• L’Abécédaire des Voleurs de Corps - Lettre G

     

    Le Tricéphale 

    [Les Têtes de l'Hydre - Politiques - Religieux - Occultistes]

     

    L’Abécédaire des Voleurs de Corps - Lettre G

     Bellator

    Guillaume Chevallier

     

     Comme l'a si pertinemment signalé René Le Tenneur [cf. Magie, Sorcellerie et Fantastique en Normandie des premiers hommes à nos jours - 1979] les manifestations paranormales et les apparitions des créatures, dites surnaturelles, perdurent depuis des temps immémoriaux, jusqu'à notre époque moderne.

    Puisqu'en effet, ils n'ont pas disparu, ni avec la révolution industrielle, ni après l'avènement du numérique :

    Les fées, dames blanches, lavandières, sirènes, garwall, garous, varous ou wargus, lycanthropes, hommes-loups, bonhommes blancs, revenants, fantômes, rongeurs d'os, lémuriens, stryges, bierres, goules, laitices, milloraines, fouines, chabrettes, taranes, huards, bigornes, succubes, incubes, satyres, nymphes, hommes-papillons et hommes en noir aux yeux de zombies, horlas, simulacres, répliquants, substituts, drôles, korrigans, goublins ou gobelins, lutins et lubins ou hommes rouges, jacquets, follets, gnomes, petits-gris, génies, et apparitions ou manifestations dites religieuses, etc. ; ces créatures étranges venues d'ailleurs sont toujours observées ou photographiées dans notre environnement, où elles prennent occasionnellement possession de nos demeures, de nos âmes et de nos corps, et tous ceux qui en ont fait des féeries ou des diableries, ou aujourd'hui des alienneries, se méprennent sur la nature réelle, de ces êtres poly-métamorphiques, qui ne sont, à proprement parler, ni terrestres ou extraterrestres mais ultra-terrestres, comme John A. Keel aimait à les qualifier. [cf. : La Prophétie des Ombres - 1975].

    Les Voleurs de corps

     L’existence en la croyance universelle des vampires qui se nourrissent du sang, ou principe vital, de leurs victimes et celle des zombies ou, morts-vivants qui se relèvent de leurs tombes, ou qui restent enfermés dans leurs cercueil après avoir vainement gratter le couvercle, sont les marques de la prise de possession des corps vivants ou défunts par les entités psychique métamorphes nommées par les anciens sous différentes appellations ou dénominations (noosphères, daïmons, djinns, goules, mânes, spectres, esprits-frappeurs, élémentaux, dames-blanches, fées-mélusines, vouivres, stryges, givres, sirènes, incubes, succubes, hennequins (hennequins = petits diables, dont certains sont décrits comme des êtres d'une difformité étrange, nains grêles dont la tête est enflée et grosse comme une tonne = petits gris / shorts-Grey), farfs, loups-garous (lycanthropie), les ulfarks (les guerriers-loups), les berserkers (es guerriers-ours), les svinfylkingars (les guerriers-sangliers), qui sont les berserksgangrs (les guerriersfauves), etc., ce sont les voleurs de corps (les body snatchers).

    Ces métamorphes/transformistes apparaissent aussi comme polymorphes (voir les divinités polymorphes mi-animal/mi-humaines des hiéroglyphes antiques) lorsqu’ils se métamorphosent en humains, en animaux, en créatures chimériques (shorts-Grey) ou en sphères de plasma (noosphères) identifiés par les modernes comme des ovnis ou des extraterrestres.

    Il leur arrive souvent de chasser leurs victimes en meutes, s’ils sont parfois grégaires, la plupart sont individualistes, sédentaires et territoriaux, attachés à une terre, à un domaine, à un lieu, un site, un monument, ou à un écosystème naturel, comme un bois ou une forêt, qu’ils contrôlent, surveillent et y traquent les intrus qui ont le malheur de les importuner.

    La mémoire traditionnelle

    Les anciens, en guise d’avertissements, nous ont transmis un nombre incalculable de récits et de témoignages illustrant leurs compétences surnaturelles servant leurs prédations, et dont les ignorants-impéritieux frivolets ont rangé dans le registre de la superstition, de la croyance, des mythes, des contes et légendes, en voici quelques exemples.

    En Neustrie, il y a des expressions consacrées pour signifier qu'une personne a été contaminée ou inséminée par un poly-Métamorphe, « il court le garou (ou le warou) dans la lande ! », « il a le diable au corps ! ».

    Les contacts, les rencontres rapprochées et les communications avec les représentants de l'autre monde ont impacté notre histoire, en se différenciant formellement dirigeant et orientant la doxa culturelle dominante.

    Au cours des périodes préhistoriques et antiques, ce fut les croyances religieuses aux dieux, puis le temps des terreurs superstitieuses de la magie des sorciers et des sorcières, époque de l'anti-démonologie, qui a connu son paroxysme hystérique, avec la Réforme, au XVIIe siècle, à laquelle a succédé l'illusionnisme de l'ésotérisme kabbalistique et le culte de l'occultisme hermétique, propre à la Renaissance, allumant les lueurs crépusculaires de la Révolution, dont le magnétisme, le spiritisme, le magico-chamanisme du New-Age/Para-Science, et, pour finir, l'extratologie-éthérée ufologique, sont les ultimes reflets aveuglants et illusionnistes.

    Au delà de ces apparences, et avant de se dissimuler sous les formes fictives des petits diablotins-lutins des petits gris, des Men-In-Black, et autres entités des rencontres rapprochées des ovnis modernes, les représentants Métamorphes de l'autre monde, ont manifestement pris un malin-plaisir à adopter les panoplies, aussi variées que trompeuses, des êtres soi-disant divins, angéliques et démoniaques.

    L'analyse structurelle, la corrélation formelle et l'étude statistique des phénomènes de hantise, de possession démoniaque, ou d'apparition diabolique, ou même faussement mariale, le démontrent abondamment.

    En effet, les occurrences manifestées, les emprises psychologiques et physiques, sont structurellement identiques, et les parallèles sont d'une évidence indiscutable chez les témoins/expérienceurs, les abductions-visites en chambre/rapts et visites nocturnes démoniaques, les paralysies temporaires/immobilisations mystérieuses, les communications télépathiques/voix intérieures, les implants, marques/épines-aiguilles cicatrices, les lieux ovnigènes/lieux hantés, les apparitions lumineuses ovnis/manifestations lumineuses diaboliques, les portails multidimensionnels/voyages hors du temps présent, les transports géographiques/déplacements surnaturels, les rapports sexuels des RR7 +/ rapports charnels avec les succubes et les incubes, les hybridations alien-humain/enfants du diable, les extraterrestres polymorphes/créatures métamorphes démoniaques, les crop-circles/cercles des fées, les traces et objets matériels/empreintes et apports surnaturels, les mutilations de bétail/sacrifices mutilations d'animaux, etc. comme l'illustrent suffisamment les descriptifs et la cartographie des apparitions ufologiques et des manifestations surnaturelles, constatés en Normandie, et ailleurs où plus de 50 % des sites ovnigènes sont géolocalisés sur les clusters des phénomènes surnaturels.

    Gaillon (27) - Eure - Normandie - France - 06/06/1976 - 02 h 15 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

     

     

    Mme M. Vasnier, habitant à Gaillon, vit une demi-sphère en forme de soucoupe volante, couleur feu. L'engin a balayé le sol à plusieurs reprises puis plus rien. 

    Puis deux énormes lueurs rouges dégageant une fumée rosâtre longèrent le mur délimitant le Mesnil Gosse, puis plus rien.

    La demi-sphère réapparaissait tous feux éteints. Elle disparut en direction de Vernon.

    L'observation dura 20 minutes. 01 Témoin. Source : Paris-Normandie du 08/06/1976.

    Gailloncel (27) - Eure - Normandie - France - octobre 1952 - 22 h / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

     

     

    Observation d'un objet stationnaire en forme de tricorne muni de trois feux multicolores. N. N. C. Témoins. Source : France-Ovni.

    Gandelain (61) - Maléfice Inexplicable 

    Au début du XIXe siècle, à Gandelain, on voulut murer une fenêtre donnant sur le cimetière. Par un maléfice inexplicable, il ne fut jamais possible d'y parvenir, malgré les nombreuses tentatives d'excellents maçons employant le meilleur mortier.

     

    Sources : A. Marquez, Le Bouais Jan, 1899.

    Garcelles-Secqueville (14)

    Novembre 1849 - Tremblement de terre  - Il y a quelques jours, de violentes secousses, accompagnées de détonations souterraines, et ayant la plus grande analogie avec les tremblements de terre, se sont fait sentir dans plusieurs communes voisines de la ville de Caen : à Bretteville-sur-Odon, à Carpiquet, à Saint-Contest, à Garcelles, etc… Dans une foule d'habitations, des meubles on été violemment agités, déplacés même. Du reste, aucun accident n'est a citer. (source : L’Indicateur de Bayeux).

    Gasny (27) - Eure - Normandie - France - octobre 1952 - 04/08/1995 - 01 h 15 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    Observation d’une sphère lumineuse évoluant au-dessus d’un site militaire avec départ en dent de scie. N. N. C. Témoins. Source : France-Ovni.

    Le Père Adam

    Côte du père Adam : Dénomination de la montée vers Vernon par le plateau. Au tournant, un peu avant le sommet, à droite, se trouve une grotte (qui est à ciel ouvert depuis quelques années), dans laquelle habitait un ermite. Il l'avait fermée par une porte et une fenêtre et s'était fait une courette fleurie puis, de l'autre côté de la route, avait défriché un bout de terrain et planté quelques arbres fruitiers et vignes (celle-ci subsiste dans les fourrés). Il descendait à Gasny une fois par semaine et mourut sur la route un jour de très grand froid. Il n'avait pas d'âge connu, mais un aspect patriarcal qui l'avait fait surnommer le père Descoings (Pierre Descoings architecte XIIIe).

    Le Père Adam à l'entrée de sa grotte - Source : Wikipédia

    Gatteville-le-Phare (50) - Manche - Normandie - France - 26/10/1954 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

     

     

    Un patron pêcheur, Henri Letrecher, habitant à Gatteville - le -Phare (Manche), a vu dans le ciel un globe de couleur orange qui se déplaçait à une vitesse vertigineuse, laissant pendre une flèche lumineuse de même couleur. Son fils et plusieurs voisins ont été témoins du même phénomène.

    Plusieurs Témoins. Source : La Croix du 27/10/1954.

    La Blanche Nef

    undefined

     

    La Blanche-Nef est un navire qui fit naufrage au large du Cotentin, le 25 novembre 1120 (date généralement citée, alors qu'il y a des arguments en faveur du 24 novembre 1119) avec pas moins de 140 hauts barons et dix-huit dames de haute naissance, filles, sœurs, nièces ou épouses de rois et de comtes à son bord, parmi lesquels l’héritier du trône d'Angleterre, le prince Guillaume Adelin, fils du roi Henri Ier Beauclerc.

    Comme le roi  s’embarquait à Barfleur, un marin de Normandie, Thomas, fils d’Étienne, vint le trouver et lui dit : « Mon père a servi le vôtre sur mer toute sa vie ; c’est lui qui l’a porté sur son vaisseau en Angleterre, quand votre père y est allé pour combattre Harold. Seigneur roi. Accordez-moi en fief le même office ; j’ai pour votre royal service un vaisseau bien équipé que l’on appelle la Blanche-Nef » .

    Le roi répondit : « J’ai choisi le navire sur lequel je passerai, mais je vous confie volontiers mes fils Guillaume et Richard, et tout leur cortège ». Par l’ordre du roi, s’embarquèrent sur la Blanche-Nef près de trois cents personnes.

    Toute la brillante jeunesse se préparait joyeusement au voyage. Elle fit donner du vin aux cinquante rameurs et chassa avec dérision les prêtres qui voulurent bénir le vaisseau. La nuit venue, les jeunes princes pressèrent le patron Thomas de faire force de rames pour rattraper le vaisseau du roi déjà bien loin. Afin de couper au plus court, le patron prit par le ras de Barfleur (aujourd’hui signalé par le phare de Gatteville), bordé d'écueils à fleur d’eau.

    La Blanche-Nef ayant heurté violemment l’un de ces écueils, elle s’entrouvrit et coula. Seuls deux hommes réussirent à s'accrocher à la grande vergue, le boucher du bord, un Rouennais du nom de Bérold et le jeune Godefroi, fils de Gilbert de l'Aigle.

    Ils aperçurent un homme dans l’eau, le pilote Thomas, qui leur demanda : « Qu’est devenu le fils du roi ? »« Il n’a point reparu, ni lui, ni son frère, ni aucun des leurs », répondirent-ils. « Malheur à moi ! » s’écria Thomas, et il se laissa couler plutôt que devoir faire face au roi.

    Pendant la glaciale nuit qui suivit, Godefroi de l'Aigle succomba à l'hypothermie et finit par lâcher la vergue pour se noyer. Protégé du froid car vêtu d'épaisses couches de fourrures, son compagnon Bérold fut recueilli le lendemain par des pêcheurs pour raconter le désastre.

    On dit que ce fut un enfant qui annonça la sinistre nouvelle au roi Henri qui, aux premiers mots qu’il entendit, tomba à terre comme foudroyé. Depuis ce jour, jamais plus on ne le vit sourire.

    Selon la légende locale qui alimente l'imaginaire, ce naufrage aurait englouti un fabuleux trésor à quelques milles de Barfleur. Source : Wikipédia.

     Les Reliques

    La fête des reliques rend hommage à des ossements de Saints. « La légende raconte que des reliques de saints martyrs espagnols ont été récupérées dans un bateau ayant fait naufrage devant Gatteville-Phare ».

    Dans la chapelle se trouve une ancienne table d’autel, dont l’orifice pourrait avoir servi à accueillir des reliques. « Nous rendons aussi hommage aux habitants qui ont protégé les objets de culte et les statues pendant la Révolution. »

    « C’est notre patrimoine. Il y a de moins en moins de fêtes de ce genre qui mettent le village à l’honneur », évoquent Auguste et Louis, octogénaires. Source : Ouest-France du 20/07/2021.

    Barfleur (50) - L'Évacueur de Peste Jehan Le François   

    1627 : copies de deux procès criminels, l'un fait à Jehan Le François opérateur, accusé d'envoyer la peste, à qui il voulait, et d'attenter à la pudicité des femmes ; envoyé par arrêt du Parlement de Rouen sans absoudre ni condamner. 

    Évacueurs et esventeurs, opéraient par conjurations ou par des formules, aussi bien pour guérir la peste que pour l'envoyer. L'opérateur Jehan Le François pouvait faire apparaître le Diable (Maître Perrin), et de le faire voir sous telle forme particulière ou moins effrayante comme celle d'un insecte scarabée noir ou celle d'un escargot. 

    Il pouvait obliger les plus belles filles à coucher avec lui, ou trouver les trésors cachés. Il fit élever en l'air une lourde table ou des personnes, ou de charmer une balle pour qu'elle atteigne sa cible à coup sûr. Il fut arrêté à Barfleur après avoir voulu faire disparaître une mystérieuse caisse bardée de fer.

    L'inventaire de cette caisse révéla qu'elle contenait des livres de secrets médicaux, de nombreux produits bizarres, et dedans, dissimulée dans le couvercle, une peinture sur papier représentant des démons, des esprits malins et des silhouettes humaines, et aussi deux morceaux de parchemin sur lesquels étaient rédigés des conjurations, enjoignant à la Peste (Dame Perette) de quitter le corps d'un pestiféré afin de contaminer  un autre.

    Source : Lenglet-Dufresnoy, Extrait du Recueil de dissertation sur les apparitions.

    Gauciel (27) - De la tête au pied

    A Gauciel (Eure), un équidé de 23 ans a été sérieusement blessé à la tête par un objet tranchant. Les auteurs ont agi au milieu de la nuit, vers 3 ou 4 h, le 13 octobre 2020.  Le cheval, de 23 ans, en pâture, à Gauciel, a été blessé au front sur vingt centimètres avec un objet tranchant, avait déjà été retrouvé blessé au pied deux semaines avant.

    Source : Ouest-France, du 15/10/2020.

      Gerrots (14)

    Juillet 1852  - Une affaire de lune  -  On sait que le mois de juillet, dans lequel nous venons d'entrer, aura deux pleines lunes. C'est un phénomène qui ne se voit qu'à de très longs intervalles. On ne l'a pas observé depuis 1787. La première de ces deux pleines lunes a eu lieu le 1er, à trois heures 37 minutes du soir ; la seconde se verra le 31, à deux heures 21 minutes du matin. (source : L’Indicateur de Bayeux).

    (1) Giberville (14) - Calvados - Normandie - France - 31/07/2014 - 07 h 10 / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique
     
    Le témoin observe, depuis son jardin, un objet inconnu formé de trois boules lumineuses placées en triangle. Les trois boules accroissent leur intensité lumineuse avant de disparaitre comme dans une forte accélération de l’ouest vers le nord. 01 Témoin. Source :  P. V. Geipan.
     
     
     
     
    (2) Giberville (14) - Calvados - Normandie - France - 04/02/2014 -  07 h 10 / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique
     
    Flippant ce matin à 7 h 10 dans le calvados en emmenant mon mari au travail le ciel tous noir sans aucune étoiles une grosse boule blanche qui bouge de gauche à droite la même au jour de l'an c'est quoi ce truc ? bebe. 02 Témoins. Source : Ovni-France.

    (3) Giberville (14) - Les Tumulus

    En 2020, les plus anciennes fosses de chasse alors repérées dans la plaine de Caen sont fouillées sur le site de la zone d'aménagement concerté du chemin de Clopée, au nord de la commune. Elles remontent au Mésolithique ou au début du Néolithique (6 000-5 000 ans avant notre ère). La fouille a également livré quatre ensembles funéraires de l'âge du bronze ancien. L'un de ces groupes contient deux très grandes tombes et une dizaine d’autres plus modestes associées à une exceptionnelle tombe dite « princière » datée de 1800-1600 ans avant notre ère (qui renvoie à la culture des Tumulus armoricains de l'âge du bronze armoricain). Dans la commune se trouve enfin une nécropole de 45 tombes datant elle de la période gauloise. Elle semble contenir des inhumations d’individus, dont certains portent des parures (bracelet en lignite ou en bronze, fibules en bronze et en fer), ainsi que quelques urnes à incinération. [Wikipédia].

    (1) Gisors (27)  - Mainneville (27) - Sancourt (27) - Trie-Château (60) - 21/11/2016 - 19 h 30 / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

    Dans chacune de ces communes Mainneville (27), Gisors (27), Sancourt (27), Trie-Château (60), à la même heure et dans la même direction, mes 7 frères et sœurs et moi-même nous avons aperçu depuis nos habitations respectives, une boule lumineuse très brillante immobile située à environ 5 000 m dans la direction Sud-Est, et curieusement nous avons tous remarqué que tous les avions de ligne, passant dans son périmètre, étaient déviés de leur trajectoire habituelle Ouest-Est, virant au Nord-Est pour se rendre aux aéroports de Paris, comme je les vois tous les jours depuis mon appartement, et j’habite Mainneville depuis 55 ans. Nous avons écouté les infos pour avoir une explication à ces détournements inhabituels, mais en vain ! Bizarre ! domy. 08 Témoins. Source : Ovni-France. 

    (2) Gisors (27) - Eure - Normandie - France - 02/08/2013 - 01 h 12 / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

     

    Étant sur mon balcon à scruter les étoiles, j'ai aperçu une sorte de petit nuage à 25 m du sol  visible à l’œil nu avec une vitesse moyenne qui m'a intrigué. Étant en possession de mes jumelles (7x50) 119/1000 m j'ai pu voir cette étrange nuée. C'était soit un objet triangulaire, soit une formation d'ovnis en triangle. Il était composé d'une trentaine de lumières blanches qui formaient un triangle. Il était silencieux puisque aucun son ne se fit entendre... Il s'est dirigé d'Est en Ouesten direction de Gournay-en-Bray (76). Doddy. 01 Témoin. Source : Ovni-France.

    (3) Gisors (27) - Eure - Normandie - France - 21/07/2013 - vers 04 h / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

    J’ai vu une lumière rouge, ronde fixe, légèrement foncée, environ 3 à 4 fois la surface de la lune, à environ 25 degrès de hauteur, direction sud-ouest. J’ai fait une déclaration au Géipan, j’ai n’ai pas eu de retour. X. G. 01 Témoin. Source : Christian Macé.

    La Divise de l'Ordre de la Jarretière

    Plusieurs écrivains prétendent que ce fut à Gisors qu'eut lieu l'institution de l'Ordre de la Jarretière, destinée à récompenser la valeur guerrière.

    Edouard III, roi d'Angleterre, en 1346, dansant à Gisors, après un tournoi, avec la Comtesse Alix de Slisbury, qui le suivait à la guerre, après que sa jarretière se fut détachée, la lui rattacha en disant à la comtesse, qui hésitait à accepter, « Honi soit qui mal y pense». Source : Wikipédia.

    Château de Gisors (27) - Sanctuaire Occulte

     

      

    Les premiers maçons (de free-mason-stone : ceux qui sculptent la pierre blanche de calcaire au grain fin et tendre qui se taille facilement et ancêtres des francs-maçons du XVIIIe siècle) étaient connus en France depuis les environs du VIIIe siècle.

    Ils furent soupçonnés de s'adonner aux sciences occultes, à l'alchimie, à l'astrologie et d'être des sorciers.

    L'Église les combattit, et en 1189, le synode de Rouen fulminait contre ces sociétés que la Sainte Église a en horreur.

    Un document donnant la liste des grands maîtres de la maçonnerie indique, au titre de l'année 1066, le nom du seigneur normand Roger de Montgomery, compagnon du duc Guillaume à Hastings cette même année.

    C'est un fils de Roger de Montgomery, Robert de Bellême, comte d'Exmes (61), qui, selon un de ses biographes modernes, le vicomte de Motey, était un véritable personnage diabolique dont on ne prononçait le nom qu'avec crainte, ses gestes, vrais ou faux, étaient des choses merveilleuses qu'on racontait avec effroi, et on pensait qu'il était l'incarnation d'une sorte de démon, fut le bâtisseur du château de Gisors, dont il établit le plan et dirigea personnellement les travaux, signes d'appartenance à cette mystérieuse corporation des frères maçons.

    Le roi Henri Ier d'Angleterre, fils du duc Guillaume de Normandie, lui-même grand maître des maçons d'Angleterre, fit vers 1110, achever la construction du château de Gisors, par des maçons-architectes Templiers, selon la norme hermétique, et en fonction de l'état du ciel du 24 décembre à minuit, pour y installer un sanctuaire souterrain réservé aux pratiques occultes (Les Templiers furent accusés, en 1307, d'hérésie, d'occultisme, de magie et de sorcellerie ; et le donjon du château de Gisors recèle de mystérieux graffiti, que l'on retrouve aux forteresses de Chinon (37) ou de Domme (24), où furent incarcérés les Templiers.).

    Sources : Thory Acta Latomorum, Publ. Anderson, 1715. E. H. Langlois, Mémoire sur les tombeaux Gallo-Romains découverts à Rouen.

    Le Trésor des Templiers 

    Le château de Gisors est une construction du XIè siècle (1096) décidée par Guillaume II d'Angleterre et confiée à Robert II de Bellême dont le donjon occupe une motte castrale. 

    Il est célèbre par la légende populaire du trésor des templiers qui y serait caché (ainsi que des cantines militaires contenant les archives de la Résistances Française), mais les templiers n'en ont eu la responsabilité qu'entre 1158 et 1160 (30 ans après la création de l'ordre).

    La présence templière à Gisors n'est pas à nier. Elle a, au contraire, bien eu lieu : entre 1158 et 1161, 3 chevaliers de l'ordre du Temple seraient restés dans la forteresse. Ils s'appelaient Richard de Hastings, Toestes de Saint Omer et Robert de Pirou. Puis quatre dignitaires de l'ordre du Temple y ont été brièvement prisonniers en 1314 lors de la chute de l'ordre.

    Dans les années 1950 (et pendant l'occupation), le gardien du château, Roger Lhomoy, entreprit le creusement de nombreux souterrains qui finirent par déstabiliser la motte et provoquer des fissures dans le donjon. 

    En mars 1946, après des fouilles acharnées, Roger Lhomoy découvre une chapelle qu'il décrira fort bien :

    " Ce que j'ai vu à ce moment là, je ne l'oublierais jamais car c'était un spectacle fantastique. Je suis dans une chapelle romane en pierre de Louveciennes longue de 30 m, large de 9 m, haute d'environ 4,50 m à la clef de voûte.

    Le long de murs, posés sur le sol, des sarcophages de pierre de 2 m de long et de 60 cm de large : il y en a 19.

    Et dans la nef, ce qu'éclaire ma curiosité est incroyable : 30 coffres en métal précieux, rangés par colonnes de 10.

    Et le mot coffre est insuffisant : c'est plutôt d'armoires couchées dont il faudrait parler, d'armoires dont chacune mesure 2,50 m de longueur, 1,80 m de hauteur, 1,60 m de largeur ".

    L'homme assura avoir découvert des salles souterraines ainsi qu'une chapelle (Sainte-Catherine) contenant le fabuleux trésor. Le maire ainsi que plusieurs habitants se rendirent sur les lieux mais le souterrain était tellement profond que personne ne voulut descendre. Le gardien reçut l'ordre de reboucher les creux et personne ne put vérifier ses dires.

    Des fouilles organisées en 1964 par le ministère de la Culture au château de Gisors pour retrouver le trésor des templiers à la suite du signalement de son jardinier et gardien, Roger Lhomoy, n'ont abouti à rien (pour autant, Michel Roy a témoigné avoir vu des camions lourdement chargés quitter le château de nuit).

    Les fondations du château ont été hautement déstabilisées par ces recherches. Un souterrain relierait le château à la tour de la Reine Blanche située à Neaufles-Saint-Martin, à 3 km du château. Sources : Wikipédia - Ville de Gisors - Bellator.

    La Croix percée des Templiers

     

     

    Croix de pierre qui a peut-être été taillée dans un ancien menhir.

    Le mégalithe est situé dans un champ au bord de la route départementale entre les communes de Neaufles-Saint-Martin et Gisors.

    Glanville (14)

    La fontaine de Saint-Méen, dont les eaux sont réputées pour guérir la gale des mains et la lèpre, et celle de Saint-Marcouf (deuxième patron de l'église), dont les eaux étaient censées guérir les écrouelles.

    Glos (14) - Calvados - Normandie - France - 22/08/2015 - 23 h 35 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    J’aime observer le ciel lorsqu’il est dégagé, comme ce soir-là quand je fumais une cigarette sur mon perron.

    Deux lumières incandescentes espacées de 3 / 4 km  sont alors apparues traversant le ciel à une hauteur de 600 / 800 m environ, venant de la direction d’Orbec, et se dirigeant vers la côte de Deauville. Puis un autre binôme est apparu, espacé de 8 à 10 km, puis encore un autre. L’incandescence était régulière aux 6 ovnis, sans émettre de lumière comme un projecteur, ni clignotante. Vitesse estimée entre 300 et 400 km/h. Durée de l’observation environ 01 minute. 01 Témoin. Source : Ovni-France.

    Glos (14) - Le Jogger / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    A Lisieux (Calvados), les recherches se poursuivent pour retrouver Patrick L., porté disparu depuis le dimanche 12 septembre 2021. La gendarmerie a diffusé un appel à témoins, dans le cadre d’une enquête pour « disparition inquiétante d’une personne majeure ».

    Cet ancien conducteur de bus âgé de 66 ans, sportif accompli, était parti faire son jogging en début d’après-midi, vers 13 heures 30. Il n’a plus donné signe de vie depuis. Un témoin affirme l’avoir vu du côté de Glos, en direction de Courtonne-la-Meurdrac, communes voisines de Lisieux, vers 16h30.

    Source : Le Pays d'Auges, du 14/09/2021.

    (1) Goderville - Croisement de Crétot - Goderville - Ecrainville sur la D925 -  (76) 

     - Seine-Maritime - Normandie - France -

    06/09/2015 - vers 10 h 40 / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

    Une conductrice observe un phénomène le 06 septembre 2015, vers 10h40 (en compagnie de son conjoint).

    Le dimanche 06 septembre 2015 entre 10 h35 et 10 h 45, une automobiliste et son passager avant circulent sur la D139 pour se rendent à Goderville.

    Un peu avant le rond-point où se croisent la D139 et la D925 et pour une raison qu’elle n’explique pas, la conductrice a vraiment « l’impression d’une ombre au-dessus de moi.», Mme X qui conduit le véhicule se penche vers l’avant et aperçoit au-dessus de la voiture un objet de forme triangulaire. légèrement incurvé sur les côtés, noir-mat avec dans les angles opposés au sens de déplacement « deux ronds comme du verre blanc avec les bords extérieurs qui ne semblaient pas lisse.».

    L’objet semble immobile ou avancer à la même vitesse que la voiture. Elle signale ce qu’elle observe à son conjoint qui ouvre la vitre latérale et penche la tête pour tenter d’observer le phénomène qu’il ne voit pas à ce moment-là.

    Les deux témoins continuent leur route vers Goderville et observent maintenant tous les deux le phénomène qui évolue sur leur gauche et s’éloigne en longeant la D925 à une vitesse estimée par Mr X à environ 80/90 km/h.

    Aucun bruit ne sera perçu pendant l’observation. Les deux témoins ont été entendus et enregistrés le 04 Avril 2016.

    En ce qui concerne Mme X, elle confirme ce qu’elle a indiqué dans le questionnaire GEIPAN en précisant que suite à cette observation, elle a rêvé du phénomène. Mme X conduisait et arrivait à un rond-point au moment du début de l’observation.

    Mr X n’a pas vu le phénomène au moment où il survolait la voiture, mais l’a observé alors que le phénomène s’éloignait en direction de Bretteville - du - Grand - Caux (76). Mr X était situé à droite dans le véhicule alors que le phénomène était à gauche de l’autre côté du conducteur.

    Pour Mr X le phénomène évoluait parallèlement à la route de Bretteville, il estime la vitesse à environ 80 km/h et une altitude d’environ 30 mètres au-dessus du sol. Il précise qu’au moment où sa compagne lui a dit de regarder au-dessus de la voiture, il a ouvert la vitre latérale pour tenter d’apercevoir l’objet et a pu constater qu’il n’y avait aucun bruit.

    Mr X confirme la couleur noir-mat de l’objet qu’il a observé de profil alors qu’il se trouvait déjà à environ 80 mètres de leur véhicnule. L’envergure du phénomène était « celle d’un petit avion » mais pour le témoin cela n’avait « rien à voir avec un avion ». 02 Témoins. Source : Géipan.

    (2) Goderville (76) 

     - Seine-Maritime - Normandie - France -

    Hiver 1977 ou 1978 - vers 21 h 45 / 22 h / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

    Mr. et Mme Lefebvre et leurs 2 enfants regagnaient leur domicile de Fécamp. Mr. Jacques Lefebvre : Je revenais de Gruchet-le-Valasse vers 21 h 45 – 22 h 00, probablement durant l’hiver 1977 ou 1978. A la sortie de Goderville pour revenir sur Fécamp, se trouve le long de la nationale, sur la gauche, une rangée d’arbres et une ferme. A un moment donné, notre attention a été attirée par des lumières à environ cinquante-soixante mètres de hauteur, il y avait deux lumières, fixes, qui ne balayaient pas mais un rayon allait presque jusqu’au sol. Je me disais si je m’arrête qu’est-ce qu’il va faire ? Nous n’étions nullement inquiets mais intrigués. Je me suis tout de même arrêté et j’ai ouvert ma vitre et éteint mes phares ; à ce moment-là nous avons entendu une sorte de sifflement, presque insoutenable. C’était du même ordre que l’accélération d’un avion à réaction lors de son envol, mais avec un peu moins de vibration. Et puis il y eut une formidable accélération, une voiture de course parait ridicule à côté, il est parti vers la ferme à une vitesse vertigineuse à l’horizontale. Il est parti vers le phare d’Antifer, nous l’avons perdu de vue, mais ce qui est certain c’est qu’il continuait à s’éloigner, nous avons attendu un peu et sommes partis. 04 Témoins. Source : Enquête de Christian Soudet. LDLN n° 261 / 262.

    Gonfreville-l'Orcher (76) - Seine-Maritime - Normandie - France - 23/04/1974 - vers 19 h 45 / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

    Vers 19 h 45, Didier Videcoq (14 ans), jouant dans l'avenue des Côtes Blanches, à Gonfreville - l'Orcher, face au pavillon où habitent ses parent, avec Pascal Lebrun (11 ans), qui habite quelques mètres en amont, entend un grand bruit ressemblant à celui du dérapage d'une voiture.

    Levant la tête, il voit passer, à une trentaine de mètres de hauteur (à peu près aussi haut qu'une des cheminées de la C. F. R.), un objet rond, gros comme un ballon, ayant l'apparence d'une étoffe de couleur orange.

    Selon Pascal et Didier, l'objet volait en zigzagant du nord vers le sud en laissant une fumée noire derrière lui.

    A ce moment, Didier prévient son papa qui a le temps de voir l'objet s'éloigner en direction du canal de Tancarville et de la C. F. R.

    A environ trois cents mètres, d'où se trouvaient les deux garçons, l'Ovni descendit, toujours en zigzagant pour disparaitre.

    Il y avait comme des petits morceaux qui tombaient, avec plein d'étincelles autour de l'objet, et dessous, des petits points noirs, on aurait cru des parachutes.

    Mr. Videcoq, retraité de la C. F. R. a confirmer les déclarations de son fils. 03 Témoins. Source : Le Progrès du 26/04/1974. 

    Gonfreville-l'Orcher (76) - Seine-Maritime - Normandie - France -  01/10/1954 - vers 15 h / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

    Dessin : Annie Joigneaux

     

    Un de nos concitoyens, m'a certifié avoir aperçu, le vendredi 1er octobre, à 15 heures, un papillon lumino-volant. M. Arthur Hébert, dit l'Acrobate, ancien gardien de la Paix en retraite, ancien spécialiste du dressage des chiens policiers, âgé actuellement de 80 ans, se tient à la disposition de tous les sceptiques pour confirmer les déclarations que nous avons enregistrées :

    C'était vendredi dernier, il pouvait être 03 heures de l'après-midi. J'allais dans le jardin pour essuyer le fil à tendre le linge, lorsque je vis, au loin, un point brillant qui descendit très rapidement.

    Une soucoupe volante... Je ne rigole pas, moi, Monsieur, laissez-moi vous raconter ce qui est l'expression exacte de la vérité.

    L'objet brillant se transforma en une espèce de grand, d'immense papillon argenté, de près de soixante centimètre d'envergure, qui commença à tourner autour de moi. La danse des... Non, Monsieur, non, pas de plaisanteries. C'est très sérieux. Comme j'avais mon travail à faire, je me secouais un peu : Sale bestiole, allez coucher, je lui dis, comme ça.

    Le papillon, cet imbécile, je croyais bien qu'il allait rentrer par le fenêtre du premier étage, chez la grand-mère. Vous vous rendez compte : soixante centimètres, étincelant, il aurait pu lui faire très peur !

    Et alors, finalement vous avez vu un Martien ?

    Mais pas du tout, pas du tout ! Pas plus de soucoupe que de Martien, je vous répète, la seule et l'exacte vérité : c'était un papillon. Il s'est arrêté finalement à quelques mètres au-dessus du sol, il se balançait légèrement sur ses ailes et me fixait. J'étais ébloui...

    Alors, je suis allé à l'intérieur de la maison pour chercher mes jumelles, et, lorsque je suis revenu pour l'examiner, il avait disparu.

    C'est fantastique !

    Comme vous le dites. Dans toute ma carrière de gardien de la paix, je n'ai jamais rien vu de semblable ! Vous êtes persuadé qu'il s'agissait d'un papillon ?

    Un papillon, je vous dis, argenté et fascinant. Je l'ai vu comme je vous vois.

    M. Arthur Hébert, 30 rue du Beau-Panorama, près du château d'eau (disparu depuis et devenu une zone boisée en 2023).

    Sources : Bob Guiader Gonfreville l'Orcher - La Haute-Marne Libérée du vendredi 08/10/1954 - Catalogue 54 : Jean Sider - Jonathan Giné et Anne Joigneaux.

    La Pierre Grise

    La Pierre Grise est un dolmen situé sur les hauteurs de Montivilliers, village voisin de Gonfreville-l'Orcher. 

    Il existe encore de nos jours sur la colline où sont bâtis les châteaux de Colmoulins Cet d’Escures, derrière la hêtraie de Montivilliers, une grosse pierre grise, exactement un ancien dolmen, sur lequel existe une légende que voici :

    Il y a très longtemps, lorsque le pays était soumis à la féodalité, vivait au manoir du Col des Moulins, qui était alors un château fortifié, un bon et vaillant chevalier nommé Guillaume de Colleville.
    Ce seigneur avait une jeune femme dont la beauté avait souvent inspiré les bardes et les trouvères et avait jeté le trouble dans bien des coeurs, notamment dans celui d'un jeune écuyer du nom de Robert.

    Ce Robert n'avait jamais eu de sentiments bien chrétiens, mais son amour insensé l'avait rendu capable de tout les crimes. Un jour qu'il se promenait sous les arbres aux environs du château, Il fit La rencontre d'un personnage de haute taille, vêtu de noir avec une barbe en pointe et des yeux brillants comme des Escarboucles.

    " Me connais-tu ? Demanda cet homme à Robert.

    - Non, répondit l'écuyer.

    - Et bien, je suis Satan ! "

    Tout autre que Robert se fut enfui à ces mots en faisant un signe de croix mais lui ne bougeait pas de place.

    "- Tu es Satan, dit-il, tant mieux, car je comptais sur ton aide.

    - Je le sais, C'est pourquoi je suis venu. Écoute : tu aimes la femme de ton seigneur et maître, et tu rêves jours et nuits aux moyens de la posséder ; je n'y vais pas par quatre chemins pour te le dire, cela te coûtera ton âme.

    - Qu'importe, répondit sourdement l'écuyer, il me la faut que dois-je faire ?

    - M'accompagner à pa Pierre Grise pour signer le pacte."

    Le plateau était alors une forêt au centre de laquelle se dressait le dolmen ; deux pierres fichées en terre en supportant une troisième en forme de table, tout à l'entour des chênes gigantesques.

    En arrivant là, Satan fit entrer l'écuyer dans une sorte de caveau situé sous la table de pierre, puis il lui présenta un écritoire et un parchemin au bas duquel Robert apposa sa signature.

    "- Bien dit le démon, maintenant, prends cette pièce de monnaie ; il te suffira de la faire toucher à la serrure de l'appartement où tu veux pénétrer et tu y trouveras ta maîtresse endormie ; seulement, n'oublies pas de la rapporter ici demain, car tu ne dois t'en servir que la nuit. Allons va ; Guillaume de Colleville est en voyage, tu es libre, amuse-toi bien, mon fils, ajouta Satan avec un ricanement."

    Le misérable rentra au plus vite au château et, la nuit étant venue, Il s'approcha à pas de loup de l'oratoire de La noble dame qui dormait d'un profond sommeil. Le lendemain matin, ivre encore de sa criminelle action, il se rendit en toute hâte à La " Pierre Grise ". Satan l'attendait appuyé surlLe dolmen.

    "- Bien, dit le démon en tordant sa barbe pointue, remets la pièce à sa place, tu la reprendras ce soir."

    Robert pénétra dans le caveau, mais à peine y était-il que Satan donna un grand coup de pied à l'un des côtés du dolmen et l'énorme table s'affaissa brutalement, écrasant sous elle le misérable écuyer.

    Puis le démon disparut avec un ricanement sinistre ! Et il y a déjà de bien longues années, en soulevant ce mystérieux bloc de granit on trouva sous la pierre druidique, quelques ossements calcinés et une pièce de monnaie gauloise en alliage d'argent que l'on nomma "La Pièce du Diable".

    Que vous pourrez examiner à votre aise dans le petit musée de la bibliothèque de Montivilliers.
    Article lu sur le site des "Écuries de La Pierre Grise", centre équestre situé à la frontière de Saint-Martin-du-Manoir et de Montivilliers.​ Source : Histoire du village.
     

     
    Photo Olivier Malsy, du bloc de pierre brute et silicieuse de 1.25 m x 0.45 m de la Pierre Grise, vers 1860 on voyait également trois autres pierres de même nature qui soutenaient celle qui subsiste actuellement.
    On racontait que le jour, une bonne fée prédisait l'avenir à ceux qui venaient la consulter, après leur avoir bandé les yeux et fait accomplir trois fois le tout de la Pierre. La nuit, par contre, cette dernière devenait le lieu de rendez-vous de sorciers et d'esprit malins aux ordre de Satan qui allaient tourmenter les humains par leurs apparitions et leurs cris épouvantables ; celui qui s'approchait trop prèstait enlevé par le Diable et conduit aux Enfers. Ces croyances furent tellement fortes que l'abbesse de Montivillers demanda au vicomte de Montivilliers qu'une fût montée la nuit pour chasser les lutins. On raconte que le Diable s'en était aller, abandonnant un trésor. On se rendit donc à la Pierre Grise, qui fut aspergée d'eau bénite et soulevée, permettant ainsi la découverte d'ossements et d'une pièce de monnaie. Source : Mégalithes de Haute-Normandie.

    La Fontaine Sainte-Honorine de Gonneville-sur-Mer (14)

     

     

    GONNEVILLE-SUR-MER est un village ancien situé au nord du pays d’Auge. Plusieurs chemins de la commune sont d’ailleurs d’anciennes voies romaines. Le nom de GONNEVILLE est sans doute composé du nom de l’ancien chef viking GONNULF, et du latin VILLA (domaine). Le village s’appelait jusqu’au début du XXème siècle GONNEVILLE SUR DIVES. C’est seulement en février 1927 que la commune prit le nom de GONNEVILLE SUR MER. La partie septentrionale de celle-ci est limitée par la mer, et située sur le sommet d’un éperon. Deux kilomètres de falaises dont le pied baigne dans les flots, surplombent la plage dont la particularité est de n’être accessible qu’à marée basse, par Houlgate ou Villers sur mer.

    Les nombreuses sources du village donnent naissance à des “Douets” coulant dans des vallons qui convergent vers la vallée. La source du quartier de l’église produit 6 litres par seconde. Elle a été captée par la commune de Houlgate pour l’alimentation en eau potable de ses habitants. Tout près de l’église en contrebas de la route un escalier mène à la fontaine Sainte Honorine. Ses eaux auraient la propriété de guérir certaine affections des yeux. L’eau sourd sur le côté droit d’un bassin circulaire. Un mur de moellons en demi-cercle retient la butte.

    Sainte Honorine selon certains historiens, aurait fait partie du peuple gaulois des Calètes et aurait été martyrisée à Lillebonne (Juliobonna) en 303 lors de la dernière persécution romaine.  Son corps jeté dans la Seine aurait dérivé jusqu’à Graville, aujourd’hui dans la banlieue du Havre où elle fut enterrée. Pour échapper aux invasions normandes, ses reliques ont été transférées à Conflans (confluent de la Seine et de l’Oise). Depuis 1080 le 27 février est la date retenue pour les cérémonies en son honneur. Elle est la Sainte-Patronne des bateliers, mais également des prisonniers. [Fontaines de France].

    Gouffern-en-Auge (61) - Post-Mortem 
    La série noire continue pour les propriétaire des chevaux de l'Orne (61), dans la matinée du dimanche 22 novembre 2020, une jument a été retrouvée morte dans son pré, à Gouffern-en-Auge, sur le territoire de la commune déléguée de Villebadin. Son cadavre était mutilé, avec des blessures qui ne trompent pas quant à la volonté de leurs auteurs , indique le maire, Philippe Toussaint ; Selon les premières constatations, les mutilations à la tête semblent avoir été pratiquées après le décès de l’animal, et ne sont pas le fait d’un charognard. 

     Source : Le journal Ouest-France du 24/11/2020.

    Gouberville (50) - Rencontre Rapprochée du Premier Type le 14/04/1553

    Étant à Gouberville (50), le vendredi 14 avril 1553, Symonnet et Moysson furent de nuit à la chasse. Quand ils en revinrent et dirent qu'ils avaient entendu la chasse Helquin au Viel Bosc ; les chasses aériennes, procession nocturne de damnés, se déroulant aussi sur terre.

     Source : Le Tenneur René - Magie Sorcellerie et fantastique en Normandie -1979. 

    (1) Gournay-en-Bray (76) - Seine-Maritime - Normandie - France - 24/02/2019 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

     

     

    Un habitant de Gournay - en - Bray a observé et réussi à filmer depuis son jardin le 24 février 2020 deux sphères jaunes. 01 Témoin. Source : Mufon.

    (2) Gournay-en-Bray (76)Étranglement et Contention / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    23 aout 2020 - Gournay-en-Bray traces de tentative d'étranglement et de contention sur les chevaux et ficelle à foin retrouvée attachée à un arbre.

    Source : Traque d'un détraqué.

    Gouvix (14)

    C'est une pierre massive de quartz qui présente une face presque plate et une autre très arrondie. Le mégalithe se trouve dans un bois privé en bordure du parc du château d'Outrelaize, sur la rive gauche du ruisseau de Corneville qui rejoint la Laize à Bretteville-sur-Laize.

    La Pierre Tourneresse fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 24 septembre 1936.

    « Dans une des coupes le plus fourrées du bois, se trouve une pierre qui tourne, dit-on, une fois tous les ans, pendant la nuit de Noël, et que l’on a appelé pour cela la Pierre Tourneresse ». On dit qu'elle saute et se trémousse sur sa base pour témoigner sa joie à la naissance de l'Enfant-Jésus. [Wikipédia].

    [Depuis les époques les plus reculées de la préhistoire, l'office des devins, mages, spirites, voyants, qui perpétuent le culte ancestral des morts, est de consulter les esprits, avec l'édification de temples voués à la pratique animiste/chamanique de la nécromancie, de la transe médiumnique possessive des occultistes par les entités éthérées métamorphes, goules parasitaires et mânes nécrophages, ou âmes (noosphères) vagabondes immanentes, qui parodient les esprits des morts tout en se repaissent des effluves des corps vivants ou en décomposition. NFO].

     Grimbosq (14)

    La Bête de Caen

    En 1632, une étrange affaire met un coup de projecteur sur ces confins du Bassin parisien (au sens géologique du terme), là où les sols calcaires du jurassique cèdent la place aux grès durs du Massif armoricain, forgés par la terre pendant son enfance. Un contemporain rapporte que « dans la forest de Singlaiz […] une beste sauvage a dévoré quinze personnes. » Un autre témoin donne une description terrifiante de l’animal anthropophage : « La dite bête présente l’apparence d’un tigre à l’avant. À l’arrière, elle ressemble à un lion, les pattes pareilles aux serres d’un griffon, la queue comme celle d’un léopard ou d’une panthère. Elle a une longue tête sans ressemblance avec une autre bête, la gueule remplie de dents pointues et coupantes, une peau ou fourrure gris-noir, des oreilles rondes comme un chat. » Cette créature, tout droit sortie de l’univers de J. K. Rowling, aurait sévi quelque temps dans cette vallée de l’Orne, avant peut-être de se déplacer dans les parages d’Évreux. On vient donc ici à ses risques et périls… [Patrimoine Normand].

    [Les espèces exotiques envahissantes sont des espèces non-indigènes qui investissent un territoire, ce sont des espèces dites exogènes. On trouve dans nos écosystèmes des représentants endémiques des EEEE (les 4E), d'une grande diversité de taxons, sauvages, apprivoisées, domestiqués ou échappées (retournées à la vie indépendante ou férales), non-identifiés par nos contemporains, ce sont les Créatures Métamorphes. NFO].

    Grainville-Langannerie (14) - Calvados - Normandie - France - XIIè siècle / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

     

     

    (1) Grand-Couronne (76) - Forêt de la Londe - Rouvray - (76) - Seine-Maritime - Normandie - France - 16/04/1974 - vers 22 h / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    Pris en Chasse sur l'Autoroute A13 par un Ovni !

     


     

    Le mardi 16 avril 1974, aux environs de 22 h (à un I/4 d’heure près), Mr. L., au volant de sa voiture, se dirigeait vers Paris, venant du Havre. Il avait emprunté l’autoroute et ayant passé la ville de Rouen, il laisse sur sa droite l’embranchement vers Évreux, pour prendre la direction de Paris. A cette bifurcation il s’arrête pour prendre deux auto-stoppeurs dont l’un Anglais, auxquels il n’a malheureusement pas demandé l’adresse.

    Il repart et après avoir roulé 5 ou 6 km, avant de passer sous le pont des Essarts, il aperçoit au loin le long de l’autoroute à 6 ou 800 m, un objet lumineux. L’autoroute se situe alors en pleine forêt, aucune habitation ni usine, ni cheminée n’existent aux alentours.

    La voiture se rapproche à la vitesse de 100/110 km/h, les trois hommes peuvent alors nettement voir l’objet, unique, parfaitement rond, aux dimensions apparentes d’un ballon de football. Les témoins passent à ce moment au plus près de l’objet, ils en sont distants de 50 à 100 m. La sphère, située sur le côté gauche de l’autoroute (c’est-à-dire le côté opposé à celui de la voiture), est au-dessus des arbres à une hauteur de 50 m.

    Elle apparait, comme d’ailleurs dès le début de l’observation, d’un rouge incandescent et même éblouissant. Il est à noter d’autre part que le ciel est clair sans nuage et étoilé. Il n’y a pas de lune et l’obscurité est totale, aucune autre voiture, pas de construction quelconque, seuls les phares de la voiture, les lumières de Rouen au loin et en arrière de la voiture un provoquaient une pâle rougeur à l’horizon, ainsi que l’intense luminosité de l’objet qui se détachait sur le ciel sombre.

    Lorsqu’il dépasse à environ 130/140 km/h l’Ovni, jusqu’alors apparemment fixe, les suit d’une trajectoire rectiligne qui longe l’autoroute. Les trois hommes peuvent nettement distinguer sur la face de la sphère qui leur était cachée une partie métallique, de couleur grise, formant comme un anneau de Saturne (plan médiateur horizontal).

    Ainsi l’engin incandescent les suit sur une dizaine de km, un peu décalé en arrière par rapport à la voiture, puis il s’arrête. Les témoins ayant eux-mêmes stoppé un peu plus loin peuvent voir, toujours de leur voiture, l’engin repartir, dans le silence le plus total, vers la position initiale qu’il occupait.

    Il rejoint celle-ci puis disparait mystérieusement sur place comme par désintégration.

    Il semblerait que son éclairement ait disparu brutalement sans laisser d’impression rétinienne. Toute l’observation s’est faite dans le silence le plus total (sauf bruit du moteur de la voiture). Cette dernière a parfaitement roulé, aucun champ magnétique quelconque ne semble l’avoir atteinte.

    Il est par ailleurs surprenant de suivre la réaction des témoins. En effet apercevant au loin l’objet, la voiture roule aux environs de 110 km/h. Le conducteur est pris d’une panique intérieure, d’une crispation qui le fait accélérer involontairement à 130/140 km/h. Il devient incapable de freiner, des frissons, une sensation bizarre l’envahissent. Ce n’est que lorsque l'appareil s’arrête que le blocage nerveux cesse et que le conducteur peut immobiliser son véhicule.

    Aucune parole n’est échangée avec les deux auto-stoppeurs, les trois hommes en étant incapables. Le conducteur que j’ai donc pu interroger, m’a fait cette description dans un calme apparent.

    Il est âgé d’une vingtaine d’années, étudie à Paris et semble digne de foi. Le lendemain de l’observation le témoin reste assez calme, il se contente de raconter ce qu’il a vu. Puis les jours suivants, la tension nerveuse croit.

    Dans la nuit du vendredi au samedi, il ne s’endort pas, sujet à de profondes angoisses. C’est ainsi que son père, surpris de ces réactions, m’invite à venir interroger son fils. C’est d’autre part la première observation du témoin. Il ne s’est jamais intéressé au phénomène OVNI et n’a jamais lu un quelconque ouvrage s’y rapportant. Le témoin m’a révélé, fait très surprenant, que ½ heure ou ¾ heure avant l’observa un pressentiment lui fait penser aux « soucoupes volantes ». Il s’imagine brutalement au volant de sa voiture, sans aucune cause apparente, témoin d’un tel phénomène !

    03 Témoins. Source : Enquête de Mr. P. Richard – Ouranos nouvelle série – 1974.

    (2) Grand-Couronne (76) - 30/09/1954 - 22  h / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

    Mr. Jean Andrieu, passeur, vit une grande sphère blanche et en dessous une sphère verte plus petite qui demeurèrent immobile au-dessus de la Seine pendant 20 minutes. Deux témoins. Elles finirent par s'envoler vers le S-O. 02 Témoins. Source : Un siècle d'atterrissage. Jacques Vallée.

    Le Château du Duc Robert - L'Enfant du Diable
     
     

     

    D’après la légende née au XIIe siècle, Robert est le fils du Duc Aubert et de la duchesse Indre. Le surnom de « Diable » provient de sa conception même, sa mère n’arrivant pas à avoir d’enfant, demanda au diable de l’aider.

    Cette parenté diabolique eut pour conséquence de rendre Robert coléreux, violent et cruel dès son plus jeune âge. Alors que son père le fit chevalier, il prit alors la tête d’une bande de brigands qui terrorisait la campagne normande.

    Se rendant compte de sa violence et de sa méchanceté, Robert en chercha la cause et découvrit le mystère de sa naissance. Il se rendit alors à Rome afin de rencontrer le pape puis de se confesser à un ermite qui lui demanda de faire vœu de silence et de disputer sa nourriture aux chiens comme pénitence.

    Suite à cet épisode, Robert est recueilli par l’empereur de Rome. À l’époque, des pillards terrorisaient Rome, mais personne n’osait les combattre. Robert le Diable les affronta alors, seul et dissimulé sous une armure blanche. L’empereur promit alors la main de sa fille à ce valeureux chevalier.

    Bien que l’ermite l’ait délivré de sa pénitence, Robert refusa d’épouser la princesse et vécut en ermite jusqu’à la fin de ses jours. Source : Rouen

    Le Temple des Essarts

    Temple des Essarts et, notamment, un fanum. Vestiges d'un temple gallo-romain partiellement fouillé en 1902 par L. De Vesly. La fouille a porté sur le dégagement du temple et la mise en évidence de son plan général. En 1966/1967, Charles Schneider réalise une petite campagne de sondages sur les déblais de la fouille de 1902. En 1991, la mise à 2 x 2 voies de la RN138 a entraîné une opération de diagnostic sur l'état du site. Le plan du temple n'apparaît plus de façon manifeste mais est tout de même reconnaissable. Le talus de la RN occulte l'angle Sud-Est du bâtiment et les déblais des fouilles clandestines s'entassent le long des murs Sud et Est. 3 sondages ont été opérés sur le fanum (1 dans la cella, 1 dans la galerie, 1 le long des murs extérieurs). 19 ont été menés aux abords du temple. Ils ont mis en évidence l'existence d'une enceinte délimitant l'espace sacré. L'ensemble du mobilier archéologique a été déposé au musée département des Antiquités dès 1903 pour la fouille De Vesly, en 1977 pour la fouille Schneider (monnaies essentiellement). Parcelle ONF 122.Source : Tellnoo - Ministère de la Culture.

    Le menhir de Milthuit

     

    Un menhir dans le bois de Milthuit ainsi que de nombreuses découvertes de matériel lithique aux XIXe et XXe siècles attestent de la présence d'une population néolithique, en particulier la découverte d'un fragment de gaine de hache en bois de cervidé, présentant des lignes doubles de pointillés, en croix, d'influence maglemosienne (mésolithique nord européen). Source : Wikipédia - Histoire de la Forêt de la Londe-Rouvray.

    Grangues (14)

    La Fontaine Saint-Roch de Grangues (14)

    Fontaine Saint-Roch à Grangues (14)

    Le nom de la commune de Grangues, prend les formes de Gérangiac et de Granguez, au XVIIIème siècle, le nom devient Grangues. En 1198, le fief du Val-d’Or, rattaché à la baronnie de Roncheville, relève de la Vicomté de St Sylvain. Au XVIIème siècle, les Daniel sont “seigneurs de Grangues et de Betteville”, conseillers à la chambre du roi. Frédéric Daniel de Grangues meurt au passage de la Bérézina en 1812.

    L’église de Grangues construite sur une butte se nomme ” église Notre Dame “, datant du XIIème et du XIIIème siècles, elle est en pierre et en meulière. Une statue de Saint-Roch, en pierre, portant la date de 1653, est visible dans la nef. A partir de l’église, on emprunte un grand escalier, à mi-hauteur sur sa partie gauche est inclus un petit oratoire dont la stèle a perdu sa statue. Dessous un filet d’eau coule dans le creux d’un rocher avant de disparaître dans une canalisation et de ressortir en contrebas dans le dégorgeoir d’une pile carrée située au dessus d’un bassin rectangulaire. Une grille installée sous cette arrivée d’eau permet de poser les récipients à remplir.
    A côté de cet édifice une énorme “tirelire” est posée sur le sol. Le panneau qui l’accompagne porte la mention suivante : ” Pour éviter la fermeture de la Source Saint-Roch (frais d’entretien et vérification d’hygiène) AIDEZ NOUS EFFICACEMENT en utilisant généreusement notre tirelire (relevée chaque jour par la mairie)”. L’eau de cette source sous le vocable de Saint-Roch aurait la propriété de guérir la coqueluche.

    Les sources de Grangues alimentent chaque jour en eau la ville de Cabourg .

    A côté de l’église et du cimetière sur le flan de la butte sont implantées deux stations de pompage, leurs façades rappellent celles de petites chapelles, si ce n’était les portes métalliques peintes en gris. [Fontaines de France]

    (1) Granville (50) - Manche - Normandie - France - 05/08/2017 - aux alentours de 22 h 10 / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

    J'étais à Granville, le samedi 5 Aout 2017, pour la Nuit des Soudeurs et aux alentours de 22h10, derrière la scène du concert j'ai pu observer un phénomène étrange, comme si il y avait 2 lunes. En fait, je me suis rendu compte que la lune brillait énormément et après coup et surtout après photo, j'ai revu de mes propres yeux le phénomène mais il y avait de plus en plus de nuages et ils ne laissaient presque plus voir la lune mais ce truc étrange, très très lumineux. C'est peut être pour cela que les gens n'ont pas fait trop attention, pensant que c'était la lune (veille de pleine lune en plus donc lune assez imposante ).
    4 pièces jointes". Jeremy. 01 Témoin. Source : Le Blog de Christian Macé.

    (2) Granville (50) - Manche - Normandie - France - Crash dans la Baie du Mont-Saint-Michel (50) - 19/02 ou 03/1972 - 03 h 00 / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

     

    Quatre pécheurs se trouvent à bord de deux bateaux a 2,5 milles de Granville, 24 de Cancale et 12 de Chauzey. L'un d'entre eux observe soudain une boule blanche tournant sur elle même d'un diamètre de 1 m environ. L'objet tombe en mer à environ 15 milles nautique des témoins. Ils décident d'aller voir et découvre en s'approchant du point d'impact supposé des ondes sur le mer qui redevient calme quelques instants plus tard. 04 Témoins. Source : Lumières dans la Nuit numéro 219.

    (3) Granville (50) - Manche - Normandie - France - 1959 / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

     

     

    Au cours de l'hiver un enfant va chercher du lait le soir. Il est en train de revenir passant par la rue des Terres-Neuviers quand il observe une boule rouge orange d'environ 1 m 50 à 2 m suivie d'un sillage blanc passer à grande vitesse au-dessus de sa tête. L'objet s'arrête brusquement sur place paraissant se placer entre les pies paratonnerres d'une maison. L'enfant panique et rentre en courant chez lui. Il semble que deux ou trois jours plus tard les journaux parlèrent d'un fait semblable .01 Témoin. Source : Lumières dans la Nuit numéro 219.

     Granville (14)

    Septembre 1863 - Une trombe -  Le 4, vers 3 heures de l'après-midi, pendant un fort grain du sud-ouest, on a remarqué à Granville un phénomène des plus curieux, à peu de distance, à l'ouest du cap Lihou, un nuage creux est descendu sur la mer en forme de cône renversé, d'un ton noir effrayant, autour de cette trombe, dont le volume était énorme, les flots semblaient s'élever en bouillonnant et deux petites trombes se dressaient à ses côtés.

    Bientôt on vit le sommet du gros entonnoir s'étendre et retomber en tourbillon, puis disparaître à la grande joie des assistants, qui craignaient que ce redoutable syphon n'occasionnât quelque sinistre. (l’Ordre et la Liberté).

    [Les épisodes orageux, le phénomène de la foudre, ouragans, tempêtes, les typhons, vortex, les lueurs célestes inhabituelles, les aurores polaires, accompagnent généralement l'émergence des Portes Induites/Vortex/Pontifex/Portex/ Puits à énergie potentielle. NFO].

    La Crackeuse des Remparts

    La légende de la Sorcière de Granville raconte qu'un soir d'automne, lors d'un festin organisé par plusieurs voyageurs venus découvrir la côte Atlantique, une sorcière serait apparue.

    Partageant un énorme plat de viande haché, haricots, tomates et épices, les étrangers n'auraient pas écouté le conseil de leurs parents : être parcimonieux dans leur consommation d'alcool et se méfier de l'inconnu.

    Alors que l'alcool faisait son effet, et qu'aucun ne prenait garde aux histoires de leur enfance, l'une d'entre eux marchant sans la pluie aux alentours de leur demeure aperçu une femme grelottant et pleurant.

    Celle-ci tenait alors des propos incohérents et emplis de mystères, que l'alcool coiffait de normalité. Les versions varient, mais la majorité d'entre elles affirment que la tenancière de la demeure, trop aimable avec l'inconnue, l'accueilli afin qu'elle se réchauffe.

    Les voyageurs, apitoyés, proposèrent de l'accompagner jusque chez elle - une adresse imaginaire afin de piéger les jeunes hommes et femmes. Arrivée dans une ruelle sombre, la sorcière dévoilait alors de longues dents pointues, et les voyageurs disparaissait de Granville dans un cri étouffé.

    Bien souvent, la sorcière revenait sur ses pas plus tard dans la nuit, profitant du sommeil de la tenancière pour poser une écharpe sur le coin de la cheminée. Cette écharpe faisant parfois guise d'avertissement pour les prochains voyageurs, parfois de signature de crime.

    Lors d'une récente (automne 2020) interview effectuée sur la matinale de la radio GranvilleFM (radio locale), des jeunes parisiens ont ainsi affirmé l'avoir croisé durant une fête.

    Celle-ci serait apparu comme l'affirme les contes sanglotant près de leur habitation, ne se faisant pas prier pour venir au sein de leur appartement, ni pour s'y affirmer avec une certaine véhémence.

    Nul ne comprenait sa présence, ses palabres incohérentes et ne semblait faire confiance à cet air blafard.

    Quelque peu déstabilisée, la jeune femme à qui appartenait le lieu aurait insisté pour lui venir en aide, l'aider à reprendre ses esprits et retrouver ses affaires égarées.

    Néanmoins, cette hospitalité n'était pas partagée par l'ensemble des voyageurs : une dénommée " Chloé " aurait particulièrement été marqué par les irruptions régulières de la sorcière dans sa chambre, allant même jusqu'à tremper son lit.

    Un certain Julien, au taux d'alcoolémie flirtant amoureusement avec l'excès, se laissa même emporter par ses années d'expériences en combat de rue, chahutant la sorcière.

    Certains prirent peur qu'elle lui lança des malédictions, mais elle se fit simplement vicos. Le dénommé Elias, lui, fit preuve d'un flegme à toute épreuve et permettait d'équivaloir l'attitude trop bienveillante de la tenancière des lieux, Madeleine.

    L'animosité ambiante aurait ainsi poussé la sorcière qui se faisait alors surnommer Sophie à s'en aller chez elle accompagnée par plusieurs d'entre eux. Cependant, après plusieurs centaines de mètres, la sorcière qui affirmait tantôt s'appeler Judith, annonça que l'adresse était fausse.

    Après quelques pourparlers, les voyageurs rentrèrent satisfaits. Mais la sorcière réapparu à plusieurs reprises à la porte, l'air hagard et errant dans les rues de Granville. Son ton se faisant alors plus ferme, son aigreur accentuée et son animosité explicite vis-à-vis du groupe, à l'exception de la personne détentrice des lieux. Cependant, du côté des parisiens leurs doutes s'affirmaient aux côtés de leur fermeté, et elle fut aperçue brièvement à l'aube une dernière fois. Cependant, après avoir quitté les lieux, une trace subsistait : son écharpe sur le coin de la cheminée, alors qu'aucun ne se rappelait l'avoir vu à cet endroit. Source : Wiki.

    La forêt de Scissy

    Granville et le quartier insulaire de Chausey se seraient trouvés englobés dans la mythique forêt de Scissy.

    Selon la légende chrétienne qui s'est développée au XIXè siècle, l’épaisse forêt de Scissy aurait été un lieu de culte païen que le raz-de-marée aurait englouti dans le but de purifier la contrée.

    La légende de la forêt de Scissy apparaît dans le Revelatio ecclesiae sancti Michaelis, rédigé au début du IXè siècle, le mont Saint-Michel aurait été un mont en pleine terre entouré d’une épaisse forêt à l’époque où les premiers moines ermites s’y sont installés.

    Elle est reprise par le moine Hervard qui, vers 996-1006, relate les visions de Saint-Aubert. Dans son récit, il mentionne les moines envoyés par Aubert au Mont Gargan et qui, lors de leur retour le 16 octobre 710, jour de l'achèvement de l'abbaye, découvrent l'absence de forêt : 

    « Ils entrèrent comme dans un nouveau monde qu'ils avaient laissé à leur départ plein de buissons épineux ».

    C'est au XVè siècle qu'un manuscrit d'auteur inconnu, parle pour la première fois d'une forêt disparue en 709 au cours du voyage des moines en Italie. Ce récit est repris les siècles suivants et popularisé par l'abbé Manet, géographe du XVIII-XIXè siècle, pour élaborer sa thèse de la « Fatale marée de mars 709 » qui aurait englouti en une nuit la Baie du Mont Saint-Michel.

    La forêt de Scissy ou forêt de Quokelunde est une forêt mythique qui aurait existé dans la baie du Mont-Saint-Michel avant sa destruction et son engloutissement par les eaux liés à un raz-de-marée de mars 709. 

    Une tempête avec des vents de Nord additionnée à une marée d'équinoxe et à un tremblement de terre auraient provoqué en une nuit un raz-de-marée recouvrant la forêt de Scissy.

    L'abbé Manet s'appuie sur les affirmations d'un moine au Moyen Âge.

    « Ces premières dévastations, toutes funestes qu'elles furent, n'étaient rien en comparaison de celle qu'opéra la fatale marée de mars de l'an 709, l'une des plus considérables qu'on eût jamais vues, et qui, par malheur, fut soutenue d'un vent de nord des plus terribles. » 

    « En 709, soixante ans avant l’avènement de Charlemagne, un coup de mer a détaché Jersey de la France. D’autres sommets des terres antérieurement submergées sont, comme Jersey, visibles. Ces pointes qui sortent de l’eau, sont des îles. C’est ce qu’on nomme l’archipel normand. »

    « C’est en 709, nous l’avons dit, que l’océan a arraché Jersey à la France. Douze paroisses furent englouties. Des familles actuellement vivantes en Normandie ont encore la seigneurie de ces paroisses ; leur droit divin est sous l’eau ; cela arrive aux droits divins. »

    Sources : De l'état ancien et de l'état actuel de la baie du Mont-Saint-Michel et de Cancale, des marais de Dol et de Châteauneuf - Travailleurs de la mer - Victor Hugo - Wikipédia.

    Le Cromlech de l'Œillet

     

     

    Le cromlech est érigé au nord-est de la Grande-Île de l'archipel des îles Chausey, un ensemble d'îles situé dans la Manche à une quinzaine de kilomètres de Granville. Il est érigé sur une zone d'estran : le monument est entièrement recouvert par la mer à chaque marée haute et totalement découvert à marée basse.

    Le cromlech de l'Œillet prend la forme d'un cercle légèrement aplati, de 11,7 m à 13,4 m de diamètre. Il comporte une quarantaine de blocs de granite mesurant entre 1,5 et 2 m de hauteur, dont seuls cinq sont encore debout sur leur base. Source : Wikipédia.

    Granvilliers (27) - Eure - Normandie - France - 25/09/1977 - 16 h 30 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

     

     

    Cinq personnes se trouvaient dans la voiture des témoins. Leur attention fut attirée par une boule lumineuse rose clair qui évoluait parallèlement à la marche du véhicule. S’étant arrêtés pour observer le phénomène, l’objet continua sa trajectoire vers eux puis s’arrêta brusquement et enfin s’éloigna soudain à une allure fantastique. Aucun bruit. Durée : 10 minutes. 05 Témoins. Source : LDLN n° 263 / 264.

    La Graverie (14)

    Mars 1899 - Vengeance ou stupidité  -   Des malfaiteurs inconnus ont mutilé, la nuit, environ 130 greffes de pommiers et 8 pommiers au sieur Aimé Maloisel, cultivateur à la Graverie, canton de Bèny-Bocage. Préjudice, 100 francs. . (Source : Le Bonhomme Normand).

    [Les mutilations relèvent de la catégorie des sacrifices propitiatoires, des pratiques incantatoires et évocatoires magico-occultistes du sadisme-masochisme, lié au rite du baptême du sang. NFO]. 

    [La tradition explique les comportements débordants, antisociaux, ou agressifs, sadiques par les phénomènes de hantises ou de possession liés au parasitage psychique exercé par des éthérés noosphériques. NFO].

    [De même que les comportements inhumains, suicidaires ou morbides. NFO].

    (1) Gravigny (27) - Eure - Normandie - France - 16/02/1980 - entre 01 h /01h 30 / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 

     

    Sergent .L. B. F. (30 ans), Chef de Poste au G. A. M., entre 01 h et 01 h 30, j’ai observé un phénomène dans le ciel. J’ai aperçu une grosse lueur orange de forme ronde, immobile silencieuse, située au-dessus d’un bosquet implanté face au G. A. M. J’ai alors appelé le P. C. défense pour leur demander s’il voyait quelque chose. La réponse fut négative. J’ai observé le phénomène pendant 5 à 7 minutes environ au-dessus du petit bois. Le phénomène s’est transformé en une ligne horizontale rouge de la longueur de la lueur aperçue auparavant. Cette ligne a également disparu et j’ai aperçu une lueur rouge ressemblant à un rotating placé sur un hélicoptère. Ce phénomène s’est éloigné en s’élevant par paliers successifs et très rapides. Je n’ai entendu qu’un sifflement lorsque le phénomène a pris la direction du radar civil.

    1ère Classe B. J. J. (30 ans), de permanence à la porte d’entrée du G. A. M., j’ai observé un phénomène qui était immobile et qui se situait dans le ciel au-dessus de la commune Gravigny à une hauteur indéterminée. Le phénomène avait une forme ovale et était de couleur jaune orangée. La chose ne faisait aucun bruit, et s’est transformée en un point rouge et s’est déplacée très rapidement en direction du radar civil pour enfin disparaitre.

    2éme Classe P. B. (30 ans) affecté au G. A. M., vers 01 h 20, j’ai été appelé par le sergent L. B. afin de venir constater la présence d’un phénomène étrange dans le ciel. Je me suis rendu devant le P. C.  du G. A. M. et j’ai noté les choses suivantes :  au-dessus du village de Gravigny j’ai aperçu une forme rectangulaire projetant une lumière orange intense. Ce phénomène est resté immobile durant 01 minute environ puis s’est élevée rapidement en se déplaçant par paliers, l’intensité de l’éclat diminuant au cours de cette évolution sans pour cela donner l’impression d’éloignement. J’ai suivi ce phénomène jusqu’à ce qu’il devienne un point puis je suis rentré. Temps d’observation de 5 à 6 minutes environ. 03 Témoins. Source : P. V. G.

    (2) Gravigny (27) - Eure - Normandie - France - 18/08/1978 -  22 h 25 / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

    Gravigny (27) - 18/08/1978 - 22 h 25

    Il était 22 h 25 lorsque Mr. Roger Viard (Gardien de Police Municipale à Louviers)sortit du pavillon de son gendre pour mettre en marche sa voiture stationnée dans l’allée, à proximité de la maison.

    Assis au volant du véhicule, il actionna le démarreur et à cet instant précis, (22 h 25), il aperçut par le pare-brise, (la voiture était garée en direction de l’Est) juste au-dessus de la ligne d’horizon formée par la colline  boisée, dite « Côte de la Censurière », une boule lumineuse légèrement aplatie sur les pôles, de couleur rose orangée avec des turbulences rouges ; l’un des côtés étant un peu plus rouge. L’objet était immobile : sa grosseur, était estimée à environ I/4 de la pleine lune normale.

    Après environ 01 minute d’observation, l’objet état toujours en station fixe, l’épouse Jeanne de Mr. Viard monte en voiture. Son mari lui fait part de son observation insolite. Stupéfaction de Mme Viard qui s’écrit plusieurs fois : « Tu parles d’une étoile… », « Ça bouge !... ». Ce que conteste son mari. « Mais si ça bouge !... » répète Mme Viard qui , aussitôt prend le bord du pare-brise et la crête en point de repère.

    L’objet montait effectivement, à la verticale, tout doucement. L’aspect, volume et couleur, ne changeait pas. La vitesse ascensionnelle augmenta alors progressivement, puis très rapidement et, sans s’arrêter, vira soudain à angle droit, vers la droite des témoins, donc apparemment vers le sud et ce, à une vitesse fulgurante avant de disparaître de leur vue, définitivement.

     Selon Mr Jean-Marie Boulle (Gendre de Mr. Viard, dont le fils Arnaud a aussi était témoin) et son épouse Françoise : La trajectoire de l’objet était courbe et ressemblait à un tir de fusée, montant vers le zénith ; plus l’objet montait, plus sa trajectoire semblait s’incurver. L’extinction du point lumineux en fin d’ascension faisait penser à une altitude prise par l’objet. Le changement d’intensité lumineuse lors de la prise de vitesse, « Quand la vitesse augmentait », la luminosité s’intensifiait également ». Selon l’estimation de Mr Boulle, «  L’objet devait se trouver au-dessus de la Base Aérienne 105 (située à 4.5 km, au sud-est de Gavigny), près des hangars de l’Escadre Maine-Bigorre, soit du côté nord-ouest de la base ». 05 Témoins. Source : LDLN 184.

    Graye-sur-Mer (14) - Calvados - Normandie - France - 15/03/2007 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

     

     

    Le 15 mars 2007, un témoin a observé trois sphères ellipsoïdales et stationnaire au-dessus de Graye - sur- Mer, dans le Calvados, en France.

    L’objet qui était composé de 3 sphères ellipsoïdales, qui tournaient en triangle, et qui volait en stationnaire en émettant de la lumière.

    Il disparut progressivement dans le ciel. 01 Témoin. Source : Mufon.

    Grémonville (76) - Seine-Maritime - Normandie - France - 29/11/2005 - 15 h 02  / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

    Le Témoin circule sur la D.20 entre Grémonville et Croix Mare quand il voit un énorme cigare d'une dimension de 04 cm à bout de bras. L'objet se déplaçait d'ouest en est, au-dessus de la route D.20 qui coupe l'autoroute A.29 et la N.15. Le témoin était gêné par des arbres et il n'a pas pu arrêter sa voiture pour mieux observer. 01 Témoin. Source :  R.I.O.

    Grentheville (14)

    Mars 1916 -  Une affaire à éclaircir   -   Depuis le commencement de fevrier, Mme Delente, cultivatrice à Grentheville, près Caen, est en butte à des actes de malveillance dont elle ne  peut s'expliquer la cause, car elle ne se connaît pas d'ennemis. A tout moment, des cailloux sont lancés, on ne sait d'où, dans ses portes ou ses fenêtres. Il y a un mois environ, un incendie, dont on n'a pu encore découvrir les causes, se déclarait chez elle. Ces jours-ci, le feu prenait, pour la seconde fois, dans un des bâtiments de la farine, et, chose singulière, le bâtiment était retrouvé ouvert, alors qu'on venait de le fermer. Les deux servantes de la ferme, Juliette Lemariè, 18 ans, et la jeune Laville, 17 ans, partirent aussitôt à Cagny chercher du secours. Elles racontèrent, on rentrant que Juliette Lemarié avait été arrêtée sur la route par un inconnu, qui avait saisi le guidon de sa machine et l'avait fait tombée. L'individu avait menacé la jeune Laville de lui faire subir le même sort puis il était parti vers Grentheville. Les voisins, qu'on a interrogés, n’ont pu fournir aucun éclaircissement sur cette situation, à laquelle, de leur propre aveu, ils ne comprennent rien. L'enquête continue, et avant peu il y aura du nouveau. [USHC].

    Avril 1916 - Le feu  - Il y a quelques jours, un incendie a éclaté dans la soirée dans une grange d’une ferme exploitée par Mme veuve Dalente et dont M. Ch. Ballière est propriétaire ; il fallut plusieurs heures de travail pour se rendre maîtres du feu. Les dégâts sont assez considérables. On croit généralement qu’on se trouverait en présence d’un acte de malveillance. [USHC].

    [L'émergence des Portes Induites/Vortex/Pontifex/Portex/ Puits à énergie potentielle, s’accompagnent souvent d’apports d’objets singuliers NFO].

    Octobre 1867 - L'orage du 3 octobre -  A Grentheville, petite commune située entre Moult et Caen, le fluide, après avoir renversé un poteau télégraphique, a pénétré dans la maison du garde-barrière, qui se trouve située sur la ligne ferrée.

    La fenêtre était ouverte, c'est par là que la foudre est entrée et ressortie, après avoir fait le tour de l'appartement sans atteindre le garde-barrière, qui se trouvait au milieu de la chambre, ni sa femme, qui reposait alitée un peu plus loin. Néanmoins la frayeur de cette dernière a été telle qu'on on redoute les suites.  [USHC].

    [Les épisodes orageux, le phénomène de la foudre, ouragans, tempêtes, ou les aurores polaires et les lueurs célestes inhabituelles, accompagnent généralement l'émergence des Portes Induites/Vortex/Pontifex/Portex/ Puits à énergie potentielle. NFO].

     Grimbosq (14)

    La Bête de Caen

    En 1632, une étrange affaire met un coup de projecteur sur ces confins du Bassin parisien (au sens géologique du terme), là où les sols calcaires du jurassique cèdent la place aux grès durs du Massif armoricain, forgés par la terre pendant son enfance. Un contemporain rapporte que « dans la forest de Singlaiz […] une beste sauvage a dévoré quinze personnes. » Un autre témoin donne une description terrifiante de l’animal anthropophage : « La dite bête présente l’apparence d’un tigre à l’avant. À l’arrière, elle ressemble à un lion, les pattes pareilles aux serres d’un griffon, la queue comme celle d’un léopard ou d’une panthère. Elle a une longue tête sans ressemblance avec une autre bête, la gueule remplie de dents pointues et coupantes, une peau ou fourrure gris-noir, des oreilles rondes comme un chat. » Cette créature, tout droit sortie de l’univers de J. K. Rowling, aurait sévi quelque temps dans cette vallée de l’Orne, avant peut-être de se déplacer dans les parages d’Évreux. On vient donc ici à ses risques et périls… [Patrimoine Normand].

    Grisy (14)

     Croix de chemin sur la route de Vendeuvres à Grisy (12e siècle)

     

    Grossoeuvre (27) - Eure - Normandie - France - 16/02/1980 - Février 1954 - 06 h 40 / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

     

     

     

    Mr. J. F. Vannier, agent des P. T. T., en se rendant en voiture à son travail à 06 h 40,  a observé, sur sa gauche, pendant 02 minutes un phénomène en direction de l'ouest qui s'est déplacé horizontalement à 200 m de lui.

    C'était trois points lumineux ou trois petites lampes rouges alignées horizontalement, surmontées d'un globe lumineux blanc-jaune, éclairant la base des nuages, d'une dimension apparente de 3°, à une hauteur angulaire de 5°.

    Le phénomène est resté immobile pendant quelques secondes, puis il est parti à l'horizontale en accélérant et s'est éteint.

    Le ciel était couvert et il n'y avait aucun bruit. 01 Témoin. Source : Enquête de Guy  Josse. LDLN n° 263-264.

    Extrait du Catalogue de Normandie - France - Ovnis : Seine-Maritime (76), Orne (61), Manche (50), Calvados (14)

     Grugny (76) - Seine-Maritime - Normandie - France - 20/08/2019 - aux alentours de 22 h / foyer surnaturel /ovnigène (cluster)

     

     

    C'est un phénomène assez surprenant qu'il a été possible d'observer dans la soirée du 20 août 2019 aux alentours de 22 h à Grugny.

    En effet, une habitante, Anaïs, a pu observer pendant un peu plus d'une minute, « une sorte de grosse boule de feu ».

    « J'étais assise dans mon canapé avec mon mari quand j'ai vu par la fenêtre une grosse lumière jaune. Ça m'a tout de suite interpellé et je suis allée voir », explique-t-elle.

    La jeune femme a alors saisi son téléphone pour filmer ce qu'elle avait sous les yeux. « Sur la vidéo, ça semble un peu petit mais ça faisait vraiment plus gros en vrai.

    On a aussi l'impression que c'est fixe, mais ça se déplaçait assez lentement », détaille-t-elle. Plusieurs Témoins. Source : Paris-Normandie du 21/08/2019.

    Les Bois de Merlet - Grumesnil (76) - L'Âne Scipion Mutilé

    Loïc Crampon, a retrouvé, à Grumesnil, près de Forges-les-Eaux (76), son âne Scipion, âgé de 14 ans, mort dans son pré des Bois Merlet, au cours de la nuit du 17 au 18 juin 2020, l'un de ses yeux arraché et une oreille coupée.

     Source : France Bleu Normandie, juin 2020.

     Guéron (14)

    Décembre 1850  -  La foudre  -  Pendant l'orage de mardi, vers deux heures du matin, la foudre est venue frapper le paratonnerre de la tour du Sud de la Cathédrale. Le fluide a parcouru le conducteur d'où le gardien de l'édifice a vu distinctement jaillir des étincelles bleuâtres. Aux endroits où ces étincelles ont été remarquées, la branche de fer est polie à neuf et très luisante. Il n'y a eu aucuns dégâts.

    Le clocher de l'église de Guéron est presque entièrement détruit. Ces amas de ruines qui sont restées debout, enchevêtrées les unes aux autres, offre un curieux spectacle, qui attire depuis trois jours l'affluence des visiteurs. C'est une véritable procession sur la route de Guéron. On se demande avec inquiétude comment on s'y prendra pour achever sans danger l'œuvre de destruction si bizarrement commencée par la foudre.

    Le clocher de l'église d'Esquay a été moins endommagé. La tour n'a pas souffert, et la flèche seule a été détruite. On évalue le dommage à 3 000 fr.

    La tempête de ces derniers jours paraît toucher à sa fin, le vent tourne au Nord, et le temps est plus froid et plus sec.  (Source  : Le Bonhomme Libre)

    Mars 1851 - La tour de GuéronJeudi dernier, on a effectué la démolition de la pyramide de la tour de Guéron, récemment frappée par la foudre, opération qui présentait de grandes difficultés à cause des dangers auxquels étaient exposés les ouvriers. On avait d'abord eu le projet de démonter pierre par pierre le clocher au moyen d'un échafaudage isolé, mais on a du abandonner cette idée.

    Un ouvrier mineur de Littry, Jean-Baptiste Roger, s'est chargé de mener à fin l'œuvre périlleuse de la démolition. Après avoir attaché au sommet du clocher en ruine une corde qu'il y a solidement fixée, il a exercé sur lui une puissante force d'attraction produite par l'action d'un treuil. A quatre heures d'après-midi, la pyramide s'est inclinée, et bientôt, avec un bruit épouvantable, cette masse gigantesque est allée se coucher sur le sol, auquel elle a imprimé une terrible secousse.

    La chute de cette pyramide élevée a offert un curieux spectacle. Grâce aux précautions minutieuses qui avaient été prises, et à la bonne direction donnée aux travaux, le vaisseau de l'église n'a point été endommagé, et l'on n'a eu aucun accident à déplorer. (source : L’Indicateur de Bayeux).

    Mai 1898 - Cheval foudroyé -  La foudre a tué, dimanche, dans un herbage, à Gueron, près Bayeux, un cheval au sieur Marcel Le Tellier. Une vachère a été renversée par le choc avec ses cannes à lait, elle en a, heureusement, été quitte pour la peur. (Source : Le Bonhomme Normand).

    [La conception moderne de la foudre (et des orages) diffère de celle des Anciens, qui l’identifiaient à un châtiment divin et céleste (cf. l’Ancien Testament), à l’exemple du foudre de Zeus, représenté par trois rayons, qui leur apparaissait comme une des manifestations sacrées du dieu et correspondait à sa parole, mais également à sa volonté de puissance. Les cadavres foudroyés étaient recouverts de terre et les lieux où la foudre était tombée devenaient un lieu de culte (cf. les fontaines à orages en Normandie ou en Bretagne qui déclenchent les orages avec la pratique d’un rituel occulte). Désormais, ils se trouvaient comme marqués d'un signe mystérieux que des prêtres, spécialisés dans l'art « fulgural », devaient interpréter pour le commun des mortels. (Dictionnaire de la mythologie grecque et romaine, Paris, Larousse, mars 2017 - Wikipédia). Ce phénomène céleste est aussi l’un des signes de l’ouverture des puits à énergie potentielle des portes induites ou portails multidimensionnels. NFO].

    Février 1895 - Disparition - La nommée Victoire Bunel, femme Harel, 79 ans, demeurant à Guèron, qui vivait d'aumônes, a disparu depuis quelques jours. On craint qu'elle  ne soit morte  de froid dans la campagne. (Source : Le Bonhomme Normand).

    [Les disparitions inquiétantes de personne sont mortelles dans 29 % des cas, provisoires dans 30 % des cas et continuelles ou définitives dans 41 % des cas. La concordance territoriale entre les épicentres des apparitions des ovnis et les disparitions inquiétantes accrédite la thèse de l’ingérence parasitaires des exogènes-polymorphes comme principaux acteurs de ces disparitions, de même que le factuel des états somnambuliques des personnes disparues/retrouvées et qui montrent les symptômes identiques de désorientation, d’amnésie, de perturbation psychique, de missing time, etc. des RR4 ou des phénomènes dits des abductions ufologiques. NFO].

    Géolocalisation des Sabbats  

    Aux environs de Vassy (14), le village de Jean-le-Blanc (14), Beaumont-le-Roger (27), le mont Bonnet Vire (14), les rochers de Clécy (14), la butte Brimbal entre Sourdeval (50) et Tinchebray (61), la mare de Bouillon (50), dans la forêt de Néhou (50), à Méautis (50), aux bois d'Etenclin (50), aux bois de Lithaire (50), forêt de Barnavast (50), dans la contrée du Theil (50), dans la contrée de Saussemesnil (50), le mont Margantin (61), Gaillefontaine (76), à Bully-la-Fosse (76), à Aliermont (76), au Mesnil-Esnard (76), à Londinière (76), à Fréauville (76), à Pont-Angot (61), sur la Dives vers Vicques (27), à Louviers (27), à Gisors (27), à Tosny (27), à Saint-André et Saint-Georges-de-Bohon (50), le mont Etenclin près de la Haye-du-Puits (50), Montchauvet (14)

    Sources : Le Tenneur René - Magie Sorcellerie et fantastique en Normandie -1979. 

    L’Arme d’Invasion Massive

    Extraits : Les Prédateurs, expliquant dans le détail comment ces Créatures Inorganiques et Symbiotiques et Noosphériques se développent et se nourrissent à partir des Émotions de la Psyché Humaine ou Animale, et pourquoi les extinctions de masse, les guerres d'extermination et conflits sanglants et catastrophes meurtrières, les génocides, les holocaustes, et les tueries, les mutilations les immolations et les sacrifices rituels sont générés par des Êtres réellement Diaboliques.

    La conscience de l'homme se trouve violée en permanence par des incursions étrangères d'énergie appelé être inorganique, ressenties comme changements humoraux plus ou moins puissants, cette entité obscure est capable de substituer sa conscience à la nôtre, pour exacerber le pire [et] se nourrir de ses effets funestes.

    Ils agissent sur un homme normal lors même qu'il croit agir de sa propre volonté. L'homme, conscient de la présence furtive de l'énergie étrangère, la capte, mais conserve sa propre volonté. 

    C'est l'ensemble de notre monde qui serait infecté, déconnecté de sa source créatrice et manipulé [et] oppressé aliéné, immergé dans un enfer terrestre [par des] esprits maudits et sombres [qui ont aussi à leur disposition des armes de destruction massive capables de provoquer des dérèglements du fragile équilibre géo tectonique climatique]

    La création s'articule autour de la prédation et du parasitisme. Les comportements et les consciences sont investis par la peur et l'instinct de survie. Ce n'est ni l'homme, ni la nature qu'il faut remettre en cause, c'est un symbiote étranger qui aurait infecté notre esprit et qui manipulerait la réalité de façon à ce qu'elle devienne un enfer.

    Ces démons dévoreurs de mondes en perdition nous amènent à réfléchir sur l'hypothèse selon laquelle l'âme humaine serait réellement parasitée, elle serait ainsi manipulée par une puissance dissimulée et mystérieuse qui se révèlerait être notre malédiction. Ces entités parasites nous ont infiltrés et ont conféré à notre esprit son côté routinier, répétitif, maniaque, peureux, avide, violent, et calculateur [et qui] sont les coupables de notre aliénation existentielle. [c'est d'ailleurs pour les combattre que la Très Sainte Inquisition Apostolique et Romaine a été créée avant d'en être à son tour la victime]

    Ce sont des prédateurs extraterrestres appelés parfois Tricksters, Lézards, Démon ou Arkontaï en Grec. Les Toltèques les décrivent comme des créatures lourdes, ténébreuses et fuyantes. Les noms les plus communs qu'on leurs attribue sont Créatures de l'Ombre, Simulacres (esprits malins menteurs et tricheurs, les truffeurs/trufer = tromper et se moquer, railler).

    Ce sont eux qui on poussé l'humanité à montrer une plus grande propension à des comportements agressifs, territoriaux, impérialistes, froids, forçant l'homme à vivre toujours dans la crainte d'une agression, ou d'une menace.

    Ce sont là les traits de caractère (de ces parasites) qu'ils auraient donné à l'homme imitant ainsi sa force conquérante et carnassière d'expansion territoriale ainsi que sa doctrine génocidaire de l'élimination du moins apte.

    La psyché humaine est donc parasitée, et cette invasion est avant tout de nature mentale et psychique, il se peut que nous soyons également agressés sur le plan physique.

    Ces entités prédatrices sont connues pour enlever parfois les âmes la nuit  [elles] provoquent un état de panique mortelle qui paralyse le corps, puis ils apparaissent par trois, la tactique habituelle de ces ombres fuyantes est tout d'abord de paralyser et ensuite d'infiltrer le mental du sujet humain. C'est une des descriptions précises des kidnappings modernes, par paralysie du sommeil  des extraterrestres. [les abductions par les pseudos occupants des ovnis par le biais des missing times et des Mmissing Spaces]

    Les hommes des temps anciens s’étaient aperçus que s’ils opposaient à l'esprit des parasites [par] leur vide mental une sorte de silence de l'esprit, cette implantation étrangère disparaissait après de longues années d'efforts et de contrôles, ce qui confirmait, l’origine extérieure de cette intrusion. L'entité dissimulée, le pire prédateur de l'univers, nous prête, à notre insu, sa conscience pour nous faire faire des actes destinés à exacerber notre auto contemplation, qui va générer nos sursauts énergétiques dont se nourrira l'entité.

    En d'autres termes, la prise de conscience qu'un esprit étranger puisse opérer une mainmise en notre mental ne devient parfaitement claire et certaine que lorsque cet intrusion a été repérée, démasquée puis expulsée.

    Pour faire face à l'immense complexité de l'intrusion, la clarté et la concentration constituent des atouts indispensables. La résistance humaine à leurs intrusions dépend de l'attitude intérieure et de la discipline mentale c'est la sobriété du Guerrier. [du Propugnator (celui qui défend, soutient, et protège), du combattant, du bellator, du résistant et du chevalier]

    Les traits de caractère humains attribués à cette déviation, par une implantation étrangère, sont l'envie, la convoitise, la jalousie, la haine, la vanité et l'arrogance sont considérées comme les caractéristiques principales de l'infection [infestation contamination ou possession]

    [ cf. https://novusordoseclorum.1fr1.net/t3714-enquete-sur-les-enlevements-extraterrestres ]

     

     
     
     
     

    La Structure Nomade des Ovnis - Le Triangle du Diable


    Mise à jour de la carte au 03/06/2024

     

    Les Apparitions Ovnis et les Manifestations Surnaturelles et lignes de Ley – Go

     
     
    Extrait du Catalogue de Normandie - France - Ovnis : Seine-Maritime (76), Orne (61), Manche (50), Calvados (14)
     
    Vous pouvez nous aider à vous informer sur les ingérences des ovnis en nous communiquant les nouvelles ou les anciennes observations de Normandie (témoignages ou presse) à ufo.genpi@gmail.com ou en les publiant publiquement. Merci d’avance.
     
     

    Retour en Haut de Page

    Retour à l'Accueil

     

    Pour en savoir plus

    Les Apparitions des Ovnis et les Manifestations Surnaturelles

      Les 75 ans des Ovnis en Normandie

     

     

     


  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :