lui demande alors de revenir en arrière pour l'observer, et voient alors tous les deux un gros phare de lumière qui balaient les environs plongés dans la brume dans leur direction. Peu rassurés ils continuent leur route.

    (3) Blainville-sur-Orne (14) - Sensiblement à la même heure, toujours sur la même route, la D515, Mme Louisette C., le 16/11/1978, seule au volant de sa voiture, alors que le ciel est couvert, observe deux lumières clignotantes blanches plus grosses que les étoiles moyennes, qui clignotaient de façon synchrone, d'abord fixe au-dessus d'Hérouville - Saint - Clair, puis en mouvement et qui paraissent l'accompagner sur environ 10 km, sur la route de Blainville-sur-Orne  jusqu'à Bénouville.

    02 Témoins. Source : Enquête Génpi.

    (4) Blainville-sur-Orne (14) - Disparition / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    L'alerte a été donnée lorsqu'un femme célibataire n'est pas venue cherché son enfant à l'école de Blainiville-sur-Orne, le 25/01/2018.

    Une caméra de surveillance l'a filmé traversant à vélo le pont Pégasus de Bénouville, à 2 km, au nord-est/est de son domicile.

    Elle a été retrouvée, errante et les yeux agars, à 25 km, au nord-ouest/ouest de son domicile, à Magny-en-Bessin, signalée par des habitants, le 27 janvier 2018. Source : Normandie-Info.

    [Les disparitions inquiétantes de personne sont mortelles dans 29 % des cas, provisoires dans 30 % des cas et continuelles ou définitives dans 41 % des cas. La concordance territoriale entre les épicentres des apparitions des ovnis et les disparitions inquiétantes accrédite la thèse de l’ingérence parasitaires des exogènes-polymorphes comme principaux acteurs de ces disparitions, de même que le factuel des états somnambuliques des personnes disparues/retrouvées et qui montrent les symptômes identiques de désorientation, d’amnésie, de perturbation psychique, de missing time, etc. des RR4 ou des phénomènes dits des abductions ufologiques. NFO].

    Castrum-Templum

     

     

    Un oppidum gallo-romain était situé sur un éperon rocheux dominant la vallée du Dan. Des vestiges ont été retrouvés en contrebas datant de l'époque où ce bras du Dan était navigable. Source : Wikipédia.

    Blangy-le-Château (14)

    Janvier 1848 - Nouvelles nationales -  II y aura pendant l'année 1848, quatre éclipses de soleil et deux éclipses de lune.

    Aucune des premières ne sera visible à Paris. Les deux ellipses de lune seront toutes deux visibles chez nous, la première totale le 19 mars, la seconde partielle le 13 septembre. (source : Journal de Honfleur).

    Octobre 1891 - Vandalisme - Une nuit de la semaine dernière, des malfaiteurs inconnus se sont introduits dans le cimetière de Blangy, ont détérioré plusieurs tombes et enlevé une photographie et un cadre d'une valeur de 3 francs.  (Source : Le Bonhomme Normand).

    Octobre 1896 - Disparition -  Le sieur François Follebarbe, berger chez le sieur Pierre Heurtevent, à Blangy, est disparu depuis le 1er octobre. (Source  : Le Bonhomme Normand).

    [Les disparitions inquiétantes de personne sont mortelles dans 29 % des cas, provisoires dans 30 % des cas et continuelles ou définitives dans 41 % des cas. La concordance territoriale entre les épicentres des apparitions des ovnis et les disparitions inquiétantes accrédite la thèse de l’ingérence parasitaires des exogènes-polymorphes comme principaux acteurs de ces disparitions, de même que le factuel des états somnambuliques des personnes disparues/retrouvées et qui montrent les symptômes identiques de désorientation, d’amnésie, de perturbation psychique, de missing time, etc. des RR4 ou des phénomènes dits des abductions ufologiques. NFO].

    Octobre 1926 -  Vandalisme  - Une grande quantité de choux ont été coupés en profondeur sur le sommet de la pomme et rendus ainsi impropres à la vente, M. Bossey qui éprouve un préjudice d'une centaine de francs à porté plainte. [USHC].

    [Les profanations et les mutilations sont des pratiques sacraficielles des occultistes nécromanciens - NFO].

    [La tradition explique les comportements débordants, antisociaux, ou agressifs, sadiques par les phénomènes de hantises ou de possession liés au parasitage psychique exercé par des éthérés noosphériques. NFO].

    [De même que les comportements inhumains ou morbides. NFO].

    Blay (14)

    Août 1847  - Police correctionnelle de Bayeux  -  Audience du 20 juillet 1847.

    Pour vols de fruits, destruction d'arbres et dévastation de recolles, le nommé Pierre Vimard, âgé de 10 ans, sans état, demeurant à Blay, sera détenu dans une maison de correction jusqu'à ce qu'il ait accompli sa dix-huitième année.

    La nommée Marguerite-Micheline Mayet, domestique, demeurant au Vernay, a été condamnée en deux mois d'emprisonnement pour escroquerie d'une somme de 11 francs, qui lui avait été remise à titre de pot de vin, par suite de l'obligation qu'elle prenait de servir comme domestique. (source : L’Indicateur de Bayeux).

    [Les mutilations relèvent aussi de la catégorie des sacrifices propitiatoires, des pratiques incantatoires et évocatoires magico-occultistes du sadisme-masochisme, lié au rite du baptême du sang, d'où la pratique de l'égorgement de certains rites fanatiques, religieux ou idéologiques. NFO]. 

    Août 1891 - Enlèvement d’enfant - Dans le courant du mois de juillet, une femme appartenant à un cirque demanda à des personnes habitant Blay, près Littry, de leur donner leur petite fille, âgée de 11 ans, pour soigner, disait-elle, ses deux enfants jumeaux nouveau-nés. Après entente sur les conditions, les parents y consentirent. Depuis cette époque, ils  ignorent complètement ce que leur enfant est devenue, le cirque est parti de St-Lo et aucun renseignement concernant leur enfant ne leur est parvenu. Ils ont fait au parquet de Bayeux une déclaration d'enlèvement d'enfant.  [USHC].

    [La tradition explique les comportements débordants, antisociaux, ou agressifs, sadiques par les phénomènes de hantises ou de possession liés au parasitage psychique exercé par des éthérés noosphériques. NFO).

    Mars 1898 -  La foudre - Vendredi, la foudre est tombée sur le clocher de l'église de Blay, canton de Trévières. Les dégâts sont assez importants. Une personne passant en voiture a été comme hypnotisée, et a été assez longtemps à reprendre ses sons. Un journalier a roulé sur lui-même. (Source  : Le Bonhomme Normand). 

    [La conception des Modernes de la foudre (et des orages) diffère de celle des Anciens, qui l’identifiaient à un châtiment divin et céleste (cf. l’Ancien Testament), à l’exemple du foudre de Zeus, représenté par trois rayons, qui leur apparaissait comme une des manifestations sacrées du dieu et correspondait à sa parole, mais également à sa volonté de puissance. Les cadavres foudroyés étaient recouverts de terre et les lieux où la foudre était tombée devenaient un lieu de culte. Désormais, ils se trouvaient comme marqués d'un signe mystérieux que des prêtres, spécialisés dans l'art « fulgural », devaient interpréter pour le commun des mortels. (Dictionnaire de la mythologie grecque et romaine, Paris, Larousse, mars 2017 - Wikipédia). Ce phénomène céleste est aussi l’un des signes de l’ouverture des puits à énergie potentielle des portes induites ou portails multidimensionnels. NFO].

    Blonville-sur-Mer (14)  - Calvados - Normandie - France - 20/08/2000 - 23 h 30/ 23 h 45  / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    « Le dimanche 20 août 2000 à partir de 23h30, au niveau de la forêt de Honfleur, côté littoral en direction de Trouville, je circule avec mon véhicule. La nuit était claire et légèrement étoilée. J’ai remarqué un objet volant en forme de cercle, en position verticale, comprenant au moins une dizaine de fenêtres lumineuses de couleur jaune clair et de même dimension.                                                                                                             

    Entre les fenêtres qui circulaient lentement dans le sens des aiguilles d’une montre, il y avait du vide ou bien c’était transparent. L’objet représentait un cercle d’au moins 50 mètres de diamètre. J’ai remarqué ce phénomène pendant 6 à 7 minutes sur une distance d’environ 8km. Je roulais à une vitesse d’à peu près 70km/h. J’ai observé le phénomène qui était légèrement au-dessus des arbres durant tout le trajet.

    Dès que je suis arrivé aux abords des habitations de Trouville, l’objet avait disparu. Une voiture me suivait mais le phénomène était toujours visible. Ce n’était pas, d’après moi, des lueurs de phare ou même de voiture (très agrandis), même si tout le laissait penser au départ. L’objet ne changeait ni de forme ni de couleur.

    En arrivant à l’hôtel « épi d’or » à Blonville vers 23h45,  je me suis garé dans le parking.

    La nuit était étoilée et lumineuse sans vent et sans nuage. En sortant de mon véhicule, j’ai vu un point rouge d’environ 1cm de diamètre, de genre faisceau laser s’agiter très rapidement et dans tous les sens sur l’ensemble du capot, partie avant de mon véhicule. A partir de ce moment, j’ai aussitôt regardé autour de moi, les immeubles ou les quelques maisons mais il n’y avait absolument personne. J’ai donc ensuite, après environ 20 secondes, relevé la tête et à ce moment précis, à mon grand étonnement, j’ai remarqué exactement le même objet que 10 minutes auparavant. Il était cette fois-ci en position horizontale et non plus verticale, et ce, à au moins 300 mètres au-dessus de moi. Je précise que ce cercle s’est toujours présenté de face mais jamais de profil.

    L’objet était tout d’abord fixe. Les fenêtres tournaient toujours dans le sens des aiguilles d’une montre. Je suppose que le point rouge venait du centre du cercle.

    Lorsque j’ai observé pendant 3 à 4 secondes l’objet, qui était fixe dans le ciel, aussitôt il s’est mis à bouger latéralement dans tous les sens, de la même façon que le point rouge bougeait au-dessus de mon capot.

    Interpellé par ce phénomène, je me suis éloigné discrètement. L’objet avait disparu quand j’ai relevé la tête. Je suis retourné à mon hôtel.

    En conclusion, j’ai été impressionné à la fois par les capacités de camouflage et d’accélération du phénomène qui a eu lieu, en ce qui me concerne, dans un endroit toujours isolé. ». Témoins : 01. Source : P. V. de Gendarmerie. Geipan.

    Tombe templière [Archive locale]

     

    Anomalie chromatique

    Bois - Arnault (27) - Eure - Normandie - France - 25/04/1975 - vers 21 h / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    Vers 21 h 00, la famille Fernandez a pu observer une grosse boule orange se déplaçant du Sud vers le Nord. Tournant sur lui-même très lentement, l’objet changea brusquement de direction et disparut à la hauteur de la moitié d’un sapin. L’objet fut aperçu par plusieurs autres personnes. La famille Lecourturier observa une chose semblable entre 22 h 30 et 22 h 50, qui prit successivement une forme circulaire, puis de fer à cheval, et enfin de quartier de Lune. Plusieurs Témoins. Source : Paris-Normandie du 26 / 27 avril 1975.

    Bois-Guillaume (76) - Forêt Verte à Bois Guillaume - 22/10/2011 - 21 h 15/21 h 30 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    Bonjour,

    J’ai observé un phénomène aérien bien singulier et sortant de l’ordinaire.

    Le 22 octobre 2011, horaire 21 h 15 / 21 h 30, position 1er étage « point vert » situé sur la photo, domicile : 579,

    chemin de la Forêt Verte à Bois Guillaume, Bâtiment B7, 1erétage.

    Je regardais la télévision dans mon séjour (voir schéma de principe), lorsque mon attention a été attirée par un point lumineux (environ ¾ haut de la porte fenêtre / position de départ « point » orange sur la photo aérienne) J’ai pensé qu’il s’agissait d’un hélicoptère qui volait bas, j’habite sur les hauts de Rouen qui est une zone dédiée au passage d’hélicoptère du Samu, Gendarmerie ou EDF, voulant voir cela de plus prêt je me suis précipité et ouvert la porte fenêtre.

    J’ai été stupéfaits de voir une lumière de couleur orange vive (ressemblant à un lumière de candélabre de voirie mais en plus intense), le point lumineux était situé à environ 40 mètres de ma position et à environ 35 / 30 mètres de hauteur par rapport au sol, avec une vitesse constance, une direction rectiligne, sans aucun bruit et aucune forme à part la lumière, lorsque celle-ci c’est introduit dans les nuages ou je l’ai perdu de vu « pointe de la flèche » (sur les hauts de Rouen les nuages peuvent être très bas), j’étais stupéfait de voir qu’une deuxième « lumière » identique suivait la première. Mon observation à durée environ 20 secondes, les deux lumières avaient comme direction Sud / Est vers Nord / Ouest.

     Je ne vous cache pas que j’ai été très stupéfait et angoissé par mon observation, il ne s’agissait pas d’appareils conventionnels tel que des drones ou de lanternes thaïlandaises, j’avais déjà vu des lanternes thaïlandaises celles-ci se déplacent verticalement et au grès du vent. J’exerce la profession d’économiste de la construction j’ai une bonne appréhension des dimensions et des distances.

    J’ai contacté le GEIPAN qui a voulu me faire croire qu’il s’agissait de lanterne thaïlandaise.

    Quatre jours plus tard dans le journal« Paris-Normandie», je lisais que plusieurs observations de phénomène aérien non identifiable avaient été faites sur le Havre, Rouen ou sur les Yvelines en date du 21 octobre 2011 vers 21 h 30 /22 h 30, mais aucune observation en date du 22 octobre. Les autorités avait mentionné qu’il s’agissait d’une météorite rentrant dans l’atmosphère.

    Je me suis rapproché à l’époque d’ufologue de la région et je n’ai trouvé aucun témoignage en date du 22 octobre

    2011. Avez-vous recensé dans votre base de données des observations de phénomène aérien non identifiable ou OVNIS à cette date sur la région de Rouen.

    Je vous remercie par avance de l’intérêt porté à ma demande. Cordialement. Christoph BOULEUX. Source : Grépi

    (1) Bonneboscq (14) - Calvados - Normandie - France - 21/10/1954 - 19  h 30 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    Le 21 octobre 1954, un jeune homme et une jeune fille, situés dans deux quartiers différents de Bonneboscq, ont observé, à 19 h 30, un objet insolite, le même jour et à la même heure que celui qui a décollé d'un herbage, de la commune de Saint - Martin - aux - Chartrains qui se trouve à une distante de 13 km de Bonneboscq. 02 Témoins. Source : Luc Chastan. Presse locale.

    (2) Bonneboscq (14)

    Janvier 1898 - Les voleurs de chevaux - Une jument et un poulain ont été volés par un auteur inconnu, au préjudice du sieur Victor Christophe, propriétaire à Bonnebosq. La perte est évaluée à 600 fr. (Source : Le Bonhomme Normand).

    [Certaines disparitions définitives seraient imputables au franchissement de l’horizon des événements d’une Porte Induite ou puits à énergie potentielle, NFO].

    Bons-Tassilly (14)

    Juin 1946  - Un cultivateur se donne la mort -  Alors qu’il se trouvait chez sa mère, à Ussy, M. Raymond Levavaseur, 43 ans, cultivateur à Bons-Tassilly, a été découvert dans une chambre, la gorge tranchée par un coup de rasoir. Le désespéré devait se marier prochainement. (Source  : Le Bonhomme Libre).

    [La tradition explique les comportements débordants, antisociaux, ou agressifs, sadiques par les phénomènes de hantises ou de possession liés au parasitage psychique exercé par des éthérés noosphériques. NFO].

    [De même que les comportements inhumains, suicidaires ou morbides. NFO].

    (1) Boos (76) - 05/11/1990 (1) / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

    (2) Boos (76) - 05/11/1990 (2) / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

    (3) Boos (76)  - 05/03/1974 - 21 h / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     


    Un témoin observe un objet très brillant dont le diamètre est du tiers de la pleine Lune. 01 Témoin. Source : Ils ont rencontré des extra-terrestres - Pacaut René  -1978.

    (4) Boos (76)  - Le Temple de Vénus / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

    Selon la tradition, l’abbaye est établie sur un ancien temple dédié à Vénus. La fondation semble remonter à l’époque de Clovis II.

    Cette abbaye avait la réputation de pouvoir faire guérir des possédés.

    L'abbesse de Saint-Amand avait le privilège de pouvoir passer l'anneau pastoral au doigt du nouvel archevêque de Rouen. Elle disait alors : « Je vous le baille vivant, vous me le rendrez mort. » De plus, c’est dans l'abbaye que le corps de l'archevêque était translaté avant son inhumation dans la cathédrale.

    Guillemette d'Assy fait élever vers 1520 à côté du manoir de Boos, propriété de l'abbaye, un colombier. 

    L’intérêt de ce colombier est triple. D’une part son architecture, avec un plan octogonal mais une couronne circulaire (toiture), est originale. D’autre part, des céramiques attribuées à Masséot Abaquesne sont visibles : il s’agit de figures et de motifs floraux polychromes. Masséot Abaquesne était l’un des plus célèbres faïenciers de Rouen de l’époque, quand les créations normandes dominaient le marché européen.

    Enfin, c’est toute l’histoire des abbayes régionales que peut raconter ce colombier. Dès le XIe siècle, le pape autorise les abbesses de Saint-Amand à construire une maison à Boos, en plus de leur abbaye. Par droit féodal, l’abbesse Guillemette d’Assy érige un colombier entre 1517 et 1531. À l’origine, sa porte était ornée d’armes « d’argent à la croix de sable chargée de cinq coquilles d’or, cantonnée de douze merlettes de sables ».

    À l’époque les colombiers étaient très recherchés : celui de Boos, avec ses 1 166 boulins (nichoirs pour les oiseaux), devait produire d’énormes quantités de pigeonneaux dont les abbesses étaient très friandes. Sources : Wikipédia - Paris-Normandie du 27/12/2020.

    Bouillon (50)  - Les Lutins-Polymorphes

    Vers 1800, les bords de la mare de Bouillon avaient la réputation d'être le rendez-vous de sorciers venant, la nuit, y cueillir leurs herbes magiques. Certains soirs on y avait aperçu des lutins sous différentes formes d'animaux ainsi qu'une Dame Blanche. De loin, on entendait les lavandières nocturnes battre leur linge ; on parle même de loups.

    C'est près de là, dit-on, que Mr. de Bacilly, percevant chaque nuit des bruits anormaux au-dessus de sa maison, prit son fusil et se cacha au bord de la mare : il entendit soudain, en l'air, un bruit de causerie et aperçut des formes bizarres : il tira et une ombre tomba lourdement près de lui. C'était une sorcière qui, sans doute, ne s'était pas suffisamment enduite de l'onguent magique (sang et graisse de nouveau-né sacrifié) elle mourut à ses pieds.

    Source :  P. de Gibon, Sur la mare de Bouillon, Le Pays de Granville, 1908.

    Boulon   (14)  

    Les Tombes des Templiers [Musée de Normandie]

     

    Ce n'est pas une des moindres singuralités de la destinée de cette baronnie du Thuit, que la croyance où l'on est aujourd'hui dans le pays, que ce fut autrefois une des demeures des Templiers. On va même jusqu'à désigner cette partie de la forêt et les ruines sous les noms de Bois des Templiers, de Chapelle du Thuit et des Templiers. Une telle opinion ne nous paraît avoir aucun fondement historique. Aussi, en publiant le dessin de ces curieux débris, nous leur avons restitué le vrai nom de Chapelle et Château dit Thuit, qui leur appartient. (…) Dans deux de nos excursions au Thuit, nous rencontrâmes un petit vieillard, nommé Croix, que les enfants des bûcherons désignaient sous le nom de Tonquin, et que l'on signalait comme ayant les traditions de tout ce qui était arrivé anciennement en cet endroit. Nous interrogeâmes beaucoup le Tonquin. Voici quelques-uns de ses récits, tels qu'ils furent écrits presque sous sa dictée :

     « Il y avait là, jadis, un château occupé par un seigneur puissant, Roul Tesson (Raoul), qui ne craignait personne. Roul battait de la fausse monnaie et était très riche. Une fille très belle qu'il avait fut conduite à la cour, et le prince l'ayant enchantée, il en tira l'aveu que son père était un faux monnayeur, et on envoya en conséquence des troupes de Paris contre lui. Roul ne fut point effrayé, il coupa les arbres de la forêt, les couvrit d'habillements rouges et de grands chapeaux ; et quand les troupes du prince arrivèrent, elles furent prises de peur à la vue d'une si grande armée, et se retirèrent précipitamment. Plus tard, on les ramena devant la forteresse qu'elles assiégèrent en forme. Roul se défendit avec beaucoup de courage, et l'on vit bien que l'on ne pourrait le prendre que par la famine. Mais lui, pour ôter même cet espoir, jetait tous les jours des pains et des morceaux de bœuf frais dans les douves qui entouraient le château ; ce qui décourageait beaucoup les assiégeants.

    Enfin, cependant, Roul se vit réduit aux extrémités, et pour ne pas tomber vif au pouvoir de ses ennemis, il fit jeter ses trésors et le peu de vivres qui lui restaient dans les fossés, se frappa ensuite et se fit précipiter dans les eaux. On retrouva son corps qui fut enseveli dans la chapelle du Bois-Halbout. Ces faits se sont passés en l'an 1223.

    La chapelle appartint depuis à des Templiers, et, après eux, les Anglais s'en emparèrent. Quand ceux-ci furent forcés de s'en éloigner, ils cachèrent des barils d'or et d'argent dans des fossés près de la chapelle, à l'entrée du château.

    Dans le temps on l'on construisait la grosse tour de Barbery, les fonds étant venus à manquer, l'ouvrage restait interrompu. Alors vivait dans le monastère un moine nommé dom Bernard, qui était, dit-on, plus fin que les autres, qui avait commerce avec lé diable, et que l'on avait enfermé, pour le punir, dans une cage de fer. Dom Bernard dit que si l'on voulait le laisser libre, il trouverait de l'argent plus qu'il n'en faudrait pour achever la tour. On le fit donc sortir de sa cage, et, peu de jours après, il revint de la forêt avec un baril d'or et d'argent qu'il avait chargé sur plusieurs mulets. On peut voir encore, sous une cépée, le trou d'où il tira son trésor. La grosse tour en fut construite et le monastère enrichi, etc., etc.

    L'une des fontaines voisines était jaillissante, et élançait autrefois du sable à plusieurs pieds de sa surface ; le tremblement de terre de 1776 a fait cesser ce phénomène ; seulement l'eau continue de former quelques bouillonnements intérieurs. - Le nom de Fontaine bouillante lui est demeuré. [Médiévale - Rempart de Normandie].

    Découverte extraordinaire

    Janvier 1867 - Découverte extraordinaire - Ces jours derniers, dans la forêt de Cinglais, (Calvados), des bûcherons étant occupés à faire des abattis d'arbres ont trouvé, au milieu d'un buisson touffu et d'une épaisseur extraordinaire le squelette d'un cheval et de son cavalier, près duquel gisait une longue lance toute rongée de rouille.

    À la structure de la bête et de l'homme, on a cru reconnaître (car les Cosaques ont occupé le pays) que c'était un Cosaque et sa monture, et il y a tout lieu de penser que, comme le buisson est situé au bas d'une élévation de terrain, ce cavalier aura été blessé en fuyant et qu'il sera tombé avec son cheval au milieu du buisson, duquel, dans sa course effrénée et vu l'élévation du terrain qui le masquait, il n'avait pu se préserver, et que tous les deux avaient trouvé la mort en cet endroit, ne pouvant en sortir, malgré les efforts du cheval. [Un siècle d'histire du Calvados].

    [L'émergence des Portes Induites/Vortex/Pontifex/Portex/ Puits à énergie potentielle, s’accompagnent souvent d’apports de personnages singuliers NFO].

    Un loup-garou en Normandie

    La Bête de Cinglais (14) - Illustration d'époque

    Une légende digne de la Bête du Gévaudan qui prend place à Caen au XVIIe siècle. En 1632, des attaques dans les forêts aux abords de la capitale du Calvados font plusieurs morts notamment dans la forêt de Cinglais.  De nombreuses battues sont organisées en vain entre 1632 et 1633 en Normandie. De nombreux récits font état d’un animal très rapide, d’une bête « furieuse », d’un homme qui se transformerait même en loup… Ce qui est affirmé par les sources historiques, c’est qu’un grand loup roux est toutefois tué lors d’une battue. Source : eureka.

    La « bête de Cinglais » 

    Les loups étaient probablement présents, ici comme ailleurs, et peut-être en assez bon nombre. Au début du XIXe siècle, on tuait plusieurs milliers de loups en France chaque année.

    La Gazette de France, dans son numéro du 19 mars 1632, relate des attaques en forêt de Cinglais qui ont causé en un mois la mort d’une quinzaine de personnes.

    « Ceux qui ont évité sa dent rapportent que la forme de cet animal farouche est pareille à celle d’un grand dogue d’une telle vitesse qu’il est impossible de l’atteindre à la course, et d’une agilité si extraordinaire qu’ils lui ont vu sauter notre rivière à quelques endroits. Aucuns l’appellent Therende. Les riverains et gardes de la forêt lui ont bien tiré de loin plusieurs coups d’arquebuse, mais sans l’avoir blessé. Car ils n’osent en approcher, même se découvrir jusqu’à ce qu’ils soient attroupés comme ils vont faire au son du tocsin; à quoi les curés des paroisses circumvoisines ont invité tous les paroissiens à ce jourd’hui, auquel on fait étant qu’il s’assemble trois mille personnes pour lui faire la huée. »

    Une gigantesque battue fut organisée en juin 1633 ; entre 5000 et 6000 hommes y auraient participé. Une bête identifiée par plusieurs témoignages fut tuée et les attaques cessèrent.

    La Gazette du 17 juin rapporte la mort de la créature en ces termes :

    « Cette bête furieuse dont je vous écrivais l’année passée ayant depuis deux mois dévoré plus de trente personnes dans cette forêt passait pour un sortilège dans la croyance d’un chacun. Mais le Comte de la Suze ayant par ordre de notre lieutenant général assemblé le 21 de ce mois 5000 à 6000 personnes, l’a si bien poursuivi qu’au bout de trois jours elle fut tuée d’un coup d’arquebuse. Il se trouve que c’est une sorte de loup plus long, plus roux, la queue plus pointue et la croupe plus large que l’ordinaire.»

    La bête de Cinglais aurait fait une trentaine de victimes en un peu plus d’un an. Elle fut identifiée comme un loup, mais le mystère demeure. [Histoire de Saint Laurent de Condel par Pierre Fouillet].

    [Les espèces exotiques envahissantes exogènes sont des espèces non-indigènes qui investissent un territoire, ce sont des espèces dites exogènes. On trouve dans nos écosystèmes des représentants endémiques des EEEE (les 4E), d'une grande diversité de taxons, sauvages, apprivoisées, domestiqués ou échappées (retournées à la vie indépendante ou férales), non-identifiés par nos contemporains. NFO].

    Bourgeauville (14)

    Les sources miraculeuses 

    Lavoir de la Fontaine Saint Clair - Bourgeauville (14)

     

    Les traditions locales prêtent à certaines sources des vertus miraculeuses. A découvrir : la source Saint-Laurent à Clarbec pour les maladies de peaux, les sources Saint-Claire à Bourgeauville et Saint-Erme à Vieux-Bourg pour les maladies d'yeux. [Terre d'Auge - Tourisme].

    St Clair est un des plus importants saints de Normandie. Ceci surtout pour des des raisons économiques : sa fête (le 18 juillet) marquait le renouvellement des contrats d'embauche du personnel agicole, sur y louait pour un an les nouveaux valets et les nouvelles servies, ce qui est prétexte à des foires importantes. Bourgeauville Pont d'Ouilly ou Cambremer, ont leur foire St Clair.

    La source réintre les yeux. St Clair fut pour celà le patron des lunetiers, des miroitiers, et aussi des travaux patrons. broderie, la dorure.Vous pourrez voir la représentation de ce Saint dans l'église de Bourgeauville. [Free].

    Bourneville - Sainte-Croix  (27) - Eure - Normandie - France - 05/11/1990 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

     

    Mise à jour de la carte le 31/03/2023

    Les Apparitions Ovnis et les Manifestations Surnaturelles et lignes de Ley – Go

     

    Branville (14)

    Juillet 1937 -  Après avoir chanté la messe des morts, il se pend….  M. Léon Coupat, 65 ans, journalier, s'est pendu chez M. Filleul, ouvrier agricole, auquel il avait demandé l'hospitalité pour une nuit. Durant celle-ci, Coupat, qui était ivre, n'avait cessé de chanter la messe des Morts. On ignore les motifs de ce suicide. (source le  Moniteur du Calvados).

    Bray (27) - Eure - Normandie - France - 15/01/2008 - à 23 h 50 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    J’habite dans l’Eure et ce soir 15/01/2008, en rentrant vers 23 h 50, nous avons observé une boule avec le devant bleu et l’arrière bleu vert blanc. Je ne sais pas très bien la décrire mais elle était assez grosse, ça a été très rapide mais nous avons pu la voir quand-même 2 secondes, puis elle a disparu derrière la colline. Mon mari a vu une lumière blanche, après venant du sol, nous étions dans le secteur de Bray. 02 Témoins. ource : SPICA N° 13.

    Bréhal (50) - Manche - Normandie - France - 09/09/2018 - 20 h 22 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    M. M. C. et Melle C.L. assistent au passage, du Sud-Ouest au Nord-Est, d'un mystérieux géocroiseur (sphère et trainée), qui s'imobilise au passage d'un avion de ligne, et qu'ils réussissent à photographier.

    Brécé (53) - La Poulinière

    Samedi 22 août 2020, Serge Guérinel se rend dans son champ de Brécé (53), où se trouvent deux de ses poulinières. Il est environ 17 h quand il fait cette sordide découverte. Il retrouve sa jument trotteuse de 11 ans, qui porte un poulain, « avec une plaie profonde, ouverte sur le flanc droit ». Chez le vétérinaire, à Javron-les-Chapelles, à une quarantaine de kilomètres : « Sans que je ne lui dise le fond de ma pensée, il m’a dit : une plaie si profonde et si nette, qui traverse le cuir et rentre dans l’abdomen, ce n’est pas un accident », raconte Serge Guérinel, tout en faisant défiler les photos de la blessure sur son smartphone. À ses côtés, son fils Cyril a du mal à les supporter. « C’est vraiment horrible », commente-t-il.« Je prends des nouvelles régulièrement, mais je ne sais pas si le poulain qu’elle portait va survivre », explique-t-il.

    Source : Ouest-France, du 25/08/2020.

    Brémoy (14)

    Avril 1948 - Des bois flambent à la Ferrière au DoyenM. Tristan du Perier de Larson, 69 ans, de Saint-Pierre-du-Fresne, a signalé aux gendarmes qu’en 15 jours quatre incendies ont éclaté sur des terrains gardés, 50 hectares de bois ont été ravagés à la Ferrière-au-Doyen, au lieu-dit « le Bois de l'Homme », 95 autres près du chemin du pavillon de chasse. Deux autres sinistres ont éclaté en direction de Brémoy et de Jurques. Le propriétaire attribue ces faits à la malveillance. (Source  : Le Bonhomme Libre).

    [La tradition explique les comportements débordants, antisociaux, ou agressifs, sadiques par les phénomènes de hantises ou de possession liés au parasitage psychique exercé par des éthérés noosphériques. NFO].

    [De même que les comportements inhumains, suicidaires ou morbides. NFO].

    Breteuil-sur-Iton (27) - Eure - Normandie - France - 28/10/1977 - vers 18 h 15 /20  et de 22 h à 22 h 30/45 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    Le vendredi 28 octobre 1977 je me trouvais en compagnie d’un Monsieur, maçon (qui a déjà vu ce genre de phénomène, il y a deux mois environ, alors que qu’il circulait à bord de son véhicule, c’était une boule assez grosse de couleur rouge-rose. Elle ressemblait à un ballon de rugby. Il était 17 h, il faisait jour et le temps était clair. Cet objet, qui ne semblait pas être à à une altitude importante, l’a suivi en silence sans varier d’altitude ni de couleur, jusqu'à ce qu’il arrête son véhicule, et ce moment-là il est parti à très grande vitesse.).

    La nuit commençait à tomber. Mon attention a été attirée par une lueur dans le ciel de la grosseur d’une balle de tennis, très lumineuse et d’une clarté blanche. Cette boule lumineuse se déplaçait rapidement. Nous l’avons suivie des yeux environ deux minutes avant qu’elle ne disparaisse. Elle ne laissait pas de traînée. Le temps était clair. A aucun moment elle n’a changé de trajectoire, ni de couleur et n’émettait aucun bruit.

    Le même soir revenant seul, à bord de ma voiture, vers 22 h, j’ai aperçu une boule semblable à la première, mais plus grosse et encore plus lumineuse, elle se déplaçait dans la direction de marche de ma voiture.

    Je me suis rendu chez mon frère qui est journaliste pour lui faire constater cette chose, mais il n’était pas chez lui. Cette boule lumineuse s’est arrêtée à l’aplomb de ma voiture je présume.

    J’ai alors appelé, une amie résidente à cette endroit, étudiante de 20 ans, qui a elle-même vu ce phénomène (lorsque je repartais elle a vu cette lueur varier de couleur, parfois blanche, parfois orange et qui lui semblait clignoter et a pris la direction du centre ville où je me rendais, fortement impressionnée elle est allé réveiller sa mère avec laquelle il a continué à observer le phénomène, après mon départ, et avant d’aller se coucher, sa mère a pu observer à coté de la boule un clignotant).

    Je suis donc reparti et cette boule lumineuse m’a suivi, jusque sur la place Lafitte, où j’ai rencontré mon frère qui a lui-même vu cette chose non-identifiée, un bon moment.

    Je sui rentré chez moi, et avant de renter dans ma maison, j’ai encore vu cette boule lumineuse un bon moment dans le ciel. Puis je suis aller me coucher. 05 Témoins. Source : P. V. G.

    Bretteville (50) - Manche - Normandie - France - 30/04/2017 - environ 23 h / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    La chasse devant-soi

     

     
    Il était 23 h environ. J'étais en voiture, je roulais sur la D 901 entre Cherbourg et saint - Pierre - L’Église. Je tourne à gauche pour m'engager sur la D 320 et descendre en direction du bourg de Bretteville.
     
    Soudain j'ai été témoin du vol d'un engin triangulaire noir avec trois globes lumineux dans chaque coin et un globe lumineux au centre.
    Je crois que ces lumières étaient multicolores et clignotaient.
    L'engin n'était pas très grand mais volait à très basse altitude et très lentement, comme si l'engin était en observation ou qu'il était en train de scanner le territoire.
    Puis l'engin s'est déplacé vers la droite, toujours très lentement, et a disparu, comme si mon passage en voiture l'avait dérangé. Moi-même je roulais très lentement et j'étais presque arrêté pour observer. Il faut noter que Bretteville est située entre Cherbourg, ville ou la présence de la Marine française et importante, notamment comme base et lieu de production sous-marine, et l'aéroport militaire de Maupertus. matt50. 01 Témoin. Source : Ovni-France.
     
    Extrait du Catalogue de Normandie - France - Ovnis : Seine-Maritime (76), Orne (61), Manche (50), Calvados (14)
     
    Vous pouvez nous aider à vous informer sur les ingérences des ovnis en nous communiquant les nouvelles ou les anciennes observations de Normandie (témoignages ou presse) à ufo.genpi@gmail.com ou en les publiant publiquement. Merci d’avance.

    (1) Bretteville-L'Orgueilleuse  14)

    Avril 1898 - L’égorgeur de bestiaux -  Depuis un an, une dizaine de bestiaux ont disparu des communes de Bretteville, Putot et Secqueville, sans qu'on ait pu mettre la main sur le voleur. Dans la nuit de samedi, un veau appartenant à M. Valence, cultivateur à Putot-en-Bessin, disparaissait encore. M. Valence alla chercher le brigadier de Bretteville. Aucun individu suspect n'ayant été vu rôdant dans la contrée, des perquisitions furent faites chez des individus mal notés des environs. Cette promptitude d'action, qui fait le plus grand honneur au brigadier Delavit et à M. Valence, a permis enfin de pincer cet égorgeur de bestiaux. 

    C'est un nommé Léopold Lecarpentier, 47 ans, demeurant à Fontaine-Henry. Il était en train d'écorcher le veau de M. Valence quand on l'a arrêté.  (source, le Bonhomme Normand).

    [Les mutilations relèvent de la catégorie des sacrifices propitiatoires, des pratiques incantatoires et évocatoires magico-occultistes du sadisme-masochisme, lié au rite du baptême du sang, caractérisé par la pratique de l'égorgement. NFO]. 

    Mars 1842 -  On nous écrit  - A la date du 9 mars : La nuit qui vient de s'écouler n'a été qu'une longue tempête. Depuis dix heures du soir jusqu'au lever du jour, les vents d'ouest, sud-ouest ont soufflé avec une impétuosité inouïe. La fureur de l’ouragan était telle que des parties de toits se détachaient à chaque instant et allaient au loin achever de se briser sur les pavés de nos rues.

    On redoute fort d'apprendre quelles sinistres maritimes ont eu lieu. Puissent les bateaux pêcheurs de nos côtes n'avoir pas été assaillis en mer, avant leur retour, par le déchaînement subit de cet orage épouvantable ! Puisse-t-on n'avoir à enregistrer aucuns de ces désastres trop fréquents qui accompagnent la vie aventureuse de ces pauvres pêcheurs.

    On apprend que le vent a fait dans la commune d'Allemagne des ravages considérables, plusieurs maisons sont lézardées. d'autres, et c'est le plus grand nombre, ont perdu leurs couvertures, les grues servant à l'exploitation des carrières ont été brisées et leurs débris semés dans la campagne.

    A Caen, plusieurs arbres de nos promenades publiques ont été renversés, sur le Cours-la-Reine, quatre platanes gisent déracinés, sur le grand cours, trois ormes antiques, l'orgueil de cette belle promenade, ont été brisés en éclats à la naissance des premières branches, et leurs fûts gigantesques ont été lancés jusque dans la rivière qui paraît près de déborder.

    — Nous lisons à ce sujet dans le « Haro » : Cette nuit de mercredi à jeudi, une violente tempête a éclaté sur notre ville et aux environs. Dès hier au soir, le vent, le tonnerre et les éclairs présageaient une mauvaise nuit. Ce matin, nos rues étaient jonchés de tuiles, d'ardoises, de carreaux, de persiennes, de tabatières, etc… Sur les deux cours, plusieurs arbres ont cédé sous la violence du vent. Il en est deux surtout sur le grand cours que leur age et leur force semblaient devoir protéger, et qui ont été déracinés. La toiture de la caserne de Vaucelles a, dit-on, beaucoup souffert, la rose des vents qui se trouve au-dessus du pavillon de l'Hôtel-de-Ville, a été inclinée, une maison en construction sur la hauteur du calvaire de Vaucelles a été enlevée.

    — Le courrier d'Alençon a couru de grands dangers dans la ville de Falaise, où les tuiles tombaient comme grêle, a la sortie de la ville, un hêtre déraciné a failli tuer les chevaux.

    Sur la route de Caen à Tilly, plusieurs maisons, dont le toit est en chaume, ont été découvertes entièrement, et la toiture portée à une certaine distance. Un grand nombre de pommiers sont déracinés ou brisés.

    A Bretteville, une maison s'est presque écroulée, et un enfant, nous dit-on, serait dangereusement blessé par les débris.

    La guérite de la place du Sépulcre a été renversée, nous dit-on, et transportée à une assez grande distance, nous n'avons pu vérifier le fait.

    Nous craignons d'apprendre de plus grands sinistres, nous redoutons surtout les nouvelles maritimes. (Source  : L’indicateur de Bayeux).

    [Les puits à énergie potentielle (orages, tempêtes, ouragans) sont les manifestations tangibles attribuées aux 4 Vivants du Tétramorphes par les occultistes - NFO].

     
    (1) Bretteville-sur-Laize - La Criquetière (14) - Calvados - Normandie - France - 02/10/2013 - 12/08/1979 - 22 h 30/ 23 h + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 

    Un Crash Non-Identifié

    Mme Baudet, de la Criquetière à Bretteville-sur-Laize, j’étais  dans la salle à manger quand mon petit-fils affolé m’a appelé dans la cuisine : « Viens vite voir mamy ! ». Je vais à la fenêtre de ma cuisine et je vois une boule rouge dans le ciel qui s’en allait vers la droite en tourbillonnant et en « s’émiettant ». Elle allait vers Gouvix.

    Mr. Baudet : « Elle était grosse comme la pleine lune. En s’en allant, elle laissait derrière elle une grosse fumée noire. Mais j’avais ouvert ma fenêtre, je n’ai perçu aucun bruit ni senti la moindre odeur. Cela s’est passé très rapidement environ 05 secondes. Elle se déplaçait en donnant l’impression qu’elle descendait en zig-ziag mais on peut dire qu’elle allait en ligne droite Un moment après, j’ai revu exactement le même phénomène dans les mêmes conditions. ». Source : Chantal Jeanne - Génpi.

    [L'émergence des Portes Induites/Vortex/Pontifex/Portex/Puits à énergie potentielle, s’accompagnent souvent d’apports d’objets singuliers NFO].

    (2) Bretteville-sur-Laize - Un autre jour, Mme Lecordier a vu cela de son lit et s’est levée pour appeler la police croyant que c’était un avion qui allait s’écraser. La Gendarmerie a enquêté. Source : Chantal Jeanne - Génpi.

    (3) Bretteville-sur-Laize - Mr. Domme, le Mardi ou le Mercredi suivant 14/15 août (fête de l'Assomption), a vu de nuit et depuis son lit, a vu des petites boules rouges qui s’éteignaient d’un seul coup en direction du C.E.S. Plusieurs Témoins. Source : Chantal Jeanne - Génpi.

    Un loup-garou en Normandie

    La Bête de Cinglais (14) - Illustration d'époque

    Une légende digne de la Bête du Gévaudan qui prend place à Caen au XVIIe siècle. En 1632, des attaques dans les forêts aux abords de la capitale du Calvados font plusieurs morts notamment dans la forêt de Cinglais.  De nombreuses battues sont organisées en vain entre 1632 et 1633 en Normandie. De nombreux récits font état d’un animal très rapide, d’une bête « furieuse », d’un homme qui se transformerait même en loup… Ce qui est affirmé par les sources historiques, c’est qu’un grand loup roux est toutefois tué lors d’une battue. Source : eureka.

    [Les espèces exotiques envahissantes exogènes sont des espèces non-indigènes qui investissent un territoire, ce sont des espèces dites exogènes. On trouve dans nos écosystèmes des représentants endémiques des EEEE (les 4E), d'une grande diversité de taxons, sauvages, apprivoisées, domestiqués ou échappées (retournées à la vie indépendante ou férales), non-identifiés par nos contemporains. NFO]. 

    (1) Bretteville-sur-Odon (14) - Calvados - Normandie - France - 02/10/2013 - le soir + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 
     

     
    (2) Bretteville-sur-Odon (14) - Calvados - Normandie - France - années 1975 ou 1976 - après les vacances d’été - 22 h 30 / 23 h + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 

    Mr. Jean-Marie Legoff et son ami Philippe apparenté à la famille Tricot (tous deux âgés de moins de 20 ans), après les vacances d’été étaient en train d’observer le ciel et essayaient de reconnaître les constellations, au carrefour de la route de Bretagne menant à la rue Parabole du Clos, près de l’église Notre-Dame, à Bretteville-sur-Odon, lorsque tout-à-coup, ils remarquèrent, à l’altitude de vol d’un avion de tourisme, une boule de lumière teintée blanc-orangé.

    Cette boule lumineuse se tenait immobile, elle avait un aspect compact, ses limites étaient parfaitement nettes et sa coloration uniforme.

    Elle était non éblouissante et n’avait pas de halo lumineux, et sa taille apparente était à peu près 1/3 de la pleine lune.

    Lorsque tout-à-coup le regard des témoins fut détourné de cet objet, par une automobile qui arrivait au niveau du carrefour, ils reprirent leur observation mais l’objet n’était alors plus visible. 02 Témoins. Source : Enquête Génpi.

    (3) Bretteville-sur-Odon (14) - Octobre 1938 - Est-ce un bolide ? -   On a signalé qu'un météore est apparu dans le ciel dimanche soir, vers 20 h. 30, et qu'il a été vu dans toute la région de l'Ouest, de  Nantes à  Quimper.

    Le même phénomène a été constaté en Basse-Normandie, où on aurait observé à l'heure indiquée, une grande lueur bleuâtre vers le sud, accompagnée d'une traînée lumineuse traversant le ciel de nord-ouest en sud-ouest. Une détonation se serait fait entendre au même moment.

    Il ne peut être question, à notre avis, que d'un bolide, en raison de la rapidité avec laquelle ce météore a parcouru sa trajectoire. La parole est aux astronomes. (Source  : Le Moniteur du Calvados).

    [La conception des étoiles filantes, des comètes, des aurores polaires, des lueurs célestes inhabituelles, etc. diffère pour les Anciens de celle des Modernes, qui les appelaient des Météores (= esprits de lumières célestes) et qui les identifiaient à des entités spirituelles et non à des objets matériels ou phénomènes physiques. NFO]. 

    (4) Bretteville-sur-Odon (14) - Avril 1949  - Des agneaux mutilés - Deux agneaux appartenant à M. Lissot, boucher, rue Caponière, à Caen, ont été découverts mutilés, le long d'une haie à Bretteville-sur-Odon. Une enquête est ouverte. (Source : Le Bonhomme Libre).

    [Les mutilations relèvent de la catégorie des sacrifices propitiatoires, des pratiques incantatoires et évocatoires magico-occultistes du sadisme-masochisme, lié au rite du baptême du sang. NFO].

    (5) Bretteville-sur-Odon (14) Octobre 1938  - Est-ce un bolide ? -   On a signalé qu'un météore est apparu dans le ciel dimanche soir, vers 20 h. 30, et qu'il a été vu dans toute la région de l'Ouest, de  Nantes à  Quimper .

    Le même phénomène a été constaté en Basse-Normandie, où on aurait observé à l'heure indiquée, une grande lueur bleuâtre vers le sud, accompagnée d'une traînée lumineuse traversant le ciel de nord-ouest en sud-ouest. Une détonation se serait fait entendre au même moment.

    Il ne peut être question, à notre avis, que d'un bolide, en raison de la rapidité avec laquelle ce météore a parcouru sa trajectoire. La parole est aux astronomes. (Source  : Le Moniteur du Calvados).

    Janvier 1900  -  Mauvais présage  - Jeudi matin, vers 10 heures, à Bretteville-sur-Odon et à Louvigny, le soleil s'est trouvé tout à coup escorté de deux autres soleils plus petits, de forme un peu ovale, mais fort Brillants. 

    Ce phénomène de mirage atmosphérique a duré un quart d'heure environ. Le même fait s'étant déjà produit en 1848 et en 1870, les bonnes femmes du pays disent que c'est présage de guerre ou de révolution. (Source : Le Bonhomme Normand). 

    [La conception des étoiles filantes, des comètes, des aurores polaires, des lueurs célestes inhabituelles, etc. diffère pour les Anciens de celle des Modernes, qui les appelaient des Météores (= esprits de lumières célestes) et qui les identifiaient à des entités spirituelles et non à des objets matériels ou phénomènes physiques. NFO]. 

    Breuil-en-Bessin (14)

    Janvier 1855  - Les éclipses de l’année  -  Il y aura en 1855, deux éclipses totales de lune : le 2 mars et le 25 octobre ; l'une et l'autre seront en partie visibles chez nous. Il y aura deux éclipses de soleil, mais invisibles pour nous. (Source : Le journal de Honfleur).

    Août 1948 - Les méfaits de la foudre - Au cours d'un violent orage qui s'est abattu sur la région de Littry, la foudre est tombée dans un champ appartenant à M. Boullot, maire de Saon, elle y a déraciné un chêne et tué une vache. Au Breuil-en-Bessin une vache appartenant à M. Roumier a été également foudroyée. A Crouay, un cheval a été tué chez un cultivateur. Rue de la Gare à Littry, la cheminée de la maison occupée par Mme veuve Taillepied a été fortement ébranlée. (Source  : Le Bonhomme Libre).

    [La conception des Modernes de la foudre diffère de celle des Anciens, qui l’identifiaient à un châtiment divin et céleste (cf. l’Ancien Testament), à l’exemple du foudre de Zeus, représenté par trois rayons, qui leur apparaissait comme une des manifestations sacrées du dieu et correspondait à sa parole, mais également à sa volonté de puissance. Les cadavres foudroyés étaient recouverts de terre et les lieux où la foudre était tombée devenaient un lieu de culte. Désormais, ils se trouvaient comme marqués d'un signe mystérieux que des prêtres, spécialisés dans l'art « fulgural », devaient interpréter pour le commun des mortels. (Dictionnaire de la mythologie grecque et romaine, Paris, Larousse, mars 2017 - Wikipédia). Ce phénomène céleste est aussi l’un des signes de l’ouverture des puits à énergie potentielle des portes induites ou portails multidimensionnels. NFO].

    Le Brévedent (14)

    Avril 1859  -  Une magnifique aurore boréale  -  Jeudi, vers huit heures et demie du soir, notre population a été témoin d'un phénomène qu'on prit d'abord pour un violent incendie. C'était une magnifique aurore boréale. Elle a paru dans la direction du nord-ouest, et on a pu jouir, pendant assez longtemps, de ce curieux spectacle. On se rappelle qu'un semblable phénomène eut lieu en novembre dernier, et qu'il fit croire également à un incendie. (source : L’Indicateur de Bayeux).

    [Les mutilations relèvent de la catégorie des sacrifices propitiatoires, des pratiques incantatoires et évocatoires magico-occultistes du sadisme-masochisme, lié au rite du baptême du sang. NFO]. 

    (1) Bréville-les-Monts (14) - Calvados - Normandie - France - 01/11/2016 - 17 h 49 + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 
     

     

    (2) Bréville-les-Monts (14) - Calvados - Normandie - France - 17/04/2022 - 18 h 13 / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 

     

     

    (3) Bréville-les-Monts (14)  - Calvados - Normandie - France - dans les années 1980 / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 

    Une Mère de Famille observe avec ses enfants des boules lumineuses qui survolent la plaine de Ranville.

    Plusieurs Témoins. Source: Gendarmerie - Génpi.

    (4) Bréville-les-Monts (14) - Les Oblations de l'Arbre Martin

    « Il y a quelques siècles, sur ce site était implantée une léproserie appelée Sainte Madeleine, on y accédait par le chemin des malades (la pénétrante actuelle vers Bavent). À proximité, il y avait un arbre, au pied duquel on déposait les dons pour les lépreux. Cet arbre était surnommé l’arbre Martin. Plus tard, le carrefour des quatre routes ayant pris de l’importance est devenu le carrefour de l’arbre Martin. »

    Dans le livre de Bavent écrit par Jean Ribet dans les années 2000, deux versions : la première est identique à celle précédemment citée, alors que la deuxième diffère sur l’arbre lui-même : « Un trésor aurait été caché sous l’un des arbres situés au carrefour des quatre routes. L’extrémité de l’ombre donnée par cet arbre a midi devait être l’endroit précis de la cache du trésor. La légende dit que des fouilles ont été réalisées sans résultats. » L’auteur conclut : « À chacun son opinion sur cette légende ! » [Joseph Wersinovski - Ouest-France 24/04/2021]

     

    Juin 1864 - Un vol  -  Pendant la nuit du 18 au 19 de ce mois, un malfaiteur, resté inconnu, s'est introduit dans un champ planté en pommiers, situé à Bréville, appartenant à M. Langevin, marchand de merceries audit lieu, et a, à l'aide d'un instrument appelé plane, enlevé l'écorce de quatre très beaux pommiers.  La justice informe. (l’Ordre et la Liberté).

    [Les mutilations relèvent de la catégorie des sacrifices propitiatoires, des pratiques incantatoires et évocatoires magico-occultistes du sadisme-masochisme, lié au rite du baptême du sang. NFO]. 

    Juillet 1872  - Les orages  -  Les nombreux orages qui se sont déchaînés depuis quinze jours sur nôtre contrée ont fait de très grands dégâts.

    La foudre est tombée sur plusieurs points, notamment dans les cantons de Condé, Saint-Pierre-sur-Dives, Aunay. A Saint-Germain-du-Crioult, elle est tombée sur la propriété de M. Olivier, où elle a tué trois moutons.

    A Saint-Jean-des-Essartiers, canton d'Aunay, elle a mis le feu et consumé un corps de bâtiment à usage de grange et écurie, appartenant à M. Louis Fortin, propriétaire. La perte est évaluée à 9.285 fr. Tout était assuré.

    A Saint-Pierre-sur-Dives, la foudre est tombée sur l’hôtel du Dauphin, rue de Falaise, elle a brisé plusieurs tuiles de la couverture et mis a nu le bois de charpente qui a pris feu aussitôt, quelques seaux d'eau ont suffi pour l'éteindre. Le fluide a démoli un peu du couronnement d'une des cheminées et brisé quelques vitres, dans une chambre, et, par un choc en retour, est allé briser une pierre de taille d'une cheminée eu face de l'hôtel, sur l'autre côté de la rue.

    Ce qu'il y a de plus étonnant, c'est que la même détonation à produit à Berville, petite commune située à  4 kilomètres de Saint-Pierre une brèche au couronnement d'une des cheminées du presbytère, brisé des ardoises, pratiqué un large trou dans la couverture et cassé quelques carreaux de vitres dans une chambre, où on a perdu sa trace.

    [La conception des Modernes de la foudre diffère de celle des Anciens, qui l’identifiaient à un châtiment divin et céleste (cf. l’Ancien Testament), à l’exemple du foudre de Zeus, représenté par trois rayons, qui leur apparaissait comme une des manifestations sacrées du dieu et correspondait à sa parole, mais également à sa volonté de puissance. Les cadavres foudroyés étaient recouverts de terre et les lieux où la foudre était tombée devenaient un lieu de culte. Désormais, ils se trouvaient comme marqués d'un signe mystérieux que des prêtres, spécialisés dans l'art « fulgural », devaient interpréter pour le commun des mortels. (Dictionnaire de la mythologie grecque et romaine, Paris, Larousse, mars 2017 - Wikipédia). Ce phénomène céleste est aussi l’un des signes de l’ouverture des puits à énergie potentielle des portes induites ou portails multidimensionnels. NFO].

    Brillevast (50) - En Transe

    Samedi 12 septembre 2020, une première alerte a été lancée vers 20 heures par une habitante de la commune de Brillevast, au cœur du Val de Saire (50). Je suis sortie dans le jardin pour rentrer du linge et j’ai entendu le cheval de ma voisine qui galopait dans son champ. Vu les circonstances, je suis allée voir à la barrière et j’ai alors vu une silhouette qui a traversé une haie. Aussitôt, elle a contacté la propriétaire du cheval, qui est une voisine. Arrivée sur place, la propriétaire a trouvé son cheval clairement en état de panique. En transe, couvert de sueur et l’œil affolé, ce cheval qui est habituellement tranquille avait un comportement inhabituel.

    Source : La Presse de la Manche du 13/09/2020

    (1) Brionne (27) - Septembre 1978 - 19 h 30 - + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 

    Mr. Lepetit, chef d’atelier, et son épouse sont dans leur voiture sur la D. 130, Mme Lepetit aperçoit pendant 3 minutes une boule lumineuse de 30 m de diamètre qui lui semble immobile, à 100/3000 m de distance. Elle fait part de son observation à son mari. La boule commence à se déplacer et se dirige vers la voiture. Elle passe au-dessus du véhicule. 02 Témoins. Source : Enquête de Mr. Guy. Josse. LDLN  n° 263/364.

    (2) Brionne (27)- 2010 + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 

    Une femme en voiture a percuté un piéton, M. C.G., qui, ayant eu un présentiment, s'était heureusement rangé sur le bas côté de la rue, dans un virage en lacet, sans aucune visibilité, en le frôlant et le percutant légérement, ayant momentanément perdu le contrôle conscient du pilotage de son véhicule, sans raison valable et sans explication logique, et qui est restée hagarde, encore quelques instants, comme sous l'emprise d'une force possessive inconnue. Source : Ufo-Génpi.

    (3) Brionne (27) - Les Juments + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 

    Nuit du vendredi du 04 au samedi 05 septembre 2020, un couple propriétaire est encore sur le choc : En me levant, j'ai remarqué qu'une des juments était restée dans son abris alors que la deuxième était à l'extérieur dans la prairie. Ça m'a interpellé, car elles sont souvent ensemble et ont leur habitude. Les deux juments de son fils sont entraînées pour les épreuves de saut d'obstacles. Débourrées, elles ont leurs quartiers dans une prairie protégée par des fils électriques, mais en bordure d'une route plutôt passante. Les deux juments blessées par plusieurs entailles sont maintenant soignées, et ont été déplacées.

    Source : paris-normandie.fr/actualites. 

    Bricquebec (50) - La Bête Havette - Les Abductions Multiples

    On connaît, dans le département de la Manche, une sorte de Dame Blanche surnommée la bête Havette, qui est très redoutée pour le grand nombre d'enlèvements qu'on lui reprocha. Elle se tient ordinairement cachée dans les fontaines, et malheur aux petits enfants qui s'approchent trop près de l'eau.

    Source : Pierre Le Filastre, Superst. du canton de Bricquebec, Annuaire de la Manche, 1832, p. 217.

    Bricquebosq (50) - Château de Bricquebosq (50) - Les Trois Coups 

    XVIIe siècle : A date fixe, on voyait soudain dans la cour du château de Bricquebosq, un spectre impressionnant. C'était celui du comte Kadot de Cybrantho, qui avait été tué par son frère jaloux, le seigneur de Claids.

    Le revenant, drapé de noir, apparaissait sur son cheval, montait sur le perron, frappait trois coups violents sur la grande porte, puis disparaissait. Et pendant des siècles, ce fantôme revint ainsi se manifester sur les lieux de son assassinat.

    Source : J. P. Seguin, Légendes traditionnelles de Normandie.

    Bricqueville (14)

    Octobre 1897 -  Stupidité ou vengeance - Le sieur Louis Saint, propriétaire à Bricqueville, a porté plainte à la gendarmerie de Trévières au sujet d'un abatage d'arbres fruitiers, de vols de bois et de bris de clôtures, commis à son préjudice. L'auteur de ces méfaits serait un individu habitant Couvains (Manche). Le dommage est estimé à 270 fr. 

    — On a aussi mutilé seize pommiers, d'une valeur de 400 fr., au sieur Auguste Duval, à St-Pierre-du-Mont, canton d'Isigny. (Source : Le Bonhomme Normand).

    [La tradition explique les comportements débordants, antisociaux, ou agressifs, sadiques par les phénomènes de hantises ou de possession liés au parasitage psychique exercé par des éthérés noosphériques. NFO].

    [Les mutilations relèvent de la catégorie des sacrifices propitiatoires, des pratiques incantatoires et évocatoires magico-occultistes du sadisme-masochisme, lié au rite du baptême du sang. NFO].

    Juin 1927 - Méfaits de la foudre - L'autre matin, à Bricqueville, la foudre incendiait une grange à M. Jules Houivet, renfermant 9 000 bottes de foin et du matériel de pressoir. Malgré la prompte arrivée des pompiers, la grange et son contenu ont été détruits, ainsi qu'un petit local servant de salle des machines au moulin. Les dégâts assurés, atteignent 10  000 francs. [USHC].

    [La conception des Modernes de la foudre diffère de celle des Anciens, qui l’identifiaient à un châtiment divin et céleste (cf. l’Ancien Testament), à l’exemple du foudre de Zeus, représenté par trois rayons, qui leur apparaissait comme une des manifestations sacrées du dieu et correspondait à sa parole, mais également à sa volonté de puissance. Les cadavres foudroyés étaient recouverts de terre et les lieux où la foudre était tombée devenaient un lieu de culte. Désormais, ils se trouvaient comme marqués d'un signe mystérieux que des prêtres, spécialisés dans l'art « fulgural », devaient interpréter pour le commun des mortels. (Dictionnaire de la mythologie grecque et romaine, Paris, Larousse, mars 2017 - Wikipédia). Ce phénomène céleste est aussi l’un des signes de l’ouverture des puits à énergie potentielle des portes induites ou portails multidimensionnels. NFO].

    (1) Brix (50) - Revenant Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 

    En mars 1830, une femme de Brix (50) vit un revenant qui réclamait une messe dans la chapelle de Saint-Jouvin. La femme fit dire cette messe et, pendant l'office, elle vit le revenant près d'elle : à la fin de la messe elle aperçut un pigeon blanc qui volait au-dessus de l'autel. Ayant éprouvé de violents symptômes, on dut l'emporter au travers de la foule qui remplissait la chapelle.

    Source : P. Le Fillastre - Annuaire de la Manche - 1832.

    (2) Brix (50) - La Main d'un Mort / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 

    Le 14 janvier 1860, le sieur Lecomte, cultivateur à Brix vit, près de lui un de ses anciens camarades avec lequel il avait travaillé autrefois au port de Cherbourg, et qui était décédé depuis deux ans et demi.

    Le revenant demandait qu'une messe soit dite pour le repos de son âme. Effrayé, Lecomte ne répondit pas, mais l'apparition se reproduisit pendant chacun des jours suivants.

    Le 19, Lecomte osa enfin répondre : Puisque tu veux une messe, dis-moi où elle doit être dite et si tu y assisteras. Je d'sire, répondit l'esprit, que la messe soit célébrée dans huit jours à la chapelle Saint-Sauveur et je m'y trouverai. Le défunt ajouta : Il y a longtemps que je ne t'avais vu et il y avait loin pour venir te trouver. Cela dit, il le quitta en lui serrant la main.

    La promesse fut tenue ; la messe fut dite à Saint-Sauveur le 27 janvier et Lecomte vit son camarade agenouillé sur les marches de l'autel, près de l'officiant, mais personne autre que lui ne l'aperçut, bien qu'il ait demandé au prêtre et aux assistants s'ils ne l'avaient pas vu. Depuis, Lecomte ne fut plus jamais visité et retrouva la tranquillité. Selon la Revue Spirite : Il ne s'agit pas d'une simple vision mais d'une apparition tangible, puisque le défunt ami de sieur Lecomte lui avait serré la main.

    Source : La Revue Spirite, 1860.

    (3) Brix (50) - Hantée Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 

    En 1910, près de Brix, une auberge était invendable, car elle avait la réputation d'hêtre hantée. En effet, on y entendait la nuit des bruits inexplicables, déplacements de meubles, portes claquante, gémissements.

    Le propriétaire fit venir un prêtre qui pratiqua des exorcismes, fit des aspersions d'eau bénite, en vain (certains exorcismes, non-autorisés, sont dits sauvages ou ne concernent pas le grand exorcisme prévu par le rituel).

    Un des fameux sorciers du Theil (50) fut appelé ; il fit faire dans l'âtre un grand feu de bois dont, en prononçant certaines paroles, il recueillit la cendre ; il fit creuser un sillon tout autour de la maison et y plaça lui-même la cendre (rite gaulois ancestral des cendres entourant les sépultures celtiques). Cette simple opération fit disparaître les bruits anormaux.

    Source : Le Tenneur René - Magie Sorcellerie et fantastique en Normandie - 1979.

    (4) La Légende de l'If de Brix (50)  /  Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 

    Dans le vallon des Faulx, vivait un couple de bûcherons Louisot et Toinette Clovis, déjà âgé et sans enfant à recueillir. Malgré leurs maigres ressources, ils accueillirent un jeune orphelin de 6 ans du nom de Jean-Marie. Ils s’entendent tous les trois à merveille. Parfois l’enfant accompagne Louisot dans le bois qui entoure le château d’Adam Bruce et ramasse les copeaux de bois qui volent en éclat sous les coups de hache de son père adoptif qui finiront par alimenter le feu de leur humble demeure. Il en profite aussi pour se promener dans les environs et contemple les semis de différentes espèces de conifères que messire Adam Bruce destine à l’ornementation de son manoir. Quelques mois plus tard, par un fort mauvais temps, Louisot partit offrir ses services à la famille des Bruce pour la fête de Noël. La santé du petit Jean-Marie semblait s’altérer depuis peu, alors il fût préférable qu’il reste à son foyer où il déposa ses petits sabots de bois dans l’âtre de la cheminée. Le lendemain matin, à son réveil, il découvrit avec surprise un petit paquet dans l’un de ses sabots, un joli petit arbre vert émeraude comme il les aimait tant. Celui-ci était un if. 

    Jean-Marie apporta un soin tout particulier à son if, chaque jour durant, il l’arrosait, l’exposait au soleil et le déposait chaque soir près d’un crucifix et d’une image pieuse. Un an passa, l’arbre grandissait et devenait de plus en plus beau à l’instar du petit Jean-Marie qui d’un seul coup fut pris d’un mal mystérieux, sans en connaître la raison. Malgré l’amour de ses parents adoptifs, des soins généreux du châtelain et de la médecine, l’enfant mourut et fût enterré dans un coin du cimetière de Brix. De son vivant, l’enfant n’eut de cesse de demander à Louisot et Toinette qu’ils prennent bien soin de son jeune arbre « C’est l’arbre de Dieu » disait-il. Devenant trop âgés, Louisot et Toinette devaient trouver une solution pour que l’if continue de vivre après leur propre mort. Toinette eu une idée aussitôt approuvée par Louisot. Le lendemain arrivés au cimetière, ils plantèrent l’if près de la tombe de Jean-Marie… et deux larmes vinrent se mêler à la terre... 

    De nos jours, nous pouvons toujours contempler cet if majestueux dans le cimetière de Brix devenu millénaire. Il est officiellement répertorié comme un des arbres remarquables du département.

    Source : Cotentin unique par nature.

    (5) Brix (50) - 26/10/1989 - 01 h / 02  h / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    (RR3 surnommée « Le Trou Normand » par le GEIPAN (humour, propre aux truffeurs = truqueurs, avec un soupçon d'ironie méprisante et condescendante ?!) . 

    Un deuxième Crash « Franco/Normand » : 

    (Cf .chasseur2legende.jimdo.com/france-régions-normandie)  

    La découverte en octobre 89, par un agriculteur, d'une surface de terre brûlée dans une prairie déclenchera encore d'importantes investigations et l'ouverture d'un dossier transmis aux autorités militaires. La zone : de forme irrégulière, est longue de 17 mètres et large de 4, où la végétation a totalement disparu et la terre, dont le niveau a baissé d'une quinzaine de centimètre, est de couleur noire. 

    [et où 5 à 6 m3 de terre aurait disparu] 

    [de plus il y avait en réalité deux traces séparées et non pas une seule … la première ayant la forme d'une longue traînée sur plusieurs mètres suggérant fortement qu'un objet y aurait ripé, avant de rebondir, pour finalement s'arrêter en creusant cette cavité irrégulière de 17 m sur 4, en se dissolvant littéralement sur place dans une fusion à très haute température ?!] 

    Des carottages révéleront que la terre a été brûlée sur 2 à 3 cm de profondeur. Des experts du Centre National d’Étude Spatiales viendront sur place. 

    [Ci-joint Le compte-rendu du SEPRA (prédécesseur du Geipan) - nous en profitons pour remercier l'aimable collaboration du Génpi, association ufologique privée locale, qui a pu faire renvoyer au témoin/propriétaire des lieux le questionnaire type du SEPRA destiné au témoin, qu'il n'avait, en fait, jamais reçu de lui (seulement l'enveloppe qui était vide) : 

    Octobre 1989, dans une Commune de la Manche (50) France, le propriétaire d'un champ découvre dans celui-ci une large zone totalement calcinée. La trace est de forme irrégulière et mesure près de 17 mètres de long sur 4 dans sa partie la plus large. Au niveau de la trace, il n'y a plus aucune trace de végétation, la terre est noire et le sol est spongieux et enfoncé de 10 à 15 cm par rapport au niveau moyen du pré. Une ligne à haute tension 20 kV longe la parcelle à une cinquantaine de mètres de la trace. Les prélèvements par carottage sont effectués sur la zone brulée, ils montrent que la terre est brûlée sur 2 à 3 cm de profondeur et la couleur grise des argiles montre que le sol a été élevé à une forte température. Les échantillons de terre prélevés dans la zone suspecte présentent une forte odeur de produits pétroliers. Les expertises menées confirment la présence de kérosène dans les échantillons. Ces résultats d'analyse suggèrent l'hypothèse d'un largage de kérosène effectué par un avion volant à basse altitude et à faible vitesse. Ce kérosène a pu être enflammé par le passage à travers la ligne à haute tension. En effet, lors de l'enquête, il avait été remarqué de forts grésillements de la ligne au niveau de la jonction de certains isolateurs. Des étincelles ont pu se produire qui ont enflammé le nuage d'hydrocarbure. Cette hypothèse est confortée par un témoin qui a observé une très grande flamme bleue sur la zone, couleur typique de la combustion d'hydrocarbures.|"photos;photos;article;lettre;rapport;lettre;rapport;rapport; 

    rapport;rapport; questionnaire"|"le trou normand (50) 1989 [e-csep p p o] photos couleur.pdf;le trou normand (50) 1989 [e-csep p p o] photos a.pdf;le trou normand (50) 1989 [e-p p t,p s,a] presse-r.pdf;le trou normand (50) 1989 [e-o cl t s,a] courrier-r.pdf;le trou normand (50) 1989 [e-o geol t s,a] analyse echantillon-r.pdf;le trou normand (50) 1989 [e-csep cl t s,a] courrier retour brigade-r.pdf;le trou normand (50) 1989 [e-o syn t s,a] analyse echantillon sol-r.pdf;le trou normand (50) 1989 [e-csep cr t s,a] enquete sepra-r.pdf;le trou normand (50) 1989 [e-csep geol t,d s,a] reperage carottage sol-r.pdf;le trou normand (50) 1989 [e-o atm t s,a] meteo-r.pdf;le trou normand (50) 1989 [e-csep qt t s,a] questionnaire terre-r.pdf"|b |12/12/2008] 

    (de fait : Cf. www.ufologie-paranormal.org/t812-c-est-un-ovni-qui-a-brule-mon-champ ). Le propriétaire du champ [Agriculteur/Éleveur] leur confirmera bien volontiers avoir alerté la gendarmerie, considérant qu'il s'agissait d'un phénomène sortant de l'ordinaire [ayant été le témoin directe (grâce à un besoin naturel) des phénomènes lumineux, auditifs (sifflements) aériens et terrestres] 

    Un autre témoin se manifestera à la gendarmerie pour expliquer que la nuit précédant la découverte, les pleurs de son chien l'ont tiré de son sommeil. 

    "J'ai entendu mon chien gratter à la porte du cellier. Je me suis levé pour le voir et quand je suis sorti dans ma cour, j'ai vu au loin un grand faisceau lumineux. Je peux dire qu'au bord du faisceau, la lumière était bleutée, quand j'ai allumé ma lumière, le faisceau a disparu ". 

    La forte présence de traces d'hydrocarbures de type kérosène, dans les prélèvements de terre brûlée conduiront à envisager l'hypothèse jamais confirmée d'un largage de carburant par "un aéronef volant lentement à basse altitude". En tout cas, aucun plan de vol d'un quelconque appareil n'était enregistré cette nuit-là par les autorités de l'aviation civile. 

    [L'hypothèse du kérosène enflammé et qui a permis au SEPRA de classer - un peu trop facilement et rapidement - cette affaire [comme bien d'autres] aurait dû logiquement au moins endommager la ligne à haute tension dont les câbles aluminium ou cuivre fondent à 660,3 °C et à 1.085 °C théoriques étant donné que la température maximum atteinte par les flamme d'hydrocarbures (kérosène) brûlants dans l'air est d'environ 1000°C … et puis le propriétaire/témoin a signalé, dans les années suivant 1989, lors des contre-enquêtes effectuées par le GÉNPI,  le retour des flammes bleues montant plus haut que les lignes à haute tension … et qui paniquait (à juste raison) car elles représentaient une menace évidente pour ses génisses … donc exit le kérosène.] 

    [Enfin signalons la découverte stupéfiante faite par le GÉNPI à partir d'analyses (réalisées à ses frais) (et confirmées par une double expertise) d'une association/laboratoire locale de veille écologique (du Nord-Cotentin) la présence, sur les traces de terre carbonisée, des isotopes (artificiels) radioactifs du césium 134 et 137 (ce qui n'avait pas été signalé par les précédentes analyses du SEPRA, ni par celles d'un enquêteur du groupe ufologique Lumière Dans La Nuit, lui, pourtant indépendant !?)] 

    Brix-La Capellerie (50) - Manche - Normandie - France - 20/02/1980 - 02 h / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    Mme X (anonymat demandé) de santé fragile, était couchée au premier étage, seule, dans sa maison avec sa fille, son mari étant en voyage à Paris, lorsqu'une lueur bleue comme un éclair en continu l'a réveillée.

    Mme X ne voyait pas l'objet directement mais par l'intermédiaire de la glace qui le reflétait.

    L'objet était bleu pâle très lumineux - comme un éclair - au début de l'observation.

    Il a fait sept ou huit va-et-vient verticaux le temps de l'observation soit environ dix minutes et cela sans l'angle de vision du témoin.

    L'objet virait au vert très lumineux au point le plus bas de son mouvement et redevenait bleu au point le plus haut : ceci à chaque va-et-vient.

    Ayant habité longtemps près d'une base militaire, Madame X est sûre que ce qu'elle a vu n'est ni un avion, ni un hélicoptère ni quelque chose de connue de ce genre.

    N'étant pas du tout rassurée, Mme X a cessé de regarder dans la glace se retournant dans son lit.

    Elle n'a donc pas vu le départ de l'objet. Elle n'a ressenti aucun effet pendant l'observation ni après celle-ci.

    Il n'y a pas eu d'enquête de gendarmerie, Mme X préférant que personne ne sache ce qu'elle a vu. 01 Témoin. Source : Enquête de Bernard Hamel, montage photo Philippe Planard. LDLN n° 203.

    Brocottes (14)

    Février 1898 - Disparu - Le sieur Duverger, propriétaire à Brocottes et demeurant depuis 8 jours à Janville, est disparu de son domicile. Toutes les recherches sont restées infructueuses jusqu'à ce jour. (source : Le Bonhomme Normand).

    Mai 1948 - Au grands maux les grands remèdes -   Mme Vve Giffard, cultivatrice un Brocottes, constatait depuis un certain temps des pertes mystérieuses dans son cheptel, quand elle apprit que Mme Vve Hec, fâcheuse coïncidence, se serait vantée de lui faire « manger ses vaches ».

    Pour conjurer le mauvais sort Mme Giffard a giflé Mme Hec qui a porté plainte. (Source  : Le Bonhomme Libre)

    [Les disparitions inquiétantes de personne sont mortelles dans 29 % des cas, provisoires dans 30 % des cas et continuelles ou définitives dans 41 % des cas. La concordance territoriale entre les épicentres des apparitions des ovnis et les disparitions inquiétantes accrédite la thèse de l’ingérence parasitaires des exogènes-polymorphes comme principaux acteurs de ces disparitions, de même que le factuel des états somnambuliques des personnes disparues/retrouvées et qui montrent les symptômes identiques de désorientation, d’amnésie, de perturbation psychique, de missing time, etc. des RR4 ou des phénomènes dits des abductions ufologiques. NFO].

    [Selon l’apport traditionnel nombres de disparitions inquiétantes et définitives de personne s’expliquent par le passage de l’horizon des événements d’une Porte Induite par les puits à énergie potentielle et dont les orages, tempêtes, ouragans sont les manifestations tangibles les plus couramment rencontrées - NFO].

    Broglie (27) - Eure - Normandie - France - 17/11/1996 - entre 01 h 30 et 02 h / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

      

     Les Men-In-Black en Normandie

     

    (1) Broglie (27) - 17/11/1996 - entre 01h30 et 02h / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)
     
    Voitures folles

    L'incident concerne une automobiliste française, Mme Stéphanie Tahon.

    Le 17 novembre 1996, après un court séjour en Normandie, elle revient vers la région parisienne au volant de sa voiture en compagnie d'un ami.

    Il est entre 1h30 et 2h du matin. Sur la route de Broglie, près de Lisieux, en direction de Paris, à la sortie d'un rond-point, le véhicule entre dans un banc de brouillard.

    Au rond-point suivant, une voiture blanche est remarquée sur le bas-côté de la route.

    Mme Tahon et son passager décident de refaire le tour du rond-point pour voir si quelqu'un est blessé dans ce véhicule.

    En dépassant la route vers Paris les deux témoins distinguent sur celle-ci deux autres voitures à l'arrêt disposées comme si elles voulaient bloquer la circulation.

    Ce sont deux automobiles très basses de type modèles américains 1950. De plus, elles semblent entourées d'un halo blanc.

    Puis les témoins parviennent de nouveau à l'endroit où la voiture blanche se trouvait, pour constater qu'en fait il n'y a personne à l'intérieur.

    Ensuite, quand ils se rapprochent prudemment de la route qui conduit vers Paris, c'est pour constater que les deux voitures ont disparu, ce qui les soulage grandement.

    Très choqués, ils poursuivent leur route avec lenteur, car le brouillard est toujours présent.

    Au bout de dix kilomètres, Mme Tahon aperçoit tout à coup dans son rétroviseur une voiture noire qui arrive à une allure folle, entre 200 et 300 km/h, avec deux phares ronds très puissants, de couleur jaune.

    Ce nouveau venu double la 205 mais avec deux changements de direction anguleux, aberrants, car impossibles à réaliser surtout à cette vitesse énorme.

    Lors du dépassement aucun bruit n'a été entendu.

    Autre chose, quand les deux témoins ont vu les deux voitures, ils ont éprouvé la sensation d'une étrange sérénité et que le temps était figé.

    L'enquêteur affirme que Mme Tahon lui a fait une très bonne impression, d'autant que durant son récit elle est restée calme, lucide et objective.

    Sources : Enquête Joël Mesnard, sur une information de Mme Astrid Fournier abonnée à LDLN, cf. LDLN n°371, février 2004, p.35.  Et Jean Sider : La grande mystification 1/ Mystification et polymorphisme du phénomène Ovni, p.192.

    (2) Broglie (27) - La Pierre à Légende

     

     

    La Pierre Lormée est un immense bloc de grès couché sur le sol. Brisé en deux blocs de 3,5 m et 1,5 m, il mesure 5 m de longueur sur 4 m de largeur. Sa partie la plus saillante a une hauteur de 1 m. Des cavités en forme de siège ont été creusées dans sa masse à une date indéterminée.

    Identifié en 1896 comme dolmen, il pourrait s'agir d'une pierre à légende. Sources : Wikipédia - Mégalithes du Monde.

     

     

    (1) Bourgtheroulde (27) - Eure - Normandie - France - 15/01/2008 - 05/11/1990 / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

    Hameau de Basville - Près de (2) Bourgtheroulde (27) - Eure - Normandie - France - 15/01/2008 - 22/12/1985 - 22 h 40 / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    Hameau de Basville, à 05 km à l’ouest de Bourgtheroulde, près de l’endroit où la départementale D.88 passe sur la voie ferrée. Carte Michelin n° 55, pli n05.

    Le 22 décembre 1985, vers 22 h 40, « comme chaque soir, après le programme de la télévision, je suis sorti avec ma chienne lorsque mon attention fut attirée par deux lumières qui tournaient au-dessus de l’herbage à côté de la maison ; ces deux lumières ressemblaient à deux rectangles, qui, en fonction de l’altitude à laquelle ils étaient, pouvaient avoir dix à quinze mètres de long, par deux à cinq mètres de large (ces mesures ne sont qu’une appréciation personnelle). Ces deux engins tournaient à vive allure dans le sens des aiguilles d’une montre et parcouraient un cercle d(au moins 100 m de diamètre. Ne comprenant pas ce qui se passait, je suis allé chercher ma femme, et lui demandais si elle voyait quelque chose. Elle me décrivit ce que je voyais moi-même, donc je ne rêvais pas.

    Nous avons observé ce phénomène pendant 04 à 05 minutes environ, puis l’un des engins s’est arrêté à côté du premier, puis la clarté a disparu petit à petit comme si ces engins étaient montés verticalement. Puis plus rien… »

    D’après les témoins, les rectangles lumineux accomplissaient une rotation en deux ou trois secondes, les bords des rectangles étaient bien nets et ne présentaient aucune auréole. Ces rectangles restaient dans la même orientation, parallèlement à eux-mêmes. De temps en temps, l’un des rectangles tendait à rattraper l’autre, mais il se mettait rapidement à l’opposé sur le même diamètre qui semblait les entrainer tous les deux.

    Le phénomène était observé vars le nord-est, et le témoin avait l’impression que ce phénomène se passait au-dessus de la voie ferrée qui passe à 200 m à l’est évalué à une hauteur de 30° au-dessus de l’horizon et le phénomène était observé au ras des nuages sur le ciel clair.

    Les rectangles étaient éclairés uniformément. Leur teinte blanchâtre, tirant vers le jaune ; aucun échantillon du nuancier Pantore ne correspond à la teinte observée.

    Le chien n’a pas réagi. Il n’y a pas d’autre témoin, les habitations les plus proches sont à quelques 500 m de la maison de Monsieur L.

    Le fait que les bords des rectangles étaient nets implique que le phénomène était relativement proche, car une grande distance eut estompé les bords par la brume souvent présente en Normandie. De plus, cette netteté montre que le phénomène était autonome, et non la projection d’un faisceau lumineux sur les nuages, qui eut également entrainé un dégradé et des phénomènes de diffraction.

    Ce cas est assez curieux. On peut le rapprocher de l’enquête faite à Gamaches (Somme) où trois boules décrivent un cercle en restant alignées horizontalement. (Voir LDLN n° 190, décembre 1979, enquête de Mr. Jacky Laurent). 02 Témoins. Source : Enquête de Robert Crépin Délégué Régional LDLN - LDLN n°238.

    Brucourt (14) - Calvados - Normandie - France -au début des années 1970 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    Des sphères lumineuses ont été observées par plusieurs personnes dans la soirée. [Source : Ufo-Génpi]

     


     

    Septembre 1903 - Stupides vengeances  - La gendarmerie de Dives-sur-Mer a dressé procès-verbal contre le nommé Albert Delieuvin, 17 ans, journalier à Brucourt, pour destruction de greffes de pommiers au sieur Arel, cultivateur, même commune.

    Une vache appartenant au sieur Édouard Lerouilly, propriétaire au Tourneur, a été mutilée. La gendarmerie de Bény-Bocage recherche activement l'auteur de cet acte stupide. (Source : Le Bonhomme Normand). 

    [Les mutilations relèvent de la catégorie des sacrifices propitiatoires, des pratiques incantatoires et évocatoires magico-occultistes du sadisme-masochisme, lié au rite du baptême du sang. NFO]. 

    La Source de l’Étoile

     

     

    La Source de l’Étoile de Brucourt (14)

     

    Brucourt apparaît pour la première fois dans l’histoire en 1060, lors de la tentative de la reconquête de la Normandie par Henry Ier. Ce petit village situé dans le pays d’Auge, durant la Seconde Guerre mondiale, fut le témoin de la bataille de Normandie. Les sources sont rares sur la commune malgré l’abondance de l’eau du fait de la présence des marais de la Dives et de l’Ancre.

    La source de l’étoile, d’un faible débit, est déjà connue en 1637 d’un nommé Musnar qui la décrit comme “possédant des bienfaits thérapeutiques”. Des analyses de la composition de cette eau sont réalisées en 1778 par Lepecq de la Clôture, médecin caennais connu pour ses travaux sur les maladies épidémiques, en 1860 par Henry Ossian, membre de l’académie de médecine, en 1884 par Gloez de l’académie des sciences. Alexandre Gustave Hérault (1780-1848), polytechnicien et inspecteur général des mines, rédige en 1844 une note sur « la source de Brucourt, appelée aussi fontaine de Dives, qui sort des argiles oxfordiennes et contient de l’acide carbonique (2,272 g), des sulfates de chaux (2,415 g) et de magnésie (4,915 g), des chlorures de sodium (2 g) et de magnésium (0,16 g), des sous-carbonates de fer (0,68 g), de chaux (2,924 g), de carbonate de magnésie (0,48 g) et de la silice (0,08 g) (quantité pour 8 kg d’eau) ». La plaque apposée sur la source indique l’approbation de l’académie de médecine le 12 mai 1885 et l’autorisation d’exploitation de l’État du 12 juin 1885. Dès 1877, M. Laur, propriétaire de la source, décide de commercialiser son eau. La Compagnie Fermière de Vichy qui s’en est portée acquéreur, fait réaliser plusieurs captages pour en améliorer le débit mais sans aucun succès. Elle la revend alors à deux médecins parisiens, MM. Thomas et Collardeau, qui la cèdent rapidement à l’un de leurs confrères de Caen, le docteur Mullois. Une dernière tentative est faite début 1914 par une société anglaise avec la production de 2 000 bouteilles à destination de la capitale.

    Mais la déclaration de la guerre met fin au projet de création d’un établissement thermal de standing. Pourtant M. Deleau, créateur du Sirop Deleau contre la toux, ancien chef de laboratoire à l’école de médecine de Caen et pharmacien à Dives-sur-Mer, déclare en 1917 que « les examens réalisés permettent d’affirmer que l’eau de Brucourt est éminemment reconstituante et tonique. Pour un usage prolongé, on a jamais à craindre d’affections congestives. Son emploi se justifie chaque fois que l’organisme à besoin de fer. En résumé, les sources ferrugineuses existent un peu partout, mais le fer et la magnésie n’ont jamais encore été jusqu’ici rencontrés que dans l’eau de Brucourt seulement. Aussi cette eau est-elle appelée à combattre l’anémie, le choléra, le lymphatisme et toutes les affections qui en découlent. » ll existe encore des reproductions d’une affiche de 1894 ventant les mérites de l’eau minérale ferrugineuse de Brucourt, aujourd’hui enfermée dans une grotte artificielle, la source déverse au ruisseau cette eau dont les propriétés ont pourtant été reconnues. Un peu plus loin il existe une seconde source en cours de réhabilitation.

    Sur la dite colline est érigée l’église (XVème-XVIIIème siècle) dédiée à Saint-Vigor, tout à côté un Monastère abrite une dizaine de religieuses de l’ordre de l’Annonciade. Elles occupent un bâtiment construit, entre 1912 et 1920, par un couple de riches collectionneurs, Louis Serbat (1875-1953), et sa femme, née Madeleine de Vaufreland.

    C’est en 1951, alors que le couple se retire au château de Laàs, qu’il lègue le manoir Saint-Laurent aux Bénédictins pour qu’ils puissent y assurer une présence et un accueil apostolique. Mais comme ceux-ci ne vivent sur la colline Saint-Laurent que pendant les mois d’été, le manoir est proposé à l’ordre de la Vierge Marie. C’est donc en 1975 que s’installent six sœurs de l’Annonciade (ordre monastique fondé à Bourges par Jeanne de France fille de Louis XI). Une partie du monastère est réservée à l’accueil monastique, en priorité à des retraitants ou des personnes en recherche de vie spirituelle. Une maison normande annexe du monastère permet de recevoir, pour de brefs séjours, ceux qui désirent se joindre à la prière de la communauté aujourd’hui composée de neuf moniales, et bénéficier du calme et du silence de ce lieu. [Fontaines de France].

    (1) Buchy (76) - 13/11/1954 - vers 02 h du matin / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    Toujours près de Buchy

    Encore un témoignage au dossier des "engins non identifiés"

    "Dans la nuit de vendredi à samedi vers 2 heures du matin, je revenais de Buchy, au volant de ma 4 CV, et m'apprêtais à m'engager sur la R.N. 28, de Neufchatel à Rouen, nous déclare M. R. I..., lorsque j'ai été témoin de la scène suivante:

    "J'avais dépassé le passage à niveau de 500 mètres environ lorsque j'aperçus soudain une lueur, qui semblait stationner sur le bord droit de la route, à une centaine de mètres devant mois [sic, moi]. Aussitôt, la chose décolla et s'enfuit vers le nord, mais au lieu de s'élever à la verticale, comme à l'habitude, l'engin semblait onduler à quelques mètres du sol. La lueur, d'un blanc verdâtre, était régulièrement intermittente et semblait précéder une masse sombre qui semblait progresser par bonds à une vitesse que j'estime de l'ordre de 150 km - heure.

    "En arrivant à la hauteur où devait se trouver l'engin quand je l'aperçus, je ne sais ce qui se passe, mais je me sentis comme paralysé, et de 90 km à l'heure, vitesse à laquelle je roulais, je dus bientôt repasser en seconde, sans avoir eu conscience de ralentir volontairement.

    "Je n'affirme pas avoir été soumis à une influence extérieure, mais n'ayant pas l'habitude de m'émouvoir d'un rien, je ne puis attribuer un tel effet d'inhibition"...

    Ce témoignage est d'autant plus digne de foi qu'il émane d'une personnalité rouennaise fort connue, qui passe pour ne pas s'en laisser compter [sic, "conter"] aisément. 01 Témoin. Source : Paris-Normandie du 15/11/1954.

    (2) Buchy (76) - Montérolier (76) - Le Suicidé

    Vers 1850, au petit village de Montérolier, on vit le fantôme d'un vieux prêtre qui, s'étant suicidé, revint dire une messe : un menuisier dit lui servir de répondant.

    Source : Le Tenneur René - Magie Sorcellerie et fantastique en Normandie - 1979.

    (3) Buchy (76) - Vérité cachée ou insupportable vérité / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

    La grotte de Montérolier

     

    (4) Buchy (76) - La grotte de MontérolierPoint-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    Le 21 juin 1995, trois enfants et six adultes dont quatre pompiers meurent asphyxiés dans une grotte à Montérolier près de Rouen. L'enquête conclut à une intoxication au monoxyde de carbone, provenant d’un feu allumé par les adolescents. De nouveaux témoignages renforcent la thèse officielle, remise en cause par les familles des victimes.

    A Buchy, tout le monde connaît la grotte. Nichée dans le bois de Clairefeuille, elle n’est qu’à 3 kilomètres de la commune. C’est un terrain de jeu pour les enfants. La grotte est un labyrinthe de galeries construites par les Allemands en 1944 pour stocker des pièces des fusées V1, des bombes volantes.

    Le 21 juin 1995, trois adolescents Pierre, Thomas et Nicolas, âgés de 13 et 14 ans, descendent dans la grotte. Le temps passe. Ils ne rentrent pas. Les parents, inquiets, décident d’aller les chercher. Le père de Thomas et Nicolas entre dans la cavité. Il n’en ressortira pas vivant. Un sauveteur bénévole et quatre pompiers sont aussi pris au piège. Ils ne sont pas équipés d’appareils respiratoires.

    Les neuf corps sont retrouvés seulement le lendemain matin car le préfet a décidé d’interrompre les opérations de secours afin de ventiler la grotte. L’interruption dure une bonne partie de la nuit. Ce n’est que vers 7 h du matin que les équipes de secours reprennent les recherches.

    L’enquête va conclure à une intoxication au monoxyde de carbone. Les trois adolescents ont allumé un feu de bois dans la grotte. Ils ont été victimes des émanations. La justice rend un non lieu. Mais les familles ne croient pas à la thèse officielle. Elles évoquent la présence d’un gaz toxique qui proviendrait de munitions anciennes.

    Dominique Petit, un pompier survivant, s’interroge. Equipé d’un masque, il s’est retrouvé à court d’oxygène dans la grotte. Après deux jours et demi de coma, il apprend que des traces de monoxyde de carbone et de cyanure ont été trouvées dans son sang. Mais on refuse de lui transmettre les résultats de son bilan sanguin.

    Jean Luc Géronimi , l’expert qui a effectué des prélèvements dans la grotte, s’exprime pour la première fois. Et il avance une explication sur la présence de cyanure : « Il y avait des détritus de matériaux plastiques qui contenaient du cyanure. L’acide cyanhydrique se dégage tout naturellement avec la combustion » .

    Pour allumer leur feu, les enfants ont, selon l’expert, improvisé des torches avec des morceaux de bois à l’extrémité desquels ils ont mis des sacs plastiques imprégnés d’essence.« A l’emplacement où les enfants ont allumé le feu, il n’y avait pas de ventilation. Au contraire, les gaz de combustion s’accumulaient »* , explique Jean Luc Géronimi, qui exclut l’hypothèse d’un gaz toxique datant de la Première ou de la Seconde Guerre mondiale. « Aucun élément toxique n’a été trouvé dans la grotte » , assure-t-il.

    Autre point qui tourmente les familles des victimes, la décision du préfet d’interrompre les opérations de secours pendant une bonne partie de la nuit afin de ventiler la grotte. Certaines pensent que des vies auraient pu être sauvées.

    « Certains pompiers étaient rentrés masqués et étaient quand même victime des émanations » , raconte Patrick Buttin, qui était à l’époque directeur de cabinet du préfet. « Fallait-il arrêter les secours ? C’est une bonne question. Mais on s’est dit cinq hommes y sont restés, alors est ce qu’il faut continuer ? Non ! » .

    L’arrivée des militaires et la mise en place d’un périmètre interdit autour de la grotte pendant une semaine alimentent les soupçons, tout comme le manque de transparence de la justice. Le doute des familles est il fondé ? A cette question, le sociologue Gérard Bronner apporte cette réponse :

    « Il est très difficile d’accepter une explication fondée sur l’insouciance, voire l’erreur, la maladresse » , explique t-il, « beaucoup plus satisfaisante est l’idée qu’il y aurait si ce n’est un complot, une responsabilité politique, militaire dans cette affaire. Il y a des hypothèses qui nous soulagent psychologiquement. Et je crois que malheureusement nous sommes dans ce cas de figure » . Source : ICI du 03/10/2014

    (5) Buchy (76) - Le mystère de la grotte de Montérolier Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    Il y a 23 ans, entre Buchy et Montérolier, près de Rouen, trois enfants, quatre sapeurs pompiers, un papa et un spéléo sont morts dans des circonstances mystérieuses.

    Les enfants étaient partis à la découverte d’une grotte. Un jeu, une aventure enfantine. En fin d’après midi, les mamans se sont inquiétées de ne pas les voir rentrer. Les papas sont allés à la grotte. L’un est entré pendant l’autre appelait les secours. Cette soirée d’équinoxe d’été, la plus longue de l’année, devait être belle et douce. Elle est devenue tragédie.

    21 juin 1995, entre Buchy et Montérolier (Seine-Maritime), c’est une tragédie qui se joue dans la douceur d’une belle soirée d’été. Trois enfants partis à la découverte d’une grotte vont mourir dans des circonstances qui restent mystérieuses aujourd’hui encore. Le papa de l’un des enfants, un spéléo amateur, puis quatre pompiers partis à leur secours meurent également dans des circonstances tout aussi mystérieuses.

    Une enquête a été menée, la justice a suivi son cours et le dossier a été refermé. Sans que les familles des victimes ne sachent de quoi sont morts leurs enfants, leurs maris, leurs amis et camarades. Depuis cette nuit tragique, c’est une chape de plomb qui semble avoir été posée sur la tragédie de Montérolier.

    23 ans plus tard, la rédaction du Bulletin de Darnétal est retournée sur les lieux. Les journalistes ont retrouvé les familles, meurtries à jamais, ils ont rencontré Dominique Petit le pompier miraculé qui depuis les faits s’était muré dans le silence, ils ont donné la parole à la juge d’instruction de l’époque, qui avait conclu et refermé le dossier…

    Un hors-série de 32 pages revient sur cette tragédie. 32 pages de témoignages. Forts, poignants… Des témoignages tels que celui de Michèle et José Lampérier qui ont perdu leur petit Pierre dans la tragédie.

    Le portrait de Pierre est discret, posé sur un meuble de la salle à manger. Les voix sont graves. La colère froide et contenue. Les cheveux ont blanchi, mais la détermination pour connaître la vérité n’a pas varié. Jamais José et Michèle Lampérier n’ont lâché prise. « Il ne se passe pas une semaine sans que nous parlions de tout ça… »

    Ce mercredi 21 juin 1995, dans la soirée, leur vie a basculé. Leur petit Pierre, 14 ans, ne reviendra jamais de sa balade à vélo. Comme Nicolas et Thomas Havé, ses copains. Le samedi d’avant, les enfants avaient évoqué la découverte de la grotte. Terrain de jeu fantastique quand on a 14 ans. Piège mortel en vérité. Et depuis 23 ans, la grotte de Clairfeuille a gardé son terrible mystère.

    Les parents des victimes — trois enfants, un papa, un spéléo amateur et quatre pompiers — ne savent toujours pas les raisons de cette tragédie. Comme si une chape de plomb avait été posée au dessus de cette affaire. Comme si quelqu’un avait intérêt à cacher des choses. Privant ainsi les familles des victimes, ces parents, ces épouses, ces enfants, ces frères et sœurs, de leur droit, légitime, à faire (enfin) leur deuil.

    Chaque fois qu’une piste se révélait, chaque fois que nous commencions à tirer un fil, en espérant qu’il nous conduise vers la vérité, chaque fois nous avons été confrontés à un mur…, note José Lampérier.

    La grotte maudite offre un air lugubre. Des tonnes de terre blanchâtre, de la marne certainement, ont été déversées depuis le sommet de la colline pour interdire l’entrée de la grotte. Pour autant, le piège mortel demeure accessible. Un simple fil de barbelés barre l’entrée du site.

    En bas, le monument érigé par les familles en mémoire des victimes, est ceint d’une petite clôture. Comme pour protéger la mémoire de ceux qui sont morts dans des circonstances mystérieuses à quelques mètres de là. Chaque année, le 21 juin à 21h, selon un rite immuable, les familles, les sapeurs pompiers de Buchy se retrouvent sur les lieux du drame pour une cérémonie empreinte d’émotion. D’émotion et de colère car nombreux sont ceux qui restent persuadés qu’on ne leur a jamais dit la vérité.

    Longtemps, les familles ont été invitées à la cérémonie du souvenir organisée par l’autorité des sapeurs pompiers à la caserne Gambetta de Rouen, « mais depuis le 20e anniversaire, on ne nous invite plus, alors que la cérémonie a toujours lieu… » Michèle et José Lampérier seraient-ils gênants ?

    À dire vrai, ils ont souvent eu ce sentiment. Pendant l’enquête, et depuis les faits. « Si vous saviez comme ça fait mal de s’entendre dire que les enfants sont responsables de la mort des pompiers… Parce qu’ils auraient allumé un feu. Si vous saviez comme c‘est violent de s’entendre dire que l’on gêne l’enquête alors qu’on demande juste à savoir à quelle heure est mort notre enfant… »

    À ceux qui pensaient que la famille Lampérier baisserait les bras dans sa quête de vérité, José assure que maintenant qu’il a cessé son activité professionnelle, il va disposer de suffisamment de temps pour se replonger dans la masse de documents accumulés pendant ces 23 ans.

    Parce que j’ai bien le droit de savoir… Savoir comment ils sont morts, savoir combien de temps a duré leur agonie… Aujourd’hui, non je ne lâche pas prise. J’ai besoin de réfléchir. Mais on veut toujours savoir. On n’a pas renoncé à connaître la vérité. J’ai quand bien le droit de savoir à quelle heure est mort mon gamin ! Source : 76actu du 16/06/2018.

    (6) Buchy (76) - Drame de la grotte de Clairfeuille - Montérolier Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    Lundi 21 juin 2021, cela fera 26 ans que le drame de la grotte de Clairfeuille, à Montérolier (Seine-Maritime) a eu lieu. Chaque année, les familles des neuf personnes qui ont péri dans la grotte, parmi lesquelles trois enfants, se retrouvent devant une stèle érigée en leur mémoire.

    Et chaque année qui passe, tous se posent les mêmes questions, qui restent toujours sans réponse. Malgré cette chappe de plomb qui s’est refermée sur le drame de Montérolier, les familles sont toujours là. Jamais elles ne renonceront à connaître la vérité, et elles restent déterminées à éclaircir les trop nombreuses zones d’ombres qui entâchent encore ce dossier, pour lequel un juge d’instruction a ordonné un non-lieu en 1997.

    Jamais les familles ne se résoudront à accepter cette décision de justice, qui selon elles n’explique rien et en tout cas pas comment neuf personnes ont pu perdre la vie dans cette grotte. Jamais elles n’accepteront cette vérité officielle d’un feu qu’auraient allumé les enfants. Feu qui aurait provoqué un dégagement de monoxyde de carbone, qui serait la cause des neuf décès… Totalement improbable selon les familles, qui s’appuient sur les déclarations faites à l’époque par certains experts.

    Et chaque année, la même question lancinante se pose : quelle action entreprendre pour faire émerger de nouveaux indices ? Des témoins de cette tragédie pourraient-ils encore s’exprimer pour lever tous les doutes ? Alors que certains faits divers sont parfois résolus jusqu’à près de 30 ans après les faits, peut-on imaginer que de nouveaux éléments viennent éclairer d’un jour nouveau cette dramatique histoire ?

    À l’image de cette nouvelle émission proposée par M6, et intitulée Appel à témoins, qui ambitionne de revenir sur ce qu’on appelle des Cold Case ou pour retrouver des personnes disparues ; peut-on imaginer que des témoignages nouveaux pourraient amener à rouvrir l’enquête et enfin répondre aux questions qui taraudent les familles des victimes de la grotte de Montérolier ?

    Le silence de l’oubli, c’est en tout cas ce que redoutent les familles des victimes. C’est pour cette raison que chaque 21 juin, alors que la France célèbre la musique, à Buchy, on se recueille, pour ne pas oublier ces neuf victimes, parmi lesquelles trois enfants, le père de deux d’entre eux, quatre sapeurs-pompiers et un riverain. Pierre Lampérier, 14 ans ; Thomas Havé, 13 ans ; Nicolas Havé, 14 ans ; Jean-Jacques Havé, 41 ans ; Gérard Duvivier, 35 ans ; Laurent Pannier, 32 ans ; Fabrice Pigny, 22 ans ; Bruno Poullain, 32 ans ; Jean-Yves Soulard, 36 ans.

    Chaque année ces noms sont égrenés, pour que les familles sachent que personne ne veut oublier le drame qu’elles continuent de vivre, année après année… Source : 76actu du 20/06/2021.

    Feuguerolles-Bully (14) - La vallée de la Guigne

    La légende du charbon : pendant des siècles sur la commune de Feuguerolles, une pierre intrigua de nombreux carriers. De couleur noire, celle-ci devenait incandescente lorsqu'on la brûlait. Pensant découvrir le précieux "Charbon de terre", des puits furent creusés dans l'espoir de trouver un gisement de houille. Malheureusement, les recherches restèrent vaines et furent interrompues au début du XXe siècle. Le charbon de Feuguerolles n'est plus aujourd'hui qu'une légende. [Visorando]

    Bully (76) - La Tête en Bas/ L'Antigravité au XVIIIe siècle 

    A Bully, vers 1720, plusieurs habitants, des femmes surtout, commencèrent à se croire ensorcelées. En proie à la possession diabolique, ils se livrèrent à de nombreuses extravagances, poussant des cris, se roulant à terre, grimpant sur les toits ; on vit même, paraît-il, des femmes marchant la tête en bas sans que l'on remarqua aucun désordre dans leurs vêtements. 

    Source : J. E. Decorde, Essai historique sur le canton de Neufchatel.

    Mars 1888 - Basse méchanceté -  Depuis quelque temps, le sieur Bachelot, cultivateur à Burcy, avait des malheurs de toutes sortes : le feu prit chez lui, un de ses poulains fut tué et  jeté à l'eau, deux bœufs crevèrent et plusieurs vaches succombèrent. Il soupçonna le nommé Maupas, meunier, qui lui en voulait depuis longtemps. Dernièrement, il l'aperçut qui se cachait dans la grange. Il se jeta sur lui, le terrassa et l'arrêta avec l'aide des voisins. La gendarmerie, prévenue, fit une enquête. Maupas prétendit que Bachelot l'avait entraîné dans sa grange pour le battre, mais des pommes déterre, qui avaient été jetées à la portée des bestiaux après avoir été fendues et recousues, lui donnaient le plus formel démenti. On fil l'autopsie d'une des bêtes mortes, et on reconnut qu'elle avait été empoisonnée par l'arsenic. Maupas a été écroué à Vire.

    [La tradition explique les comportements débordants, antisociaux, ou agressifs, sadiques par les phénomènes de hantises ou de possession liés au parasitage psychique exercé par des éthérés noosphériques. NFO].

    [De même que les comportements inhumains, suicidaires ou morbides. NFO].

    Juillet 1893 - Les fantaisies de la foudre  - La semaine dernière, la foudre, après avoir un peu éraillé la tête de la cheminée de la maison de M. Mancel, demeurant à Bully, est descendue par le tuyau de cette cheminée dans la cuisine, abattant ce qu'elle trouvait sur son passage, dérangeant plusieurs objets de place. De la cuisine, le fluide entra dans une salle contiguë, arrêta l'horloge, en décrochant un des poids, puis, par un trou qu'il se fraya au-dessus de la boite de cette horloge, passa dans le grenier, où il perça, à trois endroits différents, la pointe d'un des gables. Personne heureusement ne se trouvait alors dans la maison. (Source : Le Bonhomme Normand).

    [La conception des Modernes de la foudre diffère de celle des Anciens, qui l’identifiaient à un châtiment divin et céleste (cf. l’Ancien Testament), à l’exemple du foudre de Zeus, représenté par trois rayons, qui leur apparaissait comme une des manifestations sacrées du dieu et correspondait à sa parole, mais également à sa volonté de puissance. Les cadavres foudroyés étaient recouverts de terre et les lieux où la foudre était tombée devenaient un lieu de culte. Désormais, ils se trouvaient comme marqués d'un signe mystérieux que des prêtres, spécialisés dans l'art « fulgural », devaient interpréter pour le commun des mortels. (Dictionnaire de la mythologie grecque et romaine, Paris, Larousse, mars 2017 - Wikipédia). Ce phénomène céleste est aussi l’un des signes de l’ouverture des puits à énergie potentielle des portes induites ou portails multidimensionnels. NFO].

    Buré (61) - Le Département du Cheval

    24/08/2020, un cheval a été découvert blessé au cou, dans son champ, par son propriétaire, une jeune femme, à Buré, près de Mêle-sur-Sarthe (61).

    Source :  ouest-france.fr/normandie/alencon.

    Bures-sur-Dives (14)

    Octobre 1875 - Accident par la foudre - Pendant la nuit orageuse de mardi à mercredi, le tonnerre est tombé dans la commune de Bures, sur un peuplier situé près de la  maison du sieur Foison, et l'a mis en morceaux qui ont été éparpillés de tous côtés. La maison du sieur Foison a été préservée de la foudre, mais plusieurs maisons situées à quelque distance de cette dernière ont eu leurs carreaux cassés par les effets de la commotion électrique, on en compte 14 chez M. Morand, propriétaire, et un nombre moindre chez les sieurs Barbey et Lebey. Dans le marais de Troarn, une jument appartenant au sieur Coudray, aveuglée par les éclairs, est tombée dans un fossé et s'y est noyée. [USHC].

    Juillet 1867 - Un orage - On nous écrit de Bavent, qu'un violent orage a éclaté sur ce pays dans la nuit du 12 au 13 juillet. La foudre est tombée en plusieurs endroits.

    À Bavent, elle a brisée un pommier et un peuplier ; à Bures, elle est tombée sur la cheminée du sieur Desloges, et en a détaché quelques pierres ; enfin sur le territoire de Basseneville, le tonnerre a réduit en cendres une meule de foin. [USHC].

    [La conception des Modernes de la foudre diffère de celle des Anciens, qui l’identifiaient à un châtiment divin et céleste (cf. l’Ancien Testament), à l’exemple du foudre de Zeus, représenté par trois rayons, qui leur apparaissait comme une des manifestations sacrées du dieu et correspondait à sa parole, mais également à sa volonté de puissance. Les cadavres foudroyés étaient recouverts de terre et les lieux où la foudre était tombée devenaient un lieu de culte. Désormais, ils se trouvaient comme marqués d'un signe mystérieux que des prêtres, spécialisés dans l'art « fulgural », devaient interpréter pour le commun des mortels. (Dictionnaire de la mythologie grecque et romaine, Paris, Larousse, mars 2017 - Wikipédia). Ce phénomène céleste est aussi l’un des signes de l’ouverture des puits à énergie potentielle des portes induites ou portails multidimensionnels. NFO].

    Géolocalisation des Sabbats  

    Aux environs de Vassy (14), le village de Jean-le-Blanc (14), Beaumont-le-Roger (27), le mont Bonnet Vire (14), les rochers de Clécy (14), la butte Brimbal entre Sourdeval (50) et Tinchebray (61), la mare de Bouillon (50), dans la forêt de Néhou (50), à Méautis (50), aux bois d'Etenclin (50), aux bois de Lithaire (50), forêt de Barnavast (50), dans la contrée du Theil (50), dans la contrée de Saussemesnil (50), le mont Margantin (61), Gaillefontaine (76), à Bully-la-Fosse (76), à Aliermont (76), au Mesnil-Esnard (76), à Londinière (76), à Fréauville (76), à Pont-Angot (61), sur la Dives vers Vicques (27), à Louviers (27), à Gisors (27), à Tosny (27), à Saint-André et Saint-Georges-de-Bohon (50), le mont Etenclin près de la Haye-du-Puits (50), Montchauvet (14)

    Sources : Le Tenneur René - Magie Sorcellerie et fantastique en Normandie -1979. 

    L’Arme d’Invasion Massive

    Extraits : Les Prédateurs, expliquant dans le détail comment ces Créatures Inorganiques et Symbiotiques et Noosphériques se développent et se nourrissent à partir des Émotions de la Psyché Humaine ou Animale, et pourquoi les extinctions de masse, les guerres d'extermination et conflits sanglants et catastrophes meurtrières, les génocides, les holocaustes, et les tueries, les mutilations les immolations et les sacrifices rituels sont générés par des Êtres réellement Diaboliques.

    La conscience de l'homme se trouve violée en permanence par des incursions étrangères d'énergie appelé être inorganique, ressenties comme changements humoraux plus ou moins puissants, cette entité obscure est capable de substituer sa conscience à la nôtre, pour exacerber le pire [et] se nourrir de ses effets funestes.

    Ils agissent sur un homme normal lors même qu'il croit agir de sa propre volonté. L'homme, conscient de la présence furtive de l'énergie étrangère, la capte, mais conserve sa propre volonté. 

    C'est l'ensemble de notre monde qui serait infecté, déconnecté de sa source créatrice et manipulé [et] oppressé aliéné, immergé dans un enfer terrestre [par des] esprits maudits et sombres [qui ont aussi à leur disposition des armes de destruction massive capables de provoquer des dérèglements du fragile équilibre géo tectonique climatique].

    La création s'articule autour de la prédation et du parasitisme. Les comportements et les consciences sont investis par la peur et l'instinct de survie. Ce n'est ni l'homme, ni la nature qu'il faut remettre en cause, c'est un symbiote étranger qui aurait infecté notre esprit et qui manipulerait la réalité de façon à ce qu'elle devienne un enfer.

    Ces démons dévoreurs de mondes en perdition nous amènent à réfléchir sur l'hypothèse selon laquelle l'âme humaine serait réellement parasitée, elle serait ainsi manipulée par une puissance dissimulée et mystérieuse qui se révèlerait être notre malédiction. Ces entités parasites nous ont infiltrés et ont conféré à notre esprit son côté routinier, répétitif, maniaque, peureux, avide, violent, et calculateur [et qui] sont les coupables de notre aliénation existentielle. [c'est d'ailleurs pour les combattre que la Très Sainte Inquisition Apostolique et Romaine a été créée avant d'en être à son tour la victime]

    Ce sont des prédateurs extraterrestres appelés parfois Tricksters, Lézards, Démon ou Arkontaï en Grec. Les Toltèques les décrivent comme des créatures lourdes, ténébreuses et fuyantes. Les noms les plus communs qu'on leurs attribue sont Créatures de l'Ombre, Simulacres (esprits malins menteurs et tricheurs, les truffeurs/trufer = tromper et se moquer, railler).

    Ce sont eux qui on poussé l'humanité à montrer une plus grande propension à des comportements agressifs, territoriaux, impérialistes, froids, forçant l'homme à vivre toujours dans la crainte d'une agression, ou d'une menace.

    Ce sont là les traits de caractère (de ces parasites) qu'ils auraient donné à l'homme imitant ainsi sa force conquérante et carnassière d'expansion territoriale ainsi que sa doctrine génocidaire de l'élimination du moins apte.

    La psyché humaine est donc parasitée, et cette invasion est avant tout de nature mentale et psychique, il se peut que nous soyons également agressés sur le plan physique.

    Ces entités prédatrices sont connues pour enlever parfois les âmes la nuit  [elles] provoquent un état de panique mortelle qui paralyse le corps, puis ils apparaissent par trois, la tactique habituelle de ces ombres fuyantes est tout d'abord de paralyser et ensuite d'infiltrer le mental du sujet humain. C'est une des descriptions précises des kidnappings modernes, par paralysie du sommeil  des extraterrestres. [les abductions par les pseudos occupants des ovnis par le biais des missing times et des Mmissing Spaces]

    Les hommes des temps anciens s’étaient aperçus que s’ils opposaient à l'esprit des parasites [par] leur vide mental une sorte de silence de l'esprit, cette implantation étrangère disparaissait après de longues années d'efforts et de contrôles, ce qui confirmait, l’origine extérieure de cette intrusion. L'entité dissimulée, le pire prédateur de l'univers, nous prête, à notre insu, sa conscience pour nous faire faire des actes destinés à exacerber notre auto contemplation, qui va générer nos sursauts énergétiques dont se nourrira l'entité.

    En d'autres termes, la prise de conscience qu'un esprit étranger puisse opérer une mainmise en notre mental ne devient parfaitement claire et certaine que lorsque cet intrusion a été repérée, démasquée puis expulsée.

    Pour faire face à l'immense complexité de l'intrusion, la clarté et la concentration constituent des atouts indispensables. La résistance humaine à leurs intrusions dépend de l'attitude intérieure et de la discipline mentale c'est la sobriété du Guerrier. [du Propugnator (celui qui défend, soutient, et protège), du combattant, du bellator, du résistant et du chevalier]

    Les traits de caractère humains attribués à cette déviation, par une implantation étrangère, sont l'envie, la convoitise, la jalousie, la haine, la vanité et l'arrogance sont considérées comme les caractéristiques principales de l'infection [infestation contamination ou possession]

    [ cf. https://novusordoseclorum.1fr1.net/t3714-enquete-sur-les-enlevements-extraterrestres ]

     

     
     
     
     

    La Structure Nomade des Ovnis - Le Triangle du Diable


    Mise à jour de la carte au 03/06/2024

     

    Les Apparitions Ovnis et les Manifestations Surnaturelles et lignes de Ley – Go

     
     
    Extrait du Catalogue de Normandie - France - Ovnis : Seine-Maritime (76), Orne (61), Manche (50), Calvados (14)
     
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