• Saint-Aubin-sur-Mer (14) - Calvados - Normandie - France - 17/12/1977 - 23 h 24

     

    Normandie - France - Ovnis

     Saint-Aubin-sur-Mer (14)

    Mise à jour de la carte le 15/05/2023

     

    Les Apparitions Ovnis et les Manifestations Surnaturelles et lignes de Ley – Go

     

    [Saint-Aubin-sur-Mer/habitants :  1 053 (347.5 hab/km2) en 1968 - 1 189 (392.4 hab/km2) en 1975 - 2 237 (738.3 hab/km2) en 2019 - Commune urbaine littorale dense ou de densité intermédiaire, et station balnéaire surnommée :  la Reine de l'Iode - Superficie : 3.03 km2 - Climat océanique franc]

     

     Saint-Aubin-sur-Mer (14)

     rien ne pourra nous séparer 

     D’azur aux trois colonnes d’argent à chapiteau corinthien surmontées de trois coquilles du même et mouvant d’une mer de sinople.

     

     

    [Le blason de Saint-Aubin-sur-Mer est un hymne à la Force, à la Sagesse et à la Beauté (représentés par les trois colonnes), de la Civilisation-Mère de l'Atlantide, née et venue de la mer, apporter son Amour aux Hommes ; la Coquille est celle de la déesse de l'Amour et de la Beauté, Vénus/Aphrodite, les feuilles d'Acanthes, du chapiteau Corinthien, symbolisent le lien éternel qui unit, dans les trois Royaumes de la Mer, de la Terre, et du Ciel, la nymphe Acanthe à Apollon, dieu de la Beauté des Hommes  - Bellator]

     

    Saint-Aubin-sur-Mer (14) - Calvados - Normandie - France - 17/12/1977 - 23 h 24

     

     

    Protocole d'induction du phénomène Ovni (Pierre Viéroudy, Frédérique Sagnes, le Groupe G. A. B. R. I. E. L., etc.)

    Vigie Ufologique du groupe Génpi.

    Apparition d'un objet de forme lenticulaire suivi d’une traînée jaunâtre, de grandeur apparente de la « Première Lune » visible ce soir là, composé d’un noyau lenticulaire jaunâtre, entouré d’une sorte de halo lumineux irradiant de couleur émeraude qui semblait rayonner à partir du noyau central. Des portions de masses lumineuses jaunâtre de tailles différentes étaient projetées en arrière de l’objet lenticulaire avant de s’éteindre. Trajectoire courbe, d’abord descendante, se redressant en fin de course jusqu’à présenter l’objet lenticulaire sur un plan horizontal. Vitesse de l'objet lente (très inférieure à celle des étoiles filantes) et constante. Extinction brutale du phénomène. Durée 2 à 3 secondes par une fenêtre du premier étage. 04 Témoins - Guetteurs (6 participants). Source : Ufo-Génpi.

     

    La Déesse-Mère

     

     

     

    La déesse-mère de Saint-Aubin-sur-Mer est une statue gallo-romaine trouvée dans la commune  en 1943, lors de travaux de terrassement liés à la construction d'éléments du mur de l'Atlantique, sur le lieu-dit Cap-Romain.

    Par chance, les travaux sont suivis par un officier de la Wehrmacht par ailleurs instituteur, Eugen Eblé, qui parvient à lever des plans des substructions mises au jour afin de documenter le site archéologique.

    Les fouilles réalisées, même si très incomplètes du fait du contexte de la Seconde Guerre mondiale, permettent de mettre au jour un certain nombre de vestiges dont ceux d'un fanum (le terme a été emprunté par les archéologues modernes au latin fanum, vocable désignant précisément le lieu consacré par la formule solennelle des augures, effatum, à quelque divinité. Comme un édifice sacré était généralement élevé sur ces lieux, le même terme désignait aussi l'édifice ou temple avec le territoire consacré qui l'entourait.), de thermes et d'une villa, dont l'évolution entre le Ier et le IVè siècle a pu être ébauchée.

    La statue datée de la fin du Ier siècleest pour sa part retrouvée en fragments dans un puits au sein du complexe. Le site est par la suite utilisé pour abriter une nécropole au haut Moyen Âge.

    Confiée dès sa découverte à la Société des antiquaires de Normandie, la statue est très vite considérée comme une œuvre majeure d'art provincial romain car découverte dans son contexte archéologique, et elle intègre aussitôt le musée de cette société savante. Elle ne souffre pas de dommages durant les affres de la bataille de Caende juin-juillet 1944, qui porte un coup fatal à l’institution culturelle qui l'abrite.

    La statue pour sa part fait l'objet de publications après la seconde guerre mondiale et est restaurée. Conservée un temps dans les locaux de l'université de Caen-Normandie, elle est transférée en 1983 au musée de Normandie dont elle constitue l’œuvre emblématique des collections antiques. Une copie de l’œuvre est par ailleurs déposée à l'office de tourisme de la commune.

    Haute de 1,40 mètre, la statue de calcaire, en pierre de Caen, est en relativement bon état, les morceaux découverts ayant pu s'ajuster de manière convenable. Les cinq éléments de la statue sont découverts à une profondeur de 2,50 m-3,40 m avec des fragments du socle, qui sont perdus peu après car réutilisés comme matériau. La statue, évidée sur l'arrière du siège de la déesse, devait être mise en relation avec un piédestal.

    La déesse est assise dans un fauteuil.

    Les yeux de son visage sont saillants et la tête possédait un long cou.

    Deux enfants situés à ses pieds et s'accrochent au manteau de la divinité : un garçon et une fillette. La fillette est munie d'une patère et le garçon tient la main de la divinité.

    La divinité possède un certain nombre d'ornements parmi lesquels un diadème posé sur la tête, richement travaillé sur l'avant en métopes ornées sur la face de « rosette à quatre pétales » et sur les côtés d'« oves et (...) fleurs stylisées ». Béquignon suppose qu'un couvre-chef recouvrait la tête. Selon le même une calotte était peut-être présente au-dessus du diadème présent sur la tête de la déesse.

    Le cou est orné d'un torque, ornement répandu dans les représentations de divinités celtiques. Celui de la divinité est constitué de « chaînettes reliées entre elles par un fermoir central ».

    La déesse est vêtue d'une tunique  aux plis savamment ouvragés, une stola retenue sur l'épaule gauche par une « agrafe » et également un manteau de type palla. Le manteau est muni de plis disposés de façon symétrique et qui ont un « caractère conventionnel ». Une ceinture appelée cingulum par Béquignon est également présente. Elle porte aussi des sandales pourvues d'une lanière de cuir.

    On suppose, selon l'iconographie attachée à ce genre de représentations, qu'elle devait tenir dans ses mains une patère (ustensile sacrificiel, évasé et peu profond, servant au service du vin) et une corne d'abondance (une Abondance était une personnification divine de l'abondance et de la prospérité), caractéristique de la divinité gauloise, et déesse-mère  : Matrona. Source : Wikipédia.

     

    La légende de Saint-Aubin de Bernières

     

    La légende dit que la source a surgi à Saint-Aubin de Bernières,  à Juaye-Mondaye (14), à cause de la conversion de la fille du roi des lieux au christianisme, au grand désespoir de ses parents.

    Son père va lui demander de choisir. La fille va s’enfuir pour vivre sa foi, mais son père la poursuit et l’a rattrape. Il lui propose la moitié de son royaume si elle accepte de renier sa religion ce qu’elle refuse de faire. Elle sera suppliciée et décapitée.

    La légende dit que sa tête a rebondi sept fois et qu’à chaque fois une source a jailli.

    À Saint-Aubin, la source a pour vertu de soigner les maladies des yeux. Des personnes viennent encore de nos jours prendre de l’eau… Source : La Renaissance du 26/07/2021.

     

    Saint Aubin

     

    Saint Aubin naquit au diocèse de Vannes. Son enfance, prévenue de toutes les grâces du Seigneur, fit présager sa sainteté future, il ne connut du jeune âge ni la légèreté, ni les défauts, et dès qu’il put marcher, ce fut pour aller à Dieu et le prier à l’écart, loin du bruit, dans la compagnie des Anges.

    De tels débuts montraient assez que le pieux Aubin n’était point fait pour le monde, au grand désespoir de sa noble famille ; on le vit un jour quitter le foyer paternel et prendre le chemin du monastère. Là, ses veilles, ses jeûnes, ses oraisons l’élevèrent bientôt à une telle perfection qu’il dépassait de beaucoup les plus anciens et les plus fervents religieux.

    On admirait surtout son recueillement continuel. Ses yeux ne s’ouvraient que pour Dieu ; dans le monastère, il ignorait ce qui se passait autour de lui, et au dehors, quand il devait sortir, il se faisait dans son cœur une délicieuse retraite où il continuait ses entretiens célestes.

    Un jour, l’abbé du monastère l’envoya dans un village voisin. Pendant qu’il s’acquittait de sa mission, il tomba sur la maison où il était venu une telle quantité de pluie que le toit s’entrouvrit et que toutes les personnes présentes furent trempées. Aubin seul, à l’admiration de tous, fut épargné, il ne tomba pas sur lui une goutte d’eau.

    Abbé du monastère à trente-cinq ans, il fit revivre parmi ses frères la ferveur des premiers temps et les amena, par sa douceur et son exemple, à une perfection rare, même dans les plus austères couvents.

    Mais l’évêque d’Angers mourut, le clergé et le peuple de ce diocèse, auxquels était parvenu le renom de la sainteté d’Aubin, l’élurent unanimement et il dut courber ses épaules sous le lourd fardeau de l’épiscopat.

    S’il était possible de connaître, parmi tant de vertus qu’il pratiqua dans sa vie nouvelle, quelle était sa vertu dominante, on dirait que ce fut la charité. Elle était, en effet, sans bornes pour les malheureux, pour les prisonniers, pour les malades, pour les pauvres, et souvent Dieu la récompensa par les plus frappants miracles. En voici un exemple :

    Le charitable pasteur se rendit un jour aux prisons de la ville pour en retirer une pauvre dame, poursuivie par ses créanciers. Devant le Saint, les gardiens s’écartent pour lui laisser passage ; un seul veut lui refuser obstinément l’entrée, mais le Pontife souffle sur le visage de cet insolent qui tombe mort à ses pieds, puis il va délivrer la prisonnière et payer ses dettes. Source : Paroisse de Saint Aubin de la Haute Artière.

     

    La Source miraculeuse de Saint Aubin

     

    La source de Saint aubin

     

    La source, de la Haute Artière (63), dite aussi de Chabanat surgit dans la chapelle. Selon de nombreux témoignages anciens et récents, son eau aurait depuis des temps immémoriaux la vertu de guérir les maladies des yeux.

    Une légende raconte que des voleurs, qui s’étaient introduits dans la chapelle pour y dérober des offrandes, devinrent subitement aveugles.

    Ils ne recouvrirent la vue qu’après avoir fait acte de pénitence. De là viendrait le viel adage : Saint Aubin donne et ôte la vue. Source : Paroisse de Saint Aubin de la Haute Artière.

     

    Géolocalisation des Sabbats  

     

    Aux environs de Vassy (14), le village de Jean-le-Blanc (14), Beaumont-le-Roger (27), le mont Bonnet Vire (14), les rochers de Clécy (14), la butte Brimbal entre Sourdeval (50) et Tinchebray (61), la mare de Bouillon (50), dans la forêt de Néhou (50), à Méautis (50), aux bois d'Etenclin (50), aux bois de Lithaire (50), forêt de Barnavast (50), dans la contrée du Theil (50), dans la contrée de Saussemesnil (50), le mont Margantin (61), Gaillefontaine (76), à Bully-la-Fosse (76), à Aliermont (76), au Mesnil-Esnard (76), à Londinière (76), à Fréauville (76), à Pont-Angot (61), sur la Dives vers Vicques (27), à Louviers (27), à Gisors (27), à Tosny (27), à Saint-André et Saint-Georges-de-Bohon (50), le mont Etenclin près de la Haye-du-Puits (50), Montchauvet (14)

    Sources : Le Tenneur René - Magie Sorcellerie et fantastique en Normandie -1979.

    Extrait du Catalogue de Normandie - France - Ovnis : Seine-Maritime (76), Orne (61), Manche (50), Calvados (14)
     
    Vous pouvez nous aider à vous informer sur les ingérences des ovnis en nous communiquant les nouvelles ou les anciennes observations de Normandie (témoignages ou presse) à ufo.genpi@gmail.com ou en les publiant publiquement. Merci d’avance.
     
     

  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :