• L’Abécédaire des Voleurs de Corps - Lettre F

     

    Visiteur Métamorphe

     

     « L'ufologie est juste un autre nom donné à la démonologie. »

     « Keel dit que la "magie noire" est souvent liée au phénomène [OVNI], et certaines personnes ont vécu des expériences si effrayantes qui touchent à ce sujet, qu’elles l’abandonnent définitivement. En fait, Keel dit à ses lecteurs adultes qui sont des parents d’avertir leurs enfants au sujet de l’ufologie : "J’ai dans mes dossiers des centaines de cas, dont certains ont maintenant été examinés par des psychiatres qualifiés, dans lesquels de jeunes hommes et femmes obsédés par le phénomène OVNI ont reçu des visites effrayantes de ces apparitions, suivi par de mystérieuses Cadillac noires qui sont apparues et ont soudainement disparu. Ils ont été terrifiées jusqu’à renoncer à leurs recherches sur les OVNIS. De nombreux contactés rapportent des expériences similaires." »

     « [John Keel fut] un théoricien radical qui croit que les OVNIs sont "ultraterrestres" plutôt qu'extraterrestres. Il veut dire par-là qu'ils sont un phénomène de forme changeante, d'un autre ordre d'existence. Ces ultraterrestres sont essentiellement hostiles, ou du moins méprisants envers les êtres humains, et les manipulent de diverses façons, par exemple en mettant en scène des "miracles" qui inspirent des croyances religieuses infondées. Les ultraterrestres et leurs sous-fifres peuvent se manifester en tant que monstres, gens de l'espace, fantômes et même entités paranormales.» (The UFO Encyclopedia, Volume 1 : UFOs in the 1980s, page 148, NY : Agogee, 1990).

    [John Keel] [Andrew Griffin - 2017 ]https://fr.sott.net/article/2898-John-A-Keel-est-mort 

     

     

    L’Abécédaire des Voleurs de Corps - Lettre F

     Bellator

    Guillaume Chevallier

     

     Comme l'a si pertinemment signalé René Le Tenneur [cf. Magie, Sorcellerie et Fantastique en Normandie des premiers hommes à nos jours - 1979] les manifestations paranormales et les apparitions des créatures, dites surnaturelles, perdurent depuis des temps immémoriaux, jusqu'à notre époque moderne.

    Puisqu'en effet, ils n'ont pas disparu, ni avec la révolution industrielle, ni après l'avènement du numérique :

    Les fées, dames blanches, lavandières, sirènes, garwall, garous, varous ou wargus, lycanthropes, hommes-loups, bonhommes blancs, revenants, fantômes, rongeurs d'os, lémuriens, stryges, bierres, goules, laitices, milloraines, fouines, chabrettes, taranes, huards, bigornes, succubes, incubes, satyres, nymphes, hommes-papillons et hommes en noir aux yeux de zombies, horlas, simulacres, répliquants, substituts, drôles, korrigans, goublins ou gobelins, lutins et lubins ou hommes rouges, jacquets, follets, gnomes, petits-gris, génies, et apparitions ou manifestations dites religieuses, etc. ; ces créatures étranges venues d'ailleurs sont toujours observées ou photographiées dans notre environnement, où elles prennent occasionnellement possession de nos demeures, de nos âmes et de nos corps, et tous ceux qui en ont fait des féeries ou des diableries, ou aujourd'hui des alienneries, se méprennent sur la nature réelle, de ces êtres poly-métamorphiques, qui ne sont, à proprement parler, ni terrestres ou extraterrestres mais ultra-terrestres, comme John A. Keel aimait à les qualifier. [cf. : La Prophétie des Ombres - 1975].

    Les Voleurs de corps

     L’existence en la croyance universelle des vampires qui se nourrissent du sang, ou principe vital, de leurs victimes et celle des zombies ou, morts-vivants qui se relèvent de leurs tombes, ou qui restent enfermés dans leurs cercueil après avoir vainement gratter le couvercle, sont les marques de la prise de possession des corps vivants ou défunts par les entités psychique métamorphes nommées par les anciens sous différentes appellations ou dénominations (noosphères, daïmons, djinns, goules, mânes, spectres, esprits-frappeurs, élémentaux, dames-blanches, fées-mélusines, vouivres, stryges, givres, sirènes, incubes, succubes, hennequins (hennequins = petits diables, dont certains sont décrits comme des êtres d'une difformité étrange, nains grêles dont la tête est enflée et grosse comme une tonne = petits gris / shorts-Grey), farfs, loups-garous (lycanthropie), les ulfarks (les guerriers-loups), les berserkers (es guerriers-ours), les svinfylkingars (les guerriers-sangliers), qui sont les berserksgangrs (les guerriersfauves), etc., ce sont les voleurs de corps (les body snatchers).

    Ces métamorphes/transformistes apparaissent aussi comme polymorphes (voir les divinités polymorphes mi-animal/mi-humaines des hiéroglyphes antiques) lorsqu’ils se métamorphosent en humains, en animaux, en créatures chimériques (shorts-Grey) ou en sphères de plasma (noosphères) identifiés par les modernes comme des ovnis ou des extraterrestres.

    Il leur arrive souvent de chasser leurs victimes en meutes, s’ils sont parfois grégaires, la plupart sont individualistes, sédentaires et territoriaux, attachés à une terre, à un domaine, à un lieu, un site, un monument, ou à un écosystème naturel, comme un bois ou une forêt, qu’ils contrôlent, surveillent et y traquent les intrus qui ont le malheur de les importuner.

    La mémoire traditionnelle

    Les anciens, en guise d’avertissements, nous ont transmis un nombre incalculable de récits et de témoignages illustrant leurs compétences surnaturelles servant leurs prédations, et dont les ignorants-impéritieux frivolets ont rangé dans le registre de la superstition, de la croyance, des mythes, des contes et légendes, en voici quelques exemples.

    En Neustrie, il y a des expressions consacrées pour signifier qu'une personne a été contaminée ou inséminée par un poly-Métamorphe, « il court le garou (ou le warou) dans la lande ! », « il a le diable au corps ! ».

    Les contacts, les rencontres rapprochées et les communications avec les représentants de l'autre monde ont impacté notre histoire, en se différenciant formellement dirigeant et orientant la doxa culturelle dominante.

    Au cours des périodes préhistoriques et antiques, ce fut les croyances religieuses aux dieux, puis le temps des terreurs superstitieuses de la magie des sorciers et des sorcières, époque de l'anti-démonologie, qui a connu son paroxysme hystérique, avec la Réforme, au XVIIe siècle, à laquelle a succédé l'illusionnisme de l'ésotérisme kabbalistique et le culte de l'occultisme hermétique, propre à la Renaissance, allumant les lueurs crépusculaires de la Révolution, dont le magnétisme, le spiritisme, le magico-chamanisme du New-Age/Para-Science, et, pour finir, l'extratologie-éthérée ufologique, sont les ultimes reflets aveuglants et illusionnistes.

    Au delà de ces apparences, et avant de se dissimuler sous les formes fictives des petits diablotins-lutins des petits gris, des Men-In-Black, et autres entités des rencontres rapprochées des ovnis modernes, les représentants Métamorphes de l'autre monde, ont manifestement pris un malin-plaisir à adopter les panoplies, aussi variées que trompeuses, des êtres soi-disant divins, angéliques et démoniaques.

    L'analyse structurelle, la corrélation formelle et l'étude statistique des phénomènes de hantise, de possession démoniaque, ou d'apparition diabolique, ou même faussement mariale, le démontrent abondamment.

    En effet, les occurrences manifestées, les emprises psychologiques et physiques, sont structurellement identiques, et les parallèles sont d'une évidence indiscutable chez les témoins/expérienceurs, les abductions-visites en chambre/rapts et visites nocturnes démoniaques, les paralysies temporaires/immobilisations mystérieuses, les communications télépathiques/voix intérieures, les implants, marques/épines-aiguilles cicatrices, les lieux ovnigènes/lieux hantés, les apparitions lumineuses ovnis/manifestations lumineuses diaboliques, les portails multidimensionnels/voyages hors du temps présent, les transports géographiques/déplacements surnaturels, les rapports sexuels des RR7 +/ rapports charnels avec les succubes et les incubes, les hybridations alien-humain/enfants du diable, les extraterrestres polymorphes/créatures métamorphes démoniaques, les crop-circles/cercles des fées, les traces et objets matériels/empreintes et apports surnaturels, les mutilations de bétail/sacrifices mutilations d'animaux, etc. comme l'illustrent suffisamment les descriptifs et la cartographie des apparitions ufologiques et des manifestations surnaturelles, constatés en Normandie, et ailleurs où plus de 50 % des sites ovnigènes sont géolocalisés sur les clusters des phénomènes surnaturels.

    Falaise (14) - La Truie Satanique / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    1386 : une truie, qui avait mutilé et tué un enfant en le mordant au visage et au bras, comparut devant le tribunal du bailliage. Celui-ci estia qu'il s'agissait d'un animal satanique et la truie fut condamnée à la pendaison. Après que le bailli eut lu publiquement la sentence, l'animal, habillé en homme, fut mutilé à la tête et à la jambe, ainsi que l'avait été l'enfant, puis pendu haut et court devant une nombreuse assistance.

    Source : Le pays normand, 1901.

    Falaise (14) - Chrysopole / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    En 1456, il fut établi que Robert Olive, de Falaise, se faisait transporter par un diable nommé Chrysopole (Or/Pôle) et qu'à son instigation il tuait les petits enfants et mettait le feu. Il fut brûlé à son tour.

    Source : Garinet, Histoire de la magie en France.

    Falaise (14) - Le Pendu / Disparition Instantanée au début du XVIe siècle

    Au tout début du XVIe siècle, à Falaise, un sorcier avait été condamné à la pendaison pour ses maléfices par envoûtement. Au moment de l'exécution, le bourreau Jouenne, d'une famille de bourreaux très connue en Normandie, dit au condamné : si tu es sorcier, tu rompras cette corde. Et quand le bourreau s'enleva à la corde, celle-ci cassa net. Le pendu retomba droit sur ses pieds et, dans un grand rire, s'enfonça dans la terre ; le bourreau lâchant prise tomba à l'endroit même où le sorcier avait disparu et se fracassa le crâne. On entendit alors un second éclat de rire, si strident que les assistants, en proie à une terreur panique, s'enfuirent en se signant.

    Source : P. H. Garet, Les bourreaux normands et leurs valets.

    Falaise (14) -  RR3 / RR4 en 1761 / Le Pacte Diabolique / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    En janvier 1761, des témoins assuraient, au lieutenant-criminel du bailliage de Falaise, que Jacques Bacon, marchand de Versainville (14), avait fait un pacte avec le Diable : qui lui assurait d'avoir dans sa poche, tous les matins, 36 livres (environ 46.08 euros) ; n'ayant pas exécuté les conditions du pacte, l'esprit malin voulant lui tordre le cou, il s'était adressé aux 04 curés de Falaise et à celui de Versainville qui l'avaient exorcisé, mais sans y réussir ; un jour, étant à la halle de la ville de Falaise, les dits témoins virent le Diable descendre avec ses griffes et vouloir se jeter sur lui pour l'enlever, ce qui serait arrivé si le curé de Saint-Gervais (14) n'eut promptement accouru, revêtu de son étole, et n'eut chassé le Diable et sauvé le sieur Bacon.

    Source : G. Lesage, A travers le passé du Calvados.

    (1) Fauville (27) - Eure - Normandie - France - 23/04/1978 - entre 20 h 35 et 20 h 51 / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

     

    Le dimanche 23 avril 1978, entre 20 h 35 TU et 20 h 51 TU , suite à un appel téléphonique, un officier de permanence opérationnelle sur la base aérienne 105 d'Evreux (27) observe un point lumineux de couleur rouge (de la taille d'une planète) à une hauteur comprise entre 10° et 15° : sa position est estimée dans le 300 de la base d'Evreux.

    Le personnel de la vigie observe également le phénomène dont l'intensité lumineuse décroit. L'officier sollicite l'aide du radar qui relève à 20 h 44 TU un écho dans le 300 de la station à une distance de 18 nautiques et un déplacement vers le 330 à une vitesse estimée de 30 à 40 nœuds. 20 h 51 TU marque la fin des observations visuelles et l'arrêt du radar.

    L'officier rédige son rapport le lendemain 24 avril 1978. Le rapport d'observation permet à priori de valider la simultanéité de l'observation visuelle et de la trace radar et dont il faut noter la très faible intensité (1/5) mais d'une durée longue (7 minutes).
    Un seul témoignage est recueilli. 01 Témoin. Source : Rapport Militaire relégué par le Géipan.

    (1) Evreux-Fauville - Base Aérienne US - 02/08/1966 - vers 03 h / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

    Évolution nocturne à Évreux d'une boule d. L'objete feu au-dessus de la Base US / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    Dans la nuit de lundi au mardi vers 03 heures, des militaires américains de la Base Évreux-Fauville auraient vu une boule de feu venant du Nord évoluer au-dessus de la piste à une altitude de plus en plus basse. Jusqu'au moment où le météore s'immobilisa comme au "point fixe" avant de repartir vers l'Est en reprenant progressivement de l'altitude. L'objet, assez volumineux, aurait été observé pendant 40 minutes. A la tour de contrôle de la Base on affirme n'avoir rien vu. Plusieurs Témoins. Source : Paris-Normandie du 04/08/1966.

    La bête d’Evreux : un loup-garou en Normandie

    C'est une légende digne de la Bête du Gévaudan qui prend place à Evreux au XVIIe siècle. En 1632, des attaques dans les forêts aux abords de la capitale de l’Eure  font plusieurs morts. De nombreuses battues sont organisées en vain entre 1632 et 1633 en Normandie. De nombreux récits font état d’un animal très rapide, d’une bête « furieuse », d’un homme qui se transformerait même en loup… Ce qui est affirmé par les sources historiques, c’est qu’un grand loup roux est toutefois tué lors d’une battue. La Bête d’Évreux participe à la construction des légendes et récits de la Normandie d’hier et d’aujourd’hui.

     Fécamp (76) - Les Plaies / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    A Fécamp, le mercredi 09 septembre 2020, une jument a été trouvée au petit matin, avec plusieurs plaies, à la patte et à la vulve. 

     Source : France Bleu Normandie, infos 2020.

     Fécamp (76) - Seine-Maritime - Normandie - France - 18/06/2017 - aux environs de 23 h / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

    Objets volants non identifiés dans le ciel de Fécamp !

    Les points blancs scintillants se sont transformés en une boule orangée.

    Insolite. Drôle de vision dimanche soir dans le ciel fécampois au-dessus de la mer, où un habitant s’est laissé prendre à un ballet de lumières.
     
    Ce n’est pas la lune rousse qui est apparue dimanche soir dans le ciel à la nuit tombée. Le phénomène a pourtant intrigué un habitant du front de mer qui ne souhaite pas dévoiler son identité :

    « Je ne veux pas passer pour un illuminé, mais pourtant j’ai été intrigué par ces lumières virevoltantes qui évoluaient sous mes yeux de façon étrange », avoue ce Fécampois que nous appellerons des initiales MV.

    Installé dimanche soir devant son téléviseur pour suivre les résultats des législatives, MV est intrigué par des lumières scintillantes comme des étoiles dans le ciel.

    « J’ai pensé tout d’abord à un hélicoptère, mais après avoir baissé le son de mon téléviseur, je n’ai pas entendu de bruit de moteur. Alors pourquoi pas un parapentiste, ou encore la lumière d’un chalutier ? Mais c’était bien trop haut dans le ciel. »

    Explications

    MV observe alors le phénomène. « C’était extraordinaire, les lumières dansaient entre elles. Le temps que j’aille prendre mon appareil photo, une troisième lumière s’est invitée comme dans un ballet féerique. Puis je ne sais comment, a surgi comme une boule de feu tel un soleil. Dans la nuit noire, il était aux environs de 23 h, il n’y avait pas moyen d’évaluer la distance. Après avoir bien joué entre elles, les lumières s’envolaient vers l’horizon plein ouest. »

    Sûr d’avoir assisté à un phénomène extraordinaire, MV s’enquerrait auprès des autorités qui ne prenaient pas très au sérieux sa « vision ». MV en parlait en famille, puis allait s’informer sur la Toile sur les phénomènes de ce genre.

    Le Geipan (Groupe d’études et d’informations sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés) créé par le CNES (Centre national d’études spatiales) indique effectivement différents phénomènes qui expliquent ces lumières : des lumières rouges, blanches ou multicolores peuvent apparaître dans le ciel, avec un déplacement irrégulier. Il s’agit peut-être de drones ou d’ailes volantes, avions miniatures pesant environ 500 grammes et pilotés à l’aide de télécommande. Ces objets construits par des amateurs peuvent avoir des dimensions variables et volent quelquefois en groupes.

    « Après réflexion, je pense qu’il s’agit d’un tel phénomène, mais j’y ai bien cru de prime abord. »

    Aucun signalement spécifique n’a été observé par les autorités que nous avons contactées, comme les Affaires maritimes de Cherbourg.". FIN. Source : Paris-Normandie du 21/06/2017.

     Fécamp (76) - Seine-Maritime - Normandie - France - 25/06/2012 / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    Source:  Youtube https://www.bing.com/ck/a?!&&p=594563dc723110c2JmltdHM9MTY4Mjk4NTYwMCZpZ3VpZD0xOTVhMmQzMi02NmMyLTY3MjAtMmUyYy0zZjk4NjdjNDY2ZDImaW5zaWQ9NTM2Nw&ptn=3&hsh=3&fclid=195a2d32-66c2-6720-2e2c-3f9867c466d2&psq=ovni+f%c3%a9camp&u=a1aHR0cHM6Ly93d3cueW91dHViZS5jb20vd2F0Y2g_dj0tUWZMR2o5bXNBVQ&ntb=1

    Entre Fécamp et Cany le 12/11/2011 / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    Dieppe (76) - Seine-Maritime - Normandie - France - du 26 au 27 /06/2012 - entre 23 h 30 et 00 h 15

    Dans la nuit du 26 au 27 juin 2012 entre 23 h 30 et 00 h 15, dans le ciel de Dieppe en Normandie, nous avons été 08 personnes à observer ce phénomène étrange. En effet 4 boules de feu ont traversé le ciel simultanément à quelques minutes d'intervalles. Des boules lumineuses de couleur orange, assez rapides & silencieuses partant toujours du même point, Sud-Ouest vers la direction Nord-Est. 08 Témoins. Source : Jenny Jen : https://www.youtube.com/watch?v=Od_YNvY753k

    Même chose entre Fécamp et Cany le 12/11/2011, il y avait 07 boules en tout mais pas : par une et par 2. Aucun bruit, une assez grande vitesse, elles allaient toutes dans le même sens, vers la mer, puis on subitement disparues au même endroit, comme éteintes (J' ai observé leur approchement, puis elles sont passées sur mon côté droit et en voulant les suivre du regard à l' arrière de la maison elles se sont comme volatilisées !). Nous étions 05 à observer ça. Mystère ou lanternes ? Purplesymbol.Source: Purplesymbol https://www.youtube.com/watch?v=Od_YNvY753k 

     Fécamp (76) - Seine-Maritime - Normandie - France - 07/01/1954 - entre 04 h 30 et 05 h 15 / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    DIEPPE, 7. - Ce matin, entre 04 h 30 et 05 h 15,  près de 70 dockers du port de Dieppe ont aperçu dans le ciel une lueur aveuglante [sic], suivie quatre minutes après d'une formidable explosion qui ouvrit de très nombreuses portes et brisa la vitres des maisons de la ville.

    La plupart des habitants de Dieppe ont été réveillés par ce bruit assourdissant. Il ne semble pas qu'il puisse s'agir d'une hallucination car les témoignages sont très nombreux et concordent sur presque tous les points. On enregistre seulement certaines divergences parmi les témoins, en ce qui concerne la direction de la lueur qui, selon les uns provenait du nord, et selon les autres de l'ouest.

    La voiture postale qui assure le trafic entre Dieppe et Rouen se trouvait aux environs de la première de ces deux villes au moment où se produisit la lueur. Mais selon les deux occupants de ce véhicule, l'explosion ne se serait produite que huit minutes après la lueur.

    Le sémaphore de Dieppe s'est mis en relation avec celui de Fécamp et avec ceux de tous les petits ports de la côte. Tous sont d accord pour affirmer que le phénomène a été aperçu en ces différents points. Par contre, le sémaphore du Havre n'a rien constaté.

    Cependant, plusieurs témoins habitant la Mailleraye, localité situées à 80 kilomètres environ au sud de Dieppe, sont catégoriques: ils ont vu la lueur qui venait de la région de Dieppe.

    Ce matin, un employé des chemins de fer qui prenait son service en gare d'Orchies(Nord) a aperçu un disque de feu qui se déplaçait à l'horizontale à une vitesse vertigineuse. Une traînée lumineuse suivait le disque rougeoyant dans sa trajectoire.

    Le même phénomène a été aperçu à peu près à la même heure à Arras (P.de.C.) Un témoin a déclaré avoir aperçu le disque immobile un instant dans le ciel. Mais il n'a pas eu le temps de le contempler. Celui-ci reprit immédiatement sa course et disparut à l'horizon.

    Enfin, il y a lieu de souligner qu'il y a une semaine environ, une barque de pêche est arrivée à Dieppe toute criblée de petits éclats pouvant provenir d'un aérolithe.

    L'Institut d'Astrophysique de Paris pense pour sa part que le phénomène n'était autre qu'un bolide. L'heure même à laquelle cette observation a été faite - peu avant le lever du soleil - concourt à appuyer cette opinion. [!] Mais, ajoute-t-on, de telles explosions ne sont pas très rares, et l'on a pu en enregistrer bien d'autres sur toute la surface du globe.

    On sait que les bolides sont des corps dont l'origine et la composition sont mal connues et qui, se déplaçant dans le ciel avec une rapidité extrême, s'échauffent lorsqu'ils viennent à rencontrer l'atmosphère terrestre en raison de la résistance que celle-ci leur oppose. C'est alors qu'ils deviennent incandescents.

    Parfois ils passent sans se signaler autrement que par une traînée lumineuse. Parfois ils éclatent silencieusement, parfois avec fracas. Il arrive également qu'ils tombent à la surface du globe, entiers ou fragmentés: telle est l'origine des chutes d'aérolithes. Source : Ouest-France du 07/01/1954.

     Fécamp (76) - Seine-Maritime - Normandie - France - 30/09/1954 - 20 h et 21 h 51 / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    Une quinzaine de témoins, dont un chef de service de l’Administration Municipale, ont, en effet, affirmé avoir constaté à deux reprises ces apparitions insolites la première, semble-t-il à 20 h concernait deux engins se déplaçant au Nord-Ouest de Fécamp : lumineux, au point d’être confondus avec les feux de position d’un navire, ils laissaient bientôt apercevoir une forme ovoïde émettant une traînée lumineuse opposée au sens de leur marche.

    Cette première constatation faite à la jumelle par l’un des témoins, cinq de ces « soucoupes » apparaissaient une deuxième fois à 21 h 51, à l’ouest de Fécamp cette fois, pour tracer, par des mouvements divers, un curieux ballet d’une durée évaluée à plusieurs minutes. Nombreux Témoins. Source : Paris-Normandie du 01/10/1954.

    Le Précieux Sang

    Après la crucifixion, Nicodème, en compagnie de Joseph d’Arimathie, reçoit le corps du Christ et procède à son ensevelissement. Nicodème est un des derniers hommes à avoir eu un contact physique avec la dépouille mortelle du Christ - il l’a vue et touchée.

    De ce fait, il est à même de devenir un pourvoyeur de reliques. Il sculpte, inspiré par Dieu, le visage du Christ : cette œuvre, le Saint-Voult, passe de Terre Sainte à Lucques.

    Dans une autre tradition, il recueille des particules ou des gouttes de sang christique qui, à la suite d’un périple miraculeux, seront portées, dans le tronc d’un figuier, jusqu’au rivage où doit s’élever l’abbaye de la Sainte-Trinité de Fécamp.

    Les deux corpus historico-légendaires ne sont pas indépendants l’un de l’autre. A certains indices, nous pouvons supposer que les clercs et les laïcs de Fécamp qui ont composé le récit de la translation du Précieux Sang, ont mis à contribution la tradition du Saint-Voult de Lucques. Source : Wikipédia.

    L'Abbaye de la Sainte Trinité

    Suivant la chronique de l’abbaye, le territoire de cette ville, encore au berceau, fut donné à un comte de race tudesque, nommé Anskise ou Anségise ; cet étranger, qui était gouverneur du pays de Caux, faisait ordinairement sa résidence à Fécamp, ce qui porte à croire que cette ville, toute gallo-franque, avait succédé à la suprématie de Juliobona, la romaine.

    Anségise ayant découvert, en chassant dans les bois de Fécamp, l’humble oratoire élevé par le Romain, prit la résolution de le remplacer par un édifice plus digne du culte auquel il était destiné. mais la légende raconte que ce lieu lui fut indiqué par un cerf blanc, poursuivi par ses chiens, lequel s’arrêta près de cette chapelle, fit face aux chasseurs, sans que ceux-ci, ni leurs chiens, pussent s’en approcher.

    Elle ajoutt qu’Anségise, surpris de cette nouveauté, mit pied à terre pour étudier les mouvements du cerf, et que cet animal ayant fait à petits pas un cercle autour du lieu où il s’était arrêté, comme pour tracer les fondements d’un édifice, disparut aussitôt à tous les yeux. Source : Wikipédia.

    Fermanville (50) - Le Carrousel   

    XIXe siècle : dans la région du Theil (50), près de Fermanville, un jeune garçon revenant en voiture à âne, éclaboussa au passage une vieille femme réputée à moitié sorcière. Furieuse, la vieille lui cria : Cours toujours, mon gars, mais tu n'iras pas voir ta blonde ce soir !

    Le garçon s'arrêta bientôt dans un champ clos pour ramasser une canne de lait ; il entra son attelage et chargea sa canne, mais au retour, il ne pu retrouver la barrière. Tournant en tous sens, dans ce champ clos qu'il connaissait pourtant très bien, il lui fut impossible d'en sortir aussitôt. La barrière était remplacée par une épaisse haie d'épines. Furieux, il attacha son âne, et ce n'est qu'après mille misères qu'il parvint à franchir la haie. Il rentra à la ferme tout saignant et en loques, effectivement, bien trop tard pour rejoindre sa blonde !

     Source : Christian Letourneur, Les sorciers du Theil, 1972.

    Feuguerolles-Bully (14) - La vallée de la Guigne

    La légende du charbon : pendant des siècles sur la commune de Feuguerolles, une pierre intrigua de nombreux carriers. De couleur noire, celle-ci devenait incandescente lorsqu'on la brûlait. Pensant découvrir le précieux "Charbon de terre", des puits furent creusés dans l'espoir de trouver un gisement de houille. Malheureusement, les recherches restèrent vaines et furent interrompues au début du XXe siècle. Le charbon de Feuguerolles n'est plus aujourd'hui qu'une légende. [Visorando]

    En 1638, le village est incendié pour éradiquer la peste. En 1973, Feuguerolles-sur-Orne (448 habitants en 1968) fusionne avec Bully (118 habitants) et garde le statut de commune associée. La commune résultante prend le nom de Feuguerolles-Bully. Comme souvent dans le cas d'association, les communes tendent à garder leurs identités et s'appellent Feuguerolles-Bully-Feuguerolles et Feuguerolles-Bully-Bully. [Wikipédia].

    Février 1872   -  Fait divers  - La Normandie a eu dimanche soir le spectacle d'une aurore boréale, ou pour dire plus exactement, d'une aurore polaire. A six heures, après avoir passé par leurs phases ordinaires de mobilité et d’éclat divers, deux colonnes éblouissantes, sillonnées de traits de feu jaune et pourpre, se sont réunies au zénith, pour y former une couronne, dont l’aspect a semblé donner raison à ceux qui soutiennent cette opinion, que ce météore est dû à la matière magnétique qui s’enflamme comme de la limaille de fer.

    On eut dit qu'un obus gigantesque venait d’éclater à des espaces incommensurables, allait couvrir la terre de ses débris.

    [La conception des étoiles filantes, des comètes, des aurores polaires, des lueurs célestes inhabituelles, etc. diffère pour les Anciens de celle des Modernes, qui les appelaient des Météores (= esprits de lumières célestes) et qui les identifiaient à des entités spirituelles et non à des objets matériels ou phénomènes physiques. NFO]. 

    Puis les pluies du météore, obéissant au mouvement de rotation de l'atmosphère qui les entraînait prirent des nuances plus sombres, et finirent par disparaître, pour ne plus laisser dans le nord qu'un immense rideau de pourpre, qu'à minuit et demi, avait entièrement disparu.

    Comme de juste, ce phénomène météorologue a donné lieu aux commentaires les       plus étranges, car une croyance populaire veut que le retour de ce, phénomène soit l’annonce d'un événement important. C’est signe de mort, disaient les uns. C'est signe de sang, c'est signe de revanche, disaient les autres. A l'avenir de prononcer. [USHC].

    Juillet 1880  - Les orages  - Samedi soir, un orage épouvantable à éclaté sur Caen et une partie du Calvados. A Caen, les rues de la ville ont été transformées en torrents et l'eau a envahi beaucoup de maisons. Des arbres ont été renversés par l'ouragan, notamment près de l'école de natation, ainsi qu'à Louvigny.

    Dans les communes d'Hérouvillette et Ranville, les colzas, blés, sarrasins, ont été broyés par la grêle.

    Le canton d'Évrecy a beaucoup souffert. Les blés, les orges sont roulés et hachés, les seigles, plus avancés, ont la paille moins altérée, mais les sarrasins sont endettés et absolument perdus. Les avoines n'ont plus d'épis, les colzas sur pied sont émondés, ceux qui étaient coupés sont aux trois quarts battus. L'écorce des jeunes pommiers est même détachée du tronc dans les endroits où les grêlons ont frappé. C'est un désastre complet. Les communes les plus frappées sont : Sainte-Honorine-du-Fay , Maizet, Avenay, Esquay, Vieux, Maltot  et Feuguerolles. A Hamars, les récoltes des quatre principales fermes sont complètement détruites et non couvertes par assurances. [USHC].

    [Les épisodes orageux, le phénomène de la foudre, ouragans, tempêtes, ou les aurores polaires et les lueurs célestes inhabituelles, accompagnent généralement l'émergence des Portes Induites/Vortex/Pontifex/Portex/ Puits à énergie potentielle. NFO].

     Fierville-Bray  (14)  

    Avril 1929 - Mutilation d'un animal - Pendant l'absence de son père, M. P. Devic gardait la maison. Vers 12 h. 30, en entrant dans l'étable, il constata que la queue d'une vache avait été arrachée et qu'elle avait disparu. La bête fut soignée par un vétérinaire qui a réservé son diagnostic.

    Le préjudice est d'environ 500 francs. Le lendemain, Mme Lechartier, cultivatrice à Fièrville-la-Campagne, retrouva la queue dans son herbage. Des morceaux de ficelle adhéraient encore à l'appendice, ce qui semble indiquer qu'un mauvais plaisant a dû attacher la vache par la queue et qu'en se débattant celle -ci se l'arracha. [Un siècle d'histoire du Calvados].

    [Les mutilations relèvent de la catégorie des sacrifices propitiatoires, des pratiques incantatoires et évocatoires magico-occultistes du sadisme-masochisme, lié au rite du baptême du sang. NFO].

    Flers (61) - Orne - Normandie - France - 25/12/2016 - vers 19 h 30 / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

    Vers 19h30 nous avons vu une boule d'un orange très vif et très lumineuse se diriger à très vive allure en diagonale vers le ciel (direction sud- sud-est de Flers.)
    Ce phénomène a duré environ 1 minute puis la luminosité s’est estompée rapidement et a disparue. Céline.02 Témoins. Source : Ovni -France.

    Flers (61) - Orne - Normandie - France - 22/09/2012 - 00 h 00 / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

    Le 22 septembre 2012 - 00 h 00 - Flers (61)

    Bonjour Mr, J'ai été témoin moi aussi, avec ma femme, de cet ovni, nous sortions de repas vers les 00 h 00, le 22 septembre, nous étions en voitures c'est ma femme qui conduisait, lorsque sur la rocade de Flers, je vois une lumière intense, on aurait pu la comparer à un nuage, de jour, lorsque, tout à coup, il a filé vers la droite a une allure que nous avions jamais vu. J'ai dit a ma femme : c'est quoi qui vient de filer à toute vitesse ? Elle me dit qu'elle ne sait pas.

    En arrivant sur l'axe Flers - Briouze, on revoit ce nuage apparaitre, mais cette fois, il allait de gauche à droite à une vitesse encore incroyable, il restera devant nous jusqu’à la forêt Auvray, cele aura duré environ 25 minutes.

    Le week-end d’après je raconte tout à ma mère et à mon beau père qui ont le sourire aux lèvres, bref ça en reste là.

    Puis samedi ma mère me dit que c'est bizarre, car elle a vu dans un journal que quelqu'un est tombé en panne à Flers et a vu un ovni et qu'elle a regardé la date, cela tombe la même date que pour moi et ma femme.

    Je vous écris, car ça ressemble fortement aux témoignages qu'elle m'a expliqué, qu'elle a vu dans le journal. Par contre  pour moi il n'y avait aucun bruit et une seule lumière intense, ou alors, elle était derrière les nuages ? Pensez-vous que l'on a été témoins du même phénomène ? Merci. Curtis.

    02 Témoins. Source : Ovni - France.

    Le Gouffre de Flers

    Au XVIIe siècle. À cette époque, existe dans un bois situé à quelques encablures de Flers, un prieuré fondé par un pêcheur désireux de se repentir. Des moines y vivent et firent des lieux un endroit riche et luxueux où des habitants (et surtout des femmes) pouvaient s’y rendre. Régulièrement, au cœur de cet édifice religieux, avaient lieu des soirées… pas très catholiques, où la luxure et la gourmandise régnaient. 

    La veille de Noël, à minuit, la cloche qui, d’ordinaire, se faisait entendre à cette heure pour appeler les fidèles à la messe, commença a sonner toute seule. Il y eut alors, dans le réfectoire, un moment d’effroi. 

    À ce moment là, l’un des hommes d’Église décida de trinquer à la santé de Dieu. Il aurait lancé : 

    « Entendez-vous la cloche, frères et sœurs ? Christ est né, buvons rasade à sa santé ! ». 

    Tout d’un coup, des coups de tonnerre retentirent et le ciel s’assombrit. La foudre s’abattit sur le monastère qui se fracassa dans la terre pour laisser place à un lac.

    De ce petit plan d’eau, on entendit les cloches sonnées jusqu’au petit matin. Puis plus rien.

    C'est le Gouffre de Flers. Source : 61actu du 28/12/2018.

     Le Lac des Damnés 

     

     

    Il y a beaucoup, beaucoup d’années existait, sur cet emplacement, un couvent, fondé par un pécheur repentant, en expiation de ses péchés. Durant les premiers temps de la fondation, les moines menèrent si sainte vie que les habitants de la contrée environnante accouraient en foule, pour être édifiés de leurs pieux exemples et de leurs touchantes prédications.

    Mais le couvent devint riche et somptueux, et, peu à peu, les moines se départirent de la stricte observance de leur règle. Bientôt, l’église du monastère demeura fermée, les chants religieux cessèrent de retentir sous ses voûtes, une clarté triomphante ne vint plus illuminer ses sombres vitraux, et la cloche de la prière ne fit plus entendre son tintement matinal pour réveiller tous les cœurs à l’amour de Dieu.

    Mais, en revanche, le réfectoire, réjoui de mille feux, ne désemplissait ni le jour ni la nuit; des chœurs bachiques, où perçaient des voix de femmes, frappaient tous les échos de leur sacrilège harmonie, et les éclats d’une folle ivresse annonçaient au voyageur et au pèlerin qui passaient devant l’enceinte du monastère que le sanctuaire de la dévotion et de l’austérité s’était transformé en une Babel d’impiétés et de dissolutions.

    C’est ainsi, il arriva que, la veille d’une fête de Noël, les moines, au lieu d’aller célébrer l’office, se réunirent pour un profane réveillon. Cependant, quand vint l’heure de minuit, le frère sonneur étant à table avec les autres, la cloche qui, d’ordinaire, se faisait entendre à cette heure pour appeler les fidèles à la messe, commença a sonner d’elle-même ses plus majestueuses volées.

    Il y eut alors, dans le réfectoire, un moment de silence et de profonde stupeur. Mais un des moines les plus dissolus, essayant de secouer cette terreur glaçante, entoura d’un bras lascif une femme assise à ses côtés, prit un verre de l’autre main, et s’écria avec insolence: « Entendez-vous la cloche, frères et sœurs ? Christ est né, buvons rasade à sa santé! ».

    Tous les moines firent raison à son toast, et répétèrent, avec acclamation: « Christ est né, buvons à sa santé ! » Mais aucun d’eux n’eut le temps de boire: un flamboyant éclair, comme l’épée de l’archange, entrouvrit la nue ; et la foudre, lancée par la main du Très-Haut, frappa le couvent, qui oscilla sous le choc, et tout à coup s’abîma à une grande profondeur dans la terre.

    Les paysans, qui s’étaient empressés d’ accourir à la messe, ne trouvèrent plus, à la place du monastère, qu’un petit lac, d’où l’on entendit le son des cloches jusqu’à ce que le coup de la première heure du jour eut retenti.

    Chaque année, disent les habitants du pays, on entend encore, le jour de Noël, les cloches s’agiter au fond du lac ; et c’est seulement pendant cette heure, où les moines sont occupés à faire retentir le pieux carillon, que ces malheureux damnés obtiennent quelque rémission aux tourments infernaux qui les consument de leurs plus dévorantes atteintes. Source : Wiki.

    L'Ecole Alchimique Normande 

     La Demeure Philosophale

     

    Nicolas de Grosparmy a vécu au château de Flers, à qui l'on doit la construction de l’aile Est du château flanquée de ses deux tourelles d’angle entre 1527-1541

    Au début du XVIe siècle, le baron de Flers, Nicolas Grosparmy a adapté en français et fait circuler, sous son nom, des traités d’alchimie du Moyen Âge. Au début du XVIIe siècle, son arrière-petit-fils s’est intéressé à l’alchimie et a fait travailler des alchimistes chez lui. Il va faire circuler les manuscrits des manuscrits des alchimistes de Flers. Ouest-France du 29/10/2015.

    Fulcanelli  évoque le sort de trois alchimistes, de trois compagnons alchimistes :

    « C'étaient Nicolas de Grosparmy, gentilhomme, Nicolas ou Noël Valois , nommé encore Le Vallois d'Escoville, et un prêtre du nom de Pierre Vicot ou Vitecoq. Ce dernier se qualifie lui-même " chapelain et serviteur domestique du sieur de Grosparmy " [...] » [bibliothèque nationale, ms. 14789 (3032) : La clef des Secrets de Philosophie, de Pierre Vicot, prêtre ; XVIIIe siècle]

    « Grosparmy était un gentilhomme du pays de Caux en Normandie ; il y avait, dit-on, trouvé la pierre philosophale dans son château, où il y avait une vieille tour qui fut abattue longtemps après sa mort, et dans laquelle le comte de Flers, son héritier, avait, dit-on, trouvé la poudre de projection qu'a faite Grosparmy et son ami Valois d'Escoville. L'abbé Vicot était précepteur des fils de Grosparmy, et il mettait en vers les découvertes alchimiques du seigneur chez qui il demeurait. »

    Le traité de N. Grosparmy, très intéressant pour l'histoire de l'alchimie, est divisé en deux livres ; le premier est intitulé Abrégé de théorique, le second, le Trésor des trésors. La pensée des trois alchimistes de Flers reste connue par leurs ouvrages. Nicolas Grosparmy composa deux traités: l'Abrégé de Théorique et le Secret des Secrets, traduction assez libre de la Clef d'une plus grande Sagesse, de l'alchimiste arabe Artéfius. C'est ce traité dont parle Chevreul dans sa série d'articles sur Artephius : en effet, jusqu'en 1850, la Clef de la Sapience était attribuée à Alphonse X le Sage. Chevreul prouve que ce traité est de la main d'Artephius ; seul problème : Artephius n'a jamais existé... Dans le même manuscrit (n°160), ce traité est suivi des cinq livres de Nicolas Valois d'Escoville, compagnon du seigneur Grosparmy. Après celui-là, vient le livre du prestre Vicot :

    « Ce livre-cy estoit doré et escrit en parchemin et lettres d'or, et relié aux quatre coins de quatre grands clous d'or ; et en iceluy est déclaré ce que ces meissieurs [Grosparmy, Valois d'Escoville, Vicot] avaient un peu caché, dont ce présent est la copie et l'original. Donc, ceci soit gardé sous le silence, et qu'il ne soit montré à personne s'il n'est parfaict philosophe et homme de bien, en peine d'encourir les tourments et peines éternelles par l'ire de Dieu. »

    Ce trio d'alchimistes qui travaillait à Flers en Normandie, au début du XVe siècle, illustre cette collaboration pour l'accomplissement du Grand Oeuvre. Il s'agit du seigneur de Grosparmy, de son ami Nicolas Valois et de leur chapelain le prêtre Vicot. A la lecture de leurs œuvres, il ressort nettement que Nicolas Valois d'Escoville fut l'âme du groupe, le seigneur de Grosparmy jouant les mécènes, se piquant de traiter de science. Vicot l'illuminé, à l'affût de recettes nouvelles, essayait de découvrir celle enfin capable de faire de l'or ! Aucune des œuvres des adeptes de Flers ne fut imprimée ; cependant il en existe de multiples copies manuscrites généralement très bien exécutées. Source : Alain Garric.

    Comme celles de Carcagny, de Fontaine-Etoupefour (où l'on retrouva dans les douves des fioles, pleines de poudre de projection), les Demeures Philosophales de Caen, Hôtel d'Escoville, la Maison des Quatre Ans, la Manoir de la Tour des Gens d'Armes, la Maison Osmond du boulevard Leroy, etc. témoignent encore de la présence du cercle des alchimistes que fréquentaient, en leur temps, Fucanelli, Canceliet, Champagne.

    Fait intéressant la Normandie, et en particulier la ville de Flers, qu’une des traductions du Traité d’Artefius, intitulé : Clavis majoris sapientiœ est due à un gentilhomme normand, seigneur et baron de Flers au XVIème siècle, Nicolas de Grosparmy, et a passé pour une œuvre originale.

    Le seigneur de Flers ne se livrait pas seul à la pratique du grand-œuvre ; il avait deux associés : l’un était un autre gentilhomme bien connu dans les annales de la ville de Caen, il se nommait Nicolas Le Valois ; les documents que je vais citer disent de Valois, évidement dans le but de donner un cachet plus nobiliaire à ce nom déjà fort noble. Le second était un prêtre du nom de Vicot, qui s’intitule le serviteur de ses deux associés.

    M. Chevreul est possesseur de plusieurs manuscrits dont il a fait l’analyse : l’un est attribué par lui à de Crosparmy, les autres contiennent les élucubrations des deux associés. Il est prouvé par le travail du savant chimiste que ces œuvres ne sont que des traductions plus ou moins libres du Clavis majoris sapientiœ.

    Le manuscrit du seigneur de Flers porte le titre :

    de Grosparmy 

    De gueules à deux jumelles d'hermines accompagné en chef d'un lion léopardé du même.

     

    GROSPARMIS  SEIGNEUR  DE  FLERS.

    Ensuite la copie d’un manuscrit fait par M. de Gros Parmy (sic), seigneur et baron de Flers, et ayant acquis la dite baronnie et fait construire le chasteau du dit lieu.

    Lequel manuscrit contient théorie et pratique, et en dit autant que tous les autres livres ; néanmoins qu’il soit bien couvert, toute l’œuvre y est contenue ; estant bien entendu ; ce qui se peut faire par le moien des autres livres cités au présent.

    Au nom du grand Dieu Trin, un qui a créé toutes choses de rien, qui vit et règne sans commencement et sans fin. 

    A tous féaus disciples de philosophie naturelle.

    S9achant tous que je Nicolas Grosparmy, natif du pays de Normandie, par la volonté de Dieu, allant par le monde de région en région, depuis l’aage de douze ans jusques à l’aage de vingt-huict ans : cherchant et désirant sçavoir l’art d’alchymie qui est la plus subtille partie de philosophie naturelle qui traitte et enseigne de la très-parfaite transmutation des métaux et des pierres précieuses ; et comme tout corps malade peut être ramené et réduit en santé. Le dit temps durant, ay enquis comme l’un des métaux se peut transmuter en l’espèce de l’autre et en ce faisant, ay soutenu moult de peines et de dépences, injures et reproches ; et en ay abandonné la communication du monde et la plus part de ceux qui se disoient mes meilleurs amis, pour ce qu’ils m’avoient en dédain, moy estant en nécessité, en me voulant détourner de l’inquisition du dit art pour ce qu’il leur sembloit que je m’y occupois, et que je détournois de mes autres affaires, et pour a celle chose parvenir, ay quis et esté avec maint compagnon cherchant le dit art comme je faisois, cuidant le trouver par leur moien ; et pour avoir amitié et entrée avec eux, me suis fait leur serviteur, et ay soutenu la plus part de la peine de leurs ouvrages et ay veu et estudié plusieurs livres auxquels la science est contenue en deux manières, l’une fauce, l’autre vraie.

    Que Grosparmy fit la maison des comtes de Flers, en Basse-Normandie, très illustre et très riche, et que l’original de tous ses écrits est entre les mains du comte de Flers, lesquels il tient si chers, et avec raison, qu’il se les cache à luy mesme.

    Ils étaient trois, qui ont possédé l’œuvre , M. de Grosparmy, trisaïeul de M. le comte de Flers, Nicolas Valois, son amy, Pierre Vitcoq ou Vicot, son chaplain.

    Le comte de Flers dont il est ici question, comme arrière-petit-fils de Nicolas de Grosparmy, était Louis de Pellevé, qui après avoir eu une superbe position, mourut dans la détresse en 1660, sans doute toujours en possession du précieux manuscrit, qui ne lui apprit point à faire l’or dont il avait grand besoin.

     M. de Valois, de la maison d’Escoville, a composé cinq livres reliés en un même volume, où il y a au commencement une grande figure ronde enlumunée, et deux fourneaux admirables, de M. de Grosparmy, par le moien des registres duquel on peu éclore les œufs et fondre l’or, lequel livre il faisoit en forme de testament à son fils, le petit chevalier.

    Nicolas de Valois, second amy et compagnon de science et de possession de l’élixir, a basti une maison très splendide à Caen et a laissé quatre terres nobles à ses successeurs, dont l’aîné porte le nom de sieur d’Escoville-Valois, grand seigneur en Normandie, près de la ville de Caen.

    Les quatre terres que M. de Valois avait acquises, il les a basties magnifiquement ; chaque bastiment ne se feroit pas pour cinquante mille escus ; dans l’une, il y a une chapelle, où tous les hiéroglyphes de l’œuvre sont représentés. Il avait épousé, en premières noces une dame Hennquin, qui, par son contract de mariage, ne devoit remporter de douaire que quinze cents livres ; mais le douaire de la seconde femme a esté de plus de vingt mille livres.

    Il a de plus composé un livre très-excellent et très-rare, traittant de la philosophie hermétique, tout plein de figures hiéroglyphiques, lequel est intitulé : Hebdomas hebdomadum cabalistarum magorum bracmanorum antiquorumque omnium philosophorum impteriœ continens.

    Ce personnage a justement acquis une grande célébrité dans la ville de Caen, par la construction de l’hôtel situé place St-Pierre, qui fait encore l’ornement de la cité ; cet édifice, après avoir passé par succession à la famille de Touchet, qui le tenait du poète latin Moysant de Brieux, fut acheté par la ville en 1733, pour en faire un hôtel-de-ville, et, de nos jours, devint l’hôtel de la Bourse.

    Tous les auteurs qui ont écrit sur Caen ont célébré cette somptueuse demeure. De Bras nous apprend quelques particularités sur sa construction.

    Il raconte que, vers l’an 1537, alors que les imaginations étaient encore fort excitées par la quantité de métaux précieux apportés à la suite de la découverte du Nouveau-Monde.

    M. Chevreul cite un écrit de ce personnage, intercalé dans le volume manuscrit attribué à Nicolas de Grosparmy, intitulé :   Recueil par extrait de quelques philosophes adeptes, par ordre alphabétique, où sont reportez (sic) quelques-uns de leurs passages, avec quelques traits de leur vie, par messire Jean Vauquelin, chevalier seigneur et patron des Yveteaux (1700).

    Personne ne pouvait être plus à même de connaître les particularités historiques sur les associés que ce normand;

    M. des Yveteaux, à l’article Valois, dit que :   Celui-ci acheva le grand œuvre en la ville de Caen, où les hiéroglyphes de la maison qu’il y fit bâtir et que l’on y voit encore en la place St.-Pierre , vis-à-vis de la grande église de ce nom, font foy de sa science.

    On se rappelle que ce personnage avait fait graver les hiéroglyphes de l’œuvre dans une chapelle de l’une de ses terres.

    M. Choisy, dans sa charmante description du château et des jardins des Yveteaux, lue à la session de 1864 de l’Association normande, tenue à Falaise, dit de Jean Vauquelin :

    C’était un homme d’étude. Il avait, dans son château, un vaste et riche laboratoire de chimie, science sur laquelle il aurait composé quelques ouvrages. À certaines expressions grosses de mystères, et en grand honneur chez les alchimistes, il est de plus fort à croire qu’il a été adepte des passionnantes chimères du grand œuvre. Source : Alchimie Pratique - Bellator.

    Fleury (50) - Manche - Normandie - France -13/10/2010 - de 03 h 50 à 05 h / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    Il était 3 h 50 du matin. Pris d'une petite faim, je suis parti dans ma cuisine pour prendre un café au lait et un beignet. Mes travaux de maison m'obligent de passer à l'extérieur. A l'ouverture de la porte d'entrée, côté gauche, j'ai vu une lumière multicolore. J'ai observé et patiente malgré le froid. Puis j'ai réveillé ma petite amie. Elle est descendue puis a constaté comme moi.

    Je suis remonte la-haut et ma petite amie m'a demande si c'était encore présent. Je lui ai répondu que non. Je suis tout de même redescendu et j'ai constaté que le même phénomène était de retour. J'ai observé pendant plusieurs minutes. Le phénomène était assez éloigné. J'ai alors appelé la gendarmerie, 2 gendarmes d'Avranches sont venus à notre domicile et ont constaté la même chose que nous : c'est pas un avion normal même si ce phénomène s'était éloigné.

    Ils ont pris mon nom et ont dit qu'ils reviendraient vers moi si info supplémentaire. Lorsqu'ils sont partis (vers 5:00), ce phénomène était relativement éloigné.

    J'ai rappelé la gendarmerie d'Avranches puis celle de Villedieu hier après-midi (14.10.2010) et je les ai informé de l'existence d'un film sur Dailymotion qui ressemble étrangement à ce qu'ai vu quand le phénomène était visible à 3:50.

    Comme demandé par les gendarmes, j'ai regardé hier soir et cette nuit à l'aube des 5:00. Mais rien, le ciel était bien moins clair que le 13.10.2010.

    J'ai aussi appelé MÉTÉO FRANCE hier matin, ils m'ont informe qu'aucune sonde ou autres appareils n'est dans le ciel à cet endroit-la.  Phénomène spatial ? OVI ? OVNI extra-terrestre ou militaire (nous sommes pas très loin de la centrale nucléaire de Cherbourg actuellement sous protection maxi avec les menaces terroristes), ce n'était pas normal, nous étions 4 dont 2 gendarmes, je les rappellerai et je posterai des infos supplémentaires, si j'en ai de la gendarmerie. @+ Anonyme.

    04 Témoins. Source : Ovni-France.

    Notre-Dame-de-la-Jaunisse

    Fontaine et oratoire Notre-Dame-de-la-Jaunisse (fin XIXee siècle). Une légende a été construite autour de la dévotion d'une épouse envers Notre-Dame en l'église paroissiale de Villedieu, dévotion à laquelle fut attribuée la guérison de son mari, médecin à Villedieu, atteint d'une jaunisse tenace dans les années 1880. Il fut raconté que la guérison était due aux vertus d'une fontaine située sur la commune de Fleury et à une apparition sous la forme d'une statuette de la Vierge à proximité. Notre-Dame de la Jaunisse est aujourd'hui invoquée pour les maladies du foie, et un manuscrit y invite le pèlerin à prier et faire dire une messe. [Wikipédia]

     

    La fontaine Notre-Dame de la Jaunisse

    Fleury-sur-Andelle (27) - Eure - Normandie - France - 05/11/1990 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

     

     

    La Pierre Saint-Martin et la Pierre Saint Victor

    La Pierre Saint-Martin est un menhir en calcaire de 1,25 m de haut sur 1,50 m de large et 0,75 m d’épaisseur. Un deuxième morceau est posé à côté. Lors de sa première mention en 1896, il mesurait 1,90 m de haut. Lors des fouilles faites à cette époque par Léon Coutil, il précise qu’il a creusé jusqu’à 1,60 m de profondeur sans atteindre la base du mégalithe, mais l’excavation a révélé la présence de quelques grosses pierres sur le côté (sortes de cales) et de fragments de charbon.

    Une autre pierre située 60 m plus haut dans le bois et connue sous le nom de « Pierre Saint-Victor », est signalée à l’historien. Il s’agit d’un autre bloc de calcaire mesurant 2 m de longueur sur 1,20 m de largeur. Encastrée dans le sol, sa partie émergée ne mesure qu’un mètre de haut. En fait, il ne s’agit que d’un affleurement calcaire tout à fait naturel. Les deux pierres sont séparées par une fosse de 20 m de diamètre en partie remplie de silex et de pierres calcaires. Le menhir est mentionné pour la premièr
    e fois par Léon Coutil dans son Inventaire des menhirs et dolmens de France : Eure publié en 1896. Une photo des fouilles est même retrouvée et publiée en 20083. Dans un autre article publié en 1918, Coutil précise que lors de sa visite aux mégalithes, « nous avons vu des rubans de coton attachés dans les arbres par des pèlerins venus intercéder ces pierres », soulignant le caractère sacré qui a entouré ces pierres et assuré leur protection.

    Certaines traditions populaires qui perdurèrent jusqu’au xixe siècle voulaient que les jeunes époux, le jour de leur mariage, glissent quelques pièces de monnaie dans les anfractuosités de la pierre afin de garantir leur bonheur futur.

    Dans l'Antiquité, le site était occupé par une station romaine sur la voie entre Paris et Rouen. Clovis aima trouver retraite sur l'île du Moulin il y enterra des débris de la Sainte Croix . La légende dit que Merlin venait y cueillir la branche de pommier dans l'eau sacrée de l'île. Les templiers y bâtirent la salle du grand chapitre qui occupait leur écriture. Les illuminatis conservèrent sur le lieu de nombreux parchemins et ouvrages dont nous n'avons plus la trace souterraine aujourd'hui. L’île aux mille vertus est aujourd'hui tombée dans l'oubli. [Wikipédia].
     

     
     Fleury-sur-Orne (Allemagne 14)
     
    Septembre 1896 - Disparition  -  Lundi, M. Roberge, mécanicien au chemin de fer, demeurant à Allemagne [Fleury-sur-Orne], appelé par son service à la gare, se rendait à son poste, laissant son père, âgé de 58 ans, seul à la maison. Depuis ce moment, il ne l'a pas revu. Sachant que son père avait l'habitude de se promener en bateau sur la rivière l'Orne, M. Roberge fit des recherches qui n'ont amené aucun résultat. (Source  : Le Bonhomme Normand).
     
    [Les disparitions inquiétantes de personne sont mortelles dans 29 % des cas, provisoires dans 30 % des cas et continuelles ou définitives dans 41 % des cas. La concordance territoriale entre les épicentres des apparitions des ovnis et les disparitions inquiétantes accrédite la thèse de l’ingérence parasitaires des exogènes-polymorphes comme principaux acteurs de ces disparitions, de même que le factuel des états somnambuliques des personnes disparues/retrouvées et qui montrent les symptômes identiques de désorientation, d’amnésie, de perturbation psychique, de missing time, etc. des RR4 ou des phénomènes dits des abductions ufologiques. NFO].

    Juin 1861 - Orages et incendie - Depuis dix heures du matin, un violent orage menace d'éclater sur Caen. Le tonnerre se fait entendre et le ciel est chargé de gros nuages.

    Au moment de mettre sous presse, nous apprenons que la foudre est tombée sur une ferme, à Allemagne, à laquelle elle aurait communiqué le feu, et que nos sapeurs-pompiers viennent de partir dans cette direction pour porter secours. ( L’Ordre et la Liberté).

    [Les épisodes orageux, le phénomène de la foudre, ouragans, tempêtes, ou les aurores polaires et les lueurs célestes inhabituelles, accompagnent généralement l'émergence des Portes Induites/Vortex/Pontifex/Portex/ Puits à énergie potentielle. NFO].

    Un patrimoine unique en Europe.
    Le vaste site sur lequel est bâti le nouveau quartier de Fleury-sur-Orne est l’héritier d’une longue histoire de 7 000 ans. Les 80 hectares de son sol et son sous-sol recèlent de nombreux vestiges révélés par les fouilles archéologiques préventives menées par l’INRAP.

    Monuments du néolithique

    (-5 000 à -3 000 ans avant JC)

    Le Néolithique voit se répandre l’agriculture, l’élevage, la sédentarisation avec le développement de l’architecture. Au cours de cette période apparaissent de nouveaux types de monuments funéraires : ce sont des tertres allongés, en forme de cigares d’environ 2m de hauteur, enserrés par un fossé. Le plus grand découvert sur le site Hauts de l’Orne fait 400 m de longueur, ce qui en fait le plus long monument funéraire d’Europe, toutes époques confondues.

    Chaque monument est conçu pour abriter un seul défunt remarquable. Les sépultures les plus caractéristiques sont très grandes – 3,5 à 4 m de long – et contiennent un homme en armes : hache polie, un arc et des flèches. Des moutons entiers sont placés en guise de provision auprès du défunt, pour son dernier voyage.

    Certaines tombes du site étaient accompagnées par des alignements de totems, réalisés à partir de troncs entiers, dans le même esprit que les alignements de dolmens des rives de l’Atlantique dont ils sont contemporains. [Les Hauts de l'Orne]

     

     Nécropole néolithique de Fleury-sur-Orne (14)

    trou d'homme

    (1) La nécropole néolithique de Fleury-sur-Orne est un site archéologique d’époque néolithique situé à Fleury-sur-Orne, au sud de Caen, dans le Calvados, en Normandie. Reconnu par l’archéologie aérienne, il a été l’objet d’une fouille préventive en 2014 qui a permis de mettre en évidence la présence de sépultures monumentales datées de 4500 av. J.-C., ce qui en fait un site unique dans la région mais également au plan national. Le site illustre le monumentalisme de la culture de Cerny. Parmi la vingtaine de monuments identifiés, seul un était en relatif bon état de conservation lors des fouilles, les autres étant repérables par les traces laissées par les fossés situés à leurs abords. Le site a été remis en état après la fouille, afin d'accueillir une partie de la nouvelle zone d'activité de Fleury-sur-Orne, accompagnée de nouveaux logements.

    La nécropole est datée du Néolithique initial, vers 4500 av. J.-C. Elle est composée d’un type de monuments funéraires déjà reconnus dans l’Yonne, à Passy, où la construction était composée de terre et de bois, associée parfois à une palissade et des fossés.

    La nécropole de Fleury a probablement été utilisée durant plus de quatre siècles. Une vingtaine de tombes ont été identifiées, dont un monument en bon état de conservation.

    La longueur des monuments varie de 12 à plus de 300 m. Les fossés vont pour leur part de 0,20 m à plus de 15 m de largeur. Un seul édifice a été conservé grâce à un chemin antique. Au milieu se situait un tertre construit selon un mode de construction original, de murs en « mottes de gazon » empilées. La construction était composée aussi de fragments de calcaire.

    Chaque tumulus devait à l’origine mesurer environ 2 m de haut et comportait une seule sépulture, sauf exception. Les tombes mesuraient 3,50 à 4 m et abritaient le squelette d’un homme avec ses armes, des pointes de silex ayant appartenu à un arc. L’individu était accompagné d’un mouton enterré à ses côtés. [Wikipédia].

    [Depuis les époques les plus reculées de la préhistoire, l'office des devins, mages, spirites, voyants, qui perpétuent le culte ancestral des morts, est de consulter les esprits, avec l'édification de temples voués à la pratique animiste/chamanique de la nécromancie, de la transe médiumnique possessive des occultistes par les entités éthérées métamorphes, goules parasitaires et mânes nécrophages, ou âmes (noosphères) vagabondes immanentes, qui parodient les esprits des morts tout en se repaissent des effluves des corps vivants ou en décomposition. NFO].

    Fontenay-le-Marmion (14)

    Tumulus de la Hogue à Fontenay-le-Marmion (14)

    Le site de la Hogue est découvert en 1829 par des ouvriers qui y extrayaient des pierres pour réparer les chemins communaux. En 1830-1831, des fouilles y ont été diligentées par la Société des Antiquaires de Normandie. Entre 1834 et 1835, le site subit de nouvelles extractions de pierre. Le propriétaire du château de Fontenay, M. le Hardelay, achète le site en 1840 pour le sauver d'une destruction totale. Léon Coutil y mène plusieurs fouilles (en 1904, 1906, 1908 et 1917) afin de restaurer le site et celui-ci est classé au titre des monuments historiques depuis le 26 décembre 1905. À la fin des années 1960, la campagne de restauration du parement extérieur conduit Édouard Laignel à fouiller la chambre A.

    Le tumulus, qui devait à l'origine atteindre 8 m à 10 m de hauteur, est situé au milieu des champs de la plaine de Caen, sur les terrains calcaires de la période jurassique. Le tumulus ovalaire mesure 49 mètres de long dans le sens nord-sud su 37 mètres de large, dans le sens est-ouest ; le quart nord-ouest de l'édifice a été détruit par les extractions successives de pierres, la façade est étant la mieux conservée.

    Dessins anciens du tumulus.

    Le cairn renfermait, lors de sa découverte, douze chambres funéraires sub-circulaires accessibles par des couloirs en pierres sèches dont les entrées se situent de façon rayonnante autour du monument, sans orientation particulière. Les chambres étaient recouvertes par encorbellement. Dans l'une des chambres, le couloir d'accès comportait encore une dalle de calcaire reposant à l'horizontale sur deux piliers verticaux.

    La chambre A mesure (3,80 m de diamètre) comporte un compartimentage interne constituée de petites dallettes en calcaire posées sur chant.

    Il existe, à 500 m du site un autre monument du même type, le tumulus de la Hoguette.

    Selon la tradition locale, il s'agissait d'un ancien cimetière romain. En 1902, l'archéologue Léon Coutil écrit: « D'après une légende, les Romains ayant livré une grande bataille dans les plaines de May et de Fontenay, leur général fut tué et enterré à la Hogue : chaque soldat apporta une pierre sur son corps, en signe de deuil. Depuis, on croyait que de nocturnes apparitions avaient eu lieu en cet endroit. Les fouilles ont dissipé cette croyance à un immense trésor qui aurait été caché sous ce tumulus. »

    Le tumulus de la Hoguette est un tumulus daté du Néolithique situé à Fontenay-le-Marmion, dans le département du Calvados, en France. La découverte sous le cairn de tessons d'une céramique particulière a donné ultérieurement son nom à une culture archéologique dite « groupe de La Hoguette » pour caractériser l'unité temporelle et matérielle de plusieurs sites néolithiques d’Europe.

    Le tumulus de la Hoguette est un monument funéraire du même type que son voisin, le tumulus de la Hogue situé à 600 mètres, mais de taille plus petite d'où son diminutif en -ette. Les deux ensembles, architecturalement très homogène, correspondent à des cairns à chambres multiples de type armoricains (Île Guenioc, Cairn de Barnenez,  Cairn de la Ville-Pichard) dont ils constituent les éléments les plus avancés vers l'est.

     

    Plan général du monument.

    Le cairn fut édifié à mi-pente du versant nord d'une vallée peu profonde. Le cairn mesure 29 m de long pour 21 m de large. Ses côtés nord-est et sud-est sont rectilignes et se coupent à angle droit, à l'ouest sa forme s’arrondit. L'ensemble est ceinturé d'un parement et couvre une superficie d'environ 550 m.

    Le cairn renferme sept chambres funéraires, de forme circulaire, chacune étant accessible par un couloir : trois ouvrent au nord-ouest, trois au sud-est et une au nord-est. Il est constitué de dalles calcaire posées à plat directement sur le paléosol. Les côtés externes du cairn, ceux des chambres et des couloirs sont délimités par un parement vertical assez soigné. Deux types de calcaire d'origine locale ont été employés : un calcaire dur et compact pour les parements, un calcaire plus tendre dans le reste de la structure. Du fait de l'arasement du cairn, dont la hauteur désormais ne dépasse pas en moyenne 0,80 m au nord et 0,50 m au sud, le mode de couverture des chambres demeure inconnue mais il devait être du type à encorbellement comme au tumulus de la Hogue, quant aux couloirs, aucune dalle de couverture n'a été retrouvée.

    La mauvaise qualité du calcaire utilisé (calcaire très gélif) a probablement entraîné un effondrement rapide de la partie supérieure du cairn. En outre, de nombreuses fosses d'extraction de la pierre y ont été pratiquées ultérieurement détruisant en grande partie la chambre III et le couloir de la chambre VI.

     Matériel funéraire

    Le nombre de d'individus inhumés par chambre est variable : 14 dans les chambres I et III, 4 dans la chambre II, 8 dans la IV, 9 dans la V, 6 dans la VI, 5 dans la VII. Tous les corps avaient été déposés en position décubitus latéral avec les membres fléchis. Dans la chambre I, les crânes ont été découverts posés sur une dalle de calcaire et protégés par deux autres dalles formant un petit toit. Dans la chambre II, les ossements étaient protégés par des dalles en position horizontale. Les datations au C14 des ossements indiquent un intervalle compris entre 3 610 et 3 100 av. J. C..

    Le mobilier retrouvé est composé principalement d'outils lithiques et de fragments de poteries ; un seul élément de parure (un coquillage marin) a été découvert. L'outillage lithique (lames, couteaux) a été retrouvé dans les chambres I, II et VI sur ou sous le dallage et à l'extérieur du cairn (grattoirs, tranchets), cette distinction pratiquée entre les deux types d'outils et leur disposition semble intentionnelle. Les fragments d'un petit vase de type chasséen furent découverts à l'extérieur du cairn, tandis que des fragments de deux grands vases de stockage à fond rond furent recueillis dans le sol fossilisé sous le cairn, donc antérieur à la construction des chambres funéraires. Ces vases comportent un décor en guirlande réalisé avec un poinçon bifide. Faute d'éléments de comparaison, ils furent qualifiés de « danubien » lors de leur découverte. En 1983, l’archéologue Christian Jeunesse effectue le parallèle avec des tessons comportant le même type de décor découverts dans l'est de la France, aux Pays-Bas, en Belgique, Allemagne et Suisse et propose le nom de « groupe de La Hoguette » pour caractériser l'unité temporelle et matérielle de plusieurs sites néolithiques d’Europe.

    Le mobilier funéraire du crématoire comportait des poteries (une bouteille à collerette entière, dont le style peut être rapproché de celles de Kergüntuil, des fragments de poterie du type « pot-de-fleur » assimilé à la culture Seine-Oise-Marne), des outils lithiques (une armature de flèche à tranchant transversal, des fragments de lames brutes), un petit outillage osseux (à l'état de fragments) et quelques éléments de parure (deux perles cylindriques en roche dure, des fragments de coquille de Dentalium).

    L'ensemble traduit une unité ethnique avec des phénomènes d'acculturations de provenances diverses. [Wikipédia].

    Juillet 1906  -  Les fouilles  -  Fouillé entre 1829 et 1832 par la société des antiquaires de Normandie, puis en 1904 par un archéologue, après avoir servi de carrière à la commune,  entre-temps..., Classée monument historique de l'année suivante, le tumulus préhistorique de Fontenay-le-Marmion est interdit au public par une grille. [USHC].

    [Depuis les époques les plus reculées de la préhistoire, l'office des devins, mages, spirites, voyants, qui perpétuent le culte ancestral des morts, est de consulter les esprits, avec l'édification de temples voués à la pratique animiste/chamanique de la nécromancie, de la transe médiumnique possessive des occultistes par les entités éthérées métamorphes, goules parasitaires et mânes nécrophages, ou âmes (noosphères) vagabondes immanentes, qui parodient les esprits des morts tout en se repaissent des effluves des corps vivants ou en décomposition. NFO].

    Fontenay-le-Pesnel (14)

    Février 1903 -   Disparition  -  Le sieur Charles Lepleux, 76 ans, journalier à Fontenay-le-Pesnel, près Tilly-sur-Seulles, est disparu depuis le 26 janvier du domicile de son fils Eugène, journalier chez lequel il demeurait. On ne sait ce qu'il est-devenu.

    - Le sieur Émile Dechan, 45 ans, ouvrier jardinier, domicilié route de Ouistreham à Caen, est disparu de son domicile depuis le 20 janvier dernier. Il est Veuf et vivait seul.   (Source : Le Bonhomme Normand).

    [Les disparitions inquiétantes de personne sont mortelles dans 29 % des cas, provisoires dans 30 % des cas et continuelles ou définitives dans 41 % des cas. La concordance territoriale entre les épicentres des apparitions des ovnis et les disparitions inquiétantes accrédite la thèse de l’ingérence parasitaires des exogènes-polymorphes comme principaux acteurs de ces disparitions, de même que le factuel des états somnambuliques des personnes disparues/retrouvées et qui montrent les symptômes identiques de désorientation, d’amnésie, de perturbation psychique, de missing time, etc. des RR4 ou des phénomènes dits des abductions ufologiques. NFO].

    Janvier 1843 - Nouvelles locales -  Indépendamment de sept ou huit arbres qu'il a renversés sur le Grand-Cours, l'ouragan de la semaine dernière a fait tomber un des pilastres de la grille du Collège royal, du côté du parc, et roulé, en les détachant, quelques-unes des larges plaques de zinc qui se trouvent sur la toiture du cabinet d'histoire naturelle.

    Il serait impossible d'énumérer toutes les réparations auxquelles a donné lieu cette tempête, et tous les ravages qu'elle a causés !

    Ces jours derniers, pendant les orages qui ont passé sur nos contrées, le tonnerre est tombé au milieu de la route de Condé à Harcourt, presqu'à la tête du cheval d'un voiturier, mais sans causer aucun accident. La violence du vent a culbuté et déraciné même bon nombre d'arbres fruitiers et forestiers.

    La foudre est tombée mardi dernier, à Fontenay-le-Pesnel, elle a renversé et brisé en éclats un arbre situé vis-à-vis l'auberge du sieur Hodan, dont plusieurs vitres ont été réduites en poussière au même moment. (source : L’Indicateur de Bayeux).

    [Les épisodes orageux, le phénomène de la foudre, ouragans, tempêtes, ou les aurores polaires et les lueurs célestes inhabituelles, accompagnent généralement l'émergence des Portes Induites/Vortex/Pontifex/Portex/ Puits à énergie potentielle. NFO].

     

    Fontaine-Étoupefour (14) - Calvados - Normandie - France - 08/09/1979 - 25/11/2004 - 20 h 15 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    Le Tunnel des Lumières

     

    Fin du repas, mes enfants sont dans notre maison, je sors sur la terrasse pour fumer ma cigarette.

    A ma droite, une lumière très forte attire mon attention, je vois très nettement une forme plate (une sorte de rectangle), très lumineuse.

    Les 2 extrémités possèdent une lumière puissante de couleur blanche, au milieu, plusieurs lumières de couleur : rouge, jaune, bleu.

    Cette forme est immobile, à basse altitude. Pas de bruit.

    Ayant sous la main des jumelles (pour observation d'oiseaux), je les attrape et avec encore plus de netteté j'observe cet objet.

    Cette forme ne ressemble en rien ni : à un avion, à un hélicoptère, à un satellite.

    Prise de peur, je décide de monter au dernier étage de notre maison, où mes fils ont leur chambre afin de les faire participer à cette vision.

    Le temps que j'arrive à l'étage, plus rien ! 01 Témoin. Source : Les Ovnis en France.

    Extrait du Catalogue de Normandie - France - Ovnis : Seine-Maritime (76), Orne (61), Manche (50), Calvados (14)

    Fontaine-Étoupefour (14) - Les crins des chevaux

    Mai 1892 - Les voleurs de crins - Les cultivateurs des environs de Bayeux sont dans la consternation. Des malfaiteurs, pour voler du crin, ont mutilé une série d'animaux. A St-Loup-Hors,  on a coupé un tronçon de la queue d'une vache appartenant au sieur Lucien Delauney. Sur le même territoire, on a coupé la queue à cinq vaches, au sieur Oscar Anne. 

    —   A Vaucelles, on a coupé la queue à une jument appartenant au sieur César Adeline. Précédemment, deux juments appartenant au sieur Désiré Gouesmel cultivateur à Sully, avaient eu la queue coupée, et une jument, appartenant au sieur Lucien Drieu, cordonnier, à Magny, avait subi la même mutilation. L'un de ces malfaiteurs, est dit-on, arrêté. 

    —  A Fontaine-Etoupefour, on a coupé les crins des queues aux chevaux de plusieurs cultivateurs, M. Bonpaim, propriétaire le plus éprouvé, évalue à 4 000 fr. le préjudice à lui cause, ses chevaux étant préparés pour la remonte. (Source : Le Bonhomme Normand). [Le crin des cheveaux sert à confectionner des amulettes-magiques - NFO].

     

    Château de Fontaine-Etoupefour

    Patrimoine classé monument historique. Le château de Fontaine est un des plus curieux qui nous restent dans l'arrondissement de Caen. Un personnage prestigieux de Caen, Nicolas Le Valois d’Escoville (de l'école alchimique normande) acquiert la seigneurie de Fontaine vers 1530. Son fils, Louis, entreprit de compléter le "Châtelet" dont l’actuel pavillon d’entrée sert de logis au comte et à la comtesse Henry Jégou du Laz, descendants des Le Valois d’Escoville, par la construction, en 1583, d’une vaste demeure appuyée au sud contre une tourelle d’angle qui subsiste. Ce corps d’habitation fut partiellement démoli il y a un siècle et demi à la suite d’un incendie.

    Lors d'un drainage des douves, au XXe siècle, des fioles dont certaines contenaient une poudre cristalline rouge ont été retrouvées, et dont le contenu a été analysée (à l'université de Caen) révélant la présence d'un oxyde de cinabre (poudre de projection aurique), le propriétaire (et son épouse) de cette invention, a réalisé une expérience de projection sur du plomb (ordinaire) fondu, à leurs risques et périls, provoquant une dangereuse explosion. Sources : Ufo-Génpi - M-V.L.

    Fontaine-la-Mallet (76) - Seine-Maritime - Normandie - France - 1980 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

     


     

    C'était en 1980, il faisait jour, c'était l'après-midi et mon père est sortit dehors, devant chez lui. Je sais que sa maison était plutôt isolée, il y avait de la forêt tout autour (c'est pour préciser que ça ne s'est pas passé en pleine ville, plutôt à la campagne). Dans le ciel, il a vu un ovni qui volait plutôt à basse altitude, en-dessous des nuages du moins, et se déplaçait à vitesse normale, ni très rapidement ni très lentement. Il était silencieux, et assez grand, d'après ce que le témoin a pu voir.

    L'engin était de forme ovale sans être allongé, d'une couleur claire, jaune-orangée, parcouru d'hublots. Ces détails ont pu être observés puisque l'ovni était assez proche et qu'il faisait bien jour, c'est surtout l'absence de bruit qui était surprenant. Il a observé cet engin jusqu'à ce qu'il disparaisse au loin.

    Il lui semble qu'il se dirigeait vers le sud, quoiqu'il n'en est pas sûr, car il ne se souvient plus de l'exposition de la maison. Je vérifierai avec lui sur Google Earth pour être sûr.
    Je lui ai déjà demandé si ce n'était pas un dirigeable, mais il est sûr qu'il s'agissait d'un ovni.
    Il me semble que j'avais entendu il y a longtemps un témoignage d'un pilote ayant aperçu un engin ressemblant à celui-ci, à la même époque. Jennifer. 01 Témoin. Source : Les Mystères des Ovnis.

    Compagnon d'Armes de Jehanne

    La Ballade du Cheval Mallet

    On raconte que dans les temps anciens, un cheval fabuleusement magnifique mais maléfique apparaissait parfois le soir ou au milieu de la nuit, blanc comme le brouillard, bien sellé et bridé, pour tenter le voyageur épuisé par un long voyage.

    Le fait se produisait le plus souvent par une nuit sans lune. Alors, le voyageur fatigué se laissait tenter et enfourchait cette monture.

    Aussitôt, le cheval se mettait à galoper sans que personne ne puisse l’arrêter, comme un ouragan déchaîné, naseaux fumant et yeux étincelants éclairant l’horizon.

    Sa chevauchée fantastique se terminait toujours au matin par la mort du cavalier qui, jeté à terre, mourrait sur le coup ou alors se laissait piétiner à mort par sa monture, puis jeté dans un précipice ou dans une fontaine. Près du corps, on retrouvait souvent des traces de sabot « à la forme étrange ».

    - Jeter six pièces de monnaie marquées d'une croix devant lui pouvait le stopper.
    - Effectuer un signe de croix, utiliser de l'eau bénite ou un sou marqué.
    - Mais la seule protection véritablement efficace était une médaille de Saint Benoît (dite « croix des sorciers »).

     Le seul salut pour le voyageur était d'avoir sur lui la rançon du voyage :

    Les lettres (VRSNSMVSVQLIVB) qui figurent autour de la médaille de Saint Benoît protègent des périls, sont censées signifier :

    Vade retro, Satana ; Non suadeas mihi vana ; suntvana quae libas ; ipse venena bibas : Mets-toi derrière moi, Satan ; Ne me conseillez pas en vain ; il y a des choses vaines; tu bois toi-même ton poison.

    Un soir, un homme croisa un cheval Mallet, et parvint à le soumettre pour se faire emmener à Paris en faisant un grand signe de croix et en tenant la médaille de Saint Benoit haut devant, lui ordonnant : Cheval Mallet, au nom du grand Saint Benoit maintenant tu va m’obéir, Y’a bien longtemps que je veux aller à Paris, tu vas m’y conduire, et tu me ramèneras ensuite auprès de mon épouse. 

    Ne voyagez pas sur un cheval inconnu, ayez toujours dans votre poche la rançon du voyage.

    C’est un vrai cheval Mallet désigne une personne intrépide et ardente. Source : Mélusine.

    Fontenai-les-Louvets (61) - Orne - Normandie - France - 22/09/2012 - Étangs de Fontenay-les-Louvets en forêt d’Écouves - juillet 1971 - le matin / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

    Le témoin, Mr. L., marié (26 ans), père de deux petites filles, préfère rester anonyme.

    Ce matin-là comme les années précédentes, en juillet et août, je partais souvent pêcher aux étangs de Fontenay, et comme souvent à cette époque de l’année, le paysage offrait avec le lever du soleil, la formule parfaite pour la photo du calendrier.

    Me dirigeant vers le contre-bas de l’étang pour y récupérer la bouteille que j’avais entreposée au frais. C’est à ce moment précis que tout se déclencha.

    Un objet brillant en reflet sur l’eau attira mon attention. Je fixais brusquement le point brillant et levais aussitôt les yeux au ciel pour m’apercevoir que je n’avais pas rêvé. Ce point brillant paraissait tout d’abord  minuscule dans cet immense ciel bleu.

    Je crus en un premier temps à un avion, mais cette hypothèse était toute de suite exclue, le point brillant étant stabilisé depuis trois bonnes minutes. On aurait dit une étoile en plein jour.

    La comparaison me parait valable. Puis d’un seul coup, à une vitesse prodigieuse le point brillant passa de ma droite à ma gauche en une fraction de seconde, avant de disparaitre derrière les sapins, qui au sommet de la forêt ressemblaient à une ligne droite comme l’horizon.

    J’ai quand même pu distinguer sa forme, car sa grosseur avait augmenté d’une bonne dizaine de fois.

    On aurait dit comme un ove gélatineux, je m’explique en ce sens qu’en mouvement la forme ressemblait à une goutte de plomb qui vient d’échapper à son bain de fusion et qui dévale sur un plan incliné. Quand je parle de forme celle-ci est dure à définir parfaitement, tant la brillance et la luminosité étaient importantes.

    Puis derrière les arbres, plus rien. Après être resté pétrifié pendant quelques secondes, j’ai aussitôt après remonté le chemin forestier, enfourché mon vélo en laissant le matériel de pêche et tout le reste.

    Je me suis dirigé chez un copain de classe qui habitait chez ses parents à Fontenay.

    En arrivant je l’ai trouvé au jardin. Après lui avoir raconté » ma vision, nous avons aussitôt après pris le chemin de l’étang, où nous étions rendus en dix minutes.

    En nous avançant dans le chemin forestier je ressentais intérieurement une peur qui me faisait naître des larmes aux yeux. La forme bizarre pouvait s’être posée à une distance à vol d’oiseau égale à un km. Arrivés au bord de l’étang un silence total nous fit nous regarder avec des yeux exorbités. Seul le gazouillis de la cascade restait dans le domaine du normal.

    On aurait dit que tous les oiseaux de la forêt avaient soudainement disparu. Et, la seule chose que nous avons pu constater c’était la disparition de toutes mes affaires, abandonnées sur place. Cette dernière avait-elle une quelconque relation avec l’apparition ? Seuls les oiseaux le savent.

    Voilà en rentrant le soir chez moi je n’ai pu fournir ni aucune autre explication à mes parents, ceux-ci ne m’ayant pas cru. Un gamin des dix sept ans raconte n’importe quoi !

    Signalons qu’une observation similaire s’est produite le 26 août 1974, et ceci à quelques kilomètres seulement de l’endroit où Mr. L. effectua la sienne. (se reporter au livre de MM. Figuet et Ruchon pour l’observation du 26 août 1974). 02 Témoins. Source : Enquête MM. Hermenier et Petit. LDLN n° 202.

    Les Bornes

     Les bornes de la forêt d'Écouves, au nombre de 80, sont des bornes du XVIIIe siècle, en granite, indiquant les carrefours et directions dans la forêt d'Ecouves.

    borne de la forêt d'Écouves

    (1) Forges-les-Eaux (76) - La Ronde des Fées / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    Les belles nuits d'été les Fées de la vallée d'Epte se réunissaient au cœur même du village de Forges. Un soir, elles étaient venues très nombreuses, et dansaient une ronde sur la grande place. Quelques habitants, attirés par ce joyeux spectacle, étaient sortis de leur demeure, et, de loin, contemplaient le bal des Fées.

    L'un d'eux, plus hardi, applaudissait de ses deux mains de rude ouvrier. Il se nommait Uger. Une des Fées le remarqua, quitta ses compagnes, et vint l'inviter à danser avec elle. Uger accepta, et la Fée l'entraîna dans la ronde.

    Puis, quand ce fut fini, elle remercia et lui dit : Ami, tu m'as fait plaisir ; je veux te laisser un témoignage de mon contentement. Que désires-tu comme récompense ? Oh ! répondit Uger, peu de chose. J'ai très soif : donnez-moi une bouteille de bon cidre !

    Soit ! fit la Fée. Aussitôt, elle entraîne Uger un peu à l'écart, dans une ruelle sombre, et, de sa baguette, frappe une grosse pierre au pied d'une muraille. Miracle ! A l'instant même, le caillou se trouve changé en une bouteille bien bouchée.

    Prends-là, dit la Fée. Et, si tu sais garder le secret sur ce qui vient de se passer, tu pourras boire à cette bouteille sans jamais la vider : toujours elle sera pleine.

    Uger promit d'être discret. Alors, soudain la Fée disparut.

    A quelques temps de là fut célébrée la fête du pays, la fête des forgerons, la Saint-Eloy. Il y eut grande influence dans les cabarets, et on y but beaucoup. Uger  fit comme les autres, si bien qu'à la fin de la soirée il s'endormit lourdement sur une table entourée de buveurs.

    Malheureusement pour lui, son sommeil fut agité, et il se mit à rêver tout haut. Il prononçait des mots sans suite :

    Quel bon cidre ! La bouteille est toujours pleine. La bonne demoiselle me l'avait promis. Vous voudriez savoir mon secret ? Inutile, je ne le dirai pas.

    La bouteille jamais plus se remplit.

    Voilà comment Uger fut puni d'avoir été trop bavard, et de n'avoir pas tenu la parole donnée. Aujourd'hui, sur la grande place de Forges-les-Eaux, débouche encore l'antique Rue des Fées.

    Source : Sfil, Contes de Normandie.

    (2) Forges-les-Eaux (76) - Seine-Maritime - Normandie - France - 04/04/1986 - 21h 35 / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

    Les Chasseurs d'Ovnis

    De Forges - les  - Eaux à Pierrval (76)

    21 h 45 : Le vendredi 04 avril, je regardais la télévision lorsque le téléphone sonne. Un ami ufologue de notre groupe, Charles, habitant Forges - les - Eaux, m'annonce qu'avec sa femme, ses trois de ses enfants et une amie, ils observent une forme qui oscille à basse altitude.

    A la jumelle, cela ressemblait à une assiette renversée avec un genre d'antenne sur le dessus. (Nous avons retrouvé dans nos archives une photo qui fut prise à Rouen, le 05 mars 1954, d'un objet similaire) - Note ufo-Génpi : cette photo de Rouen, prise soi-diant par un pilote de chasse, le 5 mars 1954, ou le 12 mars 1954, ou 1957, est un resucé des photos de Mac-Minville, prises le 11 mai 1950 ; toutes ces hotographies sont des montages des Sévices d'Etat Secrets qui, depuis toujours, accéditent dans la coulisse avec le divulgation publique ce genre de faux (et avec la fuite volontaire de faux rappots secrets), la thèse supposant des vaisseaux extraterrestres conventionnels, visiteurs de notre planête, afin de dissimuler une réalité occultée.

    Charles : " A 21 h 35, en ouvrant les volets de ma chambre, j'aperçus à hauteur des arbres une grosse boule orangée qui se déplaçait, descendait et remontait très lentement. Cette boule se trouvait à 242° ouest, 20 à 25° de hauteur angulaire.

    J'ai donc pris mes jumelles, au-début, je ne voyais qu'une boule se balançant, mais au bout de 02 à 03 minutes, cette boule s'est penchée et, là, à ma grande surprise, j'ai vu nettement une forme de "soucoupe" ; je n'aime pas employé ce terme, mais c'est exactement ce que j'ai vu, une soucoupe avec à son sommet une antenne.

    J'ai donc appelé ma femme et mes enfants pour qu'ils me disent ce qu'ils voyaient. C'était la même chose. A 21 h 45, je me suis décidé à appeler le responsable régional de LDLN.

    Celui-ci, n'était pas étonné de mon appel, car lui aussi à ce moment-là observait une boule dans le ciel.

    Nous avons pris rendez-vous pour observer ces phénomènes.

    Je suis parti avec mes deux fils. Pendant quelques kilomètres j'observais, légèrement sur ma droite cette "chose" mais avant d'arriver à Buchy, celle-ci s'est déplacée et seuls mes enfants pouvaient la voir.

    Nous avons perdu la trace de l'ovni et sommes arrivés au rendez-vous fixé avec mon ami ufologue."

    22 h10 : Rencontre avec Charles et ses deux fils. Nous quittons la RN 25 et nous nous enfonçons de 500 mètres dans la campagne pour être tranquilles.

    De là, nous observons tout d'abord une toute petite boule blanche qui parcourt les airs à très basse altitude (environ 25 °) sans clignoter, sans changer d'éclat, sans bruit, en tout durant une bonne minute.

    Nous apercevons une série de flashs lumineux, blancs de grande envergure venant de l'autre côté de la RN 88. En même temps, nous voyons une boule rouge au-dessus d'un bosquet. Après nous être assurés que ces flashs n'émanent pas de phares de voitures (ceux-ci sont trop petits par rapport au rayon de ce flash), nous partons en direction du lieu où se situe cette boule, traversons la nationale et nous nous arrêtons, feux éteints, pour attendre un nouvel éclair, et nous diriger vers lui.  Celui-ci ne tarde pas, il ne semble pas loin. Nous remontons en voiture, parcourons encore 700 m et stoppons près d'un château d'eau.

    Au bout de quelques secondes, nous apercevons un engin assez important qui s'envole de derrière le château d'eau en prenant la direction de l'est.

    A la jumelle, cet engin, à relativement peu de distance de nous (moins de 100 m) nous parait énorme, d'aspect solide, sans halo mais habillé de 02 grosses lumières blanches à l'avant, 02 oranges vers l'arrière, et une sorte de gyrophare en bout dont la luminosité augmente et diminue sans arrêt et très lentement.

    Cet objet disparaît après avoir fait un cercle de 180 degrés, d'ouest où a débuté l'observation, en est où elle s'est terminée.

     Nous sommes retournés ensuite à notre premier poste d'observation. Plus rien n'a été observé, la boule rouge avait bel et bien disparu et plus aucun flash ne fut émis.

    Nous sommes retournés dès le lendemain sur les lieux. A priori, il n'y a pas eu d'atterrissage, aucune trace n'ayant été trouvée dans l'immense plaine autour du château d'eau.

    Si nous n'avions rien observé ce 04 avril, aucun commentaire n'aurait été fait sur un fait qui s'est produit 03 jours plus tôt à 23 h 30 dans ce même site.

    En effet, un collègue de travail, habitant Bierville m'avait signalé avoir vu le 1er avril une boule blanche assez importante.

    Cette boule remontait en pente douce un angle de  20 à 30 degrés. Elle était apparue au-dessus du toit de la maison de son voisin (08 m de hauteur ; elle émit 03 ou 04 flashs à 02 secondes d'intervalle avant de s'éteindre comme une ampoule. 07 Témoins. Source : Cercle LDLN de Seine-Maritime.  LDLN n ° 239.

     

     (3) Forges-les-Eaux (76)) - Seine-Maritime - Normandie - France - 10/10/1954 - dans la matinée / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

    Illustration : Anne Joigneaux 

     

    Un entrepeneur italien de Forges-les-Eaux, M. Antoine, affirme avoir vu un mystérieux engin dans l'emplacement réservé au tir, bois de l'Epinay, au stand de tir au pigeon. Trois hommes poilus et de petite taille en étaient sortis et l'un deux avait même mis, amicalement, la main sur l'épaule du garde forestier, M. Fléchelle. Un photographe, prévenu enprunta l'Avenue Mathilde et vint prendre un cliché de l'endroit où était posé l'engin, qui ne laissa pas de traces au sol. Sources : la Dépêche du Pays de Bray du jeudi 14 octobre 1954 - Catalogue 54 : Jean Sider - Jonathan Giné et Anne Joigneaux.

    (4) Mutilation et Mort d'un Âne / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

    https://actu.fr/normandie/grumesnil_76332/un-ane-retrouve-mort-un-oeil-creve-et-une-oreille-coupee-pres-de-forges-les-eaux_34457480.html?fbclid=IwAR2cZlsCewiKZvOdnQf3uE2Vo0lLLDeyhNQdMonFgcZIoS3LEwv4fXL8mRE

     

    Avec déjà 7 cas de Mutilations cette année Dieppe (76) sort du lot en 2020 ; il faut savoir que Dieppe (76) est une zone Ovnigène & l’un des secteurs où se produisent le plus de Disparitions de Personne et d’Animal en Normandie (comme Forges-les-Eaux 76 et de nombreux autres sites en Normandie) cf : http://ufo-genpi-news.eklablog.com/47-nfo-news-les-personnes-disparues-sont-elles-victimes-des-portails-m-a182455866

    Cf. Les  Proies des Ovnis

    « Ces Mutilations Chevalines (et Ovines, Bovines, Canines, Félines, etc.) ont toujours été pratiquées, le changement réside dans sa progression brutale en cette période de 2020, correspondant à une augmentation des phénomènes para-ufologiques, avec son cortège de prédations physiques et métaphysiques, ciblant des Espèces Animales Domestiquées par l'Homme, ou Proches de l'Homme. C'est probablement un fort signal de menace, de chantage, d'avertissement, renouvelé par les Endo-Exogènes, contrôlant des individus déviants, et adressé à l'ensemble de l'Humanité, car le Cheval est non-seulement un Symbole Universel, et une Créature Psychopompe, Guide et Passeuse d'Âme, mais aussi la Plus Belle et Noble Conquête de l'Homme.»  

    « Il s'agit ici plutôt d'actes de Torture. Sans négliger que ce prélèvement de Tissus et de Muqueuses pourrait être un leurre de plus, comme ces Soucoupes Volantes qui se posent depuis des décennies sur terre avec leurs occupants, en nous rejouant perpétuellement le simulacre de prélèvement d'échantillons, à la manière des Astronautes d’Apollo XI. »

    La Lande à la Dame (50) - La Demoiselle 

    XXe siècle : On voit toujours la Demoiselle dans la Lande à la Dame, entre Tonneville et Fottemanville (50). Ce serait le fantôme de la fille de l'ancien seigneur de Tonneville qui, en procès au sujet de la possession de la lande, s'écria : Si j'avais un pied dans le ciel et l'autre dans l'enfer, je retirerais le premier pour avoir la lande toute entière ! Elle mourut peu après mais, au moment de franchir la porte du château, son cercueil devint soudain si lourd qu'il fut impossible le déplacer : il fallut renoncer à l'inhumer en terre sainte et on l'enterra sur place, sous le seuil de la porte cochère. Depuis, elle vient interpeller les passants attardés, cherchant à les jeter dans les fossés.

    Fourges (27) - Esprits Souterrains  

    En 1877-1878, le vicomte de Pulligny faisait effectuer des fouilles sous le tumulus de la butte du Bois-Roger, commune de Fourges (27). Des chambres mortuaires y avaient été précédemment découvertes, mais sans suite, car l'on y entendait la voix des esprits souterrains. Un ouvrier, reprenant les travaux, est descendu à neuf pieds, quand il remonta précipitamment. Ayant enfoncé une gaule pour sonder le terrain, lorsqu'il voulut l'enlever, il sentit qu'on la tirait par en bas. Plus il faisait d'efforts pour la remonter, plus elle descendait ! Ce n'est pas tout ! Une voix était sortie du sein de la terre par le trou, elle disait Hou ! Hou ! Hou ! Inutile de dire qu'aucun ouvrier des environs ne voulut continuer ni pour or, ni pour argent.

    Source : De Pulligny- L'Art préhistorique dans l'Ouest - Recueil des Travaux de la Sté Libre d'Agriculture et d'Art de l'Eure - 1879.

    Fourmetot (27) - Eure - Normandie - France - 23/09/1980 - 04 h 15 / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

    Dans la nuit du lundi 23/09/1980, je revenais de mon travail (travail de nuit aux papeteries de Pont-Audemer), en compagne de Mr. X (non connu).

    En arrivant à Fourmetot, à la hauteur du ferrailleur situé à l’entrée de la bourgade (450 m du clocher), nous avons vu une grande clarté derrière le clocher et un « appareil » sic… de forme ovale aux contours bien nets, de couleur orange et lumineux, s’élever doucement à la verticale de derrière le clocher.

    Sa taille dépassait de part et d’autre du clocher, d’une valeur égale à la largeur de ce dernier.

    Celui-ci s’éleva lentement jusqu’à la hauteur de la pointe du clocher et puis de plus en plus vite, passant du rouge au rouge écarlate jusqu’à trois fois la hauteur du clocher et partit à l’horizontale rapidement vers Azier (Nord-Est).

    Nous le perdîmes de vue le temps de traverser le bourg de Fourmetot (30 s) et nous le retrouvâmes sur notre gauche au-dessus de la campagne (ligne H.T. de 380 KV).

    Nous nous dirigeâmes vers Bourneville puis nous primes la route menant à Tocqueville où je devais déposer mon camarade.

    Pendant ce trajet jusqu’à Tocqueville, il m’a semblé que cela se déplaçait parallèlement à notre route et nous suivait.

    Puis l’appareil stationna au-dessus de la forêt de Brotonne.

    Rassuré de le voir plus loin, je décidais d’arrêter la voiture sans éteindre le moteur et de descendre la vitre pour écouter. Aucun bruit.

    Je déposais mon camarade à Tocqueville et rentrais à mon domicile d’Etreville, ne perdant de vue pendant tout le parcours, l’appareil qui restait stationné au-dessus de la forêt.

    Rentré chez moi, je l’observais de ma cours pendant environ trente minutes puis j’allais me coucher.

    Au début de l’observation le phénomène lumineux était de couleur orange (Pantône 178U) avec un cercle blanchâtre sur le pourtour ressemblant à de la fumée ; puis montant il est passé au rouge puis au rouge écarlate (Pantône Red 032U) et à ce moment il se mit à sortir des rayons lumineux sur la gauche

     et sur la droite de l’appareil comme des éclairs d'orage (sic), en zig-zag et cela éclairait très loin.

    Lorsque je le vis de ma cour, soit 50 mn après notre première observation, il était donc stationnaire depuis plusieurs dizaines de minutes au dessus de la forêt de Brotonne, plus loin, et il jetait toujours des éclairs qui éclairaient la campagne environnante.

    Pas de changement de forme pendant toute l’observation.

    Le Témoin qui estime avoir été, au plus près, à 150 m de l’objet, qui présentait des contours bien déterminés, a souffert de brûlures aux yeux, pendant les 04 jours qui suivirent l’observation.

    Aucune trace derrière l'église (herbage), mais un calvaire à 500 m juste dans l'axe de l'observation, derrière cette église.

    Il constata également que sa montre-bracelet ainsi que la montre de la voiture ne fonctionnaient plus depuis cette observation. Il dort depuis d’un sommeil lourd. Le témoin a déposé à la gendarmerie et nous avons eu connaissance de ce cas par le journal. 02 Témoins. Source : Enquête de Didier Brière et Jean-Marie Crevel. LDLN n° 204.

    Fourmetot (27) - Poltergeist / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    En 1936, Mme Alexandre Béranger, âgée de 76 ans, habitait une chaumière à Fourmetot (27), en compagnie de son fils âgé de 42 ans : une petite bonne, Suzanne Bocquet, les servait. Le 30 janvier, Mme Béranger, assise tranquillement dans son fauteuil, vit tout à coup sa vaisselle, ses verres, ses casseroles, se mettre à s'agiter, puis exécuter une sorte de ronde avant de s'abattre bruyamment sur le sol ; la suspension dégringola à son tour. La petite bonne s'empressa d'aider sa maîtresse à réparer le désordre, mais à peine remis en place les casseroles retombaient, les verres se renversaient. Le calme parut enfin se rétablir peu à peu, mais le lendemain la petite servante dit soudain à sa patronne : gârous, maîtresse, v'la la grand broche qui brainle tout'seû, o pourrait bi vous biéchi ! effectivement la longue broche à rôtir, posée au-dessus de la cheminée dans dans le vieux porte-fusils, se mettait à tressauter puis, se dégageant, partit d'un trait se ficher dans le buffet. Aussitôt après, des charbons incandescents jaillirent de l'âtre et tombèrent sur Mme Béranger ; heureusement, la jeune Suzanne s'en rendit compte à temps, évitant à sa maîtresse peu agile de sérieuses brûlures.

    Le fils Béranger vit une casserole se mouvoir toute seule sur une table ; une femme de ménage Me Lacaille, vit également, dit-elle : une castrolle se décrocher d'elle-même du mur. Pendant toute une semaine, des manifestations incroyables furent constatées : un dessous de plat se mit à tressauter et bondit au travers des glaces d'un beau buffet, les vitres de la cuisine volèrent en éclats, une table se dressa toute droite et se coucha après plusieurs sursauts, une autre table cependant maintenue par quatre poignes solides, se mit à frémir et à s'agiter comme sous l'influence d'une crise épileptique.

    On avait utilisé l'eau bénite mais celle qu'on avait étant très vieille, on pensa que la bénédiction pouvait être évaporée ! A quoi bon appeler les gendarmes, En définitive, on allait faire venir un désenquéraudeur réputé dans le pays, quand les parents de la petite Suzanne, redoutant de laisser leur enfant dans un tel milieu, vinrent la chercher et l'emmenèrent.

    Dès lors, les manifestations inexplicables ne se reproduisirent plus ; des spécialistes virent là une nouvelle confirmation de l'influence magique de certains adolescents.

     Source : Journal de Pont-Audemer, des 02 et 09/02/1936.

    Saint-Fraimbault (61)La Dame Blonde 

    Le 26 novembre 1964, Saint-Fraimbault, (Fraimbautl alias Lancelot du Lac, dont on peut voir le sarcophage à l'église de la commune de Saint-Fraimbautl)  près Donfront (61), on découvrit le corps d'une habitante, Me Hubert, âgée de 59 ans, noyée dans le lavoir, qui s'était réfugiée chez son fils Marcel, marchant de bestiaux, quelques mois auparavant, fuyant celle de son autre fils André, où il se passait des choses inquiétante, depuis qu'une Dame Blonde, Mme L. N., arrivait chaque soir en voiture, venant du Mans, pour y organiser des veillées étranges :

    on y conjurait les sorts et, par magie, on cherchait des coupables. Épouvantée, elle avait fuit la ferme de son fils André lorsque les conjurations l'avaient désignée comme voleuse de son fils.

    Elle dit aussi à une de ses voisine, Mme Tissier : Mme Tissier, savez-vous que la Dame Blonde prétend que vous êtes une sorcière et que vous enquéraudez (envoutez) les enfants de vos voisins, les Gérault, en leur donnant des bonbons maléfiques ?

    Mme Tissier déposa alors une plainte en diffamation auprès du procureur d'Argentan (61). Affolée, craignant de subir le sort réservé à ceux qui trahissent ce genre de secrets, comme Mme Hubert.

    Source :  Ouest-France, du 06/09/1974.

    Frénouville (14) - Calvados - Normandie - France - 05/12/1999 - 02 h 35 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

     

     

    Deux témoins observent pendant 2 minutes 30 un objet en forme de cigare de couleur rose émettant des faisceaux lumineux.

    02 Témoins. Source : Base Ovni France.

    Fresney-le-Puceux (14) - La Pierre Tournante

    Menhir de la Pierre Tournante au lieu dit Camp Bérot (Fresney le Puceux / Calvados)

     

    La Pierre Tournante, appelée aussi Pierre du Camp Bérot ou Pierre de Cambero, est un menhir situé au lieu-dit « Planche à la Housse » au « Champ Bérot » sur la commune de Fresney-le-Puceux dans le département du Calvados.

    Le menhir est couché, partiellement enterré, en plein champ à l'orée de la forêt de Cinglais. C'est un poudingue très délabré de forme pyramidale qui mesure près de 2,70 m de longueur et 1 m de hauteur à l'extrémité la plus haute.

    Selon la tradition, la pierre tourne sur elle-même chaque année, durant la nuit de Noël.

    « Une des personnes les plus âgées du pays a lu jadis un roman intitulé La Rose de Fresney, dans lequel on raconte qu'un moine de l'abbaye de Barbery, nommé don Bernard, aurait attendu le diable sur la Pierre de Cambero, la nuit de Noël, afin qu'elle le transportât à Rome, pour y lire l'Évangile à la messe de minuit. Le moine et la pierre aurait fait le voyage et, depuis cette époque, tous les ans, à la même heure de la nuit de Noël, la pierre tournerait ? ». [Wikipédia].

    [Depuis les époques les plus reculées de la préhistoire, l'office des devins, mages, spirites, voyants, qui perpétuent le culte ancestral des morts, est de consulter les esprits, avec l'édification de temples voués à la pratique animiste/chamanique de la nécromancie, de la transe médiumnique possessive des occultistes par les entités éthérées métamorphes, goules parasitaires et mânes nécrophages, ou âmes (noosphères) vagabondes immanentes, qui parodient les esprits des morts tout en se repaissent des effluves des corps vivants ou en décomposition. NFO].

    Avril 1897 - Bizarre explosion - La jeune Blanche Lecomte, 12 ans 1/2, en passant avec ses petites compagnes devant la maison du sieur Leroy, à Fresney-le-Puceux, a été blessée aux jambes et à un oeil par l'explosion soudaine d'un engin gros comme le doigt et fumant comme une cigarette que l'on venait de jeter. Un jouet d'enfant, une tête de mouton en carton, qu'on a trouvé près de là, devait contenir l'engin, qui, d'ailleurs, avait été aperçu par un domestique de Bretteville se trouvant non loin du lieu de l'explosion, mais ce dernier, croyant à un pétard allumé par une des enfants, n'y avait attaché aucune importance. On se perd en conjectures sur cette explosion. (Source  : Le Bonhomme Normand).

    Janvier 1867  - Découverte extraordinaire - Ces jours derniers, dans la forêt de Cinglais, (Calvados), des bûcherons étant occupés à faire des abattis d'arbres ont trouvé, au milieu d'un buisson touffu et d'une épaisseur extraordinaire le squelette d'un cheval et de son cavalier, près duquel gisait une longue lance toute rongée de rouille.

    À la structure de la bête et de l'homme, on a cru reconnaître (car les Cosaques ont occupé le pays) que c'était un Cosaque et sa monture, et il y a tout lieu de penser que, comme le  buisson est situé au bas d'une élévation de terrain, ce cavalier aura été blessé en fuyant et qu'il sera tombé avec son cheval au milieu du buisson, duquel, dans sa course effrénée et vu  l'élévation du terrain qui le masquait, il n'avait pu se préserver, et que tous les deux avaient trouvé la mort en cet endroit, ne pouvant en sortir, malgré les efforts du cheval. [USHC].

    [L'émergence des Portes Induites/Vortex/Pontifex/Portex/ Puits à énergie potentielle, s’accompagnent souvent d’apports de personnages  de créatures, d'objets ou de phénomènes singuliers NFO].

    Froberville (76) - Seine-Maritime - Normandie - France - 09/11/1954 - vers 18 h 45 /19 h / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

     

     

    Le château d'Hainneville a accueilli  la Communauté de Caulmontla de 1976 à 2005. Le 24 mai 2005 un incendie détruit complètement le château. Devant l'ampleur des travaux, la communauté renonce à reconstruire.

    Récit du témoin Lucien Dufils (20 ans en 1954) enregistré sur cassette le 09/06/1984 :  

    « C’était le 09 novembre 1954 au soir, il devait être environ 18 h 45 - 19 h, les arbres étaient quasiment dépouillés de leurs feuilles, il ne pleuvait pas, ne faisait pas trop froid, par contre il y avait beaucoup de vent ( 70/80 km/h).

    J’étais avec une collègue (décédée en 1982), nous revenions d'aller chercher à pied quelques produits laitiers de la ferme du château, qui était vide, il n'y avait pas d'enfants à l'intérieur, à cette époque de l'année, quand nous sommes arrivés à 150/200 m du château, où elle travaillait, il m’a semblé voir derrière les grands arbres, des espèces de lumières qui scintillaient.

    Je les signalais aussitôt à ma collègue qui me dit : « oui, vous ne rêvez pas. ».

    Il n’y avait aucune lumière artificielle dehors excepté notre pile électrique pour éclairer notre passage.

    Au fur et à mesure que nous avancions vers le château (qui a subi un incendie en 2005), nous nous sommes trouvés en face du phénomène.

    Et là, c’était net ; c’était un cercle orangé un peu vert au-dessus et bleu.

    La chose était suspendue à environ 30 m du sol, peut-être plus donc à 10 ou 15 m au-dessus du château, (et légèrement décalé sur son aile droite).

    Il n'y avait aucun bruit sinon le vent qui soufflait, nous avancions toujours vers le château.

    Ma collègue me dit en riant : « on dirait une soucoupe volante », je lui répondis : « on en parle tellement qu’on va finir par en voir partout ».

    Mais il est exact que ce que nous avons vu était suspendu à environ 50 m (château environ 35 m ; donc environ 15 m au-dessus).

    Nous n’entendions à priori aucun bruit, mais comme le vent soufflait assez fort, on peut penser que le bruit ne nous parvenait pas.

    J’ai un problème de vue, je vois dix fois mieux la nuit que le jour, je porte d’ailleurs des lunettes noires toutes la journée, cela me permit de voir que l'objet n’était pas rond mais plus en forme de ballon de rugby.

     Le phénomène avait la forme d'un ballon de rugby, il y avait comme au-dessus de ces cercles des espèces de lucarnes, de carreaux, c'était plutôt des carreaux mais à l’horizontale, plus long que haut.

    Arrivés très près de l’objet nous avons remarqué ces sortes de carreaux sur l’engin (qui faisait 08 à 10 m), celui-ci était gris entouré d’un halo orange, les lumières étaient si intenses que j’avais, moi aussi du mal à les supporter et mes yeux me picotaient.

    Plus nous nous approchions plus les lumières devenaient éblouissantes.

    Soudain ma compagne me dit : « Je veux en avoir le cœur net. J’y vais ». Je me mis à courir pour la rattraper, elle arriva avant moi, pratiquement sous l’engin et là je vis l’intensité de la lumière multiplier par deux ou trois, même moi je ne pouvais plus regarder l’engin.

    Ma collègue était une femme courageuse, elle avait son brevet de pilote, son mari était officier sur le Normandie Niemen.

    Nous étions arrivés pratiquement sous l'engin.

    A ce moment-là l'intensité de la lumière a pratiquement doublé, triplé et les cercles étaient beaucoup plus apparents.

    Je ne pouvais plus les regarder, et l'engin, car on peut dire l'engin, s'est élevé à une rapidité déconcertante, toujours sans bruit, sans sifflement.

    Nous n’entendions toujours aucun bruit, il est monté à la verticale pendant une demie seconde, ensuite il est parti  au Nord-Ouest en courbe ascendante vers la mer et en 2 ou 3 secondes on ne voyait plus rien.

    Durée de l'observation environ 3 minutes, selon Mr. Dufils, il y avait une plaque de 12 m carrés dont indiscutablement les tuiles du château avaient pris un aspect brun.

    Les yeux de  de sa Collègue étaient rouges et ont larmoyé pendant huit jours. 02 Témoins.Source : Mr. Luc Jean (Délégué Régional) et Mr. Christian Soudet. LDLN n° 234 & 235.

    Fultot (76) - Seine-Maritime - Normandie - France - 05/11/1954 - 05 h 30 / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    Le journal local Le Courrier Cauchois, d'Yvetot, du 13/11/1954, rapportait avoir appris que Mr. Grieu, linier à Doudeville, domicilié à Fultot, avait vu le 05 /11/ 1954, à 05 h 30 du matin, depuis son domicile une boule de feu qu'il situa au-dessus de Doudeville, avec une traînée de lumière semblable à des phares d'automobiles, qui balaya sa chambre.

    Le journal indique qu'il a déjà été impossible à d'autres témoins (Mr. Jules Legras Maréchal-Ferrant à Doudeville et Mr. Maurice Viel Herbager à Harcanville) de définir exactement la nature de cet engin qui semble avoir une certaine analogie avec ceux déjà signalés dans la région. Les intéressés sont d'accord pour indiquer qu'il ne s'agit pas là d'une étoile filante, ni d'un bolide. Serait-ce ce que l'on appelle couramment une soucoupe ou un cigare volant ? Il est permis de le supposer. 01 Témoin. Source : Le Courrier Cauchois, d'Yvetot, du 13 /11/ 1954.

    Fumichon (14) - Calvados - Normandie - France - 18/07/1967 - vers 01 h 20 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    Mr. Francis Cambournac, Parisien de 25 ans, licencié en droit et diplômé de l'Institut d’Études Politiques, actuellement en vacances avec ses parents dans leur résidence secondaire de Fumichon, témoigne : Dans la nuit de lundi 17 au mardi 18 juillet 1967, je revenais de Deauville vers Fumichon.

    Vers 01 h 20, à 01 km de Moyaux, j'ai aperçu dans le ciel quatre objets très lumineux avec des traînées de flammes derrière eux. J'ai aussitôt stoppé mon véhicule.

    J'ai constaté que la flamme du premier était plus lumineuse que les autres.

    Tout à coup, les trois derniers objets se sont éteints après avoir effectué une certaine courbe, tandis que le premier continuait à descendre vers l'horizon. Cela a duré 10 secondes environ et ils allaient très vite. Je n'ai perçu aucun bruit. 01 Témoin. Source : Ouest-France du 19/07/1967.

    Géolocalisation des Sabbats  

    Aux environs de Vassy (14), le village de Jean-le-Blanc (14), Beaumont-le-Roger (27), le mont Bonnet Vire (14), les rochers de Clécy (14), la butte Brimbal entre Sourdeval (50) et Tinchebray (61), la mare de Bouillon (50), dans la forêt de Néhou (50), à Méautis (50), aux bois d'Etenclin (50), aux bois de Lithaire (50), forêt de Barnavast (50), dans la contrée du Theil (50), dans la contrée de Saussemesnil (50), le mont Margantin (61), Gaillefontaine (76), à Bully-la-Fosse (76), à Aliermont (76), au Mesnil-Esnard (76), à Londinière (76), à Fréauville (76), à Pont-Angot (61), sur la Dives vers Vicques (27), à Louviers (27), à Gisors (27), à Tosny (27), à Saint-André et Saint-Georges-de-Bohon (50), le mont Etenclin près de la Haye-du-Puits (50), Montchauvet (14)

    Sources : Le Tenneur René - Magie Sorcellerie et fantastique en Normandie -1979. 

    L’Arme d’Invasion Massive

    Extraits : Les Prédateurs, expliquant dans le détail comment ces Créatures Inorganiques et Symbiotiques et Noosphériques se développent et se nourrissent à partir des Émotions de la Psyché Humaine ou Animale, et pourquoi les extinctions de masse, les guerres d'extermination et conflits sanglants et catastrophes meurtrières, les génocides, les holocaustes, et les tueries, les mutilations les immolations et les sacrifices rituels sont générés par des Êtres réellement Diaboliques.

    La conscience de l'homme se trouve violée en permanence par des incursions étrangères d'énergie appelé être inorganique, ressenties comme changements humoraux plus ou moins puissants, cette entité obscure est capable de substituer sa conscience à la nôtre, pour exacerber le pire [et] se nourrir de ses effets funestes.

    Ils agissent sur un homme normal lors même qu'il croit agir de sa propre volonté. L'homme, conscient de la présence furtive de l'énergie étrangère, la capte, mais conserve sa propre volonté. 

    C'est l'ensemble de notre monde qui serait infecté, déconnecté de sa source créatrice et manipulé [et] oppressé aliéné, immergé dans un enfer terrestre [par des] esprits maudits et sombres [qui ont aussi à leur disposition des armes de destruction massive capables de provoquer des dérèglements du fragile équilibre géo tectonique climatique]

    La création s'articule autour de la prédation et du parasitisme. Les comportements et les consciences sont investis par la peur et l'instinct de survie. Ce n'est ni l'homme, ni la nature qu'il faut remettre en cause, c'est un symbiote étranger qui aurait infecté notre esprit et qui manipulerait la réalité de façon à ce qu'elle devienne un enfer.

    Ces démons dévoreurs de mondes en perdition nous amènent à réfléchir sur l'hypothèse selon laquelle l'âme humaine serait réellement parasitée, elle serait ainsi manipulée par une puissance dissimulée et mystérieuse qui se révèlerait être notre malédiction. Ces entités parasites nous ont infiltrés et ont conféré à notre esprit son côté routinier, répétitif, maniaque, peureux, avide, violent, et calculateur [et qui] sont les coupables de notre aliénation existentielle. [c'est d'ailleurs pour les combattre que la Très Sainte Inquisition Apostolique et Romaine a été créée avant d'en être à son tour la victime]

    Ce sont des prédateurs extraterrestres appelés parfois Tricksters, Lézards, Démon ou Arkontaï en Grec. Les Toltèques les décrivent comme des créatures lourdes, ténébreuses et fuyantes. Les noms les plus communs qu'on leurs attribue sont Créatures de l'Ombre, Simulacres (esprits malins menteurs et tricheurs, les truffeurs/trufer = tromper et se moquer, railler).

    Ce sont eux qui on poussé l'humanité à montrer une plus grande propension à des comportements agressifs, territoriaux, impérialistes, froids, forçant l'homme à vivre toujours dans la crainte d'une agression, ou d'une menace.

    Ce sont là les traits de caractère (de ces parasites) qu'ils auraient donné à l'homme imitant ainsi sa force conquérante et carnassière d'expansion territoriale ainsi que sa doctrine génocidaire de l'élimination du moins apte.

    La psyché humaine est donc parasitée, et cette invasion est avant tout de nature mentale et psychique, il se peut que nous soyons également agressés sur le plan physique.

    Ces entités prédatrices sont connues pour enlever parfois les âmes la nuit  [elles] provoquent un état de panique mortelle qui paralyse le corps, puis ils apparaissent par trois, la tactique habituelle de ces ombres fuyantes est tout d'abord de paralyser et ensuite d'infiltrer le mental du sujet humain. C'est une des descriptions précises des kidnappings modernes, par paralysie du sommeil  des extraterrestres. [les abductions par les pseudos occupants des ovnis par le biais des missing times et des Mmissing Spaces]

    Les hommes des temps anciens s’étaient aperçus que s’ils opposaient à l'esprit des parasites [par] leur vide mental une sorte de silence de l'esprit, cette implantation étrangère disparaissait après de longues années d'efforts et de contrôles, ce qui confirmait, l’origine extérieure de cette intrusion. L'entité dissimulée, le pire prédateur de l'univers, nous prête, à notre insu, sa conscience pour nous faire faire des actes destinés à exacerber notre auto contemplation, qui va générer nos sursauts énergétiques dont se nourrira l'entité.

    En d'autres termes, la prise de conscience qu'un esprit étranger puisse opérer une mainmise en notre mental ne devient parfaitement claire et certaine que lorsque cet intrusion a été repérée, démasquée puis expulsée.

    Pour faire face à l'immense complexité de l'intrusion, la clarté et la concentration constituent des atouts indispensables. La résistance humaine à leurs intrusions dépend de l'attitude intérieure et de la discipline mentale c'est la sobriété du Guerrier. [du Propugnator (celui qui défend, soutient, et protège), du combattant, du bellator, du résistant et du chevalier]

    Les traits de caractère humains attribués à cette déviation, par une implantation étrangère, sont l'envie, la convoitise, la jalousie, la haine, la vanité et l'arrogance sont considérées comme les caractéristiques principales de l'infection [infestation contamination ou possession]

    [ cf. https://novusordoseclorum.1fr1.net/t3714-enquete-sur-les-enlevements-extraterrestres ]

     

     
     
     
     

    La Structure Nomade des Ovnis - Le Triangle du Diable


    Mise à jour de la carte au 03/06/2024

     

    Les Apparitions Ovnis et les Manifestations Surnaturelles et lignes de Ley – Go

     
     
    Extrait du Catalogue de Normandie - France - Ovnis : Seine-Maritime (76), Orne (61), Manche (50), Calvados (14)
     
    Vous pouvez nous aider à vous informer sur les ingérences des ovnis en nous communiquant les nouvelles ou les anciennes observations de Normandie (témoignages ou presse) à ufo.genpi@gmail.com ou en les publiant publiquement. Merci d’avance.
     
     

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    Pour en savoir plus

    Les Apparitions des Ovnis et les Manifestations Surnaturelles

      Les 75 ans des Ovnis en Normandie

     

     


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