• Granville (50) - Manche - Normandie - France - 05/08/2017 - aux alentours de 22 h 10

      

    Normandie - France - Ovnis

    Granville (50)

    Mise à jour de la carte le 10/05/2023

     

    Les Apparitions Ovnis et les Manifestations Surnaturelles et lignes de Ley – Go

     

    [Granville/habitants :  9 827 (992.62 hab/km2) en 1962 - 12 715 (1 284.3 hab/km2) en 1968 - 12 513 (1 263.9 hab/km2) en 2019 - Commune urbaine et station balnéaire littorale et portuaire, dense ou de densité intermédiaire - Superficie : 9.90 km2 - Climat océanique]

     

     Granville (50)

    le passage

    D'azur à un dextrochère armé d'or mouvant d'une nuée du même et tenant une épée d'argent garnie d'or, surmonté d'un soleil du même.

     

    Granville (50) - Manche - Normandie - France - 05/08/2017 - aux alentours de 22 h 10

     

     

    J'étais à Granville, le samedi 5 Aout 2017, pour la Nuit des Soudeurs et aux alentours de 22h10, derrière la scène du concert j'ai pu observer un phénomène étrange, comme si il y avait 2 lunes. En fait, je me suis rendu compte que la lune brillait énormément et après coup et surtout après photo, j'ai revu de mes propres yeux le phénomène mais il y avait de plus en plus de nuages et ils ne laissaient presque plus voir la lune mais ce truc étrange, très très lumineux. C'est peut être pour cela que les gens n'ont pas fait trop attention, pensant que c'était la lune (veille de pleine lune en plus donc lune assez imposante ).
    4 pièces jointes". Jeremy. 01 Témoin. Source : Le Blog de Christian Macé.

    Granville - Manche - Normandie - France - Crash dans la Baie du Mont-Saint-Michel (50) - 19/02 ou 03/1972 - 03 h 00

     

     

     

    Quatre pécheurs se trouvent à bord de deux bateaux a 2,5 milles de Granville, 24 de Cancale et 12 de Chauzey. L'un d'entre eux observe soudain une boule blanche tournant sur elle même d'un diamètre de 1 m environ. L'objet tombe en mer à environ 15 milles nautique des témoins. Ils décident d'aller voir et découvre en s'approchant du point d'impact supposé des ondes sur le mer qui redevient calme quelques instants plus tard. 04 Témoins. Source : Lumières dans la Nuit numéro 219.

    Granville (50) - Manche - Normandie - France - 1959

     

     

     

     

    Au cours de l'hiver un enfant va chercher du lait le soir. Il est en train de revenir passant par la rue des Terres-Neuviers quand il observe une boule rouge orange d'environ 1 m 50 à 2 m suivie d'un sillage blanc passer à grande vitesse au-dessus de sa tête. L'objet s'arrête brusquement sur place paraissant se placer entre les pies paratonnerres d'une maison. L'enfant panique et rentre en courant chez lui. Il semble que deux ou trois jours plus tard les journaux parlèrent d'un fait semblable .01 Témoin. Source : Lumières dans la Nuit numéro 219.

    La Crackeuse des Remparts

    La légende de la Sorcière de Granville raconte qu'un soir d'automne, lors d'un festin organisé par plusieurs voyageurs venus découvrir la côte Atlantique, une sorcière serait apparue.

    Partageant un énorme plat de viande haché, haricots, tomates et épices, les étrangers n'auraient pas écouté le conseil de leurs parents : être parcimonieux dans leur consommation d'alcool et se méfier de l'inconnu.

    Alors que l'alcool faisait son effet, et qu'aucun ne prenait garde aux histoires de leur enfance, l'une d'entre eux marchant sans la pluie aux alentours de leur demeure aperçu une femme grelottant et pleurant.

    Celle-ci tenait alors des propos incohérents et emplis de mystères, que l'alcool coiffait de normalité. Les versions varient, mais la majorité d'entre elles affirment que la tenancière de la demeure, trop aimable avec l'inconnue, l'accueilli afin qu'elle se réchauffe.

    Les voyageurs, apitoyés, proposèrent de l'accompagner jusque chez elle - une adresse imaginaire afin de piéger les jeunes hommes et femmes. Arrivée dans une ruelle sombre, la sorcière dévoilait alors de longues dents pointues, et les voyageurs disparaissait de Granville dans un cri étouffé.

    Bien souvent, la sorcière revenait sur ses pas plus tard dans la nuit, profitant du sommeil de la tenancière pour poser une écharpe sur le coin de la cheminée. Cette écharpe faisant parfois guise d'avertissement pour les prochains voyageurs, parfois de signature de crime.

    Lors d'une récente (automne 2020) interview effectuée sur la matinale de la radio GranvilleFM (radio locale), des jeunes parisiens ont ainsi affirmé l'avoir croisé durant une fête.

    Celle-ci serait apparu comme l'affirme les contes sanglotant près de leur habitation, ne se faisant pas prier pour venir au sein de leur appartement, ni pour s'y affirmer avec une certaine véhémence.

    Nul ne comprenait sa présence, ses palabres incohérentes et ne semblait faire confiance à cet air blafard.

    Quelque peu déstabilisée, la jeune femme à qui appartenait le lieu aurait insisté pour lui venir en aide, l'aider à reprendre ses esprits et retrouver ses affaires égarées.

    Néanmoins, cette hospitalité n'était pas partagée par l'ensemble des voyageurs : une dénommée " Chloé " aurait particulièrement été marqué par les irruptions régulières de la sorcière dans sa chambre, allant même jusqu'à tremper son lit.

    Un certain Julien, au taux d'alcoolémie flirtant amoureusement avec l'excès, se laissa même emporter par ses années d'expériences en combat de rue, chahutant la sorcière.

    Certains prirent peur qu'elle lui lança des malédictions, mais elle se fit simplement vicos. Le dénommé Elias, lui, fit preuve d'un flegme à toute épreuve et permettait d'équivaloir l'attitude trop bienveillante de la tenancière des lieux, Madeleine.

    L'animosité ambiante aurait ainsi poussé la sorcière qui se faisait alors surnommer Sophie à s'en aller chez elle accompagnée par plusieurs d'entre eux. Cependant, après plusieurs centaines de mètres, la sorcière qui affirmait tantôt s'appeler Judith, annonça que l'adresse était fausse.

    Après quelques pourparlers, les voyageurs rentrèrent satisfaits. Mais la sorcière réapparu à plusieurs reprises à la porte, l'air hagard et errant dans les rues de Granville. Son ton se faisant alors plus ferme, son aigreur accentuée et son animosité explicite vis-à-vis du groupe, à l'exception de la personne détentrice des lieux. Cependant, du côté des parisiens leurs doutes s'affirmaient aux côtés de leur fermeté, et elle fut aperçue brièvement à l'aube une dernière fois. Cependant, après avoir quitté les lieux, une trace subsistait : son écharpe sur le coin de la cheminée, alors qu'aucun ne se rappelait l'avoir vu à cet endroit. Source : Wiki.

    La forêt de Scissy

    Granville et le quartier insulaire de Chausey se seraient trouvés englobés dans la mythique forêt de Scissy.

    Selon la légende chrétienne qui s'est développée au XIXè siècle, l’épaisse forêt de Scissy aurait été un lieu de culte païen que le raz-de-marée aurait englouti dans le but de purifier la contrée.

    La légende de la forêt de Scissy apparaît dans le Revelatio ecclesiae sancti Michaelis, rédigé au début du IXè siècle, le mont Saint-Michel aurait été un mont en pleine terre entouré d’une épaisse forêt à l’époque où les premiers moines ermites s’y sont installés.

    Elle est reprise par le moine Hervard qui, vers 996-1006, relate les visions de Saint-Aubert. Dans son récit, il mentionne les moines envoyés par Aubert au Mont Gargan et qui, lors de leur retour le 16 octobre 710, jour de l'achèvement de l'abbaye, découvrent l'absence de forêt : 

    « Ils entrèrent comme dans un nouveau monde qu'ils avaient laissé à leur départ plein de buissons épineux ».

    C'est au XVè siècle qu'un manuscrit d'auteur inconnu, parle pour la première fois d'une forêt disparue en 709 au cours du voyage des moines en Italie. Ce récit est repris les siècles suivants et popularisé par l'abbé Manet, géographe du XVIII-XIXè siècle, pour élaborer sa thèse de la « Fatale marée de mars 709 » qui aurait englouti en une nuit la Baie du Mont Saint-Michel.

    La forêt de Scissy ou forêt de Quokelunde est une forêt mythique qui aurait existé dans la baie du Mont-Saint-Michel avant sa destruction et son engloutissement par les eaux liés à un raz-de-marée de mars 709. 

    Une tempête avec des vents de Nord additionnée à une marée d'équinoxe et à un tremblement de terre auraient provoqué en une nuit un raz-de-marée recouvrant la forêt de Scissy.

    L'abbé Manet s'appuie sur les affirmations d'un moine au Moyen Âge.

    « Ces premières dévastations, toutes funestes qu'elles furent, n'étaient rien en comparaison de celle qu'opéra la fatale marée de mars de l'an 709, l'une des plus considérables qu'on eût jamais vues, et qui, par malheur, fut soutenue d'un vent de nord des plus terribles. » 

    « En 709, soixante ans avant l’avènement de Charlemagne, un coup de mer a détaché Jersey de la France. D’autres sommets des terres antérieurement submergées sont, comme Jersey, visibles. Ces pointes qui sortent de l’eau, sont des îles. C’est ce qu’on nomme l’archipel normand. »

    « C’est en 709, nous l’avons dit, que l’océan a arraché Jersey à la France. Douze paroisses furent englouties. Des familles actuellement vivantes en Normandie ont encore la seigneurie de ces paroisses ; leur droit divin est sous l’eau ; cela arrive aux droits divins. »

    Sources : De l'état ancien et de l'état actuel de la baie du Mont-Saint-Michel et de Cancale, des marais de Dol et de Châteauneuf - Travailleurs de la mer - Victor Hugo - Wikipédia.

    Le Cromlech de l'Œillet

     

     

    Le cromlech est érigé au nord-est de la Grande-Île de l'archipel des îles Chausey, un ensemble d'îles situé dans la Manche à une quinzaine de kilomètres de Granville. Il est érigé sur une zone d'estran : le monument est entièrement recouvert par la mer à chaque marée haute et totalement découvert à marée basse.

    Le cromlech de l'Œillet prend la forme d'un cercle légèrement aplati, de 11,7 m à 13,4 m de diamètre. Il comporte une quarantaine de blocs de granite mesurant entre 1,5 et 2 m de hauteur, dont seuls cinq sont encore debout sur leur base. Source : Wikipédia.

    Géolocalisation des Sabbats  

    Aux environs de Vassy (14), le village de Jean-le-Blanc (14), Beaumont-le-Roger (27), le mont Bonnet Vire (14), les rochers de Clécy (14), la butte Brimbal entre Sourdeval (50) et Tinchebray (61), la mare de Bouillon (50), dans la forêt de Néhou (50), à Méautis (50), aux bois d'Etenclin (50), aux bois de Lithaire (50), forêt de Barnavast (50), dans la contrée du Theil (50), dans la contrée de Saussemesnil (50), le mont Margantin (61), Gaillefontaine (76), à Bully-la-Fosse (76), à Aliermont (76), au Mesnil-Esnard (76), à Londinière (76), à Fréauville (76), à Pont-Angot (61), sur la Dives vers Vicques (27), à Louviers (27), à Gisors (27), à Tosny (27), à Saint-André et Saint-Georges-de-Bohon (50), le mont Etenclin près de la Haye-du-Puits (50), Montchauvet (14)

    Sources : Le Tenneur René - Magie Sorcellerie et fantastique en Normandie -1979.

    Extrait du Catalogue de Normandie - France - Ovnis : Seine-Maritime (76), Orne (61), Manche (50), Calvados (14)
     
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