Allouville-Bellefosse (76)

le géant du petit bois

De gueules à deux fasces d'argent.

Allouville-Bellefosse (76)  - Seine-Maritime - Normandie - France - 1944

Allouville - Bellefosse - 1944

Au cours d'une journée un objet en forme de soucoupe évolue silencieusement dans le ciel, observé par plusieurs personne. L'objet descend à la verticale et se pose à proximité du pont de chemin de fer. Les troupes allemandes envoient alors de nombreux véhicules vers le lieu d'atterrissage, mais l'objet repart à la verticale à grande vitesse. A l'emplacement de l'objet, il resta une tâche circulaire sombre sur le sol, le terrain semblait comme brulé.

Nombreux Témoins. Source : Guide du Chasseur des Phénomèns OVNI - De San Christian.

Le chêne millénaire d'Allouville

gros chêne ou chêne chapelle

Selon la légende il a été planté en 911 pour la naissance de la Normandie. (estimé à 1 200 ans et le plus vieux chêne d'Europe).

Contemporain de Charlemagne, ce doyen des chênes en France a, inscrit dans la mémoire de ses branches, le visage de Guillaume le Conquérant dont on dit qu’il aurait fait halte devant lui, lors de sa marche guerrière vers la Perfide Albion.

D’une forme étonnante et biscornue, cet arbre aura esquivé un sort funeste à de nombreuses occasions. Sa chance providentielle est-elle due au caractère sacré qu’une indéfectible dévotion des habitants et du clergé local lui attribue dès la fin du XVIIe siècle ? Toujours est-il que c’est à cette époque, en 1696 précisément, qu’un certain abbé Détroit, le curé du village, cherche à sanctifier le chêne en aménageant dans son tronc, devenu creux avec le temps, une petite chapelle dédiée à Notre-Dame-de-la-Paix.

Dédiée à Sainte Catherine d'Alexandrie, protectrice des artisans et des philosophes, elle incarne l'esprit de résilience et de dévotion qui anime le cœur de la Normandie.  
 
Devenu ainsi monument religieux, à cause de sa notorioté et des légendes, prétendant qu'il possédait des pouvoirs magiques, l’arbre millénaire du Pays de Caux est en 1793, une cible idéale pour la vindicte révolutionnaire et sa foule toujours encline à brûler tout symbole visible de l’Église.

Il ne doit son salut du feu et des haches  qu’à la présence d’esprit du clerc du village Jean-Baptiste Bonheure, qui le baptisa « Temple de la raison » après y avoir apposé un écriteau remplaçant l’ancien qui le désignait comme sanctuaire.

Extrait du Catalogue de Normandie - France - Ovnis : Seine-Maritime (76), Orne (61), Manche (50), Calvados (14)