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Étretat (76) - Seine-Maritime - Normandie - France - 02/11/1958
Normandie - France - Ovnis
Etretat (76)
Mise à jour de la carte le 15/05/2023
Les Apparitions Ovnis et les Manifestations Surnaturelles et lignes de Ley – Go
[Etretat/habitants : 1 565 (384.52 hab/km2) en 1962 - 1 472 (361.7 hab/km2) en 1968 - 1 237 (303.9 hab/km2) en 2019 - Commune rurale balnéaire peu ou très peu dense et au climat océanique franc - Superficie : 4.07 km2]
Etretat (76)semper apertae sunt mea portaemes portes sont toujours ouvertesDe sinople aux deux clefs d'argent passées en sautoir, au chef d'azur hargé de trois coquilles d'or.[En lecture littérale, ici, les trois coquilles d'or, signalent les trois portes d'Aval, d'Amont et de la Manneporte/Grande Porte, des falaises de la cité d'Etretat, or, selon la kabbale héraldique, les images des blasons, cachent sous une forme figurée, un sens caché, de nature mystique/spirituelle/thaumaturgique (anagogique) ; ces trois coquilles d'or renvoient aux trois coquilles : Saint-Michel (l'Arc de l'Ange), Saint-Jacques (l'Astragale/Etoile du Talon) et à la Conque-Marine/Corne d'Abondance où souffle le Vent du Saint Esprit qui nous éclaire, nous transporte et nous protège - Bellator]Étretat (76) - Seine-Maritime - Normandie - France - 02/11/1958
Cinq boules de feu, se suivant à quelques secondes, déclenchent une tornade qui soulève des vélos et les emportent à plus de 3 mètres de leur emplacement. Nombreux Témoins. Sources : Soucoupes volantes - 25 ans d'enquêtes - Charles Garreau - 1974.Le Manoir Alchimiste de la Salamandre
Le superbe manoir de la Salamandre à Etretat est une ancienne bâtisse médiévale du 14ème siècle. Construit initialement à Lisieux, il a été déplacé et reconstruit à Etretat. Source : Douce Cahute.
Fulcanelli lui consacre un chapitre dans ses Demeures Philosophales :
le constructeur du manoir fut un alchimiste instruit, ayant donné la mesure de son talent, en d'autres termes un Adepte possesseur de la pierre philosophale ... que son aaffiliation à quelques centre ésotérique ayant, avec l'ordre dispersé dess Templiers, de nombreux points de contacts, se révèle indiscutable. Source : Statistique monumentale du Calvados - Arcisse de Caumont - 1834.
Le Manoir de la Salamandre, à Etretat, a été construit en 1912, par l'architecte Emile Mauge pour le compte du promoteur Ulrich Henry de la Blanchetais, est une copie inversée de la maison du cirier Plantefor de lisieux, démolie en 1899.
L'Ebéniste Rabot a ornementé l'ensemble de bois sculptés, du Manoir de la Salamandre à Etretat, copiés sur le premier Manoir de la Salamandre, situé 19 rue aux Fèves de Lisieux, datant de François Ier, Demeure Philosophale de Fucanelli, et qui a été détruite par les bombardements, en 1944. Source : Gazette de Rennes-le-Château.
Étretat (76) - L'Égyptienne
Une déclaration de Louis XIV, du 11 juillet 1682, interdit d'héberger et ordonne : d'arrêter tous ceux qui s'appellent Bohémiens ou Égyptiens, pour être conduits aux galères et y servir à perpétuité ; arrivés en Europe au XVé siècle, on les tenait tous pour sorciers et on craignait fort leurs maléfices ; ils étaient devins, prestidigitateurs, jongleurs, danseurs de corde ; le démonologue du XVIIé siècle, De Lancre, dit que les sorciers empruntèrent aux danses bohémiennes le branle qu'ils dansaient au sabbat : se tournant les épaules l'un l'autre et le dos d'un chacun dans le rond de la danse, et le visage en dehors.
Ces danses dos à dos, réputées sataniques, se retrouvent dans certains branles dansés encore aujourd'hui en Normandie.
Le meunier de Grainville l'Alouette, près d'Étretat, chassa une bohémienne venue lui demander l'hospitalité. Malheureux ! tu t'en repentiras ! dit-elle. La nuit même, le moulin s'arrêta de tourner ; la rivière avait disparut sous terre. L'abbé Cochet dans l'Étretat souterrain rappelle cette légende en précisant que d'anciens plans montrent qu'une rivière coulait en effet autrefois dans cette vallée d'Étretat.
Source : Spalikowski, La Normandie rurale et ignorée.
La Chambre des Demoiselles
La grande falaise blanche d’Étretat tombe à pic sur la mer ; la crête gazonnée domine d’une centaine de mètres les galets et les mas de cailloux qui s’étalent à son pied sur le rivage.
La nuit est proche. Le vent se lève. La mer mugit. Les nuées livides passent dans le ciel sombre. Par instants, la lune se montre dans une éclaircie.
Deux pêcheurs attardés s’en reviennent à la ville, sur le sentier qui, là-haut, longe le bord de la falaise.
L’endroit est lugubre et solitaire. Soudain, des gémissements se font entendre. Les deux pêcheurs s’arrêtent et regardent autour d’eux. A quelques pas, dans un vallonnement, trois formes blanches se dressent , éclairées par la lune blafarde ; elles lèvent leurs bras au ciel dans un geste de supplication ; leurs longs cheveux dénoués flottent épars sur leurs épaules ; elles sanglotent, et les larmes ruissellent sur leurs visages.
« Les Demoiselles ! Ce sont les Demoiselles ! » crient les pêcheurs effrayés. « Prions pour elles ! » Ils font un grand signe de croix, pressent le pas, et murmurent une courte prière, tandis que la lune se cache à nouveau derrière les nuées, et que les fantômes des trois jeunes filles s’estompent, s’atténuent, et disparaissent dans la brume.Voici, maintenant, à peu près, ce qui se passa, il y a longtemps , en cet endroit même.
Maître Jolivet, un brave marchand d’Étretat, avait trois filles, Éléonore, Jacinthe et Catherinette, connues à dix lieux à la ronde pour leur grâce et leur joliesse.
Leurs fiancés, trois jeunes hommes du voisinage, étaient soldats et partis pour la guerre. Dès leur retour qui ne pouvait tarder, le triple mariage devait avoir lieu.
Or, un riche seigneur du Pays de Caux, le Baron de Fréfossé, avait remarqué les trois sœurs. Soudard, brutal et violent, il n’admettait aucune résistance à sa volonté. La fantaisie lui était venue de prendre les jeunes filles à son service ; il ne voulait ; disait-il, avoir près de lui, pour tenir sa maison et servir la Baronne, que des visages frais et rieurs. Mais, Catherinette, Éléonore et Jacinthe connaissaient l’humeur méchante et les terribles colères du Baron de Fréfossé, et, voulant rester libres, elles avaient refusé, à plusieurs reprises, d’accepter ses propositions.
Furieux de cette résistance inattendue, le châtelain s’était juré d’amener les trois sœurs dans son manoir, et d’employer la force s’il le fallait : en ce temps là, contre la volonté d’un puissant seigneur, les gens du peuple n’avaient guère de recours.
Par un soir d’été, elles se promenaient sur la crête des falaises, tendrement enlacées, et devisant gaiement. Elles s’étaient écartées, imprudemment, de tout lieu habité. Comme elles descendaient dans un vallonnement plus sombre, une grande ombre à cheval surgit devant elles. C’était le Baron redouté, suivi d’un fidèle serviteur.
« Ah ! mes belles, cria-t-il, je vous tiens ! Vous ne m’échapperez pas ! En croupe, et suivez-nous ! »
Les trois demoiselles, à sa vue, poussent un cri d’épouvante, et prennent la fuite.
Près de là s’ouvre un sentier abrupt, qui dévale vers un ravin, puis vers la mer. Elles s’y engagent, au risque d’être précipitées dans les flots, qui déferlent à trois cent pieds au-dessous d’elles. Elles descendent de roc en roc, se soutenant aux aspérités. Le seigneur a mis pied à terre et les suit, mais il est lourd et gros et ne peut les rejoindre.
Oh bonheur ! Derrière une roche pointue, presque au sommet d’une sorte d’aiguille de pierre, les trois fugitives aperçoivent par hasard une crevasse très étroite.
« Cachons-nous là ! » disent-elles. Et, résolument, elles se glissent dans l’étroite ouverture, juste assez large pour qu’elles y pénètrent. Elles se trouvent à l’intérieur d’une toute petite grotte, où elles ont de la peine à se tenir debout.
Elles entendent le seigneur qui continue ses recherches : plusieurs fois il passe sans la voir devant l’entrée de la grotte. Il jure, il appelle, il menace.Personne ne lui répond. Fatigué, et pris de vertige devant le précipice qui, béant, s’ouvre devant lui, il remonte sur le plateau.
Les trois sœurs, hélas ! n’étaient point sauvées. La nuit se passa ; au matin, elles essayèrent de sortir de leur abri, mais, ô douleur ! elles virent avec effroi que la porte était murée. Un éboulement s’était produit, sans doute, comme cela est fréquent dans ces rocs calcaires ; à la grotte il n’y avait plus aucune issue !
Les captives demeurèrent en ce lieu trois nuits et trois jours. On les chercha, mais sans succès. Le soir du troisième jour, une vielle femme qui ramassait des coquillages sur le grève vit s’élever du haut de la falaise trois blanches colombes ; c’étaient les âmes des trois sœurs qui s’envolaient vers le ciel.Longtemps après, de hardis chasseurs découvrirent la fracture du rocher. Ils enlevèrent les pierres qui l’encombraient, et, munis d’une lanterne, explorèrent l’intérieur. Là, sur le sol recouvert de sable, ils trouvèrent les restes des trois jeunes filles, mortes de faim, de fatigue et de douleur.
Aussi longtemps qu’il vécut, le Baron de Fréfossé eut le remord du malheur qu’il avait causé. Continuellement d’ailleurs il fut poursuivi par les fantômes de ses innocentes victimes.
Jour et nuit, elles lui apparaissaient. Qu’il fût en promenade dans les champs, à la chasse dans les bois, ou qu’il traversât les grandes salles du château, elles surgissaient près de lui, et l’accompagnaient, muettes et vengeresses.
Aujourd’hui, la grotte tragique existe toujours : on l’appelle la Chambre des Demoiselles. Et parfois, dit-on, les soirs de brouillard, Catherinette, Éléonore et Jacinthe reviennent encore, tout de blanc vêtues, implorer la pitié et la prière des âmes compatissantes.Source : Les plus belles légendes de Normandie - 1932
Les Demoiselles
Jacinthe, Eléonore et Catherinette sont trois soeurs. Ces trois demoiselles vivent à Etretat. Prude, jolie, tendre, politesse : tels sont les mots qu’on attribue le plus souvent à ces trois jeunes filles qui font bien entendu le bonheur de leurs parents. Peu avant de se marier avec leur bien-aimé, le Seigneur de Fréfossé tombe sous le charme de ces trois jeunes femmes.
Ce seigneur fortuné, Baron qui plus est, ne supportait pas qu’on résiste à ses avances, il adorait par dessus tout obtenir ce qu’il voulait, y compris les femmes. Le Baron de Fréfossé voulait plus précisément les exploiter pour son service personnel et dans son propre château (château qui se trouve à proximité d’Etretat, l’actuel château du Tilleul).Bien que prudes et innocentes, ces jeunes demoiselles ont tout de même de la personnalité. Elles repoussent donc les avances de ce grand Seigneur. Furieux, le Seigneur de Fréfossé profite d’une escapade sur les falaises des trois jeunes filles pour aller à leur rencontre.
Apeurées, les demoiselles s’enfuient imprudemment vers une crevasse où elles pensent pouvoir échapper des mains de leur ravisseur. Restant calfeutrées toute la nuit dans leur cachette de fortune, elles s’aperçoivent le lendemain que la sortie de la crevasse est complètement bouchée.
Le Seigneur de Fréfossé avait piégé les jeunes femmes en comblant l’étroit conduit qui leur avait permis d’échapper à la colère incontrôlable du Baron.Les étretatais remarquent rapidement leur disparition et partent ainsi à la recherche des demoiselles. En vain malheureusement.
Trois jours et trois nuits plus tard, sans boire ni manger, les demoiselles succombent à leur terrible sort.
Le jour de leur décès, une étretataise de sortie remarque au sommet de la falaise d’Aval l’envol de trois colombes vers le ciel. L’esprit des trois jeunes femmes.
A la suite de cette dramatique issue, le fantôme des trois jeunes femmes reviennent venger leur mort auprès du Baron de Fréfossé jusqu’à ce que celui-ci paie de ses actes.
Il se dit qu’aujourd’hui, les fantômes des demoiselles roderaient encore le soir et par temps de brouillard autour de la crevasse qu’on appelle couramment et aujourd’hui à Etretat : « La Chambre des Demoiselles ».D’après Eugène Anne dans son livre « Les plus belles légendes de Normandie », ces demoiselles défuntes reviendraient fréquemment à Etretat, rôder autour de la crevasse « pour implorer la pitié et la prière des âmes compatissantes ». Source : Etretat avec FX.
L’église d’Etretat
Au XIeme siècle, une jeune demoiselle s’emploie à laver son linge grâce à l’écoulement d’une fontaine abondante sur la plage d’Etretat. Très concentrée sur ses corvées quotidiennes, elle ne réalise pas que des Sarrasins se dirigent vers la plage d’Etretat par le biais de petites barques dans le but de piller la ville. Sur le point de capturer Olive, les Sarrasins se loupent et Olive s’échappe.
La demoiselle courent vers le village pour ne pas tomber aux mains de ses assaillants. Ses chances sont infimes mais Olive invoque le Seigneur de veiller sur elle. Elle lui promet notamment de construire une église en plein centre d’Etretat pour permettre aux marins pêcheurs de s’y recueillir. Seulement, si celle-ci s’en sort.
Connaissant les lieux et grâce l’invocation du Seigneur, Olive arrive à échapper héroïquement à ses ravisseurs.
Olive tient donc sa promesse et remercie donc le Seigneur. Elle débute peu de temps après la construction de l’église dans le centre du village et se fait notamment aider par les villageois et quelques ouvriers pour arriver à ses fins.
La première journée de travail prend fin, les organismes sont fatigués et l’ensemble des ouvriers partent se reposer le temps d’une nuit plus que méritée.
Le lendemain, ouvriers et villageois reviennent sur leur lieu de travail. Les fondations de l’Eglise ont disparu. On les retrouve finalement à l’écart du centre ville, vers le Petit Val.
Les valeureux ouvriers rééditent leur travail en centre ville. Malheureusement, les prémices de l’édifice religieux changent de place, une fois de plus.Par dépit, les ouvriers vont finalement continuer la construction de l’église Notre Dame d’Etretat en lieu et place de l’endroit où le mauvais sort déplace les fondations, à l’écart du village.
Selon la légende, tout cela serait à cause de Satan, l’esprit maléfique, souhaitant jouer un mauvais coup aux marins et les empêcher de se recueillir à l’église avant de partir en mer. Source : Etretat avec FX.
L’Aiguille Creuse
La Manneporte (Grande Porte) - Claude Monet
Une rivière souterraine et l’érosion marine ont formé une arche naturelle et une aiguille haute de 55 mètres, bout de falaise effondré qui tient encore aujourd’hui.
Selon la légende, romancée par Maurice Leblanc, l'Aiguille creuse contiendrait le trésor des Rois de France accumulé par les Valois, et par les Bourbons, et un accès caché et direct à la mer pour rejoindre des terres amicales. Source : Atterrir.Everywhere.
Géolocalisation des Sabbats
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Sources : Le Tenneur René - Magie Sorcellerie et fantastique en Normandie -1979.
Extrait du Catalogue de Normandie - France - Ovnis : Seine-Maritime (76), Orne (61), Manche (50), Calvados (14)Vous pouvez nous aider à vous informer sur les ingérences des ovnis en nous communiquant les nouvelles ou les anciennes observations de Normandie (témoignages ou presse) à ufo.genpi@gmail.com ou en les publiant publiquement. Merci d’avance.Retour Catalogue des Ovnis en Normandie
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