• Saint-Étienne-du-Vauvray (27) - Eure - Normandie - France - 11/08/1969 - 05 h 25

     

    Normandie - France - Ovnis

    Saint-Étienne-du-Vauvray (27)

    Mise à jour de la carte le 26/04/2023

     

    Les Apparitions Ovnis et les Manifestations Surnaturelles et lignes de Ley – Go

     

    [Saint-Étienne-du-Vauvray/habitants : 628 (387.7 hab/km2) en 1968 - 867  (540.7 hab/km2) en 2019 - Commune urbaine dense ou de densité intermédiaire - Climat océanique dégradé - Superficie 8.84 km2]

     

    Saint-Étienne-du-Vauvray (27)

     le faux-vrai

    Bandé d'or et de gueules de huit pièces, à l'arbre arraché de sinople brochant sur le tout.

     

    Saint-Étienne-du-Vauvray (27) - Eure - Normandie - France - 11/08/1969 - 05 h 25

     

    Le Contact !

    L'ambulance de Jean Miguères et le véhicule kamikaze

     

     

     Mise à jour de la carte le 01/04/2023

    Les investigateurs de Ufo-Génpi se sont, par exemple, intéressés de près aux accidents de la route suspects révélant des anomalies irrationnelles, des faits extraordinaires, ou liés à des événements de nature surnaturelle, dont le modèle iconique est, sans conteste le cas de contact/accident de Jean Miguères : Le lundi 11 août 1969, à 05 h 25, sur la R.N. 13 bis, à Saint-Etienne-du-Vauvray (27), près de Rouen, Jean Miguères, alors ambulancier indépendant est victime d'un terrible accident de la route, heurtant de plein fouet un autre véhicule qu'il ne réussit pas à éviter, car ce dernier se dirigeait automatiquement sur lui, malgré ses multiples manœuvres d'évitement (et dont l'unique conducteur victime d'un malaise n'a pas survécu à l'accident). Paris-Normandie di 13/08/1969 : « Sous le choc effroyable, les deux véhicules furent littéralement désintégrés ».

    La survie de Jean Miguères était due à l'intervention d'un être de l'espace. Après la collision, Jean Miguères vit se matérialiser à ses côtés un être physiquement semblable à un terrien mais dont l'encéphale était beaucoup plus développé.

     Ce dernier lui transmit :« Sois rassuré, tu n'es blessé qu'en apparence. Tu ne ressentiras aucune douleur physique et ne souffriras jamais de cet accident. Je vais te régénérer grâce à un procédé encore inconnu sur ta planète. »

    J.M. reçut alors plusieurs messages télépathiques et c'est ainsi qu'il apprit le nom de celui à qui il devait la vie. STRÔB avait été choisi comme intermédiaire pour remplir une mission diplomatique auprès des terriens afin de les préparer à un contact pacifique à l'échelle planétaire avec des civilisations extra-terrestres beaucoup plus évoluées que la nôtre, lui laissant le libre choix d'accepter ou de refuser cette mission.

    La décision de prendre contact avec un Terrien de la part de nos aînés fut motivée par notre premier pas sur la Lune, car les Terriens, dans leur désir de conquête spatiale, s'ils était capables d'atteindre la Lune en 1969 (le 21 juillet), chercheraient dans le futur à aller de plus en plus loin pour gagner des planètes de plus en plus éloignées.

    Or, si sur Terre, nous choisissons de malmener et de détruire à petit feu notre planète, en aucun cas nous n'avons le droit de transporter notre négativité, nos armes extrêmement meurtrières, nos maladies sur des planètes moins évoluées au plan technologique que la nôtre qui ne sauraient se défendre ni se protéger. Jean Miguères (né le 11/05/1940) a transmis ce message de 1969 à 1992, en racontant inlassablement son extraordinaire aventure. Cf. Jean Miguères, j'ai été le cobaye des extra-terrestres avant de mourir à 52 ans, assassiné par son beau-père, partisan des extraterrestres, lorsque que Jean Miguères comprit qu'il était, en réalité manipulé, depuis 1969, par des êtres éthérés, qu'il identifia à des démons.

    Quelques instants avant l'accident, Jean Miguères ressentit comme des mots qui s'imprimaient dans son cerveau et voici ce qu'il entendit :

     « Ne crains rien, laisse-toi guider, il ne t'arrivera aucun mal. Nous sommes là pour te protéger et tout ne seras que fictif pour toi. Tu ne ressentiras rien, nous te demandons d'être calme. »

    Puis le regard de Jean Miguères fut attiré par un nuage d'un blanc incandescent venant dans sa direction et dont la base était une plate-forme d'aspect métallique.

    Presque simultanément à cette curieuse observation, Jean Miguères put constater à ce moment deux phénomènes troublants : toutes les aiguilles de son tableau de bord s'affolaient et il ne distingua pas de conducteur dans la voiture adverse.

    Après plusieurs manœuvres pour tenter d'éviter la voiture « folle », les deux véhicules se heurtèrent de plein fouet avec une violence inouïe au milieu de la chaussée. Des débris furent retrouvés à 50 m à la ronde.

     Dans son rapport n° 999, la gendarmerie de Louviers évaluait la vitesse du point d'impact à plus de 300 km/h. Jean Miguères devait rester prisonnier des tôles, écrasé et disloqué sous celles-ci, avec de multiples blessures extrêmement graves, durant 03 h 30, temps nécessaire aux pompiers pour le dégager de son véhicule. A 8 h 45, le 11 août 1969, Jean Miguères était admis cliniquement mort dans un hôpital de Louviers (27) où tout fut fait pour le réanimer.

    Premier bilan de ses blessures :

    • pied gauche broyé • multiples fractures des membres inférieurs • fracture du bassin • cage thoracique enfoncée provoquant la perforation d'un poumon • double fracture du nez. A ce bilan déjà très lourd vinrent s'ajouter trois hémorragies internes ( foie, rate et vésicule éclatés ). Il connut trois décès cliniques et dut subir 18 interventions chirurgicales. 

    L'être de l'espace avait pris place à ses côtés dans le véhicule. Il lui appliqua sur la nuque un petit disque lumineux puis lui transmit :

    « Tu es redimensionné. Nous reviendrons te voir. »

    Jean Miguères reconnut qu'il n'avait jamais véritablement souffert de cet accident et qu'au cours des années qui suivirent, son potentiel énergétique se trouva décuplé. Il put remarcher sans rééducation et malgré une jambe plus courte que l'autre il n'a jamais boité.

    Jean Miguères a été reconnu à l'époque comme un cas inexplicable par l'ensemble du corps médical, certains médecins ont même employé le mot miracle pour définir le cas Jean Miguères.

     Jean Miguères reçut dans les mois qui suivirent l'accident d'autres messages et c'est ainsi qu'il apprit l'origine de ces êtres venus d'ailleurs :

     « Nous sommes tes frères de l'espace, des êtres vivants et intelligents comme vous. Nous sommes d'une constitution et d'un physique en bien des points communs aux vôtres. L'envoyé que tu as vu dans ton véhicule s'est présenté à toi sous sa forme originelle, mais il nous arrive parfois de chager d'aspect pour les besoins d'un contact, puisque nous domestiquons la matière. Nous sommes passés par tous les degrés d'évolution physique, comme vous, mais nous avons dépassés votre stade d'évolution depuis un temps qui pourrait équivaloir à 20 millions de vos années terrestres. Nous sommes en mesure de communiquer avec vous télépathiquement dans toutes les langues de votre planète et adoptons pour chacune d'entre elles des mots compréhensibles au stade actuel de vos connaissances. 

    « Vos recherches se sont surtout axées vers le contrôle de forces qui ne vous serviront qu'à votre autodestruction. Nous sommes tes frères de l'espace, nous ne voulons aucun mal aux terriens. Tu devras, si tu l'acceptes, nous aider à préparer notre venue sur votre planète en informant tes frères de notre existence et les rassurer sur nos intentions. ». 01 Témoin. Sources : Planète Ôdla, Christian Macé.

     

     

    Géolocalisation des Sabbats 

    Aux environs de Vassy (14), le village de Jean-le-Blanc (14), Beaumont-le-Roger (27), le mont Bonnet Vire (14), les rochers de Clécy (14), la butte Brimbal entre Sourdeval (50) et Tinchebray (61), la mare de Bouillon (50), dans la forêt de Néhou (50), à Méautis (50), aux bois d'Etenclin (50), aux bois de Lithaire (50), forêt de Barnavast (50), dans la contrée du Theil (50), dans la contrée de Saussemesnil (50), le mont Margantin (61), Gaillefontaine (76), à Bully-la-Fosse (76), à Aliermont (76), au Mesnil-Esnard (76), à Londinière (76), à Fréauville (76), à Pont-Angot (61), sur la Dives vers Vicques (27), à Louviers (27), à Gisors (27), à Tosny (27), à Saint-André et Saint-Georges-de-Bohon (50), le mont Etenclin près de la Haye-du-Puits (50), Montchauvet (14)

    Sources : Le Tenneur René - Magie Sorcellerie et fantastique en Normandie -1979.

    Extrait du Catalogue de Normandie - France - Ovnis : Seine-Maritime (76), Orne (61), Manche (50), Calvados (14)
     
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