• Flers (61) - Orne - Normandie - France - 22/09/2012 - 00 h 00

     

    Normandie-France-Ovnis

    Flers  (61)

    Mise à jour de la carte le 30/04/2023

     Les Apparitions Ovnis et les Manifestations Surnaturelles et lignes de Ley – Go

     

    [Flers : 17 683 (836.1 hab/km2) en 1968 - 14 762 (698.0 hab/km2 en 2019) - Commune urbaine dense ou de densité intermédiaire et au climat doux océanique. Superficie : 21.15 km2]

     

     Flers  (61)

     le filem
     
    De gueules, à deux navettes d'or posées en sautoir accompagnées de trois bobines d'argent 2 et 1, au chef de France.

     

     

    Flers (61) - Orne - Normandie - France - 25/12/2016 - vers 19 h 30

     

     

    Vers 19h30 nous avons vu une boule d'un orange très vif et très lumineuse se diriger à très vive allure en diagonale vers le ciel (direction sud- sud-est de Flers.)
    Ce phénomène a duré environ 1 minute puis la luminosité s’est estompée rapidement et a disparue. Céline.02 Témoins. Source : Ovni -France.

     

    Flers (61) - Orne - Normandie - France - 22/09/2012 - 00 h 00

     

    Le 22 septembre 2012 - 00 h 00 - Flers (61)

    Bonjour Mr, J'ai été témoin moi aussi, avec ma femme, de cet ovni, nous sortions de repas vers les 00 h 00, le 22 septembre, nous étions en voitures c'est ma femme qui conduisait, lorsque sur la rocade de Flers, je vois une lumière intense, on aurait pu la comparer à un nuage, de jour, lorsque, tout à coup, il a filé vers la droite a une allure que nous avions jamais vu. J'ai dit a ma femme : c'est quoi qui vient de filer à toute vitesse ? Elle me dit qu'elle ne sait pas.

    En arrivant sur l'axe Flers - Briouze, on revoit ce nuage apparaitre, mais cette fois, il allait de gauche à droite à une vitesse encore incroyable, il restera devant nous jusqu’à la forêt Auvray, cele aura duré environ 25 minutes.

    Le week-end d’après je raconte tout à ma mère et à mon beau père qui ont le sourire aux lèvres, bref ça en reste là.

    Puis samedi ma mère me dit que c'est bizarre, car elle a vu dans un journal que quelqu'un est tombé en panne à Flers et a vu un ovni et qu'elle a regardé la date, cela tombe la même date que pour moi et ma femme.

    Je vous écris, car ça ressemble fortement aux témoignages qu'elle m'a expliqué, qu'elle a vu dans le journal. Par contre  pour moi il n'y avait aucun bruit et une seule lumière intense, ou alors, elle était derrière les nuages ? Pensez-vous que l'on a été témoins du même phénomène ? Merci. Curtis.

    02 Témoins. Source : Ovni - France.

     

    Le Gouffre de Flers

     

    Au XVIIe siècle. À cette époque, existe dans un bois situé à quelques encablures de Flers, un prieuré fondé par un pêcheur désireux de se repentir. Des moines y vivent et firent des lieux un endroit riche et luxueux où des habitants (et surtout des femmes) pouvaient s’y rendre. Régulièrement, au cœur de cet édifice religieux, avaient lieu des soirées… pas très catholiques, où la luxure et la gourmandise régnaient. 

    La veille de Noël, à minuit, la cloche qui, d’ordinaire, se faisait entendre à cette heure pour appeler les fidèles à la messe, commença a sonner toute seule. Il y eut alors, dans le réfectoire, un moment d’effroi. 

    À ce moment là, l’un des hommes d’Église décida de trinquer à la santé de Dieu. Il aurait lancé : 

    « Entendez-vous la cloche, frères et sœurs ? Christ est né, buvons rasade à sa santé ! ». 

    Tout d’un coup, des coups de tonnerre retentirent et le ciel s’assombrit. La foudre s’abattit sur le monastère qui se fracassa dans la terre pour laisser place à un lac.

    De ce petit plan d’eau, on entendit les cloches sonnées jusqu’au petit matin. Puis plus rien.

    C'est le Gouffre de Flers. Source : 61actu du 28/12/2018.

     

     Le Lac des Damnés 

     

     

    Il y a beaucoup, beaucoup d’années existait, sur cet emplacement, un couvent, fondé par un pécheur repentant, en expiation de ses péchés. Durant les premiers temps de la fondation, les moines menèrent si sainte vie que les habitants de la contrée environnante accouraient en foule, pour être édifiés de leurs pieux exemples et de leurs touchantes prédications.

    Mais le couvent devint riche et somptueux, et, peu à peu, les moines se départirent de la stricte observance de leur règle. Bientôt, l’église du monastère demeura fermée, les chants religieux cessèrent de retentir sous ses voûtes, une clarté triomphante ne vint plus illuminer ses sombres vitraux, et la cloche de la prière ne fit plus entendre son tintement matinal pour réveiller tous les cœurs à l’amour de Dieu.

    Mais, en revanche, le réfectoire, réjoui de mille feux, ne désemplissait ni le jour ni la nuit; des chœurs bachiques, où perçaient des voix de femmes, frappaient tous les échos de leur sacrilège harmonie, et les éclats d’une folle ivresse annonçaient au voyageur et au pèlerin qui passaient devant l’enceinte du monastère que le sanctuaire de la dévotion et de l’austérité s’était transformé en une Babel d’impiétés et de dissolutions.

    C’est ainsi, il arriva que, la veille d’une fête de Noël, les moines, au lieu d’aller célébrer l’office, se réunirent pour un profane réveillon. Cependant, quand vint l’heure de minuit, le frère sonneur étant à table avec les autres, la cloche qui, d’ordinaire, se faisait entendre à cette heure pour appeler les fidèles à la messe, commença a sonner d’elle-même ses plus majestueuses volées.

    Il y eut alors, dans le réfectoire, un moment de silence et de profonde stupeur. Mais un des moines les plus dissolus, essayant de secouer cette terreur glaçante, entoura d’un bras lascif une femme assise à ses côtés, prit un verre de l’autre main, et s’écria avec insolence: « Entendez-vous la cloche, frères et sœurs ? Christ est né, buvons rasade à sa santé! ».

    Tous les moines firent raison à son toast, et répétèrent, avec acclamation: « Christ est né, buvons à sa santé ! » Mais aucun d’eux n’eut le temps de boire: un flamboyant éclair, comme l’épée de l’archange, entrouvrit la nue ; et la foudre, lancée par la main du Très-Haut, frappa le couvent, qui oscilla sous le choc, et tout à coup s’abîma à une grande profondeur dans la terre.

    Les paysans, qui s’étaient empressés d’ accourir à la messe, ne trouvèrent plus, à la place du monastère, qu’un petit lac, d’où l’on entendit le son des cloches jusqu’à ce que le coup de la première heure du jour eut retenti.

    Chaque année, disent les habitants du pays, on entend encore, le jour de Noël, les cloches s’agiter au fond du lac ; et c’est seulement pendant cette heure, où les moines sont occupés à faire retentir le pieux carillon, que ces malheureux damnés obtiennent quelque rémission aux tourments infernaux qui les consument de leurs plus dévorantes atteintes. Source : Wiki.

     

    L'Ecole Alchimique Normande 

     LA Demeure Philosophale

     

    Nicolas de Grosparmy a vécu au château de Flers, à qui l'on doit la construction de l’aile Est du château flanquée de ses deux tourelles d’angle entre 1527-1541

    Au début du XVIe siècle, le baron de Flers, Nicolas Grosparmy a adapté en français et fait circuler, sous son nom, des traités d’alchimie du Moyen Âge. Au début du XVIIe siècle, son arrière-petit-fils s’est intéressé à l’alchimie et a fait travailler des alchimistes chez lui. Il va faire circuler les manuscrits des manuscrits des alchimistes de Flers. Ouest-France du 29/10/2015.

    Fulcanelli  évoque le sort de trois alchimistes, de trois compagnons alchimistes :

    « C'étaient Nicolas de Grosparmy, gentilhomme, Nicolas ou Noël Valois , nommé encore Le Vallois d'Escoville, et un prêtre du nom de Pierre Vicot ou Vitecoq. Ce dernier se qualifie lui-même " chapelain et serviteur domestique du sieur de Grosparmy " [...] » [bibliothèque nationale, ms. 14789 (3032) : La clef des Secrets de Philosophie, de Pierre Vicot, prêtre ; XVIIIe siècle]

    « Grosparmy était un gentilhomme du pays de Caux en Normandie ; il y avait, dit-on, trouvé la pierre philosophale dans son château, où il y avait une vieille tour qui fut abattue longtemps après sa mort, et dans laquelle le comte de Flers, son héritier, avait, dit-on, trouvé la poudre de projection qu'a faite Grosparmy et son ami Valois d'Escoville. L'abbé Vicot était précepteur des fils de Grosparmy, et il mettait en vers les découvertes alchimiques du seigneur chez qui il demeurait. »

    Le traité de N. Grosparmy, très intéressant pour l'histoire de l'alchimie, est divisé en deux livres ; le premier est intitulé Abrégé de théorique, le second, le Trésor des trésors. La pensée des trois alchimistes de Flers reste connue par leurs ouvrages. Nicolas Grosparmy composa deux traités: l'Abrégé de Théorique et le Secret des Secrets, traduction assez libre de la Clef d'une plus grande Sagesse, de l'alchimiste arabe Artéfius. C'est ce traité dont parle Chevreul dans sa série d'articles sur Artephius : en effet, jusqu'en 1850, la Clef de la Sapience était attribuée à Alphonse X le Sage. Chevreul prouve que ce traité est de la main d'Artephius ; seul problème : Artephius n'a jamais existé... Dans le même manuscrit (n°160), ce traité est suivi des cinq livres de Nicolas Valois d'Escoville, compagnon du seigneur Grosparmy. Après celui-là, vient le livre du prestre Vicot :

    « Ce livre-cy estoit doré et escrit en parchemin et lettres d'or, et relié aux quatre coins de quatre grands clous d'or ; et en iceluy est déclaré ce que ces meissieurs [Grosparmy, Valois d'Escoville, Vicot] avaient un peu caché, dont ce présent est la copie et l'original. Donc, ceci soit gardé sous le silence, et qu'il ne soit montré à personne s'il n'est parfaict philosophe et homme de bien, en peine d'encourir les tourments et peines éternelles par l'ire de Dieu. »

    Ce trio d'alchimistes qui travaillait à Flers en Normandie, au début du XVe siècle, illustre cette collaboration pour l'accomplissement du Grand Oeuvre. Il s'agit du seigneur de Grosparmy, de son ami Nicolas Valois et de leur chapelain le prêtre Vicot. A la lecture de leurs œuvres, il ressort nettement que Nicolas Valois d'Escoville fut l'âme du groupe, le seigneur de Grosparmy jouant les mécènes, se piquant de traiter de science. Vicot l'illuminé, à l'affût de recettes nouvelles, essayait de découvrir celle enfin capable de faire de l'or ! Aucune des œuvres des adeptes de Flers ne fut imprimée ; cependant il en existe de multiples copies manuscrites généralement très bien exécutées. Source : Alain Garric.

    Comme celles de Carcagny, de Fontaine-Etoupefour (où l'on retrouva dans les douves des fioles, pleines de poudre de projection), les Demeures Philosophales de Caen, Hôtel d'Escoville, la Maison des Quatre Ans, la Manoir de la Tour des Gens d'Armes, la Maison Osmond du boulevard Leroy, etc. témoignent encore de la présence du cercle des alchimistes que fréquentaient, en leur temps, Fucanelli, Canceliet, Champagne.

    Fait intéressant la Normandie, et en particulier la ville de Flers, qu’une des traductions du Traité d’Artefius, intitulé : Clavis majoris sapientiœ est due à un gentilhomme normand, seigneur et baron de Flers au XVIème siècle, Nicolas de Grosparmy, et a passé pour une œuvre originale.

    Le seigneur de Flers ne se livrait pas seul à la pratique du grand-œuvre ; il avait deux associés : l’un était un autre gentilhomme bien connu dans les annales de la ville de Caen, il se nommait Nicolas Le Valois ; les documents que je vais citer disent de Valois, évidement dans le but de donner un cachet plus nobiliaire à ce nom déjà fort noble. Le second était un prêtre du nom de Vicot, qui s’intitule le serviteur de ses deux associés.

    M. Chevreul est possesseur de plusieurs manuscrits dont il a fait l’analyse : l’un est attribué par lui à de Crosparmy, les autres contiennent les élucubrations des deux associés. Il est prouvé par le travail du savant chimiste que ces œuvres ne sont que des traductions plus ou moins libres du Clavis majoris sapientiœ.

    Le manuscrit du seigneur de Flers porte le titre :

    de Grosparmy 

    De gueules à deux jumelles d'hermines accompagné en chef d'un lion léopardé du même.

     

    GROSPARMIS  SEIGNEUR  DE  FLERS.

    Ensuite la copie d’un manuscrit fait par M. de Gros Parmy (sic), seigneur et baron de Flers, et ayant acquis la dite baronnie et fait construire le chasteau du dit lieu.

    Lequel manuscrit contient théorie et pratique, et en dit autant que tous les autres livres ; néanmoins qu’il soit bien couvert, toute l’œuvre y est contenue ; estant bien entendu ; ce qui se peut faire par le moien des autres livres cités au présent.

    Au nom du grand Dieu Trin, un qui a créé toutes choses de rien, qui vit et règne sans commencement et sans fin. 

    A tous féaus disciples de philosophie naturelle.

    Sçachant tous que je Nicolas Grosparmy, natif du pays de Normandie, par la volonté de Dieu, allant par le monde de région en région, depuis l’aage de douze ans jusques à l’aage de vingt-huict ans : cherchant et désirant sçavoir l’art d’alchymie qui est la plus subtille partie de philosophie naturelle qui traitte et enseigne de la très-parfaite transmutation des métaux et des pierres précieuses ; et comme tout corps malade peut être ramené et réduit en santé. Le dit temps durant, ay enquis comme l’un des métaux se peut transmuter en l’espèce de l’autre et en ce faisant, ay soutenu moult de peines et de dépences, injures et reproches ; et en ay abandonné la communication du monde et la plus part de ceux qui se disoient mes meilleurs amis, pour ce qu’ils m’avoient en dédain, moy estant en nécessité, en me voulant détourner de l’inquisition du dit art pour ce qu’il leur sembloit que je m’y occupois, et que je détournois de mes autres affaires, et pour a celle chose parvenir, ay quis et esté avec maint compagnon cherchant le dit art comme je faisois, cuidant le trouver par leur moien ; et pour avoir amitié et entrée avec eux, me suis fait leur serviteur, et ay soutenu la plus part de la peine de leurs ouvrages et ay veu et estudié plusieurs livres auxquels la science est contenue en deux manières, l’une fauce, l’autre vraie.

    Que Grosparmy fit la maison des comtes de Flers, en Basse-Normandie, très illustre et très riche, et que l’original de tous ses écrits est entre les mains du comte de Flers, lesquels il tient si chers, et avec raison, qu’il se les cache à luy mesme.

    Ils étaient trois, qui ont possédé l’œuvre , M. de Grosparmy, trisaïeul de M. le comte de Flers, Nicolas Valois, son amy, Pierre Vitcoq ou Vicot, son chaplain.

    Le comte de Flers dont il est ici question, comme arrière-petit-fils de Nicolas de Grosparmy, était Louis de Pellevé, qui après avoir eu une superbe position, mourut dans la détresse en 1660, sans doute toujours en possession du précieux manuscrit, qui ne lui apprit point à faire l’or dont il avait grand besoin.

     M. de Valois, de la maison d’Escoville, a composé cinq livres reliés en un même volume, où il y a au commencement une grande figure ronde enlumunée, et deux fourneaux admirables, de M. de Grosparmy, par le moien des registres duquel on peu éclore les œufs et fondre l’or, lequel livre il faisoit en forme de testament à son fils, le petit chevalier.

    Nicolas de Valois, second amy et compagnon de science et de possession de l’élixir, a basti une maison très splendide à Caen et a laissé quatre terres nobles à ses successeurs, dont l’aîné porte le nom de sieur d’Escoville-Valois, grand seigneur en Normandie, près de la ville de Caen.

    Les quatre terres que M. de Valois avait acquises, il les a basties magnifiquement ; chaque bastiment ne se feroit pas pour cinquante mille escus ; dans l’une, il y a une chapelle, où tous les hiéroglyphes de l’œuvre sont représentés. Il avait épousé, en premières noces une dame Hennquin, qui, par son contract de mariage, ne devoit remporter de douaire que quinze cents livres ; mais le douaire de la seconde femme a esté de plus de vingt mille livres.

    Il a de plus composé un livre très-excellent et très-rare, traittant de la philosophie hermétique, tout plein de figures hiéroglyphiques, lequel est intitulé : Hebdomas hebdomadum cabalistarum magorum bracmanorum antiquorumque omnium philosophorum impteriœ continens.

    Ce personnage a justement acquis une grande célébrité dans la ville de Caen, par la construction de l’hôtel situé place St-Pierre, qui fait encore l’ornement de la cité ; cet édifice, après avoir passé par succession à la famille de Touchet, qui le tenait du poète latin Moysant de Brieux, fut acheté par la ville en 1733, pour en faire un hôtel-de-ville, et, de nos jours, devint l’hôtel de la Bourse.

    Tous les auteurs qui ont écrit sur Caen ont célébré cette somptueuse demeure. De Bras nous apprend quelques particularités sur sa construction.

    Il raconte que, vers l’an 1537, alors que les imaginations étaient encore fort excitées par la quantité de métaux précieux apportés à la suite de la découverte du Nouveau-Monde.

    M. Chevreul cite un écrit de ce personnage, intercalé dans le volume manuscrit attribué à Nicolas de Grosparmy, intitulé :   Recueil par extrait de quelques philosophes adeptes, par ordre alphabétique, où sont reportez (sic) quelques-uns de leurs passages, avec quelques traits de leur vie, par messire Jean Vauquelin, chevalier seigneur et patron des Yveteaux (1700).

    Personne ne pouvait être plus à même de connaître les particularités historiques sur les associés que ce normand.

    M. des Yveteaux, à l’article Valois, dit que :   Celui-ci acheva le grand œuvre en la ville de Caen, où les hiéroglyphes de la maison qu’il y fit bâtir et que l’on y voit encore en la place St.-Pierre , vis-à-vis de la grande église de ce nom, font foy de sa science .

    On se rappelle que ce personnage avait fait graver les hiéroglyphes de l’œuvre dans une chapelle de l’une de ses terres.

    M. Choisy, dans sa charmante description du château et des jardins des Yveteaux, lue à la session de 1864 de l’Association normande, tenue à Falaise, dit de Jean Vauquelin :

    C’était un homme d’étude. Il avait, dans son château, un vaste et riche laboratoire de chimie, science sur laquelle il aurait composé quelques ouvrages. À certaines expressions grosses de mystères, et en grand honneur chez les alchimistes, il est de plus fort à croire qu’il a été adepte des passionnantes chimères du grand œuvre. Source : Alchimie Pratique - Bellator.

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    Sources : Le Tenneur René - Magie Sorcellerie et fantastique en Normandie -1979.

    Extrait du Catalogue de Normandie - France - Ovnis : Seine-Maritime (76), Orne (61), Manche (50), Calvados (14)
     
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