• Les Éclaireurs

     

     

    « ... la chose avançait vers elle, à pas pressés, tout en se dandinant. ... Le témoin, terrifié, hurle et s'enfuit en courant pour se cacher dans un fourré. La peur me faisait claquer des dents. Quand elle essaie de repérer à nouveau le petit être  aux bras non visibles  elle ne voit rien, mais tous les chiens du village aboient furieusement. »

     [RR3 de Mme Lucete Leboeuf, à Chabeuil (26) - le 05/10/1954]

     

    « Que feriez-vous d'un cerveau si vous en aviez un ? »

     [Dorothy Gale - Le Magicien d'Oz]

     

     

     L’Épouvantail du Merveilleux Pays d'Oz

     

     Illustration de la RR3 de Chabeuil (26) - le 05/10/1954 - aux environs de 14h30 - Annie Joigneaux

     

     

    Les Éclaireurs

    Bellator

    Guillaume Chevallier

     

     Mme Lucette Leboeuf, habitante de Valence (Drôme - 26) : je m'étais rendue à Chabeuil (Drôme - 26 :  commune rurale, 2 950 habitants en 1954, 41.07 km2, peu ou très peu dense 71.82 hab/km2, au climat méditerranéen), chez mes beaux-parents.

    Après le repas de midi, je suis allée au cimetière fleurir le caveau de famille et là, j'ai continué vers le bois du château dans l'intention de chercher des champignons. C'est un endroit que je connais parfaitement.

    Il était environ 14h30, ce dimanche 26 septembre. J'étais en train de cueillir des mûres dans la haie lorsque mon chien se mit à aboyer derrière moi.

    Croyant qu'il s'agissait d'un épouvantail je me suis avancée vers le chien et c'est alors que j'ai vu l'épouvantail s'avancer vers moi ; c'était un être à figure humaine, mais dont la taille ne dépassait pas 1 m 10.

    Il m'a fait l'impression d'un enfant qu'on aurait mis dans un sac de cellophane. Je m’enfuie en hurlant et je me suis jetée dans la haie, où je me suis tapie.

    C'est alors que du champ de maïs, s'est élevée une soucoupe volante. Elle est partie en biais en faisant pas plus de bruit qu'une grosse toupie qui ronfle. Elle allait relativement lentement lorsque arrivée au bout du champ, elle a basculé en position verticale et s'est élevée à une allure vertigineuse.

    Mme Leboeuf, à la suite de cette émotion, s'est alitée avec 39 de fièvre. Elle est toujours en traitement. Elle est restée alitée deux jours avec de la fièvre, que la peur avait entraîné des troubles, et sa chienne avait tremblé pendant trois jours et trois nuits.

    Des traces furent découvertes dans le maïs, sept pieds sont couchés en forme rayonnante ; une branche de robinier est cassé sous l'effet d'un effort dirigé de haut en bas, il s'agit d'une branche de 8 cm de diamètre, un trou dans l'herbe de 15 cm de diamètre, suitée sur la périphérie d'une trace circulaire.

     

     JOURNAL "LE PROVENÇAL":

    UNE SOUCOUPE VOLANTE A CHABEUIL (Drôme - 26)


    "Le Martien ressemblait à un gosse enfermé dans un sac de cellophane et je l'ai vu comme je vous vois",

    affirme Mme Leboeuf, qui a du s'aliter avec 39° de fièvre.

    Valence (C.P.).

    - J'ai vu, monsieur, comme je vous vois, l'homme de la soucoupe volante de Chabeuil.

    Et Mme Leboeuf, de Valence, encore tremblante, de nous conduire à ce village. Dans un champ en partie de maïs, en partie de luzerne, et bordé d'un côté par une haie d'acacias, d'un chemin à l'autre :

    - Dimanche après-midi, je me trouvais dans le chemin, je ramassais des mures dans la haie. Soudain, mon chien se mit à aboyer. Je me retournais et vis l'animal, le poil hérissé, à l'arrêt devant ce qui me semblait être un épouvantail.


    "L'épouvantail s'avance vers moi"...

    "Je me dirigeais vers le chien pour l'empêcher d'aboyer. C'est alors que "l'épouvantail" s'avance vers moi. C'était un petit être ; il ne mesurait guère plus d'un mètre.

    J'avais l'impression que c'était un gosse enfermé dans un sac en cellophane. Ce qui m'a frappé, c'est sa figure très humaine...


    "... et disparait dans le champ de maïs"

    "Mais la frayeur s'est emparée de moi. J'ai hurlé et je me suis empressée de me jeter dans la haie. Je ne sais combien de temps j'y suis restée. De là, je voyais le maïs, mais il n'y avait plus personne.

    "Puis un engin circulaire de trois mètres de diamètre environ, épais de 50 centimètres, a décollé de derrière le maïs.

    Le bruit d'une toupie

    "L'engin s'est envolé d'abord en biais, il n'allait pas vite, il faisait le bruit d'une toupie qui ronfle et on entendait aussi un sifflement. L'engin est passé ensuite de la position horizontale à la position verticale. Il est alors monté tout droit à une vitesse vertigineuse.

    "Des passants sont passés m'ont vu dans la haie, se sont inquiétés de ma pâleur. Remise un peu de ma frayeur, je leur ai raconté ce que j'avais vu et je les ai conduit à l'endroit d'où j'avais vu décoller la soucoupe volante.

    "Comme vous pouvez le constater, il y a sur le sol une "empreinte circulaire" bien visible."

    Constatations troublantes

    Effectivement, nous avons fait sur les lieux diverses constatations troublantes : sept pieds de maïs étaient couchés ; l'herbe entre le maïs et les acacias était foulée ; des petits pieds d'aubépine avaient été brisés ; une branche d'acacia (robinier/faux acacia) même était cassée, comme si elle avait reçu un choc de haut en bas. Bref, l'on peut très bien imaginer qu'un engin circulaire s'est posé là d'après l'aspect général des trous.

    Par contre nous n'avons trouvé aucun débris, aucune herbe, maïs ou acacia brûlé.

    39° de fièvre

    Nous avons interrogé des habitants du village. Les uns ont entendu les aboiements sinistres du chien ; d'autres ont perçu un sifflement "bien différent de celui d'un avion à réaction" ; d'autres, enfin, ont vu une soucoupe volante sur Chabreuil. Tout ceci à des heures qui concordent parfaitement avec le récit de Mme Leboeuf.

    Celle-ci, après vingt-quatre heures passées au lit avec 39 degrés de fièvre, regrette sa frayeur.


    - Ah ! Si je n'avais pas eu aussi peur, j'aurais peut-être su qui c'était !

     

     Chabeuil (26)

     le passeur

    D'argent, au dauphin de sable. 

     

     

    A environ 14h30, ce dimanche 26 septembre, à Chabeuil (Drôme - 26)Lucette Leboeuf se promène avec sa petite chienne Dolly et s'arrête pour cueillir des mûres le long d'une haie.

    Revenant vers sa maîtresse, la chienne tombe soudainement à l'arrêt : Le chien commença à aboyer, puis à hurler lamentablement. 

    Elle se retourna et vit le petit animal, devant quelque chose qu'elle prit d'abord pour un épouvantail. 

    Mais en s'approchant elle vit que "l'épouvantail" n'était autre qu'une petite combinaison faite d'une matière plastique translucide ; haute de 90 cm ou un peu plus, avec une tête également translucide, et soudain elle comprit qu'à l'intérieur de la combinaison était une chose, dont la vision était un peu brouillée, 2 yeux la regardaient ; du moins, elle eut l'impression que c'étaient des yeux, mais ils étaient plus grands que des yeux humains. 

    Tandis qu'elle prenait conscience de tout cela, la chose avançait vers elle, à pas pressés, tout en se dandinant. 

    Le témoin, terrifié, hurle et s'enfuit en courant pour se cacher dans un fourré. La peur me faisait claquer des dents. Quand elle essaie de repérer à nouveau le petit être  aux bras non visibles  elle ne voit rien, mais tous les chiens du village aboient furieusement.

    Soudain, un grand objet métallique et rond, ressemblant à une grosse toupie mécanique d'enfant, mais dont le dessous était plat  s'élève en sifflant de derrière un bouquet d'arbres, bascule et prend la direction nord-est à grande vitesse.

    Des gens situés à proximité et qui ont entendu la femme crier, dont le mari de madame Leboeuf, accourent vers elle. Ils la trouvent prostrée, sans voix. À l'endroit où l'on a vu l'objet rond s'élever, on découvre un cercle d'environ 3 m de diamètre où les mûriers et les buissons ont été écrasés :

    Sur le bord de cette empreinte circulaire, une branche d'un des acacias (robiniers/faux acacias), grosse de plus de 6 cm, pendait, cassée par une pression venue du dessus. Une branche d'un autre acacia, qui pendait à environ 2,30 m au-dessus du cercle, était entièrement dépouillée de ses feuilles. Les quelques premiers mètres de maïs dans le sillage de l'objet lors de son envol étaient aplatis en forme de rayons de roue. 

    Sources : L'Aurore du jeudi 30 septembre 1954 - Le Provençal RR3 - Le dossier des Rencontres du Troisième Type en France » de Julien Gonzalez. Collection : Énigma. Éditions Le temps Présent. 2014. - Le Provençal/Forum- Ovni et vie extraterrestre - Catalogue 54 : Jean Sider - Jonathan Giné et Anne Joigneaux.

     

      L’Épouvantail du Merveilleux Pays d'Oz

     

    Illustration de la RR3 de Chabeuil (26) - le 05/10/1954 - aux environs de 14h30 - Annie Joigneaux

     

     

    Contre-Enquête 23 ans après  LDLN n° 177 à CHABEUIL (Drôme) par Miche Figuet (enquêteur LDLN et AAMT)

    DATE : 26 Septembre 1954 HEURE : 14 h 30 LIEU : CHABEUIL, Lieu-dit «Gontardes» 26120 B.3

    M.77, Carte d'état-major 1/25000, VALENCE 7-8

     

    CONDITIONS ATMOSPHERIOUES

    Temps gris et maussade, pluie fine une heure avant l'apparition et très légère après.

     

    TEMOIN :

    Mme Lucette LEBŒUF, née SALIN

     

    OBSERVATION :

    a) - un engin en forme de toupie (comme une soucoupe avec dôme).

    b) - un petit être d'un mètre dix à un mètre quinze qui paraissait enveloppé dans un scaphandre transparent des pieds à la tête (comme du cellophane). Il portait un casque, son visage n'était pas visible car l'avant de ce casque en forme de cloche était brouillé. (Déclaration du témoin au cours d'une contre-enquête réalisée en 1974, soit vingt ans après les évènements).

    En 1954, Mme LEBOEUF avait soit disant déclaré aux journalistes venus l'interviewer que les yeux de l'être la fixaient et que son visage était bien humain, (ce qui est faux).

     

     

    DEROULEMENT

    Le témoin est occupé à ramasser des mûres dans un chemin creux, sur un petit plateau de 2 ha, en forme de trapèze dont les deux côtés (sud et ouest) surplombent le cimetière où elle était passée quelques temps auparavant pour fleurir le caveau familial.

    «J'appelais ma chienne «Dolly», un cocker noir qui folâtrait à proximité», dit-elle, comme elle arrivait près de moi, elle tomba à l'arrêt et se mit à hurler à la mort (j'ai remarqué que les chiens du voisinage qui étaient attachés hurlaient également à la mort).

    C'est en levant la tête que je vis à 2,50 m de moi un petit être qui sortait des maïs (le champ n'avait qu'une dizaine de rangées).

    Son casque était brouillé, ses bras n'étaient pas visibles (ce qui ne veut pas dire qu'il n'en possédait pas).

    J'ai hurlé et je me suis cachée dans la haie, la peur me faisait claquer des dents, il s'est avancé vers moi en sautillant. Ensuite, (je ne sais combien de temps je suis restée cachée dans la haie) du champ se trouvant derrière le carré de maïs s'est élevé, un engin en forme de soucoupe ressemblant à une grosse toupie mécanique d'enfant, mais le dessous était plat. Le temps était gris, il venait de pleuvoir une heure avant, et cet appareil avait une couleur sombre, gris sale et terne.

    Je n'ai remarqué ni lumière, ni hublot (de ma place je n'ai pu à aucun moment distinguer l'engin lorsqu'il était au sol).

    Il s'est élevé lentement au-dessus du champ de maïs à l'horizontale, j'ai perçu un léger ronronnement pendant ce mouvement, puis il a basculé de 90o (position verticale) et a disparu en direction du Nord-Est à une vitesse vertigineuse en émettant un sifflement bizarre, je n'ai pas remarqué de mouvement giratoire.

    Les gens qui se trouvaient au cimetière ont entendu les hurlements de ma chienne et le sifflement provoqué par la «soucoupe».

    Mon mari qui se trouvait au cimetière a entendu le bruit de l'engin et lui qui travaillait dans l'aviation s'est parfaitement rendu compte qu'il ne s'agissait pas d'un avion à réaction.

    Des gens sont venus dont trois agriculteurs qui, à ma mine, ont bien vu qu'il m'était arrivé quelque chose de fantastique.

    Ils m'ont trouvés dans les buissons ; j'étais comme paralysée et je ne pouvais appeler.

    La première chose que les agriculteurs ont fait, c'est de me mener à la ferme de M. MASSO et de me servir une grande tasse d'eau de vie».

     

    EFFETS

    — Sur le témoin : nous ne pouvons affirmer si la paralysie du témoin était due à la peur ou à un effet provoqué par l'engin.

    Mme LEBOEUF est restée couchée deux jours avec la fièvre. La peur avait entrainée sur elle des troubles qualifiés de strictement féminins. (Enquête de M. Pierre BOUVARD de l'Association Mondiale Interplanétaire).

    — Sur les animaux : Dolly, la chienne de Mme LEBOEUF a tremblé pendant trois jours et trois nuits consécutives.

     

    TRACES :

    1) — Dans la première rangée de maïs (la plus éloignée du chemin mais la plus proche des robiniers qui bordent le champ de luzerne), sept pieds sont couchés en forme rayonnante.

    2) — Une branche de robinier est cassée sous l'effet d'un effort dirigé de haut en bas, il s'agit d'une branche de 8 cm de diamètre.

    3) — Sur un robinier proche, une branche est complètement effeuillée, elle se trouve à 2,50 m du sol.

    4) — Des arbrisseaux, sous les robiniers (aubépines journalières) sont couchés, cassés, tassés, pliés, comme s'ils avaient reçu un choc important.

    5) — Il existe un trou dans l'herbe de 15 cm de diamètre, situé sur la périphérie d'une trace circulaire.

    6) — Certains témoins auraient remarqué sur les lieux, des empreintes de pas comme une grosse patte de chien avec un talon étroit. (Mais d'après un agriculteur il s'agissait des traces de pas d'un Tesson (Blaireau).

     

     

    A NOTER :

    Des jeunes gens qui allaient au cinéma par la route de MONT VENDRE virent la «soucoupe» en vol.

    Un docteur de Chambéry (Savoie) aurait vu une «soucoupe volante» venant de la direction de VALENCE cinq minutes après (observation du col du Chat). Mme LEBOEUF n'a jamais crié «n'ai pas peur, DOLLY, c'est un épouvantail» pour la raison suivante l'être qui mesurait 1,10 m est sorti de la dernière rangée de maïs qui pouvait avoir deux mètres de haut, il n'était donc pas visible au milieu du champ comme le représente M. Jacques LOB dans son livre «CEUX VENUS D'AILLEURS» aux éditions DARGAUD.

    Mme LEBOEUF a effectué cette correction sur l'album que lui présentait l'enquêteur LDLN.

    D'autre part, en dessinant l'engin sur la demande de M. Jean Louis RUCHON, journaliste à l'agence A.I.G.L.E.S., Mme LEBOEUF a refusé de préciser certains détails sans vouloir donner la raison de son refus, mais en précisant que des Scandinaves lui avaient demandé en 1954 de ne pas divulguer certains points ?

     

    A NOTER : la proximité d'un cimetière comme dans de nombreux cas :

    Ex: RECQUIGNIES 59245 G.6 en 1950, 21 h (LDLN nO 119 p. 16-17)

    Le 9/10/1954. POURNOY-LA-CHETIVE 57420 C.2 18 h 30 (Aimé MICHEL «A PROPOS DES SOUCOUPES VOLANTES» p. 192).

    CHALAIS (Charente) le 8/2/1974 vers 20 h (LDLN 173 p. 20).

    Dans ces cas il ne peut s'agir de feux follets (flamme légère et fugitive de phosphure d'hydrogène spontanément inflammable, qui se dégagent des endroits marécageux et des lieux, tels que les cimetières, où des matières animales se décomposent.

    Deux autres rencontres rapprochées proches , de CHABEUIL.

    La première le 1/1/1977 à 19 h 45 : Lieu-dit «La Serre» D. 154 entre Combovin et Chabeuil. Un disque près du sol observé par M et Mme PERE Z. Observation à 3 km 500 au S-E du lieu de l'observation de Mme LEBOEUF. (enquête M. FIGUET, A.A.M.T., LDLN) P.V. de gendarmerie de la brigade de Chabeull n° 9 du 4/1/1977.

    La deuxième le 28/02/1978 à 19 h 45 : PK 2 -h 000 CD 200 entre MALISSARD et CHABEUIL à 3 km 500 au S.O. du Lieu de l'observation de Mme LEBOEUF. Décollage d'un objet lumineux observé par Mme BARZIC et son fils, (enquête M. FIGUET P.V. de gendarmerie de la brigade de Chabeuil no 255 du 10/03/1978).

     

    SOURCES :

    Catalogue Vallée :cas no 156

    Michel Carrouges : «Les apparitions de Martiens»

    Aimé Michel : «A propos des soucoupes volantes».

    Le progrès, l'Echo liberté, le Provençal du 29/9/54

    Le Figaro, Combat, le Parisien du 30/9/54.

    Jacques Lob et Robert Gigi «Ceux venus d'ailleurs» p. 11 :

    Enquête de M. Pierre Bouvard de l'Association Mondiale Interplanétaire.

     

    DATE : 26 Septembre 1954 HEURE : 14 h 30 LIEU : CHABEUIL, Lieu-dit «Gontardes»

    photo du site de l'atterrissage - LDLN n° 177

     

    Les Capsules Temporelles

     

     Fabrice Kircher et Dominique Becker ont développé l'hypothèse selon laquelle les ovnis ouvriraient des sas de passage vers l'anti-monde, où le temps s'écoulerait en sens inverse du nôtre. [Extraterrestres... Viennent-ils de l’anti-monde ? - 2005]

    La ligne du temps sidérale des visiteurs extra - terrestres, qui voyagent vers leur futur, qui est notre passé, croiserait à contresens (à contretemps) notre ligne du temps, où nous voyageons vers notre futur, qui est le passé des visiteurs extra - terrestres, et les rencontres rapprochées ufologiques se produiraient, au cours du croisement de ces 2 lignes du temps.

    Si l'intuition de Fabrice Kircher et Dominique Becker est bonne, ces ovnis seraient des capsules temporelles du passé des stellaires, nous parvenant dans notre futur.

    La fonction des capsules temporelles, étant de délivrer un témoignage ou un message aux générations à venir, nous aurions, sans aucun doute, avantage à les interpréter, dès à présent, comme telles.

    Toupie Gyroscopique

     

    Définition | Gyroscope | Futura Tech

     Futura

    Crop-Circles de la Roue d’Ézéchiel - Tétramorphe Angélique

     

    Les apparitions ufologiques seraient à revoir en lecture inverse de la chronologie temporelle courante qui est la nôtre ! (exemple : ce que l'on prend pour des décollages d'engins extraterrestres seraient au contraire leur arrivée et leur atterrissage).

    Signalons, aussi, le factuel des apparitions d'ovnis qui sont animés d'une rotation, souvent très rapide sur eux-mêmes, et que les témoins comparent très souvent à des toupies, c'est-à-dire à des gyroscopes, qui est un instrument permettant de mesurer ou de maintenir l'orientation et la vitesse angulaire d'un objet en utilisant le principe de la conservation du moment cinétique, sur un, deux ou trois axes par rapport à un référentiel inerte.

    Inventé par le physicien français Léon Foucault, en 1852, avec son partenaire Froment, il réalise qu'en bloquant certaines pièces de son pendule, ce dernier s'aligne  sur le méridien et indique le nord : le compas gyroscopique est né. 

    Il est utilisé en remplacement du compas magnétique, inefficace lorsqu'il est trop proche des pôles. 

    Ce système est aujourd'hui présent sur les navires, dans les avions de ligne, la Station Spatiale Internationale (ISS), les satellites, les télescopes, les missiles, les drones, le pilotage automatique, et, est devenu indispensable à la navigation. [Cf. Futura]

    Rien de surprenant à ce que les stellaires voyageurs du temps l'utilisent, depuis longtemps ! (Cf. la vision du Prophète Ézéchiel).

    La fonction des capsules temporelles, étant de délivrer un témoignage ou un message aux générations à venir, nous aurions, sans aucun doute, avantage à les interpréter, dès à présent, comme telles.

     

    Le Message de Chabeuil

     

     Dans la Rencontre Rapprochée de Mme Lucette Leboeuf, l'anti-monde, de l'anti-matière, de l'anti-temps est figuré dans le déroulé de la Rencontre Rapprochée de Mme Lucette Leboeuf par sa visite au caveau familial au cimetière de la commune, poste avancé de l'autre-monde, symbolisant l'anti-monde,  celui de l'anti-temps, de l'anti-matière = celui de la sphère spirituelle, le 26 septembre 1954, le dimanche, jour de la célébration du mystère pascal, source de la résurrection, du passage de notre monde à l'autre monde.

    La chienne Dolly (douleur) de Mme Lucette Leboeuf donne l'alerte (comme les chiens du voisinage), fidèle a sa fonction de guide des êtres humains dans le monde des morts, au passage entre la vie et la mort, vers le paradis ou aux portes des enfers, l'odorat aigu des chiens a la faculté de détecter la pureté des âmes pour les introduire ou pas auprès des entités non-humaines.

    L'apparition de la chose, sans bras, annoncée par la chienne, se dirige vers Dolly, épouvante Mme Lucette Leboeuf lorsqu'elle se dirige vers elle en dodinant, qui en éprouve une telle frayeur qu'elle se réfugie à l'intérieur d'une haie, prostrée, où elle espère échapper au regard de ses yeux démesurés.

    La créature effrayante, est enveloppée dans un film fin transparent/étanche, comparable au cellophane, ce qui la rend visible tout en affichant son origine séparée/non-indigène, différente des êtres humains, ses grands yeux nous invite à regarder/à examiner de près ce qu'elle est venue nous transmettre, sous un mode non verbalisé mais imagé, l'absence de bras, signifie qu'elle ne cherche pas à nous manipuler, pas plus que le témoin, auquel elle s'adresse directement, de façon non précipitée/en douceur/prudemment en se dodinant, sa taille enfantine, la montre comme pacifique et si son visage est humain, ses intentions le sont donc également. La fonction d'un épouvantail est d'effrayer et de faire fuir les oiseaux = les volatiles = les (mauvais) esprits.

    Mme Lucette Leboeuf aperçoit l'envol d'un vaisseau aérien qui s’incline et se redresse verticalement pour disparaître à une allure vertigineuse ; l'inclinaison de 45° (4 + 5 = 9), habituelle des soucoupes volantes au moment de leurs disparitions, ou/et ce décollage à 90° (90 = 9 + 0 = 9) symbolise l'unité et la totalité de l'ennéade/monade, de la puissance divine déployée du 3 + 3 + 3,  la totalité cosmique de l'éternel recommencement, signature de son origine et de sa fonction de messager spirituel/céleste/angélique, comme le confirme l'évocation de la toupie/losangée (dans la langue volatile des maître Gouliards, le losange est une évocation de la sphère angélique).

     

     Laize - la - Ville (14) - 20/11/1954

    21 h 10

     

    Un garçon de 15 ans à Laize - la - Ville, Calvados, le 20 novembre 1954, à 21 h 10, a vu une énorme soucoupe volante en forme de toupie traverser la route au niveau du sol. Elle était en rotation et rougeoyait.

    L'article du journal Les Nouvelles de Falaise, du 25 novembre 1954, indique qu'un professeur du conservatoire de Musique de Caen, Mr. Bex, roulait en voiture quand il a été arrêté par un adolescent d'une quinzaine d'année, résidant à Boulon, dont le nom n'est pas donné par le journal, qui lui a raconté avoir vu quelques instant plus tôt une énorme toupie qui tournait, qui était éclairée en rouge et avait traversé la route au ras du sol. Mr. Bex affirmait que le jeune homme lui semblait sincère. Mr. Bex précisait qu'il n'avait pas vu le phénomène lui-même. 01 Témoin. Source : Ouest-France du 22/11/1954.

     

    La Toupie des Dieux (= le Topet = le Top = le Haut du Ciel)

     

    A Evrecy, le 28/01/1983, à 00 h 10, un automobiliste aperçoit sur sa droite 1 objet en forme de toupie. Cet engin se trouve à 2 ou 3 m au-dessus du sol et émet des lumières rouges et vertes de faible intensité.

    Cet objet zigzague avant se l'élever en spirales très haut dans les airs et de disparaître.(Source : RRO).

    Cette nuit, vers 00 h 10, je circulais sur la CD, j’ai eu mon attention attirée par la présence d’un objet en forme de toupie, d’un diamètre d’environ deux mètres, le fond incurvé et d’une hauteur approximative de celle d’un adulte. Cet engin émettait deux lumières très faibles.

    L’une verte et l’autre rouge. L’engin a zigzagué devant mon véhicule à 15 mètres environ, à une hauteur de 2 à 3 mètres, puis il est monté en spirale très haut avant de partir à l’horizontale ;  je l’ai alors perdu de vue. L’autoradio qui se trouve dans mon véhicule était à l’arrêt. Le moteur de ma voiture n’a pas calé. J’ai fermé ma porte de l’intérieur et j’ai ensuite fait demi-tour quelques temps plus tard pour observer éventuellement de nouveau ce phénomène.

    Je n’ai rien remarqué à mon retour sur les lieux. Je précise que lorsque l’engin zigzaguait devant moi, il volait à vitesse approximative de 20 à 30 km/h. Je suis prêt à vous conduire sur les lieux exacts où j’ai aperçu ce phénomène. Le temps était à la pluie, il pleuvait légèrement. 01 Témoin. Source :  P. V. de Gendarmerie - Gépan -RRO.

     

    Le Nid de Soucoupe Volante

     

    La configuration de la trace principale relevée à Chabueil, en septembre 1954, pris à l'époque pour un nid de soucoupe volante, présentait 7 pieds de maïs rayonnants dans un cercle de 3 m, est à l'évidence un Crop-Circles, avant l'heure, basé sur la symbolique du nombre 7 = 4 + 3 = 7, c'est-à-dire l'Alliance (le coffre de l'Alliance était fait du bois imputrescible de l'Acacia) éternelle/imputrescible entre le divin (le 3 de la Sainte Trinité) et l'homme de la Terre (le 4 des points cardinaux terrestres).

    Tel est le message/épiphanie de  la Cratophanie (manifestation/apparition Surnaturelle) dont Mme Lucette Leboeuf et sa chienne Dolly ont été les témoins privilégiés, ce dimanche 26 septembre 1954, aux environs de 14h30, à Chabeuil, dans la Drôme (26) - France.

     

     

    L'Archange

     

     

    Ce Land-Art nous présente un Ange de l'Annonciation délivrant un message ; quel peut-bien être cet Ange et la nature de son message ?

    Le message est imprimé sur son phylactère (banderole où l'on écrit traditionnellement un texte), mais nous n'en voyons que la partie supérieure (l'arc de la banderole aux 7 disques en creux, qui est partiellement recouverte, à ses extrémités, par l'extrémité les ailes de l'Ange, pour nous inviter à la compléter).

    De fait, la silhouette de l'Ange le dissimule, dans sa plus grande partie médiane et inférieure ; la forme complète de cette banderole est celle d'un anneau fermé, comme nous le suggère le petit anneau supérieur, formant la tête de l'Ange et correspondant à sa partie supérieure visible, ainsi que par le grand anneau, correspondant à la partie inférieure non-visible (situé sur le corps de l'Ange).

    Comment reconstituer le message dans sa totalité ? C'est simple, il nous suffit de dessiner la banderole entière, de la dérouler, en la prolongeant en anneau, et en respectant scrupuleusement la séquence régulière des 7 disques visibles, ce qui dévoile 11 disques supplémentaires, et donc un  total de : 7 + 11 = 18 disques, inscrits sur le phylactère reconstitué dans son entier ; 18 disques, auxquels il faut ajouter les 2 disques (car ils sont du même diamètre) de la tête et du corps de l'Ange, 18 + 2 = 20 disques. 

    Que signifie ce chiffre 20 ? Pour le découvrir, il nous faut chercher l'identité de cet Ange mystérieux. 

    Laissons-nous  guider par la représentation scénique de cet agrogramme.

    Au premier regard, on discerne une silhouette angélique qui jongle avec 7 balles, un Jongleur ! 

    C'est le Jongleur des 22 Arcanes du Jeu du Tarot de Marseille, la première carte de ce jeu, la numéro 1, nommé le Bateleur.

    Puisque nous avons tiré le bon numéro, faisons de même, avec la carte portant le numéro 20.

    Que trouvons-nous ? A la fois le message et l'identité du messager.

    Cette carte s'intitule : le Jugement prononcé par l'Ange Gabriel, au jour du Jugement Dernier ! (l'identité de l'Ange Gabriel est d'ailleurs confirmée par les 7 disques visibles : G. A. B. R. I. E. L. = 7 lettres, et par le G initial, qui est la 7ème lettre de l'alphabet latin).

    Le Jugement Dernier, sonné par l'Ange Gabriel (voir la carte numéro 20 du Tarot) est donc annoncé, de façon allusive par ce Crop-Circles, à moins qu'il s'agisse de quelque chose de plus nuancé ?

    Si nous additionnons la date du 05/05/2010, en lecture inclusive, nous obtenons : 5 + 5 = 10/2010 = 10 + 10 = 20 / 20  = 22 (renvoi possible pour 2022).

    Ainsi, s'achève ce jeu de voyance, du tirage de cartes (réussite), et nous avons, maintenant, toutes les cartes en main, pour mieux comprendre cet énigmatique agroglyphe.

    La carte numéro 1, le Bateleur (le Jongleur), nous a révélé au final la carte numéro 22, qui est celle du Mat ou du Fou (de Dieu).

    Le Fou de Dieu qualifie l'Ante-Christ (qu'il ne faut pas confondre avec l'Anti-Christ, qu'il combat), l'élu, prêtre, roi, et prophète, dont la venue est annoncée par de nombreux augures, pour notre époque (et ici-même par l'Archange Saint Gabriel, en personne) pour remporter le dernier combat d'Armageddon  (= la dernière Bataille de la Fin des Temps). Guillaume Chevallier

     

    Les Rouleaux des Capsules

     

     Si la théorie de Fabrice Kircher et Dominique Becker est fondée, les apparitions ufologiques nous livreraient des témoignages ou des messages (rouleaux) à la manière des capsules temporelles, dont le caisson est une coque de protection qui défie les siècles. 

    L'utilisation de capsule protégeait, aussi, les précieux parchemins enluminés et les phylactères (banderoles) que l'on roulait dans des tubes métalliques, afin de les préserver des atteintes du temps.

    Ainsi, les Rencontres Rapprochées ufologiques représenteraient, des capsules/cratophanies/apparitions surnaturelles, dont le contenu/l'épiphanie/révélation constitue le rouleau enluminé d'un parchemin, d'un phylactère, conçu et élaboré à la manière d'un Mutus-Liber/d'un Livre Muet, ou de planches dessinées, sans bulles, sans paroles et sans légendes écrites.

    Cette conception visionnaire des soucoupes volantes, était déjà défendue, en 1954, par M. Devenne,

     [cf. Les Capsules Temporelles - Les Faux-Vrais (21)]

     pour qui les apparitions de ces engins et de leurs occupants étaient la concrétisation de la théorie de la pataphysique élaborée par le dramaturge, poète, écrivain, romancier Alfred Jarry créateur de la pièce de théâtre Ubu Roi (1895), inventeur de la pataphysique, qui, selon Alfred Jarry (Laval 1873-Paris 1907), est la science des solutions imaginaires qui s’étend aussi loin au-delà de la métaphysique que la métaphysique au-delà de la physique.

    Cette néo-science des pataphysiciens (précédant et précurseuse du surréalisme - années 1920 - et du réalisme-fantastique, cf. André Breton, Jacques Bergier, Louis Pauwels, le Matin des Magiciens - 1960 - la revue Planète - 1961) impliquait/annonçait les mystérieuses apparitions des soucoupes volantes. 

    M. Devenne, initié aux arcanes du Faustroll (la bible de la pataphysique), a manifestement discerné, dans les récits des soucoupes volantes,  de la vague de 1954, la trame occultée qui les sous-tend, le parlé signifiant du caché, qui anime la création, comme l'affirme la philosophie du Faustroll : c'est l'univers supplémentaire que l'on peut ou que l'on doit voir, au-delà des apparences, la science de ce qui se surajoute au-delà de la physique et de la métaphysique.

    Selon la tradition, les symboles sont la représentation tangible de cette vision/perception et les interfaces dynamiques nous reliant aux données/informatives mémorielles, stockées, dans l'océan des fréquences fluidiques universelles(cf. L'Hypothèse de Broglie/L'hypothèse La Mémoire de l'Eau de Jacques Benveniste).

    Le langage universel des symboles est compréhensible ou accessible à tous, malheureusement peu en sont familiers, car les symboles sont associés, par nos contemporains agnostiques, à un mode d'expression obsolète, occulte, superstitieux, voire, religieux, pour autant si le Noble-Art de la Symbologie n'est pas reçu consciemment, il est toujours perçu, autrement, subconsciemment/supconsciemment.

    Son écriture (polysémique, sur plusieurs niveaux enchâssés) repose sur l'analogie, l'association d'idées, la parabole, l'allégorie, la métaphore et la litote, caractérisant la sublimation de la pensée, l'élévation de la conscience spirituelle, la révélation éclairante, en un mot l'épiphanie d'une manifestation et d'une apparition perçue comme supranaturelle.

     

    la chose

    « ... la chose avançait vers elle, à pas pressés, tout en se dandinant. ... Le témoin, terrifié, hurle et s'enfuit en courant pour se cacher dans un fourré. La peur me faisait claquer des dents. Quand elle essaie de repérer à nouveau le petit être  aux bras non visibles  elle ne voit rien, mais tous les chiens du village aboient furieusement. »

     [RR3 de Mme Lucete Leboeuf, à Chabeuil (26) - le 05/10/1954]

     

    Affiche Ufologique

    Les Eclaireurs

     

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    Apocalypse des Ovnis

     

     


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