• Les Doux

     

    RR3 du 09/01/1976 - à Saint-Just-de-Claix (38) - France

     

    « Je veux oublier cet évènement mais j'ai peur de sortir de la maison quand tombe la nuit.»

    M. Jean Dolecki - RR3 de Saint-Just-de-Claix (38) - Isère - Auvergne-Rhône-Alpes - France - 09/01/1976 

     

    « ... mes pensées ne sont pas vos pensées et vos chemins ne sont pas mes chemins ... 

    ... autant le ciel est élevé au-dessus de la terre ...

    ... autant mes chemins sont élevés au-dessus de vos chemins, et mes pensées, au-dessus de vos pensées ... »

    [Ésaïe 55.8-9]

     

    Les Doux

     

    RR3 du 09/01/1976 - à Saint-Just-de-Claix (38) - France

     

    Bellator

    Guillaume Chevallier

     

    [Saint-Just-de-Claix (38)/habitants : 580 (50,0 hab/km2) en 1968 - 556 (48,0 hab/km2) en 1975 - 822 (70,9 hab/km2) en 1982 - 1 361 (117,4 hab/km2) en 2020 -  Commune rurale peu et très peu dense - Superficie : 11,59 km2 - Climat tempéré de transition]

     

    Claix (38)

     

     Jean Dolecki

     

    l’Alliance

     

    D'argent au chevron d'azur accompagné de trois croisettes tréflées du même.

     

    Saint-Just-de-Claix (38) - quartier "Bluvinaye"- Isère - Auvergne-Rhône-Alpes - France - 09/01/1976 - de 19 h 15 à 19 h 20 - Enquête de MM. Bonnaventure, Chaloin, Dotero, Duquesnoy, Figuet LDLN n° 223-224 - RR3 de M. Jean Dolecki

     

    Rencontre du Troisième type à St-Just-de-Claix (Isère)

     

    Rapport de M. Figuet - Enquête de MM. Bonnaventure, Chaloin, Dotero, Duquesnoy, Figuet LDLN n° 223-224

     

    Date de inobservation : Vendredi 9 janvier 1976 heure : 19 h 15

     

    Durée de l'observation : 10 minutes

     

    Lieu de l'observation : quartier "Bluvinaye" sur la commune de St-Just-de-Claix (Isère)

     

    Lieu de la RR3 : champ de maïs fraîchement labouré au 2/3 de sa superficie

     

    Carte Michelin n° 77 pli 3 et carte d'état-major au 1/25000ème ROMANS XXXI 35

     

    Conditions météorologiques : bonne visibilité, ciel clair, nébulosité zéro et étoiles visibles.

     

    ORIGINE DE L'INFORMATION :

     

    M. Pinter, correspondant du journal "Dauphiné-Libéré" de Saint-Jean-en-Royans, a connaissance des faits par le témoin lui-même qu'il connaît depuis plusieurs années (ce dernier ignore que M. Pinter est correspondant d'un journal, car exerçant sa fonction depuis début décembre 1975).

    M. Pinter téléphone alors à M. Jean-Louis RUCHON (correspondant R.M.C. et journaliste au "Dauphiné-Libéré" à Romans) qui en informe aimablement l'A.A.M.T. (Association des Amis de Marc Thirouin).

     

    PRÉAMBULE :

     

    L'A.A.M.T. fera trois enregistrements des déclarations du témoin :

     

    1 - Le 11-1-1976 au lieu de rendez-vous, 1/2 heure

     

    2 - Le 11-1-1976 sur les lieux de l'observation, 3/4 heure.

     

    3 - Le 31-1-1976 trois semaines après, au domicile du témoin, 4 heures.

     

    Michel FIGUET effectuera deux compléments d'enquête en 1978 et 1980. Lors de notre présence sur les lieux, nous avons interrogé les habitants des fermes avoisinantes, le propriétaire du champ, examiné le terrain et pris des photos du site.

    Les gendarmeries de Saint-Jean-en-Royans et Pont-en-Royans ont été contactées, de même les fermiers du voisinage et les habitants d'Echevis.

    Dans ce qui suit, nous vous livrons d'une part un récit remanié du témoin, d'autre part un aperçu plus précis de certains éléments de l'observation sous forme d'un texte questions-réponses et enfin des informations supplémentaires nécessaires à la bonne compréhension de l'événement.

     

    RÉCIT DU TÉMOIN :

     

    Ce vendredi 9 janvier 1976, M. Jean DOLECKI, chauffagiste, habitant la petite commune d'Echevis sise entre les Grands et Petits Goulets, achève sa journée de travail chez un client de Saint-Jean-de-Bournaix.

    A 18 h 40, il quitte cette ville à bord de son véhicule 2CV pour regagner son domicile en empruntant la D 20 puis la D 71 qui mène à Ponten-Royans.

    Vers 19 h 15 il arrive au croisement entre la D 71 et la RN 532 reliant Saint-Romans à Saint-Nazaire-en-Royans.

    Son attention est alors attirée par un objet brillant de forme globulaire comparable au luminaire des anciens cafés.

    Au franchissement du croisement, quelques habitations lui restreignent pour un court instant son champ de vision, sans pour autant l'empêcher de constater le mouvement du phénomène aérien lumineux et son grossissement apparent.

    Pour lui, il s'agit là de manœuvres aériennes militaires, semblables à celles qu'il a l'habitude de voir lors de ses déplacements aux environs de l'aérodrome de Chabeuil (base de l'A.L.A.T.).

    A 500 m du croisement, M. DOLECKI constate avec stupeur que l'objet grossit à vue d'œil, tout en se dirigeant vers lui. Craignant un choc qu'il juge inévitable, il s'arrête sur le bas côté de la route, coupe le contact, laisse les phares allumés dans sa précipitation, descend de son véhicule et se cache sur son arrière.

    "Puis çà s'est allumé" déclare le témoin.

    A cet instant il observe dans un champ bordant la route, environ 70 m (distance prise à la chaîne d'arpenteur), un objet silencieux de couleur acier inoxydable en forme de deux troncs de cône soudés à leur sommet :

    une cafetière italienne déclare celui-ci. Cet engin (car pour lui il s'agit bien d'un engin) de 7 m de haut pour 4 de large, stationne à 1 m au-dessus du sol. Il est chapeauté par une partie vibrante (comme la chaleur au-dessus d'un foyer) et comporte à son sommet 3 feux de couleur respectivement rouge, blanche et chair, sur ses côtés en partie supérieure, deux éléments vibrants semblables à des hélices en rotation. Trois bandes horizontales sombres se trouvent au niveau de l'étranglement de la structure. Une lumière blanche bien délimité sortant de la base éclaire le tout comme un film sur un écran de cinéma (voir croquis).

    Au sommet de l'O.V.N.I., une porte s'ouvre laissant entrevoir un intérieur noir et simultanément trois silhouettes apparaissent. Dans sa stupeur le témoin ne remarque pas précisément leur descente vers le sol, mais les voit au sol suivant une disposition géographique précise et dans une posture déterminée.

    Elles sont identiques :

    la taille d'êtres humains plus grands que la normale (2 à 2,20 m), un corps très long, des pattes courtes, sans tête apparente et en guise de bras une perche télescopique prolonge leur corps.

    L'une après l'autre, les perches s'allongent, se lèvent, les 3 silhouettes effectuent un mouvement de rotation (environ 180°), sans tourner le dos au témoin et font quelques pas. Une fois leur manège terminé (5 à 6 minutes environ) elles remontent dans l'O.V.N.I.

    La porte se referme, tout s'éteint sauf le feu central blanc qui disparaît en s'élevant à grande vitesse. M. Dolecki fait alors un signe de croix en invoquant la vierge Marie, regagne sa voiture et rentre aussitôt chez lui.

    Arrivé à son domicile, il dîne, raconte à sa femme son observation et téléphone à la gendarmerie de St-Jean-en-Royans (pas de P.V.).

     

     

    INTERROGATION DU TÉMOIN :

     

    M. Jean DOLECKI, polonais de naissance, s'exprime dans un français compréhensible. Nous reproduisons intégralement ses réponses. Certaines d'entre elles apportent une couleur très particulière à l'événement et sous peine d'en déformer la signification, nous avons évité de les transformer, (les parenthèses précisent ce qu'il faut comprendre). Par ailleurs, ce qui suit permet d'illustrer nos difficultés à suivre les déclarations du témoin.

    A certains moments, ce dernier déborde le cadre de nos questions et se laisse emporter par ce qui l'a le plus ému ou impressionné dans l'observation.

    Certaines questions réponses n'apportent rien de plus au témoignage et nous nous sommes permis de les éliminer.

    Q. - Dans quelle direction avez-vous vu la lumière ?

    R. - Elle venait dans l'axe, en longeant la crête, environ à 45° (direction Sud-Ouest, 45° par rapport à l'horizontale).

    Q. - A quoi vous faisait penser cette lumière ?

    R. - J'ai pensé que c'était l'armée, à un hélicoptère. Je sais qu'ils ont un éclairage aussi gros. Je ne me serais même pas arrêté, mais çà venait tellement rapidement que j'ai eu peur que çà tombe sur la voiture.

    Q. - A quel moment l'objet s'est-il éclairé ?

    R. - J'étais à six ou sept mètres de la voiture, j'étais au poteau et je pensais me mettre dans le fossé car je croyais à une explosion. Puis le point blanc s'est arrêté, là, au milieu du champ.

    Q. - Comment êtes-vous sorti de votre voiture ?

    R. - J'ai arrêté, coupé le contact et suis parti.

    Q. - Lentement, rapidement ?

    R. - Rapidement, je me suis "taillé" par peur qu'il tombe sur moi.

    Q. - Quand vous vous êtes arrêté, vous avez coupé le contact... et les phares ?

    R. - J'ai oublié, peut-être, la précipitation.

    Q. - Comment êtes-vous sorti de la voiture ?

    R. - Je suis sorti en arrière (côté route) et je me suis arrêté quand j'ai vu que c'était allumé ? Là je me suis dit, arrête, c'est fini.

    Q. - Vous avez pensé ceci, comme cela ?

    R. - J'ai fait la guerre, alors çà m'a servi à quelque chose (se voyant surpris, le témoin a fait face).

    Q. - Précisez-nous la façon dont cela s'est allumé : doucement, brusquement ?

    R. - D'un seul coup. La lumière était bien définie autour (de l'OVNI), et là (sur les côtés) cela vibrait sans cesse comme une vis sans fin.

    Q. - De quel couleur était l'engin ?

    R. - Couleur acier inoxydable, sauf vers le bas où il y avait trois rangées un peu plus sombres (voir dessin).

    Q. - Comment la porte s'est-elle ouverte ?

    R. - Normalement comme une porte.

    Q. - Quel temps s'est écoulé entre l'ouverture et la sortie des personnages ?

    R. - Je ne sais pas exactement, mais c'était presque simultané.

    Q. - Vous n'avez vu personne ouvrir la porte ?

    R. - Non, elle s'est ouverte et fermée toute seule.

    Q. - Lorsque la porte s'est ouverte, qu'avez-vous vu dans l'encadrement ?

    R. - Rien l'encadrement était noir, seulement les formes qui sont descendues. Elles n'avaient pas de têtes, seulement des pieds, les pieds étant au quart de la hauteur.

    Q. - Les formes ?

    R. - Elles sont sorties en avant l'une après l'autre. Il me semble qu'elles ont utilisé les parties sombres pour descendre, mais je ne peux l'affirmer.

    Q. - Vous n'avez pas souvenir de la façon dont elles sont descendues (à plusieurs reprises nous avons essayé de faire préciser au témoin la façon dont sont descendus et montés les personnages ; il n'a jamais pu le préciser) ?

    R. - Je ne peux pas vous dire, j'ai "mouillé" comme il faut. Mais quand ils ont avancé en bas, là j'ai vu.

    Q. - Avaient-elles la tige quand elles sortaient par cette porte ?

    R. - Oui, oui, elles l'avaient.

    Q. - Moins longues, puis çà c'est levé un peu et elle s'est allongée (le témoin traduit ici la manœuvre des formes quand ces dernières sont déjà au sol).

    Q. - Quand vous les avez vues sortir, les formes se détachaient-elles de l'encadrement noir ?

    R. - Oui, j'ai vu les silhouettes de la même couleur que l'objet. La hauteur des bonshommes était comme la porte (2 à 2,20 m).

    Q. - Les avez-vous vus arriver du fond du noir ? (nous cherchons à savoir si cette porte donnait accès à un volume, une pièce par exemple).

    R. - Non, c'était comme une apparition.

    Q. - Dans l'encadrement, la lumière de l'engin se réfléchissait-elle sur les formes ?

    R. - Vous pensez qu'il y avait de l'ombre ? Non je n'en ai pas vue. J'ai vu quelque chose de plus foncé. Il y avait une distinction mais j'avais peur. Je voyais l'ensemble mais pas le détail.

    Q. - Avez-vous des lunettes ?

    R. - Non, sauf pour travailler.

    Q. - La lueur sortant du dessous de l'engin éclairait-elle les silhouettes

    R. - Non.

    Q. - Les silhouettes au sol sont-elles restées dans la lumière émanant de l'engin ?

    R. - Oui.

    Q. - Y avait-il du bruit ?

    R. - Non.

    Q. - En bas, touchaient-elles terre ?

    R. - Elles trois touchaient le sol, sauf l'objet.

    Q. - Quelle était la taille de la perche ?

    R. - 2 m, celle des personnages.

    Q. - C'était une perche métallique ou lumineuse ?

    R. - Même couleur que le tout. La perche s'est allongée pour les 3 l'une après l'autre.

    Q. - Quand les 3 silhouettes tournaient, les pieds se déplaçaient-ils ?

    R. - Non, la perche seule bougeait.

    Q. - Qu'avez-vous distingué pendant le mouvement de rotation ?

    R. - Rien d'autre que la perche.

    Q. - La montée des silhouettes, comment, durée ?

    R. - Comment, je n'en sais rien. Durée : 10 mn.

    Q. - Vous ont-elles remarqué ?

    R. - Après réflexion, je ne comprends pas, si ce sont des êtres humains, pourquoi n'ont-ils pas prêté attention aux phares de ma voiture ? Je pense qu'ils étaient en mission commandée.

    Q. - Comment l'objet a-t-il disparu ?

    R. - Dans la même direction, tout s'éteint sauf la lumière blanche. C'est resté longtemps de la même dimension, en arrivant, à l'arrêt et en partant.

    Q. - Par rapport à la taille de la lune, de quelle dimension ?

    R. - Peut-être aussi gros, je ne sais pas.

    Q. - Le départ et l'arrivée de l'engin se sont-ils opérés, dans la même direction ?

    R. - Je ne peux l'affirmer, mais il me semble bien et quand tout s'est éteint, vous voyez guère. Cette lumière n'était pas pénible, elle était agréable.

    Q. - Comme le néon ?

    R. - Oui, agréable.

    Q. - L'objet avait-il disparu lorsque vous êtes remonté à bord de votre véhicule ?

    R. - Oui.

    Q. - Regardiez-vous le ciel en conduisant ?

    R. - Non, j'ai filé à la maison. J'ai appelé Sainte-Marie la vierge, signe de croix et en avant la route.

    Q. - Après votre observation, à qui en avez-vous parlé ?

    R. - A ma femme, ma fille.

    J'ai téléphoné aux gendarmes qui ne m'ont pas cru.

    Le samedi en allant chercher le journal, j'ai rencontré M. PINTER (correspondant du D. L.).

    Je lui ai dit que j'avais quelque chose à travailler et nous avons téléphoné à RUCHON (journaliste de l'agence AIGLES, correspondant R.M.C.).

    M. PINTER, présent à cet interrogatoire (chez le témoin), précise à cet instant, qu'il avait entendu parler d'une observation. Un de ses cousins, habitant aux Vignes (au-dessus de St-Jean-en-Royans) avait observé une lumière curieuse au-dessus de Léoncel.

    Une lumière très intense, virant du rouge au bleu dans des coloris peu courants. L'affaire en est restée là, mais quelques jours après, M. DOLECKI lui faisait part de son observation. Ce ne pouvait plus en rester là.

    Q. - M. DOLECKI avez-vous lu le journal le 9 janvier ?

    R. - Je n'ai pas le temps sauf le samedi et dimanche et je ne veux pas être dérangé. Mes sujets d'intérêt : informations, foot-ball, catch.

    Q. - Croyez-vous aux soucoupes volantes ?

    R. - Tant que je ne vois pas, je ne crois pas. Je n'ai jamais lu d'ouvrages de science-fiction. Après les informations télévisées du soir, au lit et levé le matin à 6 h.

    Q. - Allez-vous vous y intéresser maintenant ?

    R. - En France je n'ai pas été accepté dans l'enseignement comme titulaire. J'ai mon métier. Les enfants vont s'échapper de la famille. Il n'y a pas la mère au foyer.

    En voyant cela j'accuse 3 nations pleines de mystère :

    URSS, Chine et Japon.

    Deuxième thèse :

    les savants ont dit que le monde est déchaîné et que l'on ne peut plus encadrer la jeunesse actuelle. Je crois qu'ils veulent leur donner du calme. Je ne crois pas aux martiens ; s'ils existent, ils sont plus intelligents car ils n'ont attaqué personne. J'attends de lire les journaux spécialisés (dans le domaine ufologique) pour me faire une idée. Tout le monde m'a parlé d'OVNI, mais pour l'instant rien n'est officiel.

    Je suis un cadavre car aujourd'hui je peux passer pour un fou, farfelu et tout.

    Q. - Cette observation peut-elle vous apporter le calme ?

    R. - La vision de ces trucs doit faire rester à la maison et retourner à la sagesse humaine. Quand vous lisez dans les journaux qu'il y aura pollution et autres : peut-être y auraient-ils des êtres humains qui veulent quelque chose d'autre.

    Q. - Votre comportement moral va-t-il changer ?

    R. - Oui, sûrement, mais revenez dans quelques temps. Ce n'est pas une invention pour aller au delà de l'aventure, pour la publicité. Je veux oublier cet évènement mais j'ai peur de sortir de la maison quand tombe la nuit.

    Avant non. Je veux cependant me battre contre cela. Peut-être ne reverrai-je jamais pareille chose. Qui sait ?

     

     

    INFORMATIONS SUPPLÉMENTAIRES :

     

    - L'observation s'est déroulée sans aucun bruit.

    - Lors de l'observation, le champ sur lequel l'objet aurait quasiment atterri avait été labouré au 2/3 de sa superficie (arrêt du labour à 17 h 30). Le jour de l'enquête, c'est-à-dire le dimanche 11 janvier 1976, le champ était entièrement labouré. Il n'a donc pas été possible de prélever des échantillons et de constater d'éventuelles traces.

    Au mois de juin, la végétation du champ ne présentait aucune différence à l'emplacement présumé du quasi atterrissage.

    - Les agriculteurs n'ont rien remarqué d'anormal.

    - Le 9 janvier 1976, les feux de sarments de vigne avaient été allumés à 17 h à plusieurs mètres du quasi atterrissage. A 19 h 15, heure de l'observation, on pouvait supposer qu'il restait quelques braises. M. DOLECKI ne l'a pas constaté (Dessin n° 3 et 4).

    Les 3 feux au sommet de l'engin sont dans l'axe des feux de sarments.

    - Un véhicule est passé sur la route sans s'arrêter.

    - 3 fermes encadrent le lieu de l'observation (voir dessin 4). M. et Mme Carru (Les habitants de la ferme 1) regardaient la télévision à l'heure de l'observation (émission des chiffres et des lettres), et ont constaté une panne d'image précédée de parasites et bruits intenses, (les perturbations sur la télévision de la ferme 1 pourraient s'expliquer par la présence de l'objet : entre l'antenne et le mont Pilât, alors que dans la ferme 2, le faisceau hertzien ne traverse pas le champ où se trouvait l'objet).

    Par contre, les habitants de la ferme 2, qui eux aussi regardaient la télévision, n'ont rien remarqué. Les habitants de la ferme 3 étaient absents.

    - A noter que M. Alphonse Carru (grand invalide de guerre), habitant de la ferme 1 aurait fait une observation en 1954 d'un objet en vol non loin de sa maison. Un objet en forme de boomerang passa dans une rangée de noyers au moment ou le témoin labourait avec l'aide de mules.

    - Le jour de notre enquête sur les lieux avec M. DOLECKI, un fait choqua le témoin. Les chiens de la ferme 3 aboyaient à notre approche, or, le jour de l'observation les chiens n'ont pas réagi !

    - Ligne H.T. à 250 m du lieu d'observation.

    - Relevés métriques pour situation du quasi atterrissage (voir dessin 4).

    - Mme DOLECKI est artiste peintre (sa notoriété est mondiale, nombreux prix), et quand son mari, témoin de l'observation nous déclare qu'il ne veut pas faire de publicité, son propos doit se comprendre en fonction de la profession exercée par son épouse.

    Dans la contrée, M. DOLECKI passe pour un bon farceur. Les gendarmes de St-Jean-en-Royans eurent un avis favorable ; par contre la gendarmerie de Pont-en-Royans (commune du lieu de l'observation) a ouvert un dossier, mais ne prend pas au sérieux cette observation (St-Jean-en-Royans : commune du témoin).

     

    LDLN n° 223-224

     

    COMPARAISONS INTÉRESSANTES avec deux autres cas de RR3 le même mois.

    A - Le 5-1-1976 : 17 h 50 - DOMENE - 38 (même département) Lieu-dit "Les Mortes" Témoin : Jean Claude Silvente, 10 ans.

    Voir observation et déroulement dans LDLN n° 150. enquête de MM. Bertrand MEHEUST et Michel LEVY.

    B - L'affaire de St-Just-de-Claix - 38 - ci-dessus citée.

    C - Le 28-01-1976 : 0 h 30 - BENACAZON ESPAGNE

    Témoin : Miguel Fernandez CARRASCO.

    Le témoin regagne son village à pied, après avoir rendu visite à sa fiancée. Il entend un bruit "ressemblant à celui d'un tracteur à chenillettes, mais plus fort". (Le jeune J.C. SILVENTE, lui, entendit un "pschun".)

    Il aperçut une lumière extrêmement puissante à basse altitude. (Dolecki aperçut aussi une lumière blanche qui avançait à basse altitude) "L'étoile", dit M. CARRASCO, atterrit au bord de la route à six mètres, (à 70 m de Jean DOLECKI). L'engin ressemblait à une cabine téléphonique de 2 m de large sur 4 m de haut ("cafetière italienne" de 2 m à 4 m de large sur 7 m de haut à St-Just-de-Claix), de couleur vert sombre, muni à son sommet d'une sorte de coupole (ou gyrophare) émettant des flashes rouges et blancs.

    En outre, la partie supérieure était garnie d'ailerons" semi-circulaires de 0 m 50 de long. Le tout reposant sur trois pieds.

    Une porte pivota sur ses gongs, livrant le passage à deux êtres d'aspect humain d'environ 2 m de haut, portant des combinaisons collantes et phosphorescentes. La boucle de leur large ceinturon émettait des rayons de lumière rouge et blanche qui aveuglèrent le témoin.

    Ces êtres se déplacèrent sans hâte jusqu'à 4 m du témoin qui, ébloui, se protégea le visage avec ses mains.

    Il ne put voir le visage des deux humanoïdes qui conversaient entre eux dans un langage incompréhensible.

    Le témoin s'enfuit, pris de panique ; à ce moment les deux êtres regagnèrent leur engin qui décolla en oblique. Cette manœuvre s'accompagna d'un flash et de l'émission d'une fumée qui tacha la joue droite, les paumes, les cheveux et la moustache du témoin ainsi que le côté droit de sa veste.

    Le témoin perdit connaissance.

    Les marques décelées disparurent au bout de quelques heures.

    - INFORESPACE n° 32 p. 41-42.

     

    CONSTATATIONS

     

    Dans ces trois cas qui se déroulent en janvier 1976 :

    -1- Les êtres observés mesurent deux mètres de haut. Ils sont lumineux ; 1er et 3ème cas ; métalliques et éclairés par la lueur émise par l'engin dans le second cas.

    -2- Les objets ont une forme générale et des dimensions presque identiques (il ne s'agit pas de boules, de soucoupes ou de cigares.).

    -3- Ils sont de couleur blanche, et, lumineux, dans le 1er et 2e cas, vert dans le 3e.

    -4- Une porte est visible et s'ouvre sur les 3 objets. L'intérieur est lumineux et blanc dans le 1er cas, noir pour le 2e cas, et non défini pour le 3e.

    -5- Des lumières de toutes les couleurs, et situées au sommet sont visibles dans le 1er cas.

    Trois feux (rouge, blanc et chair) se trouvent au sommet de l'objet dans le 2e cas.

    Des flashes rouges et blancs sont émis au sommet de la coupole du 3e.

    -6- Dans les trois cas les êtres marchent lentement et comme des "robots ou des somnambules".

    -7- Ils s'approchent du témoin dans le 1er cas et le 3e, manœuvrent autour de l'objet

    dans le 2e cas.

    -8- Dans le 2e et le 3°e cas, la forme et la couleur des objets à leur arrivée est celle d'une boule lumineuse comme "une étoile". Leur départ s'effectue en oblique dans le 2e et le 3e cas.

    -9-Des "hélices" ou des sortes de "vis sans fin" qui vibrent sont visibles en haut et sur les côtés du 2e , des sortes d'ailerons semi-circulaires au sommet et tout autour de l'objet sont visibles sur le 3e.

    -10- Distance témoin-OVNI : 10 m dans le cas 1,

    70 m dans le cas 2,

    6 m dans le cas 3.

    -11- Dans le cas 1 et 3, une sorte de tapis roulant est visible, dans le cas n° 2, trois parties sombres horizontales sont visibles. (S'agissait-il du même objet ou d'objets identiques ?).

     

    VAGUE de phénomènes aériens non identifiés dans l'Isère en janvier 1976

    Les deux RR5 de DOMAINE et la RR3 de St-Just-de-Claix se situent dans cette vague.

    02011976 : Col de Portes à 6 h 40, des militaires en patrouille observent une lueur blanche de la forme d'un arc de cercle.

    02011976 : Grenoble - Chamrousse à 20 h 30, une famille observe un objet de couleur changeante "se promener" sur les deux villes. Ref : UFO-IN FORMATIONS n° 12 p.14.

    04011976 : Pont-en-Royans (38) à 2 h, M. Patrick Foudraz observe trois gros feux lumineux rouges. 04011976: La Côte St-André (38) à 19 h, M. Jean Manin accompagné de sa femme et de ses trois enfants observent une boule lumineuse qui passait du rouge au vert, avec des reflets métallisés. Elle tournait sur elle-même à basse altitude ;

     

    Réf : "Dauphiné-Libéré" du 13-1-1976, édition de l'Isère et "UFO-INFORMATIONS" n° 12 p.14. 05011976 : Grenoble vers Chamrousse, 6 h, la standardiste du journal "Dauphiné-Libéré" et son mari observe un phénomène lumineux évoluant à la verticale de St-Martin d'Uriage. M. Jacques BERNARD, photographe du journal, effectue plusieurs clichés du phénomène lumineux ayant la forme d'un triangle (Vénus possible). Réf : "Dauphiné-Libéré" cfu 6-1-1976.

    05011976 : DOMENE "Lieu-dit Les Mortes" à 18 h, Jean Claude Silvente est le témoin d'une Rencontre du 3ème type. Réf : LDLN n° 159 "OVNI : le premier dossier des rencontres rapprochées en France", P. V. de gendarmerie n° 84 du 2 février 1976, "UFO-Informations de l'A.A.M.T. n° 12 p.15.

    06011976 : DOMENE Cité "Bellevue" à 20 h 30, Anne-Marie ARMENISE, 12 ans, et Catherine HINIJO observent un objet ovoïde en station à 1 m 50 du sol.

    RR1 : réf : "OVNI" p.593-594.

    06011976: Observation d'un O.V.N.I. lumineux qui émet des faisceaux en direction du sol à 20 h dans le canton de VAUD, TANNAY. (Suisse) et à 20 h 15 à LAISSAUD (Savoie).

    06011976 : DOMENE "Les Mortes" à 18 h, J.C. SILVENTE observe le même humanoïde que la veille, ses parents voient une boule rouge qui plonge de la Montagne du Bois de Lavas. RR3 et RR diam. Mêmes sources que le cas précédent. 08011976 : VENON à 9 h un étudiant en sciences politiques observe une immense lumière vive qui stationne près du sol. Réf : "Dauphiné-Libéré du 9-1-1976."

    08011976 : DOMENE cité "Bellevue" à 20 h 45, François HINIJO observe un point lumineux rouge qui descend du ciel puis une forme lumineuse de vingt mètres de diamètre au sol, ce phénomène émet un léger sifflement. Réf : "O.V.N.I. :" p.595. 09011976 : GRENOBLE à 6 h 50, M. BERNARD photographie un objet lumineux qui évolue de façon erratique entre Le Taillefer et Chamrousse. VEUREY à 20 h 15, une famille observe un OVNI lumineux de plusieurs couleurs qui glisse vers Chamrousse vers 20 h 45. Ref : "OVNI" p. 598. 09011976 : Même jour une heure plus tôt, RR3 de St-Just de Claix.

    10011976 : CLAIX à 7 h, le maire de la ville de Claix observe les évolutions d'une lumière rouge. Réf : "Dauphiné-Libéré" du 12-1-1976, "UFO : Informations" n° 12 p. 17.

    12011976 : St-Pierre de Chandieu à 17 h 50, M. Henry DUBOIS observe les évolutions d'une boule lumineuse blanche et verte. Ref : "Dauphiné-Libéré" du 27-1-1976.

    13011976 : toujours dans le sud-est, observations à Ste-Croix (26). Ref : "UFO-Informations" n° 12 p.17 ; et Vallée des AYES (05). Ref : LDLN n° 153 p.27.

    13011976 : MURIANNETTE à 21 h 10, M. Pernisi Sauveur qui circule sur la R.N. 523 observe 4 cercles lumineux disposés en carré. Une sorte de phare semblait tourner autour de l'ensemble, de la taille d'un immeuble de deux étages. Le phénomène évoluait au sommet d'une des collines de la chaîne de Belledonne.

    15011976 : N.86 entre LA VOULTE et LE POUZIN (07) à 3 h 25 M. COURBIE observe une masse arrondie sombre posée au sol. Deux "hublots" de 40 cm de long espacés de 50 cm émettaient une clarté bleue non éblouissante. Réf : LDLN n° 160 p.17, "UFO Information" n° 12 p.18.

    15011976: LE CHAMBON-SUR-LIGNON (43) . 6 h 15, Mme BRUEL observe un phénomène lumineux composé de plusieurs boules lumineuses. Ref : LDLN 153 p. 27, enquête de gendarmerie. 15011976 : DOMENE à 7 h 15, Mme C... et une jeune fille observent une chose lumineuse grise. Mme C... peut distinguer des filaments sous l'OVNI. Ref : "UFO-INFORMATIONS" n° 12 p.18, "OVNI" p.602.

    15011976: BEAUREPAIRE R.N. 519 (38) vers 19 h 30, deux hommes observent un "cigare" d'une longueur de 20 à 25 m qui évolue à 10 ou 15 m au-dessus d'une maison. L'OVNI émettait des rayons tronqués en tous sens. Ref : "Ouranos".

    17011976 : Le Sonnant d'Uriage (38) à 7 h 10,

    M. Jean-Marie LUMINAIS observe une lumière diffuse à basse altitude. Cette lumière possédait quatre phares genre projecteur en son centre. LDLN n° 166 p. 30-31.

    16011976: ÉCHIROLLES (38) à 7 h, M. B., observe à la jumelle pendant une heure trente deux boules lumineuse, plus grosses que des étoiles. La plus grosse était d'un jaune pâle alors que la petite, moins nette, était grise-marron et évoluait à proximité de la première, (confusion possible).

    21011976: URIAGE (38) à 7 h, M. Albert MERITTO observe un objet de forme trapézoïdale de grandes dimensions posé au sol. Il est muni de feux rouges sur le pourtour supérieur et sur ses côtés droit et gauche. Une corne (tige) se trouve placée en oblique et tournée vers l'extérieur à chacun de ses deux angles supérieurs. Le phénomène décolle. Deux gendarmes sont aussi témoins de la disparition. Enquête M. Figuet. Ref : "OVNI" p.603.

    A SIGNALER aussi en ce mois de janvier 1976

    une trentaine d'autres rapports dans d'autres départements.

    SOURCES de l'affaire de St-JUST-de-CLAIX : U.F.O.-Informations de l'A.A.M.T. n° 13 p. 32 à 38. Contre-enquête de M. FIGUET, - Revue NOSTRADAMUS - Skylook The UFO monthly n° 102 du mai 1976 (repris de Nostradamus)

    - "Dauphiné-Libéré" du 11-1-1976 et du 12-1-1976 "Le Progrès" du 11-1-1976 - "La Montagne" du 12-1-1976 - "OVNI : le premier dossier des rencontres rapprochées en France" p.595 à 60

    NOTE DE L’ENQUÊTEUR : Bien sûr, on peut imaginer que les esprits ont été influencés en janvier 1976 par la série d'émissions présentées au cours du journal de F.R.3. Rhône-Alpes mais, dans ce cas, comment expliquer que c'est seulement dans un secteur bien délimité de l'Isère que pareilles observations ont été faites. Pourquoi n'a t-on pas, dans ce cas, vu des O.V.N.I.s dans la région lyonnaise ou clermontoise ou le même programme T.V. a été cependant diffusé ?

    Les braises des 3 feux de sarments situés dans l'axe du phénomène ont-elles joué le rôle de déclencheur psychologique. Je ne le pense pas car l'attention du témoin à d'abord été attirée par la boule blanche.

    N.B. : nous rappelons que l'auteur de ce rapport, M. FIGUET est CO-auteur d'un important ouvrage avec J.L. RUCHON, intitulé : "OVNI : LE PREMIER DOSSIER COMPLET DES RENCONTRES RAPPROCHÉES EN FRANCE" (750 pages), que nos lecteurs peuvent se procurer aux Éditions Alain LEFEUVRE 29 rue Pastorelli 06000 NICE. Nous le recommandons vivement.

     

    LDLN n° 223-224

     

     

    La Capsule Temporelle de la RR3 de M. Jean Dolecki

     

     En lieu et place des ovnis et de la théorie des visiteurs extraterrestres conventionnels avec leurs drôles d'engins non-conventionnels, nous vous proposons de suivre la méthode de lecture traditionnelle reposant sur la symbologie des anciens pour les Cratophanies/Théophanies/Rencontres Rapprochées avec l'ineffable.

    Pour nos ancêtres ces manifestations/apparitions supranaturelles sont porteuses de message transmis, individuellement, et destiné à la collectivité humaine, dans le déroulé précis, d'une mise-en-scène préméditée et savamment orchestrée, où les événements/éléments particuliers sont constitutifs du sens de lecture et de la lecture du sens global.

    Le fait d'analyser le contenu sémantique individuel de chaque apparition ufologique nous conduit à dégager sa cause, son origine et sa nature.

    La base de données fournies par la perception, la réception, le vécu, la description et la transmission du témoin ciblée par l'intelligence qui est à l'origine de sa rencontre rapprochée, nous en donne la possibilité.

    Le compte-rendu tant subjectif qu'objectif du témoignage fait apparaitre, en effet, une interprétation analogique qui sous-tend, son déroulé et qui échappe le plus souvent totalement à l'intelligibilité ordinaire des témoins, et demeure ignorée par la plupart des enquêteurs ufologiques, eux-mêmes.

    Cette trame polysémique nous déroule le fil conducteur de la pensée de l'intelligence qui se manifeste, au travers d'une représentation d'un discours figuratif et imagé, aménagé, adapté au profil psychologique du témoin, à son vécu et à son héritage socio-culturel.

    Ce constat n'est pas récent, les anciens nommaient ce type de rencontre rapprochée, cratophanie (apparition/manifestation surnaturelle) et les attribuaient aux puissances célestes, venues guider ou instrumentaliser les humains en leur délivrant une épiphanie (un message/une révélation).

    Autrement-dit, une intelligence non-humaine s'adresse aux humains depuis des temps immémoriaux.

    Quel est son objectif, sa motivation, son programme, qui est-elle ?

    Elle nous répond indirectement avec la RR3 de M. Jean Dolecki.

     

    La  synchronicité des mots et des images

     

     La cratophanie dont a bénéficié M. Jean Dolecki sert de support à une représentation anthropomorphique, signalée par l'engin dont la forme est d'une tête, avec ses yeux, les 3 feux rouge, blanche et chair, ses cheveux, la partie partie vibrante qui le chapeaute, ses oreilles, avec sur ses côtés en partie supérieure, deux éléments vibrants semblables à des hélices en rotation, sa bouche, avec sa porte, qui s'ouvre pour nous délivrer un message sous une forme métaphorique/imagée (Une lumière blanche bien délimité sortant de la base éclaire le tout comme un film sur un écran de cinéma/c'était comme une apparition), la pantomime de 3 silhouettes ;

    les 3 feux rouge, blanche et chair, symbolisent l'humain trinitaire, le rouge pour l'esprit (le noos), le blanc (le pathos), la chair (l'éthos) ;

    ces 3 silhouettes sont dépourvues de tête, ce qui signifie qu'elle progresse à l'aveugle, en tâtonnant, munies d'une perche télescopique qui est l'équivalent de la canne des aveugles ;

    le comportement de somnambule robotisé (comme des "robots ou des somnambules") des 3 silhouettes représente par effet-miroir celui de l'avenir scientifico/tecnologique raisonné (Saint-Just-de-Claix = raison de clôture) de l'humanité, en représentation scénarisée, qui la conduira dans une impasse in-humaine mécanisée ;

    la couleur de couleur acier inoxydable/métallique arborait par l'engin et les 3 silhouettes, en évoquant l'inaltérable du métal/acier inoxydable symbolise l'éternité immuable, de la sphère divine/céleste/spirituelle ;

    le lieu-dit, Bluvinay = bleu/vignoble évoque le recours du ciel (bleu) et pour sa vigne (vignoble) = le peuple de Dieu représenté par les noms du témoin, Jean = Dieu qui fait grâce / Dolecki = doux, ... Dieu fait grâce aux doux, qui sont noble de nature comme le confirme la date du vendredi 09 janvier 1976, jour de la fête de Saint Alix = noble de nature.

    Le résumé de cette cratophanie est contenu en synchronicité signifiante dans une question de l'enquêteur et la réponse de M. Jean Dolecki :

     

    Q. - Regardiez-vous le ciel en conduisant ?

     

    R. - Non, j'ai filé à la maison. J'ai appelé Sainte-Marie la vierge, signe de croix et en avant la route.

     

     

    « Je veux oublier cet évènement mais j'ai peur de sortir de la maison quand tombe la nuit. »

    M. Jean Dolecki - RR3 de Saint-Just-de-Claix (38) - Isère - Auvergne-Rhône-Alpes - France - 09/01/1976 

     

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