• Le Trou Normand Radioactif

     

    Normandie - France - Ovnis

    Brix (50)

     

    Mise à jour de la carte le 26/04/2023

    Les Apparitions Ovnis et les Manifestations Surnaturelles et lignes de Ley – Go

     

    « Mr. Hébert, a vu jaillir, lui aussi, en janvier 1990, à plusieurs reprises, des grandes lueurs bleues s'élevant à une dizaine de mètres de hauteur. EDF n'a constaté aucun dégât sur la ligne à haute tension qui passe à environ 70 m des traces carbonisées et radioactives. »

     

    [Brix/habitants : 1 357 (42.2 hab/km2) en 1968 - 1 600 (49,8 hab/km2) en 1982 - 1 828 (56,8 hab/km2) en 1990 - 2 155  (67.0 hab/km2) en 2019 - 2 152 (66,9 hab/km2) en 2020 - Commune rurale peu dense ou très peu dense - Climat océanique franc - Superficie 32.16 km2]

     

    Manche (50)

     

    Parti ondé d’azur et de gueules aux deux léopards d’or armés et lampassés d'azur brochant sur le tout.

     

    Brix - La Rade (50) - 25 et 26 /10/1989 - 01 h - 02 h

     

    Brix (50)

    nous étions

    D'or, au sautoir de gueules, au chef du même.

     

    Le Trou Normand Radioactif

     

     

     

     

     

     

    Brix (50) - 26/10/1989 - 01 h / 02 h

    Crasch Radioactif

     

     

    En France, le Géipan à la demande des autorités militaires, renseigne des représentants de la défense nationale sur les rentrées atmosphériques de nature satellitaire terrestre, ou autres, de nature extraterrestre.

     Il intervient aussi prioritairement sur les incidents de ce type, comme l'affaire du Trou Normand ... (qui a été investigué à l'époque par le Sépra : ancêtre du Géipan) ... survenue dans la nuit du 25 au 26 octobre 1989 à Brix (50) dans la Manche - France, au lieu-dit La Rade.

    Cette nuit-là M. Bigot est réveillé à deux heures du matin par les grattements du chien sur la porte, dehors. En ouvrant à l'animal, il est surpris par une forte lumière blanche, d'aspect conique, qui semble survoler les champs, à l'est de sa maison. Cette lueur ne dure que quelques secondes, et M. Bigot, quoique surpris, n'y attache pas plus d'importance ; il décide de se recoucher.

    À cette même heure, M. Hervieux (notaire en retraite), de Brix, à quelques kilomètres de là, est réveillé lui aussi, mais cette fois par une forte sonorité qui lui rappelle le bruit "d'un moteur en décélération".

    Le lendemain matin M. Hébert découvre dans son champ (où M. Bigot vit la lumière) une large trace, ... (LDLN N°299).

    De son côté, entre 01 h et 02 h du matin, étant sorti pour assouvir un besoin naturel, où M. Hébert a vu le passage d'un phénomène de traînée lumineuse au-dessus de sa propriété, avant de faire, un peu plus tard dans la matinée, la découverte consécutive de plusieurs traces carbonisées au sol, des bouffées de chaleur sont encore perceptibles le jour de la découverte, et 02 jours après en profondeur, ainsi qu'une odeur de pétrole (souvent ressentie sur les traces laissées par des ovnis), contaminées par la présence d'isotopes radioactifs, et la disparation de 06 à 10 mètres cubes de terre (cette présence de radioactivité a été totalement oblitérée dans le rapport officiel du Sépra dirigé à l'époque par Jean-Jacques Vélasco, qui est accrédité défense nationale).

    Complément d'enquête sur l'incident du Trou Normand par le Génpi :

    Mr et Mme Bigot, qui sont les plus proches voisins résidents du Trou Normand, le samedi 20 janvier 1990 en menant, vers 9 h 30, leurs bêtes pâturer dans le pré où les traces carbonisées et radioactives sont toujours présentes, ont entendu une explosion et M. Bigot a vu comme une gerbe de charbon qui a affolé les vaches, comme cela c'était déjà produit, la veille, avec les bêtes d'un autre voisin.

    Source : témoignage de Mr. Hébert, qui a vu jaillir, lui aussi, en janvier 1990, à plusieurs reprises, des grandes lueurs bleues s'élevant à une dizaine de mètres de hauteur. EDF n'a constaté aucun dégât sur la ligne à haute tension qui passe à environ 70 m des traces carbonisées et radioactives.

     

    M. Bigot sur la pas de sa porte. C'est de là qu'il observa le phénomène lumineux.

    Photos : LDLN n° 299

    Vue partielle de la trace, d'une superficie de 40 à 50 m 2 , profonde de 10 à 15 centimètres.

    Ce sont donc 5 ou 6 m 3 de terre qui ont disparu, d'une manière incompréhensible.

    M. Christian Jay, enquêteur, dans la benne du tracteur de M. Hébert, le 26 octobre 1989.

     

     

    Le (Vrai) Trou Normand 

     

    (RR3 surnommée « Le Trou Normand » par le GEIPAN (humour, propre aux truffeurs = truqueurs, avec un soupçon d'ironie méprisante et condescendante ?!) . 

    Un deuxième Crash « Franco/Normand » :

    (Cf .chasseur2legende.jimdo.com/france-régions-normandie) 

    La découverte en octobre 89, par un agriculteur, d'une surface de terre brûlée dans une prairie déclenchera encore d'importantes investigations et l'ouverture d'un dossier transmis aux autorités militaires. La zone : de forme irrégulière, est longue de 17 mètres et large de 4, où la végétation a totalement disparu et la terre, dont le niveau a baissé d'une quinzaine de centimètre, est de couleur noire.

    [et où 5 à 6 m3 de terre aurait disparu]

    [de plus il y avait en réalité deux traces séparées et non pas une seule … la première ayant la forme d'une longue traînée sur plusieurs mètres suggérant fortement qu'un objet y aurait ripé, avant de rebondir, pour finalement s'arrêter en creusant cette cavité irrégulière de 17 m sur 4, en se dissolvant littéralement sur place dans une fusion à très haute température ?!]

    Des carottages révéleront que la terre a été brûlée sur 2 à 3 cm de profondeur. Des experts du Centre National d’Étude Spatiales viendront sur place.

    [Ci-joint Le compte-rendu du SEPRA (prédécesseur du Geipan) - nous en profitons pour remercier l'aimable collaboration du Génpi, association ufologique privée locale, qui a pu faire renvoyer au témoin/propriétaire des lieux le questionnaire type du SEPRA destiné au témoin, qu'il n'avait, en fait, jamais reçu de lui (seulement l'enveloppe qui était vide) :

    Octobre 1989, dans une Commune de la Manche (50) France, le propriétaire d'un champ découvre dans celui-ci une large zone totalement calcinée. La trace est de forme irrégulière et mesure près de 17 mètres de long sur 4 dans sa partie la plus large. Au niveau de la trace, il n'y a plus aucune trace de végétation, la terre est noire et le sol est spongieux et enfoncé de 10 à 15 cm par rapport au niveau moyen du pré. Une ligne à haute tension 20 kV longe la parcelle à une cinquantaine de mètres de la trace. Les prélèvements par carottage sont effectués sur la zone brulée, ils montrent que la terre est brûlée sur 2 à 3 cm de profondeur et la couleur grise des argiles montre que le sol a été élevé à une forte température. Les échantillons de terre prélevés dans la zone suspecte présentent une forte odeur de produits pétroliers. Les expertises menées confirment la présence de kérosène dans les échantillons. Ces résultats d'analyse suggèrent l'hypothèse d'un largage de kérosène effectué par un avion volant à basse altitude et à faible vitesse. Ce kérosène a pu être enflammé par le passage à travers la ligne à haute tension. En effet, lors de l'enquête, il avait été remarqué de forts grésillements de la ligne au niveau de la jonction de certains isolateurs. Des étincelles ont pu se produire qui ont enflammé le nuage d'hydrocarbure. Cette hypothèse est confortée par un témoin qui a observé une très grande flamme bleue sur la zone, couleur typique de la combustion d'hydrocarbures.|"photos;photos;article;lettre;rapport;lettre;rapport;rapport;

    rapport;rapport; questionnaire"|"le trou normand (50) 1989 [e-csep p p o] photos couleur.pdf;le trou normand (50) 1989 [e-csep p p o] photos a.pdf;le trou normand (50) 1989 [e-p p t,p s,a] presse-r.pdf;le trou normand (50) 1989 [e-o cl t s,a] courrier-r.pdf;le trou normand (50) 1989 [e-o geol t s,a] analyse echantillon-r.pdf;le trou normand (50) 1989 [e-csep cl t s,a] courrier retour brigade-r.pdf;le trou normand (50) 1989 [e-o syn t s,a] analyse echantillon sol-r.pdf;le trou normand (50) 1989 [e-csep cr t s,a] enquete sepra-r.pdf;le trou normand (50) 1989 [e-csep geol t,d s,a] reperage carottage sol-r.pdf;le trou normand (50) 1989 [e-o atm t s,a] meteo-r.pdf;le trou normand (50) 1989 [e-csep qt t s,a] questionnaire terre-r.pdf"|b |12/12/2008]

    (de fait : Cf. www.ufologie-paranormal.org/t812-c-est-un-ovni-qui-a-brule-mon-champ ). Le propriétaire du champ [Agriculteur/Éleveur] leur confirmera bien volontiers avoir alerté la gendarmerie, considérant qu'il s'agissait d'un phénomène sortant de l'ordinaire [ayant été le témoin directe (grâce à un besoin naturel) des phénomènes lumineux, auditifs (sifflements) aériens et terrestres]

    Un autre témoin se manifestera à la gendarmerie pour expliquer que la nuit précédant la découverte, les pleurs de son chien l'ont tiré de son sommeil.

    "J'ai entendu mon chien gratter à la porte du cellier. Je me suis levé pour le voir et quand je suis sorti dans ma cour, j'ai vu au loin un grand faisceau lumineux. Je peux dire qu'au bord du faisceau, la lumière était bleutée, quand j'ai allumé ma lumière, le faisceau a disparu ".

    La forte présence de traces d'hydrocarbures de type kérosène, dans les prélèvements de terre brûlée conduiront à envisager l'hypothèse jamais confirmée d'un largage de carburant par "un aéronef volant lentement à basse altitude". En tout cas, aucun plan de vol d'un quelconque appareil n'était enregistré cette nuit-là par les autorités de l'aviation civile.

    [L'hypothèse du kérosène enflammé et qui a permis au SEPRA de classer - un peu trop facilement et rapidement - cette affaire [comme bien d'autres] aurait dû logiquement au moins endommager la ligne à haute tension dont les câbles aluminium ou cuivre fondent à 660,3 °C et à 1.085 °C théoriques étant donné que la température maximum atteinte par les flamme d'hydrocarbures (kérosène) brûlants dans l'air est d'environ 1000°C … et puis le propriétaire/témoin a signalé, dans les années suivant 1989, lors des contre-enquêtes effectuées par le GÉNPI,  le retour des flammes bleues montant plus haut que les lignes à haute tension … et qui paniquait (à juste raison) car elles représentaient une menace évidente pour ses génisses … donc exit le kérosène.]

    [Enfin signalons la découverte stupéfiante faite par le GÉNPI à partir d'analyses (réalisées à ses frais) (et confirmées par une double expertise) d'une association/laboratoire locale de veille écologique (du Nord-Cotentin) la présence, sur les traces de terre carbonisée, des isotopes (artificiels) radioactifs du césium 134 et 137 (ce qui n'avait pas été signalé par les précédentes analyses du SEPRA, ni par celles d'un enquêteur du groupe ufologique Lumière Dans La Nuit, lui, pourtant indépendant !?)]

    Une fois de plus, vous voyez bien :

    1 . / . Que les Ovnis ne sont pas qu'un grave problème de sécurité nationale (du genre survol par des « drones » non-identifiés [et non terrestres] des sites névralgiques, centrales atomiques, camps et bases militaires, centres de recherches, lignes à haute tension, etc. )

    [Fin de l'année 1975, un Engin Ovoïde Volant Non-Identifié muni de Hublots a stationné au-dessus de l'Usine Nucléaire de Cherbourg ce qui est le plus ancien cas connu de la connexion Ovni/Nucléaire en France Métropolitaine avec celui de 1973 de la Hague (50) :

      CHERBOURG (Fin 1975). Samedi vers trois heures, alors qu'il travaillait à sa fournée de pain et jetait un coup d'oeil par une fenêtre de l'atelier, M. Roger Baudry, 44 ans, boulanger à Beaumont-Hague (Manche) n'en crut pas ses yeux.

    Au-dessus de l'usine de fabrication de plutonium, destiné aux têtes chercheuses des missiles armant les sous-marins à propulsion nucléaire de la force de dissuasion nationale, se tenait, immobile, un " ovni " rougeoyant, ayant la forme d'une montgolfière, muni de hublots aux couleurs changeantes.

    Fort intrigué et surpris par ce spectacle, M. Baudry, croyant être l'objet d'une illusion d'optique, appela son employé, M. Jean-Paul Hirard, 20 ans, et sortit de son lit son épouse pour venir regarder cette troublante apparition.

    Ces trois personnes, après avoir observé le phénomène, en ont conclu qu'il s'agissait d'une apparition de soucoupe volante et en ont informé la gendarmerie qui a ouvert une enquête.

    L'ovni , après être resté immobile pendant dix minutes, est parti à grande vitesse vers le Nord-Est.

    Il y a deux ans (1973), un autre ovni volant au-dessus du C.E.A. de La Hague avait été aperçu par trois pêcheurs à pied de Barneville-Carteret. Quelques jours après, la gendarmerie maritime enquêtait sur des combinaisons anti-radioactives qui avaient été retrouvées sur la plage. - A.P.]

    Sources : Journal belge Le Peuple, La Meuse ou La dernière Heure - https://www.forum-ovni-ufologie.com/t12848-ovni-au-dessus-d-une-centrale-nucleaire-cherbourg]

    [Soulignons à cette occasion la prédilection de certains ovnis pour la « Fée Électricité » comme l'apparition des lumières de Séisme, électro météroïdes, foudres en boules, foo-figthers, ghosts rockets ou comme ces  autres fameux cigares des nuées, qui apparaissent au cœur des phénomènes orageux (d'où leur nom) … ce qui ...  avec ces derniers suggère fortement que les vortex électro - magnétiques dits orageux  n'ont pas tous une origine forcément naturelle.]

    2 . / . Mais aussi une préoccupante question de Santé Publique (d'où proviennent ces substances radioactives ... et qui, ou quoi, provoque ces traumatismes physiques générés sur l'environnement, les plantes, les animaux - et aussi ces troubles d'ordre psychique - sur les humains ?  (Cf. : Les Pédo-Abductions. )

    3 . / . Et qu'une enquête ufologique (par définition) n'est jamais classée …

    4 . / . Et que malgré les désespérantes tentatives du SEPRA, pour évacuer les PANS, certains d'entre eux se rappellent à notre souvenir et visiblement laissent des traces, des marques ou des empreintes (les cicatrices de leur passage) ou se crashent y compris, dans le Territoire Normand et Franc. Plusieurs Témoins. Source : LDLN - Génpi - Sépra.

     Photos : Ufo-Génpi - 1990

     

     Vue partielle de la trace, d'une superficie de 40 à 50 m 2 , profonde de 10 à 15 centimètres.

    Ce sont donc 5 ou 6 m 3 de terre qui ont disparu, d'une manière incompréhensible.

     

    Photo : LDLN n° 299

     

    Brix (50) - Hantée 

    En 1910, près de Brix, une auberge était invendable, car elle avait la réputation d'hêtre hantée. En effet, on y entendait la nuit des bruits inexplicables, déplacements de meubles, portes claquante, gémissements.

    Le propriétaire fit venir un prêtre qui pratiqua des exorcismes, fit des aspersions d'eau bénite, en vain (certains exorcismes, non-autorisés, sont dits sauvages ou ne concernent pas le grand exorcisme prévu par le rituel).

    Un des fameux sorciers du Theil (50) fut appelé ; il fit faire dans l'âtre un grand feu de bois dont, en prononçant certaines paroles, il recueillit la cendre ; il fit creuser un sillon tout autour de la maison et y plaça lui-même la cendre (rite gaulois ancestral des cendres entourant les sépultures celtiques). Cette simple opération fit disparaître les bruits anormaux.

    Source : Le Tenneur René - Magie Sorcellerie et fantastique en Normandie - 1979.

     

    Brix (50) - Revenant 

    (voir carte sur : La BD des Ovnis - Planche 18 : Les Apparitions des Ovnis et les Manifestations des Surnaturels (2) - L’Apocalypse des Ovnis (eklablog.com) 

     

    En mars 1830, une femme de Brix (50) vit un revenant qui réclamait une messe dans la chapelle de Saint-Jouvin. La femme fit dire cette messe et, pendant l'office, elle vit le revenant près d'elle : à la fin de la messe elle aperçut un pigeon blanc qui volait au-dessus de l'autel. Ayant éprouvé de violents symptômes, on dut l'emporter au travers de la foule qui remplissait la chapelle.

    Source : P. Le Fillastre - Annuaire de la Manche - 1832.

     

    Brix (50) - La Main d'un Mort

      La BD des Ovnis - Planche 19 : Les Apparitions des Ovnis et les Manifestations des Surnaturels (3) - L’Apocalypse des Ovnis (eklablog.com)

      

    Le 14 janvier 1860, le sieur Lecomte, cultivateur à Brix vit, près de lui un de ses anciens camarades avec lequel il avait travaillé autrefois au port de Cherbourg, et qui était décédé depuis deux ans et demi.

    Le revenant demandait qu'une messe soit dite pour le repos de son âme. Effrayé, Lecomte ne répondit pas, mais l'apparition se reproduisit pendant chacun des jours suivants.

    Le 19, Lecomte osa enfin répondre : Puisque tu veux une messe, dis-moi où elle doit être dite et si tu y assisteras. Je d'sire, répondit l'esprit, que la messe soit célébrée dans huit jours à la chapelle Saint-Sauveur et je m'y trouverai. Le défunt ajouta : Il y a longtemps que je ne t'avais vu et il y avait loin pour venir te trouver. Cela dit, il le quitta en lui serrant la main.

    La promesse fut tenue ; la messe fut dite à Saint-Sauveur le 27 janvier et Lecomte vit son camarade agenouillé sur les marches de l'autel, près de l'officiant, mais personne autre que lui ne l'aperçut, bien qu'il ait demandé au prêtre et aux assistants s'ils ne l'avaient pas vu. Depuis, Lecomte ne fut plus jamais visité et retrouva la tranquillité. Selon la Revue Spirite : Il ne s'agit pas d'une simple vision mais d'une apparition tangible, puisque le défunt ami de sieur Lecomte lui avait serré la main.

    Source : La Revue Spirite, 1860.

     

    La Légende de l'If de Brix

    Dans le vallon des Faulx, vivait un couple de bûcherons Louisot et Toinette Clovis, déjà âgé et sans enfant à recueillir. Malgré leurs maigres ressources, ils accueillirent un jeune orphelin de 6 ans du nom de Jean-Marie. Ils s’entendent tous les trois à merveille. Parfois l’enfant accompagne Louisot dans le bois qui entoure le château d’Adam Bruce et ramasse les copeaux de bois qui volent en éclat sous les coups de hache de son père adoptif qui finiront par alimenter le feu de leur humble demeure. Il en profite aussi pour se promener dans les environs et contemple les semis de différentes espèces de conifères que messire Adam Bruce destine à l’ornementation de son manoir. Quelques mois plus tard, par un fort mauvais temps, Louisot partit offrir ses services à la famille des Bruce pour la fête de Noël. La santé du petit Jean-Marie semblait s’altérer depuis peu, alors il fût préférable qu’il reste à son foyer où il déposa ses petits sabots de bois dans l’âtre de la cheminée. Le lendemain matin, à son réveil, il découvrit avec surprise un petit paquet dans l’un de ses sabots, un joli petit arbre vert émeraude comme il les aimait tant. Celui-ci était un if. 

    Jean-Marie apporta un soin tout particulier à son if, chaque jour durant, il l’arrosait, l’exposait au soleil et le déposait chaque soir près d’un crucifix et d’une image pieuse. Un an passa, l’arbre grandissait et devenait de plus en plus beau à l’instar du petit Jean-Marie qui d’un seul coup fut pris d’un mal mystérieux, sans en connaître la raison. Malgré l’amour de ses parents adoptifs, des soins généreux du châtelain et de la médecine, l’enfant mourut et fût enterré dans un coin du cimetière de Brix. De son vivant, l’enfant n’eut de cesse de demander à Louisot et Toinette qu’ils prennent bien soin de son jeune arbre « C’est l’arbre de Dieu » disait-il. Devenant trop âgés, Louisot et Toinette devaient trouver une solution pour que l’if continue de vivre après leur propre mort. Toinette eu une idée aussitôt approuvée par Louisot. Le lendemain arrivés au cimetière, ils plantèrent l’if près de la tombe de Jean-Marie… et deux larmes vinrent se mêler à la terre... 

    De nos jours, nous pouvons toujours contempler cet if majestueux dans le cimetière de Brix devenu millénaire. Il est officiellement répertorié comme un des arbres remarquables du département.

    Source : Cotentin unique par nature.

     

    Géolocalisation des Sabbats  

     

    Aux environs de Vassy (14), le village de Jean-le-Blanc (14), Beaumont-le-Roger (27), le mont Bonnet Vire (14), les rochers de Clécy (14), la butte Brimbal entre Sourdeval (50) et Tinchebray (61), la mare de Bouillon (50), dans la forêt de Néhou (50), à Méautis (50), aux bois d'Etenclin (50), aux bois de Lithaire (50), forêt de Barnavast (50), dans la contrée du Theil (50), dans la contrée de Saussemesnil (50), le mont Margantin (61), Gaillefontaine (76), à Bully-la-Fosse (76), à Aliermont (76), au Mesnil-Esnard (76), à Londinière (76), à Fréauville (76), à Pont-Angot (61), sur la Dives vers Vicques (27), à Louviers (27), à Gisors (27), à Tosny (27), à Saint-André et Saint-Georges-de-Bohon (50), le mont Etenclin près de la Haye-du-Puits (50), Montchauvet (14)

    Sources : Le Tenneur René - Magie Sorcellerie et fantastique en Normandie -1979.

     

    « Mr. Hébert, a vu jaillir, lui aussi, en janvier 1990, à plusieurs reprises, des grandes lueurs bleues s'élevant à une dizaine de mètres de hauteur. EDF n'a constaté aucun dégât sur la ligne à haute tension qui passe à environ 70 m des traces carbonisées et radioactives. »

     

     

    Affiche Ufologique

    Le Trou Normand Radioactif - Lire le témoignage

     
    Extrait du Catalogue de Normandie - France - Ovnis : Seine-Maritime (76), Orne (61), Manche (50), Calvados (14)
     
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