• L’Abécédaire des Voleurs de Corps - Lettre C

     

     

     

    « Richard, Cœur de Lion, Duc de Normandie et Roi d'Angleterre, disait souvent : Du Diable nous venons, au Diable nous retournerons. 

    Il descendait véritablement d'une lignée maudite. Un de ses ancêtres, Foulque le Rouge, avait bien épousé une sorcière, et le Duc Robert était un Enfant du Diable.

    On lit dans le Liber Nige : 

    Au cours de la 3é Croisade (1189-1192), faisant le siège de Saint-Jean-d'Acre, Richard, Cœur de Lion, releva le courage de ses troupes en remettant à certains de ses officiers une jarretière de cuir, qu'ils se mirent autour de la jambe ; cette pratique venait des sorcières qui passaient leur jarretière, autour de la jambe de leurs victimes, pour les ensorceler. »

    [Le dieu des sorcières]

     

    L’Abécédaire des Voleurs de Corps - Lettre C

     Bellator

    Guillaume Chevallier

     

     Comme l'a si pertinemment signalé René Le Tenneur [cf. Magie, Sorcellerie et Fantastique en Normandie des premiers hommes à nos jours - 1979] les manifestations paranormales et les apparitions des créatures, dites surnaturelles, perdurent depuis des temps immémoriaux, jusqu'à notre époque moderne.

    Puisqu'en effet, ils n'ont pas disparu, ni avec la révolution industrielle, ni après l'avènement du numérique :

    Les fées, dames blanches, lavandières, sirènes, garwall, garous, varous ou wargus, lycanthropes, hommes-loups, bonhommes blancs, revenants, fantômes, rongeurs d'os, lémuriens, stryges, bierres, goules, laitices, milloraines, fouines, chabrettes, taranes, huards, bigornes, succubes, incubes, satyres, nymphes, hommes-papillons et hommes en noir aux yeux de zombies, horlas, simulacres, répliquants, substituts, drôles, korrigans, goublins ou gobelins, lutins et lubins ou hommes rouges, jacquets, follets, gnomes, petits-gris, génies, et apparitions ou manifestations dites religieuses, etc. ; ces créatures étranges venues d'ailleurs sont toujours observées ou photographiées dans notre environnement, où elles prennent occasionnellement possession de nos demeures, de nos âmes et de nos corps, et tous ceux qui en ont fait des féeries ou des diableries, ou aujourd'hui des alienneries, se méprennent sur la nature réelle, de ces êtres poly-métamorphiques, qui ne sont, à proprement parler, ni terrestres ou extraterrestres mais ultra-terrestres, comme John A. Keel aimait à les qualifier. [cf. : La Prophétie des Ombres - 1975].

    Les Voleurs de corps

     L’existence en la croyance universelle des vampires qui se nourrissent du sang, ou principe vital, de leurs victimes et celle des zombies ou, morts-vivants qui se relèvent de leurs tombes, ou qui restent enfermés dans leurs cercueil après avoir vainement gratter le couvercle, sont les marques de la prise de possession des corps vivants ou défunts par les entités psychique métamorphes nommées par les anciens sous différentes appellations ou dénominations (noosphères, daïmons, djinns, goules, mânes, spectres, esprits-frappeurs, élémentaux, dames-blanches, fées-mélusines, vouivres, stryges, givres, sirènes, incubes, succubes, hennequins (hennequins = petits diables, dont certains sont décrits comme des êtres d'une difformité étrange, nains grêles dont la tête est enflée et grosse comme une tonne = petits gris / shorts-Grey), farfs, loups-garous (lycanthropie), les ulfarks (les guerriers-loups), les berserkers (es guerriers-ours), les svinfylkingars (les guerriers-sangliers), qui sont les berserksgangrs (les guerriersfauves), etc., ce sont les voleurs de corps (les body snatchers).

    Ces métamorphes/transformistes apparaissent aussi comme polymorphes (voir les divinités polymorphes mi-animal/mi-humaines des hiéroglyphes antiques) lorsqu’ils se métamorphosent en humains, en animaux, en créatures chimériques (shorts-Grey) ou en sphères de plasma (noosphères) identifiés par les modernes comme des ovnis ou des extraterrestres.

    Il leur arrive souvent de chasser leurs victimes en meutes, s’ils sont parfois grégaires, la plupart sont individualistes, sédentaires et territoriaux, attachés à une terre, à un domaine, à un lieu, un site, un monument, ou à un écosystème naturel, comme un bois ou une forêt, qu’ils contrôlent, surveillent et y traquent les intrus qui ont le malheur de les importuner.

    La mémoire traditionnelle

    Les anciens, en guise d’avertissements, nous ont transmis un nombre incalculable de récits et de témoignages illustrant leurs compétences surnaturelles servant leurs prédations, et dont les ignorants-impéritieux frivolets ont rangé dans le registre de la superstition, de la croyance, des mythes, des contes et légendes, en voici quelques exemples.

    En Neustrie, il y a des expressions consacrées pour signifier qu'une personne a été contaminée ou inséminée par un poly-Métamorphe, « il court le garou (ou le warou) dans la lande ! », « il a le diable au corps ! ».

    Les contacts, les rencontres rapprochées et les communications avec les représentants de l'autre monde ont impacté notre histoire, en se différenciant formellement dirigeant et orientant la doxa culturelle dominante.

    Au cours des périodes préhistoriques et antiques, ce fut les croyances religieuses aux dieux, puis le temps des terreurs superstitieuses de la magie des sorciers et des sorcières, époque de l'anti-démonologie, qui a connu son paroxysme hystérique, avec la Réforme, au XVIIe siècle, à laquelle a succédé l'illusionnisme de l'ésotérisme kabbalistique et le culte de l'occultisme hermétique, propre à la Renaissance, allumant les lueurs crépusculaires de la Révolution, dont le magnétisme, le spiritisme, le magico-chamanisme du New-Age/Para-Science, et, pour finir, l'extratologie-éthérée ufologique, sont les ultimes reflets aveuglants et illusionnistes.

    Au delà de ces apparences, et avant de se dissimuler sous les formes fictives des petits diablotins-lutins des petits gris, des Men-In-Black, et autres entités des rencontres rapprochées des ovnis modernes, les représentants Métamorphes de l'autre monde, ont manifestement pris un malin-plaisir à adopter les panoplies, aussi variées que trompeuses, des êtres soi-disant divins, angéliques et démoniaques.

    L'analyse structurelle, la corrélation formelle et l'étude statistique des phénomènes de hantise, de possession démoniaque, ou d'apparition diabolique, ou même faussement mariale, le démontrent abondamment.

    En effet, les occurrences manifestées, les emprises psychologiques et physiques, sont structurellement identiques, et les parallèles sont d'une évidence indiscutable chez les témoins/expérienceurs, les abductions-visites en chambre/rapts et visites nocturnes démoniaques, les paralysies temporaires/immobilisations mystérieuses, les communications télépathiques/voix intérieures, les implants, marques/épines-aiguilles cicatrices, les lieux ovnigènes/lieux hantés, les apparitions lumineuses ovnis/manifestations lumineuses diaboliques, les portails multidimensionnels/voyages hors du temps présent, les transports géographiques/déplacements surnaturels, les rapports sexuels des RR7 +/ rapports charnels avec les succubes et les incubes, les hybridations alien-humain/enfants du diable, les extraterrestres polymorphes/créatures métamorphes démoniaques, les crop-circles/cercles des fées, les traces et objets matériels/empreintes et apports surnaturels, les mutilations de bétail/sacrifices mutilations d'animaux, etc. comme l'illustrent suffisamment les descriptifs et la cartographie des apparitions ufologiques et des manifestations surnaturelles, constatés en Normandie, et ailleurs où plus de 50 % des sites ovnigènes sont géolocalisés sur les clusters des phénomènes surnaturels.

    (1) Cabourg (14) - 27/10/1973 - 19 h 25 / + Point-Chaud Ufologique

     

     

    (2) Cabourg - Camping de La Pommeraie (14) - 10/08/1976 - 22 h 30 / 23 h / + Point-Chaud Ufologique

    Deux campeurs du Camping de La Pommeraie, Mr. Didier Giret et Mr. J. P. Farcy, discutaient ensemble, lorsque ce dernier remarque deux spots lumineux orangés, de la taille d'une planète, genre Vénus, se déplaçant d'Est en Ouest sur l'horizon Est du ciel, totalement dégagé, en s'écartant de la lune, tout en conservant la même distance entre eux, pendant 03 à 04 secondes, avant leur disparition. 02 Témoins. Source : Génpi.

    (3) Cabourg (14) - mars 1977 et Le Home - Varaville (14) - Décembre 1977 - avant la Fête de Noël - 07 h 50 / + Point-Chaud Ufologique

    Melle Chantal Vanecke, 17 ans, étudiante, attendait le bus de 07 h 55 pour se rendre à son C. E. T., lorsque, sans raison précise, elle leva la tête en direction de la mer, elle aperçut alors dans le ciel, située environ à 45 ° au-dessus de l’horizon, une sphère lumineuse rouge dont la taille apparente était supérieure à celle de la pleine lune (pleine lune + son halo), cet objet était animé de deux mouvements, il se déplaçait d’Ouest en Est sur le front de mer en direction de Cabourg dans un mouvement spiralé, tout en formant des grands cercles, concrétisés par une légère trainée de fumée blanche.

    Melle Chantal Vanecke, a préalablement observé le même phénomène depuis son C. E. T., à Cabourg, en compagnie de plusieurs de ses camarades, au mois de mars 1977, toujours en direction de la mer, dont la taille apparente était plus modeste.

    (4) Cabourg (14) - 14/01/2016 - en fin d'après-midi / + Point-Chaud Ufologique

    Vidéovni : anomalie chromatique.

     

    https://www.facebook.com/lescoquesdecabourg/videos/un-ovni-ce-14-janvier-2016-sur-la-plage-de-cabourg/1115601941819376/

    (vidéovni : anomalie chromatique)

    Source : Les Coques de Cabourg

    (5) Cabourg (14)   - Octobre 1868  -  Un phénomène  -   Un curieux phénomène s'est produit mercredi, vers minuit. Les quelques personnes qui, à cette heure avancée, se donnaient le plaisir de la promenade, ont aperçu dans l'espace un magnifique météore qui apparaissant dans la direction de l'est est allé disparaître derrière les hauteurs du bois de Rocques.

    Sa forme était celle d'un globe de transparence blanche, traînant à sa suite une longue bande d'un rouge étincelant, illuminant le paysage comme une vive lumière électrique.

    La marche peu rapide de ce bolide a permis à ceux qui l'ont aperçu d'admirer son éclat. Son passage est signalé dans plusieurs villes. À Caen son passage n'a été annoncé par aucun bruit, tandis qu'à Rouen, on a entendu une forte détonation.[Un siècle d'histoire du Calvados].

    [La conception des étoiles filantes, des comètes, des aurores polaires, des lueurs célestes inhabituelles, etc. diffère pour les Anciens de celle des Modernes, qui les appelaient des Météores (= esprits de lumières célestes) et qui les identifiaient à des entités spirituelles et non à des objets matériels ou phénomènes physiques. NFO]. 

    (6) Cabourg (14) Septembre 1938  - Un avion, frappé par la foudre s'écrase à Cabourg.  -  Hier, vers 16 h. 30, alors que sévissait un orage, un cultivateur du Bas-Cabourg, M. Vermughen, conversait sur le seuil de sa ferme en compagnie d'un jeune ouvrier lorsque leur attention fut attirée par le bruit d'un moteur d'avion où se mêlait une sorte de sifflement. Les hommes portèrent machinalement leurs regards vers le ciel bas et couvert et virent sortir d'un nuage à une attitude de 300 mètres environ un appareil militaire désemparé : au moment où il apparaissait une partie de son train d'atterrissage et un aileron s'en détachaient.

    L'avion qui venait de la direction du sud-ouest, piquait très rapidement droit sur la ferme près de laquelle passe la rivière « La Divette ». Alors qu'il touchait presque au sol non loin d'un troupeau de vaches que l'on trayait et qui s'enfuirent, l'appareil obliqua sur la gauche, se redressa vraisemblablement sous l'influence d'une explosion, et, perdant l'une de ses roues qui  tomba près du cours d'eau, alla s'écraser à l'orée d'un petit bois. Le choc fut si violent que l'avion fut rejeté en arrière et laboura le sol sur plusieurs mètres.

    Les témoins de la catastrophe au nombre desquels se trouvaient plusieurs chasseurs accoururent.

    En percutant au sol, l'appareil avait été littéralement pulvérisé et seS débris jonchaient l'herbe sur un rayon de cinquante mètres, le morceau le plus important que l'on devait en retrouver était un fragment de l'une de ses cocardes.

    Aussitôt prévenue, la gendarmerie de Dives se rendit sur les lieux. A grand peine (car leurs corps étaient, réduits en morceaux éparpillés jusque dans les arbres du bois) on put établir que l'avion était occupé par deux passagers. La découverte de deux portefeuilles parmi les fragments de membres et les lambeaux de chair, de matière cérébrale et de viscères, permit d'identifier les infortunées victimes dont l'une portait un uniforme et l'autre des vêtements civils : il s'agissait des capitaines Abel Collin et Albert Plusquellee, attachés au Ministère de l'Air. L'un des parachutes que portaient les officiers était intact, l'autre s'était à demi déployé probablement lors du choc fatal.

    Bientôt arrivaient au Bas-Cabourg, le Chef d'Escadron Delarbre  ; commandant la Compagnie de Gendarmerie du Calvados  ; M. Cassigneul, adjoint au maire de Cabourg ; le Capitaine de Gendarmerie de Pont-l’Évêque ; M. Hennet, Commissaire spécial à Caen, et M. Pujes. secrétaire général de la Préfecture du Calvados.

    Les gendarmes de Dives maintenaient à distance la foule accourue à la nouvelle de la catastrophe.

    Ce matin, les restes des Capitaines Collin et Plusquellee, recueillis dans la toile de l'un des parachutes, ont été mis en bière. M. le Préfet, de Peretti della Rocca est venu les saluer.

    L'enquête a été confiée au Capitaine Jonberteau, commandant le Groupe Aérien de Rouen.

    Il paraît hors de doute que le tragique accident a été provoqué par la foudre qui frappa l'appareil en plein vol.

    L'avion était un Caudron type « Simoun », doté d'un moteur Renault de 240 CV. Selon certains renseignements que nous donnons sous toutes réserves, il appartenait à la base de Chartres. (Source  : Le Moniteur du Calvados).

    [L'émergence des Portes Induites/Vortex/Pontifex/Portex/ Puits à énergie potentielle, s’accompagnent souvent de turbulences électro-magnétiques qui désorientent les aviateurs. NFO].

    (7) Cabourg (14) - Le pontifex/portex

    http://enigmedublason.eklablog.com/chapitre-37-le-vaisseau-de-la-fleche-d-argent-a210462832

    http://enigmedublason.eklablog.com/chapitre-36-les-blasons-des-etoiles-a210340262

     

     

    « La Parole est d'Argent, le Silence est d'Or, le Symbole leur Électrum ! »

     [« Le Temps des Sans-Dieu » - Apocryphe]

    La voûte en plein cintre du pont classique romain avec ses deux piles est la représentation imagée de la fonction opérative du puits à énergie potentielle généré par le courant continu et alterné des marées, du flux de l'eau et de la circulation terrestre, comme sur le pont de Cabourg (14), expliquant par exemple la disparitionde la jeune fille qui se volatilisa, corps et âme, lorsqu'elle franchit le pont de la Dives, entre Cabourg et Dives-sur-mer, à l'équinoxe d'automne 1924, ce pontificat décrit par les Anciens ouvrant une voie de communication entre la sphère physique à la sphère métaphysique, entre notre monde et les autres mondes endogènes et exogènes.

     

     

    Septembre 1924 - Disparition mystérieuse - La ville de Dives-sur-Mer est en émoi par suite de la disparition d'une jeune fille, disparition survenue dans des circonstances assez singulières.

    Mlle X. âgée de 22 ans, habitait chez ses parents à Dives. Elle travaillait à Cabourg chez une modiste qui n'a eu qu'à se louer d'elle sous tous les rapports, travail et conduite.

    Dimanche dernier, Mlle X. quitta, comme d'habitude ses parents, pour se rendre au magasin, sans prendre sa bicyclette comme elle en avait l'habitude, pour effectuer le trajet. Elle demeura à son travail le temps nécessaire, négligea de se faire payer, partit et depuis on ne l'a plus revue.

    Sa famille s'est livrée à des recherches actives. Elles sont restées sans résultat. [MSH].

    [Les disparitions inquiétantes de personne sont mortelles dans 29 % des cas, provisoires dans 30 % des cas et continuelles ou définitives dans 41 % des cas. La concordance territoriale entre les épicentres des apparitions des ovnis et les disparitions inquiétantes accrédite la thèse de l’ingérence parasitaires des exogènes-polymorphes comme principaux acteurs de ces disparitions, de même que le factuel des états somnambuliques des personnes disparues/retrouvées et qui montrent les symptômes identiques de désorientation, d’amnésie, de perturbation psychique, de missing time, etc. des RR4 ou des phénomènes dits des abductions ufologiques. NFO].

    [Selon l’apport traditionnel nombres de disparitions inquiétantes et définitives de personne s’expliquent par le passage de l’horizon des événements d’une Porte Induite ou puits à énergie potentielle, et dont les orages, tempêtes, ouragans sont les manifestations tangibles les plus couramment rencontrées - NFO].

    [Voir aussi en Normandie, les Ponts du Diable, Pégasus Bridge, le Pont du Val de Saire, de la Dame Blanche de la vallée de la Dives, la Dame Blanche de la vallée de l'Aiguillon, etc. - NFO].

    (1) Caen - Venoix (14) - 06/07/2023 - 04 h 34

     

     

    (2) Caen - Venoix (14) - 08/05/2022 - 22 h 58

     

     

     

    (3) Caen (14) - 19/10/2021 - en début d'après-midi

     

     

    Mufon France lance un appel à témoins « suite à une observation probable d’un ovni par deux témoins ». C’est dans le ciel de Caen que le phénomène a été aperçu, mardi 19 octobre 2021. « En début d’après-midi », précise Jean-François, directeur adjoint à Mufon, un réseau dédié à l’observation d’objets volants non identifié. L’enquêteur souhaite volontairement rester vague « pour ne pas influencer les potentiels témoignages ».

    Vu par deux personnes

    On sait que l’objet non identifié a pour l’instant été vu par deux personnes au-dessus de la ville de Caen. L’une d’elle s’intéresse de loin aux phénomènes parfois non expliqués, l’autre pas du tout, ce qui aiguise la curiosité de Mufon qui enquête pour la première fois dans le ciel de Caen. 

    « Pour l’heure, on ne sait pas ce que c’est ». Source : Jean-Françoisenquêteur à MufonMufon - Liberté - Le Bonhomme Libre du 26/10/2021.

     

    (4) Caen / Hérouville - Saint - Clair  (14) - 24/01/2017 - 19 h 32

     

     

    (5) Caen (14) - 28/02/2017 - nuit

     

     Source : Emma Coquerel - OVNI Normandie - YouTube
      

    (6) Caen (14) - 16/05/2016 - vers 03 h 00

     

      

    (7) Caen - Hérouville - Saint - Clair (14) - 07/06/2015 - 00 h / 01 h

     

     

     

    (8) Caen (14) - 17/11/2012 - jour

     

     

    (9) Caen (14) - 28/09/2012 - vers 23 h 40 - début 23 h/23 h 30 - durée 3/4 d'heure

     

     

    Il était environs 23 heures, en ce samedi 28 septembre 2011. Mes amis et moi avions décidé de nous installer sur les pelouses du château de Caen, pour attendre notre bus. Nous étions 6 au total, séparés plus ou moins en deux bandes de trois personnes. Nous étions allongés sur le sol. Je regarde les étoiles, les nuages, la lune. Jusqu'à ce qu'une lumière blanche attire mon attention.

    Je me dis au début que ce n'est rien qu'une étoile. Une étoile...qui avance ! Je suis vraiment interpellée. Cette lumière ne clignote pas comme le ferait certains avions, elle avance, de manière assez lente finalement. Elle ne laisse pas de trainée. Elle passe de gauche à droite, je la suis de la tête.

    Intriguée, je demande à mon amie si elle voit bien ce que je suis entrain de voir. Effectivement, elle acquièse mais elle me dit que cela doit être un avion. Ouais, d'accord mais moi, je trouve que ca n'y ressemble pas ! Elle finit par me dire que c'est tout de même bizarre qu'il ne fasse pas de bruit, qu'il ne clignote pas... Je regarde vers la droite à présent, en voilà deux ou trois autres qui se baladent !

    Cela volait vraiment haut dans le ciel. Mais nous remarquâmes que cela volait à différentes altitudes, certaines lumières étant moins éclatantes que d'autres. Ils en apparaissaient au final de partout.

    Devant nous, derrière nous, c'était une espèce d'invasion de lumièreres éclatantes. Elles se cachaient derrière les nuages pour réapparaître ensuite, c'était vraiment incroyable. Une pluie d'étoile ?

    Je n'en sais rien. J'ai vraiment eu peur, lorsque mon regard s'est retourné vers la gauche et que je vis une espèce de patrouille de ces lumières blanches, se suivre, exactement sur la même trajectoire.

    D’après mes souvenirs, une lumière dirigeait le cortège, ensuite il y en avait trois qui la suivait sur une même rangée, je crois en avoir dénombré 5 sur ce cortège.

    Au final, nous avons dû observer une vingtaine, peut-être un peu moins de ces lumières blanches.

    Je n'ai pas réussi à observer leur disparition.

    L'autre bande nous demandant de partir et ne nous écoutant pas, nous prenant pour des fous... Je crains que si le ciel n'avait pas été aussi nuageux, j'aurais eu davantage peur, car angle de vision parfait....

    Je certifie sur l'honneur l'exactitude des renseignements communiqués et l'authenticité des documents fournis. Je ne sais pas identifier ce phénomène merci à l'avance pour vos réponses.

    Ah, mes excuses, cela s'est déroulé le vendredi soir, donc le 28 septembre. Je ne me suis pas informée d'une telle manifestation. Je serais étonnée d'apprendre que cela étaient des lanternes, cela volait bien haut et il en venait autant à l'ouest que vers l'Est. Mais pourquoi pas, je vais me renseigner sur les fêtes caennaises de ce jour là. Cordialement Nana1456. Source : Le Mystère des Ovnis.

       

    (10) Caen (14) 28/07/2012 - vers 23 h 15

     

     

    Vers 23 h 15, observation de 03 lumières rouges, non-clignotantes, avançant en parallèle, puis disparition d'une, puis d'une autre, et enfin de la troisième.

    Les objets étaient fixes, puis ils ont avancé plus vite qu'un avion.

    Observation très impressionnante, d'une durée totale d'environ 04 mn. Michèle. 02 Témoins. Source : Ovni-France.

     

    (11) Caen (14) - 15/04/1998 - 22 h 40

     

     

    Le témoin était dans sa maison de la rue d'Authie dans le quartier Chemin Vert quand il a observé un objet triangulaire." Je me trouvais à la maison quand mon attention a été attirée à la fenêtre par une luminosité dans le ciel nocturne, qui cette nuit était très claire. La lune était dans son premier quart mais ne pouvait pas être vue, le vent soufflait et il y avait peu nuages. Il ressemblait à une masse lumineuse, vaguement triangulaire, comme un triangle avec des bords arrondis mais très tranchant dans le devant. C'était une lueur brillante orange, avec une bande de lumière rouge en travers qui était tout à fait visible. L'objet était au départ rapide et évoluait sans bruit. En 20 secondes, l'objet a exécuté une multitude de manœuvres acrobatiques qui ne semblait pas avoir de but logique, passant d'une pirouette à une boucle sans jamais changer sa vitesse. Puis il a quitté mon champ de vision et je n'ai plus rien vu. ". 01 Témoin. Source : Les Ovnis en France

     

    (12) Caen (14) 29/04/1978 - 02 h 30

     

     

    (13) Caen Centre - Clinique Saint - Pierre (14)  - Nuit du 06 au 07 /06/1976 - 00 h / 01 h

     

     

    Un Ange dans la Nuit

     

    Le Témoin, Sœur Marie (72 ans), résidant à la Clinique Saint-Pierre, dormait et se réveilla et vit une sorte de reflet de lumière sur la vitre de la fenêtre de sa chambre restée ouverte (à cause de la canicule de 1976), située au 3ème étage.

    Elle crut tout d’abord que ce reflet provenait du 4ème étage de la clinique de la Miséricorde (adjacente).

    Cependant, Sœur Marie s’aperçut rapidement de son erreur car cette lumière bougeait.

    Le reflet dans la vitre était très net, la lumière se déplaçait, et elle se leva de son lit afin d’identifier l’origine de cette lumière.

    Parvenue à la fenêtre elle vit un spectacle qu’elle qualifia d’impressionnant.

    Elle vit une boule de lumière aux contours parfaits, à la luminosité non aveuglante ; le témoin compara cette lumière à celle émise par un globe d’éclairage intérieur, même lumière blafarde et taille apparente (environ 15 cm de diamètre).

    Cette boule de lumière volait à l'extérieur à une vitesse très lente (à la vitesse d’une personne qui marche lentement).

    Elle se situait approximativement à 01 m du mur de la clinique adjacente de la Miséricorde, entre le 3ème et le 4ème étage.

    Cette lumière se déplaçait toujours très lentement, en ligne droite, et parallèlement au mur de la clinique.

    Sœur Marie a été très impressionnée : « C’était calme, pas une feuille ne bougeait, le ciel était gris-blanc, il n’y avait pas d’étoiles, le ciel était couvert, c’était vraiment impressionnant ! ».

    Après sa longue course, l’objet fut caché par des arbres.

    « C’était assez proche de moi, oui, près de ce mur-là ! ».

    « J’espère ne pas vous revoir, en cas de récidive, car c’était trop impressionnant ! »

    Sœur Marie, nous a signalé que ses nièces ont également vu quelque chose de bizarre dans le ciel, approximativement à la même heure. 01 Témoin. Source : Enquête Génpi.

     

    (14) Caen - La Folie-Couvrechef (14) - 16/04/1974 - 06 h 45

     

     

     

    Alors qu’il s’apprêtait à sortir de chez lui Mr. J. B. résident à la «  Folie » hameau situé à 3 km de a aperçu mardi dernier, vers 06 h 45, un objet ressemblant à «  un bidon cylindrique » de 200 L de couleur rouge ». L’objet disparut au Nord-Est. 01 Témoin. Source : Ouest-France du 18/04/1974.

     

    (15) Caen - route de Lebisey - Hérouville (14) - 25/01/1974 - vers 23 h 45

     

      

    Une Automobiliste Caennaise affirme avoir aperçu vers 23 h 45, le 25 janvier 1974, au-dessus de la route Lebisey - Hérouville, un objet circulaire blanc très lumineux, aussi gros qu'un avion, avec une lumière rouge qui clignotait. 01 Témoin. Source : Ouest-France du 31/01/1974.

     

    (16) Caen (14) - fin août 1974 - 19 h 25

     

     

    (17) Caen (14) - 27/10/1973 - 07 h 30

     

     

    (18) Caen (14) - 25/01/1971 - entre 18 h et 19 h

     

     

    Laurent (anonymat demandé) étudiant des Beaux-arts, âgé de 15 ans, descendait à pied des hauteurs du quartier du Chemin-Vert vers le centre de Caen, lorsque soudain, il aperçut dans le ciel nocturne un objet en forme de cigare effectuer un grand virage au-dessus de la ville de Caen.

    Cet objet silencieux était divisé en plusieurs sections composant une sorte de damier alterné de sections blanches ou noires.

    Laurent fut fortement impressionné et ressentit une certaine crainte. 01 Témoi n.Source : Enquête Génpi.

     

    (19) Caen sur la route d’Épron (14) - 1969 - en début de soirée 

     

     

    En début d'une soirée, de l'année 1969, Mr. F. Duthilleul, qui conduisait son automobile, sur la route au Nord de Caen, en direction d'Éperon, aperçut à quelques dizaines de mètres de son auto un globe lumineux orange, de la grandeur apparente du soleil, posé sur la chaussée.

    Lorsqu'il s'approcha de l'objet lumineux, celui-ci décolla et disparut à la vue du témoin. 01 Témoin. Source : Enquête Génpi.

      

    (20) Caen (14) 1969 - 1968 - 22 h - 23 h

     

     

    Pensionnaire à l’école privée (du centre ville de Caen) alors qu’il était couché, au moment de sa prière du soir, le jeune Lemaître, avait entre 11 et 12 ans, en 1968/1969 lorsqu'il a vu au travers de la fenêtre de sa chambre, une lueur blanche apparaissant derrière des peupliers.

    Pensant d’abord à la lumière de la lune, il constata rapidement qu’il s’agissait, en réalité, d’un engin en forme de soucoupe volante d’aspect métallique et de couleur blanche, qui venait de se poser sur le toit plat d’un bâtiment de son école.

    Cet engin était phosphorescent, très lumineux si bien que ses contours apparaissaient très nets dans la nuit.

    Au bout de 30 à 40 secondes, il vit l’engin silencieux partir vers la gauche, en flottant tout en rasant le toit, et il finit par disparaitre à sa vue derrière un bâtiment de l'école.

     Le jeune Lemaître (des Antilles Française, dont l’un des ancêtres serait à l'origine du  perfectionnement du Fusil dit Lebel) a, le lendemain, inspecté le toit à la recherche infructueuse de traces laissées par la soucoupe volante. 01 Témoin. Source : Enquête Génpi.

     

    (21) Caen (14) - 03/09/1968 - 18 h

      

     

    Un ami de Mr. Gaillard G. lui a raconté qu’il aurait vu depuis sa voiture, qu’il arrêta immédiatement, une sorte de ballon ayant l’apparence d’un œuf. Il aurait vu en sortir une dizaine de petits disques émettant de lueurs rouges, vertes et jaunes. Ils filaient dans une direction S-O. Il les aurait regardés pendant 10 minutes et dit qu’il n’était pas seul à regarder les objets, mais il était seul à avoir des jumelles.

    Plusieurs Témoins. Source : LDLN - Contact Lecteurs – 1972.

     

    (22) Caen (14) - 06/12/1965 - vers 18 h 45

     

     

    Une dame qui désire garder l'anonymat a fait l'observation suivante : il était environ 18 h 45, je rentrais chez moi et me trouvais alors rue des Chanoines à Caen. Je regardais la lune particulièrement belle ce soir-là, quand mon attention fut attirée par une lueur ressemblant à une étoile, mais accompagnée de particules lumineuses, faisant penser aux parcelles lumineuses émises par une fusée de feu d'artifices. Ces particules étaient dirigées selon quatre faisceaux perpendiculaires. Les deux faisceaux "supérieurs" étaient cependant moins apparents que ceux dirigés vers le bas.

    Le phénomène ne dura que quelques secondes, après quoi tout s'éteignit. Sa position apparente était au-dessous de la pleine lune, et un peu sur la gauche, à une distance de cette dernière d'environ deux rayons lunaires.

    Deux enfants, près de moi, ont également observé le phénomène en poussant des exclamations d’étonnement. 03 Témoins. Source : Mr. J. Vuillequez, enquêteur LDLN.

     

    (23) Caen (14) - 21/10/1954 - vers 21 h

     


     

    Monsieur Tocqueville, âgé de 45 ans, ancien gardien de la Paix, employé à la Banque de France, demeure rue Basse à Caen, a déclaré avoir vu vers 21 h un engin de forme circulaire volant horizontalement à vitesse réduite. L’engin observé était de couleur rouge et venait du Nord-Est et se dirigeait vers le Sud-Est. Dans la soirée de ce mercredi sont également passés au-dessus de Caen des avions à réaction qui ont été vus et entendus par de nombreuses personnes, mais l’engin aperçu par Monsieur Tocqueville ainsi que par le concierge des abattoirs de Caen n’ont rien de commun avec ces appareils. 02 Témoin. Source : Ouest-France des 23 et 24/10/1954.

     

     (24) Caen (14) - Malherbe  

    Caen, rue de l'Houdon, maison natale du poète caennais Malherbe : vers 1614, en nos quartiers de Normandie : dans les couettes des lits, il y avait des pelotons de plumes que les sorciers y avaient mis pour travailler ceux qui couchaient dessus, et, pour les faire mourir dans le bout de l'an.

    Voilà pourquoi je fis visiter deux couettes où il fut trouvé en chacune une pelote de plume de gorge de chapon, le tuyau vers le centre, mais tissée si ferme et avec tant d'artifice que manifestement on y remarquait une autre main que celle des hommes. Tous ceux qui firent la même recherche trouvèrent la même chose.

     Source : G. Vanel - Caen : Une grande ville aux XVIIe et XVIII siècle.

     

    (25)  Cean (14) - Une pluie de pierres - Novembre 1897

    Novembre 1897. Les habitants de la rue Montmorency, située dans le quartier de Calix à Caen (Calvados), ont été témoins d’un phénomène paranormal survenu dans l’une des maisons.

    Une pluie de pierres

    L’affaire aurait été relayée à l’époque par la presse. Anne Perchey, fondatrice et guide des Petits meurtres entre amis raconte l’histoire :

    Une pluie de pierres s'est abattue dans l'une des maisons de la rue. Des carreaux et la toiture ont été cassés. Occupée à l'époque par les époux Mouillard, ils ont d'abord cru à de la grêle.

    Ce phénomène aurait duré « plusieurs jours voire des semaines ». Intrigués, « 2 000 habitants » caennais seraient venus observés de plus près cette étrangeté. Les époux Mouillard se seraient fait lyncher par les riverains, agacés à l’idée de voir tant de monde.

    Un exorcisme

    Le couple « a alors fait appel à un prêtre » pour procéder à un exorcisme. Malheureusement pour lui, le prêtre a reçu une volée de pierres sur la tête. Il est donc parti. Mais un jour, « un voisin apporte un petit sac contenant un crapaud. Les époux Mouillard le déposent à l’intérieur… » C’est alors que « la pluie de pierres s’est arrêtée. Le crapaud avait disparu avec elle. » On ne saura jamais ce qui est advenu à l’amphibien, le mystère demeure encore aujourd’hui… [Liberté - Le Bonhomme Libre du 31/10/2016 - Agathe Caudron];

    Les passe-murailles des anciennes religieuses !

    Christine est anesthésiste à la polyclinique du Parc, au sud de Caen, vit rue Montmorency, où elle vit depuis plusieurs années avec son mari, Pascal, kinésithérapeute et conseiller municipal à Caen, les murs ont des oreilles… et pourraient bien, eux aussi, se réveiller !

    C'est qu'à l'endroit même où le couple a fait construire sa propriété, il s'est passé de bien curieuses choses autrefois… On parle dans les gazettes de la fin du XIXe siècle d'un étrange phénomène : une pluie de pierres dans le jardin de la famille Mouillard, les anciens propriétaires, lointains prédécesseurs de ceux qui vivent désormais sur place. Les archives que nous avons retrouvées évoquent une rue et une maison hantée, avec des phénomènes paranormaux très bizarres. Vous avez dit bizarre ? Cela s'est passé à la mi-novembre 1897, il y a donc 125 ans.

    Les faits rapportés dans les journaux de l'époque font froid dans le dos, on se croirait dans un film d'épouvante. "Des pierres sont projetées et ont brisé neuf carreaux de la fenêtre de la cave et un de la porte d'entrée donnant sur un jardin enclos de murs sans qu'il ait été possible de voir la personne qui les lance." Les pierres tomberaient du ciel, comme par magie. La police, alertée, se rend sur place mais ne voit rien… sauf à constater que de gros cailloux débarquent en effet sans crier gare dans la propriété de la petite rue Montmorency.

    Les journaux locaux commencent à en faire un feuilleton à rebondissement. La question se pose : la maison de la famille Mouillard est-elle hantée, victime d'un mauvais œil ? Ouvrons l'œil, les journaux envoient sur place leurs envoyés spéciaux et c'est très spécial : "Les pierres, rapporte le Moniteur du Calvados dont nous avons retrouvé une copie, tombaient dru comme de la grêle et on ne voyait personne. il paraît difficile de penser que de l'endroit et de la façon dont les pierres tombent, elles soient lancées par des voisins ou des passants."

    L'histoire devient moins drôle lorsque l'on apprend que la propriétaire, à bout de nerfs, en tombe malade. SOS fantômes… rue Montmorency, le curé de la paroisse est invité à se rendre sur place. Et sur place, la petite rue devient aussi fréquentée qu'une station de métro à l'heure de pointe. Un jour, près de 2 500 personnes viennent pointer le bout de leur nez. Chiffre confirmé par la police municipale de l'époque qui, soit dit en passant, a fort à faire avec les curieux, dont certains, effrayés par les histoires de sorcellerie, manifestent "bruyamment" leur colère, traitant de fous furieux les propriétaires de la bâtisse, accusés d'être eux-mêmes de vilains sorciers.

    L'étrange manège digne d'Harry Potter va durer encore quelque temps, jusqu'à ce qu'un contre-sort soit lancé sur la maison : quelqu'un, sans doute un ancien élève de l'école de Poudlard, y déposa un sac contenant… un crapaud ! Le batracien fit ses offices puisqu'en sa présence, les jets de pierre stoppèrent net. Chapeau, le crapaud pas beau !

    La maison hantée a disparu, remplacée par une jolie bâtisse contemporaine. Seul le jardin clos de mur est encore là. La plupart des maisons du quartier sont conçues de la même façon, avec de beaux parterres à l'arrière. Martine et Gilbert, des voisins qui vivent là depuis longtemps, ont l'explication : ces beaux jardins étaient ceux, autrefois, des religieuses de l'Abbaye aux Dames. Chaque parcelle communiquait entre elles. Les vestiges passe-muraille sont encore visibles. Si ces portes pouvaient parler, peut-être raconteraient-elles ces étranges pluies de pierre… ?

    On y revient toujours : les murs ont des oreilles. [Philippe Bertin - Château Chante-Loup- tendanceouest - 20/11/2022].

    [L'émergence des Portes Induites/Vortex/Pontifex/Portex/ Puits à énergie potentielle, s’accompagnent souvent d’apports d’objets singuliers NFO].

    (26)  Caen (14) - Les messes noires de Saint-Étienne-le-Vieux

     

    D’aucuns affirment, par exemple, que de curieuses messes seraient célébrées nuitamment dans l’église aujourd’hui désaffectée de Saint-Étienne-le-Vieux. Un voyageur égaré dans les rues obscures aurait aperçu une lumière vive filtrer au travers des vitraux tandis qu’un chœur invisible psalmodiait des litanies dans une langue inconnue… La tour Chastimoine (ou Chatimoine) ou « Grosse Tour », maintenant disparue,  aurait servi à châtier les moines de Saint-Étienne pour leurs délits.

    (27)  Caen (14) - La tour Chastimoine (ou Chatimoine) - Des cachots hantés

    C’est pour remplacer une tour minée lors d’un siège, à l’angle nord-ouest des fortifications de la ville, que les édiles de la ville en décident la construction. Une lettre patente de Charles VII et des listes d’ouvriers permettent de dater son édification de 1455 à 1465.

    D’après la légende, le peuple l’a baptisée ainsi car « elle avait été placée en ce lieu pour châtier les moines de Saint-Étienne en cas de délit ». Une explication qui met illico l’accent sur la vocation carcérale du bâtiment. À l’époque, on l’appelle aussi « Grosse Tour », un nom approprié au vu de l’envergure de la bâtisse. Ses murs en pierre de Caen ont une épaisseur de 7 m et une hauteur de 30 m.

    La tour aux fous

    Jusqu’au milieu du XVIIe siècle, elle se contente tout bonnement de servir d’entrepôt. En 1655, afin de faire place nette dans les rues, la ville décide d’enfermer pauvres errants et mendiants valides. Dès lors, ils seront arrêtés par des gardes institués pour la circonstance et enfermés à la Chastimoine. Mais leur nombre rend indispensable la construction d’un hôpital général et la tour se spécialise peu à peu dans l’enfermement des aliénés, au point d’être appelée de plus en plus souvent « la tour aux fous ».

    Les conditions de vie des malheureux sont atroces, les souterrains particulièrement terribles. On y descend dans une cave voûtée qui ne reçoit le jour et l’air que par trois ou quatre lucarnes étroites. L’endroit est tellement humide que, plusieurs fois dans l’année, il est inondé. Dans l’épaisseur des murs sont creusées quatre ou cinq cavités dans lesquelles on place les prisonniers, véritablement scellés dans la paroi. Une fois enfermés, la porte par laquelle ils sont entrés ne s’ouvre plus, assurée aux moyens de fers.

     Manifestations diaboliques

    Ceux qui, par miracle, parviennent à sortir de cet enfer ne sont pas mieux lotis que ceux qui y succombent. À bout de forces et déshabitués de la vie à l’extérieur, c’est souvent quand ils sortent de leur cachot qu’ils meurent… Ce qui se passe en ces lieux est si horrible que l’administration elle-même finit par s’en aviser. En 1785, le maire de Caen entreprend de faire la lumière sur ce qui se passe dans cette prison. Il y pénètre et en ressort épouvanté. Sur ordre de Louis XVI, la tour est enfin détruite.

     

     

    À sa place s’élève aujourd’hui, aux n° 7 et 8 de la rue Bertauld, à gauche de l’ancien palais de justice, une longue maison que, sur les fondations de la sinistre Chastimoine, « l’architecte Firmin Cappe a eu toutes les difficultés du monde à faire tenir ». Nul doute que les esprits des malheureux déments de la funeste tour sont encore présents en ces souterrains. [Ouest-France du 25/06/2023 - Françoise Surcouf].

     (28)  Caen (14) Les cimetières dormants

    Les « cimetières dormants », désaffectés et mangés par le lierre et les herbes folles. Au fil du temps, plusieurs de ces demeures du grand sommeil se sont, elles aussi, paisiblement endormies et sont devenues des parcs où les amateurs de verdure aiment déambuler.

    Dans ces vastes terrains vagues, la végétation reconquiert ses droits, les chats sauvages s’y lovent au soleil et les badauds méditent un livre à la main. Disséminés aux quatre coins de la ville, ces « dormants », dont certains datent de l’époque de Guillaume le Conquérant, sont des lieux assez méconnus. Ils recèlent pourtant nombre d’histoires passionnantes, troublantes, voire effrayantes.

    Le cimetière de Saint-Nicolas est le plus ancien et, peut-être, le plus mystérieux. On prétend qu’une maison voisine est hantée par le fantôme d’une femme sans tête autrefois enterrée ici et qui parfois, se promènerait dans les allées ombreuses de son lieu de repos. Une autre créature étrange, spectre sans âge portant un nid d’oiseaux sur la tête s’adresserait, elle, directement aux promeneurs… [Ouest-France du 25/06/2023 - Françoise Surcouf].

    (29)  Caen (14) - Maison hantée et poltergeist

    Rue Arcisse-de-Caumont, une maison de brique. « Cette maison est touchée par des poltergeist, des esprits frappeurs. Les habitants entendent des bruits de pas, de verres que l’on pose sur la table. » Plusieurs familles ont vécu ici, et trois d’entre elles ont quitté l’habitation, dérangées par ces esprits. Une ancienne occupante a même tenté de mettre fin à ses jours. [Ouest-France du 16/07/2017 - Marie Sasin].

    (30)  Caen (14) - 12 Août 1186 -  Par un temps calme, on entend à Caen, à 8 heures du matin, ainsi qu'à Balleroy, Caumont, Thorigny, etc…, un bruit semblable à un coup de canon éloigné, mais plus prolongé, qu'on attribua à diverses causes. Certaines personnes rapportèrent même qu'on avait vu un météore tourbillonner dans la campagne, et se dissiper avec explosion. (source Le Journal de Honfleur).

    (31)  Caen (14) - Mars 1843  -   Nouvelles locales  -   Dans la soirée de vendredi dernier, et plusieurs soirs de suite, entre huit et neuf heures, chacun a pu apercevoir à l'horizon un météore lumineux dont l'éclat lacté s'avivait graduellement à mesure que s'obscurcissait le ciel. C'était une clarté boréale s'étendant de l'est-nord-est à l'ouest-sud-ouest, dans un développement de 40 à 45 degrés. Sa forme était celle d'une arc-en-ciel, sa couleur, une teinte blanchâtre affectant, pendant quelques instants, des tons légèrement cuivrés.

    Après 85 minutes de durée, elle ne laissait plus dans le ciel qu'une vague et incertaine lueur qui s'est éteinte subitement.

    Inutile de dire que dans notre ville, comme ailleurs, les suppositions et appréhensions de tout genre ont marché vite, à l'occasion de cet accident météorologique, dont les savants du bureau des longitudes de Paris nous donneront sans doute la prochaine explication. (source : L’Indicateur de Bayeux).

    (32) Caen (14) - Août 1844   -   Nouvelles locales   -   On a pu voir ces jours derniers à l'œil nu, dans la direction de l'Orient, la comète découverte par M. Meauvais.

    La queue parait avoir une longueur d'un demi-pied ; son éclat est assez faible. Autour de la comète était un cercle semblable aux cercles qui encadrent quelquefois la lune, lorsque le temps est sur le point de changer. (source : L’Indicateur de Bayeux).

    (33) Caen (14)  -  Juin 1850  -  Nouvelles locales  -   Le même jour, vers 9 heures 1/2 du soir, une forte clarté vint tout-à-coup se projeter sur notre ville. Les personnes qui se trouvaient dehors, quoiqu'un peu surprises, ne lardèrent pas à reconnaître qu'elle était produite par un météore qui, sous la forme d'un globe de feu présentant l'aspect de la lune dans son plein, mais brillant d'un éclat beaucoup plus vif, se dirigeai du sud est au nord-ouest et venait se perdre au-dessus du phare de la jetée de l'E., laissant derrière lui une traînée d'étincelles qui le faisaient ressembler à une pièce d'artifice.

    Quelques minutes après, un coup de tonnerre se fit entendre. Plusieurs aérolithes ont été recueillis sur la route suivie par ce météore.

    Le même curieux phénomène s'est produit presque en même temps à Paris, à Rouen et au Havre.

    Voici ce que nous lisons dans le Journal de l'Arrondissement du Havre, du 6 mai :

    « Hier, vers 9 h. 1/2 du soir, un météore lumineux a éclairé pendant quelques instants la voûte céleste au-dessus de notre ville. Ce météore, qui paraissait à son point de départ une simple étoile filante, a acquis pendant son parcours la forme d'un globe lumineux roulant sur lui-même et répandant un vive clarté. Il a suivi la direction du sud au nord et a paru se perdre derrière la côte. » (Source : Le Journal de Honfleur).

    Juin 1850 -  Nouvelles locales -  Le météore du 3 juin que nous avons mentionné dans notre dernier numéro, a été vu dans toutes les villes, ou pour mieux dire dans toutes les contrées à l'ouest, au nord et à l'est, de Paris, dans un rayon de 40 à 50 lieues, à la même heure et sous la même forme.  (Source : Le Journal de Honfleur).

    Avril 1853  -  On lit dans la Gazette de France -   Nous avons parlé de la comète attendue en 1856, et nous avons dit quelque chose des précédents de cette voyageuse à tous crins. En 1835, il en est passé une autre, sans que personne mit le nez à la fenêtre, et pourtant ce n'était pas une parvenue : depuis l'an XVIII avant notre ère, et dans, les vingt-cinq visites qu'elle nous a rendues, elle a coïncidé avec des événements qui eurent leur importance.

    Ainsi, on 1066 , Guillaume le Bâtard, duc de Normandie, venait de débarquer en Angleterre à la tête d'une nombreuse armée, lorsqu'apparut cette comète qui porte aujourd'hui le nom de Halley. Elle fut considérée par les Anglais comme un pronostic de la victoire des Normands et inspira une terreur universelle, qui ne contribua pas peu a amener la soumission du pays après la bataille d'Hastings, comme elle avait servi à décourager les soldats de Harold avant le combat. La comète est représentée sur la fameuse tapisserie de Bayeux, ouvrage de la reine Mathilde, femme du conquérant.

    Cette même comète jeta l'épouvante, en 1456, parmi les Turcs, commandés par Mahomet II, et dans les rangs des chrétiens pendant la terrible bataille de Belgrade, où quarante mille Musulmans périrent. (Source : L’Indicateur de Bayeux).

    Juillet 1854  -  Le dérèglement climatique  - Un journal croit avoir trouvé la raison des perturbations atmosphériques dans des observations ainsi formulées.

    L'apparition de la nouvelle comète découverte le 4 juin dernier, à l'observatoire de Gœttingue, dont le passage au périhélie, le 22 du même mois, a été calculé à l'observatoire de Paris, donne l'explication des perturbations atmosphériques que nous éprouvons depuis plus d’un mois.

    La durée et l'intensité de ces perturbations étant en rapport avec l'étendue de la période de cet astre errant, qui doit être de près de 400 ans (397 ans), son influence, sur notre globe par l'intermédiaire de notre satellite peut se faire sentir encore pendant plusieurs mois, mais il est probable qu'une grande chaleur va succéder à une grande humidité, c'est ce que semble annoncer du reste la lutte entre ces deux principes et les deux parties des points cardinaux nord-ouest et sud-est qui viennent de provoquer de terribles orages.

    Cette comète, qui a dû apparaître en 1457, est indiquée à cette époque dans les catalogues, mais sans observations, il est difficile en effet de l'apercevoir à l'œil nu.

    L'inclinaison de l'orbite sur l'écliptique est de 71°, son mouvement est rétrograde. (source Le Journal de Honfleur).

    (34) Caen (14) -  Janvier 1856 - Nouvelles locales - Lundi, vers cinq heures d'après-midi, les habitants de Caen et des environs ont été surpris par l'apparition subite d'un globe de feu qui, en éclatant dans l'air, a projeté une assez vive lumière. Ce phénomène qui se manifeste très rarement dans nos contrées, a été l'objet d'une foule de commentaires que nous nous garderons bien de relever, la plupart étaient d'une force trop naïve.

    Ce météore a été d'ailleurs aperçu aussi à Rouen, au Havre et à Bayeux, ainsi que le constatent les journaux de ces localités. (Source : L’Indicateur de Bayeux).

    Septembre 1856  - On lit dans le Journal -  Les astronomes attendent, cette année, pendant l'automne où nous entrons, le retour et l'apparition de la fameuse comète de 1556 , dite comète de Charles-Quint, qui n'a pas été vue depuis trois siècles. En 1556, elle coïncida avec une récolte en vin d'une qualité remarquable.

    Espérons qu'elle manifestera cette année sa présence et son influence par un phénomène aussi agréable. On sait qu'à la suite de l'apparition de la petite comète de 1811, le vin fut aussi d'une qualité supérieure. (Source : L’Indicateur de Bayeux).

    (35) Caen (14) - Avril 1859  -  Une magnifique aurore boréale   -  Jeudi, vers huit heures et demie du soir, notre population a été témoin d'un phénomène qu'on prit d'abord pour un violent incendie. C'était une magnifique aurore boréale. Elle a paru dans la direction du nord-ouest, et on a pu jouir, pendant assez longtemps, de ce curieux spectacle.

    On se rappelle qu'un semblable phénomène eut lieu en novembre dernier, et qu'il fit croire également à un incendie. (source : L’Indicateur de Bayeux).

    (36) Caen (14) - Juillet 1861 -  La comète -   La comète, qui a fait son apparition d'une façon si subite et qui a si bien trompé la vigilance des astronomes parisiens, a toujours le privilège d'attirer les regards des curieux.

    Hier encore, Ie phénomène céleste se faisait admirer de toutes parts, jusqu'à une heure très avancée de la nuit. ( L’Ordre et la Liberté )

    Juillet 1861  -  La Comète   -   Depuis dimanche, on a pu voir une magnifique comète qui s'est fait remarquer dans la partie nord du ciel.

    Hier, entre 10 et 11 heures du soir, sa queue, perpendiculaire à l'horizon, avait plusieurs degrés.

    Dans la saison où nous sommes, on peut espérer de belles soirées pendant lesquelles les astronomes pourront étudier dans sa course l'astre voyageur, et les astrologues, s'il en existe encore, conjecturer l'avenir et débrouiller les destins obscurs de l'Europe et de l'Amérique. ( L’Ordre et la Liberté ).

    Juillet 1861  -  La comète  -   A mesure que la comète, espèce de fusée stellaire, s'avance dans sa trajectoire hélicoïde pour s'en aller se perdre dans l'infini de l'espace, sa queue change de direction. C'est ainsi que, dans les premiers jours de son apparition, cette queue s'en allait de nord-nord-ouest à sud-sud-est. Aujourd'hui, elle a pris la direction du Sud, comme si, en tournant sur sa trajectoire, elle devait toujours avoir la tête du noyau tournée vers le soleil. (L’Ordre et la Liberté).

    Juillet 1861  -  La comète  -   Encore une ou deux soirées, et c'en sera fait de la comète de 1861, du moins pour nos faibles yeux. Les astronomes seuls, grâce à leurs puissants instrument pourront la suivre encore quelque temps dans sa course vraiment échevelée. En ce moment, l'immense queue travers l'extrémité de laquelle la terre a, dit-on, passé sans que nous nous en soyons aperçus, ne ressemble plus qu'à une pâle lueur.

    Ce qu'il y aura eu de bizarre dans l'apparition si peu prévue de astre voyageur c'est qu'on n'a pu se mettre d'accord pour lui donner un nom. Elle est arrivée incognito, elle va partir anonyme. ( L’Ordre et la Liberté ).

    (37) Caen (14) - Novembre 1862 - Phénomène Météorologique  -  Jeudi soir, vers 6 heures moins un quart, un météore lumineux, de la grosseur apparente d'une bombe, a éclairé toute la région comprise entre la Délivrande et Bayeux.

    A Creully, au moment du passage de ce globe de feu, quelques personnes prétendent avoir ressenti une sorte de secousse. Le météore, depuis sa naissance jusqu'à sa chute dans la direction de Bayeux, a duré environ vingt secondes. Le ciel était très-pur, le vent du sud-est presque nul, une petite gelée blanche commençait à se faire sentir. Le baromètre marquait 756 millimètres, très peu au-dessous du variable, avec une tendance à monter. Il se pourrait que ce phénomène fût une sorte de contre-coup des perturbations atmosphériques et souterraines qui viennent de se manifester dans le midi de la France, à Nîmes, par un tremblement de terre ; à Marseille et à Cette, par des raz-de-marée et de violentes tempêtes. (l’Ordre et la Liberté)

    Décembre 1862 - Les suites du phénomène météorologique - Le météore dont nous parlions samedi a été vu au Havre comme à Caen, à Creully et à Bayeux.

    Le Journal du Havre rapporte qu'un globe de feu d'un volume assez considérable a été observé jeudi soir, vers six heures, courant dans l'espace du Nord au Sud, avec une vitesse extrême et paraissant très élevé au-dessus de l'horizon. Ce météore, qu'un grand nombre de personnes ont vu au Havre, et qui jetait une clarté surprenante, a été visible presqu'à la même heure à Rouen, comme l'atteste le Nouvelliste.

    Tout porte à croire que ce bolide si lumineux est venu achever sa course dans les environs de Bayeux. Dans cette dernière région, en effet, il paraissait assez près de la terre, et nous n'apprenons pas qu'il ait été vu dans le département de la Manche. (l’Ordre et la Liberté).

    (38) Caen (14) - Octobre 1870  -  Fait divers  -   Encore une fois, le ciel, normand s'est trouvé illuminé par une aurore Boréale. Une splendide couleur rouge éclairait l'espace et formait un arc-en-ciel très régulier, que malheureusement le passage de nombreux nuages obscurcissait à de fréquents intervalles.

    Jadis, les aurores boréales étaient regardées comme le signe de sanglants désastres, aujourd'hui, on les attribue tout simplement à l'ignation spontanée du fluide magnétique qui s'enflamme comme la limaille de fer. On a remarqué que le sommet de l'arc dominait toujours le méridien magnétique du lieu d'observation.

    Arago croyait avoir trouvé le signe précurseur de ce phénomène dans un mouvement sensible de l'aiguille d'inclinaison et de l'aiguille de déclinaison, qui tous les matins du jour ou doit, se montrer l'aurore dévie de 5 à 15 minutes.

    En regardant l'aurore, beaucoup de gens croyaient y voir la réalisation de la fameuse prophétie de Blois, qui annonce une grande perturbation dans le ciel. Malheureusement pour les amateurs du merveilleux, les aurores boréales sont si peu rares que jusqu'à la moitié du siècle dernier, on avait déjà recueilli près de mille observations, et dans les régions  polaires où elles sont permanentes. [USHC].

    (39) Caen (14) - Juillet 1874  - La comète n'est pas étrangère aux grandes chaleurs que nous subissons. En 1811, une comète fut visible, et les chaleurs et la sécheresse furent telles qu'un grand nombre de rivière tarirent, en 1846, nouvelle comète, nouvelle sécheresse, l'eau devint tellement rare dans certains endroits que des bestiaux périrent de soif. En 1811 comme en 1846, le vin fut abondant et d'une qualité supérieure, on espère qu'il en sera de même en 1874, aussi les cours des vins sont-ils en baisse de 10 fr. par hectolitre. A Marseille, le thermomètre a  marqué, à l'ombre, 40 degrés, à Paris, au soleil, 44 degrés. De nombreux cas d'insolation sont signalés.  [USHC].

    (40) Caen (14)

    Février 1903 -   Disparition  -  Le sieur Charles Lepleux, 76 ans, journalier à Fontenay-le-Pesnel, près Tilly-sur-Seulles, est disparu depuis le 26 janvier du domicile de son fils Eugène, journalier chez lequel il demeurait. On ne sait ce qu'il est-devenu.

    -  Le sieur Émile Dechan, 45 ans, ouvrier jardinier, domicilié route de Ouistreham à Caen, est disparu de son domicile depuis le 20 janvier dernier. Il est Veuf et vivait seul.   (Source : Le Bonhomme Normand). [Les disparitions inquiétantes de personne sont mortelles dans 29 % des cas, provisoires dans 30 % des cas et continuelles ou définitives dans 41 % des cas. La concordance territoriale entre les épicentres des apparitions des ovnis et les disparitions inquiétantes accrédite la thèse de l’ingérence parasitaires des exogènes-polymorphes comme principaux acteurs de ces disparitions, de même que le factuel des états somnambuliques des personnes disparues/retrouvées et qui montrent les symptômes identiques de désorientation, d’amnésie, de perturbation psychique, de missing time, etc. des RR4 ou des phénomènes dits des abductions ufologiques. NFO].

    Mars 1842 -  On nous écrit  - A la date du 9 mars : La nuit qui vient de s'écouler n'a été qu'une longue tempête. Depuis dix heures du soir jusqu'au lever du jour, les vents d'ouest, sud-ouest ont soufflé avec une impétuosité inouïe. La fureur de l’ouragan était telle que des parties de toits se détachaient à chaque instant et allaient au loin achever de se briser sur les pavés de nos rues.

    On redoute fort d'apprendre quelles sinistres maritimes ont eu lieu. Puissent les bateaux pêcheurs de nos côtes n'avoir pas été assaillis en mer, avant leur retour, par le déchaînement subit de cet orage épouvantable ! Puisse-t-on n'avoir à enregistrer aucuns de ces désastres trop fréquents qui accompagnent la vie aventureuse de ces pauvres pêcheurs.

    On apprend que le vent a fait dans la commune d'Allemagne [Fleury-sur-Orne] des ravages considérables, plusieurs maisons sont lézardées. d'autres, et c'est le plus grand nombre, ont perdu leurs couvertures, les grues servant à l'exploitation des carrières ont été brisées et leurs débris semés dans la campagne.

    A Caen, plusieurs arbres de nos promenades publiques ont été renversés, sur le Cours-la-Reine, quatre platanes gisent déracinés, sur le grand cours, trois ormes antiques, l'orgueil de cette belle promenade, ont été brisés en éclats à la naissance des premières branches, et leurs fûts gigantesques ont été lancés jusque dans la rivière qui paraît près de déborder.

    — Nous lisons à ce sujet dans le « Haro » : Cette nuit de mercredi à jeudi, une violente tempête a éclaté sur notre ville et aux environs. Dès hier au soir, le vent, le tonnerre et les éclairs présageaient une mauvaise nuit. Ce matin, nos rues étaient jonchés de tuiles, d'ardoises, de carreaux, de persiennes, de tabatières, etc… Sur les deux cours, plusieurs arbres ont cédé sous la violence du vent. Il en est deux surtout sur le grand cours que leur age et leur force semblaient devoir protéger, et qui ont été déracinés. La toiture de la caserne de Vaucelles a, dit-on, beaucoup souffert, la rose des vents qui se trouve au-dessus du pavillon de l'Hôtel-de-Ville, a été inclinée, une maison en construction sur la hauteur du calvaire de Vaucelles a été enlevée.

    Le courrier d'Alençon a couru de grands dangers dans la ville de Falaise, où les tuiles tombaient comme grêle, a la sortie de la ville, un hêtre déraciné a failli tuer les chevaux.

    Sur la route de Caen à Tilly, plusieurs maisons, dont le toit est en chaume, ont été découvertes entièrement, et la toiture portée à une certaine distance. Un grand nombre de pommiers sont déracinés ou brisés.

    A Bretteville, une maison s'est presque écroulée, et un enfant, nous dit-on, serait dangereusement blessé par les débris.

    La guérite de la place du Sépulcre a été renversée, nous dit-on, et transportée à une assez grande distance, nous n'avons pu vérifier le fait.

    Nous craignons d'apprendre de plus grands sinistres, nous redoutons surtout les nouvelles maritimes. (Source  : L’indicateur de Bayeux).

    Juillet 1874   -  Le réchauffement climatique  - La comète n'est pas étrangère aux grandes chaleurs que nous subissons. En 1811, une comète fut visible, et les chaleurs et la sécheresse furent telles qu'un grand nombre de rivière tarirent, en 1846, nouvelle comète, nouvelle sécheresse, l'eau devint tellement rare dans certains endroits que des bestiaux périrent de soif. En 1811 comme en 1846, le vin fut abondant et d'une qualité supérieure, on espère qu'il en sera de même en 1874, aussi les cours des vins sont-ils en baisse de 10 fr. par hectolitre. A Marseille, le thermomètre a marqué, à l'ombre, 40 degrés, à Paris, au soleil, 44 degrés. De nombreux cas d'insolation sont signalés.

    Juillet 1874  -  La comète  - Selon les prévisions des astronomes, la comète découverte par M. Coggia, de Marseille, le 17 avril dernier, n'aura tout son éclat que vers le 15 juillet,  mais actuellement, grâce à la pureté momentanée de l'atmosphère, elle brille merveilleusement chaque soir, au-dessous de l'étoile polaire, comme une étoile de troisième  grandeur. Sa traînée est très apparente à l’œil nu. [USHC].

     Juin 1895 - Orages - Les orages se succèdent en France sans interruption. En Normandie, il n'y a eu que des dégâts matériels. Cependant, un cheval a été tué par la foudre à Fontenay-le-Pesnel, à Caen, le tonnerre est tombé sur les églises Saint-Pierre et Saint-Sauveur et sur d'autres points. (Source : Le Bonhomme Normand). [Les épisodes orageux, le phénomène de la foudre, ouragans, tempêtes accompagnent généralement l'émergence des Portes Induites/Vortex/Pontifex/Portex/ Puits à énergie potentielle . NFO].

     

     

    Un loup-garou en Normandie

    C’est une légende digne de la Bête du Gévaudan qui prend place à  Caen au XVIIe siècle. En 1632, des attaques dans les forêts aux abords de la capitale du Calvados font plusieurs morts notamment dans la forêt de Cinglais.  De nombreuses battues sont organisées en vain entre 1632 et 1633 en Normandie. De nombreux récits font état d’un animal très rapide, d’une bête « furieuse », d’un homme qui se transformerait même en loup… Ce qui est affirmé par les sources historiques, c’est qu’un grand loup roux est toutefois tué lors d’une battue. Source : eureka.

     

    La Bête de Cinglais (14) - Illustration d'époque

    C’est une légende digne de la Bête du Gévaudan qui prend place à  Caen au XVIIe siècle. En 1632, des attaques dans les forêts aux abords de la capitale du Calvados font plusieurs morts notamment dans la forêt de Cinglais.  De nombreuses battues sont organisées en vain entre 1632 et 1633 en Normandie. De nombreux récits font état d’un animal très rapide, d’une bête « furieuse », d’un homme qui se transformerait même en loup… Ce qui est affirmé par les sources historiques, c’est qu’un grand loup roux est toutefois tué lors d’une battue. Source : eureka.

    Une légende digne de la Bête du Gévaudan qui prend place à Caen au XVIIe siècle. En 1632, des attaques dans les forêts aux abords de la capitale du Calvados font plusieurs morts notamment dans la forêt de Cinglais.  De nombreuses battues sont organisées en vain entre 1632 et 1633 en Normandie. De nombreux récits font état d’un animal très rapide, d’une bête « furieuse », d’un homme qui se transformerait même en loup… Ce qui est affirmé par les sources historiques, c’est qu’un grand loup roux est toutefois tué lors d’une battue. Source : eureka.

    La « bête de Cinglais » 

    Les loups étaient probablement présents, ici comme ailleurs, et peut-être en assez bon nombre. Au début du XIXe siècle, on tuait plusieurs milliers de loups en France chaque année.

    La Gazette de France, dans son numéro du 19 mars 1632, relate des attaques en forêt de Cinglais qui ont causé en un mois la mort d’une quinzaine de personnes.

    « Ceux qui ont évité sa dent rapportent que la forme de cet animal farouche est pareille à celle d’un grand dogue d’une telle vitesse qu’il est impossible de l’atteindre à la course, et d’une agilité si extraordinaire qu’ils lui ont vu sauter notre rivière à quelques endroits. Aucuns l’appellent Therende. Les riverains et gardes de la forêt lui ont bien tiré de loin plusieurs coups d’arquebuse, mais sans l’avoir blessé. Car ils n’osent en approcher, même se découvrir jusqu’à ce qu’ils soient attroupés comme ils vont faire au son du tocsin; à quoi les curés des paroisses circumvoisines ont invité tous les paroissiens à ce jourd’hui, auquel on fait étant qu’il s’assemble trois mille personnes pour lui faire la huée. »

    Une gigantesque battue fut organisée en juin 1633 ; entre 5000 et 6000 hommes y auraient participé. Une bête identifiée par plusieurs témoignages fut tuée et les attaques cessèrent.

    La Gazette du 17 juin rapporte la mort de la créature en ces termes :

    « Cette bête furieuse dont je vous écrivais l’année passée ayant depuis deux mois dévoré plus de trente personnes dans cette forêt passait pour un sortilège dans la croyance d’un chacun. Mais le Comte de la Suze ayant par ordre de notre lieutenant général assemblé le 21 de ce mois 5000 à 6000 personnes, l’a si bien poursuivi qu’au bout de trois jours elle fut tuée d’un coup d’arquebuse. Il se trouve que c’est une sorte de loup plus long, plus roux, la queue plus pointue et la croupe plus large que l’ordinaire.»

    La bête de Cinglais aurait fait une trentaine de victimes en un peu plus d’un an. Elle fut identifiée comme un loup, mais le mystère demeure. [Histoire de Saint Laurent de Condel par Pierre Fouillet].

    [Les espèces exotiques envahissantes exogènes sont des espèces non-indigènes qui investissent un territoire, ce sont des espèces dites exogènes. On trouve dans nos écosystèmes des représentants endémiques des EEEE (les 4E), d'une grande diversité de taxons, sauvages, apprivoisées, domestiqués ou échappées (retournées à la vie indépendante ou férales), non-identifiés par nos contemporains. NFO]. 

    L’École Alchimique Normande

    Comme celles de Carcagny, de Fontaine-Etoupefour (où l'on retrouva dans les douves des fioles, pleines de poudre de projection), les Demeures Philosophales de Caen, Hôtel d'Escoville, Hôtel de Than, la Maison des Quatre Ans, la Manoir de la Tour des Gens d'Armes, la Maison Osmond du boulevard Leroy, etc. témoignent encore de la présence du cercle des alchimistes que fréquentaient, en leur temps, Fulcanelli, Canseliet, Champagne.

    Fait intéressant la Normandie, et en particulier la ville de Flers, qu’une des traductions du Traité d’Artefius, intitulé : Clavis majoris sapientiœ est due à un gentilhomme normand, seigneur et baron de Flers au XVIème siècle, Nicolas de Grosparmy, et a passé pour une œuvre originale.

    Le seigneur de Flers ne se livrait pas seul à la pratique du grand-œuvre ; il avait deux associés : l’un était un autre gentilhomme bien connu dans les annales de la ville de Caen, il se nommait Nicolas Le Valois ; les documents que je vais citer disent de Valois, évidement dans le but de donner un cachet plus nobiliaire à ce nom déjà fort noble. Le second était un prêtre du nom de Vicot, qui s’intitule le serviteur de ses deux associés.

    M. Chevreul est possesseur de plusieurs manuscrits dont il a fait l’analyse : l’un est attribué par lui à de Crosparmy, les autres contiennent les élucubrations des deux associés. Il est prouvé par le travail du savant chimiste que ces œuvres ne sont que des traductions plus ou moins libres du Clavis majoris sapientiœ.


    Le manuscrit du seigneur de Flers porte le titre :

     

    GROPARMIS  SEIGNEUR  DE  FLERS.

    Ensuite la copie d’un manuscrit fait par M. de Gros Parmy (sic), seigneur et baron de Flers, et ayant acquis la dite baronnie et fait construire le chasteau du dit lieu.


    Lequel manuscrit contient théorie et pratique, et en dit autant que tous les autres livres ; néanmoins qu’il soit bien couvert, toute l’œuvre y est contenue ; estant bien entendu ; ce qui se peut faire par le moien des autres livres cités au présent.


    Au nom du grand Dieu Trin, un qui a créé toutes choses de rien, qui vit et règne sans commencement et sans fin. 


    A tous féaus disciples de philosophie naturelle.

    Sçachant tous que je Nicolas Grosparmy, natif du pays de Normandie, par la volonté de Dieu, allant par le monde de région en région, depuis l’aage de douze ans jusques à l’aage de vingt-huict ans : cherchant et désirant sçavoir l’art d’alchymie qui est la plus subtille partie de philosophie naturelle qui traitte et enseigne de la très-parfaite transmutation des métaux et des pierres précieuses ; et comme tout corps malade peut être ramené et réduit en santé. Le dit temps durant, ay enquis comme l’un des métaux se peut transmuter en l’espèce de l’autre et en ce faisant, ay soutenu moult de peines et de dépences, injures et reproches ; et en ay abandonné la communication du monde et la plus part de ceux qui se disoient mes meilleurs amis, pour ce qu’ils m’avoient en dédain, moy estant en nécessité, en me voulant détourner de l’inquisition du dit art pour ce qu’il leur sembloit que je m’y occupois, et que je détournois de mes autres affaires, et pour a celle chose parvenir, ay quis et esté avec maint compagnon cherchant le dit art comme je faisois, cuidant le trouver par leur moien ; et pour avoir amitié et entrée avec eux, me suis fait leur serviteur, et ay soutenu la plus part de la peine de leurs ouvrages et ay veu et estudié plusieurs livres auxquels la science est contenue en deux manières, l’une fauce, l’autre vraie.

    Que Grosparmy fit la maison des comtes de Flers, en Basse-Normandie, très illustre et très riche, et que l’original de tous ses écrits est entre les mains du comte de Flers, lesquels il tient si chers, et avec raison, qu’il se les cache à luy mesme.

    Ils étaient trois, qui ont possédé l’œuvre , M. de Grosparmy, trisaïeul de M. le comte de Flers, Nicolas Valois, son amy, Pierre Vitcoq ou Vicot, son chaplain.

    Le comte de Flers dont il est ici question, comme arrière-petit-fils de Nicolas de Grosparmy, était Louis de Pellevé, qui après avoir eu une superbe position, mourut dans la détresse en 1660, sans doute toujours en possession du précieux manuscrit, qui ne lui apprit point à faire l’or dont il avait grand besoin.

    M. de Valois, de la maison d’Escoville, a composé cinq livres reliés en un même volume, où il y a au commencement une grande figure ronde enlumunée, et deux fourneaux admirables, de M. de Grosparmy, par le moien des registres duquel on peu éclore les œufs et fondre l’or, lequel livre il faisoit en forme de testament à son fils, le petit chevalier.

    Nicolas de Valois, second amy et compagnon de science et de possession de l’élixir, a basti une maison très splendide à Caen et a laissé quatre terres nobles à ses successeurs, dont l’aîné porte le nom de sieur d’Escoville-Valois, grand seigneur en Normandie, près de la ville de Caen.

    Les quatre terres que M. de Valois avait acquises, il les a basties magnifiquement ; chaque bastiment ne se feroit pas pour cinquante mille escus ; dans l’une, il y a une chapelle, où tous les hiéroglyphes de l’œuvre sont représentés. Il avait épousé, en premières noces une dame Hennquin, qui, par son contract de mariage, ne devoit remporter de douaire que quinze cents livres ; mais le douaire de la seconde femme a esté de plus de vingt mille livres.

    Il a de plus composé un livre très-excellent et très-rare, traittant de la philosophie hermétique, tout plein de figures hiéroglyphiques, lequel est intitulé : Hebdomas hebdomadum cabalistarum magorum bracmanorum antiquorumque omnium philosophorum impteriœ continens.

    Ce personnage a justement acquis une grande célébrité dans la ville de Caen, par la construction de l’hôtel situé place St-Pierre, qui fait encore l’ornement de la cité ; cet édifice, après avoir passé par succession à la famille de Touchet, qui le tenait du poète latin Moysant de Brieux, fut acheté par la ville en 1733, pour en faire un hôtel-de-ville, et, de nos jours, devint l’hôtel de la Bourse.

    Tous les auteurs qui ont écrit sur Caen ont célébré cette somptueuse demeure. De Bras nous apprend quelques particularités sur sa construction.

    Il raconte que, vers l’an 1537, alors que les imaginations étaient encore fort excitées par la quantité de métaux précieux apportés à la suite de la découverte du Nouveau-Monde.

    M. Chevreul cite un écrit de ce personnage, intercalé dans le volume manuscrit attribué à Nicolas de Grosparmy, intitulé :   Recueil par extrait de quelques philosophes adeptes, par ordre alphabétique, où sont reportez (sic) quelques-uns de leurs passages, avec quelques traits de leur vie, par messire Jean Vauquelin, chevalier seigneur et patron des Yveteaux (1700).


    Personne ne pouvait être plus à même de connaître les particularités historiques sur les associés que ce normand.


    M. des Yveteaux, à l’article Valois, dit que :   Celui-ci acheva le grand œuvre en la ville de Caen, où les hiéroglyphes de la maison qu’il y fit bâtir et que l’on y voit encore en la place St.-Pierre , vis-à-vis de la grande église de ce nom, font foy de sa science .


    On se rappelle que ce personnage avait fait graver les hiéroglyphes de l’œuvre dans une chapelle de l’une de ses terres.


    M. Choisy, dans sa charmante description du château et des jardins des Yveteaux, lue à la session de 1864 de l’Association normande, tenue à Falaise, dit de Jean Vauquelin :

    C’était un homme d’étude. Il avait, dans son château, un vaste et riche laboratoire de chimie, science sur laquelle il aurait composé quelques ouvrages. À certaines expressions grosses de mystères, et en grand honneur chez les alchimistes, il est de plus fort à croire qu’il a été adepte des passionnantes chimères du grand œuvre. Source : Alchimie Pratique - Bellator.

     

    Les Templiers à Caen

     

    Huet dit que l'hôtel des Templiers était situé dans la rue de Bernières allant au Pont-St-Pierre, et l'abbé de la Rue dit  : du côté du Pont-Saint-Pierre, dans la rue des Quais, il y avait autrefois deux, jeux de paume, qu'on appelait le Grand et le Petit-Roch, du nom de leur propriétaire. Celui qui se trouvait entre la rue Guilbert et la rue des Cordes, était nommé beaucoup plus anciennement le Temple, et dans le cartulaire de l'église Saint-Pierre, on trouve sous la date de l'année 1467 cette mention : « Maison et place du Temple sur la rive, appartenant à Jacques Dallon, curé de Langrune. ».

    Ces mots indiquent suffisamment que c'était là l'ancienne demeure des Templiers. Cette maison, il est vrai, pouvait n'être plus occupée par eux en 1307, lors de leur arrestation, mais il n'est pas moins certain que les Templiers de Bretteville l'habitaient de temps à autre au siècle précédent.

    Elle leur avait été donnée vers le milieu du XIIIe siècle, par une noble demoiselle, du nom de Péronne, fille d'Asselin le Merchier. Nous avons trouvé la charte du mois de juillet 1266, par laquelle la noble demoiselle reconnaissait avoir abandonné aux frères de la chevalerie du Temple, demeurant à Bretteville-le-Rabet, « apucl Bretainvillam la rabel », sa maison située à Caen, « apud Cadonum », dans la paroisse Saint-Pierre de Darnetal, rue Basse, « in bassa rua », et tenue des frères du Temple au cens de 42 sols tournois par an, dans laquelle maison, est-il dit, les Templiers avaient coutume de manger et de loger, lorsqu'ils devaient, pour leurs affaires ou pour toute autre cause, séjourner en ville. Cette donation portait pour condition, que Péronne recevrait des Templiers, tout ce qui serait nécessaire à sa subsistance, et qu'on le lui ferait porter chaque jour dans celle de ses maisons de Caen qu'elle jugerait à propos d'habite

    Outre leur maison dans la ville, les Templiers en possédaient une autre en dehors, au hameau de la Folie. C'était une petite métairie avec une dizaine de vergées de terre, longeant la route royale, et qu'on a appelées depuis le Champ du Temple. Source : Templiers.net

      

    Géolocalisation des Sabbats  

     

    Aux environs de Vassy (14), le village de Jean-le-Blanc (14), Beaumont-le-Roger (27), le mont Bonnet Vire (14), les rochers de Clécy (14), la butte Brimbal entre Sourdeval (50) et Tinchebray (61), la mare de Bouillon (50), dans la forêt de Néhou (50), à Méautis (50), aux bois d'Etenclin (50), aux bois de Lithaire (50), forêt de Barnavast (50), dans la contrée du Theil (50), dans la contrée de Saussemesnil (50), le mont Margantin (61), Gaillefontaine (76), à Bully-la-Fosse (76), à Aliermont (76), au Mesnil-Esnard (76), à Londinière (76), à Fréauville (76), à Pont-Angot (61), sur la Dives vers Vicques (27), à Louviers (27), à Gisors (27), à Tosny (27), à Saint-André et Saint-Georges-de-Bohon (50), le mont Etenclin près de la Haye-du-Puits (50), Montchauvet (14)

    Sources : Le Tenneur René - Magie Sorcellerie et fantastique en Normandie -1979.

    Extrait du Catalogue de Normandie - France - Ovnis : Seine-Maritime (76), Orne (61), Manche (50), Calvados (14)
     
    Vous pouvez nous aider à vous informer sur les ingérences des ovnis en nous communiquant les nouvelles ou les anciennes observations de Normandie (témoignages ou presse) à ufo.genpi@gmail.com ou en les publiant publiquement. Merci d’avance.
     
     

    Un loup-garou en Normandie

    La Bête de Cinglais (14) - Illustration d'époque

    C’est une légende digne de la Bête du Gévaudan qui prend place à  Caen au XVIIe siècle. En 1632, des attaques dans les forêts aux abords de la capitale du Calvados font plusieurs morts notamment dans la forêt de Cinglais.  De nombreuses battues sont organisées en vain entre 1632 et 1633 en Normandie. De nombreux récits font état d’un animal très rapide, d’une bête « furieuse », d’un homme qui se transformerait même en loup… Ce qui est affirmé par les sources historiques, c’est qu’un grand loup roux est toutefois tué lors d’une battue. Source : eureka.

    [Les espèces exotiques envahissantes exogènes sont des espèces non-indigènes qui investissent un territoire, ce sont des espèces dites exogènes. On trouve dans nos écosystèmes des représentants endémiques des EEEE (les 4E), d'une grande diversité de taxons, sauvages, apprivoisées, domestiqués ou échappées (retournées à la vie indépendante ou férales), non-identifiés par nos contemporains. NFO]. 

    L'Ecole Alchimique Normande

    Comme celles de Carcagny, de Fontaine-Etoupefour (où l'on retrouva dans les douves des fioles, pleines de poudre de projection), les Demeures Philosophales de Caen, Hôtel d'Escoville, Hôtel de Than, la Maison des Quatre Ans, la Manoir de la Tour des Gens d'Armes, la Maison Osmond du boulevard Leroy, etc. témoignent encore de la présence du cercle des alchimistes que fréquentaient, en leur temps, Fulcanelli, Canseliet, Champagne.

    Fait intéressant la Normandie, et en particulier la ville de Flers, qu’une des traductions du Traité d’Artefius, intitulé : Clavis majoris sapientiœ est due à un gentilhomme normand, seigneur et baron de Flers au XVIème siècle, Nicolas de Grosparmy, et a passé pour une œuvre originale.

    Le seigneur de Flers ne se livrait pas seul à la pratique du grand-œuvre ; il avait deux associés : l’un était un autre gentilhomme bien connu dans les annales de la ville de Caen, il se nommait Nicolas Le Valois ; les documents que je vais citer disent de Valois, évidement dans le but de donner un cachet plus nobiliaire à ce nom déjà fort noble. Le second était un prêtre du nom de Vicot, qui s’intitule le serviteur de ses deux associés.

    M. Chevreul est possesseur de plusieurs manuscrits dont il a fait l’analyse : l’un est attribué par lui à de Crosparmy, les autres contiennent les élucubrations des deux associés. Il est prouvé par le travail du savant chimiste que ces œuvres ne sont que des traductions plus ou moins libres du Clavis majoris sapientiœ.

    Le manuscrit du seigneur de Flers porte le titre :

     

     GROSPARMIS  SEIGNEUR  DE  FLERS

    de  GROSPARMIS

    De gueules à deux jumelles d'hermines accompagné en chef d'un lion léopardé du même.

     

    Ensuite la copie d’un manuscrit fait par M. de Gros Parmy (sic), seigneur et baron de Flers, et ayant acquis la dite baronnie et fait construire le chasteau du dit lieu.

    Lequel manuscrit contient théorie et pratique, et en dit autant que tous les autres livres ; néanmoins qu’il soit bien couvert, toute l’œuvre y est contenue ; estant bien entendu ; ce qui se peut faire par le moien des autres livres cités au présent.

    Au nom du grand Dieu Trin, un qui a créé toutes choses de rien, qui vit et règne sans commencement et sans fin. 

    A tous féaus disciples de philosophie naturelle.

    Sçachant tous que je Nicolas Grosparmy, natif du pays de Normandie, par la volonté de Dieu, allant par le monde de région en région, depuis l’aage de douze ans jusques à l’aage de vingt-huict ans : cherchant et désirant sçavoir l’art d’alchymie qui est la plus subtille partie de philosophie naturelle qui traitte et enseigne de la très-parfaite transmutation des métaux et des pierres précieuses ; et comme tout corps malade peut être ramené et réduit en santé. Le dit temps durant, ay enquis comme l’un des métaux se peut transmuter en l’espèce de l’autre et en ce faisant, ay soutenu moult de peines et de dépences, injures et reproches ; et en ay abandonné la communication du monde et la plus part de ceux qui se disoient mes meilleurs amis, pour ce qu’ils m’avoient en dédain, moy estant en nécessité, en me voulant détourner de l’inquisition du dit art pour ce qu’il leur sembloit que je m’y occupois, et que je détournois de mes autres affaires, et pour a celle chose parvenir, ay quis et esté avec maint compagnon cherchant le dit art comme je faisois, cuidant le trouver par leur moien ; et pour avoir amitié et entrée avec eux, me suis fait leur serviteur, et ay soutenu la plus part de la peine de leurs ouvrages et ay veu et estudié plusieurs livres auxquels la science est contenue en deux manières, l’une fauce, l’autre vraie.

    Que Grosparmy fit la maison des comtes de Flers, en Basse-Normandie, très illustre et très riche, et que l’original de tous ses écrits est entre les mains du comte de Flers, lesquels il tient si chers, et avec raison, qu’il se les cache à luy mesme.

    Ils étaient trois, qui ont possédé l’œuvre , M. de Grosparmy, trisaïeul de M. le comte de Flers, Nicolas Valois, son amy, Pierre Vitcoq ou Vicot, son chaplain.

    Le comte de Flers dont il est ici question, comme arrière-petit-fils de Nicolas de Grosparmy, était Louis de Pellevé, qui après avoir eu une superbe position, mourut dans la détresse en 1660, sans doute toujours en possession du précieux manuscrit, qui ne lui apprit point à faire l’or dont il avait grand besoin.

    M. de Valois, de la maison d’Escoville, a composé cinq livres reliés en un même volume, où il y a au commencement une grande figure ronde enlumunée, et deux fourneaux admirables, de M. de Grosparmy, par le moien des registres duquel on peu éclore les œufs et fondre l’or, lequel livre il faisoit en forme de testament à son fils, le petit chevalier.

    Nicolas de Valois, second amy et compagnon de science et de possession de l’élixir, a basti une maison très splendide à Caen et a laissé quatre terres nobles à ses successeurs, dont l’aîné porte le nom de sieur d’Escoville-Valois, grand seigneur en Normandie, près de la ville de Caen.

    Les quatre terres que M. de Valois avait acquises, il les a basties magnifiquement ; chaque bastiment ne se feroit pas pour cinquante mille escus ; dans l’une, il y a une chapelle, où tous les hiéroglyphes de l’œuvre sont représentés. Il avait épousé, en premières noces une dame Hennquin, qui, par son contract de mariage, ne devoit remporter de douaire que quinze cents livres ; mais le douaire de la seconde femme a esté de plus de vingt mille livres.

    Il a de plus composé un livre très-excellent et très-rare, traittant de la philosophie hermétique, tout plein de figures hiéroglyphiques, lequel est intitulé : Hebdomas hebdomadum cabalistarum magorum bracmanorum antiquorumque omnium philosophorum impteriœ continens.

    Ce personnage a justement acquis une grande célébrité dans la ville de Caen, par la construction de l’hôtel situé place St-Pierre, qui fait encore l’ornement de la cité ; cet édifice, après avoir passé par succession à la famille de Touchet, qui le tenait du poète latin Moysant de Brieux, fut acheté par la ville en 1733, pour en faire un hôtel-de-ville, et, de nos jours, devint l’hôtel de la Bourse.

    Tous les auteurs qui ont écrit sur Caen ont célébré cette somptueuse demeure. De Bras nous apprend quelques particularités sur sa construction.

    Il raconte que, vers l’an 1537, alors que les imaginations étaient encore fort excitées par la quantité de métaux précieux apportés à la suite de la découverte du Nouveau-Monde.

    M. Chevreul cite un écrit de ce personnage, intercalé dans le volume manuscrit attribué à Nicolas de Grosparmy, intitulé :   Recueil par extrait de quelques philosophes adeptes, par ordre alphabétique, où sont reportez (sic) quelques-uns de leurs passages, avec quelques traits de leur vie, par messire Jean Vauquelin, chevalier seigneur et patron des Yveteaux (1700).

    Personne ne pouvait être plus à même de connaître les particularités historiques sur les associés que ce normand.

    M. des Yveteaux, à l’article Valois, dit que :  Celui-ci acheva le grand œuvre en la ville de Caen, où les hiéroglyphes de la maison qu’il y fit bâtir et que l’on y voit encore en la place St.-Pierre , vis-à-vis de la grande église de ce nom, font foy de sa science .

    On se rappelle que ce personnage avait fait graver les hiéroglyphes de l’œuvre dans une chapelle de l’une de ses terres.

    M. Choisy, dans sa charmante description du château et des jardins des Yveteaux, lue à la session de 1864 de l’Association normande, tenue à Falaise, dit de Jean Vauquelin :

    C’était un homme d’étude. Il avait, dans son château, un vaste et riche laboratoire de chimie, science sur laquelle il aurait composé quelques ouvrages. À certaines expressions grosses de mystères, et en grand honneur chez les alchimistes, il est de plus fort à croire qu’il a été adepte des passionnantes chimères du grand œuvre. Source : Alchimie Pratique - Bellator.

    Les Templiers à Caen

    Huet dit que l'hôtel des Templiers était situé dans la rue de Bernières allant au Pont-St-Pierre, et l'abbé de la Rue dit  : du côté du Pont-Saint-Pierre, dans la rue des Quais, il y avait autrefois deux, jeux de paume, qu'on appelait le Grand et le Petit-Roch, du nom de leur propriétaire. Celui qui se trouvait entre la rue Guilbert et la rue des Cordes, était nommé beaucoup plus anciennement le Temple, et dans le cartulaire de l'église Saint-Pierre, on trouve sous la date de l'année 1467 cette mention : « Maison et place du Temple sur la rive, appartenant à Jacques Dallon, curé de Langrune. ».

    Ces mots indiquent suffisamment que c'était là l'ancienne demeure des Templiers. Cette maison, il est vrai, pouvait n'être plus occupée par eux en 1307, lors de leur arrestation, mais il n'est pas moins certain que les Templiers de Bretteville l'habitaient de temps à autre au siècle précédent.

    Elle leur avait été donnée vers le milieu du XIIIe siècle, par une noble demoiselle, du nom de Péronne, fille d'Asselin le Merchier. Nous avons trouvé la charte du mois de juillet 1266, par laquelle la noble demoiselle reconnaissait avoir abandonné aux frères de la chevalerie du Temple, demeurant à Bretteville-le-Rabet, « apucl Bretainvillam la rabel », sa maison située à Caen, « apud Cadonum », dans la paroisse Saint-Pierre de Darnetal, rue Basse, « in bassa rua », et tenue des frères du Temple au cens de 42 sols tournois par an, dans laquelle maison, est-il dit, les Templiers avaient coutume de manger et de loger, lorsqu'ils devaient, pour leurs affaires ou pour toute autre cause, séjourner en ville. Cette donation portait pour condition, que Péronne recevrait des Templiers, tout ce qui serait nécessaire à sa subsistance, et qu'on le lui ferait porter chaque jour dans celle de ses maisons de Caen qu'elle jugerait à propos d'habiter.

    Outre leur maison dans la ville, les Templiers en possédaient une autre en dehors, au hameau de la Folie. C'était une petite métairie avec une dizaine de vergées de terre, longeant la route royale, et qu'on a appelées depuis le Champ du Temple. Source : Templiers.net

     Cagny (14) - La Fontaine Sainte-Radegonde

    Fontaine Sainte-Radegonde dont les eaux réputées soigner les maladies de peau et affections des yeux. [Wikipédia]

     

    Novembre 1885  - Encore les rebouteux ! - Il y a quinze jours, un ouvrier, père de famille, des environs de Cagny, tombait d'un échafaudage et se déboîtait la hanche. On court chez le rebouteux du voisinage qui n'y peut rien faire. Mais, plutôt que de reconnaître son impuissance, le charlatan s'acharne après sa victime et revient jusqu'à trois reprises différentes faire  tirer par sept hommes sur la jambe du blessé. Celui-ci, n'en pouvant plus, mais, s'est enfin décidé à entrer à l'Hôtel-Dieu de Caen dans un état pitoyable. Nous apprenons que, cependant les os ont pu être remis en place et que, malgré les graves désordres déterminées par les violences du rebouteux, ce malheureux ouvrier pourra sous quelques semaines reprendre son travail. Quand donc le bon sens public, à défaut de la police correctionnelle, fera-t-il justice de ces dangereux et osés imposteurs ? [USHC].

    Cahagnes (14) - Pacte avec le Diable 

    Vers 1870, on arrêta à la Vallée Sainte Croix, près de Lisieux (14), un marchand de moutons porteur d'un pacte satanique ainsi libellé : Moy soussigné Charles Marie, de la paroisse de Cahagnes (14), reconnais avoir fait pacte et marché avec le Diable. On sait rien de lus sur les agissements de ce sorcier.

     Source : A. Marquez Le Bouais Jan 1899.

    Cahan (61) - La Geindresse

    Dans le village de Cahan, on peut voir et entendre une Dame Blanche qui pleure la nuit près de la fontaine. On raconte que la jeune fille aurait été autrefois abusée par un homme de bonne famille, puis noyée dans cette fontaine pour qu'elle ne le dénonce pas. Elle pleure depuis, demandant que justice soit faite, malgré sa condition de paysanne. On donne désormais à la fontaine le nom de Geindresse.

     Source : Le livre des Dames blanches - Stéphanie Del Regno - 2017.

    Cailly (76) - été (?) 1985 

    Un soir de 1985, en été, alors que ma cousine et moi venions de rentrer à Saint-Germain - sous - Cailly (76). Alors que nous étions parties pour nous coucher, ma cousine me dit la phrase suivante : "Eteins la lumière que je ferme les volets, sinon les moustiques vont rentrer" (j'en déduis que ce devait être l'été).

    Elle resta devant la fenêtre qu’elle venait d'ouvrir et se mit à me dire: "Viens voir !".

    Il y avait dans l’intonation de sa voix quelque chose d'effrayant. Je m'attendais à voir un homme dans notre jardin mais là, juste devant nous, au-dessus de la forêt, un objet ovale, gris, couleur acier, avec comme de gros phares mais pas éblouissants, se tenait à quelques mètres de nous.

    Aucun son, il ne bougeait pas. On aurait pu croire à une projection d'image. Il était très grand et restait là, au-dessus de cette forêt, sans bouger (moi non plus, pourtant je voulais appeler mon oncle, mais quelque chose me disait de ne pas bouger). Je me rappelle qu'il était 3 h 45 du matin. Nous sommes restées un certain temps, mais nous ne nous souvenons pas de la suite des événements.

    Les souvenirs de ma cousine viennent remplir les trous que j'ai, et vice-versa.

    Le plus curieux c'est que ma cousine ne se rappelle plus de la forme de l'objet, mais se rapelle de la date, alors que moi c'est tout le contraire.

    Le lendemain, nous voulions en parler à mon oncle, mais celui-ci écoutait la radio et celle-ci se moquait d'un fermier qui déclarait avoir vu la même chose à Cailly, village d'à côté.

    Alors nous n’avons parlé de rien.

    Nous avons admiré cet objet pendant plus de dix minutes, c'était vraiment grand et impressionnant.

    J’ai observé un autre phénomène en 1990, dans le sud, mais différent et je ne peux pas être la seule à l’avoir vu. Sophie (Seine-Maritime - France).

    02 Témoins. Source : Grépi.

    (1) Cairon (14)

    La Pierre Tourneresse

     

    La Pierre Tourneresse de Cairon (14)

     

    Selon la légende, la Pierre Tourneresse aurait le pouvoir de tourner sur elle-même comme de nombreux autres mégalithes de la région qui portent des noms similaires : la Pierre Tourneresse à Gouvix, la Pierre tournante à Fresney-le-Puceux, la Pierre Tournante à Livarot et la Pierre Tourniresse. [Wikipédia].

    La Pierre Tourneresse est un dolmen situé au nord de la commune de Cairon, dans le département du Calvados, en France. Le site était connu dès le XIXe siècle mais son intérêt archéologique n'est connu que depuis 19921, auparavant, ce qu'on appelait la Pierre Tourneresse correspondait à une large table de couverture entourée d'un amoncellement de dalles de pierre qui semblait indiquer la présence d'un cairn. À partir de 1996, le site fît l'objet de quatre campagnes successives de fouilles dirigées par E. Ghesquière.

    L'édifice fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 19 mai 1954.  Le dolmen a été édifié sur un terrain en terrasse près du vallon du Vey, petit cours d'eau affluent de la Mue. Le tumulus est presque circulaire (diamètre de 24 m). Il est délimité par un mur de parement réalisé avec des dallettes en calcaire provenant de carrières probablement situées dans l'environnement proche du site. Il servit à l'époque gallo-romaine de carrière et les parties est et ouest du tumulus d’origine sont désormais manquantes. La structure interne du cairn est traversée de rayons constitués de grandes dalles délimitant des caissons.

    Le tumulus renferme deux chambres funéraires de forme rectangulaire. La plus grande mesure 4 m de long sur 3 m de large. Elle est précédée d'un long couloir de 8,80 m de long qui ouvre à l'est. Elle comporte une petite alcôve au nord. Les parois sont constituées d'une alternance de murets en pierres sèches et d'orthostates. Elle était recouverte par trois dalles de couverture dont une seule demeurait encore en place en 1992. Le sol était dallé dans le petit cabinet latéral et près des piliers d'entrée.

    La deuxième chambre, plus petite est en forme de poire. Elle est précédée d'un court couloir et ouvre à l'ouest. Elle est délimitée uniquement par des murets en plaquettes de pierre et devait comporter une voûte en encorbellement. Le fond de la chambre était dallé. Elle pourrait avoir été construite indépendamment du cairn principal ou postérieurement à celui-ci en recreusant dans le tumulus.

    Sous le monument funéraire, les fouilles archéologiques ont révélé les traces d'un habitat préexistant constitué par une maison de 15 m de long sur 7 m de large qui était elle-même entourée par plusieurs constructions domestiques. L'ensemble a été daté de 4 400 av. J.-C..   La grande chambre fut excavée durant la Seconde Guerre mondiale et les ossements découverts furent déversés dans une fosse voisine située au sud. Les ossements retrouvés sous forme d'esquilles correspondent aux restes d'environ huit individus dont au moins cinq adultes. La petite chambre abritait le corps d'un enfant ; une canine perforée retrouvée sur place correspond probablement à un ancien pendentif.

    Le mobilier funéraire recueilli se limite à plusieurs fragments de poteries correspondant à des coupes à socle attribuées au Chasséen septentrional. La datation par le carbone 14 des ossements humains de la grande chambre indique que ces inhumations remontent au début du IVe millénaire (3 900 / 3 700 av. J.-C.).    Selon la légende, la Pierre Tourneresse aurait le pouvoir de tourner sur elle-même comme de nombreux autres mégalithes de la région qui portent des noms similaires : la Pierre Tourneresse à Gouvix, la Pierre tournante à Fresney-le-Puceux, la Pierre Tournante à Livarot et la Pierre Tourniresse aujourd'hui disparue, entre Thaon et Colomby-sur-Thaon. [Wikipédia]

    [Depuis les époques les plus reculées de la préhistoire, l'office des devins, mages, spirites, voyants, qui perpétuent le culte ancestral des morts, est de consulter les esprits, avec l'édification de temples voués à la pratique animiste/chamanique de la nécromancie, de la transe médiumnique possessive des occultistes par les entités éthérées métamorphes, goules parasitaires et mânes nécrophages, ou âmes (noosphères) vagabondes immanentes, qui parodient les esprits des morts tout en se repaissent des effluves des corps vivants ou en décomposition. NFO].

    (2) Cairon (14) - Notre-Dame des Marais

    Notre-Dame des Marais XIXe siècle - Cairon (14)

    Cette statue de la Vierge datant du XIXème siècle, élevée au milieu de l'ancien marais de Cairon, a sa Légende : un vacher aurait été surpris par un orage en ce lieu. Le ruisseau gonflé par les pluies menaçait de l'engloutir lui et son troupeau lorsque la Vierge Marie serait apparue et les aurait sauvés [Visorando].

    Cambes (14)

    Juillet 1896 -  Vol d’animaux - Dans la nuit, un cheval au piquet a été volé au sieur Georges Dumarais, cultivateur à la ferme d'Ardennes, près Caen.

    Ce cheval, estimé 1 200 fr., a été retrouvé dans un champ, à Cambes. L'animal n'avait plus de licol et on lui avait coupé la queue. [Le crin des chevaux sert à confectionner des amulettes-magiques - NFO].

    — M. Albert Lefèvre, cultivateur à Hermanville, a avisé la gendarmerie qu'une jument au piquet était disparue et qu'il supposait que sa jument avait été volée.

    — Une vache estimée 400 fr. a été volée au sieur Edmond Binet, propriétaire à Castillon-en-Auge. (Source  : Le Bonhomme Normand)

    (1) Cambernon (50) - Courcy (près de Cambernon)

    «  je suis le sire de Courcy. » 

    La Tradition rapporte la légende que Saint Laud (Saint-Lô) de Coutances, né à Courcy (près de Cambernon), aurait été choisi comme évêque à seulement douze ans, à la suite d'un rêve prophétique qu'aurait eu en commun de nombreux évêques et chanoines de la région. Elle signale également qu’une femme aveugle de condition modeste retrouva la vue alors qu'elle se prosternait à ses pieds tandis qu’il bénissait l'assemblée. En tant que saint guérisseur, il est invoqué pour les trouble de la vision, les maladies des yeux et la cécité. Il existe une source réputée curative à Courcy, et qui a été un lieu de pèlerinage.

    (2) Cambernon (50) - un vendredi (?) - matin du printemps 2007 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    « L'objet est entré dans un de ces petits nuages, je m'attendais à le voir ressortir assez rapidement, or il n'en fut rien, l'objet n'est pas réapparu de l'autre côté. »

    Un Major de la Royale, 53 ans, témoigne : je me souviens c'était une belle journée du printemps 2007, un vendredi-matin me semble-t-il, devant récupérer mon véhicule dans un garage d'Avranche dans la Manche (50), j'ai pris le train à Lison. Un peu avant d'arriver à Coutances, au niveau de « La Vallée » (50), sur le côté droit du train, soit en direction du NW, à environ 45°, j'ai vu un objet lumineux et très brillant dont la taille à bout de bras était de 3 ou 4, peut-être 5 millimètres. De couleur doré, il avançait lentement, suivant une trajectoire rectiligne. Il y avait peu de nuages, quelques tout petits cumulus épars. L'objet est entré dans un de ces petits nuages, je m'attendais à le voir ressortir assez rapidement, or il n'en fut rien, l'objet n'est pas réapparu de l'autre côté. L'observation a duré plusieurs minutes. 01 Témoin. Source : Enquête Génpi.

    Cambes-en-Plaine (14)

    Juillet 1896 -  Vol d’animaux - Dans la nuit, un cheval au piquet a été volé au sieur Georges Dumarais, cultivateur à la ferme d'Ardennes, près Caen.

    Ce cheval, estimé 1 200 fr., a été retrouvé dans un champ, à Cambes. L'animal n'avait plus de licol et on lui avait coupé la queue.

    [Le crin des chevaux sert à confectionner des amulettes-magiques . NFO].

    [Les mutilations relèvent de la catégorie des sacrifices propitiatoires, des pratiques incantatoires et évocatoires magico-occultistes du sadisme-masochisme, lié au rite du baptême du sang. NFO].

    — M. Albert Lefèvre, cultivateur à Hermanville, a avisé la gendarmerie qu'une jument au piquet était disparue et qu'il supposait que sa jument avait été volée.

    — Une vache estimée 400 fr. a été volée au sieur Edmond Binet, propriétaire à Castillon-en-Auge. (Source  : Le Bonhomme Normand).

    Cambes (14) - Légende : il existe à l’extrémité de la propriété Mme De Mathan qui à nom « la Croix Cantée ». On raconte que cette croix que quelques uns font remontée aux Romains, fut sur le point d’être abattue pendant la révolution. Vers 1840, cette croix fut enlevée et remplacée par une autre beaucoup plus petite. [Monographie 1885 - Mairie]

    (1) Canteleu (76) - Couteleu (Canteleu 76) - An 890 - + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    En 890, un tremblement de terre écroula plusieurs maisons à Rouen. Le Chroniqueur rapporte que ce séisme fut précédé par une "comète incroyable" qui pendant 14 jours se promena au Nord-Ouest au-dessus de Couteleu (1.5 km de Rouen) et projeta une grande lumière. Nombreux Témoins. Source : Mr. E. Ratier - LDLN n° 134.  

    (2) Canteleu (76) - La Forêt de Canteleu (76) - 26/12/1960 - vers 02 h du matin  - + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    26/12/1960, vers 02 heures du matin, Forêt de Canteleu, 7 km au Nord de Rouen (76) ; froid, 15 cm de neige au sol, Mr. X et soin frère (environ 45 ans).

    Les 02 témoins rentraient à leur domicile en vélo, lorsque leur attention fut attirée par une vive lumière derrière des arbres au milieu d’une clairière, à quelques mètres de la route.

    Monsieur X. s’arrêta en voyant un engin rond ou ovale, métallique, brillant, ressemblant à de l’aluminium.

    Cet Ovni avait 04 pieds d’une trentaine de cm de hauteur.

    A peine arrêté, Monsieur X vit une petite lumière qui lui sembla montée sur une sorte de bras articulé venant de l’intérieur de l’engin.

    Tandis que son frère prenant la fuite, pris de frayeur, la source lumineuse se dirigea sur Monsieur X, à la hauteur du visage, et le témoin fut totalement paralysé.

    Il eut l’impression que cette lumière de couleur bleue/violette (diamètre environ 15 cm), lui envoyait une sorte de « fluide » qui le parcourut de la tête aux pieds.

    Durant cette « paralysie » provoquée. Monsieur X resta conscient et put observer ce qui suit :

    Une « trappe » s’ouvrit devant l’engin et une ombre (Monsieur X ne veut pas dire silhouette, ceci étant trop flou) entrant dans l’engin laissant filtrer un jet de lumière vive vers l’extérieur.

    Aussitôt l’appareil s’éleva à environ 05 m, tournoya sur lui-même comme une toupie, provoquant un tourbillon de neige.

    Des mèches bleutées d’une trentaine de centimètres sortirent de l’engin, les 04 pieds rentrèrent, l’engin et la lumière dirigée vers le témoin s’éteignirent et l’Ovni disparut à une vitesse folle sur un angle de 30 à 40 degrés.

    Le témoin recouvra sa liberté de mouvements et rentra chez lui, troublé par ce qui venait de lui arriver. Sa famille le prenant pour un fou, Monsieur X, Madame X et son père retournèrent sur les lieux le lendemain. A l’endroit de l’atterrissage le sol était carbonisé sur un diamètre de 04 m, plus de neige, plus d’herbe.

    04 trous de 30 cm de profondeur et 40 cm de diamètre étaient creusés semble-t-il à l’emplacement des pieds de l’engin, laissant supposer la pose d’un poids important à cet endroit (surtout la terre durcie par le gel à ce moment).

    Nous précisons que pendant cette aventure, Monsieur X, ne perçut aucun bruit, pas même un léger souffle d’air et que celle-ci dura entre 10 et 20 secondes.

    Nous avons demandé au témoin de retourner sur les lieux de l’observation, malgré les 22 ans passés, pour retrouver l’endroit exact de cet atterrissage.

    Le lendemain, celui-ci m’a téléphoné ; il s’était rendu à l’endroit avec son épouse, et a été incapable d’approcher, Madame X, nous a dit : « il est revenu tout pâle, blanc comme linge ; j’ai bien vu qu’il s’était passé quelque chose ».

    Nous avons accompagné Monsieur X qui marquait une certaine anxiété à y retourner, mais s’est prêté gentiment à l’expérience, pour nous prouver sa bonne volonté.

    Il s’est approché de l’endroit de l’atterrissage, marchant entre nous.

    Soudain, ses jambes ont brusquement fléchi et se sont mises à trembler, ses mains devant lui, poussaient une « vitre invisible » ; son visage a marqué quelques secondes une expression de douleur vive et il a commencé à pleurer.

    A aucun moment, il n’a pu franchir cette « vitre », selon ses propres termes.

    Il nous a dit sentir à nouveau le même fluide que lorsque le « « gyrophare » était braqué sur lui le 26/12/1960 et voir au sol, à l’endroit de l’atterrissage, un triangle éclairé d’une lampe orange à chaque angle (que nous ne voyions pas nous-mêmes,bien sûr).

    Trois fois, Monsieur X est venu avec nous Lors de la dernière, il a accepté, à notre demande, de venir sur les lieux et de tenter l’expérience en compagnie d’un médecin de notre choix.

    Monsieur X, n’a pu approcher d’avantage.

    Ce médecin a tenté de le faire entrer dans ce fameux « triangle » par plusieurs endroit différents : Même problème à chaque fois, ces 03 lumières vues aux angles et cette « vitre » interdisant de revenir à cet endroit. 02 Témoins. Source : Enquête de L. Jean Délégué Régional LDLN et J. L.Leridant. LDLN n°221.

    (3) Canteleu (76) - 18/07/2010 - 11 h 15 /30 - + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 

    Le témoin, contrôleur technique, 57 ans : Dimanche 18 juillet 2010, vers 11 h 15 /30 ? j’étais sur mon balcon à observer les avions de ligne comme j’ai souvent l’habitude de le faire, les observant à l’œil nu et à la jumelle (12x60).

    Je suivais du regard un de ces avions qui s’éloignait quand un point très lumineux a attiré mon attention. Un peu comme un reflet sur une vitre ou un pare-brise.

    Ce point est resté immobile quelques secondes, puis est parti en direction du nord, à très grande vitesse. Intrigué, je me suis levé de mon siège, et en levant la tête je me suis aperçu qu’il y avait d’autres points très lumineux également, environ une dizaine. Certains étaient fixes alors que d’autres se déplaçaient dans toutes les directions doucement.

    Le soleil haut dans le ciel gênait un peu l’observation. J’ai alors saisi mes jumelles, et je me suis positionné de façon à ce que le plafond du balcon masque le soleil.

    J’ai pu ainsi observer ces objets au grossissement 12x. Les jumelles étant bien calibrées, avec les observations précédentes des aéronefs de ligne. Ces objets avaient une forme oblongue, comme un ballon de rugby, ils étaient de couleur gris sombre et que la lumière, presque aveuglante aux jumelles, semblait émise par deux sources de lumière sous ces objets.

    Lors de cette observation aux jumelles, un de ces objets est parti brutalement vers la gauche dans le champ de vision, laissant une trainée de couleur grise visible pendant quelques secondes.

    J’ai aussi perçu un grondement de moteur d’avion, qui m’a fait penser à un avion au décollage, mais sans aucun rapport avec ceux perçus habituellement, et j’ai vu plusieurs de ces objets partir très rapidement dans la direction prise par le premier objet à une vitesse bien supérieure à celle des avions de ligne.

    Cela ne correspond vraiment en rien à ce que je connais comme aéronefs et que j’observe fréquemment, tant par les formes que leurs façons de se déplacer. 01 Témoin. Source : Géipan.

    Cany-Barville (76) - Criquetot-l'Esneval (76) - Tourretot (76) - 21/08/2015 - vers 17 h / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    Criquetot-l'Esneval : avion de tourisme, OVNI ou météorite ? Le mystère du crash s'éclaircit

    Que s'est-il passé vendredi dernier vers 17 heures dans les environs de Criquetot-l'Esneval ? Plusieurs habitants ont sollicité gendarmes et sapeurs-pompiers, indiquant avoir observé une « boule de feu » dans le ciel.

    Trois témoignages concordants sur les lieux et horaires de passage du phénomène et donc pris au sérieux par les forces de l'ordre. Quelques minutes plus tard, une salariée de l'Intermarché de Criquetot-l'Esneval racontait avoir entendu une « déflagration »« On avait l'impression qu'un engin rasait le toit du supermarché ». À Turretot, deux personnes expliquaient avoir vu un avion de tourisme en difficulté. « Il volait à basse altitude. Ce qui nous a choqués le plus, c'est qu'il ne faisait aucun bruit. À aucun moment nous n'avons entendu le moteur redémarrer », indiquaient les deux hommes au moment de leur arrivée au centre d'incendie et de secours de Criquetot-l'Esneval.

    Recherches sur terre et dans les airs

    Une caserne transformée en quartier général afin de piloter les opérations de reconnaissance menées sur terre par les gendarmes, assistés des agriculteurs locaux, et, dans les airs, par Dragon 76. Pendant trois heures, l'hélicoptère a balayé un large périmètre entre Vergetot, Turretot, Saint-Sauveur d'Emalleville et Criquetot-l'Esneval, pour s'élargir ensuite du côté d'Écrainville, lieu supposé du crash. Attendant un appel radio, une trentaine de sapeurs-pompiers se tenaient prêts à intervenir. En vain, aucune fumée n'était constatée dans le secteur tandis que l'aéroport de Deauville indiquait aux militaires ne pas avoir perdu d'appareil en vol. Même son de cloche du côté des aéro-clubs des environs.

    Les recherches étaient suspendues dans la soirée pour être finalement arrêtées le lendemain. S'agissait-il d'une météorite ou d'un OVNI ? Observé à plusieurs endroits dans un même secteur, cet étrange objet volant ne sera jamais identifié. Une enquête a été ouverte par la Gendarmerie. Elle est toujours en cours. Les militaires s'orientent vers un tir de fusée de détresse qui arrivait à expiration. « Un phénomène constaté le même soir du côté de Cany-Barville. C'est l'hypothèse la plus probable », confie une source proche de l'enquête.

    Source : Plusieurs Témoins - Courrier Cauchois du 28/08/2015

    (1) Canon (14) - Les Chandelles - / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 

    En 1809, une maîtresse de maison de Canon (14) reprochera à ses domestiques de brûler trop de chandelle ; l'un des serviteurs réagit vivement et fut  renvoyé. Depuis lors, il fut impossible de conserver ou d'utiliser la moindre chandelle dans la maison ; elles disparaissaient de façon inexplicable en quelque lieu qu'on les plaçât. Si on cherchait à en allumer, elles ne brûlaient pas, mais le suif fondait, ne laissant que la mèche : si on cachait un paquet parmi d'autres chez une voisine, ce paquet seul se volatilisait, les autres restaient intacts. Le même phénomène se produisait avec toutes les graisses qu'on voulait conserver, malgré les précautions prises ; les pots étaient couverts et enfermés, mais on les retrouvait vides sans que les couvercles soient endommagés.

    Tout fut tenté ; on fit venir un prêtre, mais les bénédictions furent vaines et l'on dut renoncer à utiliser les chandelles, ce qui causa la plus grande gêne.

    Les faits fut rapportés en 1815 par Eutrope Serain, chirurgien à Canon, appelé en consultation près de l'enfant de la maison qui, âgé de deux ans, n'avait jamais pu dormir la nuit.

    Source :  G. Lesage A travers le passé du Calvados.

    (2) Mézidon-le-Canon (14) - été 1973 ou 1978 - en matinée  / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 

    Les Visiteurs de l'Aube

    Cela se passe entre 1973 et 1978 (hélas, je ne me souviens ni de la date ni de l'année), à Mézidon (Calvados - France). J'étais âgé entre huit et dix ans.

    Observation de deux êtres blancs, vêtus d'une sorte de combinaison blanche qui se confondait avec la blancheur de leurs visages.

    Aperçus à une vingtaine de mètres, leurs visages semblaient donner l'impression qu'ils étaient recouverts de bandages, un peu comme on peut l'observer sur les momies. Je les ai observés de chez moi, ou plus exactement de la cuisine de la maison de mes parents puisque j'étais encore enfant.

    Ils étaient positionnés debout, sur la pelouse du voisin d'en face, et semblaient discuter.

    C'était durant les vacances scolaires d'été, un matin d'une superbe journée ensoleillée avec un ciel extrêmement bleu. Je remarquais que les riverains qui passaient dans la rue ne semblaient pas voir les deux êtres. Quant à moi, j'eus l'impression d'entrer dans une dimension différente de la nôtre : l'impression que je n'étais plus "dans mon monde".

    Ayant observé le phénomène, me disant que si personne ne les voyait, sans doute qu'eux aussi ne nous voyaient pas : j'écartais les rideaux de la fenêtre de la cuisine. C'est alors que l'un d'eux a aussitôt regardé dans ma direction et m'a pointé du bras pour me désigner à l'autre personnage qui se retourna pour m'observer. Je ressentis un profond, un très profond malaise et, rabattant le rideau, je me retirais prestement de la fenêtre pendant quelques secondes.

    Je regardais à nouveau au bout d'une dizaine de secondes. Ils avaient disparus.

    A noter : est-ce un hasard ? Je ne sais plus combien de temps après la confrontation avec les êtres blancs, j'ai été l'acteur d'un phénomène d'auto-guérison liée à des amygdales qui me faisaient souffrir et dont je devais me faire opérer. Deux jours avant que je ne rentre à l'hôpital, le médecin fit une visite de routine: il s'aperçut avec stupeur que mes amygdales ne portaient plus la moindre trace d'inflammation, et je n'eus plus par la suite à en souffrir.

    Voilà, je certifie que ce témoignage est authentique. Si vous souhaitez me contacter pour me poser des questions sur ce phénomène, je suis à votre disposition et y répondrai volontiers. Mon mail est celui-ci : krysttoff@yahoo.fr

    Salutations respectueuses. Krystoff (Calvados - France)

    Depuis ce fait étrange, je m'intéresse beaucoup aux phénomènes O.V.N.I.s. 01 Témoin. Source : Grépi.

    Canon (14) - Les Chandelles
    En 1809, une maîtresse de maison de Canon (14) reprochera à ses domestiques de brûler trop de chandelle ; l'un des serviteurs réagit vivement et fut renvoyé. Depuis lors, il fut impossible de conserver ou d'utiliser la moindre chandelle dans la maison ; elles disparaissaient de façon inexplicable en quelque lieu qu'on les plaçât. Si on cherchait à en allumer, elles ne brûlaient pas, mais la suif fondait, ne laissant que la mèche : si on cachait un paquet parmi d'autres chez une voisine, ce paquet seul se volatilisait, les autres restaient intacts. Le même phénomène se produisait avec toutes les graisses qu'on voulait conserver, malgré les précautions prises ; les pots étaient couverts et enfermés, mais on les retrouvait vides sans que les couvercles soient endommagés.

    Tout fut tenté ; on fit venir un prêtre, mais les bénédictions furent vaines et l'on dut renoncer à utiliser les chandelles, ce qui causa la plus grande gêne.

    Les faits fut rapportés en 1815 par Eutrope Serain, chirurgien à Canon, appelé en consultation près de l'enfant de la maison qui, âgé de deux ans, n'avait jamais pu dormir la nuit.

    Source : G. Lesage A travers le passé du Calvados.

     Carcagny (14)

    (1) Carentan (50) - Transformisme + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    En 1669, avec les procès des sorciers de Carentan (50) et de la Haye-du-Puits (50) on trouve des documents sérieux relatifs aux sabbats. Constantin de Renneville, qui habitait alors Carentan, rapporte la déposition qui a été faite par le valet de madame La Couture Le Gouëx, déposition qu'on peut résumer : 

    La dame Le Gouëx avait participé à un sabbat au village des Bohons (Saint-André et Saint-Georges de Bohon -50) chez M. du Taillis-Yver. Au retour, ne retrouvant pas le cheval qui devait la ramener chez elle, la sorcière n'hésita pas :  elle mit un mors entre les dents de son valet, monta sur son dos et, par magie, le valet l'emporta d'une vitesse extraordinaire en sa maison. 

    La dame Le Gouëx confirma devant le tribunal la déposition de son domestique ; un nommé Auvray, boucher à Carentan, entendit plusieurs sorciers qu'il crut être en l'air, entre lesquels il distingua fort bien la voix de du Taillis-Yver.

    Auvray vit ces sorciers renverser la croix de pierre du pont de Gémare (Giesmard, ce pont enjambant la rivière des Gouffres, existait encore dans les années 1940), et lorsqu'il cria au sacrilège et appela les voisins, il se sentit saisi par derrière par quelqu'un cherchant à le terrasser ; prenant alors son couteau il frappa au hasard l'adversaire invisible qui, blessé, demanda quartier et implora miséricorde ; Auvray fut surpris de reconnaître du Taillis dont le bras avait été transpercé.

    De Renneville assura avoir vu, peu après, la croix renversée dans la rivière, et du Taillis-Yver dont le bras en écharpe.

    Source : C. de Renneville, L'Inquisition françoise ou l'histoire de la Bastille.

    (2) Carentan - L'Aillerie  (50) - L'envol au Sabbat par la cheminée /+ Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    L'origine du Père Noël 

    Melle de Lilletot, fille d'un médecin de Carentan, fut poursuivie. On racontait qu'elle avait un chien noir qui ne la quittait jamais et qui devait être le Diable. Deux moines, qui avaient dîné chez le médecin, déclarèrent que, s'étant montré sceptiques quant à l'existence des sabbats, la jeune fille leur avait dit que : bientôt ils seraient convaincus qu'il y en avait.

    Ils assurèrent qu'on entendit peu après : un grand bruit de personnes qui voltigeaient en l'air au son de la vielle. Melle de Lilletot dit que c'était ceux qui se rendaient au sabbat et proposa aux moines d'y aller. Ils répondirent qu'ils n'avaient ni graisse pour se frotter, ni cheminée par où l'on peut passer.

    Le repas terminé, les moines partaient quand ils virent par une fenêtre Melle de Lilletot s'oindre le corps et s'envoler pour le sabbat.

    Jeanne Le Boulanger déposa, le 24 mai 1669, qu'un soir, étant allée tirer les vaches de son maître, à Laillerie (Carentan), elle aperçut Melle de Lilletot et plusieurs personnes nues en l'air, lesquelles s'élevaient en des moments et se rabaissaient en d'autres, ce dont elle fut malade de peur quelques temps.

    Melle de Lilletot fut arrêtée et, condamnée au bannissement, dut quitter le pays.

    [Note 01 : Le conduit de cheminée des foyers domestiques était souvent utilisé, par les sorciers et les sorcières, pour se rendre et pour revenir du sabbat, après s'être enduits le corps nu d'un onguent, confectionné à partir de la graisse et du sang des enfants sacrifiés ; ce passage par la cheminée a donné naissance au conte de la venue (à l'ouverture du portail du solstice d'hiver) du Père Noël (couvert du rouge sang et du blanc gras et qui est associé aux esprits de la nature, les lutins, les rennes volants).

    Note 02 : Les ritournelles musicales lancinantes de la vielle, des boîtes à musique, et les carrousels des manèges ou les rondes des danses, dites des gens du voyage, servaient aussi de pratique de conditionnement, pour l'altération des consciences (comme chez les derviches tourneurs), prélude à l'envoûtement hypnotique, caractérisant le joueur de flute de la ville de Hamelin qui opérait lors de la croisade des enfants, au XIIIe siècle

    Note 03 : Les feux allumés aux fêtes traditionnelles (à l'ouverture des portails stellaires), comme ceux de la Saint-Jean d'été, ou les illuminations de la fête du solstice d'hiver de Noël, ont la même fonction que celle des anciennes des Lanternes des Morts qui chassaient les mauvais esprits.]

    Sources : C. de Renneville. L'Inquisiteur françoise ou l'Histoire de la Bastille.

    (3) Carentan (50) - La Passagère / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 

    Vers 1820, une extraordinaire aventure arriva à un voiturier normand. Conduisant son véhicule d'Isigny-sur-Mer (14) à Carentan (50), il aperçut, près du lieu-dit La Fourchette, une jeune femme assise, pâle, au bord de la route. Elle demanda à monter et chemin faisant on parla ; la femme, avec exaltation, dit, sur le sort de la France, des choses que le voiturier ne saisissait pas toujours. Et soudain : Voyez cette carriole qui roule devant nous, s'exclama-t-elle ! Ce que je vous dis est aussi vrai qu'un homme est mort maintenant dans cette voiture. Allez-y ! Le roulier courut à la carriole et trouva le conducteur raide mort ; les chevaux, obéissant à l'habitude, continuaient leur chemin sans guide. Revenu aussitôt à son véhicule, le roulier stupéfait constata que l'inconnue avait disparu : à sa place se trouvait un petit crucifix d'ébène.

     Source : Le Momus Normand - 1932.

    (4) Carentan (Manche 50) - 28/07/2012 - 23 h

    Le 28/07/2012, 23 h, un témoin observe depuis sa fenêtre un point lumineux de couleurs (rouge /jaune / vert) qui l’intrigue. Ce point est immobile. Sur les photographies prises après quelques secondes d’observation, il constate la présence de 3 points formant un triangle. L’objet disparaît, puis 4 points réapparaissent. L’observation ne dure que quelques minutes dans le ciel dégagé. Source : Géipan - 01 Témoin. 

    Carpiquet (14)

    Août 1900  -  Méchanceté stupide -  On a coupé un trayon à une vache appartenant au sieur Terrée, cultivateur à Carpiquet, près Caen. (Source  : Le Bonhomme Normand).

    [Les mutilations relèvent de la catégorie des sacrifices propitiatoires, des pratiques incantatoires et évocatoires magico-occultistes du sadisme-masochisme, lié au rite du baptême du sang. NFO].

    Carquebut (50) - Matida, enlevée, blessée, violée

    Carquebut, près de Sainte-Mère-Église, Matida, une ponette de 19 ans a été enlevée, blessée, violée.

    Dans la nuit du 7 au 8 juillet, l’animal a été enlevé de son champ. La ponette est celle d'un jeune handicapé. Elle a été retrouvée agonisant sur un parking dans le fond d’un chemin. La dame qui l’a trouvée a contacté l’adjoint à la mairie de Carquebut qui a fait venir un vétérinaire. En lisant la puce, il a alors su le nom des propriétaires et nous avons été alertés. Nous nous sommes donc rendus sur place et nous avons retrouvé le cadenas qui verrouille la barrière du pré sectionné. La barrière est restée ouverte malgré les deux ânesses qui s’y trouvaient également.

    Pire, la ponette âgée de 19 ans a été torturée puisque des objets ont été introduits dans son vagin, provoquant de multiples hémorragies. Elle n’est toujours pas sortie d’affaires. Elle doit évacuer de nombreux caillots de sang. Des actes que la propriétaire peinent à expliquer : La ponette est très douce, gentille et se laisse approcher très facilement. Ses tortionnaires en ont profité. Mon frère fait de l’équithérapie et a une vraie complicité avec cet animal dont il s’occupe depuis 19 ans. Nous ne lui avons pour le moment rien dit, il pourrait ne pas comprendre.

    Source : La Presse de la Manche, du 11/07/2019.

    (1) Carteret (50) - Le Tombeau du Diable /+ Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    Barbey d'Aurevilly a situé au bas de la falaise de Carteret, au pied de la vieille église Saint-Germain (dont on voit encore les ruines), l'atterrissage de Saint-Germain d'Ecosse. C'est là qu'il aurait terrassé le serpent diabolique en lui passant son étole autour du cou. Directement sous le phare se trouverait encore la Grotte du Dragon dont les parois, marquées de plaques rougeâtres, seraient les traces du sang de l'animal diabolique. On appelait aussi cette grotte Le Tombeau du Diable et on disait qu'il y revenait.

    Source : Chamoine J. Toussaint, Carteret dans la vie et l'œuvre de Barbey d'Aurevilly.

    (2) Carteret (50) - Les Mielles /+ Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 

    Au début du XXe siècle, la veille d'un malheur, on voyait, le soir, parcourant les mielles (les dunes de sables) un homme étrange monté sur un cheval noir que personne n'avait jamais pu approcher.

    Source : Le Tenneur René - Magie Sorcellerie et fantastique en Normandie.

    Castillon-en-Auge (14)

    Juillet 1896 -  Vol d’animaux - Dans la nuit, un cheval au piquet a été volé au sieur Georges Dumarais, cultivateur à la ferme d'Ardennes, près Caen.

    Ce cheval, estimé 1 200 fr., a été retrouvé dans un champ, à Cambes. L'animal n'avait plus de licol et on lui avait coupé la queue. [Le crin des chevaux sert à confectionner des amulettes-magiques - NFO].

    — M. Albert Lefèvre, cultivateur à Hermanville, a avisé la gendarmerie qu'une jument au piquet était disparue et qu'il supposait que sa jument avait été volée.

    — Une vache estimée 400 fr. a été volée au sieur Edmond Binet, propriétaire à Castillon-en-Auge. (Source  : Le Bonhomme Normand).

    Cauvicourt (14)

    (1) Cauvicourt - 30/09/2011 -02/01/2012 - 19 h 45 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    Entre Caen et Falaise, sur la N. 158, le 02 janvier 2012, à 19h45, dans le ciel, en trajectoire horizontale à allure plus rapide qu'un avion, j'ai aperçu cette lueur blanche ovale assez allongée se diriger d'ouest en est sur la plaine. Ne ressemblant pas à un avion (pas de clignotant), pas à un météorite, car trajectoire fixe et horizontale. Laissant dans son sillon une trainée fine et blanche marquant sa vitesse. Apparemment à basse altitude . natur-aile. 01 Témoin. Source : Ovni-France.

    Cauville-sur-Mer (lieu estimé) (76) - 18/09/1970 - 17 h 30 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    Sur la route reliant Étretat au Havre, deux témoins ont observé un disque de taille apparente de 30 à 40 cm. Il évoluait en ligne droite parfois immobile ou lent, parfois rapide. 02 Témoins. Source : Les Universons, énergie du futur - Claude Poher  - 2003.

    (3) Barneville-Carteret (50) - 02/12/1973 - vers 05 h 30 à 06 h 05 /+ Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 

    Un Ovni pris au Filet

    Les deux témoins un père et son fils, le père Georges Jean et le fils Noël, avaient tendus des lignes depuis plusieurs jours. En allant les relever ce matin là ils observent une grosse lumière qui se révèle à la hauteur de la plage sur le sable. Pendant leur descente vers le rivage elle ne bouge pas.

    "Tout d'abord nous avons pensé qu'il s'agissait d'une voiture. Mais une voiture a deux feux et nous n'en percevions qu'un. Nous avons également pensé à des trafiquants et nous n'osions pas descendre sur la plage.".

    Le père se décide et chacun des deux témoins va vers ses lignes. Le fils voit la lumière en plein dans ses lignes, il la comparera à une fenêtre jaune.

    Il va vite chercher son père. Il lui a demandé de venir et lui explique que cette lumière était au cœur des filets. Ils vont alors vers elle en braquant leurs lampes devant eux. Cette dernière ne bouge toujours pas.

    Peu rassurés les deux témoins préfèrent partir pour revenir plus tard. Ils éteignent leurs lampe et remontent jusqu'à leurs mobylettes.

    Avant de partir Ils voient la lumière jaune se tourner vers eux puis vers les dunes en envoyant un rayon, enfin elle s'éteint.

    Puis apparait une petite boule bleu vert au-dessus du lieu ou se trouvait l'objet, cette dernière s'envole vers 6 heure 05. Depuis cette vision le père à toujours refusé de revenir sur cette plage.

    A noter après enquête de J. Vallée il semblerait que des " éléments extérieurs" ont essayé de détourner le cas.

    En effet, tout d'abord il y a eu vraisemblablement un contact radar à 6 h 10 (se déplaçant du Sud-Ouest au nord-est) au niveau de Carteret. Il y aurait eu aussi un deuxième écho en direction des "passes de l'ouest". Les renseignements furent difficiles à obtenir en raison d'instructions spéciales données aux radaristes.

    Il semble que non seulement la gendarmerie, mais aussi la sécurité du territoire a enquêté sur les lieux.

    Le 7 du même mois une tenue complète de plongée sous marine fut retrouvée abandonnée sur une plage non loin du lieu de l'observation. Détail étrange cette dernière possédait un appareil de détection de la radio-activité. L'ensemble des textes trouvés dessus étant en langue anglaise.

    Cette nuit là il est à noter qu'un accident se produisit à bord d'un chalutier qui se trouvait sur la trajectoire de départ de l'objet. Son appareil de navigation fut soudainement perturbé du coup le navire se brisa contre des écueils et coula.

    Enfin un radio amateur constata un trou de propagation important sur les réceptions des émissions provenant d'Angleterre exactement à 6 h 10. 

    La même nuit, il se produisit donc sur la côte un accident curieux. Le chalutier Archipel qui se trouvait près des brisants d'Urville juste à l'ouest de Cherbourg et sur la trajectoire de l'objet, perdit son chemin, à la suite, semble-t-il, d'une perturbation de son appareil Decca-Navigator, et d'une  déviation de compas le bateau heurta les rochers et sombra. 02 Témoins. Source : L.D.L.N. 132 et 133 - JacquesVallée - Le Collège invisible.- Michel Figuet et Jean - Louis Ruchon - Le premier dossier complet des rencontres rapprochées en France - 1979   - Scribd. OVNI en France.

    (4) Barneville-Carteret - dans la Manche au large de Barneville-Carteret (50) - 1974 + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 

    Barneville - Carteret (50) - 1974

    Témoignage d’un Pêcheur Professionnel

    J’étais en train de pêcher au large de Barneville - Carteret, lorsque soudain la mer s’est ouverte, comme une bouche, d’où est sorti un engin qui est parti à toute vitesse dans l’atmosphère, sans aucun bruit, et sans que l’eau ruisselle sur sa Coque. 01 Témoin. Source : Jean-Claude Bourret - France Inter - Anews Securite Eclairages - Agora Médias -YouTube - 22/03/2021.

    Juillet 1939 - Un domestique agricole à disparu - Henri Boursier, 22 ans, domestique agricole depuis février dernier au service de M. Catteau, cultivateur à Condé-sur-Ifs,  empruntait la bicyclette de son patron, pour aller chez ses parents, habitant Montpinçon, le dimanche 25 juin dernier.

    Il a été aperçu à la fête communale de Castillon-en-Auge, dans la nuit du 25 au 26 juin, puis on perdit toute trace de lui à partir de 4 heures du matin. Ni son patron, ni ses parents ne l'ont revu, ni n'ont reçu de nouvelles de lui. Pas très débrouillard, s'exprimant avec difficulté, le disparu, d'une taille de 1 m. 65, aux cheveux bruns, était d'un complet et d'une casquette marron et était chaussé de souliers noirs. (Source  : Le Moniteur du Calvados)

    Château d'Assy - Ouilly-le-Tesson (14) - L'Hôte de Noël / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    A partir de 1979, les nouveaux occupants du château d'Assy, assistèrent à la visite régulière d'un hôte invisible, la nuit du réveillon de Noël. Le visiteur signalait sa présence en s'asseyant sur les fauteuils et canapés du salon vert et près de la cheminée. Chacun, y compris les chats qui sentaient sa présence, pouvait constater l'affaissement des coussins ou le remue-ménage autour du huchet et du serviteur. Sur une peinture sur toile, datant de l'Ancien Régime, qui décorait le salon vert, une femme représentée paraissait vivante, fixait de son regard l'assistance, et semblait communiquer par la pensée. Des bruits de pas étaient aussi entendus dans les galeries et les escaliers. La tradition locale rapporte que l'ombre tourmentée de Madame de Rouvres fait des apparitions tous les ans, la veille de Noël, dans la grande salle du château.

    Source : Enquête Génpi - Galleron, Stastit. de l'arrond. de Falaise, T. III, p 55.

    Château de Bricquebosq (50) - Les Trois Coups

    XVIIe siècle : A date fixe, on voyait soudain dans la cour du château de Bricquebosq, un spectre impressionnant. C'était celui du comte Kadot de Cybrantho, qui avait été tué par son frère jaloux, le seigneur de Claids.

    Le revenant, drapé de noir, apparaissait sur son cheval, montait sur le perron, frappait trois coups violents sur la grande porte, puis disparaissait. Et pendant des siècles, ce fantôme revint ainsi se manifester sur les lieux de son assassinat.

    Source : J. P. Seguin, Légendes traditionnelles de Normandie.

    Château de Gisors (27) - Sanctuaire Occulte / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    Les premiers maçons (ancêtres des francs-maçons du XVIIIe siècle) étaient connus en France depuis les environs du VIIIe siècle. Ils furent soupçonnés de s'adonner aux sciences occultes, à l'alchimie, à l'astrologie et d'être des sorciers.

    L'Église les combattit, et en 1189, le synode de Rouen fulminait contre ces sociétés que la Sainte Église a en horreur.

    Un document donnant la liste des grands maîtres de la maçonnerie indique, au titre de l'année 1066, le nom du seigneur normand Roger de Montgomery, compagnon du duc Guillaume à Hastings cette même année.

    C'est un fils de Roger de Montgomery, Robert de Bellême, comte d'Exmes (61), qui, selon un de ses biographes modernes, le vicomte de Motey, était un véritable personnage diabolique dont on ne prononçait le nom qu'avec crainte, ses gestes, vrais ou faux, étaient des choses merveilleuses qu'on racontait avec effroi, et on pensait qu'il était l'incarnation d'une sorte de démon, fut le bâtisseur du château de Gisors, dont il établit le plan et dirigea personnellement les travaux, signes d'appartenance à cette mystérieuse corporation des frères maçons.

    Le roi Henri Ier d'Angleterre, fils du duc Guillaume de Normandie, lui-même grand maître des maçons d'Angleterre, fit vers 1110, achever la construction du château de Gisors, par des maçons-architectes Templiers, selon la norme hermétique, et en fonction de l'état du ciel du 24 décembre à minuit, pour y installer un sanctuaire souterrain réservé aux pratiques occultes (Les Templiers furent accusés, en 1307, d'hérésie, d'occultisme, de magie et de sorcellerie ; et le donjon du château de Gisors recèle de mystérieux graffiti, que l'on retrouve aux forteresses de Chinon (37) ou de Domme (24), où furent incarcérés les Templiers.).

    Sources : Thory Acta Latomorum, Publ. Anderson, 1715. E. H. Langlois, Mémoire sur les tombeaux Gallo-Romains découverts à Rouen.

    Château de Pirou (50) - Les Oies / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    Après un siège interminable du château de Pirou, les Normands conquérants entrèrent dans la forteresse, mais ne trouvèrent aucune âme qui vive. Seul, un vieillard grabataire errait là. Ils lui demandèrent où étaient passés Sire de Pirou et sa garnison. Le barbon leur expliqua qu’à l’aide d’un grimoire, le seigneur et sa troupe s’étaient changés en oies sauvages pour échapper aux assaillants. Furieux, les Normands firent brûler le château fort et avec lui le livre de magie. Sans ce dernier, le Sire de Pirou et ses hommes n’ont jamais pu reprendre leur apparence initiale. C’est ainsi que tous les ans des oies reviennent au château dans l’espoir d’y retrouver la formule perdue et repartent à l’automne par dépit.

    Source : Julie Tack, Mystères et Légendes Médiévales  en Normandie, 2021.

    La Commanderie des Templiers de Courval
     
    Les Chevaliers du Temple vécurent dans cette Commanderie jusqu’en 1308. La légende raconte que lorsque la nuit et la brume tombent sur la vallée, des lueurs semblant descendre du ciel apparaissent. D’étranges silhouettes de chevaliers chevauchant leurs montures feraient également leur apparition. On raconte qu’un jour, un cercueil de pierre blanche fut découvert sous un arbre dans le plant de la ferme qu’entourait l’oratoire de la chapelle Notre-Dame : on y découvrit un superbe chevalier, sa lourde épée gisait à ses côtés, comme autrefois… Tout fut remis en place et la fosse fut comblée. L’âme de ce cavalier d’un autre temps errerait encore aujourd’hui les lieux. Source : la Voix - Le Bocage, du 22/02/2016.

    Le Vivier - L' Hôpital - Vassy (14) - Hantise / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    XXe siècle : Au Vivier, sur la paroisse de Vassy (14), près de l'ancien manoir Templier de Courval, dit l'Hôpital, des lueurs anormales apparaissent et on entend des gémissements, des sanglots. Source : Le Tenneur René - Magie Sorcellerie et fantastique en Normandie -1979.

    Le Manoir de La Queurie - La Courbe (61) - La Queurie  / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    Le Manoir de la Queurie (XVe) est situé presque sur les bords de l’Orne et au pied de l’église de la paroisse de La Courbe  La Queurie devrait son nom et sa construction à une famille Le Queux ou Le Queu. Elle avait sa légende. 

    [Le Patronyme : Le Queu ou Le Queux  fait référence au latin coquus  (coquo) = cuisinier, cuire, ou celui « qui » prépare le repas comme un Maître Queux, ou comme les Sorcières, dont l'attribut traditionnel est le Chaudron parce qu'elles sont sans pareille pour assaisonner la Recette de l'Onguent, confectionné à partir de la graisse des Enfants-Morts-Nés, permettant aux Sorciers de s'envoler pour le Sabbat.]

    1/ On contait que lors de la délivrance d’une Dame de la famille Le Queu l’enfant - c’était une fille - qui disparut, tout à coup, la nuit même de sa naissance, en s’envolant par la fenêtre sur l’appui de laquelle elle laissa l’empreinte de son pied. Depuis, on n’entendit plus parler d’elle, jusqu’au moment où ses frères se partagèrent l’héritage paternel.

    Au moment où ils étaient réunis pour procéder à la « choisie » des lots, une voix se fit entendre. La fée – c’en était une – réclamait sa part. Saisis de frayeur les frères lui abandonnèrent les manoirs de la Queurie, de Giel, et de Crévecoeur avec leurs circonstances et leurs dépendances. L’héritière aussi étrange qu’inattendue se déclara satisfaite.

    On ne dit pas comment elle administra ses biens. On sait seulement que le meunier du moulin seigneurial de la Queurie était obligé de porter chaque semaine une chaudronnée de bouillie dans le creux d’un frêne qui se trouvait dans le bois. S’il y manquait il était outrageusement tourmenté et battu par ses mains invisibles. De plus la fée se montrait très jalouse des bois. Si quelque paysan se permettait la moindre bûche sur le domaine sans en avoir humblement demandé la permission à la Dame Blanche de la Queurie, il était roué de coups la nuit suivante.

    La fée, à part cela, se montrait assez bonne fille. On la voyait de temps à autre, au crépuscule, se promener le long du bois et il arrivait parfois qu’elle sautât en croupe sur le cheval d’un voyageur attardé et qu’elle l’accompagnât sans souffler mot jusqu’au bout du domaine. S’il se montrait discret et sage la mystérieuse sylphide le remerciait gracieusement en le quittant. Mais si, surmontant sa légitime frayeur et émoustillé par cette belle jeune femme dont le bras enlaçait sa taille, il se permettait la plus légère liberté il était souffleté de main de fée.

    Avec le temps le charme fut rompu et la fée disparut.

    Une autre diablerie existait au manoir de la Queurie, c’était un trou dans la toiture qu’on ne parvenait pas à boucher. Les couvreurs qui se risquaient à tenter l’aventure étaient secoués par des mains invisibles, leurs échelles se détachaient, les tuiles ou ardoises s’envolaient et la « brèche au diable », comme on l’appelait, restait toujours à l’état de trou béant rendant une partie du manoir inhabitable. Il fallut attendre le début du XIXe siècle pour vaincre l’esprit malin.

    2/ « Il y a longtemps, bien longtemps, les terrains qui forment la commune actuelle de La Courbe appartenaient à une dame bien riche et fort puissante. Cette dame étant venue à mourir, ses enfants se réunirent dans l’habitation de la défunte et commencèrent le partage des biens. Le partage était presque terminé lorsque tout à coup on vit apparaître une belle dame tout habillée de blanc. C’était la fée.

    Je suis, dit-elle, la fille aînée de notre maison et je vois que vous ne m’avez pas réservé ma part dans l’héritage maternel : je veux, dans mon lot ; les bois et le moulin de la Queurie.

    Mademoiselle, reprirent les frères et sœurs, votre demande est juste. En qualité d’aînée vous avez le droit de choisir votre lot ; prenez donc ce que vous désirez.

    Aussitôt la fée disparut et retourna habiter ses bois favoris. Peu de temps après, elle loua son moulin à un brave homme du voisinage, moyennant une redevance journalière d’une chaudronnée de bouillie.

    Cette bouillie devait lui être portée chaque jour dans le creux d’un chêne voisin de son habitation. Si le meunier, oublieux de ses engagements ou trop pressé par la besogne, négligeait de porter la fameuse bouillie à l’endroit indiqué, avant le coucher du soleil, aussitôt la farine se transformait en un terreau noirâtre : c’était là un avertissement.

    La fée tenait beaucoup à sa propriété, mais elle était bonne personne ; aussi quand un voyageur voulait traverser ses bois, pour éviter de longs détours, il pouvait passer sans encombre ; un bûcheron voulait-il couper un peu de bois pour se chauffer avec ses enfants pendant l’hiver, il n’avait qu’à se présenter à l’entrée du bois et dire : Mademoiselle, voulez-vous me permettre de couper du bois ? et il pouvait couper, couper toute la journée, tout était pour lui. Mais si un bûcheron voulait amasser quelque fagot de bois sans sa permission, alors la fée était impitoyable : c’était à grands coups de bâtons qu’elle chassait le malheureux, de ses propriétés.

    On dit qu’elle se montrait parfois à ses protégés sous la forme d’une grande dame habillée de blanc, ayant toujours les mains froides ou plutôt glacées, comme les mains d’une morte, souvent aussi elle montait en croupe derrière les cavaliers qui traversaient la propriété et ne les quittait qu’à la limite de ses bois ».

    Depuis bien longtemps on ne l’a revue dans le pays.

    Source : cf.:http://mairielacourbe.unblog.fr/category/lhistorique-de-la-commune/le-manoir-de-la-queurie/

    Castillon-en-Auge (14)

    Juillet 1939 - Un domestique agricole à disparu - Henri Boursier, 22 ans, domestique agricole depuis février dernier au service de M. Catteau, cultivateur à Condé-sur-Ifs,  empruntait la bicyclette de son patron, pour aller chez ses parents, habitant Montpinçon, le dimanche 25 juin dernier.

    Il a été aperçu à la fête communale de Castillon-en-Auge, dans la nuit du 25 au 26 juin, puis on perdit toute trace de lui à partir de 4 heures du matin. Ni son patron, ni ses parents ne l'ont revu, ni n'ont reçu de nouvelles de lui. Pas très débrouillard, s'exprimant avec difficulté, le disparu, d'une taille de 1 m. 65, aux cheveux bruns, était d'un complet et d'une casquette marron et était chaussé de souliers noirs. (Source  : Le Moniteur du Calvados)

    Cauvicourt (14) - 30/09/2011 -02/01/2012 - 19 h 45 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    Entre Caen et Falaise, sur la N. 158, le 02 janvier 2012, à 19h45, dans le ciel, en trajectoire horizontale à allure plus rapide qu'un avion, j'ai aperçu cette lueur blanche ovale assez allongée se diriger d'ouest en est sur la plaine. Ne ressemblant pas à un avion (pas de clignotant), pas à un météorite, car trajectoire fixe et horizontale. Laissant dans son sillon une trainée fine et blanche marquant sa vitesse. Apparemment à basse altitude . natur-aile. 01 Témoin. Source : Ovni-France.

    Cerisy-la-Forêt - Abbaye Saint-Vigor de Cerisy-la-Forêt (50)

     

     

    Vers 510, l’ermite Vigor, l’un des tous premiers évangélisateurs du Bessin et futur évêque de Bayeux, fonde l’abbaye primitive, vraisemblablement sur les vestiges d’un temple druidique. Selon la légende, un riche seigneur, Volusien, fit appel au saint homme afin de délivrer la forêt de Cerisy d’un « énorme serpent » qui y sévissait, terrorisant la population.

    Saint Vigor, imprimant le signe de la croix au-dessus de l’horrible bête, la terrassa, la ceignit de son étole, et la confia à son clerc et ami, Theodomire, qui la noya. En remerciement de ce « miracle », Volusien offrit alors au saint homme le domaine de Cerisy et les vingt-cinq villages qui en dépendaient. Saint Vigor y bâtit un monastère, dédié à Saint Pierre et Saint Paul. Source : Au fil des siècles.

    (1) Cerisy-la-Salle (50) - Menhir de la Pierre Bottin / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

    Menhir (3,5 m) de la Roche Bottin au village des Hauts-Vents. Les deux pierres dressées datent de l'âge du bronze. Source : Wipipédia - Les Mégalithes dans la Manche.

    (2) Cerisy-la-Salle (50)  - L'Incontinent / Paralysé / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    Vers 1850, un jour, Louis Léveillé de Cerisy-la-Salle (50), sorcier, alors qu'il se rendait au marché de Coutances (50), un meunier qui était en train de lâcher de l'eau (d'uriner) se moqua de lui au passage. Léveillé dit simplement, regarde ce que tu fais, mon gars, et continue jusqu'à ce que je revienne du marché.

    Malgré ses efforts, le meunier ne put s'arrêter d'uriner ; au surplus, ses mains étaient paralysées et ses pieds rivés au sol. On le poussa, on le secoua, rien n'y fit ; on appela le curé, on récita des prières, en vain.

    Quand, dans la soirée, Léveillé revint, il se dirigea sans un mot vers le meunier, lui frappa sur l'épaule aussitôt de son incontinence.

    Des centaines de personnes ont été témoins du fait. Sources : Le Tenneur René - Magie Sorcellerie et fantastique en Normandie -1979.

    Vers 1850, un jour, Louis Léveillé de Cerisy-la-Salle (50), sorcier, alors qu'il se rendait au marché de Coutances (50), un meunier qui était en train de lâcher de l'eau (d'uriner) se moqua de lui au passage. Léveillé dit simplement, regarde ce que tu fais, mon gars, et continue jusqu'à ce que je revienne du marché.

    Malgré ses efforts, le meunier ne put s'arrêter d'uriner ; au surplus, ses mains étaient paralysées et ses pieds rivés au sol. On le poussa, on le secoua, rien n'y fit ; on appela le curé, on récita des prières, en vain.

    Quand, dans la soirée, Léveillé revint, il se dirigea sans un mot vers le meunier, lui frappa sur l'épaule aussitôt de son incontinence.

    Des centaines de personnes ont été témoins du fait.

    Source : A. Marquez, Le Bouais Jan, 1899.

    (3) Cerisy-la-Salle (50) - 29/01/1983 - 9 h 30 / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    Le 29 janvier 1983, à 09 h 30, je me trouvais dans mon étable; mon fils A. (30 ans), lui se trouvait dehors. Celui-ci m’a appelé en me disant, « Viens voir il y a une boule de feu », et au même moment, j’ai entendu un sifflement et presque en même temps une explosion.

    Je suis sorti de mon étable, mais je n’ai rien vu. Ce sifflement et cette explosion, c’est comme si c’était un obus qui passe et qui explose.

    Mon fils m’a fait voir l’endroit où il avait vu la boule de feu et l’explosion. Ça se situait à environ 100 m de mes étables et à environ 15 m de hauteur. Cette boule de feu se dirigeait sur un axe. Mes bovins qui se trouvaient dans le champ juste en dessous de cet engin étaient complètement affolés. Au moment de l’explosion, mon compteur électrique a disjoncté et mon téléphone a sonné.

    Je me trouvais près des étables de mes parents. Mon père (70 ans) se trouvait à l’intérieur de celles-ci. Alors que je travaillais au pied du tas de fumier, devant moi, à une centaine de mètres environ et à une hauteur de 15 mètres, j’ai vu une boule de feu, grosse comme un ballon.

    En même temps, il y a eu un sifflement suivi d’une explosion. Il y a eu un éclair et puis plus rien.

    Pendant ce temps j’avais appelé mon père, mais le temps qu’il arrive tout avait disparu.  Cet engin qui se déplaçait sur un axe, avait une couleur bleutée.

    Après l’explosion, mon père et moi-même avons fait un tour dans les champs dans le but de trouver une trace quelconque, mais nous n’avons rien trouvé. 02 Témoins. Source : P. V. de Gendarmerie.

    Cesny-Bois-Halbout (14) - 30/09/2011 - vers 22 h / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    Cesny - Bois - Halbout (14) - 30/09/2011 - vers 22h00, un témoin observe un point lumineux immobile dans le ciel et assez bas sur l’horizon. 45 minutes plus tard le témoin voit le phénomène se mettre en mouvement et partir vers le Nord en traversant la moitié du ciel en une minute environ, en clignotant blanc et rouge. 01Témoins. Source : P. V. - Géipan.

    Château de Bricquebosq (50) - Les Trois Coups

    XVIIe siècle : A date fixe, on voyait soudain dans la cour du château de Bricquebosq, un spectre impressionnant. C'était celui du comte Kadot de Cybrantho, qui avait été tué par son frère jaloux, le seigneur de Claids.

    Le revenant, drapé de noir, apparaissait sur son cheval, montait sur le perron, frappait trois coups violents sur la grande porte, puis disparaissait. Et pendant des siècles, ce fantôme revint ainsi se manifester sur les lieux de son assassinat.

    Source : J. P. Seguin, Légendes traditionnelles de Normandie.

    Château d'Assy - Ouilly-le-Tesson (14) - L'Hôte de Noël  / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    A partir de 1979, les nouveaux occupants du château d'Assy, assistèrent à la visite régulière d'un hôte invisible, la nuit du réveillon de Noël. Le visiteur signalait sa présence en s'asseyant sur les fauteuils et canapés du salon vert et près de la cheminée. Chacun, y compris les chats qui sentaient sa présence, pouvait constater l'affaissement des coussins ou le remue-ménage autour du huchet et du serviteur. Sur une peinture sur toile, datant de l'Ancien Régime, qui décorait le salon vert, une femme représentée paraissait vivante, fixait de son regard l'assistance, et semblait communiquer par la pensée. Des bruits de pas étaient aussi entendus dans les galeries et les escaliers. La tradition locale rapporte que l'ombre tourmentée de Madame de Rouvres fait des apparitions tous les ans, la veille de Noël, dans la grande salle du château.

    Source : Enquête Génpi - Galleron, Stastit. de l'arrond. de Falaise, T. III, p 55.

    Le Château du Tourneur (14) - Poltergeist

    De 1867 à 1876, le Château des Noyers au Tourneur (14), fut le théâtre de faits étranges qui furent notés, au jour le jour, de façon très détaillé par la cuisinière du château, Célina Desbuissons. On entendit au château, des bruits anormaux, des coups, dont l'origine ne put être décelée. En 1867,  par exemple, une nuit d'octobre, cinq personnes ne purent dormir normalement : jusqu'à minuit de violents coups ébranlaient les planchers, les murs, des bruits étranges se produisaient dans les escaliers et les corridors. Un soir, un vacarme épouvantable se fit entendre pendant une heure ; on fit des rondes en compagnie d'un chien, sans aucun résultat. Pendant près de dix ans les bruits insolites continuèrent à être perçus par de nombreuses personnes.

    Le célèbre astronome Camille Flammarion, adepte du spiritisme, rapporta : un soir la châtelaine Mme de Manneville voulant entrer dans une des chambres hantées où des bruits formidables ébranlaient les murs, avançait la main pour ouvrir lorsqu'elle vit la clé se détacher de la serrure et venir la frapper violemment à la main, comme le confirmèrent l'abbé précepteur de son fils qui assista à la scène.

    Les meubles étaient aussi mystérieusement dérangés de place, fauteuil, mobilier divers ainsi qu'un flambeau. On entendit aussi de lourds bruits de pas dans l'escalier.

    Le 05 janvier 1876, l'évêque de Bayeux (14) envoya un Prémontré, le R. P. Henri Langlois pour enquêter : celui-ci resta dix jours et rien d'anormal ne se produisit, mais dès son départ, les bruits insolites reprirent de plus belle. Le 26 janvier 1876, le curé de Saint-Martin-Don (14) et Mlle de Longueville furent témoins des mêmes phénomènes : coups violents, galopades, cris, tambourinages, voix d'homme qui crie deux fois Ha ! Ha ! toux forte dans le corridor où il n'y avait personne.

    Le R. P. Henri Langlois, revint au château pratiquer les exorcismes employés en pareil cas. A partir de ce moment-là, tout cessa.

    Source : Mr. Lecomte, Sté des Antiquaires de Normandie, bulletin 1957-1958.

    [Les entités éthérées métamorphes, goules parasitaires et mânes nécrophages, ou âmes (noosphères) vagabondes immanentes, parodient les esprits des morts tout en se repaissent des effluves des corps vivants ou en décomposition. NFO].

    [La tradition explique les phénomènes de hantises ou de possession par le parasitage psychique exercé par des éthérés noosphériques. NFO].

    Le Château de Sahurs (76) -  La Gorge Sanglante

    Demeure historique et propriété, depuis 1962, de Mme de Selva, professeur de français, dans la chambre donnée par la tradition comme ayant été occupée par Anne d'Autriche, au XVe siècle, se produisaient la nuit des phénomènes insolites ; des bruits indéfinissables, les murs vibraient, les portes claquaient, le lit vacillait. On évitait de coucher dans cette pièce hantée. Néanmoins, vers 1965, elle fut louée successivement à cinq étudiants qui ne se connaissaient pas, et dirent les mêmes choses, ils avaient passé des nuits affreuses ; réveillés par des bruits bizarres, ils avaient vu apparaitre, près de la cheminée, le fantôme d'un jeune homme portant au cou une horrible blessure.

    Personne ne coucha plus dans cette chambre, sauf, un soir, un Néo-Zélandais peu craintif, ancien pilote de la R.A.F. Il y entendit aussi des murmures en français, qu'il ne put comprendre, et vit, lui aussi, le fantôme à la gorge sanglante.

    Source : Cahiers Léopold Delisle, 1970.

    Chef-de-Pont (50) - les 22, 23 et 26/03/1979 - vers 23 h / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    Le 27 avril 1979 à 07 h, un nommé B., employé chez le Maire a observé une boule rouge vif qui évoluait à hauteur d’une ligne à haute tension, à proximité d’un bâtiment de sa ferme.

    Une Dame désirant  garder l’anonymat, a signalé qu’un autre employé de chez le Maire, Mr. G., a été témoin de faits identiques, les 22 et 23 mars et 26 mars 1979, il s’agit de Mr. G., célibataire. L’objet avait la dimension d’un ballon de football de couleur orange et se déplaçait horizontalement à haute altitude en faisant des va-et-vient rapides, ensuite verticalement en émettant des reflets vert.

    Le phénomène se reproduira en tout,  3 fois, au même endroit et à la même heure.

    Mr. G : Je me trouvais près de la stabulation de mon employeur, située à une trentaine de mètres de la maison d’habitation, occupé à soigner les bêtes, quand j’ai aperçu dans le ciel plus sur la gauche que les deux fois précédentes, une boule orange, qui m’a semblé être plus grosse.

    Elle se déplaçait en effectuant à assez vive allure des sauts de moutons. J’ai observé ce phénomène qui a duré quatre ou cinq minutes, puis la boule a disparu à ma vue.

    Ce soir-là, les conditions atmosphériques étaient les mêmes que lors de mes précédentes observations. Bien que scrutant le ciel assez souvent, je n’ai pas remarqué d’autres apparitions de ce phénomène depuis. Je n’ai jamais parlé à personne, de peur qu’on se moque de moi. C’est d’ailleurs pourquoi je suis très surpris que vous avez eu connaissance de ces faits. 01 Témoin. Source : P. V. G.

    (1) Un des derniers Menhirs - Cherbourg/Tourlaville (50)  / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

    Ce menhir, si c’en est un, se situait sur une parcelle appartenant à la société SOFINOR, sise à Tourlaville,195 rue des Ajoncs. En 1988, cette société connaissait l’existence de ce menhir et un aménagement était prévu. Un témoin récent, à la recherche de ce mégalithe, ne l’a pas retrouvé. Aurait-il tout simplement disparu ? bonjour

    j'ai retrouvé ce menhir. il gît actuellement derrière le centre commercial LECLERC de Tourlavile au niveau de sa réserve. Source : Guy AUBOIRE - Delamotte.

    Il n'y pas qu'à Carnac (56) que l'on détruit les Mégalithes !

    Les Pierres Couplées, appelées aussi Pierres Encouplées, étaient une allée couverte située à Tourlaville, dans le département français de la Manche, en Normandie. L'édifice, classé au titre des monuments historiques en 1887, fut détruit en 1890 pour construire une redoute militaire. C'est le monument mégalithique le plus anciennement mentionné pour le département de la Manche : Gilles-Pierre de Chantereyne le mentionne dans un manuscrit consacré à l'histoire de Cherbourg daté de 1773. Les fouilles réalisées cette même année entrainent la destruction partielle du monument à son extrémité est et la disparition de toutes les tables de couverture sauf une. Vers 1830, L. Ragonde parvient à éviter la destruction du monument par des carriers.

    L'édifice fait l’objet d’un classement comme cromlech au titre des monuments historiques en 1887 à la demande du commandant Jouan. En mars 1890, le génie militaire construit à peu de distance une redoute pour surveiller la rade de Cherbourg et détruit le monument dont les pierres furent récupérées dans la construction de l'édifice.  L'allée mesurait 15 m de longueur. Elle était orientée est-ouest. Sa largeur variait de 1,10 m à 3,50 m côté est, avec une moyenne à 2,50 m. Léon Coutil en dressa un plan en 1895. L'allée comportait alors huit orthostates côté nord et cinq côté est, mais elle en aurait comporté initialement quatorze de chaque côté. Une dalle de 1,40 m de longueur placée verticalement côté est pourrait avoir servi de fermeture. La seule table de couverture qui demeurait après les fouilles de 1773 mesurait 2 m sur 1,10 m. Toutes les dalles étaient en arkose.
    Lors de sa destruction, deux haches polies de couleur noirâtre furent découvertes par les ouvriers. Sources : Wikipédia.

    (2) Cherbourg (50) - La Chasse Verte+ Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    En 1949, à Cherbourg, dans le paisible Chasse Verte, on vit des choses étranges. Le 1er janvier, un petit garçon rentra chez lui le soir tout tremblant, disant y avoir aperçu un homme tout de rouge habillé et dont les vêtements étaient illuminés.

    Au même lieu, quelques jours après, un homme rencontra un être bizarre qui lui dit : N'allez pas plus loin ! et au moment même il aperçut un énorme crapaud barrant le chemin à l'endroit où se tenait l'être qui, par enchantement, avait disparu.

    Deux courageux citoyens, armés d'un fusil et accompagnés d'un chien, passèrent plusieurs nuits à l'affût dans la Chasse Verte, mais ils ne virent rien.

    Source : Le Tenneur René - Magie Sorcellerie et fantastique en Normandie -1979.

    (3) Cherbourg-Octeville (50) - Le Kaluma / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    Disparition de Aurélien D., 32 ans, le samedi 8 février, vu la dernière fois, à 4 h 30 au bar Le Kaluma à Cherbourg.

    Source : Franceinfo, du 12/02/2014.

    Cheux (14) 

    Février 1873  - Fait divers  -  Encore une affaire qu'on met sur le compte du diable.

    Entre Cheux et Saint-Manvieu, Satan s'était emparé de l’âme et du corps de madame Fortendiable, et celle-ci,; sous prétexte qu'elle était ensorcelée, faisait endurer à son époux toutes les tortures possibles.

    A bout de patience, le pauvre homme a envoyé sa moitié à tous les diables.

    Eh ben ! puisque c'hest cha, s'est écriée la commère, j'vas m’péri.

    Péris té, a répondu son homme, au moins j'serai débarrassé de ta personne.

    Oui, mais avant de se livrer à cette extrémité, madame Fortendiable est allée, consulter l'une de ses voisines, qui lui a conseillé de se mettre sous la protection de Saint-Michel de Vaucelles, un bienheureux qui autrefois a si bien terrassé messire Satanas.

    L'ensorcelée a suivi ce conseil, et après huit jours d'absence, elle est rentrée au domicile conjugal, douce comme un agneau, soumise comme un caniche.

    Voilà un miracle qui me rend aussi incrédule que Saint-Thomas, et pour le croire je voudrais le voir. [USHC].

    (1) Moult - Chicheboville (14) - Calvados - Normandie - France - 04/05/2008 ou 2009 - entre 22 h 45 et 22 h 50  / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud

     

    Moult, le 4 mai 2009. Entre 22 h 45 et 22 h 50, deux personnes aperçoivent, durant quinze secondes, le déplacement de trois sources de lumière jaune-orange.

    Aucun bruit n’est entendu. Elles se déplacent lentement, d’Ouest au Nord, avant de disparaître subitement.

    Cette observation fait suite à de nombreuses autres durant la même période dans le grand Ouest. 02 Témoins. Source : Liberté - Le Bonhomme Libre du 25/10/2012.

    (2) Moult - Chischeboville (14) Décembre 1896 - A la recherche de sa vache - Le sieur Grégoire, cultivateur à Croissanville, achetait dernièrement une vache au marché de Caen et confiait à un toucheur de bestiaux le soin de la conduire à son domicile. Cet individu se met en route, mais, en passant à Moult, il éprouve le besoin de se réconforter, ne venait-il pas de parcourir quinze kilomètres ? Il entre alors chez, un débitant où il s'arrête assez longuement à siroter quelques rasades. Ses forces revenues, notre toucheur de bestiaux se dispose à continuer son chemin. Mais, ô stupéfaction ! la vache n'était plus là. A bout de patience, s'était-elle éclipsée, ou un filou l'avait-il emmenée ? Voilà ce que se demande maître Grégoire. (source : Le Bonhomme Normand).

    Trésor d’Airan
     

     

    La découverte faite en 1874 et connue sous le nom de « Trésor d’Airan » a eu un retentissement important parmi les chercheurs étrangers.

    En France, il faut attendre la publication d’Edouard Salin et Albert France-Lanord (1949) pour constater un début d’intérêt de la part des chercheurs français […]

    La nature de la découverte et sa localisation, la description des objets et leurs emplacements, toutes ces informations sont contenues dans la première publication française qui a été faite par Eugène de Robillard de Beaurepaire (1875). […]

    Il s’agit de la découverte fortuite (extraction de sable) de la sépulture isolée d’une jeune femme qui a été inhumée avec une parure de vêtement, constituée d’objets en or et en argent.

    L’ensemble est prestigieux, connu et utilisé en référence jusqu’au Caucase du Nord, en passant par l’Europe centrale.

    La trouvaille a eu lieu sur la commune de Moult (hameau de Valmeray) qui est limitrophe de celle d’Airan.

    Les objets ont d’abord été déposés dans la mairie d’Airan, puis transportés à la Société des Antiquaires de Normandie. […]

    En 1994, nous avons retrouvé l’emplacement de la tombe grâce à l’étude du cadastre napoléonien et à des photographies aériennes. La tombe est rectangulaire (2,20x1m) et profonde de 1,50m, comme l’a indiqué Eugène de Robillard de Beaurepaire.

    Il en est de même pour le contenu de la sépulture « un amas de terre grisâtre […] semé d’ossements humains ».

    La présence de terre grisâtre signale une inhumation en cercueil de bois qui prend cet aspect en se décomposant. […] Malheureusement, le squelette a été réduit en poussière par le terrassier de 1874, seul un fragment de mandibule a permis de dire que le sujet était jeune et sans doute féminin. […]

    Le mobilier de la tombe est actuellement déposé au Musée de Normandie à Caen. Le niveau social élevé de cette femme peut être approché par la quantité d’objets en or qu’elle possédait. […]

    Le poids total des objets en or provenant de la sépulture de Moult est de 135,92g. […] Sans doute, la « princesse » de Moult accompagnait-elle un chef de guerre d’origine barbare, en charge de défendre les frontières de l’Empire romain. […]

    Les fibules, reliées par une chaîne en argent, servaient à fermer le manteau et elles étaient portées par les épaules. […]

    Pour compléter l’inventaire du mobilier funéraire, il faut signaler des objets disparus pendant les bombardements de 1944 mais décrits et photographiés par E. de Robillard de Beaurepaire en 1874 : une bague en or décorée d’une  intaille et de grains d’ambre.

    La gravure de l’intaille est fine et représente un satyre assis, avec un arc dans le dos, sur un rocher, qui tient un enfant nu dans ses mains. […]

    Extrait de « Rome et les Barbares – La naissance d’un nouveau monde »
    Notice signée par Christian Pilet

    La Colonne de Calcaire

    Cette base de colonne ornée de motifs décore le square de la commune.

    Sa datation  et sa provenance sont incertaines.

    La commune, située dans la vallée de la Muance, est dominée par une hauteur où se trouvait autrefois le camp fortifié de la Hogue qui contrôlait la voie romaine reliant Vieux à Lisieux.

    Un trésor monétaire de la fin de l’empire romain ainsi que la tombe d’une princesse barbare du Vème siècle ont été découverts sur son territoire.

    Au Moyen Âge, Guillaume le Conquérant y passe vraisemblablement pour aller affronter les barons révoltés de Val-ès-Dunes, Moult est alors réputé pour son vignoble.

    Ce dernier est mentionné dans les actes de Tabellions de Caen en 1381.

    Extrait du « Patrimoine des Communes du Calvados » FLOHIC Editions

     

      Source :  L'histoire de Moult

    Novembre 1876 - Objets précieux - Une découverte de bijoux mérovingiens d'une très grande valeur a eu lieu au village de Valmeray, commune de Moult, sur la route de Caen à Saint-Pierre-sur-Dives. Cette trouvaille, portée à la connaissance de la Société des Antiquaires de Normandie, a permis de constater que tous ces ornements composaient la parure d'une femme du VIe  siècle, appartenant aux conditions sociales les plus élevées.  [Un siècle d'histoire du Calvados].

    Février 1895 -  Rebouteux et chirurgien  -  M. Guillard, propriétaire à Moult, 73 ans, a, on le sait, une grande réputation comme rebouteur. Il a, parait-il, remis dans sa longue carrière plus de 90 000 luxations ou fractures. Il était poursuivi récemment sous l'inculpation de blessures par imprudence à une jeune fille. Malgré un rapport du docteur Barette, le tribunal a écarté ce délit et, par un jugement qui reconnaît l'expérience de Guillard, l'a condamné, pour exercice illégal de la médecine, à 16 fr. d'amende, le minimum de la peine. (Source  : Le Bonhomme Normand).

    Novembre 1937 -  Un « rebouteux » bien connu est poursuivi pour exercice illégal de la médecine –  Sur plaintes du Syndicat des Médecins et de clients mécontents, la Police Mobile enquête sur des faits d'exercice illégal de la médecine reprochés à un « rebouteux » bien connu dans la région, M. Cingal, de Moult. 

    A différentes reprises déjà, M. Cingal avait été inquiété mais il était parvenu à échapper aux poursuites. Il semble qu'il n'en sera pas de même, cette fois, et que le guérisseur, qui bénéficie d'ailleurs d'une grande popularité, devra comparaître devant le Tribunal Correctionnel. (source le Moniteur du Calvados).

    Avril 1917 - Un avion dans un champ - Un biplan anglais atterrit en catastrophe dans un herbage de Moult. Le pilote arrose les alentours à la mitrailleuse. Il se croyait tombé dans les  lignes allemandes, et il allait incendier son avion quand les gendarmes le détrompent.

    Mai 1917 - Plus de peur que de mal - Dans les derniers jours d'avril, les bonnes gens de Moult ont été estomaqués par la descente d’un avion de guerre qui a atterri dans un herbage,  prés de leurs maisons, et s’est mis à décharger ses mitrailleuses, sans , d’ailleurs blesser personne. C’était un grand biplan anglais dont le brave pilote avait été canardé par les Boches et  était tombé là, se croyant dans la zone occupée. L'as britannique allait bravement incendier son appareil, déjà bien endommagé, et se préparait sans  doute à vendre chèrement sa vie, lorsque des gendarmes, accourus en hâte, dissipèrent son erreur. Il n'était pas blessé, par chance, et put faire honneur à l'hospitalité normande. Le lendemain, une équipe anglaise venait, en auto, enlever les débris du biplan. On en parlera moult longtemps à Moult. [Un siècle d'histoire du Calvados].

    (1) Cideville (76) - Le Berquet (diminutif de Berserker = fort comme un ours, guerrier viking réputé métamorphe)

    En novembre 1850, le curé de Cideville ayant chasser de sa paroisse un guérisseur de mauvaise réputation, celui-ci jura de se venger. Il s'entendit avec un berger-sorcier, le berquet Thorel, particulièrement redouté, qui s'en prit à deux jeunes élèves auxquels le prêtre apprenait le latin.

    Peu après, les enfants étant à la foire, Thorel s'approcha de l'un deux et le toucha. A partir de ce moment on assista aux faits les plus étranges. A peine l'enfant rentré au presbytère, qu'une trombe s'abattit sur la maison, des coups, tels des coups de marteau, ne cessèrent de se faire entendre dans tous les coins, puis on vit des meubles et d'autres objets se déplacer d'eux-mêmes. En particulier la chambre des deux garçons devint le lieu de faits incroyables : pupitres se renversant et des carreaux se brisant tout seuls, livres s'envolant par une fenêtre et rentrant par une autre. Une partie de la population entoura le presbytère pendant des heures et on l'explora en tous sens sans résultat, et de nombreux témoins, le maire Mr. Cheval, dont un médecin de Becqueville (76), des prêtres, les conseillers municipaux de Cideville, des gens de toute condition, assurèrent avoir vu aussi des choses extraordinaires..

    Mr. de Mirville, grand spirite, fut invité par le curé à passer la nuit dans la chambre; en entendant des coups il engagea conversation avec l'esprit et obtint des réponses exactes à de nombreuses questions, ainsi que Mme Des Champs du Bois-Hébert qui reçu des réponses intelligentes avec l'esprit.

     L'enfant ensorcelé tombait dans des syncopes puis avait des visions ; il désignait du doigt l'ombre d'un homme en blouse et certains aperçurent cette ombre qui, sous une forme de fumée qui s'enfuyait sous les jointures des portes.

     On tira un coup de pistolet, chargé de petits plombs, sur cet esprit et on utilisa des pointes de fer, broches, épées, que cette sorte d'esprit craint, faisant apparaître cette fois une flamme et une fumée puante et épaisse, puis des gémissements se firent entendre en même temps qu'un mot répété deux fois : pardon ! pardon !

    Le curé dit : nous te pardonnerons et tu viendras demain demander grâce devant l'enfant.

    Le lendemain, on vit arriver le becquet Thorel, le visage couvert de blessure dont la trace de deux plombs qui l'avait atteint au visage, comme l'avait dit l'enfant, et le bras en écharpe. A genoux devant l'enfant il implora pardon, et on lui dit de revenir le lendemain demander grâce à la mairie.

    A la mairie, voulant toucher le curé pour obtenir aussi son pardon, le curé recula et lui asséna trois coups de canne sur le bras ; à la suite Thorel porta plainte auprès d'un juge de paix pour ces coups portés.

    Le juge de paix d'Yerville, saisi de l'affaire, fut stupéfait devant les nombreux témoignages. Il apprit que Thorel prédisait vingt minutes à l'avance des choses qui se produisaient exactement. Un journalier déclara, au champ avec Thorel lui dit : chaque fois que je donnerai un coup de poing sur ma cabane, tu tomberas. Et le journalier assura qu'il se sentait alors à la gorge serrée et qu'il était forcé de tomber. Un autre déposa que se trouvant dans la plaine avec Thorel, des cailloux, lancés par une force inconnue, arrivèrent droit sur eux mais ils tombèrent aux pieds de Thorel sans le toucher.

    Thorel fut débouté de sa plainte et fut condamné aux dépens. Le presbytère hanté fut rasé, et après la mort de Thorel sa tombe fut l'objet de si nombreuses visites que le cardinal de Bonnechose fut contraint de la faire déplacer.

    Source : Ch. Lancelin, La sorcellerie des campagnes.

    (2) Cideville (76)  - Les Invisibles

    En 1875, le jeune Ernest, âgé de 13 ans, eut des convulsions violentes au cours desquelles il accusa une femme qui lui avait manger une pomme. La maison du garçon était elle-même ensorcelée et on y voyait des choses extraordinaires : les portes tremblaient sans motif ; les chaises s'agitaient, on entendait des roulements de lits à l'étage où il n'y avait personne. Malgré une surveillance, on ne découvrit rien, seul Ernest voyait parfois quelqu'un s'enfuir.

    Un jour, au cours d'une crise d'Ernest, on lui jeta de l'eau bénite, il se calma mais aussitôt, dit-on, un bruit effroyable se fit entendre.

     A propos de ce même garçon, le docteur Hélot relate un fait qui rappelle les phénomènes constatés précédemment au presbytères de Cideville. Partant un matin vers une prairie proche, Ernest prédit que la sorcière et ses compagnes allaient y venir.

    Les voilà ! cria t-il soudain, et, courant dans le pré, il frappa l'air en tous sens avec un bâton. Les voisins ne virent rien, mais entendirent distinctement des hurlements partant de divers côtés et qui ne pouvaient, dirent-ils, provenir du jeune garçon. Or, on vit ensuite la voisine, accusée principale, passer et repasser devant la maison d'Ernest, la tête enveloppée d'un bandeau et proférant des injures.

    Source : Dr. Charles Hélot, Névroses et possessions diaboliques, 1897.

    Civières - hameau d'Aubigny (27) - le 10 ou le 17/03/1972 - 21 h 25  / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    Panne de Véhicule

    Monsieur Daniel Loretz, 63 ans, propriétaire d’un magasin de radio et de télévision de Tourny, pompier bénévole depuis 1937, et commandant de la brigade locale depuis 1949 : J’en ai parlé aux gendarmes que trois jours après. Cela s’est passé probablement le vendredi 17 mars (ou le 10 mars 1972) dans un champ du hameau d’Aubigny à Civières. Il était 21 h 25, et je revenais de Pacy-sur-Eure où j’avais une réparation.

    Je roulais tranquillement au volant de ma R6 quand j'ai vu un objet sombre venant du ciel se diriger vers moi. J’ai freiné aussitôt.

    L'engin s’est posé dans un champ, à environ 150 m, pratiquement à la verticale. C’était une forme ovale de couleur sombre d’environ deux mètres de haut. A l’avant : deux hublots, d’où partait une lumière pâle dirigée vers le sol. A l’arrière : une lueur rouge peu puissante.

    Trente seconde après l’atterrissage, les feux se sont éteints. Cela faisait le bruit d’un gros tracteur. Très impressionné, je suis reparti en voiture.

    Mais j’ai eu toutes les peines du monde à faire fonctionner convenablement mon moteur pourtant pratiquement neuf. Il a toussé pendant plusieurs centaines de mètres, puis est reparti normalement. Le lendemain, je suis revenu sur place, mais le champ avait été hersé et toutes les traces qu’avait pu laisser l’engin avaient disparu. 01 Témoin. Source : Enquête de Monsieur Alain Matheron. LDLN Janvier 1973 - Contact Lecteurs.

     Clarbec (14) / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 

    (1) Une "soucoupe volante" dans le ciel de Surville

    A la suite de l'information que nous avons publiée relativement à l'atterrissage d'une soucoupe volante à Clarbec, un habitant de Surville qui désire conserver l'anonymat - nous a signalé que dans la nuit du 26 au 27 août, alors qu'il guettait le passage du Tour de France Automobile, il entendit soudain, vers 1 heure 10 du matin, un bruit indéfinissable - sorte de chuintement - qui se prolongea decrescendo pendant quelques secondes.

    La personne qui nous a rapporté ce fait se porta à la fenêtre de son habitation située en bordure de la route de Caen à Rouen.

    Mais le brouillard intense qui régnait alors ne lui permit pas d'apercevoir l'engin dont il entendait le bruit. D'après ce que ce témoin auriculaire nous a précisé, "l'appareil serait descendu à très basse altitude au-dessus de la ligne de chemin de fer, puis après cette "glissage", il se serait dirigé vers Saint - Benoit - d'Hérbetot, en faisant entendre un cliquetis.

    Précisons que vers la fin de l'été, un propriétaire de Hotot - en - Auge entendit - également vers 1 heure du matin - un léger cliquetis, comparable à celui que produit un épouvantail métallique - que l'on place dans les plantations de haricots - lorsque celui-ci est agité par le vent. Intrigué, l'agriculteur s'était levé et avait observé, dissimulé derrière sa fenêtre - et pendant plus d'un quart d'heure - un volumineux engin en forme de soucoupe d'où il n'avait vu sortir aucun être vivant.

    L'appareil avait ensuite décollé à la verticale et disparu à une allure vertigineuse sans émettre de son. Dans l'un et l'autre des cas, nous avons affaire à d'honorables personnes dont la bonne foi ne saurait être mise en doute.

    01 Témoin.

    Source : "Le Pays d'Auge-Tribune", de Pont-L'Évêque, du 24 décembre 1954.

    (2) La fontaine Saint-Laurent de Clarbec

     

    Cette fontaine est connue pour être dotée de propriétés guérisseuses pour la peau. Elle n’est pas difficile à trouver puisqu’elle se situe juste en face de la mairie de Clarbec. Une statue à l’effigie de Saint-Laurent, recouverte des loques des pèlerins en quête de guérison, se trouve au-dessus du bassin, au cœur d’un vocable. De nombreuses personnes passent chaque année s’asperger d’eau dans l’espoir d’une guérison de leurs maladies de peau. Le lieu est l’objet d’une procession tous les 10 août, jour célébrant Saint-Laurent dans l’Église catholique. [Le Pays d'Auge du 13/08/2019 - Gilles Lefebvre]

    "Le saint qui fut martyrisé et brûlé sur un gril est invoqué pour les brûlures et les zonas. Un chiffon ou un vêtement est trempé dans l'eau de la source, il est frotté sur la peau puis laissé accroché sur la fontaine" [Tourisme et Patrimoine]

    Clécy (14) - La Fille Métamorphe 

    Dans la bruyère de Noron, près de Clécy, on tira une nuit sur un varou de couleur blanche (couleur rare chez les varous) et qu'au matin on découvrit le corps d'une jeune femme qui en expiation d'une faute cachée devait accomplir, sept années durant, ces courses ombreuses qui se terminèrent par un si tragique dénouement.

    Triste affaire peut-être à l'origine d'une complainte que l'in chantait encore au XIXe siècle dans la région de Tourouvre (61), la complainte : La fille changée en biche : Qu'avez-vous à pleurer Marguerite, ma fille ? J'ai un grand ire en moi. Je n'ose vous le dire. Je suis fille sur jour. Et la nuit blanche biche. La chasse est après-moi.

    Sources : J. Lecoeur, Esquisses du Bocage normand. J. F. Gabriel Vaugeois, Histoire des Antiquités de la ville de l'Aigle.

    Mai 1878 -  Un veau phénoménal -  Un phénomène est né chez M Courvalet, cultivateur à Clécy. Cette animal a cinq pattes : deux devant et trois à l'arriére-train, celle qui se trouve placée au milieu est plus courte que les deux autres, mais elle remue fort bien. Le jeune phénomène est très bien portant. [USHC].  

    [L'émergence des Portes Induites/Vortex/Pontifex/Portex/ Puits à énergie potentielle, génèrent des mutations singulières. NFO].

    Juillet 1882  -  Une fête interrompue  -  Dimanche, c'était la fête de Clécy. Au moment où le public était le plus nombreux, survint un orage épouvantable. En un clin d’œil, tout est inondé. Les promeneurs se réfugient dans les auberges ou les maisons. Bientôt tout est plein, et ceux qui n'ont pu trouver d’asile songent à chercher un abri dans l'église. Mais sur le seuil, ils trouvent le custos, qui leur dit : « On n'entre pas ! » Ils veulent parlementer et supplient le custos inexorable de leur ouvrir la porte. Pour toute réponse, il va la leur fermer au   nez, quand le curé arrive et lui ordonne de laisser entrer tout le monde. Il obéit, mais en rechignant et en murmurant : Y’seraient pourtant mieux au café à bère, qu’ichin à dire « Notre Père. » 

    Voilà un custos qui assurément préfère un bon Gloria, à tous les Pater du monde.

     

    Mai 1883  -  La foudre –  L'autre dimanche, la foudre est tombée à Clécy, sur la maison de Mme veuve Hubert. Le fluide a pénétré par la cheminée qu'il a détériorée, a fait le tour de la salle ,et est ressorti par un cabinet en brisant deux vitres. Les six personnes qui se trouvaient à ce moment dans la maison de Mme veuve Hubert en ont été quittes pour la peur. Pendant le même orage, la foudre est tombée à St-Rémy, sur la maison de M. Bertaux. [USHC].

    Septembre 1894  -  Les effets des orages   -  Après quelques jours de beau, le temps s'est remis à l'orage. Dans la banlieue de Paris, notamment à Rueil, les dégâts sont considérables. Dans le Calvados, un domestique de Banville, Tanquerel, 81 ans, qui à cause de l'orage avait quitté la charrue et ramenait ses chevaux à la ferme de son maître, le sieur Hervot, a été tué par la foudre ainsi que les deux chevaux sur l'un desquels il était monté. Un tout jeune homme, qui suivait à pied, n'a eu aucun mal. 

    — À Caumont, la foudre a allumé un incendie qui a détruit l'écurie, les étables et les greniers d'une ferme. 

    — Du côté de Clécy et à Cesny-Bois-Halbout, les dégâts causés par la grêle ont été énormes. La foudre est tombée en maints endroits, ne causant que des dégâts matériels. (Source : Le Bonhomme Normand).

    Août 1917 - Les méfaits de la foudre - Ces jours derniers, un  violent orage a éclaté dans la région de Vire y a causé plusieurs accidents. A Vire, un commencement d'incendie,  provoqué par un court-circuit, dû à la chute de la foudre, s’est déclaré chez M. Gouye, receveur de l’enregistrement. Grâce à la promptitude des secours, les dégâts furent presque nuls.

    A Clinchamps, six bestiaux, au fermier de Mme Brillet, de Vire, furent foudroyés. A Neuville, la foudre a tué cheval à M. Laumonnier. Des bestiaux auraient été tués près de Clécy. [USHC].

    [La conception moderne de la foudre (et des orages) diffère de celle des Anciens, qui l’identifiaient à un châtiment divin et céleste (cf. l’Ancien Testament), à l’exemple du foudre de Zeus, représenté par trois rayons, qui leur apparaissait comme une des manifestations sacrées du dieu et correspondait à sa parole, mais également à sa volonté de puissance. Les cadavres foudroyés étaient recouverts de terre et les lieux où la foudre était tombée devenaient un lieu de culte (cf. les fontaines à orages en Normandie ou en Bretagne qui déclenchent les orages avec la pratique d’un rituel occulte). Désormais, ils se trouvaient comme marqués d'un signe mystérieux que des prêtres, spécialisés dans l'art « fulgural », devaient interpréter pour le commun des mortels. (Dictionnaire de la mythologie grecque et romaine, Paris, Larousse, mars 2017 - Wikipédia). Ce phénomène céleste est aussi l’un des signes de l’ouverture des puits à énergie potentielle des portes induites ou portails multidimensionnels. NFO].

    Juin 1903 - Un misérable - La gendarmerie de Clécy procède à une enquête relativement à un viol commis par un ancien charcutier, âgé d'une trentaine d'années, sur une petite fille de 8 ans, dans des circonstances particulièrement odieuses.

    C'est dans une cave, où il l'avait attirée, qu'il a martyrisé l'enfant au point que sa vie est en danger. C'est un nommé Bréville, 31 ans, marié et père de famille. Il a été arrêté à Falaise. (Source : Le Bonhomme Normand).

    [La tradition explique les comportements débordants, antisociaux, ou agressifs, sadiques par les phénomènes de hantises ou de possession liés au parasitage psychique exercé par des éthérés noosphériques. NFO].

    [De même que les comportements inhumains, ou morbides. NFO].

    Janvier 1939  - Le disparu s’est-il noyé - En allant chercher du lait, Mme Cosnard, ménagère au Pont de la Landelle, a trouvé rangés sur le trottoir longeant le parapet, au bord de l'Orne, une casquette et divers objets, notamment un porte-monnaie renfermant une carte d'électeur au nom de Marcel Grosse, 34 ans, né à Saint-Martin-de-Sallen, ouvrier agricole à La Villette.

    Les gendarmes effectuèrent des recherches dans l'Orne aux abords et en aval du Pont de la Landelle, mais elle ne donnèrent pas de résultat.

    Depuis juin au service de M. Bonduelle, Marcel Grosse était considéré comme un bon ouvrier, plutôt sobre, mais de caractère sombre et peu communicatif. Sa mère dit que le disparu avait subi deux opérations en trois ans et que parfois il souffrait d'une blessure consécutive à un coup de pied de cheval dans l'abdomen. Mais jamais il n'avait exprimé le désir de se suicider. (Source  : Le Moniteur du Calvados). 

    [Les disparitions inquiétantes de personne sont mortelles dans 29 % des cas, provisoires dans 30 % des cas et continuelles ou définitives dans 41 % des cas. La concordance territoriale entre les épicentres des apparitions des ovnis et les disparitions inquiétantes accrédite la thèse de l’ingérence parasitaires des exogènes-polymorphes comme principaux acteurs de ces disparitions, de même que le factuel des états somnambuliques des personnes disparues/retrouvées et qui montrent les symptômes identiques de désorientation, d’amnésie, de perturbation psychique, de missing time, etc. des RR4 ou des phénomènes dits des abductions ufologiques. NFO].

    [Certaines disparitions définitives seraient imputables au franchissement de l’horizon des événements d’une Porte Induite ou puits à énergie potentielle, NFO].

     Les pontifex/portex

     

    http://enigmedublason.eklablog.com/chapitre-37-le-vaisseau-de-la-fleche-d-argent-a210462832

    http://enigmedublason.eklablog.com/chapitre-36-les-blasons-des-etoiles-a210340262

     

     

    « La Parole est d'Argent, le Silence est d'Or, le Symbole leur Électrum ! »

     [« Le Temps des Sans-Dieu » - Apocryphe]

     

    La voûte en plein cintre du pont classique romain avec ses deux piles est la représentation imagée de la fonction opérative du puits à énergie potentielle généré, par exemple, par le courant continu et alterné des marées, du flux de l'eau et de la circulation terrestre, comme sur le pont de Cabourg (14), expliquant, entre autres, la disparition de la jeune fille qui se volatilisa, corps et âme, lorsqu'elle franchit le pont de la Dives, entre Cabourg et Dives-sur-mer, à l'équinoxe d'automne 1924, ... ce pontificat décrit par les Anciens ouvrant une voie de communication entre la sphère physique et la sphère métaphysique, ... entre notre monde et les autres mondes endogènes et exogènes.

     

    (1) Cléon (76) - 19/09/1998 - 21 h 50 - / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    Observation d'un disque lumineux blanc volant à 60 km/h à 300 m d'altitude. N. N. C. Témoins. Source : Ovni-France.

    (2) Cléon (76) - rue de Bédanne (76) - 01/09/2013 - 00 h 10 - / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    Cléon (76) - 01/09/2013 – 00 h10

    Samedi premier septembre 2013, je suis sorti sur la route de Bédanne pour accompagner mon cousin à sa voiture et j’ai tout de suite été interpelé par des lumières vives qui se déplaçaient à faible altitude.

    J’ai aussitôt interpelé mon cousin qui a lui aussi constaté le phénomène.

    Ces petites sphères orangées (d’abord 2, et encore 3, puis 4, etc … au total une bonne dizaine (en l’espace de 4 minutes) ont surgi d’une bande nuageuse pour se rejoindre une autre dans une direction Sud-Nord, vers Paris.

    Les Sphères suivaient une trajectoire rectiligne. Elles se déplaçaient parallèlement. La distance entre les sphères n’a jamais varié. La vitesse était faible. Elles n’émettaient aucun son. Ces sphères étaient en tout point similaires (taille, vitesse, altitude, couleur, éclat). Elles suivaient la même trajectoire. Lolo. 02 Témoins. Source : Ovnis76.

    Entre Montville et Clères (76) - Seine-Maritime - Normandie - France - 21/08/2011 - le soir  / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    Un crash de rien !

     

    Le puits à énergie potentielle

    Le vendredi 21 août 2015, en fin d’après-midi, dans les secteurs de Criquetot-l’Esneval, Villainville et Vergetot, des témoins ont vu « des choses étranges dans les cieux » et les gendarmes de la région ont reçu un total de 3 appels. L’un d’entre eux a précisé que l’ovni ressemblait à « une boule de feu ».

    Les forces de l’ordre, pensant qu’il pouvait s’agit d’un crash, ont dépêché des pompiers, des agriculteurs ainsi qu’un hélicoptère Dragon 76 dans l’espoir incertain de découvrir l’éventuel lieu du crash.

    D’après la préfecture de Seine-Maritime, ces investigations n’ont rien donné.

    Le soir même, une personne qui se trouvait entre Montville et Clères (au Nord de Rouen) affirme, lui-aussi, avoir photographié un ovni. Ce dernier certifie avoir vu « un avion suivi d’une météorite, puis un grand silence. ». 01 Témoin. Source : Normandie-Actu.

    Le 19 août 1845, une très violente tornade s'abat sur la ville, détruisant des usines. On a dénombré 70 morts et 136 blessés, la plupart des victimes travaillait dans des filatures dont les murs se sont effondrés. Selon les descriptions de l'époque : « Des ouvriers furent lancés au-dehors par-dessus des haies et des clôtures… Sur d'autres points, les bâtiments furent comme pulvérisés et la place absolument nettoyée. Des solives, des planches… furent soulevées et emportées jusqu'à 25 et 38 kilomètres de là ! Jusque près de Dieppe », ce qui tendrait à la classer dans la catégorie F5, la plus intense. Ce n'est cependant qu'une estimation, aucune enquête utilisant les méthodes modernes d'investigation n'ayant été faite. Gustave Flaubert évoque cette catastrophe dans sa lettre à Louise Colet du 26 août 1846. [Wikipédia]

    Cléville (14) - 28/12/1974 - vers 19 h 00 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    A Cléville, le 28 décembre 1974, vers 19 h, deux personnes ont aperçu pendant quinze seconde dans le ciel de Cléville un objet sphérique de couleur vive orange.

    L’ovni est descendu par paliers sans bruit pour partir à l’horizontale. Le phénomène aurait été vu par une troisième personne.

    03 Témoins. Source : Ouest-France du 30/12/1974.

    Clinchamps-sur-Orne (14) - 19/10/1954 - 05 h 30 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

     

     

    Ch. Prével, de Clinchamps-sur-Orne (Calvados) signale que mardi, vers 05 h 30, se rendant à son travail, aux mines de May-sur-Orne, dans la campagne, à environ 200 mètres de la route, entre Clinchamps et Laize-la-Ville, il a vu un disque violemment éclairé, de couleur orange, qui se tenait en suspension à 3 ou 4 mètre au-dessus du sol, saisi de frayeur, il est parti précipitamment. Témoin : 01. Source : Ouest-France du 20/10/1954.

    Colleville (76) - Les Barreaux de Fer

    Des grottes avaient la réputation d'arbitrer des démons ; celles de Colleville, dans le vallon d'Orval, furent longtemps l'objet de processions destinées à conjurer l'Esprit du Mal qui y résidait, mais malgré prières et eau bénite, jamais la bannière du cortège, retenue par une force infernale, ne put y pénétrer. On dut se contenter d'y enfermer les mauvais esprits au moyen d'un mur très épais consolidé par des barreaux de fer.

     Source : Guide de la France mystérieuse, Edit. Tchou, 1966.

    Colombelles (14) - La Nécropole du Lazzaro

    Colombelles (14) - La Nécropole du Lazzaro

    Sépulture 225

    La Nécropole du néolithique fouillées à Colombelles (14). Le site de Colombelles correspond à un ensemble de neuf à onze unités d’habitation ayant probablement fonctionné durant une période assez courte, à la fin du VI e millénaire av. J.-C. Les sépultures ont semble-t-il eu une place réservée au cœur de l’habitat, même si l’on ne peut présumer de l’existence d’autres espaces ou pratiques funéraires et même si les datations montrent une très probable intrusion de sépultures à l’âge du Bronze. Malgré une situation sur un plateau limoneux qui n’a pas permis la conservation des structures architec- turales, le site de Colombelles est indiscutablement une clef pour comprendre les processus complexes en jeu lors de la néolithisation de l’Ouest de la France. [Mémoires de la Société Préhistorique Française 58].

    [Depuis les époques les plus reculées de la préhistoire, l'office des devins, mages, spirites, voyants, qui perpétuent le culte ancestral des morts, est de consulter les esprits, avec l'édification de temples voués à la pratique animiste/chamanique de la nécromancie, de la transe médiumnique possessive des occultistes par les entités éthérées métamorphes, goules parasitaires et mânes nécrophages, ou âmes (noosphères) vagabondes immanentes, qui parodient les esprits des morts tout en se repaissent des effluves des corps vivants ou en décomposition. NFO].

    Colombelles (14) - Saint-Serge

    Sanctuaire Orthodoxe - Saint-Serge

    Colombelles (14)

     

    Colombiers-sur-Seulles (14) - Le Menhir des Demoiselles, ou la Pierre Debout

    (1) Colombiers-sur-Seulles (14) - Le Menhir des Demoiselles, ou la Pierre Debout, est situé au lieu-dit la Pierre, sur la commune de Colombiers-sur-Seulles, dans le département du Calvados, en Normandie. Il s'agit peut-être d'un menhir ou d'une borne milliaire romaine. La pierre fut brisée et renversée en 1845 du fait du grand nombre de pèlerins qui l'escaladaient et grimpaient au sommet.

    (2) Colombiers-sur-Seulles (14) - La base de la pierre disparut après son renversement en 1845 mais pour respecter sa hauteur d'origine, la partie supérieure fut scellée sur un bloc en béton et redressée dans sa position d'origine. « L'homme préhistorique a laissé des traces de passage sur la commune, le menhir la Pierre Debout témoigne d'une présence, de même qu'un tumulus néolithique, datant de 3500 à 4000 av. J.-C. Le menhir, situé au bord de la route de Reviers à Bayeux (ancienne voie romaine), se trouve tout près du calvaire. La Pierre Debout, à laquelle se rattache un culte religieux, fut brisée en 1845 ».

    La pierre taillée de façon très régulière et sa situation sur une ancienne voie romaine pourraient indiquer qu'il s'agirait non pas d'un menhir mais plutôt d'un élément de bornage, une borne milliaire. Le long de cette même voie antique, plusieurs pierres dressées visibles qui furent considérées comme des menhirs seraient en fait des bornes miliaires (borne milliaire du Manoir, pierre levée du clos Saint-Gilles à Creully, le menhir des Planches à Amblie, Pierre Debout à Reviers).

    On peut voir une cupule au sommet de la pierre.

    Plusieurs sépultures mérovingiennes ont été découvertes à proximité.   Selon Léon Coutil, « Les jeunes filles se rendant en pèlerinage à Notre-Dame de la Délivrande escaladent la pierre et d'un seul bond retombent sur le sol, après avoir déposé quelques pièces de monnaie au sommet du monolithe, dans l'espoir de trouver un mari dans l'année. On voit les trous qui ont été creusés par les chaussures des pèlerins qui escaladent la pierre. ». La pierre fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis 18896, en tant que menhir, et ses alentours sont recensés comme site archéologique par arrêté. [Wikipédia]

    Mars 1850 - Nouvelles diverses -  A Colombiers-sur-Seulles, commune du Calvados, près du chemin de N.-D. de la Délivrande, sur l'ancienne voie romaine qui conduisait des Veys au Bac-du-Port, vers Bayeux, est un monolithe, que l'on nomme dans le pays Pierre-debout, appartenant très probablement à l'ère Celtique.

    Cette pierre druidique avait été renversée par accident. La société française pour la conservation des monuments historiques, vient d'acquérir le terrain sur lequel cet antique monument est placé, et de le faire relever et rétablir sur sa base, elle l’a fait entourer d'un petit bois de chêne et autres arbres résineux.

    Tous les environs de la commune de Colombiers offrent des traces de l'occupation romaine. Le Peulven dont il est mention ici, est au milieu d'un champ de sépulture, où l'on a découvert des sarcophages en pierre, des médailles, des agrafes renfermées dans ces cercueils. De curieuses traditions sont attachées à cette pierre de même qu'à toutes celles du même genre. Celle-ci est maintenant la seule qui existe dans l'arrondissement de Bayeux. (Source : Le Journal de Honfleur).

    [Depuis les époques les plus reculées de la préhistoire, l'office des devins, mages, spirites, voyants, qui perpétuent le culte ancestral des morts, est de consulter les esprits, avec l'édification de temples voués à la pratique animiste/chamanique de la nécromancie, de la transe médiumnique possessive des occultistes par les entités éthérées métamorphes, goules parasitaires et mânes nécrophages, ou âmes (noosphères) vagabondes immanentes, qui parodient les esprits des morts tout en se repaissent des effluves des corps vivants ou en décomposition. NFO].

    (3) Colombiers-sur-Seulles (14) - Juin 1877 - Disparition -  Un nommé Léon Marie, 31 ans, né à Putot-en-Bessin, domicilie à Colombiers-sur-Seulles, a quitté son domicile le 28 mai, pour se rendre à Bayeux, depuis il n'a pas reparu. La famille, inquiète, prie les personnes qui connaîtraient son nouveau domicile de l'en informer. [Un siècle d'histoire du Calvados].

    [Les disparitions inquiétantes de personne sont mortelles dans 29 % des cas, provisoires dans 30 % des cas et continuelles ou définitives dans 41 % des cas. La concordance territoriale entre les épicentres des apparitions des ovnis et les disparitions inquiétantes accrédite la thèse de l’ingérence parasitaires des exogènes-polymorphes comme principaux acteurs de ces disparitions, de même que le factuel des états somnambuliques des personnes disparues/retrouvées et qui montrent les symptômes identiques de désorientation, d’amnésie, de perturbation psychique, de missing time, etc. des RR4 ou des phénomènes dits des abductions ufologiques. NFO].

    Colombiers-sur-Seulles (14) - Tumulus de Colombiers-sur-Seulles

    Le tumulus de Colombiers-sur-Seulles est un tumulus daté du Ve millénaire av. J.-C., situé sur la commune de Colombiers-sur-Seulles, dans le département du Calvados, en France.  Le tumulus est édifié sur un plateau dominant la vallée de la Seulles. Il se trouve à environ 600 m de la Pierre Debout de Colombiers-sur-Seulles. Le tumulus de Colombiers-sur-Seulles est une sépulture collective appartenant à l’un des types les plus anciens du mégalithisme occidental. C'est le seul représentant de ce type en Basse-Normandie. Il est composé d'un amas de terre et de cailloutis, compartimenté par des cloisons en pierre et en bois et ceinturé de murets montés en pierres sèches, alternant avec des tronçons d'orthostates disposés en parement. Il est de grande dimension, mesurant environ 60 m de longueur sur 10 m de largeur en moyenne et 2,50 m de hauteur. L'accès à la chambre funéraire, qui occupe une place infime par rapport à la masse du monument, se faisait en empruntant un étroit couloir.  Ce long tumulus fut fouillé pour la première fois en 1825 par Arcisse de Caumont et l'abbé Gervais de La Rue.  La chambre funéraire contenait de nombreux ossements humains, dont plusieurs à demi brulés.  De nouvelles campagnes de fouilles menées entre 1969 et 1997 ont permis de dater le monument entre 4500 et 4000 av. J.-C.    On peut le considérer comme un monument intermédiaire entre deux époques de l'architecture funéraire monumentale néolithique. Il présente plusieurs caractéristiques des tertres non mégalithiques, qui sont les plus anciennes structures funéraires de la région : forme très allongée, plan trapézoïdal, vastes dimensions. Mais il se rattache aussi à la famille des cairns classiques en pierres sèches par sa chambre funéraire, circulaire, bordée de grandes pierres, et reliée à l'extérieur par un couloir.

    Le site a été ouvert au public en 2005. 

    [Depuis les époques les plus reculées de la préhistoire, l'office des devins, mages, spirites, voyants, qui perpétuent le culte ancestral des morts, est de consulter les esprits, avec l'édification de temples voués à la pratique animiste/chamanique de la nécromancie, de la transe médiumnique possessive des occultistes par les entités éthérées métamorphes, goules parasitaires et mânes nécrophages, ou âmes (noosphères) vagabondes immanentes, qui parodient les esprits des morts tout en se repaissent des effluves des corps vivants ou en décomposition. NFO].

    Colomby-Anguemy/Thaon (14)

    Mai 1899 - Mutilation d’arbres  -  Le sieur Armand Manger, propriétaire à Colomby-sur-Thaon, près Creully, a été victime d'une mutilation d'arbres qui lui cause un préjudice de 60 francs. (Source : Le Bonhomme Normand). [Les mutilations relèvent de la catégorie des sacrifices propitiatoires, des pratiques incantatoires et évocatoires magico-occultistes du sadisme-masochisme, lié au rite du baptême du sang. NFO].

    Thaon (14) - La Pierre Touneresse


    A Thaon, au Champ de la Truye, autour de la Pierre Tourneresse, on voyait une truie avec ses treize porcelets et leur ronde infernale faisait tourner la pierre mégalithique.
    Source : Prosper Le Blanc, Étude sur le Symbolisme des Druides.

    Thaon (14) - Les Grosses Devises - La Pierre Tourneresse

    Les Grosses Devises sont des menhirs situés sur la limite communale entre Thaon et Colomby-sur-Thaon, en France, dans le département du Calvados. En 1912, le Dr Raoul Doranlo, membre de la Société préhistorique française signale pour la première fois une Pierre à légendes sur la commune de Thaon, la Pierre Tourniresse, ainsi que quatre autres pierres à proximité appelées par les paysans : les Grosses Devises. Plusieurs lames de silex taillé, des racloirs et des grattoirs ont été découverts aux alentours. Ces pierres ont bien été identifiées comme des menhirs authentiques. La Pierre Tourniresse qui, d'après la légende, pivotait sur elle-même, a désormais disparu. Par contre, il demeure deux pierres dressées au milieu des champs cultivés, exactement sur la limite entre les communes de Thaon et de Colomby-sur-Thaon facilement reconnaissables. La première de ces pierres, la plus à l'est, a une forme de colonne incurvée, elle mesure 1,30 m de hauteur, 0,65 m de largeur à la base pour une épaisseur de 0,40 m. La seconde, située à 800 m vers le nord-ouest, a une forme de triangle et mesure environ 1,50 m de hauteur avec une largeur maximale de 0,85 m et 0,30 m d'épaisseur. Elles sont en calcaire et comportent toutes les deux de nombreuses cupules. Elles sont situées de part et d'autre de l'ancien chemin des pèlerins qui allait de Cairon à Douvres-la-Délivrande.

    Le terme devise vient du latin divisio et désigne une borne en pierre en limite de propriété. Le Dr Doranlo fit remarquer que les monuments mégalithiques de la plaine de Caen affectent le plus souvent des dimensions très réduites. Beaucoup ont été morcelées par les cultivateurs pour en faire des devises, parfois elles ont été enfouies, brisées, renversées ou enlevées.

    Thaon (14) - Les Grosses Devises - La Pierre Tourneresse

    [Depuis les époques les plus reculées de la préhistoire, l'office des devins, mages, spirites, voyants, qui perpétuent le culte ancestral des morts, est de consulter les esprits, avec l'édification de temples voués à la pratique animiste/chamanique de la nécromancie, de la transe médiumnique possessive des occultistes par les entités éthérées métamorphes, goules parasitaires et mânes nécrophages, ou âmes (noosphères) vagabondes immanentes, qui parodient les esprits des morts tout en se repaissent des effluves des corps vivants ou en décomposition. NFO].

    Condé-sur-Seulles (14)

    Avril 1844  -  Nouvelles locales -  Un nommé Guillot, horloger à Condé-sur-Seulles, assistait dimanche dernier à l'office. Tout à coup il se mit a crier ; « Voilà le bon Dieu ! Le bon Dieu m'appelle ». Et après avoir prononcé ces mots, il sortit de l'église et disparut.

    Depuis cette époque on n’a plus entendu parler de lui ; le maire a fait pour le retrouver, des démarches infructueuses. (source : L’Indicateur de Bayeux) 

    Avril 1844  -  Nouvelles locales  -  Nous avons annoncé, il y a quelques jours, qu'un nommé Guillot, horloger à Condé-sur-Seulles (canton de Balleroy), avait disparu de l'église en s'écriant : « Voilà le bon Dieu ! le bon Dieu m'appelle ! » et que depuis on avait fait de vaines recherches pour le retrouver. 

    Samedi dernier, son cadavre a été retiré de la Seulles à peu de distance du pont qui se trouve entre Condé et Ducy. 

    Le dimanche même où disparut le sieur Guillot, on a remarqué les traces de ses sabots sur les bords d'un éboulement qui avait eu lieu la veille en cet endroit. Il est à croire que ce malheureux ne s'est pas suicidé ; mais que, dans l'état d'exaltation où il était, il n'aura pas vu l'abîme creusé sous ses pas. (source : L’Indicateur de  Bayeux).

    [Les disparitions inquiétantes de personne sont mortelles dans 29 % des cas, provisoires dans 30 % des cas et continuelles ou définitives dans 41 % des cas. La concordance territoriale entre les épicentres des apparitions des ovnis et les disparitions inquiétantes accrédite la thèse de l’ingérence parasitaires des exogènes-polymorphes comme principaux acteurs de ces disparitions, de même que le factuel des états somnambuliques des personnes disparues/retrouvées et qui montrent les symptômes identiques de désorientation, d’amnésie, de perturbation psychique, de missing time, etc. des RR4 ou des phénomènes dits des abductions ufologiques. NFO].

    Décembre 1930 - La pluie de boue sur la région de Bayeux - Nous avons indiqué qu'une pluie de boue était tombée sur Paris. Le phénomène n'a pas été constaté qu'en la capitale. Il s'est manifesté également à Bayeux, un habitant de la rue Saint-Loup notamment fut tout étonné de trouver boueuse vendredi matin, de l'eau qu'il avait versée  propre la veille dans des baquets. A Littry et à Condé-sur-Seulles le même phénomène a été observé. Il en a été de même dans les environs de Granville (Manche). [USHC].

    [L'émergence des Portes Induites/Vortex/Pontifex/Portex/ Puits à énergie potentielle, s’accompagnent souvent d’apports d’objets singuliers NFO].

    Conteville (14) 

    Août 1868  - Des fouilles  -  A Conteville, à la suite des fouilles pratiquées dans le Val-des-Dunes, on a découvert des cercueils en pierre, des squelettes parfaitement conservés et une grande quantité d'ossements.

    Une délégation de la Société des Antiquaires de Normandie a dû se rendre sur les lieux.

    Tout fait supposer que ces débris humains auraient été enfouis en cet endroit lors de la conspiration des barons normands contre Guillaume le Batard, en 1047. [Un siècle d'histoire du Calvados].

    Octobre 1868  - Les fouilles -  La Société des Antiquaires de Normandie ayant cessé de faire opérer des fouilles dans le Val-es-Dunes, sur le territoire de la commune de Conteville, le propriétaire de ce terrain va les continuer pour son propre compte.

    Voilà une bonne occasion pour les amateurs d'antiquités d'augmenter leurs collections. [Un siècle d'histoire du Calvados].

    Corbon (61) - 13/05/1988 - 22 h 30 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    Un couple circule en voiture sur la route venant de La Chapelle Montligeon et allant vers Mauves sur Huisnes quand il observe une sphère blanche située entre 300 et 500 m du véhicule et à une altitude estimée à 30 à 50 m. La route faisant des virages, l'objet est ensuite perdue de vue pour être à nouveau dans le champ d'observation. L'objet fut d'abord parallèle à la voiture, puis se retrouve perpendiculaire et semble augmenter sa vitesse pour se perdre à l'horizon. 02 Témoins. Source : Les Ovnis en France.

    Les Trois-Noyers

    Une légende raconte qu’au lieu-dit des Trois-Noyers à Corbon (61) seraient enterrés grandeur nature et en or massif, 2 chevaux ou les 12 apôtres, selon les versions. [J'M mon patrimoine]

    (1) Cormeilles (27) - le 27/08/1971 - vers minuit (1) + le 26/08/1971 - vers minuit  - / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    Le témoin est Mr. Daniel Lauche, 22 ans, mon voisin de palier. En compagnie d’une amie, ils aperçoivent vers le sud, en sortant de Cormeilles, une « grosse étoile », 3 fois une étoile ordinaire, fixe, à 20° au-dessus de l’horizon, d’une couleur jaune éblouissante. Le ciel était dégagé, les étoiles brillaient et par intermittence, de chaque côté de « l’objet » deux feux rouges s’apercevaient et paraissaient clignoter. Ils leur semblaient que « ça tournait ».

    Des  faisceaux lumineux jaunes, très distincts, et découpés dans l’obscurité, trouaient la nuit, de tous côtés de « l’étoile ». Celle-ci reste immobile et silencieuse durant chacune des deux observations consécutives, et chaque fois ils l’abandonnèrent la laissant sur place.

    02 Témoins. Source : Enquête Mr. Mery - LDLN - Contact Lecteurs - 1972.

    (2) Cormeilles (27) - 09/06/1975 - 23 h - / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    Il était 23 h, lundi 09 juin 1975, lorsque Michel Fouquerant, étudiant de 18 ans, marchait d’un pas alerte sur la route de Cormeilles - en - Auge pour rejoindre le domicile de ses parents. Il vit soudain devant lui en position nord - nord-ouest un halo lumineux fixe en forme d’étoile légèrement ovale. Prêtant alors plus d’attention à ce ciel inhabituel, Michel remarqua la couleur jaune orange extrêmement vive de cette curieuse forme. Il observa ainsi pendant 6 à 7 minutes tout en s’interrogeant sur ce curieux objet qui tout en testant silencieux éclairait d’une intrigante lumière la campagne avoisinante. Il rentra dans la maison paternelle tout en constatant que l’objet bizarre était toujours dans le ciel. Ce n’est que quelques instants plus tard que l’interrogation lui suscita certaines réflexions et la certitude qu’il venait de contempler quelque chose d’extraordinaire.

    01 Témoin. Source : Le Pays D’Auge du 12/06/1975

    Condé-sur-Ifs (14)

    Avril 1920 - Inquiétante disparition - Le 2 avril, M. Cachelou, cultivateur à Condé-sur-Ifs, était parti de chez lui pour aller livrer un bœuf à son beau-frère, à Vieux-Fumé. M. Cachelou dîna chez son beau-frère et repartit le soir, vers 8 heures, pour rentrer chez lui, emportant sur lui le prix du bœuf, soit un millier de francs.

    Depuis, on ne l'a pas revu. Les recherches faites jusqu'à présent pour le retrouver n'ont donné aucun résultat. (Source  : Le Bonhomme Normand).

    Juillet 1939 - Un domestique agricole à disparu - Henri Boursier, 22 ans, domestique agricole depuis février dernier au service de M. Catteau, cultivateur à Condé-sur-Ifs,  empruntait la bicyclette de son patron, pour aller chez ses parents, habitant Montpinçon, le dimanche 25 juin dernier.

    Il a été aperçu à la fête communale de Castillon-en-Auge, dans la nuit du 25 au 26 juin, puis on perdit toute trace de lui à partir de 4 heures du matin. Ni son patron, ni ses parents ne l'ont revu, ni n'ont reçu de nouvelles de lui. Pas très débrouillard, s'exprimant avec difficulté, le disparu, d'une taille de 1 m. 65, aux cheveux bruns, était d'un complet et d'une casquette marron et était chaussé de souliers noirs. (Source  : Le Moniteur du Calvados).

    [Les disparitions inquiétantes de personne sont mortelles dans 29 % des cas, provisoires dans 30 % des cas et continuelles ou définitives dans 41 % des cas. La concordance territoriale entre les épicentres des apparitions des ovnis et les disparitions inquiétantes accrédite la thèse de l’ingérence parasitaires des exogènes-polymorphes comme principaux acteurs de ces disparitions, de même que le factuel des états somnambuliques des personnes disparues/retrouvées et qui montrent les symptômes identiques de désorientation, d’amnésie, de perturbation psychique, de missing time, etc. des RR4 ou des phénomènes dits des abductions ufologiques. NFO].

    [Selon l’apport traditionnel nombres de disparitions inquiétantes et définitives de personne s’expliquent par le passage de l’horizon des événements d’une Porte Induite par les puits à énergie potentielle et dont les orages, tempêtes, ouragans sont les manifestations tangibles les plus couramment rencontrées - NFO].

    La Butte d'Hu

    Image illustrative de l’article Nécropole d'Ernes-Condé

     

    Le village s’est implanté dans le sillon créé par la rivière le Laizon et s’étend sur une petite vallée sèche plus au sud. Les nombreuses fouilles archéologiques réalisées sur la commune démontrent l’existence d’un habitat très ancien. Elles ont mis à jour des tombes à couloirs néolithiques, dont une nécropole de huit monuments découverte dans les communes d’Ernes et Condé-sur-Ifs. À l’époque déjà, le calcaire était utilisé pour les tombes, le plus souvent en appareil de petites dimensions. 

    La Butte d'Hu est fouillée dès 1833 par F. Galeron durant deux jours. M. Bellivet fouille en 1847 le second tumulus et publie son rapport de fouilles en 1844. La Butte du Hu fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiqies depuis le 13 novembre 1974. Une nouvelle campagne de fouilles menée à partir de 1985 permet de découvrir six tombes à couloir, totalement arasées par les labours, à peu de distance des deux tumuli déjà connus.

    Dans la Butte du Hu, Galeron découvrit dix squelettes déposés les pieds tournés vers le centre de la chambre et quelques fragments de poterie. Bellivet découvrit onze sépultures dans le second tumulus. Dans les six tombes à couloir, les inhumations correspondent à environ quarante individus. À l'origine les corps furent déposés adossés aux murs. Avec les ossements découverts dans les tombes à couloir, l'ensemble de la nécropole a pu accueillir environ 70 inhumations, soit environ 12 dépôts par chambre en moyenne. L'étude génétique des douze squelettes de la tombe C a révélé que ces individus n’avaient aucune ascendance maternelle.

    Le mobilier funéraire qui fut recueilli est assez pauvre. Il comporte quelques éléments de parure (perles en coquillage, dent de canidés), un petit outillage et des armatures tranchantes en silex, des tessons de céramique attribués au Néolithique moyen.

    La nécropole d'Ernes-Condé est une nécropole néolithique située à cheval sur les communes de Condé-sur-Ifs et Ernes. Elle comporte deux grands tumuli, dont l'un est connu sous le nom de la Butte d'Hu, et six tombes à couloir. Source : Wikipédia - tacite-geo - Le Pays de Falaise.

     

    menhir de la Pierre Cornue à Condé-sur-Ifs (14)

    Image illustrative de l’article Pierre Cornue

     

    Le menhir est constitué d'un monolithe en poudingue d'origine locale. Il doit son nom à sa forme particulière : il est surmonté de deux pointes dont l'une est brisée. Deux pierres gisantes dans un champ voisin, signalées en 1833 par Arcisse de Caumont, constituaient peut-être avec la Pierre Cornue un alignement orienté du nord au sud.

    Le menhir fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis 1889.

    Selon la légende, au premier chant du coq, à minuit, la Pierre Cornue s'ébranle et descend vers la grande fontaine, située à quelque distance, ou bien au bord du Laizon, pour s'y désaltérer. Source : Wikipédia.

    Condé-sur-Iton (27) - La route de Condé-sur-Iton (27) - Le Diable Architecte

    Les habitants gallo-romains de Condé-sur-Iton avait un besoin pressant d'une route allant vers suindinum (Le Mans 72), mais il leur apparu impossible de l'achever dans les délais. Le diable leur proposa de se charger de l'entreprise, et de la mener si promptement à fin qu'un cheval lancé au galop ne pourrait suivre les progrès de son travail. Par contrat et avec témoins, le diable acheva le travail dans le temps arrêté.

    Source : J. F. Gabriel Vaugeois, Histoire des antiquités de la ville de L'Aigle, et de ses environs, 1841.

    (1) Condé-sur-Noireau (14) - Château de la Poupelière (61) - Les Entaillés / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    Château de la Poupelière (61), près de Condé-sur-Noireau (14), 07 brigands ravageaient la région, une sorcière se chargea de les chasser : ayant pris 02 pigeons noirs elle les mit dans sa marmite et, en les lardant de de coups avec une longue fourchette aux dents aiguës, elle psalmodia des incantations, traçant dans l'air des signes mystérieux.

    Au bout d'un moment, on frappa à la porte ; un homme, tête nue, couvert de cent blessures, était là et demandait grâce. C'était le chef des brigands ; les autres disparurent à jamais.

    Source : J. Lecoeur, Esquisses du Bocage normand - 1883.

    (2) Condé-sur-Noireau (14) - 23/06/2011 - 11 h 06 / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    Les résidents du Poncel assistent à l'apparition puis au survol de leur quartier d'un engin volant non-identifié qui bourdonne. Et Linda a la présence d'esprit de le photographier avec son téléphone portable. Nombreux Témoins. Source : Enquête Ufo-Génpi.

     Condé-sur-Seulles (14)

     Avril 1844  -  Nouvelles locales -  Un nommé Guillot, horloger à Condé-sur-Seulles, assistait dimanche dernier à l'office. Tout à coup il se mit a crier ; « Voilà le bon Dieu ! Le bon Dieu m'appelle ». Et après avoir prononcé ces mots, il sortit de l'église et disparut.

    Depuis cette époque on n’a plus entendu parler de lui ; le maire a fait pour le retrouver, des démarches infructueuses. (source : L’Indicateur de Bayeux) 

    Avril 1844 - Nouvelles locales -  Nous avons annoncé, il y a quelques jours, qu'un nommé Guillot, horloger à Condé-sur-Seulles (canton de Balleroy), avait disparu de l'église en s'écriant : « Voilà le bon Dieu ! le bon Dieu m'appelle ! » et que depuis on avait fait de vaines recherches pour le retrouver. 

    Samedi dernier, son cadavre a été retiré de la Seulles à peu de distance du pont qui se trouve entre Condé et Ducy. 

    Le dimanche même où disparut le sieur Guillot, on a remarqué les traces de ses sabots sur les bords d'un éboulement qui avait eu lieu la veille en cet endroit. Il est à croire que ce malheureux ne s'est pas suicidé ; mais que, dans l'état d'exaltation où il était, il n'aura pas vu l'abîme creusé sous ses pas. (source : L’Indicateur de  Bayeux)  

    Décembre 1930  - La pluie de boue sur la région de Bayeux -  Nous avons indiqué qu'une pluie de boue était tombée sur Paris. Le phénomène n'a pas été constaté qu'en la capitale. Il s'est manifesté également à Bayeux, un habitant de la rue Saint-Loup notamment fut tout étonné de trouver boueuse vendredi matin, de l'eau qu'il avait versée  propre la veille dans des baquets. A Littry et à Condé-sur-Seulles le même phénomène a été observé. Il en a été de même dans les environs de Granville (Manche). [USHC].

    Conteville (14) 

    Août 1868  - Des fouilles - A Conteville, à la suite des fouilles pratiquées dans le Val-des-Dunes, on a découvert des cercueils en pierre, des squelettes parfaitement conservés et une grande quantité d'ossements.

    Une délégation de la Société des Antiquaires de Normandie a dû se rendre sur les lieux.

    Tout fait supposer que ces débris humains auraient été enfouis en cet endroit lors de la conspiration des barons normands contre Guillaume le Batard, en 1047. [Un siècle d'histoire du Calvados].

    Octobre 1868  - Les fouilles -  La Société des Antiquaires de Normandie ayant cessé de faire opérer des fouilles dans le Val-es-Dunes, sur le territoire de la commune de Conteville, le propriétaire de ce terrain va les continuer pour son propre compte.

    Voilà une bonne occasion pour les amateurs d'antiquités d'augmenter leurs collections. [Un siècle d'histoire du Calvados].

    Corbon  (14)

    Septembre 1948  - Un triple carambolage de véhicule au carrefour Saint-Jean -  Trois accidents se sont produits au dangereux Carrefour situé sur la commune de Corbon. M. Maurice Mauret, 54 ans, architecte à Paris, se dirigait en auto vers Caen lorsque, par suite de l'humidité de la chaussée, sa voiture dérapa et s’embourba dans un fossé. Un automobiliste venant en sens inverse s'arrêta et ouvrir la portière.

    À ce moment survint une troisième auto pilotée par un ingénieur parisien, M. Albert Leroy. Pour éviter l'obstacle, celui-ci donna un coup de frein, provoquant un tête à queue de son véhicule qui faucha au passage un cycliste, M. Gaston Martin, 58 ans, maçon à Corbon. Atteint d'une triple fêlure d'une jambe, M. Martin a été hospitalisé.

    Deux passagers de la voiture de M. Leroy ont subi une forte commotion. Profitant de l'émotion causée par ce triple carambolage, le second automobiliste a repris la route sans destiner son identité. (Source  : Le Bonhomme Libre).

    Septembre 1948  - Un accident à Corbon - Une camionnette, conduite par M. Maurice Godebois, garagiste à Rennes suivez la route nationale n° 13, en direction de Crèvecœur-en-Auge, sur le territoire de Corbon, au lieu-dit « Le Carrefour Saint-Jean ». M. Godebois aperçut sur la chaussée une pièce de camion automobile. Il stoppa pour la ramasser. Un motocycliste, M. Jacques Vincent, clerc de notaire à Villers-sur-Mer, qui suivait la camionnette, surpris par ce brusque arrêt, heurta le véhicule. Projeté sur le sol, M. Vincent fut sérieusement blessé à la tête. (Source  : Le Bonhomme Libre).

    [Certains lieux sont anormalement accidentogènes (voir aussi à proximité Le Carrefour-St-Jean, où se produisit également des phénomènes lumineux célestes. NFO].

    (1) Corneville-sur-Risle (27) - Le Château des Forbannis - + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    Henri de Corneville, revenu d’exil, retrouve le berceau de ses ancêtres. Le père Gaspard qui s’était approprié du bien de ses seigneurs alors partis, cachait ses écus dans les souterrains du château. Source : Clairville et Gabet.

    (2) Corneville-sur-Risle (27) - La Dame de Corneville - / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    Dans le mur de l’église paroissiale, près de l’autel de la Vierge, on voyait encore, il y a quelques années, une voûte en plein cintre sous laquelle était placée un cercueil en pierre qu’un archéologue a considéré comme étant du XIème ou XIIème siècle et qui renferme, selon la légende, les restes de la «Dame de Corneville», donatrice des biens communaux des trois paroisses: Corneville sur Risle, Appeville dit Annebault, Condé sur Risle.

    La personne inhumée en ce lieu et qu’on nomme la «Dame de Corneville» était d’un rang distingué et de haut parentage. On dit qu’elle fut la sœur de Galéran, sir de Pont-Audemer et épouse de Raoul de Corneville. La Dame de Corneville avait un fils qui faisait son désespoir et qui l’aurait menacée de danser sur sa tombe. Selon ses dernières volontés, elle aurait été inhumée dans la muraille de l’église pour empêcher de commettre cette profanation. Elle fit don de ses biens aux trois communes de Corneville sur Risle, Appeville dit Annebault et Condé sur Risle, biens restés en indivision jusqu’au partage proportionnel au nombre d’habitants de l’époque. Source : Corneville-sur-Risle - Patrimoine.

    (3) Corneville-sur-Risle (27)  - Le Carillon de Corneville - / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    Pendant la guerre de Cent Ans (1337-1453), les Anglais se rendant maîtres de la Normandie arrivèrent en vue de Pont-Audemer. Prenant peur, les moines de l’abbaye de Corneville chargèrent les cloches dans une barque, mais l’embarcation chavira. Les moines récupérèrent le trésor et les cloches sauf une. Selon la légende, lorsque les cloches de l’Abbaye sonnèrent à nouveau, celle restée au fond de la Risle répondit au carillon de Corneville. A la Révolution, l’Abbaye fut détruite et les cloches disparurent. Source : Paccard.

    (4) Corneville-sur-Risle (27)  - 15/10/2012 - 07 h 15 - / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    Ce matin vers 7 h 15 alors que j’attendais mon bus pour me rendre au lycée, j’ai aperçu un objet étrange avec une lumière bleue d’un côté et de l’autre une rouge, puis devant des lumières blanches qui clignotaient, les unes après les autres, et qui étaient très lumineuses, sans pour autant faire mal aux yeux.

    L’objet se rapprochait de plus en plus près de moi. Il n’y avait aucun bruit. L’objet était en forme de disque, et il volait trop bas pour que ce soit un avion, ou autre objet volant connu.

    Pratiquement proche de moi, l’objet a disparu en un éclair. J’ai fixé 5 à 10 secondes le ciel à cet endroit, et lorsque je me suis retournée, il est réapparu 10 secondes plus loin, pour disparaître à nouveau.

    Je voulais prendre une vidéo ou des photos, mais j’étais tellement focalisée sur l’objet que j’ai pas pu. Cel27. 01 Témoin. Source : Ovni-France.

    Coulouvray (50)

    Août 1864 - Un météore -  Le Phare de la Manche annonce que, le 3 août, vers huit heures du soir, un bolide de couleur jaunâtre, de forme conique et répandant un vif éclat, a été vu. Il a été visible pendant plus d'une minute, et a fini par éclater en l'air en répandant un tourbillon d'étincelles.

    Ce météore est un des plus remarquables que l'on ait vus depuis longtemps. [Un siècle d'Histoire].

    [La conception des étoiles filantes, des comètes, des aurores polaires, des lueurs célestes inhabituelles, etc. diffère pour les Anciens de celle des Modernes, qui les appelaient des Météores (= esprits de lumières célestes) et qui les identifiaient à des entités spirituelles et non à des objets matériels ou phénomènes physiques. NFO]. 

    Courcelles-sur-Seine (27) - 20/04/1995 - 22 h 30  / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    Observation d’une sphère orangée, vert-bleutée stationnaire qui est la réplique de celle du 09/10/199. N. N. C. Témoins. Source : France-Ovni.

    Coulombs (14)

    Olivier Chauvin, agriculteur à Coulombs (Calvados), non loin de Bayeux, ne comprend pas. Vendredi 23 juin 2017, des zones entières de son blé étaient couchées... sans qu'aucune trace humaine, animale ou de véhicule ne soit relevée. Alors, phénomène paranormal ou pas ?

    "Je ne comprends pas"

    Surprise, vendredi 23 juin 2017, des traces suspectes étaient apparues dans la nuit. Il raconte: "Notre ferme est située sur le chemin de la "Chevauchée de Guillaume", reliant Coulombs et Martragny (Calvados). Hier matin, j'ai découvert avec stupéfaction, sur l'une de mes parcelles de céréales, que le blé était couché, sur plusieurs zones circulaires de deux mètres de diamètre environ. Par endroits, ces zones sont reliées les unes aux autres par des traverses, où le blé est également couché alors qu'à d'autres endroits, les cercles sont indépendants les uns des autres... Mais il n'y a aucune trace de pas ou de véhicule pour accéder depuis les chemins jusqu'aux cercles. Je ne comprends pas, même les animaux laissent des traces, surtout à cette période où le blé se charge de grains, on ne peut pas le coucher de cette façon sans utiliser un poids important, et l'y laisser. Et on ne pourrait absolument pas faire cela avec la force seule d'une personne." 

    "Aucune explication à ce phénomène"

    Alors? Visite extraterrestre? Phénomène paranormal? Le cultivateur ne peut se prononcer : "Si une vie extraterrestre existe, ses habitants auraient déjà dû prendre contact avec nous, non  ? ...Je n'ai rien vu en tout cas qui puisse me le laisser penser, aucune trace d'accès terrestre aux cercles, et pourtant, je n'ai aucune explication à fournir à ce phénomène..."

    L'agriculteur a pris le soin de filmer ces zones de blé couché. [La Manche Libre du 24/06/2024].

    Atterrissage involontaire d'un pilote de Deltaplane selon M. Olivier Chauvin. [Source : contre-enquête Ufo-Génpi].

    Courseulles-sur-Mer (14) - nuit du 19 au 20/08/2013  /  + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

    Courseulles-sur-Mer (14) - Calvados - Normandie - France - nuit du 19 au 20/08/2013

    Observation dans la nuit du 19 au 20 aout 2013 d'un objet qui se trouve au nord est au large de côte, à très haute altitude qui a un déplacement aléatoire et qui scintille de plusieurs couleur. A première vue on peut le prendre pour une étoile, mais nous avons observé cet objet très longuement, à plusieurs reprises et  dans d autre directions aussi.

    Comme dans la nuit du 26 au 27 juin 2010 ou ,vers 23 h 30, nous avions eu envie de photographier la lune qui était magnifique de couleur rouge notre regard a été détourné par une sphère lumineuse venant du sud-ouest, comme on le voit sur nos vidéos, et se dirigeant vers le nord.

    Cette sphère tournoyait sur elle-même, puis une autre lumière moins intense la suivait. Il était alors 23 h 56 sur la vidéo.

    L’objet a disparu subitement de sa trajectoire pour réapparaitre, une seconde plus tard, à l’opposé, en face de nous vers le sud. Il est resté quelques secondes sur place, puis a repris sa trajectoire du départ et a disparu derrière notre toiture.

    Non loin de la sphère rouge se trouvait un objet de forme cylindrique, avec des extrémités difformes et lumineuses. Barbara Baya.

    02 Témoins. Source : Vidéo de Barbara Baya.Y. T. - Foum Ovni-Ufologie.

    Courson (14) - 02/06/2019 - 13 h 30 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    Avec mon père et ma mère nous avons vu haut dans le ciel, juste au (dessus de nous, un cylindre une trainée comme un avion de ligne. Il pouvait faire au moins 10 fois la longueur d’un avion de ligne. Il est ensuite passé derrière une couche de cirrocumulus et a disparu ensuite derrière un nuage plus épais et l’observation s’est arrêté là.

    Aucune trace du phénomène ou de l’objet à la sortie du nuage. Cellestin. 03 Témoins .Source : Ovni-France.

    Courtomer (61) - dernière semaine de 1966 - la nuit / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    Une de mes parentes habitant une maison isolée à Courtomer dans l'Orne est certaine d'avoir vu deux lunes en même temps une nuit de la dernière semaine de l'année 1966. 01 Témoin. Source : Mr. Daniel Léger - LDLN n° 89.

     Courvaudon (14)

    Mars 1899 - Mutilation d’arbres  -   Une mutilation d'arbres, estimés 65 francs, a été commise au préjudice de la veuve Marie, propriétaire à Courvaudon. (source le Bonhomme Normand).

    [Les mutilations relèvent de la catégorie des sacrifices propitiatoires, des pratiques incantatoires et évocatoires magico-occultistes du sadisme-masochisme. NFO].

    (1) Coutances (50) - Saint Laud (Saint Lô) de Coutances

    La Tradition  rapporte la légende que saint Laud aurait été choisi comme évêque de Coutances à seulement douze ans, à la suite d'un rêve prophétique qu'aurait eu en commun de nombreux évêques et chanoines de la région. Elle signale également qu’une femme aveugle de condition modeste retrouva la vue alors qu'elle se prosternait à ses pieds tandis qu’il bénissait l'assemblée. 

    En tant que saint guérisseur, il est invoqué pour les troubles de la vision , les maladies des yeux et la césité. Il existe une source réputée curative à Courcy qui lui est dédiée, et qui a été un lieu de èlerinage. Source : Wikipédia.

    (2) Coutances (50) - 07-09-2013 - 18 h / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    Cela s'est passé très vite, à 18 h, le 7 septembre 2013, je sortais du Brico de Coutances, je parlais avec ma fille de 5 ans, tout d un coup elle m'a dit : "regarde papa dans le ciel", j ai levée la tête en cherchant 2 à 3 secondes et j ai vu un disque blanc bleu translucide, à peine visible dans le ciel bleu de cette belle journée (un peu comme la lune en plein jour). pendant 3 à 4 seconde il a fait du sur-place, je pensais que c'était un ballon, mais aussitôt l objet est parti instantanément à très grande vitesse vers l'Est, et j ai pu le suivre jusqu'à l horizon.

    Ce qui ma impressionné c'est sa vitesse fulgurante et instantanée. Étant-donné le ciel d azur de cette journée je n avais aucun repère pour déterminer l'altitude de l objet, je pense que vu la netteté du disque il devait être à 5 000 m et devait faire la taille d un avion de ligne, quand à sa vitesse si je compare avec un avion de ligne à 10000 m, il devait se déplacer à environ 3 à 4 fois plus vite soit environ 3 000 km par heure (sans bang supersonique et aucun bruit d ailleurs).

    je ne suis pas un scientifique mais j ai comme Hobby l'astronomie et je connais bien le ciel et ses phénomènes,  je peux vous dire que ce que j ai vu cette journée là, nos ingénieurs aéronautiques ne sont pas près de l' inventer. Maths50. 02 Témoins. Source : Ovni-France.

    Couville (50)  - 10/08/2012 - aux environs de 23 h / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    J’habite à Couville (50690) à 13 km de Cherbourg dans le département de la Manche.
    Hier soir, le 10/08/2012, aux environ de 23h00, je suis sorti avec mon fils pour essayer de voir des étoiles filantes. Comme d'habitude, nous avons observé un grand nombre d'avions avec le clignotement habituel de leurs feux de position.

    Soudain, mon regard a été attiré par le mouvement d’une petite étoile qui se déplaçait du Nord vers le Sud. Elle était difficile à suivre du fait de sa petite taille, très haut dans le ciel et suivait une trajectoire rectiligne, comme un avion. Mais cela ne pouvait évidemment en être un.

    Environs cinq minutes après, une autre petite étoile se déplaçait en sens inverse dans le même secteur. Je l’ai suivi des yeux jusqu’au moment ou elle fut trop éloignée.

    Alors que mon fils n’avait pas réussi à voir la 1ère, je réussi à lui montrer la 2ème.

    Nous avons pu observer 4 à 5 autres petites étoiles mobiles pendant environ 10 minutes.

    Soudain mon fils m’interpelle pour me signaler un autre objet en mouvement dans le ciel qui vient de derrière la maison dans notre direction. C’est une plus grosse étoile en forme de boule de la même couleur d’une étoile, jaune lumineux et brillante.

    L’objet était haut dans le ciel et se déplaçait à la vitesse d’un avion mais sans bruit, venant du nord-nord-ouest.

    J’ai appelé ma femme pour qu’elle puisse aussi le voir et nous l’avons suivi des yeux pendant plusieurs minutes jusqu’à ce qu’il ait disparu à l’horizon.

    Ma fille est venue nous rejoindre 5 minutes plus tard et j’ai pu lui faire voir encore une autre petite étoile en mouvement.

    Vu leurs déplacements rectiligne, cela pourrait être des satellites, cependant ils ne se déplaçaient pas tous dans la même direction.

    Certains se déplaçaient sur un axe nord-sud, d’autres ouest-est, d’autre encore sud-nord. Le plus gros venait du nord-nord-ouest.

    En bref, ce soir là, nous avons vu des avions, des météorites et des ovnis dont certains pourraient être des satellites et d’autres pas. Paul5069.

    04 Témoins. Source : Ovni-France.

     Crépon (14)

    L'église Saint-Médard-et-Saint-Gildard (XIIe - XIXe siècles).

    (1) Les cloches d'argent

    Une légende nous parle des cloches d'argent de l’église qui disparurent lors de la Révolution pour être fondues. « Une cloche étant faite d’airain, mélange de cuivre et d’étain, cette histoire est peu vraisemblable ». [Ouest-France du 28/02/2022].

    [L'argent a la réputation d'être un puissant répulssif contre les vampires et les symbiotes éthérés parasitaires, en lien avec la fin tragique de Judas qui a trahi Jésus pour 40 deniers d'argent (de même que le bois de peuplier auquel s'est pendu Judas). NFO].

    Cresseveuille (14)

    Octobre 1900 -  Disparitions - Charles Leblanc, 15 ans, né à Cresseveuille, près Dozulè, avait été placé par sa famille, comme domestique, à Druval, canton de Cambremer.

    Cet enfant a quitté sa place voilà quelques jours, on ne sait pas encore ce qu'il est devenu.

    — Henri Briard, 18 ans, qui habitait chez ses parents à Beuzeval-sur-Mer, a disparu depuis plusieurs jours sans que l’on sache où il est allé. (Source  : Le Bonhomme Normand).

    [Les disparitions inquiétantes de personne sont mortelles dans 29 % des cas, provisoires dans 30 % des cas et continuelles ou définitives dans 41 % des cas. La concordance territoriale entre les épicentres des apparitions des ovnis et les disparitions inquiétantes accrédite la thèse de l’ingérence parasitaires des exogènes-polymorphes comme principaux acteurs de ces disparitions, de même que le factuel des états somnambuliques des personnes disparues/retrouvées et qui montrent les symptômes identiques de désorientation, d’amnésie, de perturbation psychique, de missing time, etc. des RR4 ou des phénomènes dits des abductions ufologiques. NFO].

    Janvier 1878  - Est-ce la fin du monde ? - Il vente, il tonne, il grêle, la prairie est submergée, la vallée d'Auge est inondée, certains quartiers de Pont–l’Evêque sont de nouveau transformés en une nouvelle Venise ... moins les monuments, la foudre est tombée aux environs de Vire. Mardi, vers midi, un tremblement de terre a été ressenti à Caen et sur plusieurs points du département, il n'a duré que quelques secondes, pendant lesquelles les vitres, fenêtres, murs et maisons semblaient trembler. Cette secousse s'est également fait sentir au Havre et à Rouen. [Un siècle d'histoire du Calvados].

    Cressy - Val  - de - Scie (76) - Jusqu'à l'os 

    Fin juillet 2020, Bérengère Legemble, propriétaire d'un cheval à Cressy, a retrouvé son animal dans son pré avec une entaille, jusqu'à l'os, au postérieur gauche.

    Source : paris-normandie.fr/actualites.

    (1) Creully (Creully-sur-Seulles 14)


    Les histoires de l'histoire 

    La légende de la Dame aux ciseaux

    Nous sommes dans la deuxième moitié du XVe siècle, la guerre de 100 ans venait de se terminer ; le château de Creully était en travaux ; restauration autorisée par Louis XI.

    Au sein du château forteresse, une couturière œuvrait pour un baron de Creully, un Vierville, et surtout pour la baronne. Cette couturière très habile de ses mains confectionnait les plus beaux habits appréciés par les femmes du château. Elle avait réalisé pour elle une houppelande (large robe à grande manches, plutôt employée quelques dizaines d’années avant.) de couleur violette. Une des trois couleurs autorisées, les deux autres étant le noir et le gris ; le rouge et le vert étaient portés que par les nobles. Ce code des couleurs s’appliquait aux enfants de moins de sept ans ; les mâles étaient en blanc et les fillettes en bleu ciel. Cette femme nommée «Guillemette» était fort belle ; elle savait s’apprêter de quelques bijoux ; même ses ciseaux de couturière qu’elle portait à sa ceinture étaient affublés d’un morceau de létice (fourrure blanche moins chère que l'hermine.). Non loin d’une des pièces du château réservées aux gardes, elle fut abordée par le baron lui-même qui souhaitait s’entretenir au sujet de la baronne disait-il. Mensonge car, retirés des yeux et oreilles, ils eurent une aventure car on ne refuse rien au baron.

    Les mois passèrent quand Guillemette rencontra le baron et lui demanda de l’écouter : «ta lignée est en moi comme tu le vois à mon ventre, tu m’as enceinté» (mettre enceinte.). Ne voulant admettre cette situation, le baron, encore jeune, sentait la colère montait en lui, injuria la couturière et lui indiqua : «jamais je ne reconnaîtrai cette progéniture ; ce n’est pas un héritier des Vierville». Guillemette, déçue, à bout de nerfs, se porta face au baron et le gifla de toutes ses forces. Outrage extrême ! Le baron se jeta sur la femme et lui attrapa sa chevelure, faisant tomber une petite templette (ou templière, décoration faite en métal sur laquelle s’enroulaient les tresses.) qui participait au maintien de tresses ; il arriva à attraper les ciseaux et d’un coup furieux, il poignarda la pauvre couturière de sa mère. Le liquide de couleur rouge tâcha les vêtements de la belle Guillemette qui eut la force de murmurer : «je te maudis» avant de quitter (provisoirement) ce château de Creully.

    Il fallait faire disparaître le corps ; le baron choisit une des multiples caves du château, en particulier une très humide à l’aplomb des remparts à l’est. Ainsi ce crime ne fut porté à la connaissance des habitants du lieu. Creully et son château s’entouraient de brume remontée de la Seulles qui coulait au pied des remparts et dans la chambre du baron la mèche d’un creuset s’éteignit par manque d’huile. Le baron dormait. Le meurtre de Guillemette était un fait d’hier. Malgré l’absence d’orage sur la contrée, un bruit se fit entendre brusquement comme un coup de tonnerre. Le baron se réveillât brusquement ; ses yeux à demi ouverts, il vit une forme de femme non loin de sa couche qui brandissait une grande paire de ciseaux. La forme d’une blancheur de lait de brebis s’adressa à lui : «Jusqu’à la fin des ans, des milliers d’années, je serai là, sur ce domaine, pour rappeler à toi-même et à ta descendance la lâcheté des barons de Creully». Le dernier des barons de la lignée des Vierville n’eut pas de descendance mâle…. Certaines nuits, des hommes ou des femmes en errance autour du château, parfois dans les fossés qui le bordent, ont vu et on verra encore une grande forme d’une couleur blanche avec à la main une paire de ciseaux, la Dame aux ciseaux. [Les histoires de l'histoire]

    (2) Creully (Creully sur Seulles)

    Phénomène Météorologique

    Novembre 1862   -   Jeudi soir, vers 6 heures moins un quart, un météore lumineux, de la grosseur apparente d'une bombe, a éclairé toute la région comprise entre la Délivrande et Bayeux.

    A Creully, au moment du passage de ce globe de feu, quelques personnes prétendent avoir ressenti une sorte de secousse. Le météore, depuis sa naissance jusqu'à sa chute dans la direction de Bayeux, a duré environ vingt secondes. Le ciel était très-pur, le vent du sud-est presque nul, une petite gelée blanche commençait à se faire sentir. Le baromètre marquait 756 millimètres, très peu au-dessous du variable, avec une tendance à monter. Il se pourrait que ce phénomène fût une sorte de contre-coup des perturbations atmosphériques et souterraines qui viennent de se manifester dans le midi de la France, à Nîmes, par un tremblement de terre ; à Marseille et à Cette, par des raz-de-marée et de violentes tempêtes. (l’Ordre et la Liberté). [Un siècle d'histoire du Calvados].

    Décembre 1862   -  Les suites du phénomène météorologique  - Le météore dont nous parlions samedi a été vu au Havre comme à Caen, à Creully et à Bayeux.

    Le Journal du Havre rapporte qu'un globe de feu d'un volume assez considérable a été observé jeudi soir, vers six heures, courant dans l'espace du Nord au Sud, avec une vitesse extrême et paraissant très élevé au-dessus de l'horizon. Ce météore, qu'un grand nombre de personnes ont vu au Havre, et qui jetait une clarté surprenante, a été visible presqu'à la même heure à Rouen, comme l'atteste le Nouvelliste.

    [La conception des étoiles filantes, des comètes, des aurores polaires, des lueurs célestes inhabituelles, etc. diffère pour les Anciens de celle des Modernes, qui les appelaient des Météores (= esprits de lumières célestes) et qui les identifiaient à des entités spirituelles et non à des objets matériels ou phénomènes physiques. NFO]. 

    Cricqueboeuf (14) - 04/05/2016 - 17 h 47 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    Deux personnes sortent ensemble de l’entrée principale de la clinique de Cricqueboeuf (14) à 17h47, l’une d’elle est contactée télépathiquement et voit un objet qui a une forme de disque métallique qui est non visible dans le ciel pour la seconde personne qui réussit malgré tout à le photographier. 02 Témoins. Source : Ufo-Génpi.

    Cricqueville-en-Auge (14)  

    Février 1867 - Un fait remarquable -  Un fait remarquable vient d'arriver à Cricqueville. Deux marchands de bestiaux, les frères David, l'un âgé de 73 ans et l'autre de 66, ont vécu ensemble célibataires et associés, jusqu'à il y a environ deux ans, époque à laquelle l'un d'eux s'est marié.

    Ces deux hommes, dont la santé s'est altérée vers la même époque, sont morts à la même heure mercredi dernier. [MSH].

    Criel-sur-Mer (76) - 15/04/1976 - entre 21 h et 21 h 30 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    Le 15 avril 1976, vers 21 h, 21 h 30, le témoin, 30 ans, agriculteur a aperçu une lueur orangée au-dessus du clocher de l’église de Criel-sur-Mer. Le clocher est distant de son habitation d’environ 2 km. Aucun obstacle ne se trouve entre les deux points. Lorsque le témoin a perçu ce phénomène, il n’était pas en mouvement, mais restait seulement comme suspendu au-dessus du clocher. Cela mesurait environ un mètre et avait une couleur orangée. La forme ressemblant à un cigare, plat sur le dessus et plus incurvé en-dessous, il a augmenté d’épaisseur pour diminuer ensuite et revenir à sa forme primitive. Le phénomène a subitement disparu comme s’il s’était éteint. L’observation a duré 2 minutes. 01 Témoin. Source : P. V. de Gendarmerie. (Géipan).

    (1) Criquetot-l'Esneval (76) - 21/08/2015 - vers 17 h  / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

    Le Tumulus

    Mobilier lithique du Néolithique récent/final

     

    Le bourg de Criquetot l’Esneval se trouve au point de rencontre de routes d’importances diverses : chemin de Grande Communication, de Lillebonne à Antifer ; de Tancarville à Etretat ; d’Octeville à Fécamp.

    Ces voies ont toutes et, en particulier, la dernière citée, des origines fort anciennes. La voie romaine joignant Harfleur à Fécamp passait non loin du tumulus situé au centre du bourg et ce seul fait permet de supposer comment est né le village et comment il a grandi.

    La présence de l’homme à Criquetot l’Esneval remonte à la préhistoire ; la trouvaille de haches en pierre polie entre le Manoir de Mondeville et la ferme de l’Ecluse, de haches en bronze dans cette même partie de la commune, indique d’une manière certaine le passage d’humains et, probablement, leur séjour sur notre territoire. Récolte de souvenirs d’un passé fort ancien, au voisinage des sentiers gaulois, remplacés, bien plus tard, par les voies romaines citées plus haut.

    La région où se trouve Criquetot était une zone de passage des échanges entre ce qui est l’Angleterre et le sud de la Gaule, avec une industrie du bronze sur les rives de la Seine à Sandouville. L’Etain venait par mer dans les ports d’Etretat et d’Yport, puis gagnait la Seine par portage au travers du plateau. Le village de Criquetot se trouvait bien près de l’un de ces sentiers et à pu être un lieu étape ou de refuge pour les marchands, et point de surveillance, vu l’altitude du lieu. Source : Criquetot-L'Esneval.

    Un diagnostic a été réalisé à Criquetot-l’Esneval, à 400 m du centre bourg, préalablement à la construction d’un nouveau lotissement sur une superficie de 2,2 ha. L’intervention était motivée par l’existence d’une motte castrale et d’éléments gallo-romains dans le village.

    Le diagnostic a permis de détecter quarante faits archéologiques, relativement dispersés sur l’ensemble du terrain, qui consistent exclusivement en structures en creux : fossés, fosses et trous de poteau. Des indices d’occupation du Néolithique récent ont été mis en évidence, représentés par du mobilier lithique épars et surtout par une fosse contenant un fragment de lame réalisée dans un silex exogène provenant du gisement du Grand-Pressigny, en Indre-et-Loire. La pièce retrouvée est un mésial de lame portant des traces de fracturation à une extrémité et a probablement été utilisée pour des travaux de petite percussion.

    Les différents vestiges qui ont été identifiés témoignent ainsi d’une présence humaine dès les périodes anciennes sur le territoire de Criquetot-l’Esneval. Sources : Claire Beurion - Inrap - Criquetot l’Esneval - Médiévale - Les Remparts de Normandie

    (2) Criquetot-l'Esneval (76) - 03/07/1992 - 00 h 30 / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    Le 03/07/1992, 00 h 30, à Criquetot - L'Esneval (Seine - Maritime), 02 jeunes de 16 ans aperçoivent 01 objet de couleur rouge en forme de ballon de rugby entouré de flammes. Après être resté stationnaire quelques secondes l'objet pique très rapidement vers le sol.

    Le lendemain, les jeunes vont sur les lieux présumés de la chute et constatent des blés couchés avec des traces au sol.

    L'enquête a permis d'expliquer les blés couchés et les traces par de fortes intempéries (plusieurs champs étaient dans le même état) mais n'a pas permis de trouver d'autres informations sur ce phénomène. 02 Témoins. Source : https://rr0.org/time/1/9/9/2/

    (3) Criquetot-l'Esneval (76) - 21/08/2015 - vers 17 h - / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    Criquetot-l'Esneval : avion de tourisme, OVNI ou météorite ? Le mystère du crash s'éclaircit

    Que s'est-il passé vendredi dernier vers 17 heures dans les environs de Criquetot-l'Esneval ? Plusieurs habitants ont sollicité gendarmes et sapeurs-pompiers, indiquant avoir observé une « boule de feu » dans le ciel.

    Trois témoignages concordants sur les lieux et horaires de passage du phénomène et donc pris au sérieux par les forces de l'ordre. Quelques minutes plus tard, une salariée de l'Intermarché de Criquetot-l'Esneval racontait avoir entendu une « déflagration ». « On avait l'impression qu'un engin rasait le toit du supermarché ». À Turretot, deux personnes expliquaient avoir vu un avion de tourisme en difficulté. « Il volait à basse altitude. Ce qui nous a choqués le plus, c'est qu'il ne faisait aucun bruit. À aucun moment nous n'avons entendu le moteur redémarrer », indiquaient les deux hommes au moment de leur arrivée au centre d'incendie et de secours de Criquetot-l'Esneval.

    Recherches sur terre et dans les airs

    Une caserne transformée en quartier général afin de piloter les opérations de reconnaissance menées sur terre par les gendarmes, assistés des agriculteurs locaux, et, dans les airs, par Dragon 76. Pendant trois heures, l'hélicoptère a balayé un large périmètre entre Vergetot, Turretot, Saint-Sauveur d'Emalleville et Criquetot-l'Esneval, pour s'élargir ensuite du côté d'Écrainville, lieu supposé du crash. Attendant un appel radio, une trentaine de sapeurs-pompiers se tenaient prêts à intervenir. En vain, aucune fumée n'était constatée dans le secteur tandis que l'aéroport de Deauville indiquait aux militaires ne pas avoir perdu d'appareil en vol. Même son de cloche du côté des aéro-clubs des environs.

    Les recherches étaient suspendues dans la soirée pour être finalement arrêtées le lendemain. S'agissait-il d'une météorite ou d'un OVNI ? Observé à plusieurs endroits dans un même secteur, cet étrange objet volant ne sera jamais identifié. Une enquête a été ouverte par la Gendarmerie. Elle est toujours en cours. Les militaires s'orientent vers un tir de fusée de détresse qui arrivait à expiration. « Un phénomène constaté le même soir du côté de Cany-Barville. C'est l'hypothèse la plus probable », confie une source proche de l'enquête. Source : Plusieurs Témoins - Courrier Cauchois du 28/08/2015

    Criquetot-sur-Longueville (76)  - Cimona de la Brélie 

    Le 09 juillet 2020, Cimona, la jument de Véronique de la Brélie, a été retrouvée au petit matin gisant dans un fossé. C'est un voisin qui l'a retrouvée dans le fossé juste à côté de son champ en train de se débattre. La jument est en vie mais sa mâchoire a été brisée.

    Source : Actu. fr/Normandie/Dieppe.

    Croisilles (14)

    (1) Avril 1901  - Fait mystérieux  - Le jeune Jules Patard, 13 ans, dont les parents habitent Espins et qui réside chez sa grand'mère, la veuve Levavasseur, au moulin de Croisilles, près Harcourt, était occupé, l'après-midi, dans un herbage du moulin, lorsqu'il fut abordé par deux inconnus qui le forcèrent à marcher devant eux dans la direction de Placy.

    En chemin, ils lui dirent : « Si ta grand'mère te demande pourquoi tu n'es pas rentré, tu diras que tu lui avais pris de l'argent et que tu avais peur d'être battu ». Le pauvre enfant, après avoir marché ainsi pendant une demi-heure, tomba suffoqué par l'émotion.

    Le lendemain, au petit jour, il s'éveillait dans un pré voisin de la gare de Croisiiles. Sa grand' mère, ne le voyant pas rentrer, le crut tombé dans une mare et des recherches avaient été faites.

    Une enquête est ouverte pour découvrir les deux individus dont le jeune Patard a donné le signalement et qui seraient âgés de 40 ans environ. On suppose que leur dessein était d'éloigner le gamin afin de s'introduire dans le moulin, mais qu'ils ont été gênés par le passage de plusieurs personnes. (Source  : Le Bonhomme Normand)  

    Octobre 1901  -   Singulière disparition  - La veuve Debons, fruitière à Croisilles, près Harcourt, avait envoyé son domestique, Louis Maçon, mener un cheval à la foire d'Argences. Il devait remettre l'animal à un cultivateur chargé de le vendre. Maçon coucha le soir chez un parent de sa patronne, à Barbery.

    Le lendemain, à cinq heures, Maçon partait avec le cheval.

    Depuis, on n'a plus entendu parler ni de l'un ni de l'autre. La personne chargée de vendre le cheval ne s'étant pas rendue à Argences On ne sait si Maçon l’y a conduit. (Source : Le Bonhomme Normand)

    Croissanville (14)

    Décembre 1883 - Un puits miraculeux -  A Croissanville, des puisatiers étaient employés à l’établissement d'un puits, mais, chaque matin, ils étaient certains de trouver la fosse comblée par les éboulements de la nuit, ils crurent que le trou était ensorcelé, et l'abandonnèrent, puis ils se mirent à genoux pour demander à l'Esprit saint de leur indiquer un autre emplacement.  Aujourd'hui, le puits est terminé. L'Esprit saint peut bien y être pour quelque chose, mais les cercles et les planches dont le second travail a été entouré y sont assurément pour plus encore. [USHC].

    Décembre 1896 - A la recherche de sa vache - Le sieur Grégoire, cultivateur à Croissanville, achetait dernièrement une vache au marché de Caen et confiait à un toucheur de bestiaux le soin de la conduire à son domicile. Cet individu se met en route, mais, en passant à Moult, il éprouve le besoin de se réconforter, ne venait-il pas de parcourir quinze kilomètres ? Il entre alors chez, un débitant où il s'arrête assez longuement à siroter quelques rasades. Ses forces revenues, notre toucheur de bestiaux se dispose à continuer son chemin. Mais, ô stupéfaction ! la vache n'était plus là. A bout de patience, s'était-elle éclipsée, ou un filou l'avait-il emmenée ? Voilà ce que se demande maître Grégoire. (source : Le Bonhomme Normand).

    Octobre 1949 - Un accident mortel au Lion d’Or Croissanville - Lundi soir un camion de l'entreprise B.E.B., de Lisieux, s'est écrasé contre un autre camion de 10 tonnes appartenant à MM. Girard et Fossez, transporteurs à Saint-Jacques de Lisieux, quí venait de se ranger sur le bord de la route. Légèrement blessé au visage et à la poitrine, le chauffeur du premier véhicule M. Georges René, 32 ans, demeurant à Pont-l'Evêque, se joignit aux témoins pour dégager son camarade André Bouexel, 31 ans, de Saint-Martin-de-la-Lieue dont une jambe avait été coincée entre les débris de la carrosserie.

    Le malheureux qui perdait son sang en abondance fut soigné par le docteur Portier d'Argences puis transporté à l'hôpital de Caen où il est décédé. ( Le Bonhomme Libre ).

    [Certains lieux sont anormalement accidentogènes (voir aussi à proximité Le Carrefour-St-Jean, où se produisit également des phénomènes lumineux célestes. NFO].

     Croisilles (14)

    (1) Avril 1901  - Fait mystérieux  - Le jeune Jules Patard, 13 ans, dont les parents habitent Espins et qui réside chez sa grand'mère, la veuve Levavasseur, au moulin de Croisilles, près Harcourt, était occupé, l'après-midi, dans un herbage du moulin, lorsqu'il fut abordé par deux inconnus qui le forcèrent à marcher devant eux dans la direction de Placy.

    En chemin, ils lui dirent : « Si ta grand'mère te demande pourquoi tu n'es pas rentré, tu diras que tu lui avais pris de l'argent et que tu avais peur d'être battu ». Le pauvre enfant, après avoir marché ainsi pendant une demi-heure, tomba suffoqué par l'émotion.

    Le lendemain, au petit jour, il s'éveillait dans un pré voisin de la gare de Croisiiles. Sa grand' mère, ne le voyant pas rentrer, le crut tombé dans une mare et des recherches avaient été faites.

    Une enquête est ouverte pour découvrir les deux individus dont le jeune Patard a donné le signalement et qui seraient âgés de 40 ans environ. On suppose que leur dessein était d'éloigner le gamin afin de s'introduire dans le moulin, mais qu'ils ont été gênés par le passage de plusieurs personnes. (Source  : Le Bonhomme Normand).

    [Les abductions, rapts, assortis de missing time, de somnabulisme, de perte de conscience sont couramment perpétué par des  polymorphes xénomorphes. NFO].

    Octobre 1901  -   Singulière disparition  - La veuve Debons, fruitière à Croisilles, près Harcourt, avait envoyé son domestique, Louis Maçon, mener un cheval à la foire d'Argences. Il devait remettre l'animal à un cultivateur chargé de le vendre. Maçon coucha le soir chez un parent de sa patronne, à Barbery.

    Le lendemain, à cinq heures, Maçon partait avec le cheval.

    Depuis, on n'a plus entendu parler ni de l'un ni de l'autre. La personne chargée de vendre le cheval ne s'étant pas rendue à Argences On ne sait si Maçon l’y a conduit. (Source : Le Bonhomme Normand)

    [Les disparitions inquiétantes de personne sont mortelles dans 29 % des cas, provisoires dans 30 % des cas et continuelles ou définitives dans 41 % des cas. La concordance territoriale entre les épicentres des apparitions des ovnis et les disparitions inquiétantes accrédite la thèse de l’ingérence parasitaires des exogènes-polymorphes comme principaux acteurs de ces disparitions, de même que le factuel des états somnambuliques des personnes disparues/retrouvées et qui montrent les symptômes identiques de désorientation, d’amnésie, de perturbation psychique, de missing time, etc. des RR4 ou des phénomènes dits des abductions ufologiques. NFO].

    [Traditionnellement, nombres de disparitions inquiétantes et définitives de personne s’expliquent par le passage de l’horizon des événements d’une Porte Induite par les puits à énergie potentielle et dont les orages, tempêtes, ouragans sont les manifestations tangibles les plus couramment rencontrées - NFO].

    (1) Croth (27) - Le Menhir  - / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    A proximité de la voie verte qui borde l'étang de Croth, en contre bas du chemin de Gargantua au lieu-dit Buisson, le passan un peu observateur remarquera une grosse pierre brisée. Il s'agit là des restes d'un tombeau néolithique plus connu sous le nom de Gravier de Gargantua.Le monument se présente sous la forme de deux pierres plates couchées côte à côte. La première mesure 4,45 m de longueur sur 1,7 m de largeur et 0,7 m d’épaisseur. La deuxième mesure 4,40 m de longueur sur 0,6 m d’épaisseur. Sa largeur varie de 1,7 m à une extrémité jusqu’à 2,55 m, elle est de 2,65 m au centre. La similitude des deux pierres laisse entendre qu’il s’agit d’un seul bloc cassé en deux.

    Ce mégalithe est décrit pour la première fois par Léon Coutil, président de la Société préhistorique française, en 1897. Les deux pierres sont alors suffisamment éloignées l’une de l’autre pour que deux arbres aient poussé entre elles. Cela ne l’empêche pas de déduire des similitudes entre elles qu’elles pourraient n’avoir été qu’un seul bloc à l’origine. La localisation de ce mégalithe à la croisée de deux chemins, le nom de « Gargantua » attribué à de nombreux menhirs de la région (Gravier de Gargantua (Port-Mort), Pierre de Gargantua à Neaufles-Auvergny, Pierre de Gargantua à Saint-Ouen-d’Attez, Caillou de Gargantua à Caillouet-Orgeville) l’amènent à penser qu’il s’agit d’un ancien menhir brisé et couché.

    Un autre membre de la Société Normande d’Études Préhistoriques, Henri Lamiray, y retourne vers 1936. S’il reconnaît dans les deux pierres les deux éléments d’un même bloc, la découverte d’autres plus petits morceaux de pierre à proximité lui font déduire que le mégalithe d’origine était un dolmen, probablement détruit lors de la construction du chemin. Toutefois, des fouilles effectuées sous les pierres n’ont donné aucun résultat. Source : Mairie de Croth.

     

    (2) Croth (27) - 16/11/2017 - vers o h 30 - / + Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    Un résidant du petit village de Croth en Normandie a été tiré de son sommeil le 16 Novembre 2017 vers 0h30 du matin par un bruit provenant de l’extérieur qui raisonnait comme un bourdonnement inhabituel.

    Pensant que le vent violent qui soufflait avait peut être endommagé quelque chose notre témoin a décidé de se rendre dehors pour se faire une idée de ce qui se produisait.

    C’est alors qu’il constata qu’une formation triangulaire composée de plusieurs vaisseaux était en situation stationnaire au dessus d'un champ près de son domicile.

    Il a réussi à prendre quelques photographies de ce phénomène auquel il aura assisté durant 2 à 3 minutes.

    Le témoin de cette observation a réalisé une déposition en gendarmerie. Les forces de l’ordre consultées à ce sujet expliquent « que les déclarations de monsieur X portent un indiscutable accent de sincérité ».

    Parallèlement cet homme n'a pas la réputation d’être un farceur ou d'être un illuminé et les enquêteurs n'ont pas relevés la moindre faille ou la moindre contradiction dans ses déclarations.

    Voici donc un véritable témoignage d’observation d’ovnis qui d’ailleurs ont aussi été observés dans les communes d'Ezy sur Eure et au lieu dit Coutumel mais un peu plus tard vers 03h00 du matin.

    Il est conseillé d’être vigilant et d'ouvrir grand les yeux car en général ce type de phénomène peut se reproduire plusieurs fois dans les jours qui suivent dans un même pays. Source : Planète Ôdla.

    Crulai (61) - 1984 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    En fin de matinée, un enfant de 12 ans aperçoit un engin en forme de soucoupe à environ 50 à 60 m de sa maison. C'était une structure métallique d'environ 5-6 m de diamètre sans hublot ni projecteur. Elle était en suspension à environ 1 m du sol, stationnaire et sans aucun mouvements, il n'y avait aucun train d'atterrissage. Un halo lumineux de couleurs jaune, orangé et vert tournoyait autour sur une épaisseur d'environ 1 m. L'enfant est pris de terreur et s'enfuit. 01 Témoin. Source : OVNI 61 - Orne.

    Géolocalisation des Sabbats  

    Aux environs de Vassy (14), le village de Jean-le-Blanc (14), Beaumont-le-Roger (27), le mont Bonnet Vire (14), les rochers de Clécy (14), la butte Brimbal entre Sourdeval (50) et Tinchebray (61), la mare de Bouillon (50), dans la forêt de Néhou (50), à Méautis (50), aux bois d'Etenclin (50), aux bois de Lithaire (50), forêt de Barnavast (50), dans la contrée du Theil (50), dans la contrée de Saussemesnil (50), le mont Margantin (61), Gaillefontaine (76), à Bully-la-Fosse (76), à Aliermont (76), au Mesnil-Esnard (76), à Londinière (76), à Fréauville (76), à Pont-Angot (61), sur la Dives vers Vicques (27), à Louviers (27), à Gisors (27), à Tosny (27), à Saint-André et Saint-Georges-de-Bohon (50), le mont Etenclin près de la Haye-du-Puits (50), Montchauvet (14)

    Sources : Le Tenneur René - Magie Sorcellerie et fantastique en Normandie -1979. 

    L’Arme d’Invasion Massive

    Extraits : Les Prédateurs, expliquant dans le détail comment ces Créatures Inorganiques et Symbiotiques et Noosphériques se développent et se nourrissent à partir des Émotions de la Psyché Humaine ou Animale, et pourquoi les extinctions de masse, les guerres d'extermination et conflits sanglants et catastrophes meurtrières, les génocides, les holocaustes, et les tueries, les mutilations les immolations et les sacrifices rituels sont générés par des Êtres réellement Diaboliques.

    La conscience de l'homme se trouve violée en permanence par des incursions étrangères d'énergie appelé être inorganique, ressenties comme changements humoraux plus ou moins puissants, cette entité obscure est capable de substituer sa conscience à la nôtre, pour exacerber le pire [et] se nourrir de ses effets funestes.

    Ils agissent sur un homme normal lors même qu'il croit agir de sa propre volonté. L'homme, conscient de la présence furtive de l'énergie étrangère, la capte, mais conserve sa propre volonté. 

    C'est l'ensemble de notre monde qui serait infecté, déconnecté de sa source créatrice et manipulé [et] oppressé aliéné, immergé dans un enfer terrestre [par des] esprits maudits et sombres [qui ont aussi à leur disposition des armes de destruction massive capables de provoquer des dérèglements du fragile équilibre géo tectonique climatique].

    La création s'articule autour de la prédation et du parasitisme. Les comportements et les consciences sont investis par la peur et l'instinct de survie. Ce n'est ni l'homme, ni la nature qu'il faut remettre en cause, c'est un symbiote étranger qui aurait infecté notre esprit et qui manipulerait la réalité de façon à ce qu'elle devienne un enfer.

    Ces démons dévoreurs de mondes en perdition nous amènent à réfléchir sur l'hypothèse selon laquelle l'âme humaine serait réellement parasitée, elle serait ainsi manipulée par une puissance dissimulée et mystérieuse qui se révèlerait être notre malédiction. Ces entités parasites nous ont infiltrés et ont conféré à notre esprit son côté routinier, répétitif, maniaque, peureux, avide, violent, et calculateur [et qui] sont les coupables de notre aliénation existentielle. [c'est d'ailleurs pour les combattre que la Très Sainte Inquisition Apostolique et Romaine a été créée avant d'en être à son tour la victime]

    Ce sont des prédateurs extraterrestres appelés parfois Tricksters, Lézards, Démon ou Arkontaï en Grec. Les Toltèques les décrivent comme des créatures lourdes, ténébreuses et fuyantes. Les noms les plus communs qu'on leurs attribue sont Créatures de l'Ombre, Simulacres (esprits malins menteurs et tricheurs, les truffeurs/trufer = tromper et se moquer, railler).

    Ce sont eux qui on poussé l'humanité à montrer une plus grande propension à des comportements agressifs, territoriaux, impérialistes, froids, forçant l'homme à vivre toujours dans la crainte d'une agression, ou d'une menace.

    Ce sont là les traits de caractère (de ces parasites) qu'ils auraient donné à l'homme imitant ainsi sa force conquérante et carnassière d'expansion territoriale ainsi que sa doctrine génocidaire de l'élimination du moins apte.

    La psyché humaine est donc parasitée, et cette invasion est avant tout de nature mentale et psychique, il se peut que nous soyons également agressés sur le plan physique.

    Ces entités prédatrices sont connues pour enlever parfois les âmes la nuit  [elles] provoquent un état de panique mortelle qui paralyse le corps, puis ils apparaissent par trois, la tactique habituelle de ces ombres fuyantes est tout d'abord de paralyser et ensuite d'infiltrer le mental du sujet humain. C'est une des descriptions précises des kidnappings modernes, par paralysie du sommeil  des extraterrestres. [les abductions par les pseudos occupants des ovnis par le biais des missing times et des Mmissing Spaces].

    Les hommes des temps anciens s’étaient aperçus que s’ils opposaient à l'esprit des parasites [par] leur vide mental une sorte de silence de l'esprit, cette implantation étrangère disparaissait après de longues années d'efforts et de contrôles, ce qui confirmait, l’origine extérieure de cette intrusion. L'entité dissimulée, le pire prédateur de l'univers, nous prête, à notre insu, sa conscience pour nous faire faire des actes destinés à exacerber notre auto contemplation, qui va générer nos sursauts énergétiques dont se nourrira l'entité.

    En d'autres termes, la prise de conscience qu'un esprit étranger puisse opérer une mainmise en notre mental ne devient parfaitement claire et certaine que lorsque cet intrusion a été repérée, démasquée puis expulsée.

    Pour faire face à l'immense complexité de l'intrusion, la clarté et la concentration constituent des atouts indispensables. La résistance humaine à leurs intrusions dépend de l'attitude intérieure et de la discipline mentale c'est la sobriété du Guerrier. [du Propugnator (celui qui défend, soutient, et protège), du combattant, du bellator, du résistant et du chevalier].

    Les traits de caractère humains attribués à cette déviation, par une implantation étrangère, sont l'envie, la convoitise, la jalousie, la haine, la vanité et l'arrogance sont considérées comme les caractéristiques principales de l'infection [infestation contamination ou possession].

    [ cf. https://novusordoseclorum.1fr1.net/t3714-enquete-sur-les-enlevements-extraterrestres ]

     

     
     
     
     

    La Structure Nomade des Ovnis - Le Triangle du Diable


    Mise à jour de la carte au 03/06/2024

     

    Les Apparitions Ovnis et les Manifestations Surnaturelles et lignes de Ley – Go

     
     
    Extrait du Catalogue de Normandie - France - Ovnis : Seine-Maritime (76), Orne (61), Manche (50), Calvados (14)
     
    Vous pouvez nous aider à vous informer sur les ingérences des ovnis en nous communiquant les nouvelles ou les anciennes observations de Normandie (témoignages ou presse) à ufo.genpi@gmail.com ou en les publiant publiquement. Merci d’avance.
     
     

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    Pour en savoir plus

    Les Apparitions des Ovnis et les Manifestations Surnaturelles

      Les 75 ans des Ovnis en Normandie

     

     


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